Addiction. Addictions.
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Mevlanya
paradox
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Forum ZEBRAS CROSSING :: Zèbrement vous :: Vie de zèbre :: Psychologie, difficultés, addictions, travail sur soi
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Addiction. Addictions.
[i]J'arrive, en fait, comme un Bizut, comme une Bleusaille,
sur ce forum.
Avec plein, plein , de questions; plein, plein , plein , de quêtes............
Oui, je suis addict à l'alcool, en tant qu'anxiolytique; sauf qu'il m'est apparu récemment davantage comme un agresso-pas- lytique (en particulier envers mes enfants...) que comme le produit que j'utilisais naguère.
Je suis capable de dire NON à l'alcool. Mais pas définitivement.
(Non au suicide, pour l'instant.)
(Et je déteste l'idée que l'alcool détruit mes neurones. Mes neurones : mon Moi.)
Alors oui, je viens ici comme un esprit survolant les nées(complexe de l'Albatros).
Oui, je viens aussi humblement, comme un pauvre homme exténué.
Je suis usé. Me sens usé. Au bout de l'Etre.
Procrastination (une excuse?) : point de projet digne de Kant; lequel arpentait chaque jour les mêmes quais, obstinément. Syndrome de Kant : ?
Mais qui sont donc ces jeunes, surdoués ?
Je leur laisse leur monde. Tel qu'il est.
Révolte.
Infarctus.
Mort.
Et le surdon, on s'en fout, finalement, non ?
sur ce forum.
Avec plein, plein , de questions; plein, plein , plein , de quêtes............
Oui, je suis addict à l'alcool, en tant qu'anxiolytique; sauf qu'il m'est apparu récemment davantage comme un agresso-pas- lytique (en particulier envers mes enfants...) que comme le produit que j'utilisais naguère.
Je suis capable de dire NON à l'alcool. Mais pas définitivement.
(Non au suicide, pour l'instant.)
(Et je déteste l'idée que l'alcool détruit mes neurones. Mes neurones : mon Moi.)
Alors oui, je viens ici comme un esprit survolant les nées(complexe de l'Albatros).
Oui, je viens aussi humblement, comme un pauvre homme exténué.
Je suis usé. Me sens usé. Au bout de l'Etre.
Procrastination (une excuse?) : point de projet digne de Kant; lequel arpentait chaque jour les mêmes quais, obstinément. Syndrome de Kant : ?
Mais qui sont donc ces jeunes, surdoués ?
Je leur laisse leur monde. Tel qu'il est.
Révolte.
Infarctus.
Mort.
Et le surdon, on s'en fout, finalement, non ?
FB- Messages : 398
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 72
Localisation : Sud
Re: Addiction. Addictions.
On est tous humains, surdon ou pas, évidemment.
Même si on peut choisir de prendre un point de vue tel que : le surdon entraîne certaines choses.
Les addictions, peu d'humain peuvent s'en passer je pense. Chacun a les siennes, mais on peut pas en avoir aucune, à moins d'être un sage.
les accepter pour mieux les gérer ? Avoir une autre relation avec elles ?
Rien n'est fatal, même la mort je dirai. et même si la vie est belle, une longue vie n'est pas forcément un bien. Quitte à s'autodétruire, autant en être heureux, et autant dire que nous nous autodétruisons tous plus ou moins...
Je soulignerai juste une chose pour finir "Mes neurones : mon Moi" : je ne suis pas très d'accord avec ça ^^. l'alcool et les drogues ne détruisent pas le "soi", ils l'empêchent de se construire
Même si on peut choisir de prendre un point de vue tel que : le surdon entraîne certaines choses.
Les addictions, peu d'humain peuvent s'en passer je pense. Chacun a les siennes, mais on peut pas en avoir aucune, à moins d'être un sage.
les accepter pour mieux les gérer ? Avoir une autre relation avec elles ?
Rien n'est fatal, même la mort je dirai. et même si la vie est belle, une longue vie n'est pas forcément un bien. Quitte à s'autodétruire, autant en être heureux, et autant dire que nous nous autodétruisons tous plus ou moins...
Je soulignerai juste une chose pour finir "Mes neurones : mon Moi" : je ne suis pas très d'accord avec ça ^^. l'alcool et les drogues ne détruisent pas le "soi", ils l'empêchent de se construire
paradox- Messages : 16
Date d'inscription : 13/09/2012
Re: Addiction. Addictions.
Faman Bougozonie a écrit:J'arrive, en fait, comme un Bizut, comme une Bleusaille,
sur ce forum.
Avec plein, plein , de questions; plein, plein , plein , de quêtes............
Oui, je suis addict à l'alcool, en tant qu'anxiolytique; sauf qu'il m'est apparu récemment davantage comme un agresso-pas- lytique (en particulier envers mes enfants...) que comme le produit que j'utilisais naguère.
Je suis capable de dire NON à l'alcool. Mais pas définitivement.
(Non au suicide, pour l'instant.)
(Et je déteste l'idée que l'alcool détruit mes neurones. Mes neurones : mon Moi.)
Alors oui, je viens ici comme un esprit survolant les nées(complexe de l'Albatros).
Oui, je viens aussi humblement, comme un pauvre homme exténué.
Je suis usé. Me sens usé. Au bout de l'Etre.
Procrastination (une excuse?) : point de projet digne de Kant; lequel arpentait chaque jour les mêmes quais, obstinément. Syndrome de Kant : ?
Mais qui sont donc ces jeunes, surdoués ?
Je leur laisse leur monde. Tel qu'il est.
Révolte.
Infarctus.
Mort.
Et le surdon, on s'en fout, finalement, non ?
Apres 20 ans de consommation dont 15 de problématique, j'ai aretez l'alcool il y a plus d'un an et demie maintenant (une manière de dire que je suis alcoolique abstinant), parce que comme toi, je disais:
Je suis capable de dire NON à l'alcool. Mais pas définitivement.
Le surdon, dans le sens commun "+ intelligent" ou on s'en fout, on s'en contre fout et on s'en tamponne le coquillard si je peux me permettre l'expression.
Par contre, la sensibilité induite par le surdon, c'est autre chose:
Pearl Buck« Quel que soit son domaine de création, le véritable esprit créatif n’est rien d’autre que ça : une créature humaine née anormalement, inhumainement sensible. Pour lui, un effleurement est un choc, un son est un bruit, une infortune est une tragédie, une joie devient extase, l’ami un amoureux, l’amoureux est un dieu, et l’erreur est la fin de tout. Ajoutez à cet organisme si cruellement délicat l’impérieuse nécessité de créer, créer, et encore créer – au point que sans la possibilité de créer de la musique, de la poésie, des livres, des édifices, ou n’importe quoi d’autre qui ait du sens, il n’a plus de raison d’être. Il doit créer, il doit se vider de sa créativité. Par on ne sait quelle étrange urgence intérieure, inconnue, il n’est pas vraiment vivant à moins qu’il ne soit en train de créer. »
Tout comme la conscience du monde...
Kazimierz DabrowskiJe vous salue névrosés !
Parce que vous êtes sensibles dans un monde insensible, n’avez aucune certitude dans un monde pétri de certitudes
Parce que vous ressentez les autres comme si ils étaient vous-mêmes
Parce que vous ressentez l’anxiété du monde et son étroitesse sans fond et sa suffisance
Parce vous refusez de vous laver les mains de toutes les saletés du monde, parce que vous craignez d’être prisonniers des limites du monde pour votre peur de l’absurdité de l’existence
Pour votre subtilité à ne pas dire aux autres ce que vous voyez en eux
Pour votre difficulté à gérer les choses pratiques et pour votre pragmatisme à gérer l’inconnu, pour votre réalisme transcendental et votre manque de réalisme au quotidien
Pour votre sens de l’exclusivité et votre peur de perdre vos amis proches, pour votre créativité et votre capacité à vous extasier
Pour votre inadaptation à « ce qui est » et votre capacité d’adaptation à « ce qui devrait être », pour toutes vos capacités inutilisées
Pour la reconnaissance tardive de la vraie valeur de votre grandeur qui ne permettra jamais l’appréciation de la grandeur de ceux qui viendront après vous
Parce que vous êtes humiliés alors que vous veillez à ne pas humilier les autres, parce que votre pouvoir immense est toujours mis à bas par une force brutale; et pour tout ce que vous êtes capable de deviner, tout ce que vous n’exprimez pas, et tout ce qui est infini en vous
Pour la solitude et l’étrangeté de vos vies
Soyez salués!
Sois salué! Faman Bougozonie.
Voila ce dont il est, je crois, question lorsque l'on parle de "surdon" ici .
Ce que j'essaie de te dire, c'est que l'alcool n'est pas le problème, c'est juste une très mauvaise solution.
Une solution addictive qui, en plus d'être un déprésseur, déforme et englue nos pensées les plus sincère.
Amicalement,
Tramber
Invité- Invité
Re: Addiction. Addictions.
[i]D'accord avec toi, oh Tramber : moi aussi je ne puis désormais être qu'un alcoolique abstinent.
Ceci posé, ça ne me tracasse pas plus que ça, j'en connais plusieurs, dont un vieux monsieur de 87 ans, qui se porte très bien, merci... (Mes proches sont beaucoup plus inquiets : ils ne pigent pas.)
Si je suis ici, c'est que j'ai "conscientisé" mon surdon il y a peu, alors que je me savais "très précoce" depuis l'âge de 8 ans (premiers tests), que j'ai aligné 15 ans de psy (quand j'en avais marre, à l'époque, je disais que je "payais"(au sens propre!!!) pour la famille, les autres se disaient sans problèmes majeurs, alors que moi, je morflais. Moi pas comprendre. Me voir comme un déformé. P-ê le suis-je, maintenant il faut que je digère les effets de ma (vraie-fausse) découverte, qui ressemble étrangement à un très long "acte-manqué"...
Alors le surdon en tant qu'affectant l'intelligence, si : cette manière de se sentir en permanence un "étrange étranger", de réfléchir tout le temps, sur des trucs dont les autres se foutent, de rencontrer l'amour(je fais simple) mais d'être déçu de l'au-delà du bien-être sensuel, et de s'esquiver (art de l'esquive), tout en se prenant pour un nul (l'imposteur), bon, j'arrête là, c'était juste pour montrer que j'ai pas ENVIE de me sentir plus intelligent, mais que les SYMPTÔMES envahissent le quotidien.
