Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
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MetalMonkey
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Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Bonjour. J'ai reçu il y a quelques jours un bilan neurospy', après avoir passé le WAIS IV. Pour elle, je ne suis ni concerné par les TSA, ni par la douance.
Alors certes la neuropsy : n'avait jamais eu d'autres patients avant moi (je suis le tout premier de sa carrière), elle n'a pas l'air d'avoir été spécialement formée au sujet des TSA, elle m'a d'emblée dit qu'il ne fallait pas "vouloir rentrer dans une case" (peu importe si cela me permettait d'obtenir une RQTH voire une allocation adulte handicapé, et pour me faciliter les choses au boulot. Et ne parlons même pas d'alléger un peu mon syndrome de l'imposteur), elle semblait avoir des idées un peu arrêtées. Mais mon résultat est : QI hétérogène évalué à 103 mais non-significatif, probablement à cause de ma dyspraxie. Et en effet, en visuo-spatial, ça se voit que j'en ch**, car je suis à un seuil pathologiquement bas pour cela. Par contre, je suis un spécialiste de la communication verbale (133). Cela dit, elle parle du fait que j'ai probablement énormément compensé.
Par contre, sans me prévenir, elle a "évalué mon degré d'autisme", estimé à 2/14 donc pas de TSA selon elle. Mais j'ai pas passé de test sur ça et j'étais même pas prévenu (cela dit, cela permet de rester naturel, peut-être, du coup?). On est sur du déclaratif et de l'interprétation de sa part. Et si je caricature fortement, en gros : "Vous ne vous balancez pas d'avant en arrière, alors vous n'êtes pas autiste.". Je discutais avec mon ami dont le petit frère est effectivement autiste (et même relativement "lourdement"). Pourtant, ils ont rencontré nombre de professionnels qui disaient : "Mais non, il n'est pas autiste ! " en se basant sur des observations dans une situation donnée, durant laquelle la personne avait un bon "passing normal". Comme si feindre la normalité, ou l'imiter, cela signifiait qu'au fond, on était normal !
Enfin voilà où j'en suis : c'est le deuxième test de WAIS que je fais de ma vie. Des pros, des gens qui ont fait des études à ce sujet, me disent avec des chiffres à l'appui, que je ne suis ni "surdoué", ni concerné par les TSA. Je sais que je veux, narcissiquement, "faire partie" de ces groupes sociaux que je trouve valorisants. Également parce qu'à force de rassembler des informations là-dessus, je suis dans un biais de confirmation qui me met peut-être des oeillères. Mais alors...pourquoi est-ce qu'en termes de ressenti, j'ai l'impression d'avoir autant d'accroches et d'éléments de ressemblance avec des gens diagnostiqués Asperger, voire surdoués? Pourquoi a-t-on autant de points communs? Pourquoi la plupart des ressources telles que Une psy à la maison, les vidéos de Carlos de Tinocco, les trucs que j'ai lus (y compris le bouquin de Jeanne Siaud-Facchin, oui...) me parlent autant? Que j'ai l'impression d'être enfin compris? Que l'on me donne les clefs de mon fonctionnement, enfin? Que c'est "là où j'appartiens"?
Et le test de WAIS ne m'a pas donné l'impression d'évaluer deux choses : la créativité dont je peux faire preuve, et surtout, ma "puissance" de réflexion : je comprends, pour peu que j'aie le bagage théorique minimalement requis et que je ne sois pas noyé dans mes propres émotions ou saturé par des stimuli en apparence anodins, je comprends très vite des concepts plutôt complexes. Pas besoin de les répéter. Et je vais toujours aller dénicher "le" truc qui dépasse. Même si la personne présentée et/ou placée (parfois par elle-même, telle qu'un enseignant d'université) est reconnue pour son savoir, je vais mettre très vite le doigt sur ses contradictions théoriques et logiques, agaçant à force de triturer, voire insécurisant alors que c'est par jeu, par plaisir intellectuel, et aussi pour "réparer une imposture" ou ce que je considère être une erreur. Ça, ça n'a pas été évalué, et pourtant, pour peu que cela m'intéresse, j'ai l'impression qu'intellectuellement, je largue la grande majorité des gens dès que j'accélère le rythme. Que je me restreins et suis frustré intellectuellement, lassé de devoir socialement ménager leur ego, ne pas les insécuriser. Je trouve tellement souvent que l'on piétine, là où je trouve très vite des solutions (exemple : j'arrive avant les autres à une conclusion qu'ils mettent parfois des heures à atteindre en réunion...mais je me tais, parce que "c'est pas mon rôle" et que l'on m'a plusieurs fois tapé sur les doigts à ce sujet, que ce soit en milieu scolaire, universitaire, ou professionnel).
