Grosse difficulté à gérer la solitude
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Grosse difficulté à gérer la solitude
Bonjour à tous, première fois de ma vie que je viens m'exprimer sur un forum publique, après tout il faut bien un début à tout et en ce moment ça va pas super fort.
Avant même les histoires de coronavirus et de distanciation, je n'avais déjà pas beaucoup de relations sociales de manière générale mais je suis pris dans une spirale depuis maintenant quelques années, et je déprime à mort. J'ai des idées très noires qui me viennent, pas forcément de suicide même si j'y ai pensé pendant de longues années avant que je réussisse enfin à me débarasser de cette idée là depuis peu, mais c'est plus une forme de haine qui émerge envers les autres, je m'explique. J'ai jamais été un mec ultra sociable dans la mesure ou je suis pas le gars extraverti qui va passer son temps à faire des blagues, à l'aise avec tout le monde. Bien sûr je rigole (j'adore l'humour au contraire, surtout l'ironie, l'humour très noir, je suis loin d'être déprimant. C'est juste que ça dépend des moments, si j'étais drôle toute la journée je serais humoriste lol). Bien sûr si on me demande mon avis sur un sujet sérieux, je ne peux faire autrement que de donner mon ressenti réel, je n'arrive pas à me "voiler la face". C'est à dire que si on me dit "comment tu vois la société ?" je ne vais pas cacher à mon interlocuteur que je me fais du soucis pour l'avenir pour certaines choses, et c'est légitime aussi, le fait d'être clairvoyant ça ne plaît pas à tout le monde. Et surement que le fait d'avoir une passion très intellectuelle ne joue pas en ma faveur, alors que ce n'est pas parce que j'ai la tête dans les livres, que je ne sais pas m'amuser bien au contraire je suis le premier partant pour boire un verre et même beaucoup plus
Mais bref, revenons en au sujet qui me fait réagir ici : la solitude. Je suis seul la majeure partie du temps, je vis dans mon appart, mes parents habitent loin. On s'appelle, j'appelle mes grands parents, le reste de la famille de temps à autre, je discute sur les réseaux sociaux avec des amis, bref cette petite description pourrait vous laisser penser que j'ai une vie sociale quand même remplie, mais ce n'est pas le ressenti que j'ai. Malgré le fait que je parle à toutes ces personnes plus ou moins régulièrement, je m'ennuie ferme. Je viens de sortir d'études, avec la crise actuelle je ne trouve pas de travail depuis un an et honnêtement je n'ai plus de motivation pour en chercher avec des centaines et des centaines de lettres sans réponses ou avec réponse négative. Heureusement, mes parents m'aident financièrement et je ne suis pas à plaindre pour le logement mais c'est du matériel tout ça. C'est à dire que je ne suis plus invité nulle part quasiment, la dernière fois qu'on m'a invité quelque part ça remonte à l'été dernier. Depuis, je vois des contacts, des gens que je pensais être des amis sortir avec d'autres gens et ça me déprime à mort. Le jour de la réouverture des terrasses, je savais bien que personne n'allais m'envoyer un message pour aller boire un verre. Je n'ai pas non plus fait l'effort d'envoyer de messages, car les dernières fois ou j'ai fait des sorties ou des soirées, c'était constamment moi qui était à l'initiative, et derrière je ne suis strictement jamais réinvité nulle part. Ca dure des mois, sans que je n'ai aucune nouvelles de qui que ce soit, parfois une personne refleurit comme ça alors je lui pardonne, mais bien souvent les autres sont des gens que j'ai invité, et qui m'oublient en retour. Alors je me force à envoyer des messages pour prendre des nouvelles, et je fais face parfois à des réaction très froides et incompréhensibles. Par exemple, une amie dont je n'avais pas de nouvelles depuis plusieurs mois, à qui je demande si ça va avec la situation actuelle, et qui me sort énervée que personne ne prend de ses nouvelles alors que c'était exactement ce que j'étais en train de faire ! Bref son attitude m'a donné un mauvais sentiment, et je ne lui ai plus jamais donné de nouvelles et elle non plus. Régulièrement j'essaye d'enclencher un semblant de conversation avec des contacts sur instagram (genre je vois un truc drôle qu'ils partagent, je réagis) mais en retour on me laisse un "vu" et je reste comme un con car ces gens regardent sans cesse mes storys comme des fantômes. Ils ne me suppriment pas, continuent à me suivre pour une raison que j'ignore puisque visiblement ils n'ont pas envie de discuter avec moi. C'est d'autant plus dur à supporter quand je me remémore tout ce que j'ai fait pour ces personnes par le passé. Je vais comme ça depuis quelques années de fausses relations en fausses relations, cela devient épuisant ! Y compris avec des gens que je ne pensais absolument pas qu'ils s'éloigneraient. Notre amitié était pourtant forte, faite de rires, de sorties, bref c'est dur à supporter. Tous les jours j'y pense, et les réseaux sociaux n'aident en rien surtout quand je vois des gens qui sont visiblement plus appréciés que moi, faire plus de choses.
