Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
4 participants
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Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
Bonjour,
J'ai 43 ans et après maintes hésitations, j'ai pris la décision d'aller voir une neuropsy afin d'être soumise à une batterie de tests (soupçons personnels concernant HPI ou TSA, voire les deux).
Ma grande résolution de 2024 a donc pu débuter le 5 janvier avec un entretien centré sur l'anamnèse.
Ma passation du WAIS IV s'est déroulée le 5 février et je n'arrête pas d'y penser depuis. J'ai littéralement eu un blocage à certaines étapes et je m'en veux énormément, je suis très sensible au stress et ça n'a pas loupé...
Le 12 février, un bilan neuropsychologique est également prévu avec d'autres passations de petits tests apparemment (je n'ai pas plus de détails).
Un entretien clinique suivra le 16 février, et le bilan/restitution des résultats aura lieu le 22 mars (je ne sais pas comment je vais parvenir à patienter jusque là ! Par chance, il y a pas mal de choses à lire ici !)
Je pense avoir une intelligence supérieure à la moyenne (j'avais déjà été testée enfant car mes parents voulaient me faire sauter une classe, et les propos de la psychologue allaient clairement dans ce sens), mais je ne sais pas vraiment à quelle échelle, s'il s'agit d'intelligence légèrement supérieure ou si on peut parler de haut potentiel intellectuel.
Si j'ai fait la démarche de me faire tester, c'est surtout pour me comprendre davantage, j'ai des limitations au quotidien qui m'interrogent (anxiété/phobies/sentiment d'inaptitude d'ordre social) mais aussi des facilités (autodidacte, apprentissage rapide, curiosité infinie, diverses passions, etc).
Au plaisir de vous lire.
J'ai 43 ans et après maintes hésitations, j'ai pris la décision d'aller voir une neuropsy afin d'être soumise à une batterie de tests (soupçons personnels concernant HPI ou TSA, voire les deux).
Ma grande résolution de 2024 a donc pu débuter le 5 janvier avec un entretien centré sur l'anamnèse.
Ma passation du WAIS IV s'est déroulée le 5 février et je n'arrête pas d'y penser depuis. J'ai littéralement eu un blocage à certaines étapes et je m'en veux énormément, je suis très sensible au stress et ça n'a pas loupé...
Le 12 février, un bilan neuropsychologique est également prévu avec d'autres passations de petits tests apparemment (je n'ai pas plus de détails).
Un entretien clinique suivra le 16 février, et le bilan/restitution des résultats aura lieu le 22 mars (je ne sais pas comment je vais parvenir à patienter jusque là ! Par chance, il y a pas mal de choses à lire ici !)
Je pense avoir une intelligence supérieure à la moyenne (j'avais déjà été testée enfant car mes parents voulaient me faire sauter une classe, et les propos de la psychologue allaient clairement dans ce sens), mais je ne sais pas vraiment à quelle échelle, s'il s'agit d'intelligence légèrement supérieure ou si on peut parler de haut potentiel intellectuel.
Si j'ai fait la démarche de me faire tester, c'est surtout pour me comprendre davantage, j'ai des limitations au quotidien qui m'interrogent (anxiété/phobies/sentiment d'inaptitude d'ordre social) mais aussi des facilités (autodidacte, apprentissage rapide, curiosité infinie, diverses passions, etc).
Au plaisir de vous lire.
helelooo- Messages : 4
Date d'inscription : 08/02/2024
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
Bon courage dans cette étrange aventure de la recherche de soi, c'est une quête fructueuse ; mais on a rarement assez d'une vie pour assez se l'épargner. C'est le trésor de la thésaurie (ce qui est incorrect, bien sûr, mais la mélodie des mots doit parfois s'affranchir de la justesse pour sonner plus juste). Et puis, sans aide, on n'a que la théorie.
Sois la bienvenue aussi. Et rassure-toi, je suis particulièrement étrange parfois et la plupart des anormaux ici sont bien plus sensés.
Sois la bienvenue aussi. Et rassure-toi, je suis particulièrement étrange parfois et la plupart des anormaux ici sont bien plus sensés.
Archiloque- Messages : 1665
Date d'inscription : 22/09/2020
Localisation : Les terres
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
Hello Heleloo, bienvenue à bord du radeau des médusés !
Topsy Turvy- Messages : 8367
Date d'inscription : 10/01/2020
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
Bienvenue, et bon courage dans ce chemin si particulier.
