Le fétichisme d’obéissance…
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Le fétichisme d’obéissance…
Le fétichisme d’obéissance est une perversion sociale dans laquelle la personne perverse se soumet de corps et d’esprit envers une figure quelconque, réelle ou imaginaire, représentant l’autorité, que cette autorité soit légitime ou non.
La personne qui pratique ce genre d’acte pervers n’est pas consciente de sa perversion. Pour elle, il est tout à fait normal de se soumettre à toute figure qui pourrait être doté d’autorité. Elle croit même que sa soumission est un signe de respect envers toute l’humanité.
Le problème avec le fétichisme d’obéissance, c’est que c’est une perversion sociale. Pour rendre ce fétichisme tolérable en société, il faut soumettre tout le monde à la perversion. Parce que cette perversion est un jeu de type sexuel, ceux qui arrêtent ou ne veulent pas jouer, sont alors considérés comme des rabat-joies qu’il faut neutraliser à tout prix pour éviter de ne plus soi-même ressentir de gratification à jouer le jeu. Donc, ce fétichisme a aussi une dimension sexuelle.
Les personnes les plus perverties peuvent ressentir des orgasmes spontanés à l’idée de se mettre dans des situations où elles doivent se soumettre aux autres ou bien de forcer les autres à se soumettre à elles. Pour imposer ce genre de dynamique soumissionnaire/soumis à la société entière, ça prend une structure hiérarchique de type militaire, dans laquelle la cour martiale est remplacée par une médiocrité sans nom dont l’inefficacité redoutable a pour fondement la frustration mentale.
De fait, l’articulation déraisonnable et labyrinthique d’exploits fétichistes passés pour justifier la continuité permanente de ce jeu sexuel auprès des récalcitrants est une grande source de frustration pour les uns, mais une source immense de satisfaction sexuelle pour les autres. Ces rituels vexatoires se font dans des temples qu’on nomme « cours de justice ». L’érotisme judiciaire est en partie due au fait que la « justice », figure d’autorité suprême, n’est pas au courant des plaisir sexuels expérimentés par les fétichistes, car elle serait « aveugle ». En fait, la « justice » n’a jamais existé, c’est simplement une figure quelconque, imaginaire, dont la légitimité dépend de la soumission de tout le monde aux exploits fétichistes passés, qu’on nomme ici « jurisprudence ». La « loi » est alors un terme d’initié qui donne corps à divers fantasmes reliés à ce fétichisme. On peut aussi dire que la « loi » c’est la pornographie des « avocats », dont le nom viendrait de ce fruit ayant un aspect qui peut exciter plusieurs de ces pervers.
En terminant, faut pas oublier qu’en étant une perversion, le fétichisme d’obéissance est un vecteur de confusion morale. En brouillant le sens des mots « soumission » et « respect », cette perversion renforce les comportements dépravés de ces pervers de la société. Les thérapies pour guérir de ses déviances sexuelles peuvent être multiples. Mais, pour guérir de son fétichisme d’obéissance, une thérapie n’est pas appropriée. Parce qu’en se « soumettant » à une thérapie donnée, le fétichiste obéissant ne pourra jamais s’en sortir réellement. Il faudra donc d’user d’une astuce, que je nomme: déperversion. Pour dépervertir un fétichiste obéissant, il faut lui faire comprendre que le respect est en fait antithétique à la soumission. Le respect engendre la paix, mais la soumission engendre la frustration et la colère. En fait, l’expression de la frustration et de la colère peut engendrer une soumission. Alors que l’expression de la paix, elle, engendre le respect.
La personne qui pratique ce genre d’acte pervers n’est pas consciente de sa perversion. Pour elle, il est tout à fait normal de se soumettre à toute figure qui pourrait être doté d’autorité. Elle croit même que sa soumission est un signe de respect envers toute l’humanité.
Le problème avec le fétichisme d’obéissance, c’est que c’est une perversion sociale. Pour rendre ce fétichisme tolérable en société, il faut soumettre tout le monde à la perversion. Parce que cette perversion est un jeu de type sexuel, ceux qui arrêtent ou ne veulent pas jouer, sont alors considérés comme des rabat-joies qu’il faut neutraliser à tout prix pour éviter de ne plus soi-même ressentir de gratification à jouer le jeu. Donc, ce fétichisme a aussi une dimension sexuelle.