Mais tu as raison !!! La sensibilité (là aussi pour faire simple), c'est autre chose. J'ai souvent nommé cela "la dictature des sentiments". Laquelle m'a empêché de créer, la vie, le réel étant trop prégnant.
Je suis ici, tu es ici, oh Tramber!, et tous les autres, oui, j'ai besoin de vous, et j'espère que vous prendrez plaisir à ma compagnie.
Je suppose qu'une des règles du forum est "je parle de moi comme je veux", une autre étant "je ne pose pas de question indélicate aux autres", qui parlent de ce qu'ils veulent, quand ils veulent, en toute liberté...
(Mwais, j'ai pas encore tout intégré, j'arrive...)
Nota pour Paradox : ma mère, au cours de ses dernières années, avait des lésions cérébrales (micro-AVCs) qui lui faisaient perdre la mémoire, en particulier celle de travail (celle qu'on utilise lors d'une conversation, aussi).
Je peux te dire que son Moi n'en était p-ê pas affecté, c'est vrai, elle était toujours "elle", mais que c'était dur ! Au fil des ans, j'ai perdu le "contact", par lassitude, car : quel intérêt? J'ai ressenti peu de chagrin lors de sa mort (bon, si, c'était bien de ce ventre que j'étais sorti!!), à tel point que je me suis trouvé en train de choquer gravement mon frangin lorsque je lui ai dit (lui avait l'air accablé): "Tu sais, pour moi, elle était déjà morte"...
Alors, si tu veux me contre dire, ce serait avec plaisir que je t'entendrai !!
Amicalement aussi.
Faman.B.
Ceci posé, ça ne me tracasse pas plus que ça, j'en connais plusieurs, dont un vieux monsieur de 87 ans, qui se porte très bien, merci... (Mes proches sont beaucoup plus inquiets : ils ne pigent pas.)
Si je suis ici, c'est que j'ai "conscientisé" mon surdon il y a peu, alors que je me savais "très précoce" depuis l'âge de 8 ans (premiers tests), que j'ai aligné 15 ans de psy (quand j'en avais marre, à l'époque, je disais que je "payais"(au sens propre!!!) pour la famille, les autres se disaient sans problèmes majeurs, alors que moi, je morflais. Moi pas comprendre. Me voir comme un déformé. P-ê le suis-je, maintenant il faut que je digère les effets de ma (vraie-fausse) découverte, qui ressemble étrangement à un très long "acte-manqué"...
Alors le surdon en tant qu'affectant l'intelligence, si : cette manière de se sentir en permanence un "étrange étranger", de réfléchir tout le temps, sur des trucs dont les autres se foutent, de rencontrer l'amour(je fais simple) mais d'être déçu de l'au-delà du bien-être sensuel, et de s'esquiver (art de l'esquive), tout en se prenant pour un nul (l'imposteur), bon, j'arrête là, c'était juste pour montrer que j'ai pas ENVIE de me sentir plus intelligent, mais que les SYMPTÔMES envahissent le quotidien.
Mais tu as raison !!! La sensibilité (là aussi pour faire simple), c'est autre chose. J'ai souvent nommé cela "la dictature des sentiments". Laquelle m'a empêché de créer, la vie, le réel étant trop prégnant.
Je suis ici, tu es ici, oh Tramber!, et tous les autres, oui, j'ai besoin de vous, et j'espère que vous prendrez plaisir à ma compagnie.
Je suppose qu'une des règles du forum est "je parle de moi comme je veux", une autre étant "je ne pose pas de question indélicate aux autres", qui parlent de ce qu'ils veulent, quand ils veulent, en toute liberté...
(Mwais, j'ai pas encore tout intégré, j'arrive...)
Nota pour Paradox : ma mère, au cours de ses dernières années, avait des lésions cérébrales (micro-AVCs) qui lui faisaient perdre la mémoire, en particulier celle de travail (celle qu'on utilise lors d'une conversation, aussi).
Je peux te dire que son Moi n'en était p-ê pas affecté, c'est vrai, elle était toujours "elle", mais que c'était dur ! Au fil des ans, j'ai perdu le "contact", par lassitude, car : quel intérêt? J'ai ressenti peu de chagrin lors de sa mort (bon, si, c'était bien de ce ventre que j'étais sorti!!), à tel point que je me suis trouvé en train de choquer gravement mon frangin lorsque je lui ai dit (lui avait l'air accablé): "Tu sais, pour moi, elle était déjà morte"...
Alors, si tu veux me contre dire, ce serait avec plaisir que je t'entendrai !!
Amicalement aussi.
Faman.B.
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Mevlanya- Messages : 43
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Localisation : ...sur le chemin...
Re: Addiction. Addictions.
@FB:
En d'autre lieu encore, tu pourra échangé sur des sujets pour lesquels tu as un vif intérêt ou carrément qui te sont obséssionnels.
Ou, ailleurs, tu pourra débattre de manière véhémente et défendre des point de vue face a des personnes aux arguments et aux expérience aussi différents que justifié que les tiens. (je traine/lit plutôt ces forum là, c'est juste que lorsque je vois "alcoolisme", j'ai tendance a rapliquer , Arielle Adda, la papesse des Doués disaient qu'ils étaient sur-représenté chez les addicts et surtout chez les alcooliques. Bref si ça te travail n'hésite pasà me MP.)
Bref un forum Z quoi ^^.
("Marrant", j'ai du faire un deuil blanc aussi avec mon père pour une raison quasi similaire: le syndrome de Korsakoff lui ayant détruit la mémoire immédiate. Et comme toi, malgrè la tritesse d'avoir perdu un être cher, j'étais heureux pour lui qu'il soit mort une deuxieme fois)
@Mevlanya:
Je les trouve très beau ces textes moi ^^, le second surtout, je le trouve plein de force... et il me "met les poils" à chaque fois que je le lit.
amicalement,
T.
Le forum c'est complexifié au fil du temps, de la savane originelle, il s'est transformer en continent, aussi, certes, tu parles de toi comme tu l'entend et, en fonction des lieux(forums) tu pourra au contraire poser des questions indélicates à tes interlocuteurs, parce qu'il est aussi bon parfois de se voir opposé des réalité qu'on essaye de s'occulté.Je suppose qu'une des règles du forum est "je parle de moi comme je veux", une autre étant "je ne pose pas de question indélicate aux autres", qui parlent de ce qu'ils veulent, quand ils veulent, en toute liberté...
En d'autre lieu encore, tu pourra échangé sur des sujets pour lesquels tu as un vif intérêt ou carrément qui te sont obséssionnels.
Ou, ailleurs, tu pourra débattre de manière véhémente et défendre des point de vue face a des personnes aux arguments et aux expérience aussi différents que justifié que les tiens. (je traine/lit plutôt ces forum là, c'est juste que lorsque je vois "alcoolisme", j'ai tendance a rapliquer , Arielle Adda, la papesse des Doués disaient qu'ils étaient sur-représenté chez les addicts et surtout chez les alcooliques. Bref si ça te travail n'hésite pasà me MP.)
Bref un forum Z quoi ^^.
("Marrant", j'ai du faire un deuil blanc aussi avec mon père pour une raison quasi similaire: le syndrome de Korsakoff lui ayant détruit la mémoire immédiate. Et comme toi, malgrè la tritesse d'avoir perdu un être cher, j'étais heureux pour lui qu'il soit mort une deuxieme fois)
@Mevlanya:
Je les trouve très beau ces textes moi ^^, le second surtout, je le trouve plein de force... et il me "met les poils" à chaque fois que je le lit.
amicalement,
T.
Invité- Invité
Re: Addiction. Addictions.
@tramber & @Mev
C'est rigolo, mais ça va se tasser, avec le temps, j'imagine...
J'écris un ti texte, et les réactions sont très différentes.
Tramber étant un "inconditionnel" qui a sur le site, j'imagine, "de la bouteille"(sans jeu de mots, je t'assure!), est très tendance "j'aide, je guide, ...", et c'est super-sympa que tu sois là quand on est un nouvel arrivant dans la savane-continent des Z et qu'on a peur.
Oui, j'ai peur. J'ai pas encore accepté d'une part le fait d'être de ce genre de Z-là, je me voyais plutôt de la sous-espèce "zèbre cinglé"; d'autre part je ne sais pas ce que je vais pouvoir trouver sur le site, j'ai tellement passé ma vie à aller de déception en déception -et de culpabiliser, parce que de quel droit puis-je me sentir déçu, non mais pour qui tu te prends? -Encore récemment, une fois en lien avec l'alcool, une autre dans un lien "amoureux", pour faire simple, alors même que je la ramène pas, mais je suis obligé de passer "à côté" des choses, sans expliquer vraiment, et les gens comprennent pas, ils pensent "qui c'est, celui-là?"-
Alors "qui c'est celui-là?", sur le site, j'ai le réflexe d'avoir peur. En bon zèbre, le salut, c'est la fuite... Toujours prêt à fuir, mon commandant!
Bon, ça va, j'ai l'impression que ça ne se passe pas du tout comme ça ici. N'empêche qu'il doit exister des moments de doute, du genre : je pensais discuter pas trop con, et puis l'autre (l'autre, avec qui j'ai noué une relation forcément sentimentale, puisque nous, les Z, nous foutons de l'affectif partout), l'autre ne répond rien, ne répond plus, ou t'envoie gentiment te faire foutre, ou... Ca doit exister, non ?
Pour soulever un autre petit point, le fait que tr. use de 2 citations dans son message (j'avais tapé "massage"...!) me fait froncer les sourcils. J'ai un frangin (est-il Z? je ne sais.) qui est très intéressant, cultivé, grand lecteur, doté d'une mémoire que je n'ai pas (la mienne consiste à faire ma soupe, on n'y reconnaît plus son vert de poireau), ultra-précise, qui ne parle qu'en citant. Oh c'est passionnant ! Mais à la fin, on se demande qui il est... Et puis comme je ne peux (et de loin!) rivaliser avec lui(en plus on n'a pas les mêmes centres d'intérêt), à la fin j'en ai marre, sa technique me semble d'ailleurs assez perverse, parce qu'il écrase (difficile de le contrer sur son terrain), et si on le lui signifie, il nie absolument, disant que c'est son truc, qu'il ne parvient à penser que par les autres, qui le disent mieux que lui (y compris par les créations plastiques, c'est d'ailleurs son domaine).
