L’angoisse de l’amour
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Re: L’angoisse de l’amour
Il n'empêche qu'elle a été on ne peut plus claire donc peu importe mes désirs, si ils ne sont pas partagés alors ils n'ont aucune valeur et mieux vaut les oublier. Ça devrait bien se passer car il y a d'autres choses très positives dans ma vie en ce moment, sur lesquelles je vais pouvoir me recentrer maintenant. Ce n'est pas la première fois que je me trompe mais pour une fois c'est sans conséquence donc je vois le verre à moitié plein.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
vbgass a écrit:On a dormi ensemble cette nuit. C'était une soirée assez étrange mais aussi très importante pour la suite. J'ai maintenant la certitude de la nature platonique de notre relation et plutôt que de la déception je ressens du soulagement. Je suis soulagé car je sais où va cette relation, je ne me pose plus aucune question et j'ai retrouvé une totale sérénité.
Evidemment je ressens un désir qui n'est pas partagé mais je le vis bien maintenant que je sais comment le traiter. L'amour en revanche est totalement réciproque et c'est ce qui m'importe. C'est un amour qui est très en phase avec mes conviction qui plus est. J'ai pu être troublé par le fait qu'elle soit tactile et d'une douceur à laquelle je ne suis pas du tout habitué, mais c'est simplement sa manière d'être.
C'est maintenant le moment de tourner cette page et de recentrer cette amitié sur sa substance plutôt que sur des fantasmes déconnectés du réel.
Tu es soulagé et tu as retrouvé ta sérénité depuis que tu as l'assurance que cet amour réciproque est donc...... platonique ?
Euuuuh..
Et maintenant, tu fais une croix sur ta vie sexuelle ou tu envisages des relations sexuelles avec d'autres filles ?
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
En gros c'est ça, je ne me pose plus de question sur la nature de cette relation, les choses sont limpides donc je suis serein.
Concernant ma vie sexuelle je ne vois pas trop ce qui change, je suis célibataire et je le reste.
Et puis il m'est arrivé quelque chose de très important récemment qui n'a rien à voir mais qui va pas mal chambouler ma vie, du coup cette histoire n'est plus du tout prioritaire dans mes préoccupations. Je ne pense pas être prêt à avoir une relation intime avant un moment et ça tombe finalement plutôt bien.
Concernant ma vie sexuelle je ne vois pas trop ce qui change, je suis célibataire et je le reste.
Et puis il m'est arrivé quelque chose de très important récemment qui n'a rien à voir mais qui va pas mal chambouler ma vie, du coup cette histoire n'est plus du tout prioritaire dans mes préoccupations. Je ne pense pas être prêt à avoir une relation intime avant un moment et ça tombe finalement plutôt bien.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
Bon, nous sommes en train d'assister à la naissance d'une chronique sur les aventures potagères du concombre masqué, euh, pardon, du vbgass qui avance casqué, à la façon de Sex In The City ou autre prime américain.
Rebondissements nombreux à prévoir.
Munissez-vous de vos comprimés de dopamine, de vos flacons de Tranxène et de vos doses de Terbutaline, vous aurez du mal à na pas "paniquer" … c'est parti pour durer !
Rebondissements nombreux à prévoir.
Munissez-vous de vos comprimés de dopamine, de vos flacons de Tranxène et de vos doses de Terbutaline, vous aurez du mal à na pas "paniquer" … c'est parti pour durer !
Mentounasc- Messages : 2284
Date d'inscription : 16/01/2019
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Localisation : Autour de Monaco
Re: L’angoisse de l’amour
Haha! Non non, l'histoire est terminée, c'est une certitude.
Plus haut j'évoquais mon projet de réaliser une expérience psychédélique. C'est ce que j'ai fait dimanche et ce qui s'est produit introspectivement m'a tellement bouleversé que je ne pense plus qu'à ça et aux changements que cela implique dans ma vie future. Ces amourettes me semblent aujourd'hui totalement dérisoires et aujourd'hui j'ai besoin de temps et de solitude pour digérer ça.
Je crois aussi que pour l'avenir mon "angoisse de l'amour" est totalement guérie, comme beaucoup d'angoisses dont je crois m'être délesté dans l'experience.
Plus haut j'évoquais mon projet de réaliser une expérience psychédélique. C'est ce que j'ai fait dimanche et ce qui s'est produit introspectivement m'a tellement bouleversé que je ne pense plus qu'à ça et aux changements que cela implique dans ma vie future. Ces amourettes me semblent aujourd'hui totalement dérisoires et aujourd'hui j'ai besoin de temps et de solitude pour digérer ça.
