Café broyé
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Re: Café broyé
St'ban a écrit:http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/mag_2001/mag1130/ps_4846_feng_shui.htm
Z'ont tout piqué à Yoda
Invité- Invité
Re: Café broyé
tu es "strauss" fort caecae
St'ban- Messages : 10478
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Re: Café broyé
Il jouait du piano debout, café corsé
St'ban- Messages : 10478
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Re: Café broyé
Un pianiste "et les gants "Hortense a écrit:Et du piano avec des gants, qui a déjà testé (à part moi, dans le noir) ?
St'ban- Messages : 10478
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Re: Café broyé
Oui entre autresHortense a écrit:Avec une queue de pie ?
St'ban- Messages : 10478
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Re: Café broyé
Triste anniversaire. Il pleut.
Des épreuves, personne n'est épargné. Mais certains, certaines en ont de plus difficiles que d'autres. Trop tôt dans leur vie, parfois.
On est bien impuissant devant la détresse d'autrui.
Dur à admettre.
Des épreuves, personne n'est épargné. Mais certains, certaines en ont de plus difficiles que d'autres. Trop tôt dans leur vie, parfois.
On est bien impuissant devant la détresse d'autrui.
Dur à admettre.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Avoir un problème avec les compliments.
Ne pas savoir les dire.
Ne pas savoir les recevoir.
Se demander si une part inconsciente de soi ne s'amuse pas à tout détruire en faisant juste ce qu'il ne faut pas faire, en disant juste ce qu'il ne faut pas dire.
Se faire traiter de "gaffeuse" depuis sa toute petite enfance et ne pas réussir à se débarrasser de ça.
Penser à tout ça. Vouloir changer. Ne pas savoir comment s'y prendre. Siroter un petit café pour faire passer l'amertume de ses ressentis.
Un café et l'addition.
Ne pas savoir les dire.
Ne pas savoir les recevoir.
Se demander si une part inconsciente de soi ne s'amuse pas à tout détruire en faisant juste ce qu'il ne faut pas faire, en disant juste ce qu'il ne faut pas dire.
Se faire traiter de "gaffeuse" depuis sa toute petite enfance et ne pas réussir à se débarrasser de ça.
Penser à tout ça. Vouloir changer. Ne pas savoir comment s'y prendre. Siroter un petit café pour faire passer l'amertume de ses ressentis.
Un café et l'addition.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Hortense. Si tu es face à une personne qui a une attente de toi. Que tu ne sais pas trop laquelle. Que tu tentes quelque chose, et que ça va pas : elle te tombe dessus. Tu tentes autre chose, ça va pas non plus, et rebelote. Et ainsi de suite.
Es-tu d'accord pour dire qu'on appelle ça une injonction paradoxale ?
Et que personne n'est réellement armé pour résister à ça...
Es-tu d'accord pour dire qu'on appelle ça une injonction paradoxale ?
Et que personne n'est réellement armé pour résister à ça...
Chuna- Messages : 22222
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Re: Café broyé
Hortense a écrit:Avoir un problème avec les compliments.
Ne pas savoir les dire.
Ne pas savoir les recevoir.
Se demander si une part inconsciente de soi ne s'amuse pas à tout détruire en faisant juste ce qu'il ne faut pas faire, en disant juste ce qu'il ne faut pas dire.
Se faire traiter de "gaffeuse" depuis sa toute petite enfance et ne pas réussir à se débarrasser de ça.
Penser à tout ça. Vouloir changer. Ne pas savoir comment s'y prendre. Siroter un petit café pour faire passer l'amertume de ses ressentis.