Bon, je ne dis pas du tout que c'est ce que tu fais, tramber, mais j'ai un réflexe de recul. Rare que je cite. Et ma pensée se réduit à ma pensée, même si j'ai utilisé plein plein d'ingrédients dans ma soupe.
Quant à toi, Mev, petite nouvelle, tu t'agites comme un jeune zèbre.
Tu sais, moi aussi j'ai trouvé ton message un peu énigmatique, mais il faut, pour dialoguer de la sorte, se trouver une langue commune, non ? Et il me semble que ça n'a pas (encore) été fait.
Tu demandes si ce ne sont pas les mêmes symptômes..P-ê, mais exprimés différemment. Tu vois, j'ai tout bien relu, hé bien je ne SAIS PAS te répondre si oui, si non...
Tu te dis "challengée". Oups ! Tu vas vite, toi. Je te disais seulement que JE pensais que tu prenais le truc par un mauvais bout en parlant d'engagement, de mission à accomplir, d'impossibilité à sortir de soi and so and so, p-ê est-ce le fruit ma longue patience psychanalytique, mais j'ai envie de te dire : "cool, on se calme, non, tu n'as aucun devoir", je dirai même aucun challenge (mais là je te provoque grave, je le sens),
tu as juste à chercher, à entendre, à parler,
bon , je sais, tu fais sans doute partie de ces Z pressés, y'en a plein, je l'ai été, je le suis beaucoup moins, l'âââge, ma bonne dame (quoique : précisément, l'âge peut aussi rendre les choses plus violentes, plus urgentes.)
(Mais j'ai été aussi proche de la mort, enfin dans ma tête, et ça, je n'ai pas oublié, c'est gravé, ces instants je les revis tout le temps, je me disais "bah, ce n'est que ça, c'est pas grave" mais je pleurais en même temps parce que j'avais envie, merde, de continuer à vivre!!!)
Alors précise, précise.(enfin : si tu veux!!!)
Bon, voilà, les amis rayés,
c'est pas tout ça, mais faut que je me sauve, j'ai des obligations...
Pourtant, je suis bien avec vous.
A bientôt.
Très amicalement.
C'est rigolo, mais ça va se tasser, avec le temps, j'imagine...
J'écris un ti texte, et les réactions sont très différentes.
Tramber étant un "inconditionnel" qui a sur le site, j'imagine, "de la bouteille"(sans jeu de mots, je t'assure!), est très tendance "j'aide, je guide, ...", et c'est super-sympa que tu sois là quand on est un nouvel arrivant dans la savane-continent des Z et qu'on a peur.
Oui, j'ai peur. J'ai pas encore accepté d'une part le fait d'être de ce genre de Z-là, je me voyais plutôt de la sous-espèce "zèbre cinglé"; d'autre part je ne sais pas ce que je vais pouvoir trouver sur le site, j'ai tellement passé ma vie à aller de déception en déception -et de culpabiliser, parce que de quel droit puis-je me sentir déçu, non mais pour qui tu te prends? -Encore récemment, une fois en lien avec l'alcool, une autre dans un lien "amoureux", pour faire simple, alors même que je la ramène pas, mais je suis obligé de passer "à côté" des choses, sans expliquer vraiment, et les gens comprennent pas, ils pensent "qui c'est, celui-là?"-
Alors "qui c'est celui-là?", sur le site, j'ai le réflexe d'avoir peur. En bon zèbre, le salut, c'est la fuite... Toujours prêt à fuir, mon commandant!
Bon, ça va, j'ai l'impression que ça ne se passe pas du tout comme ça ici. N'empêche qu'il doit exister des moments de doute, du genre : je pensais discuter pas trop con, et puis l'autre (l'autre, avec qui j'ai noué une relation forcément sentimentale, puisque nous, les Z, nous foutons de l'affectif partout), l'autre ne répond rien, ne répond plus, ou t'envoie gentiment te faire foutre, ou... Ca doit exister, non ?
Pour soulever un autre petit point, le fait que tr. use de 2 citations dans son message (j'avais tapé "massage"...!) me fait froncer les sourcils. J'ai un frangin (est-il Z? je ne sais.) qui est très intéressant, cultivé, grand lecteur, doté d'une mémoire que je n'ai pas (la mienne consiste à faire ma soupe, on n'y reconnaît plus son vert de poireau), ultra-précise, qui ne parle qu'en citant. Oh c'est passionnant ! Mais à la fin, on se demande qui il est... Et puis comme je ne peux (et de loin!) rivaliser avec lui(en plus on n'a pas les mêmes centres d'intérêt), à la fin j'en ai marre, sa technique me semble d'ailleurs assez perverse, parce qu'il écrase (difficile de le contrer sur son terrain), et si on le lui signifie, il nie absolument, disant que c'est son truc, qu'il ne parvient à penser que par les autres, qui le disent mieux que lui (y compris par les créations plastiques, c'est d'ailleurs son domaine).
Bon, je ne dis pas du tout que c'est ce que tu fais, tramber, mais j'ai un réflexe de recul. Rare que je cite. Et ma pensée se réduit à ma pensée, même si j'ai utilisé plein plein d'ingrédients dans ma soupe.
Quant à toi, Mev, petite nouvelle, tu t'agites comme un jeune zèbre.
Tu sais, moi aussi j'ai trouvé ton message un peu énigmatique, mais il faut, pour dialoguer de la sorte, se trouver une langue commune, non ? Et il me semble que ça n'a pas (encore) été fait.
Tu demandes si ce ne sont pas les mêmes symptômes..P-ê, mais exprimés différemment. Tu vois, j'ai tout bien relu, hé bien je ne SAIS PAS te répondre si oui, si non...
Tu te dis "challengée". Oups ! Tu vas vite, toi. Je te disais seulement que JE pensais que tu prenais le truc par un mauvais bout en parlant d'engagement, de mission à accomplir, d'impossibilité à sortir de soi and so and so, p-ê est-ce le fruit ma longue patience psychanalytique, mais j'ai envie de te dire : "cool, on se calme, non, tu n'as aucun devoir", je dirai même aucun challenge (mais là je te provoque grave, je le sens),
tu as juste à chercher, à entendre, à parler,
bon , je sais, tu fais sans doute partie de ces Z pressés, y'en a plein, je l'ai été, je le suis beaucoup moins, l'âââge, ma bonne dame (quoique : précisément, l'âge peut aussi rendre les choses plus violentes, plus urgentes.)
(Mais j'ai été aussi proche de la mort, enfin dans ma tête, et ça, je n'ai pas oublié, c'est gravé, ces instants je les revis tout le temps, je me disais "bah, ce n'est que ça, c'est pas grave" mais je pleurais en même temps parce que j'avais envie, merde, de continuer à vivre!!!)
Alors précise, précise.(enfin : si tu veux!!!)
Bon, voilà, les amis rayés,
c'est pas tout ça, mais faut que je me sauve, j'ai des obligations...
Pourtant, je suis bien avec vous.
A bientôt.
Très amicalement.
FB- Messages : 398
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Mevlanya- Messages : 43
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Re: Addiction. Addictions.
@FB
Ce n'était pas de pédantes citations (je m’excuse si tu l'as pris ainsi ^^ ), plutôt un partage de texte qui m'ont touché lorsque je les ai découvert.
(ps: je te rassure, tu sera parfois déçu , dsl on est des êtres humains
Je ne doutes pas être parfois vulgaires dans certaines interventions, tout comme je fulmine parfois du manque de subtilité de mes comparses du forum )
Ce n'était pas de pédantes citations (je m’excuse si tu l'as pris ainsi ^^ ), plutôt un partage de texte qui m'ont touché lorsque je les ai découvert.
et moi de celle des absurdouésje me voyais plutôt de la sous-espèce "zèbre cinglé"
(ps: je te rassure, tu sera parfois déçu , dsl on est des êtres humains
Je ne doutes pas être parfois vulgaires dans certaines interventions, tout comme je fulmine parfois du manque de subtilité de mes comparses du forum )
Invité- Invité
Re: Addiction. Addictions.
Salut à vous !
Excusez, mais je suis un foutu étourdi, et je crains d'avoir prévisualisé mon message précédent, puis d'avoir négligé de l'envoyer...
Je ne le récrirai pas.
Non, ne te soucie pas, tram, on a le droit de citer ! J'ai expliqué pourquoi j'aimais pas trop, ça ne va pas + loin.
Et puis, comme écrit paradox sur un autre forum, je préfère penser par moi-même, donc je lis, je digère, et je ....
....je fabrique (oufff!) des réseaux neuronaux qui ...etc...etc....
Non, et bien que m'étant pensé longtemps névrosé (15 ans de psychanalyse), je ne me reconnais pas trop trop.
Peut-être parce que je n'ai pas une bonne image du Moi-social ?
Peut-être parce que j'écris moi-même, et que ce que j'ai envie de signifier, je préfère que ce soit moi qui le compose ?
Voilà.
Suis allé sur un forum sur l'ennui (dont la 1ère "lettre" m'a motivé), je verrai bien si ce que j'ai écrit donne suite à intéressant.
J'ai un problème : on passe plein de temps à lire, choisir, écarter, conserver, écrire... Bon, je verrai.
@ mevlanya. OK, tu n'as pas continué. Comme mon envoi reposait sur le thème "addictions", p-ê que tu ne te sens plus concernée ?
Amitiés à tou(te)s.
PS. Ouaip! j'ai lu des contributions qui me feraient douter qu'on est sur le territoire des zèbres. Est-ce dû à l'âge ? Mais des questionnements comme j'en ai lus, j'en ai entendu des tas dans ma vie professionnelle, et pas de zèbres, je vous prie de me croire !!! Ok, Z ou pas Z, on est tous humains, frères et soeurs, mais je suis venu ici pour des raisons précises. Sinon, je vais me boire un pastis au Café du Commerce le + proche...!!! (Je n'ai aucun, mais aucun mépris, pour aucun humain sur cette foutue planète. Mais je suis ici...aussi pour moi, non ?)
Excusez, mais je suis un foutu étourdi, et je crains d'avoir prévisualisé mon message précédent, puis d'avoir négligé de l'envoyer...