Je crois aussi que pour l'avenir mon "angoisse de l'amour" est totalement guérie, comme beaucoup d'angoisses dont je crois m'être délesté dans l'experience.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
Waouh ! J'ai lu ton experience et j'ai trouvé ça vraiment fascinant. Rien à ajouter vu que je n'ai jamais vécu un truc aussi dingue sauf que je crois que je t'envie autant que je te plains.vbgass a écrit:
Je crois aussi que pour l'avenir mon "angoisse de l'amour" est totalement guérie, comme beaucoup d'angoisses dont je crois m'être délesté dans
D'un côté je serais curieuse de vivre une experience aussi riche en émotions et de l'autre je ne saurais pas quoi en faire, quoi en comprendre et enfin, qui je suis devenue ?
Comme si le prix de moins d'angoisses était de devenir quelqu'un d'autre, un tout autre toi et ça brutalement.
Flippant quand même...
Enfin, c'est ce que je comprends de ton récit.
Hâte de connaître la suite en tout cas
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
C’est clair que je suis partagé entre le fait de ne souhaiter à personne de vivre une expérience aussi choquante pour la conscience, et en même temps l’idée que nous en avons tous en quelque sorte besoin, tant il est clair que nous sommes globalement tous dans une détresse spirituelle qui nous enferme dans des illusions et un imaginaire qui nous empêche une réelle expérience de notre esprit, sans cesse esclave de notre ego. Je ne regrette pas de l’avoir fait même si je m’y prendrai différemment si c’était à refaire. Quand j’étais là bas, dans ces espèces d’etage de conscience supérieurs (ou inférieurs, peu importe), je n’existais plus en tant qu’humain, il y avait toujours l’idée d’un « moi » mais pour lequel mon existence physique n’était qu’un lointain souvenir sans importance. Je garde cette sensation en moi d’une certaine manière, cette plénitude. Je ne ressens plus de désir pour rien, je ne me pose plus de questions existentielles et l’idee de la finitude de mon existence me semble tout à fait acceptable, tout comme l’idée que ma vie compte énormément. Ça peut sembler triste de n’avoir aucune envie, mais je ne le ressens pas comme ça. Je ne veux pas d’un retour en arrière. J’ai le sentiment de devoir consacrer mon temps et mon énergie à la création de possibilités, artistiques pour ma part. J’ai le sentiment que ce qui m’a été révélé sur la nature de la vie et l’univers dans sa continuité c’est son caractère auto-créateur, comme si notre propre créativité ne nous appartenait pas et qu’il s’agissait d’une des infinités de ramifications d’une conscience globale dont la seule fonction était de s’opposer à l’idée de conservation et de stagnation, en créant sans cesse des nouveautés physiques ou métaphysiques, piochées dans une infinité de possibilités qui, mises bout à bout, constituent l’univers à un instant t.
Je ne sais pas si ça a du sens. Il y a encore une semaine j’aurais été incapable de concevoir une telle idée ou d’y préter vraiment de l’intérêt. Aujourd’hui ça occupe tout mon esprit du matin au soir et j’ai besoin d’en apprendre davantage.
Je ne sais pas si ça a du sens. Il y a encore une semaine j’aurais été incapable de concevoir une telle idée ou d’y préter vraiment de l’intérêt. Aujourd’hui ça occupe tout mon esprit du matin au soir et j’ai besoin d’en apprendre davantage.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
La créativité comme moteur et sens d'un existence précieuse, la conscience globale, la mort non effrayante, que voilà un bien joli programme.
Message reçu. Oserais je dire confirmé.
Merci pour ce partage.
Message reçu. Oserais je dire confirmé.
Merci pour ce partage.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
Désolé, mais je ne suis absolument pas persuadé que l'expérience "psychédélique" que tu nous narres dans le post consacré à l'Ayahuasca (comment il s'est shooté à l'Aya) t'ai été forcément profitable sur le plan sentimental.
Même si tu en as momentanément l'impression ! Et que cette impression perdure assez longtemps après l'expérience.
Que tu aies eu des perception différentes est une chose, mais conclure comme tu sembles le faire que tu es dans le mieux est un déni scientifique.
Il n'y a aucune grille d'évaluation sur l'avant et l'après.
Et tu fais comme si tu ignorais que ton cerveau peut parfaitement avoir été modifié "physiquement" en certains endroits. Quels seront les résultats futurs de ces modifs ?
Pour rappel, toutes les drogues créent des addictions qui ne sont pas forcément seulement psychologiques, mais peuvent aussi être dûes à la transformation partielle de certaines zones du cortex. L'article de Wikipédia est certes sympa, mais fort incomplet sur la question.