Alors en bon samaritain, j'ai tenté de me réouvrir aux autres, de proposer des sorties, ça a été encore choux blanc : c'est à dire qu'en janvier dernier, j'ai appris qu'une petite expo était ouverte (bouche à oreille ^^) je me suis donc dit que des gens seraient susceptibles de vouloir venir car peut être seuls eux aussi. J'ai donc fait un message général sur Facebook afin de savoir si des gens seraient intéressés pour venir, et à ma grande surprise beaucoup de gens ont liké et même mis des "jadores". J'ai donc pensé que j'allais recevoir quelques messages pour sortir, mais en réalité sur les 15 personnes qui ont réagis à mon message, aucune ne m'a dit qu'elle venait. J'y suis donc allé seul et j'en ai même pleuré le soir en rentrant. J'y ai repensé pendant des semaines entières littéralement. Je suis correcte avec les gens, éduqué, jamais un mot de travers, et je suis plutôt ouvert aux gens et gentil quand on vient me parler ... quand je suis invité je ne viens jamais les mains vides alors je ne comprends pas pourquoi est ce que 80% des gens que je cotoie font comme si ils m'évitent ? Leur amitié s'arrête à un like sur les réseaux sociaux, jamais une proposition pour sortir ou faire quoi que ce soit c'est simple on ne pense en fait jamais à moi. Alors qu'est ce que je dois faire ? J'ai une passion, je suis même au sein d'un groupe pour ça mais il y a surtout des retraités et des couples qui viennent, je n'y fais donc aucune connaissance qui aille au delà de la rencontre associative. Mais avoir une passion ou même plusieurs pour combler son temps libre c'est très bien, sauf que en tant que jeune j'ai besoin de m'amuser, de rencontrer des femmes, de boire avec des amis pour relâcher la pression, tout cela j'ai l'impression qu'on m'en prive ... J'ai essayé de chercher des réponses, notamment en confrontant directement ces personnes qui ne m'invitaient jamais (pas méchamment hein, juste réagir à une de leur storie ou je vois qu'ils sont entre amis à boire un verre je leance un "hey salut comment tu va ? Dis moi la prochaine fois que tu sors j'aimerais bien aller prendre un verre". En guise de réponse constamment c'est "ouais pas de problème j'y penserais" et je n'ai jamais de retour en fait, c'est des mensonges.
Alors qu'est ce que je dois faire ? Changer d'amis ok je 'lai fait mais ça n'a pas réglé le problème car ça se répète régulièrement cette situation. Faut dire que j'ai pas non plus le tact pour me faire des amis, comme je l'expliquais j'essaye de sociabiliser en réagissant à des storys etc, mais on m'ignore littéralement ce qui a le don de faire augmenter mon niveau de haine encore et encore. Des idées noires envers les autres me viennent, alors je fais tout pour ne pas y penser j'écoute de la musique, je joue aux jeux vidéos mais c'est très dur. Alors parfois en revenant des courses je croise l'un de mes deux voisins qui sont tous les deux très très bavards et très gentils alors on reste discuter et ça me fait du bien, mais c'est pas de ça dont j'ai besoin. J'ai besoin d'être avec des jeunes de mon âge, et surtout de ne pas être jugé car je commence à me demander si ce n'est pas la raison pour laquelle je suis mis à l'écart finalement. Je n'ai parlé de ma zébritude à personne, pourtant on dirait que les gens la ressente et que ça les révulse. Est ce que vous vous entendez mieux entre zèbres ? Je veux dire est ce que les relations amicales/amoureuses sont plus fortes ? Avec les autres j'ai l'impression d'être à des années lumières de leurs préoccupations, trop de faux-self, trop de faux culs et de lèches bottes dont le comportement sonne faux à des kilomètres. J'en ai assez de tous ces gens qui se disent être positif et ne fréquenter que des gens positifs, mais qui ont des facettes négatives et que ce soit moi qui doive les subir. Ils ne s'en rendent même pas compte que leur propre comportement est négatif à mon égard ! Comme je n'ai pas ma langue dans ma poche et que j'expose les problèmes quand j'en vois un, ça ne plaît pas. Mais en retour je suis quelqu'un de fidèle, de serviable, d'éduqué, de cultivé, d'attentionné aussi et de très empathique mais ces qualités personne ne semble les voir, on dirait qu'ils s'arrêtent à quelque chose dont moi même je ne suis pas conscient.
