Parcelle ou synthèse de ma vie

Lorsque je suis né m'a vie était déjà sous contrôle, je fus premier en toutors de la petite enfance et ne connaissait nul problème.
Je fus choyé par beaucoup de personnes, mais je ne m'attendais pas qu'à 27 ans après un voyage en Thaïlande déplorable et suicidaire, on me diagnostic schizophrêne, pour cette même dîte cause, le suicide.
Plusieurs fois je failli perdre la vie et plusieurs fois je me relevais de scénario plus que catastrophiques.
Puis à l' aube de mon enterrement, j'avais 27 ans, plus personne n'osa fréquenter un malade, alors tous s'éloignèrent, me laissant face à face avec la maladie et son inexorable conclusion, la mort à venir, la véritable mort, la réclusion de ma conscience, l'effacement de mes souvenirs.

Un jour vint mon frère qui au cours d'une de nos conversations dit: cette maladie c'est le combat de ta vie...
Alors je décidais à me vouer à la connaissance et cela pendant de longues années, les minutes s'effaçaient comme l'on tourne les pages d'un livre le soir, seul dans son lit à méditer sur chacune des paroles qui pouvaient y être inscrites.
J'essayais tant bien que mal de maintenir ma tête hors de l'eau, bien que je fus tenté de me tuer souvent à cause des désagréments médicamenteux, soit dit en passant que les neuroleptiques ne sont pas des médicaments, car il ne soigne pas, mais sur cela j'abrègerais... Donc je lu et lu encore nbre d'ouvrage d'un autre temps en même temps que je mnadonnais à la peinture, me faisant oublier l'exécrable réalité dans laquelle je tentais misérablement de me survivre, oui en ce temps il n'y avait que moi et rien d'autres que moi.
Mille fois je vainquis la maladie et mon nom fut balbutié aux lèvres des plus puissants et des plus sages.
J'entrepris dans l'obscurité l'ascension de ma propre condition, gagner un peu d'argent et rendre fiers mes parent furent mes leitmotiv principaux, je leur avais donné tant de souci que je me sentais redevable et qu'égayer leurs visages devint mon plus grand bonheur, tous étaient impressionnés de par mes progrès rapides, que mes efforts soutenus avait produits.
Mon père mourra d'un cancer en 2010, février peut être mars, ma mère mourut je ne me souviens plus.

La vie à partir de ce moment s'abrogea et perclus de sombres fléaux, plein de ténèbres et d'horreurs, vinrent à exhumer du monde des vivants leurs faces d'ogres !
J'en suis maintenant à la torture, par la trop grande abondance des ondes hertziennes et de la polarisation de tout ce qui est magnétiques comme les cartes magnétiques des hôtels, lorsque l'inversion des polarité, me rend captatif à toutes sortes de systèmes électriques, des fois ma tête est déformé, mon ventre bousillé.
J'ai écourté cette abominable romance car j'ai vainement voulu y inscrire l'horreur qui aujourd'hui me submerge.
Plusieurs femmes ont participé à cette extrême violence à laquelle je suis exposé aujourd'hui.
Il y a bien sûr un deal, celui d'être publique en passant par le biais de la musique, croyant que de me plonger dans l'effervescence d'une grande ville, puisse laver, par de vulgaires plaisirs, la saloperie que le pouvoir politico médiatique à produit.

Mais mes pires consternations ce sont ces idéologies, d'ailleurs très mal comprises ou fausses, comme le pragmatisme, qui a été créé par un américain du nom de, désolé je ne me souviens plus du nom, son livre qu'est ce que le pragmatisme de Charles Sanders Peirce. C'est revenu..
Où la théorie de l'évolution de Charles Darwin et l'idéologie du réalisme que Karl Marx trouva utopique et irréalisable, forcent certaines personnes à se comporter comme des animaux orduriers., afin de rejoindre cette pseudo unicité.