Once upon a time
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siamois93
The Wise Duck
Elferia
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Once upon a time
Au commencement, cette décision qui n'était pas mienne de faire ce voyage.
C'est un déchirement.
Pourquoi vivre pour mourir. Pourquoi connaître la séparation, la douleur, la dualité.
Pourquoi personne n'entend les pleurs de mon âme.
Je n'aime pas la nuit où un flot d'inquiétudes intarissable s'abat sur moi.
Et j'aime encore moins le jour, où mes sourires viennent recouvrir d'un voile opaque mes plaies béantes.
Ceci dit, s'acclimater n'est pas compliqué.
Les règles du jeu sont saugrenues, mais il faut reconnaître que j'ai eu une plutôt bonne pioche.
Dans le doute, je souris. Encore, et toujours. J'ai remarqué à quel point le sourire est une arme redoutable.
Je décide d'en faire mon arme de prédilection et de l'utiliser à outrance.
Et puis si une quelconque émotion pointe le bout de son nez, il suffit de l'étouffer ou de l'ignorer.
De toute façon les autres ne mesurent pas leur intensité,
Et s'il s'agit d'une inquiétude, aucune réponse n'est capable de m'apaiser.
D'apparence rien ne va mal, tout va bien.
Qui suis-je au fait ?
Mais est-ce-vraiment important, du moment que je ne suis pas seule.
Je décide de me concentrer sur les besoins des autres, et d'y répondre. Facile.
Je me façonne pour ne pas faire de vague, ne pas être démasquée.
Je consolide ce mur imperméable et indestructible qui me sépare de mon être.
De tant en tant je m'y cogne mais la douleur est supportable.
Et puis, si je me concentre sur la douleur des autres, je n'entend plus la mienne. Vraiment facile.
Jusqu'à ce que la vie en décide autrement.
La vie de jeune adulte secoue beaucoup plus que prévu mon radeau rafistolé à coup de scotch double face.
Mes peurs sont devenues des angoisses et elles remontent à la surface sans prévenir.
Je suis désarçonnée. Je bois la tasse.
Les relations humaines sont beaucoup trop compliquées pour moi.
Alors j'observe, et je fais semblant. Mais c'est une épreuve de chaque instant.
J'ai l'impression d'être un poisson qui essaye de monter à un arbre.
De l'extérieur, ça passe plutôt bien, mais à l'intérieur, je suis écorchée.
Décidément, la vie s'en donne vraiment à coeur joie.
Mes plus grosses craintes deviennent réalité.
Je me raccroche à ce que la société croit être bon pour moi. Elle n'a surement pas tord.
De toute façon, j'ai brulé ma propre carte et j'ai jeté ma boussole à la mer il y a bien longtemps de ça.
Je réussis bien à faire semblant.
Je me crois intouchable, mais sans en avoir conscience, je ne fais pas face aux ouragans et aux tempêtes.
Mon corps commence à vouloir me prévenir qu'il y a un soucis.
Je l'écoute à moitié. Je traite les problèmes en surface.
Mais c'est qu'ils sont récurrents.
Je fais semblant d'être épanouie, mais c'est une façade.
Et puis en fait je n'y arrive pas. Je n'y arrive plus.
Mon mur de béton armé commence à s'effriter...
Je perds pied.
Je ne comprends pas.
Je me raccroche toujours à ce qui me permet de faire semblant en société.
Ce n'est plus un radeau, c'est un bout de bois.
Je commence à vouloir déconstruire mon mur.
J'évolue à deux vitesses.
Tantôt je revêts mon masque, tantôt je poursuis ma quête spirituelle.
Je cherche des indices, je fais des rencontres, je remets doucement les pièces du puzzle dans le bon sens.
J'apprends à faire ma connaissance, je m'apprivoise...
Mais plus j'avance, plus mon masque devient douloureux. Je ne le supporte plus.
...
Ou bien c'est moi que je ne supporte plus.
La vérité est douloureuse, elle remet en question toutes mes constructions et certitudes.
J'entends des échos de dépression, de burn-out...
N'importe quoi ! Ce n'est pas moi. Je ne suis pas comme ça.
Moi, je suis un être social qui rayonne de par son sourire et qui arrive à raconter aux autres ce qu'ils veulent entendre (facile).
Autant me mettre des bâtons dans les roues.
Quelle idée de se mettre en quête aussi. Je ne sais plus quoi inventer.
J'ai honte.
Mais pourtant, cette douleur, elle est réelle ?!