Je ne le récrirai pas.
Non, ne te soucie pas, tram, on a le droit de citer ! J'ai expliqué pourquoi j'aimais pas trop, ça ne va pas + loin.
Et puis, comme écrit paradox sur un autre forum, je préfère penser par moi-même, donc je lis, je digère, et je ....
....je fabrique (oufff!) des réseaux neuronaux qui ...etc...etc....
Non, et bien que m'étant pensé longtemps névrosé (15 ans de psychanalyse), je ne me reconnais pas trop trop.
Peut-être parce que je n'ai pas une bonne image du Moi-social ?
Peut-être parce que j'écris moi-même, et que ce que j'ai envie de signifier, je préfère que ce soit moi qui le compose ?
Voilà.
Suis allé sur un forum sur l'ennui (dont la 1ère "lettre" m'a motivé), je verrai bien si ce que j'ai écrit donne suite à intéressant.
J'ai un problème : on passe plein de temps à lire, choisir, écarter, conserver, écrire... Bon, je verrai.
@ mevlanya. OK, tu n'as pas continué. Comme mon envoi reposait sur le thème "addictions", p-ê que tu ne te sens plus concernée ?
Amitiés à tou(te)s.
PS. Ouaip! j'ai lu des contributions qui me feraient douter qu'on est sur le territoire des zèbres. Est-ce dû à l'âge ? Mais des questionnements comme j'en ai lus, j'en ai entendu des tas dans ma vie professionnelle, et pas de zèbres, je vous prie de me croire !!! Ok, Z ou pas Z, on est tous humains, frères et soeurs, mais je suis venu ici pour des raisons précises. Sinon, je vais me boire un pastis au Café du Commerce le + proche...!!! (Je n'ai aucun, mais aucun mépris, pour aucun humain sur cette foutue planète. Mais je suis ici...aussi pour moi, non ?)
FB- Messages : 398
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 72
Localisation : Sud
Re: Addiction. Addictions.
Coucou Faman,
J'avais répondu, puis 2 jours après j'ai pensé que mon message n'était pas si utile. Que je tournais en rond sur mon dilemme "imaginaire", et je l'ai effacé... comme un certain nombre d'autres...
(Des addictions j'en ai... comme celle de m'accrocher à certaines idées... ou des habitudes qui pourraient être avantageusement remplacées...)
J'ai aussi effacé d'autres de mes messages car j'ai trouvé quelque chose de bizarre sur d'autre fils conversationnels: certaines "descriptions de soi" par les habitants de cette cité virtuelle me font penser à un campement de "malades imaginaires"... et ça m'a "indisposée...
... mais je rode encore par ici car l'espoir (le désir) de trouver une communauté n'est pas encore totalement éteint.... mais presque... peut-être une aide et un partage ponctuels... ça semble plus raisonnable...
J'avais répondu, puis 2 jours après j'ai pensé que mon message n'était pas si utile. Que je tournais en rond sur mon dilemme "imaginaire", et je l'ai effacé... comme un certain nombre d'autres...
(Des addictions j'en ai... comme celle de m'accrocher à certaines idées... ou des habitudes qui pourraient être avantageusement remplacées...)
J'ai aussi effacé d'autres de mes messages car j'ai trouvé quelque chose de bizarre sur d'autre fils conversationnels: certaines "descriptions de soi" par les habitants de cette cité virtuelle me font penser à un campement de "malades imaginaires"... et ça m'a "indisposée...
... mais je rode encore par ici car l'espoir (le désir) de trouver une communauté n'est pas encore totalement éteint.... mais presque... peut-être une aide et un partage ponctuels... ça semble plus raisonnable...
Mevlanya- Messages : 43
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 49
Localisation : ...sur le chemin...
Re: Addiction. Addictions.
L'addiction est une sorte de "fade énergie" de ce que nous cherchons au fond de nous.
Elle ne résoud pas cette énergie que nous cherchons, dont nous avons faim, mais pour certains, elle la compense un peu. Très fadement.
Le souci, est qu'ensuite se crée la dépendance.
Comme de chercher partout de l'eau à boire, et de ne trouver qu'un verre d'eau pour tenir toute la semaine avec. Et que pour prendre ce verre d'eau, il nous faille dépendre d'un lieu ou d'une personne pour l'obtenir.
Trouvez l'eau véritable, la source d'énergie totale. Pas le verre d'eau addictif qui n'étanche pas la soif, et qui rend dépendant.
L'eau véritable a plusieurs sources: la méditation, l'ouverture aux autres, au monde, la religion, la philosophie, la spiritualité, la pleine conscience, la Nature, etc...
Trouvez l'eau véritable, buvez-la.
Et vous lâcherez ensuite l'addiction qui deviendra comme fade et sans énergie.
Parfois, le puits est tari, alors "creusez".
"Creusez" pour trouver cette eau. Elle est là.
Elle ne résoud pas cette énergie que nous cherchons, dont nous avons faim, mais pour certains, elle la compense un peu. Très fadement.
Le souci, est qu'ensuite se crée la dépendance.
Comme de chercher partout de l'eau à boire, et de ne trouver qu'un verre d'eau pour tenir toute la semaine avec. Et que pour prendre ce verre d'eau, il nous faille dépendre d'un lieu ou d'une personne pour l'obtenir.
Trouvez l'eau véritable, la source d'énergie totale. Pas le verre d'eau addictif qui n'étanche pas la soif, et qui rend dépendant.
L'eau véritable a plusieurs sources: la méditation, l'ouverture aux autres, au monde, la religion, la philosophie, la spiritualité, la pleine conscience, la Nature, etc...
Trouvez l'eau véritable, buvez-la.
Et vous lâcherez ensuite l'addiction qui deviendra comme fade et sans énergie.
Parfois, le puits est tari, alors "creusez".
"Creusez" pour trouver cette eau. Elle est là.
Invité- Invité
Re: Addiction. Addictions.
@Mevlanya
Coucou Mev',
Je n'irai pas par 4 chemins : je ressens exactement les mêmes choses que toi.
Tu les dis très bien, je n'ai aucun désir de te paraphraser .
J'ai passé mon aprèm à intervenir sur d'autres fils qui me semblaient intéressants, en m'accrochant à un message, en général le premier.
Je vais bien voir ce que ça va donner.
En dernier, je me suis aperçu que je devenais limite agressif, à force de frustration. Que j'ai exprimée. Là aussi, je verrai bieN
Je me méfie du "système-mail", il crée souvent plus de malentendus qu'il ne résout de conflits.
Tes 2 dernières lignes : oui.
Ton histoire d'écrire, puis de ne pas envoyer, puis de douter, d'effacer, de se dire que... Je fonctionne exactement de la même manière.
Alors, ben, on verra.
A bientôt sur cette chaîne, si tu le souhaites.
Thèmes bien ciblés bienvenus.
Coucou Mev',
Je n'irai pas par 4 chemins : je ressens exactement les mêmes choses que toi.
Tu les dis très bien, je n'ai aucun désir de te paraphraser .
J'ai passé mon aprèm à intervenir sur d'autres fils qui me semblaient intéressants, en m'accrochant à un message, en général le premier.
Je vais bien voir ce que ça va donner.
En dernier, je me suis aperçu que je devenais limite agressif, à force de frustration. Que j'ai exprimée. Là aussi, je verrai bieN
Je me méfie du "système-mail", il crée souvent plus de malentendus qu'il ne résout de conflits.
Tes 2 dernières lignes : oui.
Ton histoire d'écrire, puis de ne pas envoyer, puis de douter, d'effacer, de se dire que... Je fonctionne exactement de la même manière.
Alors, ben, on verra.
A bientôt sur cette chaîne, si tu le souhaites.
Thèmes bien ciblés bienvenus.
FB- Messages : 398
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 72
Localisation : Sud
Re: Addiction. Addictions.
Kara-Stéphanie,
Didonque, toi,,
je te retrouve un peu partout sur les fils.
Tu jouerais pas un peu le rôle de "gourou" sur ce site ?
Parce que ce que tu dis, ce sont un peu des "paraboles", comme dans les Evangiles, et j'aime pas trop jouer avec ça.
P-ê que ça part de l'idée d'aider l'Autre, mais encore faut-il que l'Autre soit quelque peu réceptif à ce genre de message...
Selon moi, un "surdoué" non-manipulateur, ou non-manipulable, ne peut pas recevoir tes propos.
Ca ne repose sur rien de concret, on croirait entendre un prophète du temps du Christ et de l'apocalypse.
Je suis absolument sorry : je ne suis ni dans la Religion, ni dans la Spiritualité (je peux t'écrire, si ça me rapporte qque chose, 2 essais sur le sujet; je les ai bossés/) et tu écris des choses totalement contradictoires, comme religion et philosophie, je te conseille la lecture de mon regretté JF.Revel, il est assez acide sur le thème.(Même s'il a pu écrire "Le moine et le philosophe", son fils étant un des + proches du Dalaï-Lama, la vie est un noeud de complexités!)
Et puis j'ai coupé le cordon avec les métaphores. J'ai décidé que c'était trop facile, et un excellent moyen de tricher et d'entraîner le bon peuple sur des voies pourries en lui faisant croire qu'il est intelligent.
Donc, tout ceci dit,
je voudrais savoir qui tu es, et quel est ton rôle exact en ces lieux que tu hantes.
Amicalement.
Didonque, toi,,
je te retrouve un peu partout sur les fils.
Tu jouerais pas un peu le rôle de "gourou" sur ce site ?
Parce que ce que tu dis, ce sont un peu des "paraboles", comme dans les Evangiles, et j'aime pas trop jouer avec ça.
P-ê que ça part de l'idée d'aider l'Autre, mais encore faut-il que l'Autre soit quelque peu réceptif à ce genre de message...
Selon moi, un "surdoué" non-manipulateur, ou non-manipulable, ne peut pas recevoir tes propos.
Ca ne repose sur rien de concret, on croirait entendre un prophète du temps du Christ et de l'apocalypse.
Je suis absolument sorry : je ne suis ni dans la Religion, ni dans la Spiritualité (je peux t'écrire, si ça me rapporte qque chose, 2 essais sur le sujet; je les ai bossés/) et tu écris des choses totalement contradictoires, comme religion et philosophie, je te conseille la lecture de mon regretté JF.Revel, il est assez acide sur le thème.(Même s'il a pu écrire "Le moine et le philosophe", son fils étant un des + proches du Dalaï-Lama, la vie est un noeud de complexités!)