RonaldMcDonald- Messages : 11679
Date d'inscription : 15/01/2019
Age : 48
Localisation : loin de chez moi, dans un petit coin de paradis
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
Merci Archiloque, Topsy Turvy et RonaldMcDonald,
Archiloque, je me suis toujours sentie beaucoup plus en sécurité avec les personnes qui sortent de la norme donc tu n'as même pas besoin de me rassurer à ce niveau !
J'estime aussi que cette quête ne peut m'être que bénéfique (même si des fois on préférerait entendre uniquement ce qui nous arrange - si j'ai fait la démarche de me faire tester, c'est aussi parce que je me sens prête actuellement).
J'ai commencé très-très tôt (vers 13-14 ans) un travail d'introspection car j'étais en souffrance psychologique (dépression sévère et TCA (= Troubles du Comportement Alimentaire) - anorexie non-vomitive essentiellement, suivie de boulimie plus tard quand je me suis remise à manger - qui m'ont impactés jusqu'à mes 24 ans environ). A cette époque, mes parents étaient divorcés et mon père refusait que je me fasse suivre par un psychologue ou un psychiatre (il avait des préjugés très négatifs envers toutes les professions préfixées par psy-).
J'ai malgré tout eu du Prozac prescrit par un médecin généraliste quand j'avais 14 ans, que j'ai arrêté très vite (c'est mal, j'en suis consciente, il ne faut jamais arrêter subitement, il y a une transition à faire de manière progressive), ceci dit j'avais avalé toutes mes plaquettes en une soirée (je ne conseille à personne, je transpirais dans mon lit et avais très mal au foie au point de me tortiller, je pensais franchement que c'était la fin...). Bref j'ai préféré arrêter subitement, qu'on ne m'en prescrive plus du tout, plutôt que de me mettre moi-même en danger avec une prescription sans suivi.
J'ai un niveau maîtrise (equivalent Master I dorénavant, je pense ?!) en psychologie clinique et à vrai dire ce sont ces études dans ce domaine qui m'ont données les outils pour me sortir de mes plus gros complexes psychologiques.
Je me sens beaucoup mieux depuis des années, je suis stable niveau TCA depuis plus de 15 ans et je ne me sens plus dépressive, mais il me reste des interrogations. J'ai une vie correcte sentimentalement parlant (même si je n'ai pas d'enfant et je n'ai encore jamais été mariée - je ne vois pas forcément ce dernier point comme un échec), un super travail depuis presque 20 ans que j'exerce dans un domaine technique et scientifique (pas relatif à la psychologie, mais dans la sécurité informatique) avec des ingénieurs (alors que je n'ai aucun diplôme dans le domaine, je suis autodidacte, mais si j'ai été embauchée et qu'ils m'ont gardée, c'est parce que j'ai les compétences j'imagine).
Ce qui m'inquiète le plus c'est que socialement, je ressens beaucoup mes limitations, je me sens inapte quand je dois discuter avec des personnes que je ne connais pas, je ne sais jamais comment tenir une conversation si on me parle du beau temps ou du fait que telle célébrité vient de donner naissance, parfois je suis même tellement surprise par les dires de personnes en face (pourtant d'intelligence normale, rien d'incompréhensible) que je perds totalement mes moyens, je ne trouve plus mes mots, j'ai l'impression d'avoir "un cerveau vide".
De la même manière, j'ai une phobie du téléphone depuis toujours, et il m'est déjà arrivé de répondre au téléphone, de faire illusion (dans le sens où la personne n'a pas décelé que j'étais en panique), mais une fois la communication terminée, il m'était incapable de dire pourquoi la personne m'avait appelée, quel message elle m'avait transmis, tellement j'étais sous le coup de l'émotion. C'est assez étrange comme sensation et c'est souvent ce qu'il m'arrive quand je suis sous l'emprise du stress. Je n'aime pas du tout quand celà m'arrive et j'estime que ce n'est pas quelque chose de normal non plus...
Je pensais que c'était une forme d'extrême timidité et que ça passerait avec les années, mais je me rends à l'évidence, j'ai plus de 40 ans et des comportements sociaux particuliers, qui me limitent et me questionnent.
Bref :-)
Je suis contente de ma démarche et j'espère qu'elle m'apportera des réponses et éventuellement des pistes pour que je me sente moins limitée ensuite.
