ça va être tout noir !!! Rrrrrrramen taf'

Joe Dalton a écrit:Les stratégies de manipulation de masse reprennent les idées que Gustave Le Bon avait développé dans "Psychologie des foules" il y a plus de 100 ans. Je ne l'ai pas lu en entier mais cet ouvrage annonce les dictatures qui ont suivi (nazisme, fascisme et autre communisme)

"" L'oreille humaine perçoit les sons compris entre 20Hz (pour le plus grave) et 20 000Hz (pour le plus aigu). C'est sur cette bande de fréquences que les manipulations d'égalisation et de filtrage se font dans les domaines sonores.
Dans ce spectre, on peut délimiter des espaces:
20Hz - 200Hz : Graves
200Hz - 500Hz : Bas-médium
500Hz - 1 500Hz : Médium
1 500Hz - 4 000Hz : Haut-médium
4 000Hz - 10 000Hz : Aigu
10 000Hz - 20 000Hz : Sur-Aigu
C'est une classification très subjective car, bien sûr, les frontières ne sont pas si nettes mais cela permet de donner un ordre d'idée.""
Source INA
Et <20 Hz : infrasons
> 20000 Hz : ultrasons

Certains sont peut-être surpris d’apprendre que les systèmes de certains moyens de transport, comme les avions à réaction, les navires, les sous-marins et les engins spatiaux ne suivent pas les normes CA de 50 Hz (220-240 V) ou 60 Hz (100-127 V) utilisées presque partout aujourd’hui pour l’alimentation secteur (et que les convertisseurs de c.a. en c.c. utilisent massivement avec un ensemble d’adaptateurs de fiches CA). Ces moyens de transport utilisent plutôt la transmission de puissance CA de 400 Hz.

Ramen pas Taf' ? a écrit:Pour les profs de maths..un peu ..divergents
Pour les amateurs de maths..un peu ...divergents
Blog d'un prof de maths...un peu...
http://www.mathematiques-spirituelles.com/2015/12/pourquoi-ce-blog.html

vrir il y a bien longtemps une œuvre de haute spiritualité intitulée :
« DANS LA LUMIERE DE LA VERITE » (Message du Graal)
Avant cette découverte, j’étais persuadé de tout savoir sur les nombres et les figures géométriques. Mais, au contact de cette œuvre, j’ai pris conscience que je n’avais discerné que l’apparence des choses et que, ainsi que Pythagore l’avait très justement pressenti, les mathématiques sont porteuses d’un symbolisme élevé qui nous aide à comprendre l’univers et même le sens de notre vie.

https://leresiduedesante.wordpress.com/essais-sur-la-logique-mathematique/ a écrit:Essais sur la logique mathématique
Ce ne sont pas des cours ou tutoriels sur les mathématiques, mais bien une exploration personnelle sur ce que je crois être les mathématiques. Je vais de temps à autre enrichir cette page de nouveaux textes, mais je ne promets rien, ni même l’exactitude du contenu qui se trouve ici (et ailleurs). Si vous lisez, gardez votre esprit critique! Il faut tout le temps lire quoi que ce soit avec un esprit critique!

Ramen pas Taf'? a écrit:Haaaa nos ancêtres les Gaulois enseigné dans les colonies françaises...tout cela me laisse...songeuse...Wink

siamois93 a écrit:Tu n'aimes pas Charlie ?
L'empire de Charlemagne était bien grand et sa capitale pasParis.

siamois93 a écrit:@campagneradis : La numérologie associée à la Cabale ouvre aussi des portes, également pour éviter les fausses interprétations et traductions. L'essentiel c'est de pratiquer .

Reçu dans ma boite mél ce matin, le Rectorat ne m'a pas oubliée !:

La loi martiale est l'instauration dans un pays d'un état judiciaire d'exception, au sein duquel l'armée assure le maintien de l'ordre à la place de la police ou en collaboration avec celle-ci. C'est le chef d'État qui « invoque » la loi martiale, ce qui signifie que le général de l'armée prend le pouvoir pendant un temps délimité.

La loi martiale est proclamée lors d'une crise profonde au sein d'un État, dans le cas d'un coup d'État ou d'une guerre civile. C'est le gouvernement qui est amené à instaurer la loi martiale, c'est l'armée qui l’exécute.

Elle se traduit généralement par la suspension totale ou partielle des libertés fondamentales des citoyens, notamment celles de se rassembler, de manifester et de ne pas être emprisonné sans fondement judiciaire.

