Nouvelle venue.

Merci Mogwai.
Tu sais quoi j'ai envie d'dire????????????? À toute c'te clique des bien pensanta qui ont essayé de m'faire croire qu'j'étais une fole???????????? Eh bien merde!!!!!!!!! Allez tout' vous faie enculer tabarnac!!!!!!!!!!!!!!!

Je suis sur ma terrasse. Y pleut. Y grêle. Y'a a le tonnerre et ça depuis une heure!!!!!!!! Et j'adore quand les élémenrts s'déchaîne!!!!!!!!!
Et qu'ils aille tous s'faire brûler l'cul en enfer ct''bande d'imbéciles à deux neurones qui s'prenne pou'l'nombril du monde !!!!!!!!!!!!!!!!

Des vagues
de souffrances
sans nom
traversent mon thorax
Simplement avertie
je regarde
Comme je regarderais
les vagues déferlant
tranquillement assise on the shore
Waves of sufferings
Containing
all the tears of
the humanity
This shore
where those
man came
during a war
this shore
a french man
a friend
showed me
un jour
où j'étais
de passage
chez lui
où j'appris
que mon nom

(la seule chose saine que
mon malade de père
m'ai léguée)

mon nom
venait de
ce coin de Normandie

---
puis dans un
bizarre de pays
depuis
quelques temps
j'ai croisé des
humains me
disant que je
dois oublier toutes ces vilaines choses

(l'orage fait rage ici pendant que j'écris
des éclairs énormes fendent
le ciel et le tonnerre éclate!!!!!!!)

ces horreurs
faire semblant
que tout ça
n'a jamais existé

It's the blood
of my ancestors
qui coule dans mes veines!!!!!!!!!!!!!
si je le renis
je les renis
je perdrais
mon âme
dans ce déni

The blood of my ancestors
that is flowing through
my veins
How can i deny them!!!!!!!

It would be
like tearing
my own heart
apart
l'arracher à
mon propre thorax

I have no knowledge
I know nothing
I am an ignorant
And when i walked
on those shores
i could feel them
i could hear them
telling me that
they had been there
in very turbulent times
and i remembered...

et l'orage continue, nettoyant mon coeur et mon jardin

Moi aussi j'adore les orages.

Chez moi, il a duré même pas deux heures...ils ne sont plus ce qu'ils furent, valent rien ces orages.


Hier suis allé lire un texte de luc sur les TA et je me suis vue décrite par son article (surtout l'attitude au boulot et même en général d'ailleurs).
Et justement aujourd'hui j'ai raté tout ce que j'ai pu entreprendre, même mon pain ressemble à une galette....curieux.

Le mystère s'obscurcit davantage. à voir.

Merci Ekaterina.
Je l'ai lu aussi hier.
J'ai aussi lu ton texte qui m'a parlé.
Je n'ai pas pu laisser de texte concernant cette article sur les TA. J'étais trop en colère.Je me sentais trop comme un singe dans une cage et qu'on étudiait. Et en même temps, l'article décrivait exactement le dernier emploi où on m'a mis à la porte.

et l'orage continue, nettoyant mon coeur et mon jardin

et l'âme se lave...
n'oublie pas de respirer, souffler, fort...

merci Mag, ma douce.

Bonne journée à toi Orchidée...

En espérant que l'orage fut salvateur!!!



+++

Forte traversée. Quelques débris sur l'océan mais mon navire et mes hommes sont en sécurité.
Une magnifique journée à toi cher Flowwhere.

Tu écris "j'adore quand les éléments se déchaînent" je te réponds ... moi aussi mais là, surtout ceux de dehors car ce que je voudrais t'envoyer c'est un peu de sérénité et 33000000066785433 km de nuages ouatés pour que tu t'y enroule :-) je t'embrasse aussi fort que l'orage ;-)

Tu vas mieux chère Kasha?
Pour ma part, je traverse. C'est impossible autrement. l'issu en est vital. Je ne peux pas continuer ma vie avec de pareilles chaînes, un tel état d'asservissement. C'est tout bonnement une question de dignité humaine.
J't'embrasse!

