Torsion nerveuse
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Torsion nerveuse
Ce n'est pas la tension, c'est pire.
Sous la tension, on peut rompre, on lâche tout, on pleure et on revit, sous l'écorce qui se déchire il peut y avoir une renaissance.
La torsion, c'est quand les tempêtes émotionnelles, les mauvaises nouvelles, les reproches injustes, les agressions, tous ceux qui ne cessent d'exiger qu'on soit à eux à cent pour cent, toutes les trois minutes, pour des conneries, vous prennent comme un chiffon et vous... ben vous tordent, avec la poigne de fer d'un Hercule complètement demeuré qui ne comprendrait pas ce qu'il fait,
Vous ne pouvez pas vous échapper, ni même céder : le seul horizon serait l'éclatement en un million de lambeaux que jamais personne ne raccommodera. Vous pouvez hurler et l'Hercule neuneu continue avec un sourire niais, sans même savoir qu'il provoque de la souffrance. Vous n'arrivez même pas à vous effondrer ni à pleurer.
Tout bruit est une torture, toute question une agression.
Le soir vient et vous n'êtes plus qu'un noeud de fibres nerveuses et de synapses déchaînées. Le cerveau est éparpillé, distendu. Le regard se concentre avec peine sur le centre du champ de vision. Et vous n'osez plus faire une remarque à votre entourage pour qu'il vous foute la paix pour ne pas devenir un asocial injuste et pourtant vous n'avez qu'une envie : hurler, hurler à l'Hercule neuneu
Lâche-moi !!!! Au nom de n'importe quoi, de ce que tu veux mais lâche-moi...
Le lendemain matin vous vous relevez tel.
Tels passent jours et semaines...
Sous la tension, on peut rompre, on lâche tout, on pleure et on revit, sous l'écorce qui se déchire il peut y avoir une renaissance.
La torsion, c'est quand les tempêtes émotionnelles, les mauvaises nouvelles, les reproches injustes, les agressions, tous ceux qui ne cessent d'exiger qu'on soit à eux à cent pour cent, toutes les trois minutes, pour des conneries, vous prennent comme un chiffon et vous... ben vous tordent, avec la poigne de fer d'un Hercule complètement demeuré qui ne comprendrait pas ce qu'il fait,
Vous ne pouvez pas vous échapper, ni même céder : le seul horizon serait l'éclatement en un million de lambeaux que jamais personne ne raccommodera. Vous pouvez hurler et l'Hercule neuneu continue avec un sourire niais, sans même savoir qu'il provoque de la souffrance. Vous n'arrivez même pas à vous effondrer ni à pleurer.
Tout bruit est une torture, toute question une agression.
Le soir vient et vous n'êtes plus qu'un noeud de fibres nerveuses et de synapses déchaînées. Le cerveau est éparpillé, distendu. Le regard se concentre avec peine sur le centre du champ de vision. Et vous n'osez plus faire une remarque à votre entourage pour qu'il vous foute la paix pour ne pas devenir un asocial injuste et pourtant vous n'avez qu'une envie : hurler, hurler à l'Hercule neuneu
Lâche-moi !!!! Au nom de n'importe quoi, de ce que tu veux mais lâche-moi...
Le lendemain matin vous vous relevez tel.
Tels passent jours et semaines...
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
C'est comme ça qu'un jour j'ai failli foutre par la fenêtre un mec qui n'arrêtait pas de parler. Mais on était au premier étage, alors je ne l'ai pas fait. Mais c'était juste.
Re: Torsion nerveuse
Quelle souffrance Fusain, et quelle fatigue dirait-on.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Torsion nerveuse
- Spoiler:
- Bah ouais siamois, rentrer dans la violence, c'est toujours juste...
Ce qui ne te tue pas te rend plus (ou moins) fort, Fusain. Tel l'albatros qui se caméléonise au milieu des pigeons, des moineaux et des corbeaux. Un jour, j'espère que tu prendras tes ailes l'ami... Peut-être est-ce le seul véritable moyen... d'avoir enfin la paix...
Bon courage, prend soin de toi malgré tout.
1y4d3- Messages : 1834
Date d'inscription : 21/03/2012
Re: Torsion nerveuse
Bonsoir, hier je suis allé me promener en bord de Loire : une heure de respiration, de silence. Pensées entremêlées, bouillonnantes, colère, dépit, balayés petit à petit par le vent, le calme de l'eau, les glycines en fleurs sur les murs des demeures en tuffeau riveraines, le vert printanier, le bruissement des feuilles. Sa majesté la Loire, sous le soleil, a une fois encore joué son rôle de mère apaisante. Je vous souhaite de pouvoir la fréquenter souvent, ou une cousine à elle.