Et puis j'ai coupé le cordon avec les métaphores. J'ai décidé que c'était trop facile, et un excellent moyen de tricher et d'entraîner le bon peuple sur des voies pourries en lui faisant croire qu'il est intelligent.
Donc, tout ceci dit,
je voudrais savoir qui tu es, et quel est ton rôle exact en ces lieux que tu hantes.
Amicalement.
FB- Messages : 398
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 72
Localisation : Sud
Re: Addiction. Addictions.
Bonjour,
Je suis alcoolique abstinente depuis maintenant plus de 3 ans après 25 ans de pratique d'un alcoolisme "festif" qui ne l'était plus vraiment.
Je ne sais pas ce que l'alcool t'apporte je peux juste te dire ce que j'en attendais : ça "calmait", le temps de l'alcoolisation, la balle qui s'agitait sans cesse dans ma caboche, je me sentais enfin presque comme les autres.
Je n'aurais pas la prétention de te dire ce que tu dois faire, je peux juste témoigner. L'alcool était un anxiolytique, un "tasseur", et puis après la dépendance devient le vrai sujet, on pense presque plus à la dépendance qu'au produit.
Pourquoi avoir besoin, puis avoir besoin d'avoir besoin bref un truc de cinglé quoi.
J'ai arrêté de boire en allant aux réunions des alcooliques anonymes, j'y vais toujours, très peu, mais je reste vigilante.
Quant aux dépendances et dépendances aux dépendances et j'en passe et des meilleurs j'ai accepté cette façon extrême que j'ai d'aimer, je ne pourrais jamais être tempérée, c'est fatiguant, des fois douloureux mais bon je ne veux plus m'user le tempérament à lutter.
Comme d'hab' tout ça est un peu bordélique mais ta "souffrance" a eu un écho particulier qui m'a donné envie de te dire courage et espoir.
Je suis alcoolique abstinente depuis maintenant plus de 3 ans après 25 ans de pratique d'un alcoolisme "festif" qui ne l'était plus vraiment.
Je ne sais pas ce que l'alcool t'apporte je peux juste te dire ce que j'en attendais : ça "calmait", le temps de l'alcoolisation, la balle qui s'agitait sans cesse dans ma caboche, je me sentais enfin presque comme les autres.
Je n'aurais pas la prétention de te dire ce que tu dois faire, je peux juste témoigner. L'alcool était un anxiolytique, un "tasseur", et puis après la dépendance devient le vrai sujet, on pense presque plus à la dépendance qu'au produit.
Pourquoi avoir besoin, puis avoir besoin d'avoir besoin bref un truc de cinglé quoi.
J'ai arrêté de boire en allant aux réunions des alcooliques anonymes, j'y vais toujours, très peu, mais je reste vigilante.
Quant aux dépendances et dépendances aux dépendances et j'en passe et des meilleurs j'ai accepté cette façon extrême que j'ai d'aimer, je ne pourrais jamais être tempérée, c'est fatiguant, des fois douloureux mais bon je ne veux plus m'user le tempérament à lutter.
Comme d'hab' tout ça est un peu bordélique mais ta "souffrance" a eu un écho particulier qui m'a donné envie de te dire courage et espoir.
scarabee72- Messages : 9
Date d'inscription : 12/07/2011
Re: Addiction. Addictions.
@ scarabée
Très clair , ton envoi. Non, je te trouve pas bordélique du tout!!!
Oui, ben courage à toi aussi, on en aura besoin jusqu'au dernier jour, je le sais...
Moi c'était pas "festif", c'était (c'est encore parfois, hélas) franchement anxiolytique et solitaire. Ma caboche ne se calmait pas, mais la sourde angoisse, ou la sensation d'ennui disparaissaient.
Et puis les doses et les fréquences augmentent, surtout après l'arrêt total du tabac.
Et puis sont arrivés d'autres symptômes + inquiétants : de + en + l'oubli de ce que je faisais sous alcool... Et une agressivité qui ne m'est pas coutumière, je veux dire je perdais le contrôle et me retrouvais à dire ou écrire des horreurs à des personnes que j'aime ou respecte. La honte !
Ce qui me fait du bien actu, c'est la prise de conscience d'être Z, et que c'est cette zébritude qui me mène à ces "extrêmes" que tu évoques (d'aimer, de se passionner, de s'obstiner sur un sujet, etc etc...), et non pas une quelconque personnalité vachement névrotique (comme bien des "gens" me l'ont laissé croire : merci à eux!!) ce qui me permet enfin de commencer à être "moi", de "m'aimer", de relire plus tranquillement mes souffrances passées, mes solitudes, et de ne plus culpabiliser !!! Ne plus culpabiliser !!!
Oui, des gens chers (mes fils, par ex) me conseillent de me "faire aider".
Le pb, c'est que j'ai toujours tout géré tout seul.
Je renâcle. J'ai tort, je le crains (toi-même tends à me montrer que c'est bien de se faire aider).
Bon, MERCI !!!.
A quand tu veux.
Très clair , ton envoi. Non, je te trouve pas bordélique du tout!!!
Oui, ben courage à toi aussi, on en aura besoin jusqu'au dernier jour, je le sais...
Moi c'était pas "festif", c'était (c'est encore parfois, hélas) franchement anxiolytique et solitaire. Ma caboche ne se calmait pas, mais la sourde angoisse, ou la sensation d'ennui disparaissaient.
Et puis les doses et les fréquences augmentent, surtout après l'arrêt total du tabac.
Et puis sont arrivés d'autres symptômes + inquiétants : de + en + l'oubli de ce que je faisais sous alcool... Et une agressivité qui ne m'est pas coutumière, je veux dire je perdais le contrôle et me retrouvais à dire ou écrire des horreurs à des personnes que j'aime ou respecte. La honte !
Ce qui me fait du bien actu, c'est la prise de conscience d'être Z, et que c'est cette zébritude qui me mène à ces "extrêmes" que tu évoques (d'aimer, de se passionner, de s'obstiner sur un sujet, etc etc...), et non pas une quelconque personnalité vachement névrotique (comme bien des "gens" me l'ont laissé croire : merci à eux!!) ce qui me permet enfin de commencer à être "moi", de "m'aimer", de relire plus tranquillement mes souffrances passées, mes solitudes, et de ne plus culpabiliser !!! Ne plus culpabiliser !!!
Oui, des gens chers (mes fils, par ex) me conseillent de me "faire aider".
Le pb, c'est que j'ai toujours tout géré tout seul.
Je renâcle. J'ai tort, je le crains (toi-même tends à me montrer que c'est bien de se faire aider).
Bon, MERCI !!!.
A quand tu veux.
FB- Messages : 398
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 72
Localisation : Sud
Re: Addiction. Addictions.
Je dis ce que je vis avec les mots qui viennent.
Quand je trouve une clé, au lieu de me cacher avec, je la donne.
Quand elle me semble difficile, je peux la tester un moment avant de me permettre d'en parler, je ne veux pas donner un cadeau empoisonné.
Tous ne s'en serviront pas, la clé pourra même sombrer dans l'oubli, d'autres en auront de plus belles encore, ou qui sont plus efficaces pour eux-mêmes. S'ils peuvent les donner ou montrer à d'autres, ou les poser en chemin pour servir celui ou celle qui en trouvera utilité, c'est dans mon code interne signe de lieu sain, où les messages passent, tombent ou redécollent, comme des oiseaux libres.
Il existe des gens, dont je fais partie, qui aiment à partager, laisser en chemin, c'est notre fonction, notre "code". Personne n'est obligé de ramasser, libres nous sommes tous.
Si j'allais à mon rythme "naturel", le terme de "hanter" serait de la rigolade en comparaison. ^^
Personne n'a la même vitesse, personne n'a les mêmes limites, donc quoi qu'il arrive, quoi que je fasse, Faman Bougozonie, je serai toujours trop lente pour certains et trop rapide pour d'autres.
Fable du Meunier et de son fils ? Pour un peu de lecture ?
Dont les origines sont finalement tirées du Moyen-Orient et de l'Afrique d'ailleurs. L'illustre Nasreddine, et des contes africains anciens, retracent ce savoureux passage d'un père et de son fils, qui quoi qu'ils fassent, sont toujours critiqués par les gens qui les voient passer.
Quant aux symboles, ils sont universels, intemporels. L'on retombe dessus avec évidence, quand on creuse certains sillons. C'est implanté en nous. Et synonyme d'universalité. Pourquoi tant d'humains seraient droitiers plus facilement ? Pourquoi des images semblables reviendraient-elles où que l'on soit, et à n'importe quelle époque ? Pourquoi toutes les mères bercent-elles leurs bébés de la même manière instinctive sans jamais l'apprendre ?
Ah, oui, ... "pourquoi ?" demandais-tu...
Parce que comme n'importe quelle vache de base, "garder son lait" en soi, cela rend malade. Ceci n'est pas une simple image, tu trouveras des échos à cela dans des mythes, légendes, contes, etc... Parfois, on n'ose pas, on a peur, on ne sait pas que dire de tout ce qu'on perçoit. Ou comment dire. Mais dès qu'on s'arrête de dire, alors les ennuis finissent par arriver. Dès que l'on reparle, cela va mieux, si on le fait en respectant les "balises" si je puis dire.
Je ne sais pas si cela t'aidera, ou répondra à tes questions.
C'est ce que je peux dire, formuler avec mes mots.
Je n'ai donc même pas le choix au final...
Je ne suis ni la première, ni la dernière, ni la seule.
With Love.
(Faman, "nourris" de positif ce que tu es. Avec du positif sous des formes que tu ne donnes plus, ou pas ainsi. Alors la proportion de "négatif" s'estompe peu à peu, et laisse la place majeure au positif. Et pour enclencher cela, trouve du "positif" à vivre, à mettre en toi, à côtoyer, etc...)
Quand je trouve une clé, au lieu de me cacher avec, je la donne.
Quand elle me semble difficile, je peux la tester un moment avant de me permettre d'en parler, je ne veux pas donner un cadeau empoisonné.