Avant même les histoires de coronavirus et de distanciation, je n'avais déjà pas beaucoup de relations sociales de manière générale mais je suis pris dans une spirale depuis maintenant quelques années, et je déprime à mort. J'ai des idées très noires qui me viennent, pas forcément de suicide même si j'y ai pensé pendant de longues années avant que je réussisse enfin à me débarasser de cette idée là depuis peu, mais c'est plus une forme de haine qui émerge envers les autres, je m'explique. J'ai jamais été un mec ultra sociable dans la mesure ou je suis pas le gars extraverti qui va passer son temps à faire des blagues, à l'aise avec tout le monde. Bien sûr je rigole (j'adore l'humour au contraire, surtout l'ironie, l'humour très noir, je suis loin d'être déprimant. C'est juste que ça dépend des moments, si j'étais drôle toute la journée je serais humoriste lol). Bien sûr si on me demande mon avis sur un sujet sérieux, je ne peux faire autrement que de donner mon ressenti réel, je n'arrive pas à me "voiler la face". C'est à dire que si on me dit "comment tu vois la société ?" je ne vais pas cacher à mon interlocuteur que je me fais du soucis pour l'avenir pour certaines choses, et c'est légitime aussi, le fait d'être clairvoyant ça ne plaît pas à tout le monde. Et surement que le fait d'avoir une passion très intellectuelle ne joue pas en ma faveur, alors que ce n'est pas parce que j'ai la tête dans les livres, que je ne sais pas m'amuser bien au contraire je suis le premier partant pour boire un verre et même beaucoup plus
Mais bref, revenons en au sujet qui me fait réagir ici : la solitude. Je suis seul la majeure partie du temps, je vis dans mon appart, mes parents habitent loin. On s'appelle, j'appelle mes grands parents, le reste de la famille de temps à autre, je discute sur les réseaux sociaux avec des amis, bref cette petite description pourrait vous laisser penser que j'ai une vie sociale quand même remplie, mais ce n'est pas le ressenti que j'ai. Malgré le fait que je parle à toutes ces personnes plus ou moins régulièrement, je m'ennuie ferme. Je viens de sortir d'études, avec la crise actuelle je ne trouve pas de travail depuis un an et honnêtement je n'ai plus de motivation pour en chercher avec des centaines et des centaines de lettres sans réponses ou avec réponse négative. Heureusement, mes parents m'aident financièrement et je ne suis pas à plaindre pour le logement mais c'est du matériel tout ça. C'est à dire que je ne suis plus invité nulle part quasiment, la dernière fois qu'on m'a invité quelque part ça remonte à l'été dernier. Depuis, je vois des contacts, des gens que je pensais être des amis sortir avec d'autres gens et ça me déprime à mort. Le jour de la réouverture des terrasses, je savais bien que personne n'allais m'envoyer un message pour aller boire un verre. Je n'ai pas non plus fait l'effort d'envoyer de messages, car les dernières fois ou j'ai fait des sorties ou des soirées, c'était constamment moi qui était à l'initiative, et derrière je ne suis strictement jamais réinvité nulle part. Ca dure des mois, sans que je n'ai aucune nouvelles de qui que ce soit, parfois une personne refleurit comme ça alors je lui pardonne, mais bien souvent les autres sont des gens que j'ai invité, et qui m'oublient en retour. Alors je me force à envoyer des messages pour prendre des nouvelles, et je fais face parfois à des réaction très froides et incompréhensibles. Par exemple, une amie dont je n'avais pas de nouvelles depuis plusieurs mois, à qui je demande si ça va avec la situation actuelle, et qui me sort énervée que personne ne prend de ses nouvelles alors que c'était exactement ce que j'étais en train de faire ! Bref son attitude m'a donné un mauvais sentiment, et je ne lui ai plus jamais donné de nouvelles et elle non plus. Régulièrement j'essaye d'enclencher un semblant de conversation avec des contacts sur instagram (genre je vois un truc drôle qu'ils partagent, je réagis) mais en retour on me laisse un "vu" et je reste comme un con car ces gens regardent sans cesse mes storys comme des fantômes. Ils ne me suppriment pas, continuent à me suivre pour une raison que j'ignore puisque visiblement ils n'ont pas envie de discuter avec moi. C'est d'autant plus dur à supporter quand je me remémore tout ce que j'ai fait pour ces personnes par le passé. Je vais comme ça depuis quelques années de fausses relations en fausses relations, cela devient épuisant ! Y compris avec des gens que je ne pensais absolument pas qu'ils s'éloigneraient. Notre amitié était pourtant forte, faite de rires, de sorties, bref c'est dur à supporter. Tous les jours j'y pense, et les réseaux sociaux n'aident en rien surtout quand je vois des gens qui sont visiblement plus appréciés que moi, faire plus de choses.
