Restitution wais adulte

Bonjour à tous

J’en appelle à vos avis de connaisseurs.
Que pensez vous de ces résultats?

Merci pour vos avis constructifs

113-124 ICV
110-120 IRP
128-140 IMT
120-135 IVT

QI 127-134

D'une pierre, deux coups. Bien joué

Merci pour votre réponse mais je comprends pas trop ce que vous voulez dire

Je te donne mon avis :

Tu as posté dans la section présentation un sujet qui n'est pas une présentation.

Si tu veux un avis sur tes scores, poste dans la section dédiée aux tests, ton sujet sera alors visible par les personnes qui comprennent les détails du calcul du QI.

Si tu crées un sujet dans la bonne section, selon moi, toujours, explicite ta demande. Que veux-tu dire par "Que pensez vous de ces résultats?" ? Qu'attends-tu comme éclairage ? Qu'est-ce qui te turlupine ?

Tu comprends bien les conventions sociales en temps normal ?

Tu n'es pas trop familier des échanges sur internet, peut-être ?

En effet, pas trop familier des échanges sur le net ;-)
Il y a un début à tout.

En tout cas merci pour vos observations.
Je vais déplacer mon post alors

Hello,

Je ne sais trop ce qu'il y aurait à "penser" d'autre que ce que les résultats indiquent.
Je propose la page de Mme Labouret pour aider à comprendre et visualiser les données:

[...]
Un test de QI comme la WAIS-IV ou le WISC-V se compose d’exercices variés, appelés subtests, regroupés en grands domaines de compétences. Les résultats chiffrés comportent :
-un score par subtest, allant de 1 à 19, avec un moyenne à 10 ;
-une note de synthèse par domaine de compétences, appelée indice, allant de 50 à 150 dans la WAIS-IV, de 45 à 155 dans le WISC-V, avec une moyenne de 100 ;
-des évaluations plus globales, comme le Quotient Intellectuel total (QIT) et l’indice d’aptitude générale (IAG), qui vont de 40 à 160, avec une moyenne de 100.
[...]
Comme tout test, les tests de QI présentent une précision limitée, et les scores sont une estimation et non des mesures rigoureusement exactes. L’intervalle de confiance à 95% qui entoure les indices et le QI indique dans quel intervalle la compétence mesurée a de grandes chances de se trouver, compte-tenu de l’imprécision de l’outil. Dans le graphe ci-dessus, cet intervalle est représenté par les barres horizontales autour des notes.
[...]
http://www.labouret.net/tests-qi/resultats/

Voir la page en question pour un exemple illustré de notes, scores, intervalles de confiance, etc.

Tu étais passé avec un peu la même question pour un fiston, c'est juste ?
Et tu te découvres toi aussi apparemment concerné par la question, ja ?

Bienvenue de retour.

Merci, je vais lire tout ça

Oui je m étais posé la même question en effet pour mon petit

C'est cool si tu te découvres toi-même en cherchant à mieux le comprendre lui.
Question répondue même si le zèle de donner l'écart floute le QI à 130 atteint.

Je pense que c’est dans ce sens là que je ressens le besoin d’échanger à ce sujet... bizarre de se découvrir a presque 40ans suite aux test de son fils.

Normalement on ne donne pas les écarts c est ça?

Nico1098 a écrit:Je pense que c’est dans ce sens là que je ressens le besoin d’échanger à ce sujet... bizarre de se découvrir a presque 40ans suite aux test de son fils.

Bizarre mais commun en ces lieux. Pas mal de gens ont essayé de creuser les problèmes de leur enfant, et puis de fil en aiguille, se sont posés des questions sur eux-mêmes. Ca s'explique par plusieurs dynamiques.

(1) le QI est plus que partiellement génétique. On estime (à la louche, on trouve des chiffres un peu variables suivant les études) que le QI est héritable à 50% pour les enfants, et 75% pour les adultes (il y a énormément de choses dans ces chiffres, et pas toutes sympathiques - mais c'est bien ce qu'on mesure).

(2) Le QI est plus populaire qu'avant, donc on se pose plus souvent cette question qu'avant pour les enfants.

(3) Il est parfaitement possible d'avoir vécu son enfance à peu près correctement avec un QI élevé, et avoir des enfants pour qui ce n'est pas le cas.

Mais quand je dis "à peu près correctement", je ne dis pas que tout s'est bien passé. Je dis juste que les éventuels problèmes n'étaient pas au point d'ouvrir un enquête.

Ce qui est le plus étrange une fois qu’on a les résultats, c’est qu’on comprend mieux beaucoup de choses du passé comme si c’était une évidence... surtout concernant les problèmes de gestion des émotions mais aussi la corrélation entre les résultats scolaires et le besoin de confiance en soit...
Encourager, féliciter et rassurer les enfants hp leur donnera confiance en eux et la réussite sera exponentielle derrière.

Tout à fait. J'ajouterais qu'il faut les féliciter pour leur travail (même si il est famélique), pas pour leur intelligence. Pour deux raisons :

(1) Le travail se mérite, pas l'intelligence.
(2) En cas d'échec, l'enfant à qui on a toujours dit "tu réussis parce que tu est intelligent" va se croire pas assez intelligent, et s'effondrer. Celui à qui on a toujours dit "tu réussis parce que tu bosses dur" va se dire qu'il doit bosser plus dur, bosser plus dur, et, souvent, s'en sortir. C'est ce qui m'est arrivé. Mes parents ont chanté les louanges de mon travail, je croyais bosser dur, je ne foutais pas grand chose. Arrivé en prépa, j'ai commencé par un gros passage à vide. Puis j'ai bossé. Dur, très dur. Et j'ai eu un concours de bon niveau.

Le point 2 est évidemment le plus important, même si le point 1 le justifie d'un point de vue théorique.

je crois qu'il faut faire les deux : encourager, féliciter et rassurer dans un sens et aussi leur apprendre à ne pas mettre la barre trop haut, leur donner le droit à l'échec qu'ils ne se donnent pas eux-mêmes, dans l'autre sens.

les petits zèbres ont la conscience qu'ils ont plus de capacités que les autres, donc, il arrive qu'ils exigent d'eux énormément, tout en étant très insécures et ne supportant pas l'échec, il leur arrive de se déprécier totalement au moindre signe de baisse de résultat, à l'école ou ailleurs.

pour d'autres, la peur de l'échec amène parfois à refuser l'obstacle et à se protéger en restant en queue de classe : si j'ai des mauvaises notes, c'est parce que je veux bien.

et il y a aussi ceux qui se planquent en milieu de classe, pour éviter de se faire remarquer, et qui ne donneront le meilleur d'eux-mêmes que le jour de l'examen ou du  concours ou de l'audition ou de la compétition.

donner "confiance en soi" est impossible. on peut donner sa confiance à l'autre, en espérant qu'il prenne confiance en lui. mais la confiance en soi est à trouver par soi-même, il me semble.

Bien sûr tout à fait d accord, il faut faire en sorte qu’il prenne confiance en lui. C’est par notre comportement rassurant et encourageant qu’il trouve cette confiance.