Addiction au sucre, oui ou non
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Addiction au sucre, oui ou non
Je retrouve des trucs rassemblés il y a un bout de temps déjà...
Je ne vérifie pas si les liens fonctionnent encore ni rien, je balance un peu en vrac.
Documentaires et commentaires média :
https://bjsm.bmj.com/content/52/14/910
https://www.theguardian.com/society/2017/jan/05/is-sugar-worlds-most-popular-drug
BBC5Live sugar addiction interview
[audio, en anglais, 11’30]
Dans les papiers scientifiques 'SUGAR ADDICTION' :
Hyper-Palatable Foods: Development of a Quantitative Definition and Application to the US Food System Database
Je ne vérifie pas si les liens fonctionnent encore ni rien, je balance un peu en vrac.
Documentaires et commentaires média :
https://www.theguardian.com/society/2017/aug/25/is-sugar-really-as-addictive-as-cocaine-scientists-row-over-effect-on-body-and-brainSucre, le doux mensonge, de Michèle Hozer (All/Can, 2015, 90 min)
Proposé entre autre sur Arte (sciences et technologie)
En fait, plutôt axé sur le lobbying et la critique du poids des mastodontes de l’agroalimentaire sur les chercheurs et les cliniciens
Si ce documentaire devait susciter des réactions, je verrais plutôt ça dans un fil politique (lobby du sucre, lobby du lait, lobby de la viande, lobby des pharma,…).
https://www.youtube.com/watch?v=783w2bgCDaI
https://bjsm.bmj.com/content/52/14/910
https://www.theguardian.com/society/2017/jan/05/is-sugar-worlds-most-popular-drug
Tout compte fait
Un ingrédient aussi addictif qu'une drogue dure
3’
« Le sucre est devenu un ingrédient de base de l'industrie agro-alimentaire, qui en met même dans des plats salés comme les pizzas surgelés, le pain de mie, les soupes ou la charcuterie. Quel est son intérêt ? Est-ce une question de coût ? Cette matière première bon marché est utilisée massivement par les géants de l'industrie pour ses propriétés addictives, malgré les dégâts avérés sur la santé. Diabète et obésité ne sont que la face émergée de l'iceberg. De nouvelles maladies liées à la consommation excessive de sucre apparaissent, insidieuses. »
https://www.france.tv/france-2/tout-compte-fait/1061289-un-ingredient-aussi-addictif-qu-une-drogue-dure.html
Addiction: l'autre poudre blanche
Titre original :
L'autre poudre blanche
2015
4 min 04
Nicolas Baker et Claude Delhaye
CNRS Images
Le sucre serait-il aussi addictif que la cocaïne ? C'est ce que semblent montrer les expériences de Serge Ahmed et son équipe à Bordeaux. Reste à savoir si notre surconsommation de sucre est seule responsable de l'épidémie mondiale d'obésité.
https://lejournal.cnrs.fr/videos/addiction-lautre-poudre-blanche
Sucre, comment ils nous rendent accros ! - Tout compte fait
« Alors que nous consommions un kilo de sucre par an et par personne il y a un peu plus d'un siècle, nous atteignons aujourd'hui 35 kilos par an et par personne ! Le sucre est partout et pas seulement dans les sucreries… C'est un élément qui a pris une place dominante dans notre alimentation et qui pourtant fait courir de gros risques à notre santé. Il est devenu un ingrédient de base de l'industrie agro-alimentaire qui en met même dans des plats salés comme les pizzas surgelées, le pain de mie, les soupes ou la charcuterie. Quel est son intérêt ? Est-ce une question de coût ?
La journaliste Emmanuelle Mesplède a enquêté auprès des géants de l'agro-alimentaire. Elle a découvert que le sucre est utilisé massivement car c’est une matière première bon marché mais aussi peut-être pour ses propriétés addictives.
[…] »
https://www.youtube.com/watch?v=KjuxO8zoZ0M
https://www.youtube.com/watch?v=oE9RoQbbOPI&feature=emb_logoLe sucre est-il vraiment aussi addictif que la cocaïne?