Tous ne s'en serviront pas, la clé pourra même sombrer dans l'oubli, d'autres en auront de plus belles encore, ou qui sont plus efficaces pour eux-mêmes. S'ils peuvent les donner ou montrer à d'autres, ou les poser en chemin pour servir celui ou celle qui en trouvera utilité, c'est dans mon code interne signe de lieu sain, où les messages passent, tombent ou redécollent, comme des oiseaux libres.
Il existe des gens, dont je fais partie, qui aiment à partager, laisser en chemin, c'est notre fonction, notre "code". Personne n'est obligé de ramasser, libres nous sommes tous.
Si j'allais à mon rythme "naturel", le terme de "hanter" serait de la rigolade en comparaison. ^^
Personne n'a la même vitesse, personne n'a les mêmes limites, donc quoi qu'il arrive, quoi que je fasse, Faman Bougozonie, je serai toujours trop lente pour certains et trop rapide pour d'autres.
Fable du Meunier et de son fils ? Pour un peu de lecture ?
Dont les origines sont finalement tirées du Moyen-Orient et de l'Afrique d'ailleurs. L'illustre Nasreddine, et des contes africains anciens, retracent ce savoureux passage d'un père et de son fils, qui quoi qu'ils fassent, sont toujours critiqués par les gens qui les voient passer.
Quant aux symboles, ils sont universels, intemporels. L'on retombe dessus avec évidence, quand on creuse certains sillons. C'est implanté en nous. Et synonyme d'universalité. Pourquoi tant d'humains seraient droitiers plus facilement ? Pourquoi des images semblables reviendraient-elles où que l'on soit, et à n'importe quelle époque ? Pourquoi toutes les mères bercent-elles leurs bébés de la même manière instinctive sans jamais l'apprendre ?
Ah, oui, ... "pourquoi ?" demandais-tu...
Parce que comme n'importe quelle vache de base, "garder son lait" en soi, cela rend malade. Ceci n'est pas une simple image, tu trouveras des échos à cela dans des mythes, légendes, contes, etc... Parfois, on n'ose pas, on a peur, on ne sait pas que dire de tout ce qu'on perçoit. Ou comment dire. Mais dès qu'on s'arrête de dire, alors les ennuis finissent par arriver. Dès que l'on reparle, cela va mieux, si on le fait en respectant les "balises" si je puis dire.
Je ne sais pas si cela t'aidera, ou répondra à tes questions.
C'est ce que je peux dire, formuler avec mes mots.
Je n'ai donc même pas le choix au final...
Je ne suis ni la première, ni la dernière, ni la seule.
With Love.
(Faman, "nourris" de positif ce que tu es. Avec du positif sous des formes que tu ne donnes plus, ou pas ainsi. Alors la proportion de "négatif" s'estompe peu à peu, et laisse la place majeure au positif. Et pour enclencher cela, trouve du "positif" à vivre, à mettre en toi, à côtoyer, etc...)
Invité- Invité
Re: Addiction. Addictions.
Faman,
Se faire aider pour nous s'est aussi dur que pour les autres mais en plus la dimension du "je vais encore passer pour un fou" fait encore plus renâcler comme tu dis.
Nous avons tous l'impression de tous gérer : travail, famille, nous bref, le monde entier j'ai envie de dire , mais à force de tous vouloir gérer on ne gère rien, et voilà une dépendance qui s'installe, oh la gourgandine, j'ai envie de dire, pas invitée en plus, quelle manque de courtoisie.
Bref j'ai moi aussi tout gérer, mon travail, ma fille, même mon cancer mais mon alcoolisme lui pas moyen de le maîtriser, me voilà donc chez mes pochtrons préférés comme j'aime à dire et là pas de jugement pas de sarcasme, rien juste de la gentillesse, de la compréhension, enfin j'ai pus poser toutes les bouteilles qui m'avaient gâchées, pourries, ma vie.
leur programme est simple, enfantin, même maintenant, je le trouve limite niais, mais la magie c'est que ça fonctionne, je n'ai même pas envie de savoir pourquoi : appartenance à un groupe, sociabilisation, que sais-je encore.
J'ai donc pratiqué ce fameux lâcher-prise que tout le monde "glorifie", et pour l'instant, je ne crie pas victoire entre toi et moi la seule différence qu'il y a c'est la distance entre le verre et ma main, ça fonctionne je vis sans alcool, sans tentation et chaque moment, même pourri, est une bénédiction.
Je te souhaite tout le courage du monde, du moins tout celui dont tu as la ressource ; demander de l'aide c'est reconnaître sa faiblesse donc en faire une force.
Et au fait de rien
Se faire aider pour nous s'est aussi dur que pour les autres mais en plus la dimension du "je vais encore passer pour un fou" fait encore plus renâcler comme tu dis.
Nous avons tous l'impression de tous gérer : travail, famille, nous bref, le monde entier j'ai envie de dire , mais à force de tous vouloir gérer on ne gère rien, et voilà une dépendance qui s'installe, oh la gourgandine, j'ai envie de dire, pas invitée en plus, quelle manque de courtoisie.
Bref j'ai moi aussi tout gérer, mon travail, ma fille, même mon cancer mais mon alcoolisme lui pas moyen de le maîtriser, me voilà donc chez mes pochtrons préférés comme j'aime à dire et là pas de jugement pas de sarcasme, rien juste de la gentillesse, de la compréhension, enfin j'ai pus poser toutes les bouteilles qui m'avaient gâchées, pourries, ma vie.
leur programme est simple, enfantin, même maintenant, je le trouve limite niais, mais la magie c'est que ça fonctionne, je n'ai même pas envie de savoir pourquoi : appartenance à un groupe, sociabilisation, que sais-je encore.
J'ai donc pratiqué ce fameux lâcher-prise que tout le monde "glorifie", et pour l'instant, je ne crie pas victoire entre toi et moi la seule différence qu'il y a c'est la distance entre le verre et ma main, ça fonctionne je vis sans alcool, sans tentation et chaque moment, même pourri, est une bénédiction.
Je te souhaite tout le courage du monde, du moins tout celui dont tu as la ressource ; demander de l'aide c'est reconnaître sa faiblesse donc en faire une force.
Et au fait de rien
Grognon- Messages : 15
Date d'inscription : 27/09/2012
Age : 44
Localisation : Sarthe, loin de la civilisation
Re: Addiction. Addictions.
Oups je viens de m'apercevoir que j'ai écrit sous le pseudo de mon aimé, grognon, c'est donc bien scarabee72 qui t'écrit Faman
scarabee72- Messages : 9
Date d'inscription : 12/07/2011
Re: Addiction. Addictions.
Faman,
Ce qu'en dit Kara-Steph, je n'y vois aucune forme de manipulation, aucune forme non plus de despotisme sirituel, elle dit assez bien que chacun doit trouver son puit, ses ressources d'energie.
Personne n'a dit que cela devait emaner d'une force superieure en laquelle tu ne crois pas du tout.
Pour ma part c'est la musique, elle permet d'exterioriser mon stress et mes trop-pleins de sentiments. Et je begaie beaucoup moins avec une guitare ou un piano
Je ressens par contre vraiment a chaque fois un regain d'energie et de positivisme apres en avoir joue.
Mon addiction c'est le petard. Ca l'a ete depuis mes 13ans (j'en ai 24) et maintenant ca en devient une tare plus qu'autre chose. Mais ca m'a servi! Et je ne peux pas nier cela, ca a en effet ete mon verre d'eau (encore quelque fois aujourd'hui). Mais de nouveau, jouer de la musique pour moi est une source d'eau intarrissable, de bien meilleur effet.
Cela dit il m'arrive encore de reprendre un verre d'eau (simplement parce que je ne suis pas tout le temps dans le bon contexte, et chanter ou siffloter a tue tete partout n'est pas forcement toujours approprie).
Et si tu vois les paraboles comme un signe d'endoctrination, rengaine ton inquietude et ne prete attention qu'a l'analogie, les zebres sont reputes pour en etre feru!
Apres, ton sens critique est ce qu'il est, et tu peux lui faire confiance tant que tu as suffisamment d'elements en main. C'est aussi un plus qui vient avec le package (surtout a ton age, no offense, tu dois avoir eu ta part de bobards a digerer!)
Amicalement
Ce qu'en dit Kara-Steph, je n'y vois aucune forme de manipulation, aucune forme non plus de despotisme sirituel, elle dit assez bien que chacun doit trouver son puit, ses ressources d'energie.
Personne n'a dit que cela devait emaner d'une force superieure en laquelle tu ne crois pas du tout.
Pour ma part c'est la musique, elle permet d'exterioriser mon stress et mes trop-pleins de sentiments. Et je begaie beaucoup moins avec une guitare ou un piano
Je ressens par contre vraiment a chaque fois un regain d'energie et de positivisme apres en avoir joue.
Mon addiction c'est le petard. Ca l'a ete depuis mes 13ans (j'en ai 24) et maintenant ca en devient une tare plus qu'autre chose. Mais ca m'a servi! Et je ne peux pas nier cela, ca a en effet ete mon verre d'eau (encore quelque fois aujourd'hui). Mais de nouveau, jouer de la musique pour moi est une source d'eau intarrissable, de bien meilleur effet.
Cela dit il m'arrive encore de reprendre un verre d'eau (simplement parce que je ne suis pas tout le temps dans le bon contexte, et chanter ou siffloter a tue tete partout n'est pas forcement toujours approprie).
Et si tu vois les paraboles comme un signe d'endoctrination, rengaine ton inquietude et ne prete attention qu'a l'analogie, les zebres sont reputes pour en etre feru!
Apres, ton sens critique est ce qu'il est, et tu peux lui faire confiance tant que tu as suffisamment d'elements en main. C'est aussi un plus qui vient avec le package (surtout a ton age, no offense, tu dois avoir eu ta part de bobards a digerer!)
Amicalement
MP5ound- Messages : 26
Date d'inscription : 27/09/2012
Age : 36
Localisation : Rixensart, Belgique
Re: Addiction. Addictions.
Merci scarabée.
je vais y réfléchir.
pour l'instant je suis capable de décrocher.
Mais sur le long terme, p-ê que ta méthode est bonne, tu décris bien l'environnement, je l'imagine...
En tous cas il y a 1 personne proche en qui j'ai tte confiance qui me donne sans rire le même conseil, alors qu'elle est aussi (professionnellement) au fait de la réalité de ces groupes.