Alors en bon samaritain, j'ai tenté de me réouvrir aux autres, de proposer des sorties, ça a été encore choux blanc : c'est à dire qu'en janvier dernier, j'ai appris qu'une petite expo était ouverte (bouche à oreille ^^) je me suis donc dit que des gens seraient susceptibles de vouloir venir car peut être seuls eux aussi. J'ai donc fait un message général sur Facebook afin de savoir si des gens seraient intéressés pour venir, et à ma grande surprise beaucoup de gens ont liké et même mis des "jadores". J'ai donc pensé que j'allais recevoir quelques messages pour sortir, mais en réalité sur les 15 personnes qui ont réagis à mon message, aucune ne m'a dit qu'elle venait. J'y suis donc allé seul et j'en ai même pleuré le soir en rentrant. J'y ai repensé pendant des semaines entières littéralement. Je suis correcte avec les gens, éduqué, jamais un mot de travers, et je suis plutôt ouvert aux gens et gentil quand on vient me parler ... quand je suis invité je ne viens jamais les mains vides alors je ne comprends pas pourquoi est ce que 80% des gens que je cotoie font comme si ils m'évitent ? Leur amitié s'arrête à un like sur les réseaux sociaux, jamais une proposition pour sortir ou faire quoi que ce soit c'est simple on ne pense en fait jamais à moi. Alors qu'est ce que je dois faire ? J'ai une passion, je suis même au sein d'un groupe pour ça mais il y a surtout des retraités et des couples qui viennent, je n'y fais donc aucune connaissance qui aille au delà de la rencontre associative. Mais avoir une passion ou même plusieurs pour combler son temps libre c'est très bien, sauf que en tant que jeune j'ai besoin de m'amuser, de rencontrer des femmes, de boire avec des amis pour relâcher la pression, tout cela j'ai l'impression qu'on m'en prive ... J'ai essayé de chercher des réponses, notamment en confrontant directement ces personnes qui ne m'invitaient jamais (pas méchamment hein, juste réagir à une de leur storie ou je vois qu'ils sont entre amis à boire un verre je leance un "hey salut comment tu va ? Dis moi la prochaine fois que tu sors j'aimerais bien aller prendre un verre". En guise de réponse constamment c'est "ouais pas de problème j'y penserais" et je n'ai jamais de retour en fait, c'est des mensonges.
Alors qu'est ce que je dois faire ? Changer d'amis ok je 'lai fait mais ça n'a pas réglé le problème car ça se répète régulièrement cette situation. Faut dire que j'ai pas non plus le tact pour me faire des amis, comme je l'expliquais j'essaye de sociabiliser en réagissant à des storys etc, mais on m'ignore littéralement ce qui a le don de faire augmenter mon niveau de haine encore et encore. Des idées noires envers les autres me viennent, alors je fais tout pour ne pas y penser j'écoute de la musique, je joue aux jeux vidéos mais c'est très dur. Alors parfois en revenant des courses je croise l'un de mes deux voisins qui sont tous les deux très très bavards et très gentils alors on reste discuter et ça me fait du bien, mais c'est pas de ça dont j'ai besoin. J'ai besoin d'être avec des jeunes de mon âge, et surtout de ne pas être jugé car je commence à me demander si ce n'est pas la raison pour laquelle je suis mis à l'écart finalement. Je n'ai parlé de ma zébritude à personne, pourtant on dirait que les gens la ressente et que ça les révulse. Est ce que vous vous entendez mieux entre zèbres ? Je veux dire est ce que les relations amicales/amoureuses sont plus fortes ? Avec les autres j'ai l'impression d'être à des années lumières de leurs préoccupations, trop de faux-self, trop de faux culs et de lèches bottes dont le comportement sonne faux à des kilomètres. J'en ai assez de tous ces gens qui se disent être positif et ne fréquenter que des gens positifs, mais qui ont des facettes négatives et que ce soit moi qui doive les subir. Ils ne s'en rendent même pas compte que leur propre comportement est négatif à mon égard ! Comme je n'ai pas ma langue dans ma poche et que j'expose les problèmes quand j'en vois un, ça ne plaît pas. Mais en retour je suis quelqu'un de fidèle, de serviable, d'éduqué, de cultivé, d'attentionné aussi et de très empathique mais ces qualités personne ne semble les voir, on dirait qu'ils s'arrêtent à quelque chose dont moi même je ne suis pas conscient.
zèbredepassage- Messages : 1
Date d'inscription : 24/05/2021
Re: Grosse difficulté à gérer la solitude
Salut,
Pour les réseaux sociaux, je pense que tu as raison d'en être déçu.