Un café et l'addition.
lorsque tu auras fait la paix avec toi même alors tout te paraitra plus simple
https://www.psycho-ressources.com/bibli/lacher-prise.html
Dernière édition par St'ban le Lun 20 Mai 2019 - 17:57, édité 1 fois
St'ban- Messages : 10478
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Re: Café broyé
J'y travaille. Par exemple, samedi soir, j'ai eu le cran de dessiner dans un musée. Ca faisait des années que ça me travaillait. D'autant que j'ai des difficultés pour fixer mon attention visuelle, j'ai tendance à zapper sans réussir à bien profiter des oeuvres.St'ban a écrit:lorsque tu auras fait la paix avec toi même alors tout te paraitra plus simple
Alors là, je me suis dit qu'il fallait me jeter à l'eau. Je me suis assise devant une sculpture qui m'inspirait et j'ai commencé à croquer le sujet. Je sentais les gens regarder par dessus mon épaule, et j'étais vraiment mal à l'aise, je me sentais nulle. Et je me suis forcée à écouter leurs commentaires, qui étaient finalement positifs alors que je me représentais plutôt des moqueries. Sur la fin, il y a même eu des personnes qui sont venues me parler.
Le même soir, ma fille a dit devant une tierce personne quelque chose comme "ma maman, c'est la meilleure" (en fait, je ne me souviens plus de ses mots, tellement je me braque intérieurement). Au lieu de réagir positivement et de la remercier comme il se doit, j'ai marmonné comme si elle m'avait insultée. Je suis bizarre, moi, parfois.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Apprendre à recevoir un compliment, c'est en effet tout un travail...
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Café broyé
Pour accepter un compliment, il faut soi-même le reconnaitre.
Si on le reconnait plus facilement chez les autres que chez soi même, c'est signe qu' on est plus (trop) exigeant avec soi même et qu'on ne s'accorde pas cette bienveillance qu'on accorde aux autres.
On ne peut pas se sentir reconnu si on ne s'autorise pas le droit d'être (très) imparfait.
Il faut arrêter de juger et de se juger.
C'est plus facile de s'accepter si on accepte les autres. Et si on accepte les autres, ils nous acceptent aussi plus facilement.
On a besoin de tolérance.
http://redpsy.com/infopsy/liberte.html
Si on le reconnait plus facilement chez les autres que chez soi même, c'est signe qu' on est plus (trop) exigeant avec soi même et qu'on ne s'accorde pas cette bienveillance qu'on accorde aux autres.
On ne peut pas se sentir reconnu si on ne s'autorise pas le droit d'être (très) imparfait.
Il faut arrêter de juger et de se juger.
C'est plus facile de s'accepter si on accepte les autres. Et si on accepte les autres, ils nous acceptent aussi plus facilement.
On a besoin de tolérance.
http://redpsy.com/infopsy/liberte.html
Invité- Invité
Re: Café broyé
Merci Hiron.
Je suis sûre que ton intervention servira à plusieurs personnes.
Je suis sûre que ton intervention servira à plusieurs personnes.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Il parait qu'il faudrait que je trouve des gens comme moi. Mais ils sont où ?
Invité- Invité
Re: Café broyé
Je ne broie pas que du café, finalement.
Car tout peut faire farine en mon moulin.
Cauchemars, rêves bizarres, rites initiatiques et délires en tout genre.
Réveil en sursaut. Je déteste être réveillée par un cauchemar. Mais quand même, pour quelqu'un qui était complètement bloquée au niveau des rêves, je peux me dire que c'est une bonne chose. Mon inconscient aurait donc cessé de me faire la tête ?
Mon train est dans dix minutes. Il ne faut pas que je le rate. J'ai mon billet mais où sont les quais ? Et le panneau d'affichage ? Et le composteur ? Et quel est ce papier que je dois donner... à qui d'ailleurs ? J'ai un train dans dix minutes. Pourquoi m'a-t-on chargé de cette mission ? J'ai une phobie administrative, je signale, d'abord. Et puis, dix minutes, c'est déjà court pour ne pas rater ce fichu train. Je verrai plus tard, pour le papier. J'aimerais bien qu'on cesse de charger la bourrique. Je vais demander mon chemin. Parce que dans dix minutes, mon train sera parti. J'arrive à un guichet, j'ouvre la bouche et il y a ce type. Il commence sa crise d'hystérie. Il se met à hurler des propos incohérents, il attire l'attention de tous, va jusqu'à s'évanouir. Je suis sûre qu'il l'a fait exprès. Je vais encore devoir me débrouiller seule. Qui est ce type ? Celui qui m'a pourri les plus belles années de ma vie ou un amalgame de plusieurs personnages malveillants ? Que reste-t-il de ces dix minutes, j'ai assez perdu de temps. Je n'ai pas le temps de m'interroger, je cours pour attraper le train... et je me réveille en sursaut.
