Mes écrits
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Re: Mes écrits
Je pense qu'il y a un magma d'intelligence invisible qui avance de lui-même.
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Cette suite m'obsède
Cette suite m'obsessionne
C'est mal les maths
C'est mal les maths
Les maths ça pue
Ça corrompt le monde
Les maths c'est le système
C'est la règle c'est l'inflexible
Là où l'art est doux et câlin
Où la Joconde nous dit bonne nuit
Hugo nous fait voyager
Balzac nous raconte la vie
Où Chopin nous affectionne
Et Beethoven nous transporte
Cette suite m'obsessionne
Aucune solution ne frappe à ma porte.
Cette suite m'obsessionne
C'est mal les maths
C'est mal les maths
Les maths ça pue
Ça corrompt le monde
Les maths c'est le système
C'est la règle c'est l'inflexible
Là où l'art est doux et câlin
Où la Joconde nous dit bonne nuit
Hugo nous fait voyager
Balzac nous raconte la vie
Où Chopin nous affectionne
Et Beethoven nous transporte
Cette suite m'obsessionne
Aucune solution ne frappe à ma porte.
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Cette suite converge-t-elle ?
L'ordinateur me dit oui
Comme une belle hirondelle
Prisonnière d'un glacis
Je la vois qui converge
Mais ne peux lui parler
Accoster à sa berge
Lui conter un sonnet
C'est une suite pour orchestre
Il me faut un orchestre de cerveaux
Venez tous à mon aide
J'ai la gueule dans le caniveau
C'est une suite pour orchestre
Un poème symphonique
Il me faut mille cerveaux
Pour comprendre l'acoustique.
L'ordinateur me dit oui
Comme une belle hirondelle
Prisonnière d'un glacis
Je la vois qui converge
Mais ne peux lui parler
Accoster à sa berge
Lui conter un sonnet
C'est une suite pour orchestre
Il me faut un orchestre de cerveaux
Venez tous à mon aide
J'ai la gueule dans le caniveau
C'est une suite pour orchestre
Un poème symphonique
Il me faut mille cerveaux
Pour comprendre l'acoustique.
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Je vais l'appeler "la suite de BlackToMaths".
Grâce au théorème de BlackToMaths et aux lemmes subsequents et je gagnerai le prix Nobel de littérature mathématique appliquée.
Grâce au théorème de BlackToMaths et aux lemmes subsequents et je gagnerai le prix Nobel de littérature mathématique appliquée.
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Quand je vois un cosinus
Je saute comme une puce
Quand je vois un logarithme
Je trépigne sur ma chaise
Je joue cent mille beaux rythmes
Je compte jusqu'à treize ou seize
Et puis dix-sept
S'il me reste des chiffres
Ce qui n'est pas toujours le cas
Car je dépense beaucoup de chiffres
Faire des maths voyez-vous ça
C'est jouer du fifre
Il faut du souffle
Il faut du ouffle
Il faut des choses
Que je n'ai pas.
Je saute comme une puce
Quand je vois un logarithme
Je trépigne sur ma chaise
Je joue cent mille beaux rythmes
Je compte jusqu'à treize ou seize
Et puis dix-sept
S'il me reste des chiffres
Ce qui n'est pas toujours le cas
Car je dépense beaucoup de chiffres
Faire des maths voyez-vous ça
C'est jouer du fifre
Il faut du souffle
Il faut du ouffle
Il faut des choses
Que je n'ai pas.
Invité- Invité
Re: Mes écrits
C'est quand même curieux qu'on puisse infiniment compresser une suite infinie et la réduire à sa complexité de Kolmogorov. Comment les maths expliquent-elles ce paradoxe ?
Invité- Invité
Re: Mes écrits
velopper ?
[je ne sais pas ce que c'est la complexité de molotov].
Mais je ne sais pas comment les maths peuvent expliquer ce paradoxe mon pauvre ami je ne sais même pas c'est quoi les maths d'ailleurs c'est quoi ?
[je ne sais pas ce que c'est la complexité de molotov].
Mais je ne sais pas comment les maths peuvent expliquer ce paradoxe mon pauvre ami je ne sais même pas c'est quoi les maths d'ailleurs c'est quoi ?
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Bah, y a une page wikipedia. En français. https://fr.wikipedia.org/wiki/Complexit%C3%A9_de_Kolmogorov
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Désolé je ne lis pas le français.
