Reflexion sur le site d'AS

Bon je sais pas par ou commencer. Ça me fait l'impression d'un champ de neige poudreuse qui promet beaucoup de trajectoires inintéressantes, mais qu'on ose pas attaquer en se disant qu'on risque d'en prendre une pas idéale et en gâcher une ou plusieurs meilleures pour la suite.
Bon bref je vais commencer par citer mes conflits d’intérêt pour poser le tableau.
Donc j'en ai été viré, je suppose à titre définitif, puisque de nouvelles tentatives d'inscription sur 6 mois que j'ai faites sans me cacher (même adresse mail, ip identique ou cookies/cession gardée) se sont soldées par des refus

Spoiler:

Néanmoins la consultation de certaines parties du site qui me sont accessibles me sont agréables.

Grr je perd le fil des idées qui m'ont poussées à me mettre sur l'ordi.
Bon bref le questionnement que je voulais soulever me semble pouvoir éventuellement apporter quelque-chose ici.
L'idée est de réfléchir, donc sans avoir pour objectif ni de vilipender, ni de s'interdire de critiquer.

En gros ce que j'ai compris de la philosophie du site, est qu'il se veut être un lieu ou la douance n'est pas le sujet du tableau, mais le décors. Donc réfléchir a propos de ce site englobe les thèmes suivant :
-place respectives de l'ego, voire des affects dans les relations avec les autres et place et interêt des données brutes, incontestables (....)
-intérêt d'un site généraliste évoquant tous les thèmes d'autres sites (philo, sciences, nature, sorties, sports...) mais réservés aux surdoué (objectif faire tourner la machine et non s'interroger sur sa capacité a tourner)
-possibilité de concilier un site ouvert à tous à priori, pour ne pas exclure les zèbres en questionnement, et une direction fortement déterminée par la douance
(en arrière plan : est ce que la douance ne se dilue pas au point de disparaitre face à des thématiques concrètes. Ce que je veux dire : on parle de physique et non de physique pour surdoués pour décrire la discipline)

Bon je coupe là, après c'est le fouilli, j'arriverais pas a organiser le tout.

Juste des exemple :
Est ce que intéresser à Steve Jobs nécessite de s'affranchir de l'opinion que l'on sur lui. Est ce qu'on doit alors ne pas s'interroger sur le fait qu'il soit un échantillon (thème de discussion) pas du tout tiré au hasard, mais sélectionné par une mécanique sociale. Bref est ce que l'attrait pour la théorie fait que l'on oublie que l'échantillon n'est plus du tout représentatif, pour ne se passionner que pour la compréhension du cas. (c'est le mécanisme souvent de création d'une passion) A l'inverse il est clair que passer sa vie a disserter sur le vilain représentant du capitalisme peut faire passer a coté de quelque-chose.
En gros c'est le même débat que pour la physique nucléaire : est ce qu'on doit se passionner au point d'oublier qu'en définitive en jouant aux apprentis sorcier, on met au point de moyens de destruction massive. Comment concilier la connaissance et ses conséquences.
Je m'interroge aussi beaucoup sur la confrontation cartésianisme/émotivité. D'autant plus qu'il me semble que je suis issu d'un couple alliant deux extrêmes opposés dans ce domaine. Bref est ce conciliable, est ce que dans le concret l'un inhibe l'autre sans qu'ils ne puissent coexister en même temps.
Bon j’arrête là je sais pas si certains sont intéressés pour me suivre ou me tirer(m'extirper?) ou me tolérer sur ce thème.