Serait-il possible que je sois un cas ultra-particulier (ou bien très banal, ce qui, je le sais, m'effraie, moi qui ai eu pour stratégie de survie par la différenciation pour grappiller un peu d'attention et de reconnaissance auprès des adultes quand j'étais enfant, et dont j'ai sans doute "de beaux restes" aujourd'hui) : une personne neurotypique trop étrange pour être neurotypique, mais pas non plus neuroatypique? Un spécialiste du verbal? Mais en ce cas, comment expliquer le fait que j'aie parfois l'impression que pour peu que j'y trouve du sens, je peux tout faire (bon, sauf monter une brouette en deux minutes, anecdote réelle ! - sauf ce qui fait appel au "bricolage" en termes d'action, alors que je peux conceptualiser des astuces pratiques en ce sens, parfois, et que j'ai même "inventé" des choses en termes de concepts et parfois de certains éléments de fonctionnement - ) ? Exemple : j'avais été rangé dans la case des "littéraires et non matheux". Alors comment cela se fait qu'en une semaine de cours particuliers, j'allais si vite, fusant dans mes opérations et raisonnements, que je larguais mon enseignant, qui avait pourtant été prof de maths, et qui me demandait de ralentir?
Tout cela nourrit mon syndrome de l'imposteur. Je suis encore plus paumé. Je voulais vous le dire. J'ai pensé à me désinscrire d'ici et d'un autre forum, parce que je me disais : "Mais si je suis pas surdoué ou autre, et que cela a quand même été diagnostiqué par deux tests et professionnelles, je prends peut-être la place et l'espace de parole de gens qui le sont? Surtout que je crois que plus on est intelligent, et plus on a tendance à douter...?". Je suis perdu, profondément.
Alors certes la neuropsy : n'avait jamais eu d'autres patients avant moi (je suis le tout premier de sa carrière), elle n'a pas l'air d'avoir été spécialement formée au sujet des TSA, elle m'a d'emblée dit qu'il ne fallait pas "vouloir rentrer dans une case" (peu importe si cela me permettait d'obtenir une RQTH voire une allocation adulte handicapé, et pour me faciliter les choses au boulot. Et ne parlons même pas d'alléger un peu mon syndrome de l'imposteur), elle semblait avoir des idées un peu arrêtées. Mais mon résultat est : QI hétérogène évalué à 103 mais non-significatif, probablement à cause de ma dyspraxie. Et en effet, en visuo-spatial, ça se voit que j'en ch**, car je suis à un seuil pathologiquement bas pour cela. Par contre, je suis un spécialiste de la communication verbale (133). Cela dit, elle parle du fait que j'ai probablement énormément compensé.
Par contre, sans me prévenir, elle a "évalué mon degré d'autisme", estimé à 2/14 donc pas de TSA selon elle. Mais j'ai pas passé de test sur ça et j'étais même pas prévenu (cela dit, cela permet de rester naturel, peut-être, du coup?). On est sur du déclaratif et de l'interprétation de sa part. Et si je caricature fortement, en gros : "Vous ne vous balancez pas d'avant en arrière, alors vous n'êtes pas autiste.". Je discutais avec mon ami dont le petit frère est effectivement autiste (et même relativement "lourdement"). Pourtant, ils ont rencontré nombre de professionnels qui disaient : "Mais non, il n'est pas autiste ! " en se basant sur des observations dans une situation donnée, durant laquelle la personne avait un bon "passing normal". Comme si feindre la normalité, ou l'imiter, cela signifiait qu'au fond, on était normal !
Enfin voilà où j'en suis : c'est le deuxième test de WAIS que je fais de ma vie. Des pros, des gens qui ont fait des études à ce sujet, me disent avec des chiffres à l'appui, que je ne suis ni "surdoué", ni concerné par les TSA. Je sais que je veux, narcissiquement, "faire partie" de ces groupes sociaux que je trouve valorisants. Également parce qu'à force de rassembler des informations là-dessus, je suis dans un biais de confirmation qui me met peut-être des oeillères. Mais alors...pourquoi est-ce qu'en termes de ressenti, j'ai l'impression d'avoir autant d'accroches et d'éléments de ressemblance avec des gens diagnostiqués Asperger, voire surdoués? Pourquoi a-t-on autant de points communs? Pourquoi la plupart des ressources telles que Une psy à la maison, les vidéos de Carlos de Tinocco, les trucs que j'ai lus (y compris le bouquin de Jeanne Siaud-Facchin, oui...) me parlent autant? Que j'ai l'impression d'être enfin compris? Que l'on me donne les clefs de mon fonctionnement, enfin? Que c'est "là où j'appartiens"?