[Je ne lis que l'italien et encore, qu'en mangeant des pâte].
[Je ne lis que l'italien et encore, qu'en mangeant des pâte].
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Que Bello la pasta del italiono con troppo.
Mangiate la verdura e del carne con pomodori. Si sono italiano. La donna compra una bella gonna nera.
Mangio la pasta a la salsa di pomodori.
I auto italiane sono piu belle que le francese.
El capeto è nello Zaino.
Mangio la tarta al cioccolino.
MI chiamo BlackToMaths, e tu?
Paola è una ragazza italiana.
A sabato mangio il polle.
Preferesci le mele o le pere?
Preferesco le pomodori.
La cameriera porta un caffè e un tè.
El tarto è nello forno.
Sono a casa mia.
Hi un appartemento o una casa?
Mangiate la pasta con il formaggio?
La studentessa parla italiano.
La signora porta una bella gonna verde e rossa e nera et blua e bleua della mare del sudo e ha una bella machina italiana rossa e granda.
Il ragazzo mangia un panino.
L'uomo mangia un cavolo.
Il gatto è sullo tavolo.
Paolo mangia una mela ma Stefano mangia una pera.
Ilaria non mangia mai del carne. Sei vegetariana.
Va bene va bene molto bene ciao.
Mangiate la verdura e del carne con pomodori. Si sono italiano. La donna compra una bella gonna nera.
Mangio la pasta a la salsa di pomodori.
I auto italiane sono piu belle que le francese.
El capeto è nello Zaino.
Mangio la tarta al cioccolino.
MI chiamo BlackToMaths, e tu?
Paola è una ragazza italiana.
A sabato mangio il polle.
Preferesci le mele o le pere?
Preferesco le pomodori.
La cameriera porta un caffè e un tè.
El tarto è nello forno.
Sono a casa mia.
Hi un appartemento o una casa?
Mangiate la pasta con il formaggio?
La studentessa parla italiano.
La signora porta una bella gonna verde e rossa e nera et blua e bleua della mare del sudo e ha una bella machina italiana rossa e granda.
Il ragazzo mangia un panino.
L'uomo mangia un cavolo.
Il gatto è sullo tavolo.
Paolo mangia una mela ma Stefano mangia una pera.
Ilaria non mangia mai del carne. Sei vegetariana.
Va bene va bene molto bene ciao.
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Tempismo perfetto :
https://it.wikipedia.org/wiki/Complessit%C3%A0_di_Kolmogorov
Invité- Invité
Re: Mes écrits
Histoires de famille
Mon frère va avoir un troisième mouflet et ma sœur qui est infertile est jalouse comme une sauterelle elle n'a pu adopter qu'un bambin africain noir comme la nuit et d'ailleurs, très beau. Ainsi va la famiglia et ses drames, ses espoirs, ses joies et ses renoncements et ce monde est-il autre chose qu'injuste quand il donne à un être le désir d'enfanter conjoint à l'impossibilité. Injuste et cruel et ses histoires de familles qui tournent dans le manège des drames et des absurdes rictus qui dessinent la frustrante échalade vers le trépas inéluctable. Shakespeare en ces lieux trouveraient à dire où je n'esquisse que la notoriété d'un fait désaccompli d'une vie ou de deux peu importe c'est celle d'un autre avarié et le temps d'un esclave est compté.
Histoire de famille et Roméo mari de Juliette le temps d'une journée a sombré a compris le désir et la mort et ma sœur et mon frère et bébé le chagrin sans succès le coït sans récolte la moisson sans semence d'une hutte mon beau-frère a beau baiser comme un arbre à mille queues ne rendra ma sœur heureuse qui vieillit et déjà ne se fane qu'elle se courbe et pleure pleure, pleure comme une âme amoindrie par le flot des années de travail de lutte de privation d'espoir de désespoir et de contredésespoir que porte à son tour ce petit éthiopien au regard fragile sur un monde insipide sans vérité tangible.
Famille de Noël en exil au printemps de la lutte de miel sans sucre où les frères s'entre-déchirent pour un oui pour un non pour une blonde ou une brune et le tais est de mise quand le frère est d'équerre il se tient à carreau d'un mal qui sent la bite à pleine chatte et tout le monde est gavé de liquide séminal raffiné filtré et distillé les armoiries sont pleines de sperme de nos aïeux la vie n'est qu'un bassin de foutre où batifolent nos pères où ratifolent nos mères et dans une belle gerbe de jouissance ceci ne mène à rien.