Les souhaits ne servent à rien. Mais je t'en fais quand même.


Au moins une image c'est concret...

Bonjour cher Fata,
c'est toujours un plaisir de te voir par ici.
Et de te dire que ton image tombe pile dans mes réflexions actuelles.
Je continue ce jour doucement ma route.
Je sens une certaine fatigue.
La tempête émotionnelle semble doucement se calmer.
Affaire à suivre.
Merci à toi.

Deux monstres
s'affrontent
en moi
celui de la
colère
celui du jugement

la colère -attaque et défense
Me propulse dans la bataille. Me fait sauter dans la fosse aux lions
pour avoir le contact malgré la blessure ressentie.

le jugement -perversion du discernement
Me fait me reculer aux confins de l'univers. Me fait prendre une
distance à la mesure de la blessure ressentie.

le tout recouvrant
un gouffre de
peur
d'être envahie à
un point tel que
j'y perde mon âme
que je sois désagrégée

et je suis allée voir
pour des synonymes
de désagrégée:
°détruite
°décomposée
°dissoute
°cassée
°disloquée
°dissociée
°désintégrée
°sapée
°pulvérisée
°morcelée
°émiettée
°fissurée
°démembrée
°supprimée

Et la définition
de désagréger:
détruire les principes
d'unité, de cohésion,
d'un ensemble organisé.

Fata, t'es un amour.

Je sens que ce n'est qu'en traversant cette vallée de la peur d'être détruite que je vais enfin pouvoir laisser tous ces vieux fantômes et ces spectres derrière moi. Ce n'est qu'en les confrontant que je découvre leur absence de substance, leur vide, leur néant. Et que la peur que j'ai eu d'eux m'a fait m'identifier à leur état de zombies et que j'ai cru que cette absence m'appartenait.

encore du concret




tout je de maux
fait rire le soleil
et la terre "pleuvre" et le coeur pleure :
ça lave
et l'S prie :
"donnez moi au jour d'hui mon rire d'enfant"
"il eusse fallut pour ça que tu tienne l'huis fermé" répondit le grand méchant loup confortablement installé au sein du lit des grands parents
y'a pu d'jeun's ricanais la grenouille de bénitier assise sur le vaisselier
"temps bouille, temps bouille" ronronnait la casserole sur le feu
un oiseau qui passait se jura de ne plus revenir

tandis que le petit chaperon rouge de honte se remettait à pleurer
un lutin des bois entra
"y'a quelqu'un" cria-t-il et personne lui répondit :
"y'a moi mais me vois tu?"
"bien sur" dit le lutin : "je te vois tous les jours au jardin
pourquoi as tu détruit ma maison avec ta binette encore une fois ? dis ?"
"je ne l'ai pas vue" fit la petite fille, et le loup ricana

alors l'oiseau revint il portait sur son dos la fée des logis
elle avait dans ses mains la baguette des soucis
et de quelques coups dit magiques fit pousser sur le lit un champ de fleurs qui englouti le loup, le vaisselier et la grenouille, remplis la tambouille de soucis jaunes d'or comme le soleil en été après la pluie
alors l'Esprit entra, s'assis, pris la petite fille dans ses bras et lui dit
"je vais t'apprendre à voir et jamais plus tu ne pleurera le mal que portent les autres sans "ça" voir que je suis là pour toi, que je viens d'eux, et qu'ils m'en ont chassés, c'est pour ça que le soleil ri, que la terre "pleuvre" et que le coeur s'ouvre... "

…

moralité : on ne met pas le vin nouveau dans les vieilles outres

merci Mag
...