Et le test de WAIS ne m'a pas donné l'impression d'évaluer deux choses : la créativité dont je peux faire preuve, et surtout, ma "puissance" de réflexion : je comprends, pour peu que j'aie le bagage théorique minimalement requis et que je ne sois pas noyé dans mes propres émotions ou saturé par des stimuli en apparence anodins, je comprends très vite des concepts plutôt complexes. Pas besoin de les répéter. Et je vais toujours aller dénicher "le" truc qui dépasse. Même si la personne présentée et/ou placée (parfois par elle-même, telle qu'un enseignant d'université) est reconnue pour son savoir, je vais mettre très vite le doigt sur ses contradictions théoriques et logiques, agaçant à force de triturer, voire insécurisant alors que c'est par jeu, par plaisir intellectuel, et aussi pour "réparer une imposture" ou ce que je considère être une erreur. Ça, ça n'a pas été évalué, et pourtant, pour peu que cela m'intéresse, j'ai l'impression qu'intellectuellement, je largue la grande majorité des gens dès que j'accélère le rythme. Que je me restreins et suis frustré intellectuellement, lassé de devoir socialement ménager leur ego, ne pas les insécuriser. Je trouve tellement souvent que l'on piétine, là où je trouve très vite des solutions (exemple : j'arrive avant les autres à une conclusion qu'ils mettent parfois des heures à atteindre en réunion...mais je me tais, parce que "c'est pas mon rôle" et que l'on m'a plusieurs fois tapé sur les doigts à ce sujet, que ce soit en milieu scolaire, universitaire, ou professionnel).
Serait-il possible que je sois un cas ultra-particulier (ou bien très banal, ce qui, je le sais, m'effraie, moi qui ai eu pour stratégie de survie par la différenciation pour grappiller un peu d'attention et de reconnaissance auprès des adultes quand j'étais enfant, et dont j'ai sans doute "de beaux restes" aujourd'hui) : une personne neurotypique trop étrange pour être neurotypique, mais pas non plus neuroatypique? Un spécialiste du verbal? Mais en ce cas, comment expliquer le fait que j'aie parfois l'impression que pour peu que j'y trouve du sens, je peux tout faire (bon, sauf monter une brouette en deux minutes, anecdote réelle ! - sauf ce qui fait appel au "bricolage" en termes d'action, alors que je peux conceptualiser des astuces pratiques en ce sens, parfois, et que j'ai même "inventé" des choses en termes de concepts et parfois de certains éléments de fonctionnement - ) ? Exemple : j'avais été rangé dans la case des "littéraires et non matheux". Alors comment cela se fait qu'en une semaine de cours particuliers, j'allais si vite, fusant dans mes opérations et raisonnements, que je larguais mon enseignant, qui avait pourtant été prof de maths, et qui me demandait de ralentir?
Tout cela nourrit mon syndrome de l'imposteur. Je suis encore plus paumé. Je voulais vous le dire. J'ai pensé à me désinscrire d'ici et d'un autre forum, parce que je me disais : "Mais si je suis pas surdoué ou autre, et que cela a quand même été diagnostiqué par deux tests et professionnelles, je prends peut-être la place et l'espace de parole de gens qui le sont? Surtout que je crois que plus on est intelligent, et plus on a tendance à douter...?". Je suis perdu, profondément.
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Salut Nevromon,
Je n’ose pas imaginer la détresse dans laquelle tu es. De ma petite fenêtre, tu cherchais une place, une appartenance et tu pensais l’avoir trouvée dans le groupe Hp et/asperger et patatra ... la neuropsy vient de t’enlever tes espoirs.
Déjà sur le fait de rester ici : il ne me semble pas qu’il faille poster un Scan de son test pour valider son inscription.
Prendre la place de quelqu’un ? Bah ... il y a de la place pour tout le monde hein ...
Ta façon de fonctionner, les points communs que tu identifies avec les hp et asperger ... ils n’ont pas l’exclusivité de ces façons de fonctionner. Ça se retrouve chez d’autres personnes aussi.
Alors soit on raisonne en groupe d’appartenance (bof, c’est un peu clanique), soit on raisonne en ressentis. Et tes ressentis ont parfaitement leur place ici. Perso, que tu sois identifié hp ou pas ne me fait ni chaud ni froid. Ce qui compte c’est qu’on puisse discuter, échanger.
Les tests ne sont qu’un éclairage, tu en attendais une identification légitimisée à un groupe pour avoir une grille de lecture (les hp fonctionnent comme ci, comme ça).
Visiblement ce n’est pas le cas. Mais ce n’est pas la fin de ton monde.
Je n’ose pas imaginer la détresse dans laquelle tu es. De ma petite fenêtre, tu cherchais une place, une appartenance et tu pensais l’avoir trouvée dans le groupe Hp et/asperger et patatra ... la neuropsy vient de t’enlever tes espoirs.
Déjà sur le fait de rester ici : il ne me semble pas qu’il faille poster un Scan de son test pour valider son inscription.
Prendre la place de quelqu’un ? Bah ... il y a de la place pour tout le monde hein ...
Ta façon de fonctionner, les points communs que tu identifies avec les hp et asperger ... ils n’ont pas l’exclusivité de ces façons de fonctionner. Ça se retrouve chez d’autres personnes aussi.