Quant à conclure comme il le fait qu'il n'y a pas d'accoutumance (et donc pas d'addiction) à l'ayahuasca, c'est une erreur monumentale :
car comment expliquer qu'une tradition qui a pt-être (à vérifier !) 5000 ans et qui engendre autant de symptômes désagréables perdure dans certaines populations ? Une seule chose l'explique : ceux qui tentent l'expérience y reviennent. Donc addiction. CQFD.
Je serai à ta place, je me méfierai des conclusions "psychologiques" auxquelles tu es parvenu depuis ta fameuse séance.
Ce n'est que mon avis.
Même si tu en as momentanément l'impression ! Et que cette impression perdure assez longtemps après l'expérience.
Que tu aies eu des perception différentes est une chose, mais conclure comme tu sembles le faire que tu es dans le mieux est un déni scientifique.
Il n'y a aucune grille d'évaluation sur l'avant et l'après.
Et tu fais comme si tu ignorais que ton cerveau peut parfaitement avoir été modifié "physiquement" en certains endroits. Quels seront les résultats futurs de ces modifs ?
Pour rappel, toutes les drogues créent des addictions qui ne sont pas forcément seulement psychologiques, mais peuvent aussi être dûes à la transformation partielle de certaines zones du cortex. L'article de Wikipédia est certes sympa, mais fort incomplet sur la question.
Quant à conclure comme il le fait qu'il n'y a pas d'accoutumance (et donc pas d'addiction) à l'ayahuasca, c'est une erreur monumentale :
car comment expliquer qu'une tradition qui a pt-être (à vérifier !) 5000 ans et qui engendre autant de symptômes désagréables perdure dans certaines populations ? Une seule chose l'explique : ceux qui tentent l'expérience y reviennent. Donc addiction. CQFD.
Je serai à ta place, je me méfierai des conclusions "psychologiques" auxquelles tu es parvenu depuis ta fameuse séance.
Ce n'est que mon avis.
Dernière édition par Mentounasc le Sam 9 Mar 2019 - 13:07, édité 1 fois (Raison : ajout d'un lien)
Mentounasc- Messages : 2284
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Re: L’angoisse de l’amour
En réalité je suis seul juge pour savoir si ça m'a été profitable ou non. Mes référentiels pour juger de ce qui est positif ou négatif ont changé donc c'est assez difficile d'expliquer exactement pourquoi je suis satisfait de l'avoir fait.
Je fais sans doute comme si j'ignorais tout ce dont je ne parle pas dans mon post mais est-ce que cela signifie que je l'ignore? Il est évident que mon cerveau a subi des modifications, je le ressens exactement comme ça. Les résultats futurs seront ce qu'ils seront, je ne suis pas inquiet.
Pour rappel, la DMT n'est pas une drogue. Elle est synthétisée physiologiquement dans notre cerveau ainsi que par tous les êtres vivants. Elle ne crée aucune dépendance, aucun phénomène d’accoutumance. Tu peux balayer d'un revers de main le travail de tous les scientifiques qui se penchent sur le sujet, mais je pense qu'il s'agit d'un mécanisme de défense culturel conservateur face à quelque chose qui est hors du cadre de ce que tu considère comme légitime à exister. Je pense que tout ce qui existe est légitime, surtout lorsqu'il s'agit d'une molécule présente en chacun de nous et source d'un tel pouvoir.
Jamais je ne recommencerai une telle expérience ceci dit, pas à si forte dose. C'était tout sauf récréatif. Mais peut être un jour j'essayerai une dose beaucoup plus modeste pour garder un semblant de contrôle sur l'expérience.
Concernant mes sentiments, ils n'ont pus aucune importance pour le moment mais je pense que ça reviendra, j'ai fait une sorte de reset total et je vois ça comme l'occasion de entre autres de reconstruire un rapport plus serein aux sentiments, mais chaque chose en son temps.
Je fais sans doute comme si j'ignorais tout ce dont je ne parle pas dans mon post mais est-ce que cela signifie que je l'ignore? Il est évident que mon cerveau a subi des modifications, je le ressens exactement comme ça. Les résultats futurs seront ce qu'ils seront, je ne suis pas inquiet.
Pour rappel, la DMT n'est pas une drogue. Elle est synthétisée physiologiquement dans notre cerveau ainsi que par tous les êtres vivants. Elle ne crée aucune dépendance, aucun phénomène d’accoutumance. Tu peux balayer d'un revers de main le travail de tous les scientifiques qui se penchent sur le sujet, mais je pense qu'il s'agit d'un mécanisme de défense culturel conservateur face à quelque chose qui est hors du cadre de ce que tu considère comme légitime à exister. Je pense que tout ce qui existe est légitime, surtout lorsqu'il s'agit d'une molécule présente en chacun de nous et source d'un tel pouvoir.