Par Victor Garcia,
publié le 29/08/2017 à 17:54 , mis à jour le 31/08/2017 à 12:08
Une étude publiée au mois d'août affirme que le sucre doit être considéré comme une substance aussi addictive que les drogues. Ce que contestent d'autres experts.
Le sucre serait-il une substance aussi addictive que la cocaïne, l'héroïne ou encore l'alcool? Oui, du moins si l'on en croit les auteurs d'une méta-analyse publiée le 23 août dans le British Journal of Sports Medicine par deux chercheurs de l'Institut du coeur de Saint Luke, aux Etats-Unis. Après avoir compilé une soixantaine d'études sur le sucre, le spécialiste des maladies cardiovasculaires James J. DiNicolantonio et le cardiologue James H O'Keefe ont conclu que "la consommation de sucre produit des effets similaires à la consommation de cocaïne, notamment parce qu'elle altère l'humeur, possiblement parce qu'elle induit le plaisir et [active le mécanisme du cerveau de] la récompense, ce qui provoque la recherche du sucre".
Selon leur analyse, le sucre pourrait même être une porte d'entrée vers l'alcool et d'autres substances addictives. Les chercheurs rappellent aussi que "le sucre, tout comme la cocaïne et l'opium, est extrait de plantes puis raffiné en cristaux", un procédé qui augmenterait "significativement ses propriétés addictives". "Chez les rongeurs, le sucre est plus addictif que la cocaïne, donc le sucre est probablement la substance addictive la plus consommée au monde, et cela fait des ravage sur notre santé", confie DiNicolantonio, interrogé par le Guardian, citant des études démontrant que les rongeurs choisissent plus volontiers une substance sucrée que la cocaïne -quand on leur propose de choisir-, ou que les souris consommant du sucre manifestent des effets de manque.
"Ils ont mal compris les études sur les rongeurs"
Ces conclusions sont pourtant critiquées par d'autres chercheurs. Car si les scientifiques s'accordent sur les dangers liés à la surconsommation de sucre -caries, obésité, diabète-, certains rappellent que ses effets n'ont rien à voir avec ceux des stupéfiants comme la cocaïne. L'addiction au sucre chez l'Homme, globalement reconnue, est également relativisée par des chercheurs qui soulignent les limites des études sur les rongeurs. D'autres jugent même "absurde" de comparer l'addiction au sucre et aux drogues.
C'est le cas de Hisham Ziauddeen, psychiatre à l'université de Cambridge. Invité sur la BBC à débattre avec James O'Keefe, co-auteur de la méta-analyse indiquant que le sucre est aussi addictif que la cocaïne, Ziauddeen reconnaît qu'il y a "bien un problème avec l'obésité et avec le fait que de nombreux aliments sont trop caloriques et trop sucrés". Mais il réfute le fait que le sucre soit "addictif" au même titre que la cocaïne ou l'alcool. "L'idée que le sucre soit addictif pour les Hommes ne tient tout simplement pas la route, affirme-t-il, s'appuyant sur ses propres travaux, détaillés dans une étude de 2016. Selon lui, les auteurs de la méta-analyse sur le sucre ont tout simplement mal compris les études sur les rongeurs. "Ce qu'elles montrent, c'est que l'addiction apparaît quand ces animaux ont accès au sucre uniquement deux heures par jour. Si vous les autorisez à en avoir à tout instant alors ils ne montrent pas de signe de dépendance", affirme-t-il auprès du Guardian. Le psychiatre souligne aussi que les mêmes expériences fonctionnent avec du saccharine [un substitut du sucre], ce qui semble indiquer que "l'attrait pourrait être plus lié au goût sucré plutôt qu'au sucre en lui-même".