Alors soit on raisonne en groupe d’appartenance (bof, c’est un peu clanique), soit on raisonne en ressentis. Et tes ressentis ont parfaitement leur place ici. Perso, que tu sois identifié hp ou pas ne me fait ni chaud ni froid. Ce qui compte c’est qu’on puisse discuter, échanger.
Les tests ne sont qu’un éclairage, tu en attendais une identification légitimisée à un groupe pour avoir une grille de lecture (les hp fonctionnent comme ci, comme ça).
Visiblement ce n’est pas le cas. Mais ce n’est pas la fin de ton monde.
MetalMonkey- Messages : 104
Date d'inscription : 02/01/2021
Age : 44
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
L'intelligence "pratique", "du quotidien", est très mal évaluée par les tests qui, ne l'oublions pas, étaient à la base conçus pour comprendre les difficultés d'apprentissage des enfants. Pas pour se trouver une communauté en tout cas !
D'ailleurs, à ce sujet, mon exemple personnel te rassurera peut-être (ou pas ^^) : testée et validée, je ne me reconnais que rarement dans les HPI que je côtoie. L'écart est juste moins important qu'avec les autres. Mais je cherche encore ma tribu.
Ne te préoccupe pas des étiquettes : tous les profils ne sont pas facilement "étiquetables", le fonctionnement du cerveau est très largement plus complexe que ce que peuvent laisser penser certaines lectures...
Trouve le moyen de valoriser tes compétences, rapproche-toi de ceux avec qui tu t'entends, tu te sens bien. Tu peux aussi essayer de travailler les problèmes liés à la dyspraxie (ta neuropsy doit normalement pouvoir d'aiguiller).
Edit : à la relecture, je me trouve un peu "yaka yaka"... j'en suis désolée, essaye d'aller au-delà du ton...
D'ailleurs, à ce sujet, mon exemple personnel te rassurera peut-être (ou pas ^^) : testée et validée, je ne me reconnais que rarement dans les HPI que je côtoie. L'écart est juste moins important qu'avec les autres. Mais je cherche encore ma tribu.
Ne te préoccupe pas des étiquettes : tous les profils ne sont pas facilement "étiquetables", le fonctionnement du cerveau est très largement plus complexe que ce que peuvent laisser penser certaines lectures...
Trouve le moyen de valoriser tes compétences, rapproche-toi de ceux avec qui tu t'entends, tu te sens bien. Tu peux aussi essayer de travailler les problèmes liés à la dyspraxie (ta neuropsy doit normalement pouvoir d'aiguiller).
Edit : à la relecture, je me trouve un peu "yaka yaka"... j'en suis désolée, essaye d'aller au-delà du ton...
Invité- Invité
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Salut,
Y a des professionnels qui considèrent que tu es dans la case HP dès lors qu'un seul des 4 indices est dans la tranche des 130.
Combien as-tu eu en IRP, si ce n'est pas indiscret (est-ce vraiment très très bas pour être considéré comme "pathologique" )? Un trouble dys, peut être ?
Y a des professionnels qui considèrent que tu es dans la case HP dès lors qu'un seul des 4 indices est dans la tranche des 130.
Combien as-tu eu en IRP, si ce n'est pas indiscret (est-ce vraiment très très bas pour être considéré comme "pathologique" )? Un trouble dys, peut être ?
L945834- Messages : 88
Date d'inscription : 12/01/2018
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Merci à vous.
MetalMonkey : c'est pas facile, d'essayer de se détacher de cette idée qu'une "autorité supérieure" pourrait m'attribuer le divin césame, le laissez-passer de la différence. C'est un deuil à faire de ma part, peut-être.
Wyrdwynn : Je ne savais pas que cette intelligence "du quotidien" n'est pas bien évaluée. Je pense cependant que dans mon cas, il s'agirait plus de capacité et de vitesse à comprendre, retranscrire et retransmettre, ainsi qu'établir des ressemblances et des causalités. Je ne sais pas si je fonctionne "par arborescence", mais j'utilise plus ou moins consciemment pas mal les synergies entre les savoirs et les disciplines. D'ailleurs, quand celles-ci sont compartimentées, comme cela peut être le cas dans le milieu universitaire, cela me déplaît.
Merci pour ton apport : je dois dire que je m'attendais pas à ce qu'une personne "validée" (hop, le tampon de la douane, suivante ! ) n'ait pas forcément l'impression de se sentir pour autant proche des personnes partageant un diagnostic semblable. Je crois que c'est une pensée un peu infantile, ou en tout cas naïve et magique, de ma part : comme si le diagnostic éventuel était censé me changer moi et automatiquement atténuer mes difficultés d'intégration sociale !
Je pense me pencher sur ma dyspraxie, mais ce n'est pas remboursé. Pas pour tout de suite. Et non, je ne te trouve pas directive : plutôt directe, je dirais.