Mon corps continue de m'envoyer des signaux, je n'arrive plus à le déchiffrer.
Je suis fatiguée.
A tel point que je me perds. Je ne sais plus ce qui est vrai, de ce qui est faux.
Qui suis-je au fait ? Ah oui, c'est vrai, je ne l'ai jamais su.
Je me sens coincée. Je panique. J'étouffe. Je m'en veux.
Je suis en colère contre moi.
J'ai envie de tout envoyer balader, à commencer par mon travail et mon ami.
Il faudrait que je saute dans l'océan ? Je vais me noyer.
Mais si je saute, je perds tout ?
Finalement, je suis bien, accrochée à mon bout de bois.
Quand le soleil brille, il ferait même presque bon.
Ai-je un réel intérêt à le quitter .
Certes c'est inconfortable, j'attrape des crampes et je bois la tasse,
Mais c'est tout ce que j'ai toujours connu. Et puis, ça reste supportable.
Et pourquoi toute cette histoire en fait ?
C'est d'un ennui ... d'un superficiel ...
Ah, oui. C'est vrai, au commencement, ce déchirement.
------------
A toutes, à tous.
Bonsoir.
Je suis désolée de vous balancer en pleine figure cet exutoire, que je risque de regretter dès que j'aurai appuyé sur le bouton envoyer.
Je ne sais pas si ce texte peut faire office de "présentation" ; mais je ne saurais quoi dire d'autre, si ce n'est que là, à cet instant précis, j'ai la sensation d'avoir joué un rôle depuis ma naissance et d'être une figurante dans le film de ma vie. (Soit 27 ans de jeu d'actrice, je suis étonnée de n'avoir toujours pas été invitée à la remise des Césars)
Je ne sais pas ce que je cherche en postant ce message. En premier lieu, je souhaitais surtout démêler ce qui me passait dans la tête (ça partait d'une intention d'aller à la rencontre d'une énième émotion désagréable).
Je remercie au passage mon très cher égo qui a trouvé ce subterfuge d'écriture pour éviter d'être trop déstabilisé dans les profondeurs de mon corps émotionnel ...
Ceci étant dit, merci de votre patience / de votre bienveillance.
C'est un déchirement.
Pourquoi vivre pour mourir. Pourquoi connaître la séparation, la douleur, la dualité.
Pourquoi personne n'entend les pleurs de mon âme.
Je n'aime pas la nuit où un flot d'inquiétudes intarissable s'abat sur moi.
Et j'aime encore moins le jour, où mes sourires viennent recouvrir d'un voile opaque mes plaies béantes.
Ceci dit, s'acclimater n'est pas compliqué.
Les règles du jeu sont saugrenues, mais il faut reconnaître que j'ai eu une plutôt bonne pioche.
Dans le doute, je souris. Encore, et toujours. J'ai remarqué à quel point le sourire est une arme redoutable.
Je décide d'en faire mon arme de prédilection et de l'utiliser à outrance.
Et puis si une quelconque émotion pointe le bout de son nez, il suffit de l'étouffer ou de l'ignorer.
De toute façon les autres ne mesurent pas leur intensité,
Et s'il s'agit d'une inquiétude, aucune réponse n'est capable de m'apaiser.
D'apparence rien ne va mal, tout va bien.
Qui suis-je au fait ?
Mais est-ce-vraiment important, du moment que je ne suis pas seule.
Je décide de me concentrer sur les besoins des autres, et d'y répondre. Facile.
Je me façonne pour ne pas faire de vague, ne pas être démasquée.
Je consolide ce mur imperméable et indestructible qui me sépare de mon être.
De tant en tant je m'y cogne mais la douleur est supportable.
Et puis, si je me concentre sur la douleur des autres, je n'entend plus la mienne. Vraiment facile.
Jusqu'à ce que la vie en décide autrement.
La vie de jeune adulte secoue beaucoup plus que prévu mon radeau rafistolé à coup de scotch double face.
Mes peurs sont devenues des angoisses et elles remontent à la surface sans prévenir.
Je suis désarçonnée. Je bois la tasse.
Les relations humaines sont beaucoup trop compliquées pour moi.
Alors j'observe, et je fais semblant. Mais c'est une épreuve de chaque instant.
J'ai l'impression d'être un poisson qui essaye de monter à un arbre.
De l'extérieur, ça passe plutôt bien, mais à l'intérieur, je suis écorchée.
Décidément, la vie s'en donne vraiment à coeur joie.
Mes plus grosses craintes deviennent réalité.
Je me raccroche à ce que la société croit être bon pour moi. Elle n'a surement pas tord.
