Café broyé

Je vis à 100 km de la côte, je ne vois pas ce que je pourrais faire de ton bateau...

Caecae a écrit:Je vis à 100 km de la côte, je ne vois pas ce que je pourrais faire de ton bateau...

Un abri, en le renversant, comme le firent les vikings ?

Une tiny house ?
Parce que tu n'iras pas mettre ta vedette sur la mare à Goriaux.

Y'en a qui mettent du temps à voir les choses, dites donc !

Les mecs, dès qu'une femme vous parle de ***, vous plongez. Abrutis que vous êtes (je vous aime bien quand même mais bon, faites gaffe).

Pourquoi plongent-ils ?

Il faut regarder vers le ciel pour voir les étoiles, pas vers le sol.

Je doute qu'ils regardent au bon endroit...
Comme cette belle en longue robe de velours grise reléguée dans un coin...

Un café, d'accord, mais un cappuccino. Sinon rien.

Ca marche !
Deux cappuccinos (je le bois avec toi).

Avec plaisir

Je suis contente d'apprendre à te connaître, Plouffe.

C'est gentil. Moi aussi, je suis ravie de faire ta connaissance.

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Et si tu la réalisais, cette longue robe de velours gris?

A tes mesures, pour la porter toi-même?

Tu plaisantes ? J'aurais l'air d'une ânesse.

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   C'était ma très sérieuse interprétation de ton rêve.

(mais tu viens de m'en donner une autre : cette robe, tu la portes déjà... sur ZC!)

Elle est mieux que moi. Mais je lui ressemble un peu (ne serait-ce que dans ma fascination pour l'aiguille et l'opiniâtreté).

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Elle est mieux que toi...
Elle est peut-être juste comme les autres pourraient te voir après être revenus de leur aveuglement premier, hypnotisés par une beauté superficielle ; comme tu te verrais si tu ne te connaissais pas (si je puis dire).

Oui, peut-être.

Bonne journée, Hortense !

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Les phénomènes calorifiques dans les marmites des sorcières restent un domaine plein de mystères.

Et Plouffe ! Tombée dans le kawa !...

Rhhhoooo ! Mais j'ai droit à plus de 6 mots !!!
J'voudrais bien un café allongée siouplé… avec un pitit vers d'O…

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Allongée, le café, passe encore ; mais cette histoire d'O n'a pas l'air dans le style de la maison...

Saxi, tu exagères. Il faut t'installer un sofa pour que tu puisses prendre ton café ? A la mode de la Rome antique ?
C'est vraiment parce que c'est toi...



et



Je trouve que t'as pas mal de grains, quand même. Je dis ça, je dis rien... mais je le dis quand même...

Tu feras gaffe à ne pas renverser.

Ha cool !! Merci Hortense !
Par contre on m'a déjà dit que j'avais un grain, certes, mais autant, je ne pensais pas…

Ah ? C'est peut-être de la projection de ma part (heureusement qu'on n'est pas limité à six mots).

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(je n'ose pas imaginer combien Hortense m'en attribuerait...)

On fait un concours ?!

Lorelei:

Ce qui me fait broyer aujourd'hui, c'est d'avoir cassé le robinet du bac de récupération d'eau de pluie. Le stress de devoir trouver une solution en urgence. Pas trouvé de pince pour refermer. Finalement, un bouchon de liège a fait l'affaire. Mais zut, c'est de l'adrénaline et je ne supporte définitivement plus la moindre sécrétion d'adrénaline. C'est assez (dit la baleine) pour broyer un peu.

Qui c'est-y qui parle de grains ici ?!?

Y'en a pour toi, on ne t'a pas oublié. D'ailleurs, sur mon étagères de flacons et bocaux de potions, tu as dû remarquer... le bocal de "grains de folie". Si jamais tu en manques...

Je pense que je suis plus producteur que consommateur de ceux-là.

Si je tombe en panne, je t'appellerai.
Il y a peu de risque, ceci dit. Mon PIB en la matière est un peu... inquiétant ?

Ronchonnerie du jour: les chaussettes.