L945834 : sais-tu sur quoi ces professionnels se basent-ils pour établir qu'un seul des quatre indices peut selon eux permettre de "ranger dans la case HP" une personne (je ne sais pas comment exprimer cela finement, désolé pour la formulation bancale de ma phrase)? Est-ce un "simple choix professionnel" de leur part?
Je t'en prie, je n'aurais pas créé ce sujet et n'en dirais plus ou moins en filigrane pas autant de moi-même ici ou dans d'autres sections, si je voulais rester discret.
En IRP, j'ai eu 80 ("moyenne faible"), décomposé en :
-"Cubes : 4 (Pathologique)"
-"Matrices : 9 (Norme)"
-"Puzzles visuels : 7 (Moyenne faible)".
MetalMonkey : c'est pas facile, d'essayer de se détacher de cette idée qu'une "autorité supérieure" pourrait m'attribuer le divin césame, le laissez-passer de la différence. C'est un deuil à faire de ma part, peut-être.
Wyrdwynn : Je ne savais pas que cette intelligence "du quotidien" n'est pas bien évaluée. Je pense cependant que dans mon cas, il s'agirait plus de capacité et de vitesse à comprendre, retranscrire et retransmettre, ainsi qu'établir des ressemblances et des causalités. Je ne sais pas si je fonctionne "par arborescence", mais j'utilise plus ou moins consciemment pas mal les synergies entre les savoirs et les disciplines. D'ailleurs, quand celles-ci sont compartimentées, comme cela peut être le cas dans le milieu universitaire, cela me déplaît.
Merci pour ton apport : je dois dire que je m'attendais pas à ce qu'une personne "validée" (hop, le tampon de la douane, suivante ! ) n'ait pas forcément l'impression de se sentir pour autant proche des personnes partageant un diagnostic semblable. Je crois que c'est une pensée un peu infantile, ou en tout cas naïve et magique, de ma part : comme si le diagnostic éventuel était censé me changer moi et automatiquement atténuer mes difficultés d'intégration sociale !
Je pense me pencher sur ma dyspraxie, mais ce n'est pas remboursé. Pas pour tout de suite. Et non, je ne te trouve pas directive : plutôt directe, je dirais.
L945834 : sais-tu sur quoi ces professionnels se basent-ils pour établir qu'un seul des quatre indices peut selon eux permettre de "ranger dans la case HP" une personne (je ne sais pas comment exprimer cela finement, désolé pour la formulation bancale de ma phrase)? Est-ce un "simple choix professionnel" de leur part?
Je t'en prie, je n'aurais pas créé ce sujet et n'en dirais plus ou moins en filigrane pas autant de moi-même ici ou dans d'autres sections, si je voulais rester discret.
En IRP, j'ai eu 80 ("moyenne faible"), décomposé en :
-"Cubes : 4 (Pathologique)"
-"Matrices : 9 (Norme)"
-"Puzzles visuels : 7 (Moyenne faible)".
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Pour certains pros c'est un indice au-dessus de 130, pour d'autres deux. Après, selon les pays le seuil de la douance est à 125. Dans d'autres contrées la moyenne est à 108 (Hong Kong si ma mémoire est bonne) si comparée à celle de la France. Le seuil de 130 est apposé symétriquement au seuil de 70 en deçà duquel on considère un sujet déficient intellectuellement. Toutes ces choses sont purement conventionnelles, totalement arbitraires (oui je sais je fais dans l'enculage de mouche) et sont là exclusivement parce qu'il faut bien mettre des repères quelque part pour s'y retrouver.
Donc relativisons.
Après, Névromon, ton décalage peut s'expliquer par ton ICV à 133, donc bien au-dessus de la moyenne. Et cela suffit amplement pour que tu te retrouves dans les propos des gens que tu cites. Tu es doté de capacités très supérieures à la moyenne des gens de ton âge dans le domaine verbal (manipulation de concepts abstraits, établissement de liens, compréhension, richesse lexicale, etc...), ce qui n'est pas rien.
Mesure bien l'écart, la plupart des gens (caricaturalement) font autour de 100 à l'ICV. Tu es à 133, c'est loin devant !
Alors quand tu as des difficultés à te faire comprendre des autres, que l'intensité dans les échanges ne te satisfait pas, il est "normal" (ah ah) que tu te sentes (très) proche des surdoués et possiblement dans une moindre mesure des Asperger.
Et puis ceci :
Alors, loin de moi l'idée de poser un diag en lieu et place d'un professionnel, que je ne suis pas, il n'en reste pas moins que ton seul "score" à l'ICV implique que tu as des capacités hors norme dans quelques domaines bien corrélés à l'intelligence générale. Et de fait, ça peut expliquer en partie ton sentiment de décalage.
Donc relativisons.