Je ne peux pas te conseiller à propos des amitiés.
Ce que je me dis en te lisant : peut-être que tu n'as pas les mêmes besoins en terme de communication et d'authenticité que tes connaissances.
Pardon de dire un gros mot, mais je me dis que t'es peut-être un INFP. ( ww w.16personalities.com/fr/la-personnalite-infp ) (j'ai dû mettre une espace dans les w pour pouvoir écrire l'adresse URL : à rectifier pour utiliser le lien, donc)
La différence zèbres/non-zèbres qui engendrerait un hiatus, personnellement, je n'adhère pas à cette théorie quand j'observe le monde.
Pour les réseaux sociaux, je pense que tu as raison d'en être déçu.
Je ne peux pas te conseiller à propos des amitiés.
Ce que je me dis en te lisant : peut-être que tu n'as pas les mêmes besoins en terme de communication et d'authenticité que tes connaissances.
Pardon de dire un gros mot, mais je me dis que t'es peut-être un INFP. ( ww w.16personalities.com/fr/la-personnalite-infp ) (j'ai dû mettre une espace dans les w pour pouvoir écrire l'adresse URL : à rectifier pour utiliser le lien, donc)
La différence zèbres/non-zèbres qui engendrerait un hiatus, personnellement, je n'adhère pas à cette théorie quand j'observe le monde.
Invité- Invité
Re: Grosse difficulté à gérer la solitude
bonjour
Je me reconnais dans ce que tu décris , même si je ne suis pas ZEBRE ou peu ( peu importe en fait !) , je suis en tout cas suffisamment particulier pour être mis mis a l' écart ; j ai ressentie ce que tu ressens ;
De la haine , pendant longtemps !
j' ai aussi rêvé d être aussi simple d'esprit que la majorité des gens qui m'entourent surement péjoratif mais c est comme ça que je le ressens.
j 'ai essayé de joue un rôle ( mais peut on vraiment vivre en n étant pas soi même ;cela na pas été possible pour moi en tout cas )
en tout premier lieu , je crois que la solution vient de l'acceptation , s'accepter empêche dans un premier de détester ces gens qui te rejettent .
et puis j'ai remarque dans mon milieu professionnel dans le lequel je joue un rôle social superficiel que j'ai bien appris ; que je m'entendais mieux avec une certaine catégorie de personne .
j'ai donc essaye de trouver ce type de personne en venant sur ce forum sur les conseils de ma psy , j 'y ai trouvé quelques points communs mais je pense que ma solution est surtout dans le changement de milieu social , toujours complique de parler comme ça , mais la vérité est souvent violente
et la vérité dites gentiment l'est encore plus parait il ( un de mes problèmes )
Je suis une personne âgé et je partais de très loin ( asperger , abusé sexuellement enfant , ce qui n aide pas trop l intégration sociale )
mais je crois qu'une partie de ta solution est la , l'acceptation et la recherche de personne qui te ressemble .
Je me reconnais dans ce que tu décris , même si je ne suis pas ZEBRE ou peu ( peu importe en fait !) , je suis en tout cas suffisamment particulier pour être mis mis a l' écart ; j ai ressentie ce que tu ressens ;
De la haine , pendant longtemps !
j' ai aussi rêvé d être aussi simple d'esprit que la majorité des gens qui m'entourent surement péjoratif mais c est comme ça que je le ressens.
j 'ai essayé de joue un rôle ( mais peut on vraiment vivre en n étant pas soi même ;cela na pas été possible pour moi en tout cas )
en tout premier lieu , je crois que la solution vient de l'acceptation , s'accepter empêche dans un premier de détester ces gens qui te rejettent .
et puis j'ai remarque dans mon milieu professionnel dans le lequel je joue un rôle social superficiel que j'ai bien appris ; que je m'entendais mieux avec une certaine catégorie de personne .