Jamais je ne recommencerai une telle expérience ceci dit, pas à si forte dose. C'était tout sauf récréatif. Mais peut être un jour j'essayerai une dose beaucoup plus modeste pour garder un semblant de contrôle sur l'expérience.
Concernant mes sentiments, ils n'ont pus aucune importance pour le moment mais je pense que ça reviendra, j'ai fait une sorte de reset total et je vois ça comme l'occasion de entre autres de reconstruire un rapport plus serein aux sentiments, mais chaque chose en son temps.
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Re: L’angoisse de l’amour
Perso, je te crois. Le fait est que j'ai vécu un rêve très étrange tout récemment. Je dis rêve mais c'était plus comme une experience de sortir de mon corps puisque j'avais parfaitement conscience d'être allongée sur mon canapé tout en ressentant toutes les sensations d'un voyage cosmique, comme si j'étais propulsée à une vitesse incroyable (le vent sur la peau) vers une lumière blanche puis une énorme surface type magma jaune orangée.
Bref, un truc très très chelou.
Par rapport à tes sentiments disparus, je crois que depuis le début, il s'agit de toute façon d'autre chose que d'amour.
D'ego peut être ?
Maintenant, on a besoin d'un ego. Mais ego n'est pas orgueil.
Bref, un truc très très chelou.
Par rapport à tes sentiments disparus, je crois que depuis le début, il s'agit de toute façon d'autre chose que d'amour.
D'ego peut être ?
Maintenant, on a besoin d'un ego. Mais ego n'est pas orgueil.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
Je pense qu'il s'agit d'amour et d'ego. J'aime indiscutablement cette fille mais c'est plus clair maintenant, je ressens un amour plus détaché, m'impliquant moins en tant que personne, mais également plus serein et évident.
Mon ego en a pris pour son grade et clairement c'était l'un des buts de l'expérience que j'assume. Je ne lai pas fait pour traiter spécifiquement mes problèmes sentimentaux, cette décision s'inscrivait dans un processus entamé depuis des années déjà. J'ai donc vécu une vraie dissociation de l'ego dans le sens où je relativise désormais énormément mon identité propre, ce qui relève de mon individualité par rapport à ce qui me dépasse en tant que personne. Je me sens moins humain mais plus vivant, moins ancré dans une culture et moins dépendant de mon passé et de mes expériences apprises. Je me sens moins affecté par mon jugement et celui des autres, moins attaché aux choses mais aussi aux gens. C'est peut être le côté moins sympathique, j'ai l'impression d'avoir complètement chamboulé mon rapport à la sociabilité et cette semaine on m'a fait remarqué que j'avais pas l'air bien (surement parce que je suis devenu un peu muet depuis dimanche). Il va de toutes façons me falloir du temps pour digérer tout ça et réapprendre à vivre avec de tels souvenirs.
Mon ego en a pris pour son grade et clairement c'était l'un des buts de l'expérience que j'assume. Je ne lai pas fait pour traiter spécifiquement mes problèmes sentimentaux, cette décision s'inscrivait dans un processus entamé depuis des années déjà. J'ai donc vécu une vraie dissociation de l'ego dans le sens où je relativise désormais énormément mon identité propre, ce qui relève de mon individualité par rapport à ce qui me dépasse en tant que personne. Je me sens moins humain mais plus vivant, moins ancré dans une culture et moins dépendant de mon passé et de mes expériences apprises. Je me sens moins affecté par mon jugement et celui des autres, moins attaché aux choses mais aussi aux gens. C'est peut être le côté moins sympathique, j'ai l'impression d'avoir complètement chamboulé mon rapport à la sociabilité et cette semaine on m'a fait remarqué que j'avais pas l'air bien (surement parce que je suis devenu un peu muet depuis dimanche). Il va de toutes façons me falloir du temps pour digérer tout ça et réapprendre à vivre avec de tels souvenirs.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
Bonjour,
J'essaie de trier les angoisses avant le sommeil.
Si j'avais un enfant en 2020, peut-être il serait assassiné avant ses 3 ans. Si ma famille m'a violée, je les pense capable d'assassiner les enfants au berceau, et mes frères capables de refuser ma descendance. Mais, si j'avais un enfant, je l'éloignerai des conneries mortifères, quoiqu'une solitude nauséabonde ne peut pas non plus le satisfaire. Ou, mon enfant se fera violer avant ses 10 ans par un touriste prétentieux, et je serai tellement abandonnée de mes forces que le viol de mon enfant ne sera pas vengé. Alors, il deviendra malade mental et la malédiction sera transmise.
Ou, je serai violée pendant ma grossesse et ferai une fausse couche. Si le violeur est anonyme, il s'enfuira en ignorant sa cruauté, mais si c'est un violeur jaloux cruel, il me gardera prisonnière jusqu'après la fausse-couche pour éjaculer sur le foetus mort de son rival, et le manger.