Après, Névromon, ton décalage peut s'expliquer par ton ICV à 133, donc bien au-dessus de la moyenne. Et cela suffit amplement pour que tu te retrouves dans les propos des gens que tu cites. Tu es doté de capacités très supérieures à la moyenne des gens de ton âge dans le domaine verbal (manipulation de concepts abstraits, établissement de liens, compréhension, richesse lexicale, etc...), ce qui n'est pas rien.
Mesure bien l'écart, la plupart des gens (caricaturalement) font autour de 100 à l'ICV. Tu es à 133, c'est loin devant !
Alors quand tu as des difficultés à te faire comprendre des autres, que l'intensité dans les échanges ne te satisfait pas, il est "normal" (ah ah) que tu te sentes (très) proche des surdoués et possiblement dans une moindre mesure des Asperger.
Et puis ceci :
L'ICV mesure une partie de cela, aux similitudes par exemples, relevant ta capacité à faire des liens logiques en monopolisant tes capacités d'induction et de déduction.Et le test de WAIS ne m'a pas donné l'impression d'évaluer deux choses : la créativité dont je peux faire preuve, et surtout, ma "puissance" de réflexion
Alors, loin de moi l'idée de poser un diag en lieu et place d'un professionnel, que je ne suis pas, il n'en reste pas moins que ton seul "score" à l'ICV implique que tu as des capacités hors norme dans quelques domaines bien corrélés à l'intelligence générale. Et de fait, ça peut expliquer en partie ton sentiment de décalage.
Jean-Claude Inconvenant- Messages : 690
Date d'inscription : 04/12/2020
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Je sais que je donne, trouve, souvent les mots pour la plupart des gens que j'ai croisé, les aide à formuler leurs pensées, à clarifier, voire à organiser et articuler l'expression de leurs idées (ce n'est pas pour rien que j'ai à de multiples reprises pensé à travailler dans l'enseignement. D'ailleurs, durant les situations dans lesquelles j'étais en position d'apprendre des choses à une personne unique ou non, cela se passait très bien, et mettait à certaines personnes des petites loupiotes dans les yeux, ce qui est chou et rassérénant).
Je trouve par contre souvent que la plupart des gens "parle mal", notamment en utilisant un mot plutôt qu'un autre. Et en termes de vocabulaire des émotions, je trouve que l'emploi qui en est fait pour les exprimer, cet emploi est souvent pauvre, et vraiment limité.
Merci également, Jean-Claude Inconvenant (c'est drôle à écrire, ça). Cela m'apporte plus d'éclairages et de réconfort encore.
Je trouve par contre souvent que la plupart des gens "parle mal", notamment en utilisant un mot plutôt qu'un autre. Et en termes de vocabulaire des émotions, je trouve que l'emploi qui en est fait pour les exprimer, cet emploi est souvent pauvre, et vraiment limité.
Merci également, Jean-Claude Inconvenant (c'est drôle à écrire, ça). Cela m'apporte plus d'éclairages et de réconfort encore.
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Bonjour Névromon,
Mais en fait ce n'est pas tant que cela un groupe au sens propre. Chacun reste avec ses particularités et difficultés. Tout le monde est différent chez les HP aussi !
En quoi trouves-tu que ce "groupe" est valorisant ?
A titre personnel, je trouve que mon HP m'aura apporté quand même pas mal d'emmerdes. Et il ne me valorise pas du tout car je ne l'ai dit à personne. Je ne vois pas l'intérêt d'en parler.
Je suis moi, je suis ce que je suis, HP ou non. Ceux qui m'aiment bien m'aimeront toujours s'il savent que je suis HP. Ceux qui ne m'aiment pas ne m'aimeront toujours pas s'ils savent que je suis HP.
Du coup personne ne le sait car pour moi ce n'est pas du tout un critère important chez une personne.
Les qualités humaines, les qualités d'empathie, d'humour, les centres d'intérêt sont pour moi des choses importantes pour décrire une personne. Le HP ne l'est pas à mon sens.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Barnum
Si je peux me permettre un conseil (mais je n'aime pas ce terme car ça fait un peu "vieille conne") basé sur mon expérience personnelle, je te dirais que le mieux serait peut être d'aller parler à un psychologue de ton mal être et de tes difficultés.
A titre personnel, j'ai été obligée d'aller voir un psychologue il y a 4 ans maintenant. Pour régler quelques problèmes que j'avais à l'époque.
On a pas mal parlé et la psychologue a été géniale: elle a mils le doigt sur tout ce qui était problématique pour moi et elle a trouvé le moyen de dédramatiser les choses et de faire en sorte que j'arrête de culpabiliser et de me sentir mal.
A la fin des séances, elle avait réussi à me réconcilier pas mal avec moi même et avec ce que je suis.
J'ai passé mon test HP après tout ca, mais j'avoue qu'étant déjà plus en paix avec ce que je suis, le résultat revêtait une importance vraiment moindre.
Parce qu'en fin de compte, ce qui compte ce n'est pas tant notre étiquette que le fait de s'accepter tel qu'on est tu ne crois pas ?