Orchidée a écrit:
Je sens que ce n'est qu'en traversant cette vallée de la peur d'être détruite que je vais enfin pouvoir laisser tous ces vieux fantômes et ces spectres derrière moi. Ce n'est qu'en les confrontant que je découvre leur absence de substance, leur vide, leur néant. Et que la peur que j'ai eu d'eux m'a fait m'identifier à leur état de zombies et que j'ai cru que cette absence m'appartenait.

Wow, t'as tout compris Orchidée, c'est quand on leur fait face qu'on s'aperçoit que nos monstres intérieurs ne sont que des reflets sur une bulle de savon !

Bonjour Mogwai,
''tout compris'' j'y mets un léger bémol , mais effectivement, de commencer à m'arrêter, me retourner et les regarder au lieu de les fuir, a cette effet de bulle de savon qui pète dès qu'exposer à l'atmosphère et au soleil.

Coucou Chère Orchidée,

J' aime aussi les orages et les éclairs, la pluie alors que je suis bien au chaud !! Et ensuite, d' aller me promener avec l' odeur de cette pluie qui a cesséd dans la nature ! Ensuite, c' est l' arc en ciel puis le soleil..
Ici les cigales chantent !!!
Ta colère et tes jugements te permettent de prendre du recul, d' apaiser tes peurs et de les relativser......
Vogues au loin vers Toi -même et l' apaisement !!!

Merci chère Aerienne,
c'est un processus d'une telle intensité que de ''voguer au loin'' dans ma profondeur. ''Légèrement décoiffant but worth every minute of it.

Voilà. 18h45. L'avion part sans moi.
C'est la première fois de ma
vie que je laisse partir
un avion sans moi.
Cette décision s'est imposée cette nuit.

À Mag,
au moment où je recevais ton texte de 15h11, alors que le doute m'envahissait.
L'oiseau.
L'enfant.
L'Esprit.
Ne pas mettre le vin nouveau dans les vieilles outres.

L'échange avec Ekaterina sur son fil concernant Titanic et Virginian.

Je sens leur souffrance
au loin.
Une souffrance qui, il y a quelques heures,
m'aurait arraché le coeur.
Et là je réalise
que c'est la
même souffrance
que celle que
l'on peut ressentir
dans la toxicomanie.

le manque de
l'autre

et je me
retrouvais
distribuée
dans le rôle
de ''l'autre''
dans le rôle
de la ''substance''


Tout fait tellement
de sens au fur
et à mesure que
j'avance.

Je voulais leur
prouver que j'existais.
Je voulais me prouver
qu'à leurs yeux
j'existais.
Et je découvre
leur absence,
cette absence
leur ayant permis
de me chosifier.
Et ma terreur de ma propre
absence, de n'être
qu'une chose, et
m'ayant fait accepter
de devenir leur substance.

Il est des moments où on ne comprend la présence que par l'absence de l'autre, des autres.

J'en ai tellement eu peur de cette absence, que je me faisais "animal domestique" pour recevoir ma flatterie quotidienne, que je me faisais "chose" pour servir encore au quotidien.
Puis un jour "quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage", un jour "tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse", un jour les reproches sont tombés et je n'ai rien compris. J'ai mis 3 ans à décortiquer, 3 ans d'hypersolitude, 3 ans d’hôpital et de maladies.
Épuisé, ma sœur m'a ouvert la voie vers ZC. 6 mois après tout est renversé, pas oublié mais archivé.

Je vois que malgré toutes tes compétences et tes talents, tu vis la même chose. Je suis heureux de te voir renoncer à ce voyage tout en comprenant combien c'est douloureux d'arracher les chaînes qu'on s'est soi-même serrées autour du corps, autour du cœur et presque autour du cou.
Je n'ai pas voulu te donner mon avis avant que tu prennes ta décision. Une décision de vie, une décision de survie ne peut être qu'une décision personnelle.
Seul le respect de l'intimité de l'autre doit guider la présence et la bienveillance.
On est esclavage parce qu'on s'y soumet, on est libre parce qu'on le conquiert. Tout ceci n'est qu'une histoire de volonté, de volonté soutenue par des rencontres, des rencontres de gens bienveillants qui ont souffert ces états, des témoins pas des conseillers.