Merci encore pour votre accueil !
Archiloque, je me suis toujours sentie beaucoup plus en sécurité avec les personnes qui sortent de la norme donc tu n'as même pas besoin de me rassurer à ce niveau !
J'estime aussi que cette quête ne peut m'être que bénéfique (même si des fois on préférerait entendre uniquement ce qui nous arrange - si j'ai fait la démarche de me faire tester, c'est aussi parce que je me sens prête actuellement).
J'ai commencé très-très tôt (vers 13-14 ans) un travail d'introspection car j'étais en souffrance psychologique (dépression sévère et TCA (= Troubles du Comportement Alimentaire) - anorexie non-vomitive essentiellement, suivie de boulimie plus tard quand je me suis remise à manger - qui m'ont impactés jusqu'à mes 24 ans environ). A cette époque, mes parents étaient divorcés et mon père refusait que je me fasse suivre par un psychologue ou un psychiatre (il avait des préjugés très négatifs envers toutes les professions préfixées par psy-).
J'ai malgré tout eu du Prozac prescrit par un médecin généraliste quand j'avais 14 ans, que j'ai arrêté très vite (c'est mal, j'en suis consciente, il ne faut jamais arrêter subitement, il y a une transition à faire de manière progressive), ceci dit j'avais avalé toutes mes plaquettes en une soirée (je ne conseille à personne, je transpirais dans mon lit et avais très mal au foie au point de me tortiller, je pensais franchement que c'était la fin...). Bref j'ai préféré arrêter subitement, qu'on ne m'en prescrive plus du tout, plutôt que de me mettre moi-même en danger avec une prescription sans suivi.
J'ai un niveau maîtrise (equivalent Master I dorénavant, je pense ?!) en psychologie clinique et à vrai dire ce sont ces études dans ce domaine qui m'ont données les outils pour me sortir de mes plus gros complexes psychologiques.
Je me sens beaucoup mieux depuis des années, je suis stable niveau TCA depuis plus de 15 ans et je ne me sens plus dépressive, mais il me reste des interrogations. J'ai une vie correcte sentimentalement parlant (même si je n'ai pas d'enfant et je n'ai encore jamais été mariée - je ne vois pas forcément ce dernier point comme un échec), un super travail depuis presque 20 ans que j'exerce dans un domaine technique et scientifique (pas relatif à la psychologie, mais dans la sécurité informatique) avec des ingénieurs (alors que je n'ai aucun diplôme dans le domaine, je suis autodidacte, mais si j'ai été embauchée et qu'ils m'ont gardée, c'est parce que j'ai les compétences j'imagine).
Ce qui m'inquiète le plus c'est que socialement, je ressens beaucoup mes limitations, je me sens inapte quand je dois discuter avec des personnes que je ne connais pas, je ne sais jamais comment tenir une conversation si on me parle du beau temps ou du fait que telle célébrité vient de donner naissance, parfois je suis même tellement surprise par les dires de personnes en face (pourtant d'intelligence normale, rien d'incompréhensible) que je perds totalement mes moyens, je ne trouve plus mes mots, j'ai l'impression d'avoir "un cerveau vide".
De la même manière, j'ai une phobie du téléphone depuis toujours, et il m'est déjà arrivé de répondre au téléphone, de faire illusion (dans le sens où la personne n'a pas décelé que j'étais en panique), mais une fois la communication terminée, il m'était incapable de dire pourquoi la personne m'avait appelée, quel message elle m'avait transmis, tellement j'étais sous le coup de l'émotion. C'est assez étrange comme sensation et c'est souvent ce qu'il m'arrive quand je suis sous l'emprise du stress. Je n'aime pas du tout quand celà m'arrive et j'estime que ce n'est pas quelque chose de normal non plus...
Je pensais que c'était une forme d'extrême timidité et que ça passerait avec les années, mais je me rends à l'évidence, j'ai plus de 40 ans et des comportements sociaux particuliers, qui me limitent et me questionnent.
Bref :-)
Je suis contente de ma démarche et j'espère qu'elle m'apportera des réponses et éventuellement des pistes pour que je me sente moins limitée ensuite.
Merci encore pour votre accueil !
helelooo- Messages : 4
Date d'inscription : 08/02/2024
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
@heleloo : Je suis impressionné. On a pas mal de points communs.