Les personnes les plus perverties peuvent ressentir des orgasmes spontanés à l’idée de se mettre dans des situations où elles doivent se soumettre aux autres ou bien de forcer les autres à se soumettre à elles. Pour imposer ce genre de dynamique soumissionnaire/soumis à la société entière, ça prend une structure hiérarchique de type militaire, dans laquelle la cour martiale est remplacée par une médiocrité sans nom dont l’inefficacité redoutable a pour fondement la frustration mentale.
De fait, l’articulation déraisonnable et labyrinthique d’exploits fétichistes passés pour justifier la continuité permanente de ce jeu sexuel auprès des récalcitrants est une grande source de frustration pour les uns, mais une source immense de satisfaction sexuelle pour les autres. Ces rituels vexatoires se font dans des temples qu’on nomme « cours de justice ». L’érotisme judiciaire est en partie due au fait que la « justice », figure d’autorité suprême, n’est pas au courant des plaisir sexuels expérimentés par les fétichistes, car elle serait « aveugle ». En fait, la « justice » n’a jamais existé, c’est simplement une figure quelconque, imaginaire, dont la légitimité dépend de la soumission de tout le monde aux exploits fétichistes passés, qu’on nomme ici « jurisprudence ». La « loi » est alors un terme d’initié qui donne corps à divers fantasmes reliés à ce fétichisme. On peut aussi dire que la « loi » c’est la pornographie des « avocats », dont le nom viendrait de ce fruit ayant un aspect qui peut exciter plusieurs de ces pervers.
En terminant, faut pas oublier qu’en étant une perversion, le fétichisme d’obéissance est un vecteur de confusion morale. En brouillant le sens des mots « soumission » et « respect », cette perversion renforce les comportements dépravés de ces pervers de la société. Les thérapies pour guérir de ses déviances sexuelles peuvent être multiples. Mais, pour guérir de son fétichisme d’obéissance, une thérapie n’est pas appropriée. Parce qu’en se « soumettant » à une thérapie donnée, le fétichiste obéissant ne pourra jamais s’en sortir réellement. Il faudra donc d’user d’une astuce, que je nomme: déperversion. Pour dépervertir un fétichiste obéissant, il faut lui faire comprendre que le respect est en fait antithétique à la soumission. Le respect engendre la paix, mais la soumission engendre la frustration et la colère. En fait, l’expression de la frustration et de la colère peut engendrer une soumission. Alors que l’expression de la paix, elle, engendre le respect.
Frédérique1- Messages : 102
Date d'inscription : 25/01/2019
Re: Le fétichisme d’obéissance…
Mais peut-être que macron est déjà au courant
Si edouard philippe veut une loi pour contrôler internet ( https://www.egaliteetreconciliation.fr/Censure-de-l-Internet-Edouard-Philippe-annonce-une-loi-avant-l-ete-53826.html ) c'est peut-être en grosse partie pour éviter de ridiculiser ce genre de perversions.
En terminant, pour ceux qui trouvent que la loi Schiappa sur la sexualité à l'école est perverse. Hé bien, vous avez bien raison! Puisque l'école est l'endroit où les jeunes apprennent la soumission à l'autorité, rien de plus normal que de améliorer la "sauce". Et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes (amphétamines, ritaline...)
Si edouard philippe veut une loi pour contrôler internet ( https://www.egaliteetreconciliation.fr/Censure-de-l-Internet-Edouard-Philippe-annonce-une-loi-avant-l-ete-53826.html ) c'est peut-être en grosse partie pour éviter de ridiculiser ce genre de perversions.
- Spoiler:
- J'ai aussi une autre hypothèse: en contrôlant les informations qui rentrent et qui sortent, le peuple Français sera captif. Et ça, la captivité, c'est tout un aphrodisiaque pour macron et philippe!
En terminant, pour ceux qui trouvent que la loi Schiappa sur la sexualité à l'école est perverse. Hé bien, vous avez bien raison! Puisque l'école est l'endroit où les jeunes apprennent la soumission à l'autorité, rien de plus normal que de améliorer la "sauce". Et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes (amphétamines, ritaline...)
Frédérique1- Messages : 102
Date d'inscription : 25/01/2019
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