Bon, j'y vais. Je sais qu'elle sera là. Je n'y vais pas pour elle, mais ça ne me déplairait pas de la voir. J'y vais pour un défi. Ca fait quelques années que j'y pense et que je recule. Là, c'est l'occasion, on m'offre du temps. Je ne pourrai pas partir avant la fin de la soirée, alors, c'est le moment de me lancer. Cette soirée a un air de rite initiatique. Il est temps que j'affronte quelques unes de mes peurs.
Tiens, la voilà. Elle est à la place d'honneur. Elle ne me fascine pas, mais c'est vrai qu'elle est sublime. Sûre d'elle. Hautaine. Séductrice. Elle ne compte plus ses admirateurs. Je remarque à peine sa rivale en longue robe de velours gris. Il faut dire qu'elle n'est pas mise à l'honneur.
Je me promène un peu, multiplie les rencontres. Je reviens vers elle. Toujours aussi sublime. Je m'éclipse derrière un admirateur et invoque sa magie: "s'il te plait, donne moi un peu de ton pouvoir" (peut-être que ça me servira dans le train, ou après ?). Elle refuse. Elle ne partage pas. Son ego est trop puissant. Et puis, je me sens mal. Honteuse. On me voit quémander. Qui suis-je pour espérer quoi que ce soit ?
Puisque c'est comme ça, je m'en vais.
Je le croise alors, lui. Il est beau, sans artifice. Il est à croquer. Il m'invite à m'asseoir et me laisse le dévorer des yeux. Il se laisse faire, me soufflant à l'oreille quelques mots doux. Je suis étonnée de tant de bienveillance. Je relève avec lui le défi que je m'étais fixée, puis le salue. Le temps passe trop vite auprès de lui. Je reviendrai. Pour lui, et pour celle en longue robe grise de velours.
Mais d'abord, je dois finir ce que j'ai entrepris. Je dois revenir vers elle. Je ne peux pas rester sur un échec. Je ne vais plus me cacher. Je vais l'affronter. Debout. D'accord, elle est plus grande que moi, et elle me regarde de haut. Mais je ne me laisserai pas faire. Je compte bien obtenir un peu de ce que je cherche. Je reste debout et m'active, face à elle. J'accomplis le rituel. C'est bien plus difficile qu'avec lui mais il m'a donné confiance. J'en viens à bout. Enfin, je n'obtiens pas grand chose. Elle n'allait pas se laisser faire comme ça. Pourtant, ce que j'obtiens ne lui retire rien, elle pourrait se montrer plus généreuse. Je reviendrai pour une deuxième manche. J'espère obtenir davantage.
Je suis satisfaite. Il est temps de partir. Un regret. Je pensais avoir davantage de temps. A mon grand étonnement, la soirée est passée très vite. Je voulais m'attarder auprès de celle en longue robe de velours grise. M'excuser auprès d'elle pour ne pas lui avoir accordé davantage d'attention. Je reviendrais pour elle. Elle est tout ce que j'admire. Elle n'est pas séduisante, elle est belle.
Elle est patience.
Elle est opiniâtreté.
Elle est effort.
Elle est labeur.
Elle est loyauté.
Elle est fidélité.
Elle est pardon.
Elle est amour.
Pourquoi n'est-elle pas reconnue pour toutes ses vertus ? Pourquoi est-ce sa rivale qui fascine ? Etre amoureux a-t-il donc plus de valeur qu'aimer vraiment, sincèrement, profondément ? Je suis perplexe.
Car tout peut faire farine en mon moulin.
Cauchemars, rêves bizarres, rites initiatiques et délires en tout genre.