Électrocutée, la souris veut quand même sa coke, pas son sucre
Maggie Westwater, sa collègue à l'université de Cambridge, partage le même avis. Les rongeurs ne vont pas réclamer de sucre si on associe leur consommation à un stimulus négatif, comme un choc électrique, ce qui ne se vérifie pas avec la cocaïne, rappelle-t-elle auprès du quotidien britannique. Les deux chercheurs de Cambridge estiment également qu'il n'y a rien d'étonnant à ce que le sucre et la cocaïne activent le même "mécanisme de récompense" du cerveau. "Les circuits qui contrôlent les comportements alimentaires sont les mêmes que ceux qui réagissent à la consommation de drogue. Sauf que, contrairement au sucre, les drogues semblent pirater ces systèmes et les détourner de leur fonctionnement normal", expliquent-ils.
Pour Serge Ahmed, directeur de recherche CNRS, neuroscientifique auteur de plusieurs études sur le sujet -dont deux citées dans la méta-analyse-, l'addiction au sucre est incontestable. Interrogé par L'Express, ce spécialiste français estime même que ceux qui remettent en cause cette addiction seraient au mieux incompétents au pire "financés par les industriels du sucre", connus pour leur intense lobbying. Dans le dernier dossier du magazine Science & Santé de l'Inserm, il reconnaît néanmoins qu'il ne faut pas non plus pousser trop loin la comparaison entre le sucre et les drogues.
Jean Zwiller, directeur de recherche CNRS au laboratoire de neurosciences cognitives de Strasbourg et spécialiste des drogues, estime lui que comparer l'addiction au sucre et aux drogues "n'a pas beaucoup de sens". "Quand des gens me disent: 'Je suis dépendant du chocolat', je réponds: 'la dépendance à la cocaïne ou au crack pousse à voler, à se prostituer, vous connaissez quelqu'un qui se prostitue pour un carré de chocolat?'".
"Tout ce qui provoque du plaisir est susceptible de conduire à une dépendance"
"Le comportement alimentaire repose sur deux composantes, rappelle-t-il. L'une est métabolique: il faut manger pour avoir de l'énergie et donc survivre -or une des substances donnant le plus d'énergie est le sucre-, l'autre est hédonique [le plaisir de manger] et s'est installée progressivement au cours de l'évolution. Il est vrai que pour certaines personnes, la composante hédonique prend le pas sur la composante métabolique, poursuit-il. Elles se mettent alors à manger de manière compulsive. Mais dire que cette compulsion est pareille à celle provoquée par l'héroïne ou du crack, il ne faut pas pousser."
Pour Jean Zwiller, l'analyse est "très simple". "Tout ce qui provoque du plaisir est susceptible de conduire à une dépendance: le jeu, la nourriture, le sexe, etc. La question est de savoir s'il s'agit d'un dysfonctionnement du plaisir ou de la motivation. Pour l'instant, selon le manuel de l'Association américaine de psychiatrie, une référence pour définir les maladies mentale, il est encore trop tôt pour établir de façon définitive une conclusion sur le sucre". (G)lucide.
Les médecins ayant conduit la méta-analyse publiée en 2017 (dans une revue de médecine du sport) sont donc un cardiologue et un spécialiste des maladies cardio-vasculaire. Leur interprétation de données relevant du comportement de rongeurs de laboratoire en situations expérimentales peut laisser songeur. Le problème étant, selon moi, la bêtise arrogante ou la malhonnêteté intelligente d’individus tels que Serge Ahmed au CNRS de Bordeaux, prêts à tout pour faire un buzz, aux détriments de la science, des chercheurs honnêtes et de la société, ..
https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/le-sucre-est-il-vraiment-aussi-addictif-que-la-cocaine_1938291.html
BBC5Live sugar addiction interview
[audio, en anglais, 11’30]
Dans les papiers scientifiques 'SUGAR ADDICTION' :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31689013Eating disorder animal model.
Abstract
PURPOSE OF REVIEW:
The aim of this review is to describe animal models that simulate the features of eating disorders. The literature pertaining to animal models that are of relevance for clinical eating disorders and the possible underpinning mechanisms was reviewed using PubMed, Ovid database and Google Scholar.