Je sais que tu souffres, que tu pleures cet ancien inconfort confortable, que déjà au fond de toi tu regrettes un peu, que tu vas t'étourdir de mots. C'était plus facile avant, plus facile quand on ne savait pas.

En écrivant cela sur ton fil, je prends volontairement un risque. Mais nous nous sommes tant apportés, nous nous sommes approchés de si près, alors j'assume ce risque et par ce texte sur ton fil, j'affirme ainsi publiquement le respect que j'ai pour toi. Tu es une belle personne fréquentable et respectable, hautement respectable.

Merci d'être là.

Bonsoir Ours,
d'abord, un immense merci pour ton texte. Et pour ta discrétion de ces derniers jours. Non pas que je ne voulais pas ton avis mais c'était une partie très serrée pour moi et je devais faire route seule avec moi-même.
Oui, j'ai beaucoup pleuré ces derniers jours.
Présentement, c'est comme un énorme calme après la tempête.
Et comme entre deux mondes.
Et je continue simplement ma route.

merci belle Sapho

Je viens te faire un petit coucou, trop passé de temps sur le forum pour aujourd'hui. Commence à fatiguer de lire des conneri... un peu partout.

Seul échange d'où je sors vraiment enrichie : celui que nous avons eu sur ces histoires de bateau et l'échange avec Kelenn (il flotte au-dessus de la terre et aiguise ma curiosité lol).
j'aime bien ours aussi...(mais il triche avec l'image de cet animal, car j'adore les ours, les méchants (ce que je suis) et les gentils (ce que je suis quelques fois) lol).


Il y a une chose à propos de ce film Titanic.

Il y a quelques années, peu avant la sortie de ce film, j'ai rencontré un très vieux peintre alsacien qui ressemblait à un personnage de contes nordiques.
Vers la fin de sa vie (je l'ai rencontré peu de temps avant sa mort, et bien que souhaitant ne pas m'en parler pour vivre encore...j'avais deviné dès le début que ses jours étaient comptés), il était obsédé par ce film qui venait de sortir. J'en conclus que c'était l'état de dessinateur de Jack qui l'antousiasmait...une fois, qu'il n'a plus été là (il est mort d'un K cérébral, T au cerveau), je suis allé voir le film et j'ai vraiment compris.
Depuis, je me suis mise à dessiner sans relâche, j'ai donné la plupart de mes dessins à des enfants zèbres que je gardais, il ne m'en reste que deux, dont un raté et un que j'ai mis sur le fil de Félidé.

Lorsqu'une scène, celle où après que Jack et Rose aient fait l'amour dans la voiture à fond de cale, il y a ce point de lumière perdu dans l'immensité de l'océan et du ciel qui se fondent dans une noirceur presque dense, seul l'horizon s'éclaircit dans un bleu profond.
Près de 2000 vies qui évoluent dans un petit point lumineux perdu dans le néant et entre les mains...de quelque chose. Et une femme s'est imposé dans mon imagination sur cette scène : elle a un visage semblable aux statues des églises (allongé, mais arrondi -non anguleux- des traits bien particuliers de ces statues "nobles"), des cheveux et une robe flottants, les traits de contours sont blancs (un peu comme les camées : les contours ressortent et le fond du dessin est un peu en transparence avec le fond) et elle tient dans ses mains le système solaire, et regarde le point lumineux (le bateau Titanic).

J'ai arrêté de dessiner car je sentais l'omniprésence de ce dessin qui venait s'imposer chaque fois que je cherchais une source d'inspiration. Quelque chose me forçait...et j'ai tout arrêté.