De toute façon, j'ai brulé ma propre carte et j'ai jeté ma boussole à la mer il y a bien longtemps de ça.
Je réussis bien à faire semblant.
Je me crois intouchable, mais sans en avoir conscience, je ne fais pas face aux ouragans et aux tempêtes.
Mon corps commence à vouloir me prévenir qu'il y a un soucis.
Je l'écoute à moitié. Je traite les problèmes en surface.
Mais c'est qu'ils sont récurrents.
Je fais semblant d'être épanouie, mais c'est une façade.
Et puis en fait je n'y arrive pas. Je n'y arrive plus.
Mon mur de béton armé commence à s'effriter...
Je perds pied.
Je ne comprends pas.
Je me raccroche toujours à ce qui me permet de faire semblant en société.
Ce n'est plus un radeau, c'est un bout de bois.
Je commence à vouloir déconstruire mon mur.
J'évolue à deux vitesses.
Tantôt je revêts mon masque, tantôt je poursuis ma quête spirituelle.
Je cherche des indices, je fais des rencontres, je remets doucement les pièces du puzzle dans le bon sens.
J'apprends à faire ma connaissance, je m'apprivoise...
Mais plus j'avance, plus mon masque devient douloureux. Je ne le supporte plus.
...
Ou bien c'est moi que je ne supporte plus.
La vérité est douloureuse, elle remet en question toutes mes constructions et certitudes.
J'entends des échos de dépression, de burn-out...
N'importe quoi ! Ce n'est pas moi. Je ne suis pas comme ça.
Moi, je suis un être social qui rayonne de par son sourire et qui arrive à raconter aux autres ce qu'ils veulent entendre (facile).
Autant me mettre des bâtons dans les roues.
Quelle idée de se mettre en quête aussi. Je ne sais plus quoi inventer.
J'ai honte.
Mais pourtant, cette douleur, elle est réelle ?!
Mon corps continue de m'envoyer des signaux, je n'arrive plus à le déchiffrer.
Je suis fatiguée.
A tel point que je me perds. Je ne sais plus ce qui est vrai, de ce qui est faux.
Qui suis-je au fait ? Ah oui, c'est vrai, je ne l'ai jamais su.
Je me sens coincée. Je panique. J'étouffe. Je m'en veux.
Je suis en colère contre moi.
J'ai envie de tout envoyer balader, à commencer par mon travail et mon ami.
Il faudrait que je saute dans l'océan ? Je vais me noyer.
Mais si je saute, je perds tout ?
Finalement, je suis bien, accrochée à mon bout de bois.
Quand le soleil brille, il ferait même presque bon.
Ai-je un réel intérêt à le quitter .
Certes c'est inconfortable, j'attrape des crampes et je bois la tasse,
Mais c'est tout ce que j'ai toujours connu. Et puis, ça reste supportable.
Et pourquoi toute cette histoire en fait ?
C'est d'un ennui ... d'un superficiel ...
Ah, oui. C'est vrai, au commencement, ce déchirement.
------------
A toutes, à tous.
Bonsoir.
Je suis désolée de vous balancer en pleine figure cet exutoire, que je risque de regretter dès que j'aurai appuyé sur le bouton envoyer.
Je ne sais pas si ce texte peut faire office de "présentation" ; mais je ne saurais quoi dire d'autre, si ce n'est que là, à cet instant précis, j'ai la sensation d'avoir joué un rôle depuis ma naissance et d'être une figurante dans le film de ma vie. (Soit 27 ans de jeu d'actrice, je suis étonnée de n'avoir toujours pas été invitée à la remise des Césars)
Je ne sais pas ce que je cherche en postant ce message. En premier lieu, je souhaitais surtout démêler ce qui me passait dans la tête (ça partait d'une intention d'aller à la rencontre d'une énième émotion désagréable).
Je remercie au passage mon très cher égo qui a trouvé ce subterfuge d'écriture pour éviter d'être trop déstabilisé dans les profondeurs de mon corps émotionnel ...
Ceci étant dit, merci de votre patience / de votre bienveillance.
Dernière édition par Elferia le Lun 28 Sep 2020 - 0:46, édité 2 fois
Elferia- Messages : 50
Date d'inscription : 27/09/2020
Re: Once upon a time
Bonsoir Elferia
Et bienvenue !
J'aime bien cette présentation, explicative s'il en est !
Le fait d'écrire cette présentation est un petit pas à la rencontre de toi-même, qui sera suivi par d'autres petits pas. La vie n'est qu'une suite de petits pas, et de grands aussi, suivis d'une période d'intégration en général, mais ça avance.