Comme le dit Lyade : "prenez soin de vous"
Comme le dit Lyade : "prenez soin de vous"
oursensac- Messages : 3
Date d'inscription : 16/04/2012
Age : 63
Localisation : Anjou
Re: Torsion nerveuse
Bonjour Fusain, je connais ce genre de prise de tête, c'est ce que je vivais avec ma mère, qui est décédée il y a deux ans, qui n'a jamais compris la zébritude. Mon père comprenait-il ? Je pense qu'il était un "zèbre refoulé", entre lui et ma mère, il y avait des explosions, il allait dormir pendant trois jours dans sa voiture. Maintenant la prise de tête est ailleurs, vu que je n'ai moi-même pas de conjoint, et que cela fait dix ans que je n'ai plus voulu que qui que ce soit entre dans ma "bulle". Les gens m'agacent pour des trucs minuscules, par exemple, me dire que mon sac est ouvert, ou que j'ai "quelque chose" collé à ma figure. Je ne dis rien et me laisse tripoter en silence comme un chien qui d'habitude, mord, mais aurait décidé de rester zen. Ce matin dans le métro, je me sentais déjà mal à l'aise rien qu'à l'idée d'aller en cours (j'ai repris mes études). je stressais sachant qu'il y aurait encore ces petites conneries stupides. Un jour, quelqu'un m'a dit que le trou de mon oreille droite (j'ai les oreilles percées) n'était pas assez au milieu. Débrifing ce soir avec ma fille , qui est très certainement zèbre, sur cette journée à la con, cet échange m'a fait du bien mais c'est dur quand on ne peut pas en parler, J'ai réussi à m'en sortir parce que j'essaie de "détecter" d'autres zèbres, et quand il n'y en a pas j'essaie de trouver des "gradations" dans les comportements embêtants, mais il n'y a pas moyen de désamorcer quoi que ce soit avec eux, ils sont dans leur truc à fond, c'est horrible, Peut-être y a-t-il dans ton entourage quelqu'un qui peut t-aider, avec qui tu peux en parler, ou bien tu peux écrire cela en expliquant ce qui te met en colère (j'ai utilisé cette méthode, et ma vie est devenue plus "ouverte" après cela, notamment cela a permis de révéler la zébritude de ma fille) en tous cas dis toi que l'abruti aura oublié demain, ce n'est pas grave, surtout ne culpabilise pas,
En tous cas, tu n'étais pas le seul à vivre une sale journée, peu-être que c'était le vent !
En tous cas, tu n'étais pas le seul à vivre une sale journée, peu-être que c'était le vent !
Re: Torsion nerveuse
oursensac a écrit:Bonsoir, hier je suis allé me promener en bord de Loire : une heure de respiration, de silence. Pensées entremêlées, bouillonnantes, colère, dépit, balayés petit à petit par le vent, le calme de l'eau, les glycines en fleurs sur les murs des demeures en tuffeau riveraines, le vert printanier, le bruissement des feuilles. Sa majesté la Loire, sous le soleil, a une fois encore joué son rôle de mère apaisante. Je vous souhaite de pouvoir la fréquenter souvent, ou une cousine à elle.
Comme le dit Lyade : "prenez soin de vous"
Vu mon boulot, dans la nature, je pense boulot. J'observe, je note des données, j'analyse.
De toute façon, ses angoisses on les emporte avec soi. Elles ne me lâchent pas. Elles braillent qu'un malheur va arriver et que ça sera bien mérité.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Elles braillent qu'un malheur va arriver et que ça sera bien mérité.
Elles braillent mais ne te commandent pas.
Ta Vie; Maître de tes choix. Cependant n'oublie pas; L'empathie.
Quoi que tu fasses, laisse au moins une trace.
Sinon tu feras en sorte de partager cette "torsion", ça peut être vu comme un don; mais aussi comme un acte con.
Difficile de concevoir plusieurs façons de voir, dans cette situation.
Ne voit ni blanc ni noir, c'est p'tet juste un cauchemar, qui a une raison.
Quoi qu'il en soit, n'oublie pas de remercier ceux qui prennent du temps pour t'écrire dans ces moments. Pendant que certains te soutiennent, d'autres font un come-back dans un passé douloureux pour donner des conseils... Ou du moins, te montrer que t'es pas solo, l'ami.