Je n'ai jamais voulu analyser ce truc...il le faudra certainement un jour, les choses laissées en suspend, finissent par se représenter et plus on attend, plus le choix s'estompe (cela fini par devenir du lourd dans le fait de s'imposer) pour finir presque en loi de vie ou de mort. J'ai déja remarqué cette...ce qui semble être une loi (faire les choses tant que l'on a encore le choix de les amorcer, sinon elles s'imposent, au final, souvent très durement), bien étrange.

Peut être de profiter du parallèle entre le Virginian et le Titanic pour creuser cette histoire de dessin ?

J'aurais appelé ce dessin : "cette nuit-là". Mais la sensation de créer ou "donner vie" à quelque chose que je ne connais pas, cette sensation d'y être forcée dès que je prends un crayon...m'a dissuadée de continuer.

Depuis, je reprends des dessins d'autres que je change, mais n'ose inventer moi même quoi que ce soit sur du papier sans voir ressurgir ce personnage dont les intentions m'échappent (j'ai l'air illuminée, mais...pfff..le ridicule en tue pas).
Donc, j'en parle.

Non, t'as pas l'air illuminée. Ce dessin serait très beau à voir, je l'imagine bien. J'aimerais bien que tu le dessines !

Oui, mais il faut que je cherche pourquoi (que je comprenne par la raison ou la sensation) cette pression, cette insistance à "imprimer " ce truc sur un papier et par là, quelque part lui donner "vie".

Bonjour chère Ekaterina,
d'abord un énorme merci pour ton texte. Ca me parle énormément. Dessiner. Se sentir forcer.
Parfois je pourrais hurler de ma propre imbécilité qui me fait me confiner dans cet emprisonnement que je vis comme sécurité.
J'ai reçu chez moi un midi cette semaine pour dîner puis passer un bout d'après-midi ensemble, donc j'ai reçu cette artiste. Il y a un potentiel pour une relation d'amitié. (Ce bout d'après-midi s'est terminé à 21h30!) Nous avons parlé sans obstacle, direct. Je lui ai montré mon atelier. Elle m'a dit des choses qui m'ont ébranlée. Des choses que j'avais vu et que je ne veux pas voir tellement s'y trouve la liberté. Cette liberté qui me terrorise.
Je sais aussi que je dois reprendre le dessin. Et là aussi j'm'en veux tellement. Une telle paresse me bloque et me paralyse. J'ai un projet d'auto-portrait. Un énorme rouleau de papier que je déroule pour y poser des textes et des dessins. J'ai débuté. Il est maintenant posé, là, à ma vue. Et je ne peux pas franchir le pas. Je pourrais hurler devant cette immobilité, cette folie de de la paralysie, cette aberrance humaine de vouloir figer la vie qui n'est que mouvement.

écrit hier avant de plonger dans le sommeil et pas posté pour laisser passer la nuit qui porte soi-disant conseil...
bonsoir Orchidée
je suis très touchée : d'avoir réussi à écrire le texte en complet lâcher prise (= sans le mental),
sachant que c'était pour toi,
de m'être tenue à le poster, (en écoutant pas la voix qui disait "tu écris n'importe quoi")
et de l'impact qu'il a eu dans la synchronicité de ta vie…

j'ai décidé il y a quelques années de suivre mon intuition et de ne plus me battre avec elle, ni contre elle...
il est de plus en plus troublant pour moi d'entrer dans le monde qu'elle me crée…
c'est en même temps qu'une belle leçon d'humilité, un "défi d'autorité" et ça me donne le vertige mais une belle énergie...
j'ai quand même toujours un peu peur de me faire manipuler…
surtout n'hésite jamais à me dire si je dépasse la ligne !
d'habitude j'écris comme ça pour moi et ne le fait pas lire, mais à certains moments sur les forum je me lâche,
ça ne dépend ni de moi ni des autres mais d'une sorte d'ambiance qui me met en état... comme de de rêve éveillé en écrivant...
dans la vie aussi je me lâche mais les retours ont été souvent durs
réveillant ceux de mon enfance donc mon conditionnement...