En tout cas je te souhaite le meilleur, sur TON chemin.
Et bienvenue !
J'aime bien cette présentation, explicative s'il en est !
La construction qui te permet de "passer" aux yeux des autres peut se modifier au fur et à mesure de ton affirmation de qui tu es ! Doucement bien sûr car le système de con-préhension des "normaux-pensants" est très limité dans ce domaine.Mais c'est tout ce que j'ai toujours connu. Et puis, ça reste supportable.
Le fait d'écrire cette présentation est un petit pas à la rencontre de toi-même, qui sera suivi par d'autres petits pas. La vie n'est qu'une suite de petits pas, et de grands aussi, suivis d'une période d'intégration en général, mais ça avance.
En tout cas je te souhaite le meilleur, sur TON chemin.
Invité- Invité
Re: Once upon a time
Soit la bienvenue zèbryenne Elferia !
En ce forum de mots, d'idées et de rêves,
Que tous les tiens viennent naviguer sans trêves,
Qu'un jour tu puisses connaitre cette Elferia.
PS : l'autre côté d'un masque est aussi un masque ; l'esprit dévore les masques pas l'inverse.
En ce forum de mots, d'idées et de rêves,
Que tous les tiens viennent naviguer sans trêves,
Qu'un jour tu puisses connaitre cette Elferia.
PS : l'autre côté d'un masque est aussi un masque ; l'esprit dévore les masques pas l'inverse.
The Wise Duck- Messages : 208
Date d'inscription : 27/08/2020
Localisation : Entre 3 et 4 réalités.
Re: Once upon a time
Et mes pires craintes deviennent réalité... je finis par me demander si ce n’est pas cela la vie : affronter ce qui nous terrifie le plus, encore et encore, jusqu’à découvrir l’acceptation et la confiance pour enfin pouvoir passer au niveau suivant (supérieur?). Courage dans ta quête
J043947.08+163415.7- Messages : 4440
Date d'inscription : 01/08/2019
Age : 49
Localisation : La tête dans les étoiles
Re: Once upon a time
Je me reconnais pas mal dans ce que tu as écrit, mais à présent, je ne souris plus. J'suis quinquagénaire, ça explique des choses.
J'ai été un soleil aussi, et j'aimais ça. Je ne sais plus le faire ou peut être qu'avec la compréhension des choses, j'ai changé tout simplement.
La vie m'a appris qu'on est souvent à la recherche d'autres personnes pour trouver de l'aide, mais qu'on ne la trouve qu'en soi. Il y a des indices venant des autres, ça oui, mais la solution est toujours sienne. C'est ce que je crois en tout cas.
Poser les mots est toujours utile par contre. Ça tente d'aller au plus vrai, ça farfouille pour être juste, et se faisant, malgré tout, on finit par avancer.
Bienvenue à toi.
J'ai été un soleil aussi, et j'aimais ça. Je ne sais plus le faire ou peut être qu'avec la compréhension des choses, j'ai changé tout simplement.
La vie m'a appris qu'on est souvent à la recherche d'autres personnes pour trouver de l'aide, mais qu'on ne la trouve qu'en soi. Il y a des indices venant des autres, ça oui, mais la solution est toujours sienne. C'est ce que je crois en tout cas.
Poser les mots est toujours utile par contre. Ça tente d'aller au plus vrai, ça farfouille pour être juste, et se faisant, malgré tout, on finit par avancer.
Bienvenue à toi.
Bimbang- Messages : 6444
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: Once upon a time
Hello,
Je n'ai pas l'impression de lire des scripts de figurants, même si j'entends et peux comprendre le sentiment exprimé par cette image de rôle de remplissage. J'ai plutôt le sentiment pas désagréable d'apercevoir des fragments de diverses versions de travail d'un réalisateur en pleine remise en question, qui hésite si garder tout ou partie des éléments, les ré-agencer, tout balancer pour repartir sur une nouvelle base,...
Bienvenue, et au plaisir de te lire plus, sous quelque format que se soit.
Je n'ai pas l'impression de lire des scripts de figurants, même si j'entends et peux comprendre le sentiment exprimé par cette image de rôle de remplissage. J'ai plutôt le sentiment pas désagréable d'apercevoir des fragments de diverses versions de travail d'un réalisateur en pleine remise en question, qui hésite si garder tout ou partie des éléments, les ré-agencer, tout balancer pour repartir sur une nouvelle base,...