Une étiquette de HP pour quelqu'un qui ne s'accepte pas et qui refuse ses particularités je ne suis pas sûre que ça serve à quelque chose.
De même, un "non résultat de HP" pour quelqu'un qui s'accepte et se comprend ... ben finalement ce n'est pas grave puisqu'en définitive il n'y a plus grand chose qui dérange chez soi même.
Bref, tout ça pour dire que j'ai passé mon test mais que franchement (enfin sauf les 2 heures avant la passation où j'étais dans tous mes états) le résultat n'aurait rien changé.
Il faut que tu sois convaincu de plusieurs choses:
- tu es une personne unique
- tu as des particularités (comme TOUT LE MONDE SUR TERRE)
- tu as de nombreuses qualités
- tu as aussi des défauts
- beaucoup de gens t'aiment, pour ce que tu es
- d'autres ne t'aiment pas, encore une fois pour ce que tu es
- être HP ou pas ne changera aucune des lignes ci dessus
Donc appuie toi sur ce que tu es en tant que personne, tes points positifs et éventuellement négatifs, regarde ton cercle d'amis et ta famille. Pour eux, je ne suis pas sûre qu'un "diagnostic" de HP changerait quoi que ce soit.
Essaye d'avancer en tant que PERSONNE UNIQUE et pas en tant que PERSONNE DU GROUPE HP. D'abord parce que comme je disais, il n'y a pas réellement un "groupe" HP et puis surtout ce n'est pas en tant que groupe qu'on avance, mais en tant que personne.
Tu es toi-même, tu n'as pas besoin de te rajouter des caractéristiques pour être quelqu'un de bien aux yeux de tes amis. Et si c'est juste pour toi même que tu as besoin de cette étiquette, essaye d'aller parler un peu à un psychologue qui te réconciliera avec ce que tu es et qui te permettra d'être enfin libre de cette pression que tu as l'air de te mettre autour du HP.
Faire partie du "groupe" ?Névromon a écrit: Je sais que je veux, narcissiquement, "faire partie" de ces groupes sociaux que je trouve valorisants.
Mais en fait ce n'est pas tant que cela un groupe au sens propre. Chacun reste avec ses particularités et difficultés. Tout le monde est différent chez les HP aussi !
En quoi trouves-tu que ce "groupe" est valorisant ?
A titre personnel, je trouve que mon HP m'aura apporté quand même pas mal d'emmerdes. Et il ne me valorise pas du tout car je ne l'ai dit à personne. Je ne vois pas l'intérêt d'en parler.
Je suis moi, je suis ce que je suis, HP ou non. Ceux qui m'aiment bien m'aimeront toujours s'il savent que je suis HP. Ceux qui ne m'aiment pas ne m'aimeront toujours pas s'ils savent que je suis HP.
Du coup personne ne le sait car pour moi ce n'est pas du tout un critère important chez une personne.
Les qualités humaines, les qualités d'empathie, d'humour, les centres d'intérêt sont pour moi des choses importantes pour décrire une personne. Le HP ne l'est pas à mon sens.
C'est pas ça qu'on appelle l'effet barnum ?Névromon a écrit:Également parce qu'à force de rassembler des informations là-dessus, je suis dans un biais de confirmation qui me met peut-être des oeillères. Mais alors...pourquoi est-ce qu'en termes de ressenti, j'ai l'impression d'avoir autant d'accroches et d'éléments de ressemblance avec des gens diagnostiqués Asperger, voire surdoués? Pourquoi a-t-on autant de points communs? Pourquoi la plupart des ressources telles que Une psy à la maison, les vidéos de Carlos de Tinocco, les trucs que j'ai lus (y compris le bouquin de Jeanne Siaud-Facchin, oui...) me parlent autant? Que j'ai l'impression d'être enfin compris? Que l'on me donne les clefs de mon fonctionnement, enfin? Que c'est "là où j'appartiens"?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Barnum
Si je peux me permettre un conseil (mais je n'aime pas ce terme car ça fait un peu "vieille conne") basé sur mon expérience personnelle, je te dirais que le mieux serait peut être d'aller parler à un psychologue de ton mal être et de tes difficultés.
A titre personnel, j'ai été obligée d'aller voir un psychologue il y a 4 ans maintenant. Pour régler quelques problèmes que j'avais à l'époque.
On a pas mal parlé et la psychologue a été géniale: elle a mils le doigt sur tout ce qui était problématique pour moi et elle a trouvé le moyen de dédramatiser les choses et de faire en sorte que j'arrête de culpabiliser et de me sentir mal.
A la fin des séances, elle avait réussi à me réconcilier pas mal avec moi même et avec ce que je suis.
J'ai passé mon test HP après tout ca, mais j'avoue qu'étant déjà plus en paix avec ce que je suis, le résultat revêtait une importance vraiment moindre.