Mais, j'essaierai de distraire les méchants comme un épouvantail.
Ou, c'est le frère d'une ex-fiancée de mon futur mari qui viendra annuler notre union, à cause d'un droit d'honneur antérieur et non concubin sauf les années bissextiles.
Et puis, si le père vient de la ville, il ne saura pas me soigner, tandis que s'il vient de la campagne, il ne saura pas m'égayer. Un homme de la ville m'abandonnera à la rue si je ne veux pas d'enfant de lui, mais un homme de la campagne me faucherai avec les sangliers.
Et si mon mari ne parle pas français, il va m'accuser de lui faire perdre son temps avec mon art étranger à ses besoins, et me priver de ma culture. Alors, il faudrait lui présenter une troisième culture, mais sur le plan pratique, on va tous se violer par commodité culturelle et étatique.
Au contraire, si le critère culturel est retenu pour un mariage forcé de convenance, on me négligera avec un conciliateur stérile, union vouée à tuer un stéréotype dans une fin de race minable. Peut-être, je prie pour la stérilité du connard prétendant à compléter les schémas dominateurs de la mythomanie ambiante. Mais, en sortant des arguments de confrontation, je ne défie que la passivité des supercheries. C'est comme faire durer l'agacement : couper du bois ensemble muscle, mais si son beau-frère s'appelle Dubois, le couper est une mutilation. Peut-être le pire salaud de nos moutons s'appelle Dubois, et on a rasé la forêt Amazonienne en avertissement si jamais on l'attrape. Ou, c'est ma soeur qui sera violée sur le bûcher par Dubois, ivre bien sûr.
Encore quelques fantasmes, comme, ranger les capotes dans le tiroir à couteaux. Le jour de débauche où il n'y a plus de préservatif, mais seulement des couteaux, on aiguise la question de la contraception. S'il n'y a plus de couteaux, mais seulement des préservatifs, la question a déjà été tranchée.
Ca me fait penser à se fourrer dans le vagin une grenouille vivante, mais c'est décevant, ou, à n'expérimenter que sur la femme du voisin xénophobe non bipolaire.
Si un jour je suis parent, le temps que tout le monde se décide sur qui abuse en premier des enfants, j'ai peut-être quelques années de relative tranquillité, où on s'assurera seulement de me taxer suffisamment jusqu'à payer mes dettes par un kidnapping. Donc, je ne suis pas pressée de faire puceron pour la couronne d'Autriche. Je n'ai pas d'opinion sur les pucerons, sauf qu'ils sont prédatés par les coccinelles, qui entendent coccyx, et coccyx c'est pas très loin du cul.
Et puis, agiter des bébés comme des friandises, c'est des peluches au psycho-raptor. Ca me rappelle ce cauchemar de balancer un sac (le bébé) sur le toit d'un parking (le projet) depuis une cage d'escalier (l'Adn) à cause de la survenue d'un Tyrannosaure Rex (le problème, le papa ?). Jusque-là, rien de plus inquiétant qu'une consultation gynécologique de routine déguisant une vasectomie : c'est l'insoluble paradoxe de l'hôte riche hongre gris.
Concluant sur une histoire de cheval, tout va bien, ils vécurent heureux , beaux, et eurent beaucoup d'enfants diplomates.
Peut-être il y a 23 prénoms féminins avant le mien à la lettre du répertoire où s'ammoncèlent des pseudos mal-aimés, mais, si c'était 32 il y a 3 heures...
J'essaie de trier les angoisses avant le sommeil.
Si j'avais un enfant en 2020, peut-être il serait assassiné avant ses 3 ans. Si ma famille m'a violée, je les pense capable d'assassiner les enfants au berceau, et mes frères capables de refuser ma descendance. Mais, si j'avais un enfant, je l'éloignerai des conneries mortifères, quoiqu'une solitude nauséabonde ne peut pas non plus le satisfaire. Ou, mon enfant se fera violer avant ses 10 ans par un touriste prétentieux, et je serai tellement abandonnée de mes forces que le viol de mon enfant ne sera pas vengé. Alors, il deviendra malade mental et la malédiction sera transmise.
Ou, je serai violée pendant ma grossesse et ferai une fausse couche. Si le violeur est anonyme, il s'enfuira en ignorant sa cruauté, mais si c'est un violeur jaloux cruel, il me gardera prisonnière jusqu'après la fausse-couche pour éjaculer sur le foetus mort de son rival, et le manger.
Mais, j'essaierai de distraire les méchants comme un épouvantail.
Ou, c'est le frère d'une ex-fiancée de mon futur mari qui viendra annuler notre union, à cause d'un droit d'honneur antérieur et non concubin sauf les années bissextiles.