j'ai donc essaye de trouver ce type de personne en venant sur ce forum sur les conseils de ma psy , j 'y ai trouvé quelques points communs mais je pense que ma solution est surtout dans le changement de milieu social , toujours complique de parler comme ça , mais la vérité est souvent violente
et la vérité dites gentiment l'est encore plus parait il ( un de mes problèmes )
Je suis une personne âgé et je partais de très loin ( asperger , abusé sexuellement enfant , ce qui n aide pas trop l intégration sociale )
mais je crois qu'une partie de ta solution est la , l'acceptation et la recherche de personne qui te ressemble .
ayrton01- Messages : 6
Date d'inscription : 22/05/2021
Age : 56
Localisation : 32
Re: Grosse difficulté à gérer la solitude
Mais dites moi, vous tous qui êtes tous seuls: vous êtes où? Ca m'arrive de tomber en ligne sur des gens qui regrettent d'être tous seuls, mais on devrait pouvoir voir qui est où (avec une application peut être?). Moi aussi je vis mal la solitude. Ca peut sembler snob, mais je n'ai pas eu de conversations intéressantes depuis près d'un an faute de croiser des gens ayant mes intérêts. Je n'avais pas eu l'occasion de me rendre aux rencontres zèbres quand elles avaient lieu, et aujourd'hui, vont-elles reprendre?
Lady Floralina- Messages : 36
Date d'inscription : 20/09/2018
Re: Grosse difficulté à gérer la solitude
Il n'y a pas de raison que les IRLs zèbres ne reprennent pas (sauf bien sûr si la situation sanitaire connait de nouveaux rebondissements... mais bon, croisons les doigts)
Pour les conversations, je ne croise personne (intéressant ou non ^^), heureusement il y a le téléphone (avec quelques personnes chouettes croisées sur ZC, ou ma bonne vieille mère ^^), et le forum.
Pour les conversations, je ne croise personne (intéressant ou non ^^), heureusement il y a le téléphone (avec quelques personnes chouettes croisées sur ZC, ou ma bonne vieille mère ^^), et le forum.
Invité- Invité
Re: Grosse difficulté à gérer la solitude
zebredepassage a écrit:pourtant on dirait que les gens la ressente et que ça les révulse. Est ce que vous vous entendez mieux entre zèbres ? Je veux dire est ce que les relations amicales/amoureuses sont plus fortes ? Avec les autres j'ai l'impression d'être à des années lumières de leurs préoccupations, trop de faux-self, trop de faux culs et de lèches bottes dont le comportement sonne faux à des kilomètres. J'en ai assez de tous ces gens qui se disent être positif et ne fréquenter que des gens positifs, mais qui ont des facettes négatives et que ce soit moi qui doive les subir. Ils ne s'en rendent même pas compte que leur propre comportement est négatif à mon égard ! Comme je n'ai pas ma langue dans ma poche et que j'expose les problèmes quand j'en vois un, ça ne plaît pas. Mais en retour je suis quelqu'un de fidèle, de serviable, d'éduqué, de cultivé, d'attentionné aussi et de très empathique mais ces qualités personne ne semble les voir, on dirait qu'ils s'arrêtent à quelque chose dont moi même je ne suis pas conscient.
Pas mieux.
Sauf que même avec mes pairs de config', mouais...pas forcément plus de succès-appeal.
Y parait - voire y transparaît- que quand on est comme certains (je me mets dans l'état, hein), "trop en deux-mande", ben ça fait comme répulsif...
Bon cette soupe de thé au golriz me paraît à moi, foireuse, même si je ne peux que la faire coïncider avec ma propre expé de vie / qui, et je ne voudrais point te conforter dans la perspective de ce que tu relates de ton (jeune) cheminement, zebredepassage, a commencé bien avant la fin de mes études secondaires...et ne s'est pas trop démentie à ce jour façon longue Nacht et Nibelungen.
Et encore, je n'ai pas à souffrir les réseaux sociaux numériques dont je ne suis pas ni ne fellow.
Moi aussi j'aurais bien aimé qu'on vienne vers moi; qu'on ait envie de moi; ou juste qu'on me réponde;
toute petite déjà (je me revois encore pathétique, attendre le regard de l'autre, figée, souvent, longtemps...)
alors oui, ici et là, la preuve je me suis même reproduite; mais jamais vraiment, ni de ceux et celles que j'aurais voulu capter, personnellement, érotiquement, et même professionnellement (sans doute toujours parce que trop irrépressiblement affectivement) -ou alors à grand renfort d'efforts, qui ont je crois, et les années passant, épuisé mon enthousiasme, mon espoir, et donc mon modjo operandi.