j'ai ces mémoires à purger tout en me lâchant et ça se fait peu à peu…
et au fur et à mesure les retours deviennent doux...
merci pour les tiens

note : la synchronicité de ma vie me renvoie aux champs
et si mon morphogénétique à moi perso était trop grand pour entrer par les portes??

plutôt que de faire "figure de tâche" dans le paysage "normo", choisir de re-co-naître mes fréquentations "tachyons" ???
pourquoi pas...

http://messagesdelanature.ek.la/le-monde-superlumineux-p89220
Le"mur de la lumière"
 
A l'image du mur du son en aéronautique, il existerait un "mur de la lumière", séparant l'univers sous-lumineux (le monde tangible) et l'univers superlumineux. Dans l'univers superlumineux, il serait possible d'observer un événement avant sa cause. De même, selon les auteurs, "il y aurait pour un être vivant dans l'univers superlumineux une instantanéité complète de tous les événements constituant sa vie, les notions du passé/présent/futur disparaîtraient".
Ainsi, le Champ d'Energie Tachyonique (C.E.T.) serait un espace identifié comme contenant des particules se déplaçant à une telle vitesse, que la notion de temps y serait alors nulle pour toutes personnes s'y plaçant volontairement. Les travaux de Régis DUTHEIL, physicien/biophysicien français, nous expliquent comment la conscience même de l'homme semble issue de ce champ (et semblerait invariablement y retourner) 
À la mort , nous traverserions le mur de la lumière pour réintégrer l'univers de l'espace/temps superlumineux des tachyons. Sur ce qui se passe après la mort, les auteurs s'expriment prudemment car ils considèrent que cela est inaccessible ou inconcevable pour notre monde sous-lumineux.
...//...
Phénomènes paranormaux
 
Les implications de la théorie superlumineuse permettent, elles aussi, de rendre compte de certains phénomènes paranormaux (apparition de fantômes, dédoublements, rêves), et parlent du spiritisme. Les auteurs avancent que les vies antérieures pourraient être simultanées avec la vie actuelle compte tenu de l'inexistence du temps dans l'univers superlumineux.
Ce que la science n'a découvert que bien tardivement, les traditions ésotériques séculaires semblent depuis longtemps l'avoir abordé. En effet, la culture de "l'énergie vitale" (appelée indifféremment Prâna, Chi, Energie cosmique etc. ), palier vers l'Ether, se retrouve dans de nombreuses civilisations parfois disparues. Au sein même de leurs pratiques (rites initiatiques etc.…) nous trouvons de curieuses similitudes avec ce que découvrent aujourd’hui les physiciens.
Ainsi nombre de phénomènes inexpliqués liés à ces rites trouveraient leur sens aujourd'hui.

Allez : tous au chi !!! Sortons des placards

Bonjour chère Mag,
merci pour ce texte.
Ta peur d'envahir. Pour ma part, je sens que tu respectes très bien la limite que je mets. Cela m'est très facile de voir que tu la sens.
Je m'apprête présentement à partir pour une partie de l'après-midi. De retour ce soir. Et je vais relire ton texte et le lien que tu y mets pour te donner mon feedback. À+!

Selon vous, je devrais laisser s'exprimer cette "force" ou "énergie"....remarquez.
Qu'est-ce qu'il m'a freiné en fait ? Car je n'ai aucune indication sur le fait que le personnage serait mauvais ?
C'est peut être cette sensation de main forcée qui me défrise....Et tant que je ne ferai pas ce dessin, cette activité restera flottante. Déjà que mon piano dort dans son coin, là, par flemme....mais je vais me remettre à la musique : apprendre la musique de "mission" à la flûte et avant, celle de "nounours" (autant commencer par du simple).

Tu sais, il y a aussi le chant et la voix de soprano que j'ai bousillée en alto en fumant, mais elle persiste pourtant, malgré des années de tabagisme....