Et puis, si le père vient de la ville, il ne saura pas me soigner, tandis que s'il vient de la campagne, il ne saura pas m'égayer. Un homme de la ville m'abandonnera à la rue si je ne veux pas d'enfant de lui, mais un homme de la campagne me faucherai avec les sangliers.
Et si mon mari ne parle pas français, il va m'accuser de lui faire perdre son temps avec mon art étranger à ses besoins, et me priver de ma culture. Alors, il faudrait lui présenter une troisième culture, mais sur le plan pratique, on va tous se violer par commodité culturelle et étatique.
Au contraire, si le critère culturel est retenu pour un mariage forcé de convenance, on me négligera avec un conciliateur stérile, union vouée à tuer un stéréotype dans une fin de race minable. Peut-être, je prie pour la stérilité du connard prétendant à compléter les schémas dominateurs de la mythomanie ambiante. Mais, en sortant des arguments de confrontation, je ne défie que la passivité des supercheries. C'est comme faire durer l'agacement : couper du bois ensemble muscle, mais si son beau-frère s'appelle Dubois, le couper est une mutilation. Peut-être le pire salaud de nos moutons s'appelle Dubois, et on a rasé la forêt Amazonienne en avertissement si jamais on l'attrape. Ou, c'est ma soeur qui sera violée sur le bûcher par Dubois, ivre bien sûr.
Encore quelques fantasmes, comme, ranger les capotes dans le tiroir à couteaux. Le jour de débauche où il n'y a plus de préservatif, mais seulement des couteaux, on aiguise la question de la contraception. S'il n'y a plus de couteaux, mais seulement des préservatifs, la question a déjà été tranchée.
Ca me fait penser à se fourrer dans le vagin une grenouille vivante, mais c'est décevant, ou, à n'expérimenter que sur la femme du voisin xénophobe non bipolaire.
Si un jour je suis parent, le temps que tout le monde se décide sur qui abuse en premier des enfants, j'ai peut-être quelques années de relative tranquillité, où on s'assurera seulement de me taxer suffisamment jusqu'à payer mes dettes par un kidnapping. Donc, je ne suis pas pressée de faire puceron pour la couronne d'Autriche. Je n'ai pas d'opinion sur les pucerons, sauf qu'ils sont prédatés par les coccinelles, qui entendent coccyx, et coccyx c'est pas très loin du cul.
Et puis, agiter des bébés comme des friandises, c'est des peluches au psycho-raptor. Ca me rappelle ce cauchemar de balancer un sac (le bébé) sur le toit d'un parking (le projet) depuis une cage d'escalier (l'Adn) à cause de la survenue d'un Tyrannosaure Rex (le problème, le papa ?). Jusque-là, rien de plus inquiétant qu'une consultation gynécologique de routine déguisant une vasectomie : c'est l'insoluble paradoxe de l'hôte riche hongre gris.
Concluant sur une histoire de cheval, tout va bien, ils vécurent heureux , beaux, et eurent beaucoup d'enfants diplomates.
Peut-être il y a 23 prénoms féminins avant le mien à la lettre du répertoire où s'ammoncèlent des pseudos mal-aimés, mais, si c'était 32 il y a 3 heures...
Re: L’angoisse de l’amour
vbgass a écrit:C’est clair que je suis partagé entre le fait de ne souhaiter à personne de vivre une expérience aussi choquante pour la conscience, et en même temps l’idée que nous en avons tous en quelque sorte besoin, tant il est clair que nous sommes globalement tous dans une détresse spirituelle qui nous enferme dans des illusions et un imaginaire qui nous empêche une réelle expérience de notre esprit, sans cesse esclave de notre ego. Je ne regrette pas de l’avoir fait même si je m’y prendrai différemment si c’était à refaire. Quand j’étais là bas, dans ces espèces d’etage de conscience supérieurs (ou inférieurs, peu importe), je n’existais plus en tant qu’humain, il y avait toujours l’idée d’un « moi » mais pour lequel mon existence physique n’était qu’un lointain souvenir sans importance. Je garde cette sensation en moi d’une certaine manière, cette plénitude. Je ne ressens plus de désir pour rien, je ne me pose plus de questions existentielles et l’idee de la finitude de mon existence me semble tout à fait acceptable, tout comme l’idée que ma vie compte énormément. Ça peut sembler triste de n’avoir aucune envie, mais je ne le ressens pas comme ça. Je ne veux pas d’un retour en arrière. J’ai le sentiment de devoir consacrer mon temps et mon énergie à la création de possibilités, artistiques pour ma part. J’ai le sentiment que ce qui m’a été révélé sur la nature de la vie et l’univers dans sa continuité c’est son caractère auto-créateur, comme si notre propre créativité ne nous appartenait pas et qu’il s’agissait d’une des infinités de ramifications d’une conscience globale dont la seule fonction était de s’opposer à l’idée de conservation et de stagnation, en créant sans cesse des nouveautés physiques ou métaphysiques, piochées dans une infinité de possibilités qui, mises bout à bout, constituent l’univers à un instant t.