RECENT FINDINGS:
New refinements of the circuits regulated by neurotransmitters and neuropeptides which instigate eating behaviours and the various feedback pathways which monitor acute and chronic nutrient status continue to be discovered. Moreover, work with the animal models that simulate the behavioural features and risk factors related to eating disorders is flourishing and providing new insights into possible causal mechanisms. For example, rodents develop binge-eating behaviours if they are intermittently exposed to processed, palatable foods and/or sugar adulterated drinks. This led to the controversial conceptualization of binge eating as a form of food addiction. Self-starvation taken to a fatal consequence such as occurs in anorexia nervosa can emerge in rodents exposed to triggers like social exclusion and/or the opportunity to exercise.
SUMMARY:
There are plausible animal models for both anorexia nervosa and binge-eating disorders. These can be used to elaborate the theoretical models to explain the mechanisms underpinning eating disorders.
Eating disorder animal model.
Treasure, Janet; Eid, Laura
Current Opinion in Psychiatry: November 2019 - Volume 32 - Issue 6 - p 471-477
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31335333
Hyper-Palatable Foods: Development of a Quantitative Definition and Application to the US Food System Database
From biology to behavior: a cross-disciplinary seminar series surrounding added sugar and low-calorie sweetener consumption.
Obes Sci Pract. 2019 Apr 11;5(3):203-219. doi: 10.1002/osp4.334. eCollection 2019 Jun. Review.
PMID: 31275594 Free PMC Article
Seminar 2: Why is reducing added sugar intake so difficult?
Question #1. ‘Is Sugar Addictive?’
Seminar 3: Are added sugar alternatives or other novel ingredients viable options for reducing added sugar intake at the population level?
Question #3. ‘Non‐nutritive Sweeteners: Helpful or Harmful?’
Overall conclusions
The GWU Sugar and Low‐calorie Sweetener Seminar Series provided a neutral forum for discussing and critically evaluating approaches to lowering added sugar intake and facilitated representation of a range of stakeholder perspectives. The series was not intended to produce consensus or actionable conclusions, but rather, was designed to set the foundation for robust cross‐sector dialogue necessary to inform meaningful future research, and ultimately, effective policies for lowering added sugar intakes.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31275594
The impact of sugar consumption on stress driven, emotional and addictive behaviors.
Jacques A, Chaaya N, Beecher K, Ali SA, Belmer A, Bartlett S.
Neurosci Biobehav Rev. 2019 Aug;103:178-199. doi: 10.1016/j.neubiorev.2019.05.021. Epub 2019 May 21. Review.
PMID: 31125634 Free Article
Abstract
In 2016 the World Health Organization reported 39% of the world's adult population (over 18 y) was overweight, with western countries such as Australia and the United States of America at 64.5% and 67.9% respectively. Overconsumption of high fat/sugar containing food and beverages contribute to the development of obesity. Neural plasticity that occurs as a result of long term sugar consumption has been shown to reduce impulse control and therefore lower the ability to resist the high fat/sugar foods contributing to the obesity epidemic. There is significant overlap between the neural pathways involved in emotions that guide behavioural responses to survival situations with those regulating overconsumption of highly palatable food. This suggests that having a clearer understanding of the role of stress and emotions in the development of obesity will lead to the development of novel therapeutic strategies. Sucrose consumption activates the mesocorticolimbic system in a manner synonymous with substances of abuse. There is overwhelming evidence to support the hypothesis that sucrose consumption results in pathophysiological consequences such as morphological neuronal changes, altered emotional processing and modified behaviour in rodent and human models. In this comprehensive review, we examined >300 studies investigating the interaction between sugar consumption, stress and emotions. Preclinical and clinical trials investigating highly palatable foods and stress, anxiety, depression and fear are reviewed. Importantly, the synergy between sugar consumption and neurobiology is addressed. This review summarizes the neurochemical changes and neural adaptations ö including changes in the dopaminergic system ö that influence emotion and behaviour following sugar consumption.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31125634
Excessive Consumption of Sugar: an Insatiable Drive for Reward.