Bon, c'est vrai, il faut que je reconsidère le personnage de "cette nuit là", j'ai assez bousillé de truc lol....


Elle ressemblerait un peu à ce personnage, mais avec un fond noir au lieu de bleu et elle serait de face le visage baissé vers le point lumineux, avec le système sol. dans ses mains :

Coucou les filles

Oui, je crois qu' il faut laisser libre cours à son ressenti et l' exprimer que ce soit le dessin, la peinture, l' écriture ou la musique ou autre.....
Quand l' envie de peindre me prend : je peins et exprime mes émotions, ou mes ressentis....
Bon we !!!!

Saphodane me dit qu'il serait beau à voir....et justement, je n'arrive pas à distinguer s'il serait beau ou s'il serait terrible....
Si je reprends le texte de Mag., mes expériences me pousseraient à conclure que je suis un des vecteurs qui laissent bien passer cette énergie vitale puisque lorsque je pratiquais le Taï Chi, je sentais très clairement et intensément cette fameuse chaleur et densité dans mes mains et m'enveloppant....ce personnage...le fait que je n'ai jamais pu jouer du piano en ayant un "vide" derrière moi (il fallait qu'il y ait un mur, un meuble ou autre...le fait que j'ai déjà vu le futur dans des rêves, mais les choses sont tellement emmêlées que seuls les faits étaient lisibles, mais pas trop le contexte.

Juste cette fois (cela ne s'est pas réitéré) où j'ai rêvé la veille d'un sujet de géographie et une autre fois de latin (il y avait les détails, même le garçon qui posa une question au début du "thème", fut le même que dans la réalité).
J'avais même rêvé (c'était plutôt un cauchemar) un fait catastrophique qui s'est révélé d'actualité, ne reconnaissant pas tout de suite le lien qui n'était pas forcément clair....c'est un fait, qui m'a fait faire le lien avec les cauchemars récurrents qui d'ailleurs se sont arrêtés à l'annonce de l'attentat.
L'ennui est que je perçois des informations, mais pas assez précises pour pouvoir prévenir qui que ce soit, et de toute façon, je passerais pour une folle et ensuite pour une instigatrice du fait s'il est meurtrier....je ne sais pas s'il s'agit d'un passage, d'une chance où d'une malédiction au final.

Comme dans cette cité templière où je vis, j'ai remarqué que vers 3 h du matin, commencent des sortes d'agitations...dernièrement j'ai entendu clairement taper 3 fois à la porte d'entrée (il était aux allentours 4 h du mat) , il n'y avait personne...
D'où mes recherches concernant les Templiers dont le destin est évidemment lié aux Cathares, mais aussi au fameux Abbé Saunière de Rennes le Château....Je commence à avoir quelques pistes.

C'est pour cela que je me méfie un peu, les esprits ont des requêtes pas forcément pacifistes....les templiers, c'est clair, ont des revendications vis à vis de nous tous, mais ce personnage du titanic, elle ne semble pas faire partie des passagers, mais bel et bien avoir décidé du sort de ces derniers ?

Pour le pianiste sur l'océan, c'est plus des similitudes de façon de vivre, de ressentir...une sorte de jumeau que je sens dans ce personnage....sauf que de mon côté, je vis sur la terre, mais un peu dans le même monde que lui.