Je ne sais pas si ça a du sens. Il y a encore une semaine j’aurais été incapable de concevoir une telle idée ou d’y préter vraiment de l’intérêt. Aujourd’hui ça occupe tout mon esprit du matin au soir et j’ai besoin d’en apprendre davantage.
Je ne survivrais pas à la prise d’un produit pour tenter de vivre ceci mais je t’envie Profondément.
Je voudrais arriver à ton état de conscience. Arriver à « savoir » non pas comprendre ni croire, savoir que tout est parfait.
Je ressens une profonde vérité dans ton témoignage, ça ne s’explique Pas.
All the best et merci pour ce magnifique partage
SparklingLance- Messages : 256
Date d'inscription : 24/01/2019
Localisation : Après la 3ème étoile à gauche
Re: L’angoisse de l’amour
Il existe une drogue bien plus puissante à mon sens,
aux effets similaires et plus euphorisants,
plus douce et plus joyeuse, plus forte et sans pitié
pour ce que son feu détruit en révélant notre âme
et dont l'action dévastatrice et salvatrice
peut effrayer et angoisser à tel point
que tout échappatoire est vu comme un bienfait
bien qu'il soit provisoire
car au-delà de ses incarnations
la force de l'amour est éternelle
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: L’angoisse de l’amour
L’amour conçu comme une drogue déjà c’est une métaphore, une construction mentale. On pourrait discuter des heures de ce qu’est vraiment l’amour et ce serait passionnant. Mais depuis mon expérience de la transcendance, il est clair que ma conception de l’amour a évolué et qu’elle n’a plus grand chose à voir avec l’idée qu’on s’en fait traditionnellement en occident. Du coup je ne vois pas trop ce que signifie d’opposer l’amour et la transcendance. C’est difficile de lire des affirmations sur la nature des choses venant de personnes qui n’ont jamais expérimenté quelque chose sur laquelle ils ont une opinion. Je sais qu’en occident la culture tend à sacraliser l’ego, à glorifier l’humain au mépris de son environnement. Du coup l’idée qu’une expérience impliquant une substance qui ne provient pas de notre corps (quand bien même il s’agirait d’une molécule que notre cerveau sait synthétiser) puisse nous enseigner des choses inaccessibles à notre conscience, c’est quelque chose de tabou. On considère que cela n’est qu’un détail de l’existence, que nous sommes parfaitement capables de nous élever tout seuls spirituellement, que les réponses se trouvent dans des livres et en aucun cas dans des substances issues de plantes qui existaient bien avant que les humains ne sachent parler. Aujourd’hui je pense qu’on gagnerait tous à faire preuve d’une certaine humilité concernant la nature humaine et notre rôle dans la communauté ontologique du vivant. L’amour est corrompu dans notre culture. Je veux revenir à la base des sentiments plutôt que de répéter bêtement un schéma culturel aliénant sans me poser de questions.
J’aime toutes les femmes qui sont dans ma vie, d’un amour singulier. Elles sont nombreuses et il est clair qu’elles ne sont pas toutes sur un pied d’égalité dans mes sentiments. Celle dont il était question dans ce topic est sans aucun doute la plus importante en ce moment, vu le temps que nous passons ensemble et la quantité de choses qu’on partage. Mais aujourd’hui j’ai compris que cette relation était parfaite, que je n’avais pas à en attendre plus. Je ne veux plus jamais être en couple car je vois maintenant clairement l’aberration d’un tel concept. Je veux vivre mes relations comme elles se présentent, hors d’un cadre imposé. Ce n’est pas toujours facile car certaines femmes que je vois ces temps-ci projettent des choses sur moi, notamment une en particulier avec laquelle j’entretiens une relation très intime. Elle m’a clairement fait part de son désir de former un couple et cela n’a pas été facile de lui expliquer que ce n’était pas possible pour moi. Elle a fini par l’accepter plus ou moins.