Bienvenue, et au plaisir de te lire plus, sous quelque format que se soit.
Topsy Turvy- Messages : 8350
Date d'inscription : 10/01/2020
Re: Once upon a time
Merci à tous pour vos doux messages.
Je suis d'accord. L'écriture est un très bel exercice. Mais je trouve ça d'un compliqué...
C'est comme vouloir faire une capture écran d'une vidéo. Les mots viennent figer et parfois même atténuer des émotions qui sont tout sauf constantes.
Et ensuite parce qu'écrire c'est savoir distinguer, reconnaître et assumer ce qu'on ressent : autant dire que ça représente une épreuve d'envergure pour moi.
D'ailleurs, je m'étonne de ne pas avoir supprimé mon post dès le lendemain matin ; et vous constaterez qu'il m'aura fallu une semaine pour trouver le courage de venir consulter vos réponses.
Je suis satisfaite d'avoir fait ce petit pas supplémentaire sur le chemin de l'acceptation de soi !
Je suis d'accord. L'écriture est un très bel exercice. Mais je trouve ça d'un compliqué...
C'est comme vouloir faire une capture écran d'une vidéo. Les mots viennent figer et parfois même atténuer des émotions qui sont tout sauf constantes.
Et ensuite parce qu'écrire c'est savoir distinguer, reconnaître et assumer ce qu'on ressent : autant dire que ça représente une épreuve d'envergure pour moi.
D'ailleurs, je m'étonne de ne pas avoir supprimé mon post dès le lendemain matin ; et vous constaterez qu'il m'aura fallu une semaine pour trouver le courage de venir consulter vos réponses.
Je suis satisfaite d'avoir fait ce petit pas supplémentaire sur le chemin de l'acceptation de soi !
Elferia- Messages : 50
Date d'inscription : 27/09/2020
Re: Once upon a time
Bonsoir Eiferia,
Beaucoup de résonances ...
j’espère avoir d’autres occasions lire de nouvelles captures d’écrans,
D’ici là bonne continuation sur le chemin ..
Beaucoup de résonances ...
j’espère avoir d’autres occasions lire de nouvelles captures d’écrans,
D’ici là bonne continuation sur le chemin ..
Billie- Messages : 133
Date d'inscription : 27/09/2020
Age : 47
Re: Once upon a time
J'voulais dire un truk mais j'ai vite compris que ce n'était pas enKor le moment.
Joyeuse crise des 27...
Joyeuse crise des 27...
l_Empereur- Messages : 684
Date d'inscription : 22/03/2020
Age : 102
Localisation : ici
Re: Once upon a time
l_Empereur a écrit:J'voulais dire un truk mais j'ai vite compris que ce n'était pas enKor le moment.
Joyeuse crise des 27...
Tu piques ma curiosité !
Elferia- Messages : 50
Date d'inscription : 27/09/2020
Re: Once upon a time
oh ben euh....
Je vis dans un monde ou j'vois des choses que les autre refusent de voir mais, ils sont souvent bien content quand j'm'en sert sans qu'il le sachent et que personne n'y comprenne absolument rien.
https://drive.google.com/file/d/1YGT9W-Ci9Rygv-C7SZVGUYIn5zmuPJvA/view?usp=sharing
(Moi Premier est mort car j'ai du m'en séparé. Il était trop égocentrique.)
à 27 ans, j'étais comme ça :
(leRomS, j'voudrais bien m'en débarrasser mais, c'est compliqué puisque je n'ai pas refait d'autre Personnage pour le "remplacer")
C'que j'voulais dire devait surement ressembler un peu à ça :
Comment ça? Moi, parler de manière trop imagé?
mais non voyons...
Je vis dans un monde ou j'vois des choses que les autre refusent de voir mais, ils sont souvent bien content quand j'm'en sert sans qu'il le sachent et que personne n'y comprenne absolument rien.
https://drive.google.com/file/d/1YGT9W-Ci9Rygv-C7SZVGUYIn5zmuPJvA/view?usp=sharing
(Moi Premier est mort car j'ai du m'en séparé. Il était trop égocentrique.)
à 27 ans, j'étais comme ça :
(leRomS, j'voudrais bien m'en débarrasser mais, c'est compliqué puisque je n'ai pas refait d'autre Personnage pour le "remplacer")
C'que j'voulais dire devait surement ressembler un peu à ça :
Comment ça? Moi, parler de manière trop imagé?
mais non voyons...
l_Empereur- Messages : 684
Date d'inscription : 22/03/2020
Age : 102
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