Je n'ai jamais saisi et je ne comprends toujours pas ce qui fait le magnétisme spontané réciproque à faible consommation des autres envers eux, de ce que j'en observe / oculaire grossissante,déformante? probablement, question de microscopie embarquée; narcisse précocement froissé? nulle- doute, par définition.
Parfois, pourtant sporadiquement un mouvement improbable;
...une HP maman en sortie d'école un jour a flashé sur ma longue tignasse blonde de l'époque; fréquentée un temps, perdue de recherche, je l'ai recroisée placardée centre droite (pas trop ma came) pour les départementales il y a peu et suis allée la débusquer sur le marché;
...les SDF le long de la promenade du chien;
...hier 2 minutes sur un trottoir avec un touriste anglophone (façon viking en casquette, dents ultra bright, dégaine libérée, parfaitement sexy beach) en quête d'un café I could recommend. Je lui aurais spontanément proposé de venir le boire chez moi son refreshment, mais bon, les convenances, mon rang social de vieille délaissée, mon rétrocontrôle acquis à l'ombre des manipulateurs trop séduisants, tout ça...j'ai loupé une occas' de parfaire mon sens de l'hospitalité et comme on dit "ainsi soit-il / i.e.c'est sans doute mieux ainsi".
...ici sur ZC, pour peu que je les démarchâtte, on (on se reconnaîtra) me rendit mes politesses avides d'affinités détectives, euh, électives.
Mais rien dans initié l'autre sens. Faut croire que. Je ne suis vraiment pas née pour vivre / avec mon temps. A bicyclette intracorticale, oui, évidemment.
Après y'en a aussi qui prônent le nettoyage énergétique des karmas trop m...ques...ou la désintégration positive.
Doit-on ainsi pour l'équilibre du Grand Tout, œuvrer solitaire pour libérer 21 grammes de positons une fois décédé, je pose l'astrophysicochimique question?
Entelekia- Messages : 61
Date d'inscription : 22/12/2018
Age : 48
Localisation : Autour de Vaduz
Re: Grosse difficulté à gérer la solitude
J'ai été surprise à la lecture de ton message. Pas l'aspect solitude, mais la candeur à l'égard des réseaux sociaux. Créer des amitiés sur un forum c'est pas forcément évident, mais c'est quand même relativement fréquent, or sur les réseaux sociaux je ne connais personne à qui c'est arrivé. Cela ne signifie pas que c'est impossible, mais que ton vécu est plutôt complètement normal et qu'il reflète bien que les réseaux sociaux n'ont de social que le nom, donc que tes attentes ne peuvent que ne pas y être rencontrées. Du coup la référence à l'INFP me paraît pertinente (je le suis moi-même).
J'ai été surprise de me reconnaître dans ton côté très structuré à aborder un problème. Ca m'a fait sourire : je me suis dit "ah oui, du coup je dois donner cette impression aux autres, effectivement c'est rare et du coup peut paraître bizarre". Merci pour cet éclairage
J'entends que tu expérimentes la solitude même en compagnie d'autres personnes. L'ayant souvent ressenti, je me rappelle la tristesse de fond que cela constituait. Comme le manque de quelque chose d'essentiel. J'ai compris avec les années qu'il y avait plusieurs choses derrière : des attentes démesurées de ma part (pourvoir parler de tous les sujets en ayant un accord de fond sur tous avec les personnes) et le factuel : il n'y a pas beaucoup de personnes, de fait, avec lesquels je puisse me relier en profondeur. En découvrant le domaine HP il y a une douzaine d'années je pensais "ET maison". Et puis non. C'était mieux certes, mais pas assez. Parentalité, déménagement, changement professionnel et aussi gros travail sur moi (ie prise de conscience que j'étais distante avec les personnes qui venaient vers moi et cherchaient à aller vers les personnes avec qui ça ne passerait pas) m'ont permis de rencontrer d'autres personnes avec qui enfin je trouvais ce qui manquait. Mon parcours professionnel m'a permis aussi de découvrir le point commun entre ces personnes : le non-jugement, l'ouverture d'esprit et la bienveillance. Peut-être vis-tu toi aussi un manque sur certaines valeurs de fonds lorsque tu es présente avec "tes proches" et que tu te sens seule ?