Olszewski PK, Wood EL, Klockars A, Levine AS.
Curr Nutr Rep. 2019 Jun;8(2):120-128. doi: 10.1007/s13668-019-0270-5. Review.
PMID: 30945139
Abstract
PURPOSE OF REVIEW:
Eating behavior provides energy to ensure proper functioning of the organism. Reward aids in seeking foods that bring energy and pleasant taste, whose consumption is safe. As evidenced by the obesity "epidemic" which largely stems from overeating, reward becomes a detriment when palatable tastants are available in unlimited quantities. This review presents recent evidence on mechanisms underlying palatability-driven excessive consumption of sugar.
RECENT FINDINGS:
Appetite for sugar is propelled by changes in the morphology and activity of the reward system reminiscent of addiction. Sugar intake also shifts the hunger-satiety continuum, facilitating initiation of consumption in the absence of energy needs and maintenance of feeding despite ingestion of large food loads that endanger homeostasis. Ingestion of excessive amounts of sugar relies on triggering mechanisms that promote addictive-like behaviors, and on overriding neuroendocrine signals that protect internal milieu.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30945139
Childhood Fructoholism and Fructoholic Liver Disease.
Ribeiro A, Igual-Perez MJ, Santos Silva E, Sokal EM.
Hepatol Commun. 2018 Nov 30;3(1):44-51. doi: 10.1002/hep4.1291. eCollection 2019 Jan. Review.
PMID: 30619993 Free PMC Article
Abstract
Nonalcoholic fatty liver disease (NAFLD) is an emerging entity, becoming the most prevalent pediatric chronic liver disease. Its broad spectrum of histological findings, comorbidities, and complications, including cirrhosis and liver failure, can occur in childhood, emphasizing the severity of pediatric NAFLD. Current lifestyle and diet modifications have been linked to the increasing prevalence of NAFLD, including the rise of fructose consumption, a monosaccharide present in foods that contain added sugar, such as sugar-sweetened beverages. Excessive fructose consumption is believed to cause addiction like alcohol and other drugs. As such, the new term "fructoholism" refers to the consumption of a substance (fructose) that can cause psychological and physical damage and become a major public health concern, highlighting the seriousness of the excessive consumption of fructose in the pediatric age. Hepatic fructose metabolization leads to hepatic steatosis and progression to fibrosis through mechanisms comparable to alcoholic liver disease, hence the term "fructoholic liver disease." Conclusion: The importance of implementing reliable global strategies, such as education campaigns to promote healthy diet, increasing taxes on foods that contain added sugars, subsidies to promote accessibility to fruit and vegetables, and strict food industry regulation to reduce sugar intake in children and adolescents, cannot be overemphasized.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30619993
Topsy Turvy- Messages : 8348
Date d'inscription : 10/01/2020
Re: Addiction au sucre, oui ou non
Pas eu le temps de lire sauf les titres, faut que j'aille cuisiner.
Je ne suis pas certain que la fameuse expérience avec le rat soit reproductible chez l'homme. En tout cas parmi ceux que je connais et qui ont expérimenté, à choisir entre un bonbon menthe et un rail de coke peu hésitent.
Je n'ai jamais entendu parler d'individus en manque de sucre au point de faire des accès psychotiques.
Hum, comment dire ...Le sucre est-il vraiment aussi addictif que la cocaïne ?
Je ne suis pas certain que la fameuse expérience avec le rat soit reproductible chez l'homme. En tout cas parmi ceux que je connais et qui ont expérimenté, à choisir entre un bonbon menthe et un rail de coke peu hésitent.
Je n'ai jamais entendu parler d'individus en manque de sucre au point de faire des accès psychotiques.
Confiteor- Messages : 9135
Date d'inscription : 01/04/2017
Age : 65
Localisation : Drôme
Re: Addiction au sucre, oui ou non
Intéressant comme sujet, m'en vais aller lire toussa
Laelia- Messages : 2911
Date d'inscription : 23/02/2022
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