J'ajoute que je n'ai jamais eu peur la nuit, même lorsque je vivais à Paris, même dans un village désert, la nuit ne m'éffraye pas du tout (je peux déambuler dans un cimetière : il y en avait un dans mon village qui constituait un raccourci pour aller en "ville", je le prenais même la nuit avant qu'il ferme -l'hiver il fait nuit tôt-, il y règne une paix indescriptible, bien plus palpable que le jour), c'est même un moment où l'on peut se concentrer...sauf dans ce dernier village où des bruits pas du tout en lien avec "la maison qui travaille", des souffles sur la joue alors que les issues par lesquelles pourrait filtrer un courant d'air, sont fermées...cela ne m'effraye pas, seulement, comme souvent, j'ai commencé à m'interroger sur ma santé mentale...puis, mon ami qui n'est pas du tout versé dans la perception d'esprits, m'a dit qu'il perçoit aussi des bruits, courants d'airs, objets qui disparaissent (totalement en retournant la maison, on ne les retrouve plus).
Des voisins lorrains nous ont dit qu'ils partaient...mais leur demander s'ils entendent des bruits est délicat...ils risquent de dire être bien plus dérangés par mes vocalises (j'arrête après 21 h) lol....que par les fantômes.

Finirai bien par savoir....pour les Templiers. Pour la dame du Titanic, il n'y a qu'en la dessinant que je saurai...

Voilà. Je suis allé expliquer les origines de mon pseudo qui fit couler tant d'encre (mais uniquement sur ce forum, curieux tout de même !) sur "vie de zèbres"...au moins, ça, c'est fait.

Bomjour chère Ekaterina,
je te reviens donc avec un texte.
D'abord merci pour toute cette délicatesse et cette douceur que tu transmets dans tes écrits. Ca me fait beaucoup de bien.
Ce que tu écris est aussi mon vécu, autant dans la pulsion de créer que dans les perceptions de l'invisible. Et j'aime préciser, invisible pour l'oeil de chair mais très facilement perceptible avec cette sensibilité que tu as, que j'ai, que d'autres aussi ont.
Pour ma part, ce monde que j'appelle subtil (je préfère le terme subtil à celui de invisible) est une évidence depuis très longtemps. C'est palpable pour qui sait le sentir, le percevoir, l'entendre. Je t'y sens à l'aise. Je suis quelqu'un qui est au prise avec la peur et dès qu'il a un surplus de perceptions, je suis vite effrayée. Ta façon de le vivre m'inspire. Tu y sembles à l'aise. Et ce que tu vis dans toutes ces perceptions est ma réalité, mon vécu aussi.
Concernant la créativité, j'ai eu l'immense plaisir de revoir cette femme sculptrice hier. Elle m'a invitée à son atelier, m'a montré son travail et nous avons échangé un long moment sur ce monde artistique, dans ses aspects lumineux autant que dans ses aspects sombres. Je crois qu'une réelle amitié peut prendre place et ça me fait tellement de bien. À ce stade de ma vie, avec tous ces bouleversements, écroulements et retournements de situations, je commence à pouvoir croire qu'il va peut-être m'être possible d'enfin avoir des relations où je puisse m'épanouir, être à l'aise, sentir qu'il y a ce va-et-vient si agréable de l'échange avec l'autre.
J'espère que de ton côté tu vas bien. Encore un grand merci pour tes textes et au plaisir de te lire à nouveau.

Bonjour la belle,

Heureux pour toi que ta journée d'hier se soit amicalement et artistiquement bien passée. Un impression de calme se dégage de ce que tu écris au dessus.
Pour ma part, soirée solitaire sur la plage en regardant le coucher de soleil et en écrivant. Je commence à comprendre ce que tu dis à propos des équilibres/déséquilibres Yin/Yang et de la perception que j'en ai. L'écrire m'a permis de mettre cela en perspective et l'inclure dans mon histoire. La notion également de connexion entre les êtres devient bien moins théorique. Sauf grossière erreur de ma part, je suis surpris de l'aspect éclairant de ces axes de "lecture".
Mais s'approcher du savoir, c'est bien, s'en servir pour aller de l'avant ce serait mieux. Je sens pour autant que c'est en cours.
Aujourd'hui administratif, il faut faire rentrer les sous.... puis training formel.

En fait, j'aurai du mettre cela en MP et pas sur ton fil.
Pas grave.
Bon dimanche de vacancière !



[Note : la suite de cette file de messages est ici.]

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