Et la baise bat son plein bat le blé le froment et la gangue de son et nourrit le bébé qui grandit et flétrit et l'on dit : "c'est beau. C'est la vie. Gousi Gousi." Et vous répondez "Gousi gousa".
Et quand l'on crie et quand l'on rit l'on oublie ce refrain et quand viennent les jours de gloire on oublie encore plus et quand vient le feu de paille l'on oublie que l'on a oublié et l'on est triste et l'on n'est plus rien et l'on ne sait même pas pourquoi alors l'on le reproche à l'autre.
Et l'on chante à plein cœur ce nouveau refrain et c'est sa faute et c'est leur faute et c'est les vils et les veuls. Et d'ailleurs c'est vraiment les vils et c'est vraiment les veuls. Mais l'on ne s'aperçoit pas que l'on en fait partie.
Alors que nos enfants soient des bébés ou des projets l'on va chez le psychiatre qui nous prescrit des anti dépresseurs et l'on lui dit "merci" comme d'autres disent à Big Brother : "Je t'aime".
Mon frère va avoir un troisième mouflet et ma sœur qui est infertile est jalouse comme une sauterelle elle n'a pu adopter qu'un bambin africain noir comme la nuit et d'ailleurs, très beau. Ainsi va la famiglia et ses drames, ses espoirs, ses joies et ses renoncements et ce monde est-il autre chose qu'injuste quand il donne à un être le désir d'enfanter conjoint à l'impossibilité. Injuste et cruel et ses histoires de familles qui tournent dans le manège des drames et des absurdes rictus qui dessinent la frustrante échalade vers le trépas inéluctable. Shakespeare en ces lieux trouveraient à dire où je n'esquisse que la notoriété d'un fait désaccompli d'une vie ou de deux peu importe c'est celle d'un autre avarié et le temps d'un esclave est compté.
Histoire de famille et Roméo mari de Juliette le temps d'une journée a sombré a compris le désir et la mort et ma sœur et mon frère et bébé le chagrin sans succès le coït sans récolte la moisson sans semence d'une hutte mon beau-frère a beau baiser comme un arbre à mille queues ne rendra ma sœur heureuse qui vieillit et déjà ne se fane qu'elle se courbe et pleure pleure, pleure comme une âme amoindrie par le flot des années de travail de lutte de privation d'espoir de désespoir et de contredésespoir que porte à son tour ce petit éthiopien au regard fragile sur un monde insipide sans vérité tangible.
Famille de Noël en exil au printemps de la lutte de miel sans sucre où les frères s'entre-déchirent pour un oui pour un non pour une blonde ou une brune et le tais est de mise quand le frère est d'équerre il se tient à carreau d'un mal qui sent la bite à pleine chatte et tout le monde est gavé de liquide séminal raffiné filtré et distillé les armoiries sont pleines de sperme de nos aïeux la vie n'est qu'un bassin de foutre où batifolent nos pères où ratifolent nos mères et dans une belle gerbe de jouissance ceci ne mène à rien.
Et la baise bat son plein bat le blé le froment et la gangue de son et nourrit le bébé qui grandit et flétrit et l'on dit : "c'est beau. C'est la vie. Gousi Gousi." Et vous répondez "Gousi gousa".
Et quand l'on crie et quand l'on rit l'on oublie ce refrain et quand viennent les jours de gloire on oublie encore plus et quand vient le feu de paille l'on oublie que l'on a oublié et l'on est triste et l'on n'est plus rien et l'on ne sait même pas pourquoi alors l'on le reproche à l'autre.
Et l'on chante à plein cœur ce nouveau refrain et c'est sa faute et c'est leur faute et c'est les vils et les veuls. Et d'ailleurs c'est vraiment les vils et c'est vraiment les veuls. Mais l'on ne s'aperçoit pas que l'on en fait partie.
Alors que nos enfants soient des bébés ou des projets l'on va chez le psychiatre qui nous prescrit des anti dépresseurs et l'on lui dit "merci" comme d'autres disent à Big Brother : "Je t'aime".
Invité- Invité
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