Réveil en sursaut. Je déteste être réveillée par un cauchemar. Mais quand même, pour quelqu'un qui était complètement bloquée au niveau des rêves, je peux me dire que c'est une bonne chose. Mon inconscient aurait donc cessé de me faire la tête ?
Mon train est dans dix minutes. Il ne faut pas que je le rate. J'ai mon billet mais où sont les quais ? Et le panneau d'affichage ? Et le composteur ? Et quel est ce papier que je dois donner... à qui d'ailleurs ? J'ai un train dans dix minutes. Pourquoi m'a-t-on chargé de cette mission ? J'ai une phobie administrative, je signale, d'abord. Et puis, dix minutes, c'est déjà court pour ne pas rater ce fichu train. Je verrai plus tard, pour le papier. J'aimerais bien qu'on cesse de charger la bourrique. Je vais demander mon chemin. Parce que dans dix minutes, mon train sera parti. J'arrive à un guichet, j'ouvre la bouche et il y a ce type. Il commence sa crise d'hystérie. Il se met à hurler des propos incohérents, il attire l'attention de tous, va jusqu'à s'évanouir. Je suis sûre qu'il l'a fait exprès. Je vais encore devoir me débrouiller seule. Qui est ce type ? Celui qui m'a pourri les plus belles années de ma vie ou un amalgame de plusieurs personnages malveillants ? Que reste-t-il de ces dix minutes, j'ai assez perdu de temps. Je n'ai pas le temps de m'interroger, je cours pour attraper le train... et je me réveille en sursaut.
***
Bon, j'y vais. Je sais qu'elle sera là. Je n'y vais pas pour elle, mais ça ne me déplairait pas de la voir. J'y vais pour un défi. Ca fait quelques années que j'y pense et que je recule. Là, c'est l'occasion, on m'offre du temps. Je ne pourrai pas partir avant la fin de la soirée, alors, c'est le moment de me lancer. Cette soirée a un air de rite initiatique. Il est temps que j'affronte quelques unes de mes peurs.
Tiens, la voilà. Elle est à la place d'honneur. Elle ne me fascine pas, mais c'est vrai qu'elle est sublime. Sûre d'elle. Hautaine. Séductrice. Elle ne compte plus ses admirateurs. Je remarque à peine sa rivale en longue robe de velours gris. Il faut dire qu'elle n'est pas mise à l'honneur.
Je me promène un peu, multiplie les rencontres. Je reviens vers elle. Toujours aussi sublime. Je m'éclipse derrière un admirateur et invoque sa magie: "s'il te plait, donne moi un peu de ton pouvoir" (peut-être que ça me servira dans le train, ou après ?). Elle refuse. Elle ne partage pas. Son ego est trop puissant. Et puis, je me sens mal. Honteuse. On me voit quémander. Qui suis-je pour espérer quoi que ce soit ?
Puisque c'est comme ça, je m'en vais.
Je le croise alors, lui. Il est beau, sans artifice. Il est à croquer. Il m'invite à m'asseoir et me laisse le dévorer des yeux. Il se laisse faire, me soufflant à l'oreille quelques mots doux. Je suis étonnée de tant de bienveillance. Je relève avec lui le défi que je m'étais fixée, puis le salue. Le temps passe trop vite auprès de lui. Je reviendrai. Pour lui, et pour celle en longue robe grise de velours.
Mais d'abord, je dois finir ce que j'ai entrepris. Je dois revenir vers elle. Je ne peux pas rester sur un échec. Je ne vais plus me cacher. Je vais l'affronter. Debout. D'accord, elle est plus grande que moi, et elle me regarde de haut. Mais je ne me laisserai pas faire. Je compte bien obtenir un peu de ce que je cherche. Je reste debout et m'active, face à elle. J'accomplis le rituel. C'est bien plus difficile qu'avec lui mais il m'a donné confiance. J'en viens à bout. Enfin, je n'obtiens pas grand chose. Elle n'allait pas se laisser faire comme ça. Pourtant, ce que j'obtiens ne lui retire rien, elle pourrait se montrer plus généreuse. Je reviendrai pour une deuxième manche. J'espère obtenir davantage.