Parce qu'en fin de compte, ce qui compte ce n'est pas tant notre étiquette que le fait de s'accepter tel qu'on est tu ne crois pas ?
Une étiquette de HP pour quelqu'un qui ne s'accepte pas et qui refuse ses particularités je ne suis pas sûre que ça serve à quelque chose.
De même, un "non résultat de HP" pour quelqu'un qui s'accepte et se comprend ... ben finalement ce n'est pas grave puisqu'en définitive il n'y a plus grand chose qui dérange chez soi même.
Bref, tout ça pour dire que j'ai passé mon test mais que franchement (enfin sauf les 2 heures avant la passation où j'étais dans tous mes états) le résultat n'aurait rien changé.
Il faut que tu sois convaincu de plusieurs choses:
- tu es une personne unique
- tu as des particularités (comme TOUT LE MONDE SUR TERRE)
- tu as de nombreuses qualités
- tu as aussi des défauts
- beaucoup de gens t'aiment, pour ce que tu es
- d'autres ne t'aiment pas, encore une fois pour ce que tu es
- être HP ou pas ne changera aucune des lignes ci dessus
Donc appuie toi sur ce que tu es en tant que personne, tes points positifs et éventuellement négatifs, regarde ton cercle d'amis et ta famille. Pour eux, je ne suis pas sûre qu'un "diagnostic" de HP changerait quoi que ce soit.
Essaye d'avancer en tant que PERSONNE UNIQUE et pas en tant que PERSONNE DU GROUPE HP. D'abord parce que comme je disais, il n'y a pas réellement un "groupe" HP et puis surtout ce n'est pas en tant que groupe qu'on avance, mais en tant que personne.
Tu es toi-même, tu n'as pas besoin de te rajouter des caractéristiques pour être quelqu'un de bien aux yeux de tes amis. Et si c'est juste pour toi même que tu as besoin de cette étiquette, essaye d'aller parler un peu à un psychologue qui te réconciliera avec ce que tu es et qui te permettra d'être enfin libre de cette pression que tu as l'air de te mettre autour du HP.
kerlutinhoec- Messages : 204
Date d'inscription : 25/05/2018
Localisation : Brest
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Alors, merci, mais tu pars d'un postulat : que beaucoup de gens m'aiment. De m'appuyer sur mes amis et ma famille.
Tout le monde n'a pas ces appuis. Et même si certains de ces critères sont "cochés", l'on peut considérer que l'on n'a pas à solliciter les autres, par crainte de les étouffer, de grignoter leurs propres réserves énergétiques. C'est mon cas.
En tout cas, j'ai pris conscience du fait qu'en donnant et recevant de l'amour, j'ai déjà relativisé au sujet des questions que je me pose, et de leur dimension vertigineuse, un peu atténuée.
Tout le monde n'a pas ces appuis. Et même si certains de ces critères sont "cochés", l'on peut considérer que l'on n'a pas à solliciter les autres, par crainte de les étouffer, de grignoter leurs propres réserves énergétiques. C'est mon cas.
En tout cas, j'ai pris conscience du fait qu'en donnant et recevant de l'amour, j'ai déjà relativisé au sujet des questions que je me pose, et de leur dimension vertigineuse, un peu atténuée.
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Bonsoir, je me reprends par deux fois à écrire, (crainte d'écrire en général) je ne me situe pas dans ce "groupe" non plus (un premier test passé dans un contexte particulièrement difficile expertise judiciaire, et l'autre il y a de cela quatre ans, contexte un peu moins difficile. Je m'égare, Percevoir l'aah peut être une aide pour un temps, une ressource et la rqth, utile dans le cas d'arnaque par exemple pour faire plier l'adversaire. Cette aide un avantage pour l'emploi ? le système est assez absurde sur ce cas là
c'est à dire- Messages : 72
Date d'inscription : 16/02/2021
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Bienvenu,
Sur quelles bases a-t-on réfuté l'hypothèse d'un TSA ?
Tu es allé faire un tour sur Asperensa ?
Sur quelles bases a-t-on réfuté l'hypothèse d'un TSA ?
Tu es allé faire un tour sur Asperensa ?
Edel- Messages : 306
Date d'inscription : 16/02/2019
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
c'est à dire : Peux-tu expliquer quand tu dis :
Edel : T'adresses-tu à moi?
?rqth, utile dans le cas d'arnaque par exemple pour faire plier l'adversaire
Edel : T'adresses-tu à moi?
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
Edel- Messages : 306
Date d'inscription : 16/02/2019
Re: Diagnostic suite à un test neuropsychologique et multiples doutes et interrogations
Edel a écrit:Bienvenu,
Sur quelles bases a-t-on réfuté l'hypothèse d'un TSA ?
Tu es allé faire un tour sur Asperensa ?
Alors :
-"Vous pouvez me regarder dans les yeux" (oui, sérieusement...et pas qu'une fois, en plus ! )
-Et non, je connais pas, je me le mets sous le coude.
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
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