J’aime toutes les femmes qui sont dans ma vie, d’un amour singulier. Elles sont nombreuses et il est clair qu’elles ne sont pas toutes sur un pied d’égalité dans mes sentiments. Celle dont il était question dans ce topic est sans aucun doute la plus importante en ce moment, vu le temps que nous passons ensemble et la quantité de choses qu’on partage. Mais aujourd’hui j’ai compris que cette relation était parfaite, que je n’avais pas à en attendre plus. Je ne veux plus jamais être en couple car je vois maintenant clairement l’aberration d’un tel concept. Je veux vivre mes relations comme elles se présentent, hors d’un cadre imposé. Ce n’est pas toujours facile car certaines femmes que je vois ces temps-ci projettent des choses sur moi, notamment une en particulier avec laquelle j’entretiens une relation très intime. Elle m’a clairement fait part de son désir de former un couple et cela n’a pas été facile de lui expliquer que ce n’était pas possible pour moi. Elle a fini par l’accepter plus ou moins.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
Hello! Un petit peu plus de deux mois après mon voyage aux confins du multivers qui m'avait pas mal aidé à revenir dans le droit chemin, voici un petit point sur la situation.
D'abord je vais on ne peut mieux. L'expérience a laissé des traces mais que du positif. J'ai toujours des angoisses mais elle ont été redirigées de choses prosaïques de ma vie vers des paradoxes cosmiques qui me dépassent, ce qui est beaucoup plus facile à gérer. Je ressens une paix intérieure que je n'avais jamais connu et qui ne semble pas s'estomper et je le ressens aussi dans mes relations.
Ma relation avec cette fille qui me faisait tourner la tête a évolué. Nous sommes plus proches que jamais et je ressens une réciprocité très intense entre nous. Toutefois je ne la désire plus, comme si j'avais déjà tout ce que je pouvais désirer. Nous avons parlé de choses assez intimes hier, elle m'a exposé sa conception très singulière de l'amour et comme d'habitude je me suis retrouvé à 100% dans sa pensée. Elle m'a aussi dit qu'elle me voyait un peu comme un reflet d'elle même, dans le sens où j'étais la personne dont elle se sentait le plus proche intellectuellement. Nous ne serons jamais en couple car on n'en a pas besoin, ça gâcherais un peu la singularité de cette relation. D'autant qu'elle a également pas mal insisté sur le fait qu'elle était très amoureuse de sa copine et que ça ne changerais jamais. Je lui ai annoncé ma décision de quitter Paris pour vivre à la campagne, elle en a eu les larmes aux yeux, comme si je l'abandonnais (alors qu'on se verra juste moins souvent, c'est pas un drame). On s'aime d'un amour harmonieux et sans ambiguïté qui se suffit à lui même. Mon expérience extatique sous ayahuasca m'aura appris le sens de la symbiose et la dissolution de mon ego qu'elle a impliqué m'a donné un contrôle sur mes désirs et mes émotions, me permettant de me recentrer sur ce qui importe vraiment.
D'abord je vais on ne peut mieux. L'expérience a laissé des traces mais que du positif. J'ai toujours des angoisses mais elle ont été redirigées de choses prosaïques de ma vie vers des paradoxes cosmiques qui me dépassent, ce qui est beaucoup plus facile à gérer. Je ressens une paix intérieure que je n'avais jamais connu et qui ne semble pas s'estomper et je le ressens aussi dans mes relations.
Ma relation avec cette fille qui me faisait tourner la tête a évolué. Nous sommes plus proches que jamais et je ressens une réciprocité très intense entre nous. Toutefois je ne la désire plus, comme si j'avais déjà tout ce que je pouvais désirer. Nous avons parlé de choses assez intimes hier, elle m'a exposé sa conception très singulière de l'amour et comme d'habitude je me suis retrouvé à 100% dans sa pensée. Elle m'a aussi dit qu'elle me voyait un peu comme un reflet d'elle même, dans le sens où j'étais la personne dont elle se sentait le plus proche intellectuellement. Nous ne serons jamais en couple car on n'en a pas besoin, ça gâcherais un peu la singularité de cette relation. D'autant qu'elle a également pas mal insisté sur le fait qu'elle était très amoureuse de sa copine et que ça ne changerais jamais. Je lui ai annoncé ma décision de quitter Paris pour vivre à la campagne, elle en a eu les larmes aux yeux, comme si je l'abandonnais (alors qu'on se verra juste moins souvent, c'est pas un drame). On s'aime d'un amour harmonieux et sans ambiguïté qui se suffit à lui même. Mon expérience extatique sous ayahuasca m'aura appris le sens de la symbiose et la dissolution de mon ego qu'elle a impliqué m'a donné un contrôle sur mes désirs et mes émotions, me permettant de me recentrer sur ce qui importe vraiment.
Invité- Invité
Re: L’angoisse de l’amour
Pas vraiment. Elle n'a pas mes défaut et je n'ai pas les siens, on a pas le même âge ni la même expérience de vie. Mais on a le même "système d'exploitation" on va dire, alors c'est fluide entre nous.
Invité- Invité
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