Je n'aime pas les chaussettes. Soit ça tire, soit il y a des plis. Mes pieds n'arrivent pas à être heureux dans des chaussettes. Quant aux chaussures, je ne vous en parle même pas... "Chaussure" rime avec "torture".

Mais voilà, sans chaussettes, on a froid aux pieds. A part pendant la canicule. Du coup, la canicule a de bon côté, podologiquement parlant.

Si on pouvait remplacer les trottoirs par des plages de sable fin...

Oui, interdit d'interdire les pieds nus.
Enfin, j'ai froid aux pieds, moua.

Comment faire pour les pieds?

Fabuleuses fabulettes. Une bouillotte, pour les petons frigorifiés ?

Parfois, on broie sans mots.

soirée nic-nac en vue

Ti café bien noir avant de dormir pour moi.

Je vais me faire une perfu de robusta pour ma part.

Réveil nocturne.

1h30. Chouette, je me suis endormie tôt. Pas grave d'être réveillée. Un verre d'eau, un pipi et Morphée reviendra bientôt. Enfin, j'espère. Après une telle journée, j'ai besoin de dormir encore. C'est évident.

Il y a des gens qui laissent une impression étrange.
Quelque chose de nauséabond.
Je le sens encore.
Pas uniquement pour quelques crayons malencontreusement rangés au mauvais endroit. Volés, peut-être ?
Peut-être le choix des couleurs. Lugubre ?
Ou l'ego surdimensionné. Malsain ?
Seule certitude: le malaise.

Le sentiment que quelque chose se passe dans la pièce voisine. Quelque chose de grave. Mais quoi ? Je vais voir les pots. Les inspecter un à un. Ici, ils sont en sécurité. Normalement. Mon regard s'arrête sur celui du persil. Il avait levé pourtant. Je suis sûre que les graines avaient germées, je l'ai constaté hier soir. Je ne vois plus que deux jeunes pousses, c'est impossible.
Le prédateur est là, presque invisible. Il a tout dévoré, dévasté. Immonde gastéropode. Je me venge, le détruis à main nue et me nettoie ensuite, écoeurée.

Je vais pouvoir dormir, le danger est passé. J'essaie. Je n'y parviens pas. Le danger est encore là. Je me lève plusieurs fois et j'inspecte, encore et encore. Et soudain, se détachant sur la tige innocente d'un plant de concombre, le prédateur est là. Immonde gastéropode. Ultime menace d'un jardin dépressif. Objet de tous mes cauchemars du printemps et de l'été. Je lui réserve le même sort qu'à son compagnon d'orgie.

Et moi, il faut que je parte d'ici.

Il faut que je parte, vite !

De l'air, j'étouffe !

Il faut que je parte.

Un petit café pour Morphée qui ne vient pas. Pourvu qu'il ne s'endorme pas, oubliant ainsi la visite qu'il me doit...

Paradoxe...

Il a le droit de dormir, mais seulement avec moi. Na !

D'accord. Moi, je dors pas avec Morphée, je préfère Antonio (l'est un peu énervé, là, mais tellement beau) :

Merci Plouffe.

C'est l'histoire d'une femme, appelons-la Hortense par exemple, qui fait des gâteaux. Elle met les blancs d'oeufs au réfrigérateur pour qu'ils refroidissent pendant qu'elle bat les jaunes d'oeufs avec le sucre. Et elle oublie les blancs d'oeufs qu'il fallait battre en neige.
Quand elle sort le gâteau du four, elle s'étonne qu'il soit aussi raplapla.
Alors, elle recommence le gâteau.
Sacrée Hortense, t'as bien besoin d'un bon café, toi.

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Tu as réussi un fantastique moelleux je parie...

Ah oui, double dose de blancs en neige, pour le deuxième. En version gâteau au citron avec du lemon curd maison par dessus. Ca a fait plaisir à la personne concernée.

L'autre gâteau était un empilement gâteau noisette/ mousse au chocolat/ gâteau noisette/ mousse au chocolat. Délicieux avec une bonne tasse de café.

Que de vaisselle après ça...