Tiens, voici mon miroir. Pour le boulot, je suis diplômé en industrie, spécialisation plastiques, et je bosse aussi en informatique (qualité, pas sécurité), pour laquelle je n'ai aucune formation formelle.
ça, c'est tout moi. J'ai aussi du mal avec le téléphone, bien que ça ne soit pas aussi catastrophique (j'ai toujours un bloc-notes et un stylo, ça permet de survivre)
Tout ce que je veux dire par là, c'est que non, tu n'est pas seule à être un peu décalée par rapport aux attentes des récits collectifs qui nous entoure. C'est une expérience de vie différente d'être dans ce genre de chaussures, mais pas non plus scandaleuse (spoiler alert : les "gens normaux" en prennent plein la gueule aussi, juste d'une autre manière).
Heleloo a écrit:je me suis toujours sentie beaucoup plus en sécurité avec les personnes qui sortent de la norme
Tiens, voici mon miroir. Pour le boulot, je suis diplômé en industrie, spécialisation plastiques, et je bosse aussi en informatique (qualité, pas sécurité), pour laquelle je n'ai aucune formation formelle.
- Spoiler:
- Ce qui m'inquiète le plus c'est que socialement, je ressens beaucoup mes limitations, je me sens inapte quand je dois discuter avec des personnes que je ne connais pas, je ne sais jamais comment tenir une conversation si on me parle du beau temps ou du fait que telle célébrité vient de donner naissance, parfois je suis même tellement surprise par les dires de personnes en face (pourtant d'intelligence normale, rien d'incompréhensible) que je perds totalement mes moyens, je ne trouve plus mes mots, j'ai l'impression d'avoir "un cerveau vide".
ça, c'est tout moi. J'ai aussi du mal avec le téléphone, bien que ça ne soit pas aussi catastrophique (j'ai toujours un bloc-notes et un stylo, ça permet de survivre)
Tout ce que je veux dire par là, c'est que non, tu n'est pas seule à être un peu décalée par rapport aux attentes des récits collectifs qui nous entoure. C'est une expérience de vie différente d'être dans ce genre de chaussures, mais pas non plus scandaleuse (spoiler alert : les "gens normaux" en prennent plein la gueule aussi, juste d'une autre manière).
RonaldMcDonald- Messages : 11679
Date d'inscription : 15/01/2019
Age : 48
Localisation : loin de chez moi, dans un petit coin de paradis
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
RonaldMcDonald a écrit:@heleloo : Je suis impressionné. On a pas mal de points communs.
Merci RonaldMcDonald,
Ton commentaire me fait un peu de bien...
RonaldMcDonald a écrit:je bosse aussi en informatique (qualité, pas sécurité), pour laquelle je n'ai aucune formation formelle.
L'informatique est un domaine très technique, que ce soit au niveau développement ou au niveau sécurité. A vrai dire, j'ai été recommandée suite à un challenge très technique (mais légal) en ligne, l'initiateur m'a demandé mon CV car j'étais la seule non pro à m'être classée dans le top 10. Je ne savais pas que ce serait l'issue, pour moi c'était une passion, un jeu, mais ça a changé ma vie.
Tu aimes aussi ce que tu fais actuellement j'imagine ? Tu ne regrettes pas la spécialité de ton diplôme ?
ça, c'est tout moi. J'ai aussi du mal avec le téléphone, bien que ça ne soit pas aussi catastrophique (j'ai toujours un bloc-notes et un stylo, ça permet de survivre)
Je bosse à distance depuis près de 20 ans mais on a des "team meetings" au minimum toutes les deux semaines.
Je suis la seule française donc anglais obligatoire, mais ce n'est pas le plus gros problème, j'ai un plutôt bon niveau en anglais (écrit en tout cas).
Ce qui est énervant c'est que je suis obligée d'écrire sur un papier, et de manière systématique, tout ce que je vais dire durant le meeting, même si mon temps de parole ne va durer que deux minutes.
Et le "Hi" initial sera présent sur mon papier, ce n'est pas juste une liste. Mon anxiété sociale est exacerbée dans la langue anglaise (pourtant j'ai une très bonne maîtrise de la langue apparemment... et après 20 ans à travailler avec des anglophones au quotidien, je pense que tout le monde peut y croire)
Merci pour tes mots.
Dernière édition par helelooo le Jeu 8 Fév 2024 - 16:58, édité 1 fois
helelooo- Messages : 4
Date d'inscription : 08/02/2024
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
helelooo a écrit:Tu aimes aussi ce que tu fais actuellement j'imagine ? Tu ne regrettes pas la spécialité de ton diplôme ?