Quant à KaraSteph, merci merci, j'ai été dur, tu continues d'écrire, comment fais-tu ? Tu écris des tonnes, moi je galère un peu sur mon clavier....
Je te dirai seulement que ma pensée par rapport à ce que tu écris est précisément celle-ci :
-Tu dis des choses justes, mais très vagues, (à mes yeux). J'ai l'habitude depuis ma jeunesse (de Z) de construire ma réflexion sur des études scientifiques (ethno, socio, histoire, anthropo, spés en tous genres, plutôt style universitaires ou Collège de France), non que je me la pète, mais le "vague ne me convient pas. Je creuse. Ces gens-là peuvent se tromper, sûr! mais depuis que j'étudie, j'ai pu me faire pas mal d'idées.
-En ce qui concerne "garder son lait", je sais pas si je vais dire une connerie, mais j'ai donné mon lait pendant 15 ans chez un psy, pas foireux, c'est bon, j'ai dit, ça m'a fait un bien fou, mais ça ne m'a pas "guéri" de mon déficit-à-vivre,
d'ailleurs (j'ai retrouvé ça dans les bouquins sur le surdon) il est classique qu'un surdoué, qu'on prend ou qui se prend pour un névrosé, dise refuser de "changer", et déclare préférer rester "mal", considérant que là réside sa véritable identité.
Il y a là un problème, je n'ai pas réellement envie de "positiver". c'est en grande partie ma "révolte" qui est la source de mes curiosités, créativités, ET rapports-à-l'autre pas communs, m'a-t-on dit. Enrichissants et constructifs, m'a-t-on dit. Sauf que le mec est un peu...insupportable.....
-Alors je vais réfléchir là-dessus, relire de tes écrits, ici et ailleurs.
Quant à parler, oui, je sais, ça fait du bien mais "en vrai". Ici ou autrement par écrit (ou virtuel), ça n'est pas le panard.
-Enfin : t'es une vraie gentille, ou bien tu t''es créée ce personnage ?(que je suis vilain!) With love, with love,....
Facile à écrire : ça signifie COÂ ???
Bon, allez, je te mets aussi un , j'aime bien les gens...
MP5ound, je ne suis pas trop convaincu . je dis seulement que tu as bien de la chance de pouvoir passer par la musique, je n'ai pas cette possibilité-là, mais j'imagine facilement comment ça peut aider.
J'ai raté ma vie : j'aurais voulu être PJ Harvey...!!!
je vais y réfléchir.
pour l'instant je suis capable de décrocher.
Mais sur le long terme, p-ê que ta méthode est bonne, tu décris bien l'environnement, je l'imagine...
En tous cas il y a 1 personne proche en qui j'ai tte confiance qui me donne sans rire le même conseil, alors qu'elle est aussi (professionnellement) au fait de la réalité de ces groupes.
Quant à KaraSteph, merci merci, j'ai été dur, tu continues d'écrire, comment fais-tu ? Tu écris des tonnes, moi je galère un peu sur mon clavier....
Je te dirai seulement que ma pensée par rapport à ce que tu écris est précisément celle-ci :
-Tu dis des choses justes, mais très vagues, (à mes yeux). J'ai l'habitude depuis ma jeunesse (de Z) de construire ma réflexion sur des études scientifiques (ethno, socio, histoire, anthropo, spés en tous genres, plutôt style universitaires ou Collège de France), non que je me la pète, mais le "vague ne me convient pas. Je creuse. Ces gens-là peuvent se tromper, sûr! mais depuis que j'étudie, j'ai pu me faire pas mal d'idées.
-En ce qui concerne "garder son lait", je sais pas si je vais dire une connerie, mais j'ai donné mon lait pendant 15 ans chez un psy, pas foireux, c'est bon, j'ai dit, ça m'a fait un bien fou, mais ça ne m'a pas "guéri" de mon déficit-à-vivre,
d'ailleurs (j'ai retrouvé ça dans les bouquins sur le surdon) il est classique qu'un surdoué, qu'on prend ou qui se prend pour un névrosé, dise refuser de "changer", et déclare préférer rester "mal", considérant que là réside sa véritable identité.
Il y a là un problème, je n'ai pas réellement envie de "positiver". c'est en grande partie ma "révolte" qui est la source de mes curiosités, créativités, ET rapports-à-l'autre pas communs, m'a-t-on dit. Enrichissants et constructifs, m'a-t-on dit. Sauf que le mec est un peu...insupportable.....
-Alors je vais réfléchir là-dessus, relire de tes écrits, ici et ailleurs.
Quant à parler, oui, je sais, ça fait du bien mais "en vrai". Ici ou autrement par écrit (ou virtuel), ça n'est pas le panard.
-Enfin : t'es une vraie gentille, ou bien tu t''es créée ce personnage ?(que je suis vilain!) With love, with love,....
Facile à écrire : ça signifie COÂ ???
Bon, allez, je te mets aussi un , j'aime bien les gens...
MP5ound, je ne suis pas trop convaincu . je dis seulement que tu as bien de la chance de pouvoir passer par la musique, je n'ai pas cette possibilité-là, mais j'imagine facilement comment ça peut aider.
J'ai raté ma vie : j'aurais voulu être PJ Harvey...!!!
FB- Messages : 398
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 72
Localisation : Sud
Re: Addiction. Addictions.
Le but n'est pas de convaincre, je partage mon ressenti et mon experience, en esperant que cela puisse aider.
En tou cas, l'humeur a l'air bonne, ca fait plaisir
En tou cas, l'humeur a l'air bonne, ca fait plaisir
MP5ound- Messages : 26
Date d'inscription : 27/09/2012
Age : 36
Localisation : Rixensart, Belgique
Re: Addiction. Addictions.
Faman.
Précisions alors...
http://locavac-luchon-cure-ski.over-blog.com/article-le-tour-du-monde-du-sourire-faites-suivre-44553898.html
Re-trouve ton chemin, celui qui a guidé tes pas "avant".
Ce que tu aimais faire, vivre, ce que tu voulais créer, faire, voir...
Ce qui rendait tes journées remplies.
Retrouve tes souvenirs, feuillette ton album, on oublie mais on retrouve. Ou on s'aperçoit que finalement, ce qu'on aimait tant, on ne le fait plus depuis longtemps.
L'un c'est la musique, l'autre la nature, on peut avoir un seul type de "nourriture" qui nous remplit, ou on peut en avoir plusieurs, cela dépend de chacun.
Une fois les souvenirs rallumés, se remettre de nouveau dedans. Re-commencer à les vivre, faire... Notre force s'y trouve, notre nourriture aussi. C'est l'étape 1. Le reste après se déroule tout seul, instinctivement.
Précisions alors...
UN SOURIRE
Le sourire est contagieux, tu l'attrapes comme un rhume,
Quand quelqu'un m'a souri aujourd'hui, j'ai commencé à sourire aussi.
J'ai tourné au coin de la rue et quelqu'un a vu mon sourire.
Quand il a souri, j'ai réalisé que je venais de le lui passer.
J'ai pensé à ce sourire, et j'en ai réalisé la valeur
Un simple sourire comme le mien peut faire le tour du monde.
Alors, si vous avez envie de sourire, ne vous retenez pas, montrez-le.
http://locavac-luchon-cure-ski.over-blog.com/article-le-tour-du-monde-du-sourire-faites-suivre-44553898.html
Re-trouve ton chemin, celui qui a guidé tes pas "avant".
Ce que tu aimais faire, vivre, ce que tu voulais créer, faire, voir...
Ce qui rendait tes journées remplies.
Retrouve tes souvenirs, feuillette ton album, on oublie mais on retrouve. Ou on s'aperçoit que finalement, ce qu'on aimait tant, on ne le fait plus depuis longtemps.
L'un c'est la musique, l'autre la nature, on peut avoir un seul type de "nourriture" qui nous remplit, ou on peut en avoir plusieurs, cela dépend de chacun.
Une fois les souvenirs rallumés, se remettre de nouveau dedans. Re-commencer à les vivre, faire... Notre force s'y trouve, notre nourriture aussi. C'est l'étape 1. Le reste après se déroule tout seul, instinctivement.
Invité- Invité
MP5ound- Messages : 26
Date d'inscription : 27/09/2012
Age : 36
Localisation : Rixensart, Belgique
Re: Addiction. Addictions.
Décidément, Kara,
tu m'intéresses de plus en plus : je ne suis jamais d'accord avec toi !!!
Je commence par la fin : l'étape 1.
A priori, tu as tout à fait raison.
Sauf que ça ne fonctionne pas.
Il y a une sorte de lassitude, lorsque les années passent, qui engendre une fatigue, j'irai jusqu'à dire "dépression", pour 2 raisons :
-Ce qui nous a motivés a disparu. Le fil de la vie a fait qu'il y a eu rupture, avec ce qui donnait sens. La disparition est définitive. Elle n'est pas réactualisable.
-Ce qu'on aimait (jeune), était, c'est évident, l'expression d'un désir fantasmatique. On sait maintenant qu'on n'a pas les qualités pour, ou qu'il est trop tard. (Je sais, c'est lié à ce qui est apparemment un des défauts des Z : la procrastination. Et la guerre permanente entre hypersensibilité (qui voudrait rendre la vie belle tout de suite) et désir de création (si possible reconnue : mais notre statut de Z nous en fait douter : on en a souvent pris plein la gueule, excuse!) qui ne peut prendre vie, dirais-je, que suite à un long boulot, de l'obstination, de la patience, et une certaine faculté à ne pas se décourager.
Bref, ça fait beaucoup.
-Enfin, s'il s'agit d'un simple processus d'émerveillement (sans création), de contemplation, oui, certes, je fais, mais souvent la fatigue se fait sentir.
Je crois qu'il me manque le cadre adéquat pour être un peu heureux...(je trouve pas l'icône qui conviendrait!)
Un peu heureux, je le suis !!
Mais, Z, ça suffit jamais !!
Et puis souvent : tristesse infinie de faire souffrir son entourage en ne POUVANT PAS le rendre heureux, on sait bien ce qu'il faudrait être faire, ou dire, mais on ne peut pas. Ou bien on peut plus.
Lien bonheur< >sourire....
