Astuces et entraide de chômage

par Névromon Mer 28 Juil 2021 - 11:51

Trucs qui m'aident à tenir en étant au chômage :
-Avoir à force d'expériences identifié mon quota de sommeil, heures de coucher et de lever idéales. Bilan pour une journée au niveau de fatigue moyen : m'endormir entre 22h30 et 22h45 me repose bien. De 22h45 à 23h, je me repose un peu moins. De 23h à 23h15, encore un peu moins. De 23h15 à 23h30, je conserve le même niveau de fatigue au lever par rapport à la veille. Après 23h30, je suis plus fatiguée que la veille. Cela pour une heure de lever à 06h40 (quand j'y parviens x) ).
-Avoir repéré les moments de la journée durant lesquels je suis la plus motivée. Pour moi, c'est le matin, ce qui concorde bien avec des heures de lever matinales.
-Ritualiser le quotidien, sans trop le rigidifier pour autant.
-M'atteler à une tâche par jour.
-Avoir des activités qui me font du bien et me font socialiser (pour ma part, des jeux de rôles en ligne, fréquenter des serveurs Discord d'autistes et de surdoué.es).
-Avoir des activités en solitaire qui me détendent (pour ma part, écoute de musiques de jeux vidéos et pratique de ces derniers).
-Essayer de manger un peu sainement sans me ruiner.
-Tâcher de penser un peu au moyen et au long terme.
-Faire mes comptes.
-Ne pas laisser traîner la paperasse (conseil : mettre de l'électro-swing pour me motiver quand je fais des trucs qui me gonflent ! Smile

)
-Me foutre la paix et me protéger des propos culpabilisants.
-M'entourer de personnes empathiques qui me font du bien (pour ma part, surtout des femmes).
-Essayer de me tenir un peu informée de ce qui se passe autour de moi tout en me protégeant.
-Avoir un suivi psychologique régulier.
-Me satisfaire de mes progrès, m'en réjouir.
-Prendre le temps de regarder les oiseaux.
-Être à l'écoute de ce qui se passe en moi (intelligence intra-personnelle).

par fift Mer 28 Juil 2021 - 18:26

Pourquoi faut-il toujours que des discussions initiales sur des demandes d'aide finissent par devenir des sujets de discussion politique (au sens premier du terme) ?

Si vous voulez discuter de l'organisation de la société, créez un fil dédié ! Pour répondre à la question initiale :

Névromon a écrit:

Énième tentative de revenir à mon sujet plutôt que de me faire charger personnellement :

Trucs qui m'aident à tenir en étant au chômage :
-Avoir à force d'expériences identifié mon quota de sommeil, heures de coucher et de lever idéales. Bilan pour une journée au niveau de fatigue moyen : m'endormir entre 22h30 et 22h45 me repose bien. De 22h45 à 23h, je me repose un peu moins. De 23h à 23h15, encore un peu moins. De 23h15 à 23h30, je conserve le même niveau de fatigue au lever par rapport à la veille. Après 23h30, je suis plus fatiguée que la veille. Cela pour une heure de lever à 06h40 (quand j'y parviens x) ).
-Avoir repéré les moments de la journée durant lesquels je suis la plus motivée. Pour moi, c'est le matin, ce qui concorde bien avec des heures de lever matinales.
-Ritualiser le quotidien, sans trop le rigidifier pour autant.
-M'atteler à une tâche par jour.
-Avoir des activités qui me font du bien et me font socialiser (pour ma part, des jeux de rôles en ligne, fréquenter des serveurs Discord d'autistes et de surdoué.es).
-Avoir des activités en solitaire qui me détendent (pour ma part, écoute de musiques de jeux vidéos et pratique de ces derniers).
-Essayer de manger un peu sainement sans me ruiner.
-Tâcher de penser un peu au moyen et au long terme.
-Faire mes comptes.
-Ne pas laisser traîner la paperasse (conseil : mettre de l'électro-swing pour me motiver quand je fais des trucs qui me gonflent ! )
-Me foutre la paix et me protéger des propos culpabilisants.
-M'entourer de personnes empathiques qui me font du bien (pour ma part, surtout des femmes).
-Essayer de me tenir un peu informée de ce qui se passe autour de moi tout en me protégeant.
-Avoir un suivi psychologique régulier.
-Me satisfaire de mes progrès, m'en réjouir.
-Prendre le temps de regarder les oiseaux.
-Être à l'écoute de ce qui se passe en moi (intelligence intra-personnelle).

A priori, je pense que tu as ciblé la plupart des trucs importants. Garder l'équilibre entre suivre un rythme régulier (indispensable !) et ajuster ce rythme à tes besoins physiologiques me semble le point le plus crucial. C'est vraiment le truc que j'ai retenu de mes deux périodes (11 mois puis 4 mois) d' "inactivité".
Et non, tu n'as pas à culpabiliser. Comme me l'a répété mon psychiatre : "faites du mieux que vous pouvez en votre âme et conscience". Ce "mieux"-là n'est pas en phase avec la société ? On s'en fiche, l'important c'est d'être droit dans ses bottes. Si tu as le sentiment que tu as fait tout ce que tu pouvais sans te mettre en danger, alors c'est le principal.