Ces angoisses, laisse les brailler. Ne vas tu quand même pas écouter et suivre les conseils ce ces"trucs-machins-négatifs"? Ca, ça serait stupide...
P & L
1y4d3- Messages : 1834
Date d'inscription : 21/03/2012
Re: Torsion nerveuse
Tout le travail que je fais depuis 3 ans consiste à ne plus les écouter. Pour une bonne partie, j'y arrive. Elles me braillent aussi que je suis le dernier des derniers, sans même le droit à la vie, juste bon à être jeté à la poubelle non recyclable.
C'est déjà pas mal d'avoir cessé d'y croire, ce n'était pas gagné.
Mais il y a un truc en moi qui dit : "Bonheur ? Interdit !" et il trouve toujours un truc pour me le pourrir.
C'est déjà pas mal d'avoir cessé d'y croire, ce n'était pas gagné.
Mais il y a un truc en moi qui dit : "Bonheur ? Interdit !" et il trouve toujours un truc pour me le pourrir.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Fusain a écrit:Tout le travail que je fais depuis 3 ans consiste à ne plus les écouter. Pour une bonne partie, j'y arrive. Elles me braillent aussi que je suis le dernier des derniers, sans même le droit à la vie, juste bon à être jeté à la poubelle non recyclable.
C'est déjà pas mal d'avoir cessé d'y croire, ce n'était pas gagné.
Mais il y a un truc en moi qui dit : "Bonheur ? Interdit !" et il trouve toujours un truc pour me le pourrir.
En partie ?
Cela reste encore à nettoyer donc...
Si j'osais...
Je dirais que face à ces peurs, angoisses, surtout de ce type, il y a deux solutions: s'aggripper et résister, comme tu le fais, le temps nécessaire pour crier aussi dans sa tête de partir. Mais si ça n'a pas tout résolu, c'est que ce n'est pas une simple peur basique...
Il y a alors la deuxième solution: se laisser submerger, laisser cette peur nous "traverser", simplement passer et traverser, sans lui résister, sans la combattre. Une fois fait, une fois qu'elle aura traversé, elle repart aussitôt. Mais tant que tu ne "l'écoutes pas justement", que tu la repousses, si elle persiste à rester, c'est alors qu'elle fait partie des Peurs qui "doivent te traverser".
A vue de nez, on dirait bien que c'est le cas "cette fois-ci"... Inspire un bon coup, retiens ta respiration, et ouvre-leur la porte puisqu'elles ne partent pas après autant de temps. Elles doivent juste "passer à travers toi", c'est tout. Je te le garantis. Le plus dur, le plus difficile, c'est ça, accepter de les laisser passer et c'est tout. Une fois accepté, elles s'envolent par magie, ne te font rien du tout une fois que tu as "accepté" de les laisser entrer et passer.
Ouvre ton esprit, ouvre la porte, et laisse-les "traverser" sans résister. A mettre en oeuvre en journée puisque cela t'arrive là, ou le soir avant de se coucher cela marche très bien aussi.
C'est une épreuve à passer, un passage initiatique de ta vie, qui te rendra ensuite plus fort, et surtout enfin libéré de cette Angoisse.
Tu pourrais même la voir se transformer et ôter son déguisement revêtu qui fait si peur: si cela arrive, tu verras un Bonheur l'espace d'un instant.
Et ensuite, ce sera fini, cela ne te dérangera plus.
Tu me diras si ça a marché ?
Mp possible ou suite ici, si cela ne fonctionne pas, ou si c'est trop dur, ne lâche pas l'affaire, il faut t'en débarrasser pour de bon.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Moi aussi, je suis "bonne à rien", je "prends la tête aussi" et" j'impose mon intellect à tout le monde" voilà le florilège de ce qu'on m'a sorti !
Fusain, que s'est-il passé avec ces trois dont tu parles ?
Je te donnes malgré tout un avis sur la question. C'est une réaction de non-zèbre de disqualifier l'autre, je crois. maintenant que j'y pense je me souviens de ma réaction lorsque j'étais enfant, j'étais insensible à la disqualification et c'est comme ça qu'ils ont dit que j'étais "folle". C'est le système de défense des non-zèbres, ils se sentent atteints s'ils voient quelqu'un pour qui une toute petite erreur, ou vexation n'est pas une "catastrophe" qui va faire écrouler leur monde fragile, alors ils procèdent à une manipulation, un "retournement" et c'est l'autre le faible.