-J'ai été enseignant pendant suffisamment longtemps pour VOIR que même les sourires des enfants peuvent mentir.
Mentir.
-Je peux sourire et mentir. Je peux être dans l'abîme et sourire. Dire "je vais mourir" et sourire. Savoir "j'ai envoyé 100 personnes à la chambre à gaz aujourd'hui, et sourire. Aimer torturer et sourire. Je me souviens d'un affreux sourire de ma mère qui avait réussi (en public) à humilier mon père.
J'ai connu des sourires de religieux à l'enterrement d'une jeune dame, puisque Dieu l'accueillait en sa béatitude éternelle. Ces mystiques à la petite semaine souriaient, quand je pleurais : j'aurais aimer les gifler !!!
Un sourire ne signifie rien.
Si : mais dans le cadre strict d'une confiance en l'autre, fruit d'une intime connaissance. C'est rare.
D'autant + rare que tu sais qu'un(e) Z se sent toujours un peu "autre" (je dis un peu pour être gentil!).
Alors, blong, nouvel accident entre nous.
Je ne lacherai pas si facilement le morceau, tu sais...
J'ai la peau tendre, mais l'intérieur nerveux.
Toujours prudent dans mes déductions, je ne sais ce que je dois penser de ces ENORMES blogs omnidirectionnels.
Tu me conseilles d'aller faire une cure à Luchon ?
Bisous bisous, et, oui,
l'humeur est bonne, MP5,
l'humeur est bonne,
y'a un truc qui aide : l'humour....
Distanciation. On a l'habitude...
tu m'intéresses de plus en plus : je ne suis jamais d'accord avec toi !!!
Je commence par la fin : l'étape 1.
A priori, tu as tout à fait raison.
Sauf que ça ne fonctionne pas.
Il y a une sorte de lassitude, lorsque les années passent, qui engendre une fatigue, j'irai jusqu'à dire "dépression", pour 2 raisons :
-Ce qui nous a motivés a disparu. Le fil de la vie a fait qu'il y a eu rupture, avec ce qui donnait sens. La disparition est définitive. Elle n'est pas réactualisable.
-Ce qu'on aimait (jeune), était, c'est évident, l'expression d'un désir fantasmatique. On sait maintenant qu'on n'a pas les qualités pour, ou qu'il est trop tard. (Je sais, c'est lié à ce qui est apparemment un des défauts des Z : la procrastination. Et la guerre permanente entre hypersensibilité (qui voudrait rendre la vie belle tout de suite) et désir de création (si possible reconnue : mais notre statut de Z nous en fait douter : on en a souvent pris plein la gueule, excuse!) qui ne peut prendre vie, dirais-je, que suite à un long boulot, de l'obstination, de la patience, et une certaine faculté à ne pas se décourager.
Bref, ça fait beaucoup.
-Enfin, s'il s'agit d'un simple processus d'émerveillement (sans création), de contemplation, oui, certes, je fais, mais souvent la fatigue se fait sentir.
Je crois qu'il me manque le cadre adéquat pour être un peu heureux...(je trouve pas l'icône qui conviendrait!)
Un peu heureux, je le suis !!
Mais, Z, ça suffit jamais !!
Et puis souvent : tristesse infinie de faire souffrir son entourage en ne POUVANT PAS le rendre heureux, on sait bien ce qu'il faudrait être faire, ou dire, mais on ne peut pas. Ou bien on peut plus.
Lien bonheur< >sourire....
-J'ai été enseignant pendant suffisamment longtemps pour VOIR que même les sourires des enfants peuvent mentir.
Mentir.
-Je peux sourire et mentir. Je peux être dans l'abîme et sourire. Dire "je vais mourir" et sourire. Savoir "j'ai envoyé 100 personnes à la chambre à gaz aujourd'hui, et sourire. Aimer torturer et sourire. Je me souviens d'un affreux sourire de ma mère qui avait réussi (en public) à humilier mon père.
J'ai connu des sourires de religieux à l'enterrement d'une jeune dame, puisque Dieu l'accueillait en sa béatitude éternelle. Ces mystiques à la petite semaine souriaient, quand je pleurais : j'aurais aimer les gifler !!!
Un sourire ne signifie rien.
Si : mais dans le cadre strict d'une confiance en l'autre, fruit d'une intime connaissance. C'est rare.
D'autant + rare que tu sais qu'un(e) Z se sent toujours un peu "autre" (je dis un peu pour être gentil!).
Alors, blong, nouvel accident entre nous.
Je ne lacherai pas si facilement le morceau, tu sais...
J'ai la peau tendre, mais l'intérieur nerveux.
Toujours prudent dans mes déductions, je ne sais ce que je dois penser de ces ENORMES blogs omnidirectionnels.
Tu me conseilles d'aller faire une cure à Luchon ?
Bisous bisous, et, oui,
l'humeur est bonne, MP5,
l'humeur est bonne,
y'a un truc qui aide : l'humour....
Distanciation. On a l'habitude...
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Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 72
Localisation : Sud
Re: Addiction. Addictions.
Retrouve les petits plaisirs immortels. Qui durent une vie entière lorsqu'on les pratique.
Sans eux, on est bien tristes.
Parler, discuter... En vrai de préférence.
sentir les bonnes odeurs dans sa cuisine, avec des recettes simples ou exotiques, chacun ses goûts. Sentir les bonnes odeurs automnales de la nature.
écouter de belles musiques qu'on aime, retrouver la beauté apaisante des classiques, fondre avec les musiques reposantes, etc...
Ecouter les petits bruits en forêt.
bricole ou crée avec tes mains, n'importe quoi, pas besoin de faire du cosntruit-fini, juste bricoler ou créer ce que tu faisais avant.
Pour les plaisirs "perdus", il faut reprendre à la base: parler + les 5 sens.
C'est ce qui est mis en pratique avec succès.
Et avant de râler dessus, essaye pendant un mois.
Sans eux, on est bien tristes.
Parler, discuter... En vrai de préférence.
sentir les bonnes odeurs dans sa cuisine, avec des recettes simples ou exotiques, chacun ses goûts. Sentir les bonnes odeurs automnales de la nature.
écouter de belles musiques qu'on aime, retrouver la beauté apaisante des classiques, fondre avec les musiques reposantes, etc...
Ecouter les petits bruits en forêt.
bricole ou crée avec tes mains, n'importe quoi, pas besoin de faire du cosntruit-fini, juste bricoler ou créer ce que tu faisais avant.
Pour les plaisirs "perdus", il faut reprendre à la base: parler + les 5 sens.
C'est ce qui est mis en pratique avec succès.
Et avant de râler dessus, essaye pendant un mois.
Invité- Invité
Re: Addiction. Addictions.
Bonne nuit, Kara-Steph',
à demain.....
à demain.....
FB- Messages : 398
Date d'inscription : 18/09/2012
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Re: Addiction. Addictions.
Bonjour à tous!
Je suis tout nouveau sur ce forum, j'ai tellement à lire et découvrir que je m'excuse par avance pour d'éventuelles redites.
Mais bon de redite il n'y aura pas vraiment, puisque ce message est principalement destiné à témoigner un vécu sensiblement similaire chez moi!
Cela ne fait que très peu de temps que j'ai découvert l'univers de la douance, des zèbres, des "HP", bref de gens qui visiblement me permettent de comprendre que je ne suis pas seul ! Ca soulage. A vrai dire je ne me suis pas fortement alcoolisé en société depuis cette prise de conscience, mais il m'est encore impossible de déterminer si c'est pour ça.
Clairement, chez moi l'excès est une seconde nature, comme chez beaucoup d'entre vous j'imagine. Et ce n'est pas qu'avec l'alcool, c'est avec tout (heureusement je ne suis pas attiré par les drogues ;-) ).
Mais surtout, maintenant je me rends compte à quel point en réalité c'est plus une fuite qu'autre chose. Alors ce qui me fait juste tiquer c'est le "la douance, on s'en fout"? parce que je pense que la clé est là. C'est dans la non-connaissance ou le rejet de ma vraie nature que je pense trouver les réponses à mes excès. Sans nécessairement les arrêter d'ailleurs, mais en les rentabilisant! Moi non plus je ne voudrais pas arrêter définitivement, je suis trop bon vivant et oenophile pour ça. Mais j'aimerais comprendre ma consommation, en particulier en société. Car moi aussi certains excès m'amènent à de l'aggressivité qui n'est sans doute que l'expression de tout ce que je refoule en permanence pour faire bonne figure vis-à-vis des autres.
Peut-être que cet embryon de témoignage fera écho chez vous...
Je suis tout nouveau sur ce forum, j'ai tellement à lire et découvrir que je m'excuse par avance pour d'éventuelles redites.
Mais bon de redite il n'y aura pas vraiment, puisque ce message est principalement destiné à témoigner un vécu sensiblement similaire chez moi!
Cela ne fait que très peu de temps que j'ai découvert l'univers de la douance, des zèbres, des "HP", bref de gens qui visiblement me permettent de comprendre que je ne suis pas seul ! Ca soulage. A vrai dire je ne me suis pas fortement alcoolisé en société depuis cette prise de conscience, mais il m'est encore impossible de déterminer si c'est pour ça.
Clairement, chez moi l'excès est une seconde nature, comme chez beaucoup d'entre vous j'imagine. Et ce n'est pas qu'avec l'alcool, c'est avec tout (heureusement je ne suis pas attiré par les drogues ;-) ).
Mais surtout, maintenant je me rends compte à quel point en réalité c'est plus une fuite qu'autre chose. Alors ce qui me fait juste tiquer c'est le "la douance, on s'en fout"? parce que je pense que la clé est là. C'est dans la non-connaissance ou le rejet de ma vraie nature que je pense trouver les réponses à mes excès. Sans nécessairement les arrêter d'ailleurs, mais en les rentabilisant! Moi non plus je ne voudrais pas arrêter définitivement, je suis trop bon vivant et oenophile pour ça. Mais j'aimerais comprendre ma consommation, en particulier en société. Car moi aussi certains excès m'amènent à de l'aggressivité qui n'est sans doute que l'expression de tout ce que je refoule en permanence pour faire bonne figure vis-à-vis des autres.
Peut-être que cet embryon de témoignage fera écho chez vous...
AlwaysOnTheRun- Messages : 756
Date d'inscription : 22/10/2012
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