Je suis satisfaite. Il est temps de partir. Un regret. Je pensais avoir davantage de temps. A mon grand étonnement, la soirée est passée très vite. Je voulais m'attarder auprès de celle en longue robe de velours grise. M'excuser auprès d'elle pour ne pas lui avoir accordé davantage d'attention. Je reviendrais pour elle. Elle est tout ce que j'admire. Elle n'est pas séduisante, elle est belle.
Elle est patience.
Elle est opiniâtreté.
Elle est effort.
Elle est labeur.
Elle est loyauté.
Elle est fidélité.
Elle est pardon.
Elle est amour.
Pourquoi n'est-elle pas reconnue pour toutes ses vertus ? Pourquoi est-ce sa rivale qui fascine ? Etre amoureux a-t-il donc plus de valeur qu'aimer vraiment, sincèrement, profondément ? Je suis perplexe.
Invité- Invité
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: Café broyé
@ Lore: oui, ça me parle mais je ne comprends pas tout.
@ Caecae: en pleine tempête... le calme revient toujours.
@ Caecae: en pleine tempête... le calme revient toujours.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Bah non, un double i c'est moins amical qu'un y. Détail, détail, mais je ne vois que ça.
« Roger ! Je vais te prendre un triple expresso très serré, je crois. »
(PS : Pour une raison inconnue, les patrons de café s'appellent souvent Roger.)
« Roger ! Je vais te prendre un triple expresso très serré, je crois. »
(PS : Pour une raison inconnue, les patrons de café s'appellent souvent Roger.)
Invité- Invité
Re: Café broyé
.
.
Un double i c'est le contraire d'un oubli?
(Ô double i de la pluie...)
.
Un double i c'est le contraire d'un oubli?
(Ô double i de la pluie...)
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: Café broyé
.
.
Amusant, j'aime beaucoup prendre la route de Binii
.
Amusant, j'aime beaucoup prendre la route de Binii
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: Café broyé
Un voilier à vapeur.
Dernière édition par Caecae le Mar 21 Mai 2019 - 21:40, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Café broyé
Un bikini, c'est deux kini. Ca fait kini-kini. C'est carrément trop. Faut enlever la moitié, donc monokini. Le compte est bon.
Mais double o aussi.
Ca fait oo
Les yeux de Caecae !
Mais double o aussi.
Ca fait oo
Les yeux de Caecae !
Invité- Invité
Re: Café broyé
.
.
Si tu prends par là, tu peux en effet aller à Sex Noir et Sex Rouge au Nord!
https://www.google.com/maps/place/Route+de+Binii,+1965+Savi%C3%A8se,+Suisse/@46.2805894,7.3202582,13z/data=!4m5!3m4!1s0x478edda48ab2649b:0x2430ff554c204ce2!8m2!3d46.2554913!4d7.3407717
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Si tu prends par là, tu peux en effet aller à Sex Noir et Sex Rouge au Nord!
https://www.google.com/maps/place/Route+de+Binii,+1965+Savi%C3%A8se,+Suisse/@46.2805894,7.3202582,13z/data=!4m5!3m4!1s0x478edda48ab2649b:0x2430ff554c204ce2!8m2!3d46.2554913!4d7.3407717
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: Café broyé
Coaecoae ?
Coaiecoaie ?
@Lorelei : Hum, la géographie helvète est étonnante.
Coaiecoaie ?
@Lorelei : Hum, la géographie helvète est étonnante.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Co-aïe co-aïe, ce sont des dommages collatéraux. Quand les deux interlocuteurs disent "aïe" !
Invité- Invité
Re: Café broyé
Tu vois, ça fait aïe, pas aïe-aïe. Ou alors faut tester dans une très grande salle vide, avec l'écho, ça peut marcher.
Les co, l'écho...
Bon sang, mais c'est bien sûr !
Les co, l'écho...
Bon sang, mais c'est bien sûr !
Invité- Invité
Re: Café broyé
Je vis à 100 km de la côte, je ne vois pas ce que je pourrais faire de ton bateau...
Invité- Invité
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