Joe Dalton a écrit:A ma connaissance, la dernière fois que la loi martiale, en tant que telle, a été décrétée en France était en 1961 à la suite du putsch des généraux à Alger

Zarbitude a écrit:Mais t'énerve donc pas ainsi, tu deviens toute rouge

Joe Dalton a écrit: Zarb', j'ai pas pu la voir devenir toute rouge .
Mes connaissances méritent certainement d'être updatées, j'en suis bien conscient

La loi du 22 juillet 2013 a engage un processus de transformation des PRES (Poles de Recherche et d'Enseignement Superieur) selon trois modalites alternatives : la fusion pure et simple, le regroupement en Comue (Communautes d'Universites et d'Etablissements) ou le choix de l'association. Ces trois modes de structuration des acteurs de l'ESR ont des effets differents sur les instances de representation et de participation. Ils affectent tant leur identite propre, leur pouvoir de decision que l'etendue de leurs competences. Selon le choix qui sera fait de la structure de regroupement, les capacites de decision et de deliberation pourront etre preservees ou seront de fait transferees a un organe de decision superieur : entre la remise des pleins pouvoirs a une instance de direction (Comue) et le partage des responsabilites entre des partenaires placees sur un pied d'egalite (association), la loi laisse le choix. Or, la meme loi dispose que, dans la periode transitoire qui court depuis sa promulgation (22 juillet 2013) et l'adoption des nouveaux statuts au cours de l'annee qui suit (desormais dans les deux mois qui viennent), les anciens PRES s'appelleront des PRES-COMUE. Cette designation conduit les personnels des etablissements a  penser que les PRES doivent naturellement se transformer en Comue. Pourtant, c'est contradictoire avec les termes memes de la loi qui, si elle contraint effectivement les etablissements publics d'enseignement superieur qui dependent du MESR de se regrouper sur la base territoriale minimale de l'academie, laisse toute latitude aux etablissements pour choisir leurs partenaires et definir le mode de cooperation qui leur agree.


Force est de constater que cet element essentiel du texte de loi, en conformite avec le principe d'autonomie des institutions universitaires, n'est pas le plus commente ni mis en avant par les responsables ministeriels et academiques engages dans le processus. Celui-ci s'est realise tres loin des premiers interesses que sont les membres de la communaute universitaire (enseignants-chercheurs, chercheurs, membres du personnel non enseignant, etudiants), comme en attestent les recentes petitions et prises de position publiques emanant de personnels et de collectifs de differents etablissements; legitimement inquiets de la mise en oeuvre de montages qui leur echappent et sur lesquels ils exigent d'etre consultes.
Le temps presse pour definir une ligne de conduite collective et une alternative democratique viable et acceptable par le plus grand nombre en prenant appui sur une autre lecture du texte de loi.

Spoiler:

L'article 1er de la loi déférée procède à une réforme du compte personnel de formation. Il prévoit notamment sa monétisation et transforme le congé individuel de formation en une modalité spécifique d'utilisation de ce compte dans le cadre d'un « projet de transition professionnelle ».

Les députés auteurs de la troisième saisine estiment que certaines dispositions de l'article 1er seraient entachées d'incompétence négative. Il en irait ainsi du renvoi au pouvoir réglementaire pour la détermination des modalités : de l'actualisation des droits à l'alimentation annuelle du compte personnel de formation et de ses plafonds ; du fonctionnement du projet de transition professionnelle ; de la monétisation des heures acquises au titre du compte personnel de formation et du droit individuel à la formation. Ils soutiennent par ailleurs que l'article L. 6323-22 du code du travail, tel que réécrit par l'article 1er, méconnaîtrait les principes d'égalité devant la loi et d'égal accès à la formation professionnelle. Cet article, en ce qu'il impose à un demandeur d'emploi acceptant une formation achetée par la région ou par Pôle emploi, d'utiliser son compte personnel de formation pour la financer, alors que le salarié ne serait pas soumis à cette obligation, créerait une différence de traitement injustifiée.

En second lieu, le paragraphe I de l'article L. 6323-17-2 du code du travail, dans sa rédaction résultant de l'article 1er, prévoit que l'ancienneté minimale nécessaire pour qu'un salarié bénéficie d'un projet de transition professionnelle est déterminée par décret. Le troisième alinéa du paragraphe II du même article L. 6323-17-2, dans cette même rédaction, renvoie au pouvoir réglementaire la détermination des modalités d'accompagnement du salarié bénéficiant d'un tel projet et de sa prise en charge financière. Les premier et dernier alinéas de l'article L. 6323-17-5, dans leur rédaction résultant de l'article 1er, confient à un décret le soin de préciser la rémunération minimale due au salarié bénéficiaire d'un tel projet ainsi que ses modalités de versement. Enfin, le paragraphe VIII de l'article 1er renvoie au décret les modalités de conversion en euros des heures acquises au titre du compte personnel de formation et du droit individuel à la formation à la date du 31 décembre 2018.