Enfin le dernier point qui m'est venu, c'est l'erreur d'intention qu'on fait souvent quand on cherche à entrer en relation avec les autres. C'est subtil et pourtant il y a une différence entre "comment entrer en relation avec l'autre ?" et "faire en sorte que l'autre se sente bien avec moi". Le 2è aboutira au premier. Le premier aboutit rarement au 2è. Or c'est très courant de poser la 1ère intention, et rare la 2è. En prenant l'exemple de la personne qui a répondu que personne ne prenait de nouvelles d'elle, la connexion aurait pu ainsi s'établir sur un "ah oui, c'est dur à vivre quand on a l'impression qu'on ne compte pour personne, moi aussi ça me manque" reconnaissance de sa réalité, vécu commun qui lie... Effectivement tu prenais de ses nouvelles, et c'est pas juste pour toi de te prendre ça (ça me rappelle le conte du génie dans la bouteille que j'aimais enfant) alors que justement tu fais ce qui lui manque. Pourtant son manque est si grand qu'elle ne peut qu'exprimer celui-ci avec l'espace que tu lui as proposé en l'appelant. Elle est trop au fond pour ressentir de la joie ou de la gratitude.
Pour te challenger un peu, je relève :
J'ai été surprise de me reconnaître dans ton côté très structuré à aborder un problème. Ca m'a fait sourire : je me suis dit "ah oui, du coup je dois donner cette impression aux autres, effectivement c'est rare et du coup peut paraître bizarre". Merci pour cet éclairage
J'entends que tu expérimentes la solitude même en compagnie d'autres personnes. L'ayant souvent ressenti, je me rappelle la tristesse de fond que cela constituait. Comme le manque de quelque chose d'essentiel. J'ai compris avec les années qu'il y avait plusieurs choses derrière : des attentes démesurées de ma part (pourvoir parler de tous les sujets en ayant un accord de fond sur tous avec les personnes) et le factuel : il n'y a pas beaucoup de personnes, de fait, avec lesquels je puisse me relier en profondeur. En découvrant le domaine HP il y a une douzaine d'années je pensais "ET maison". Et puis non. C'était mieux certes, mais pas assez. Parentalité, déménagement, changement professionnel et aussi gros travail sur moi (ie prise de conscience que j'étais distante avec les personnes qui venaient vers moi et cherchaient à aller vers les personnes avec qui ça ne passerait pas) m'ont permis de rencontrer d'autres personnes avec qui enfin je trouvais ce qui manquait. Mon parcours professionnel m'a permis aussi de découvrir le point commun entre ces personnes : le non-jugement, l'ouverture d'esprit et la bienveillance. Peut-être vis-tu toi aussi un manque sur certaines valeurs de fonds lorsque tu es présente avec "tes proches" et que tu te sens seule ?
Enfin le dernier point qui m'est venu, c'est l'erreur d'intention qu'on fait souvent quand on cherche à entrer en relation avec les autres. C'est subtil et pourtant il y a une différence entre "comment entrer en relation avec l'autre ?" et "faire en sorte que l'autre se sente bien avec moi". Le 2è aboutira au premier. Le premier aboutit rarement au 2è. Or c'est très courant de poser la 1ère intention, et rare la 2è. En prenant l'exemple de la personne qui a répondu que personne ne prenait de nouvelles d'elle, la connexion aurait pu ainsi s'établir sur un "ah oui, c'est dur à vivre quand on a l'impression qu'on ne compte pour personne, moi aussi ça me manque" reconnaissance de sa réalité, vécu commun qui lie... Effectivement tu prenais de ses nouvelles, et c'est pas juste pour toi de te prendre ça (ça me rappelle le conte du génie dans la bouteille que j'aimais enfant) alors que justement tu fais ce qui lui manque. Pourtant son manque est si grand qu'elle ne peut qu'exprimer celui-ci avec l'espace que tu lui as proposé en l'appelant. Elle est trop au fond pour ressentir de la joie ou de la gratitude.
Pour te challenger un peu, je relève :
Donc les autres doivent changer et toi tu as le droit de rester identique et de ne pas changer de comportement ?j'ai l'impression d'être à des années lumières de leurs préoccupations, trop de faux-self, trop de faux culs et de lèches bottes dont le comportement sonne faux à des kilomètres. J'en ai assez de tous ces gens qui se disent être positif et ne fréquenter que des gens positifs, mais qui ont des facettes négatives et que ce soit moi qui doive les subir. Ils ne s'en rendent même pas compte que leur propre comportement est négatif à mon égard ! Comme je n'ai pas ma langue dans ma poche et que j'expose les problèmes quand j'en vois un, ça ne plaît pas. Mais en retour je suis quelqu'un de fidèle, de serviable, d'éduqué, de cultivé, d'attentionné aussi et de très empathique mais ces qualités personne ne semble les voir, on dirait qu'ils s'arrêtent à quelque chose dont moi même je ne suis pas conscient.
Weigela- Messages : 1011
Date d'inscription : 23/06/2011
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