Non. Je pense que je me serais planté. J'ai des soucis avec mon employeur actuel, mais le job en lui même est cool. Je viens juste de lever une anomalie. J'aime ça, chercher dans tous les coins, trouver l'angle qui n'a pas été fouillé, faire un rapport clinique, détaillé, et qui ne mette pas le développeur mal à l'aise. Par écrit, c'est mieux.
Je bosse à distance depuis près de 20 ans mais on a des "team meetings" au minimum toutes les deux semaines.
Je suis la seule française donc anglais obligatoire, mais ce n'est pas le plus gros problème, j'ai un plutôt un bon niveau en anglais (écrit en tout cas).
Ce qui est énervant c'est que je suis obligée d'écrire sur un papier, et de manière systématique, tout ce que je vais dire durant le meeting, même si mon temps de parole ne va durer que deux minutes.
Et le "Hi" initial sera présent sur mon papier, ce n'est pas juste une liste. Mon anxiété sociale est exacerbée dans la langue anglaise (pourtant j'ai une très bonne maîtrise de la langue apparemment... et après 20 ans à travailler avec des anglophones au quotidien, je pense que tout le monde peut y croire)
Ah, je n'en suis pas à ce point là. Cela étant, je me fais pas mal balader lors de ce genre de meetings (en anglais ou en français, j'ai les deux). A tel point que ma chef m'a offert l'été dernier une formation "assertivité et affirmation de soi" l'été dernier. 2 jours, c'était pas assez, mais j'ai désormais 2-3 petites astuces pour moins me faire balader par ceux qui volent la parole et ne la lâchent plus (genre, quand tout est fini, dire, "au fait, j'oubliais", façon Colombo).
RonaldMcDonald- Messages : 11679
Date d'inscription : 15/01/2019
Age : 48
Localisation : loin de chez moi, dans un petit coin de paradis
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
RonaldMcDonald a écrit:@heleloo : Je suis impressionné. On a pas mal de points communs.
Idem, je développerai éventuellement plus tard ; si j'ose je dois me rendre à une séance de lecture ce soir.
Archiloque- Messages : 1665
Date d'inscription : 22/09/2020
Localisation : Les terres
Re: Mais dans quoi me suis-je encore lancée...
Bonsoir,
Je reviens juste pour dire que j'ai passé tous les "tests" susmentionnés, ainsi qu'un entretien classique mais nécessaire, j'aurai mon bilan vers la fin mars.
Merci beaucoup pour votre accueil, vraiment.
Lors de la deuxième séance de "tests", j'étais beaucoup moins stressée, je pense m'en être beaucoup mieux sortie au niveau des exercices de mémoire, je l'ai dit à ma psy d'ailleurs. Je n'en suis pas sortie en étant fière de moi pour autant, mais j'en suis sortie satisfaite.
Qu'importe le bilan, à partir du moment où j'ai fait la démarche de m'inscrire ici (et comme ce forum m'aide à patienter dans l'attente des résultats), je partagerai ce qu'il en aura été dit lors de mon rdv de restitution (tout en préservant l'anonymat de ma psy et le mien aussi bien entendu).
Je vous souhaite à toutes et tous une bonne continuation. Je suis très discrète, mais je suis présente
Je reviens juste pour dire que j'ai passé tous les "tests" susmentionnés, ainsi qu'un entretien classique mais nécessaire, j'aurai mon bilan vers la fin mars.
Merci beaucoup pour votre accueil, vraiment.
Lors de la deuxième séance de "tests", j'étais beaucoup moins stressée, je pense m'en être beaucoup mieux sortie au niveau des exercices de mémoire, je l'ai dit à ma psy d'ailleurs. Je n'en suis pas sortie en étant fière de moi pour autant, mais j'en suis sortie satisfaite.
Qu'importe le bilan, à partir du moment où j'ai fait la démarche de m'inscrire ici (et comme ce forum m'aide à patienter dans l'attente des résultats), je partagerai ce qu'il en aura été dit lors de mon rdv de restitution (tout en préservant l'anonymat de ma psy et le mien aussi bien entendu).
Je vous souhaite à toutes et tous une bonne continuation. Je suis très discrète, mais je suis présente
helelooo- Messages : 4
Date d'inscription : 08/02/2024
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