J'ai aussi souvent peur, que mon chien meure, (il a des verrues, mais celles-ci peuvent muter et mal tourner), c'est une bonne idée de laisser couler, oui, je me dis, j'ai peur, et alors, et je fais un truc qui s'appelle "l'exercice du mieux être" lorsque je me mets en colère çà cause des beaufs. C'est un truc qui fait un peu yoga certes, j'ai vu cela dans un bouquin de vulgarisation psychologique écrit par le fameux auteur des hommes qui vivent sur mars et des femmes sur Vénus. C'est très pratique car on n'a pas besoin de réfléchir, on ne risque pas non plus de se "monter le bourrichon". Voilà en quoi cela consiste, il faut remettre en synchronisation se s émotions en exprimant sda colère, sa tristesse, sa peur et ses regrets et il faut répondre, de préfzérence par écrit, aux questions suivantes :
- Que se passe-t-il (qui n'aurait pas dû arriver)
- Que ne se passe-t il pas (qui aurait dû/devrait se passer)
- Qu'est-ce qui pourrait ne pas arriver (que j'espère)
- Qu' est-ce qui ne pourrait pas arriver ?
Il faut être le plus précis possible. Cela peut marcher pour toute chose, présente, passée, importante, pas importante, je fais cela pour tout ce qui m'embête trop et que je n'arrive pas à régler et je découvre des tas de trucs.
Un autre truc qui m'a bien servi, me mettre à faire à nouveau quelque chose que je faisais avant que je sois sensible à toutes ces choses,(en fait j'ai eu des problèmes quand j'étais enfant, mais cela ne me déstabilisait pas;, cela a commencé à mal tourner pour moi à l'adolescence, car mes parents ne voulaient pas que je sorte, puis nous avons déménagé, ensuite, cela a été l'horreur avec las ados de la région parisienne qui me critiquaient sans arrêt et me rejetaient car je ne savais pas parler de choses intéressantes ou "amusantes", bref, j'étais pas "cool".C'est là que j'ai commencé à m'intéresser à la logique non(zèbre, hélas pour moi car cela a failli très mal finir.
Bon courage à tous
Fusain, que s'est-il passé avec ces trois dont tu parles ?
Je te donnes malgré tout un avis sur la question. C'est une réaction de non-zèbre de disqualifier l'autre, je crois. maintenant que j'y pense je me souviens de ma réaction lorsque j'étais enfant, j'étais insensible à la disqualification et c'est comme ça qu'ils ont dit que j'étais "folle". C'est le système de défense des non-zèbres, ils se sentent atteints s'ils voient quelqu'un pour qui une toute petite erreur, ou vexation n'est pas une "catastrophe" qui va faire écrouler leur monde fragile, alors ils procèdent à une manipulation, un "retournement" et c'est l'autre le faible.
J'ai aussi souvent peur, que mon chien meure, (il a des verrues, mais celles-ci peuvent muter et mal tourner), c'est une bonne idée de laisser couler, oui, je me dis, j'ai peur, et alors, et je fais un truc qui s'appelle "l'exercice du mieux être" lorsque je me mets en colère çà cause des beaufs. C'est un truc qui fait un peu yoga certes, j'ai vu cela dans un bouquin de vulgarisation psychologique écrit par le fameux auteur des hommes qui vivent sur mars et des femmes sur Vénus. C'est très pratique car on n'a pas besoin de réfléchir, on ne risque pas non plus de se "monter le bourrichon". Voilà en quoi cela consiste, il faut remettre en synchronisation se s émotions en exprimant sda colère, sa tristesse, sa peur et ses regrets et il faut répondre, de préfzérence par écrit, aux questions suivantes :
- Que se passe-t-il (qui n'aurait pas dû arriver)
- Que ne se passe-t il pas (qui aurait dû/devrait se passer)
- Qu'est-ce qui pourrait ne pas arriver (que j'espère)
- Qu' est-ce qui ne pourrait pas arriver ?
Il faut être le plus précis possible. Cela peut marcher pour toute chose, présente, passée, importante, pas importante, je fais cela pour tout ce qui m'embête trop et que je n'arrive pas à régler et je découvre des tas de trucs.
Un autre truc qui m'a bien servi, me mettre à faire à nouveau quelque chose que je faisais avant que je sois sensible à toutes ces choses,(en fait j'ai eu des problèmes quand j'étais enfant, mais cela ne me déstabilisait pas;, cela a commencé à mal tourner pour moi à l'adolescence, car mes parents ne voulaient pas que je sorte, puis nous avons déménagé, ensuite, cela a été l'horreur avec las ados de la région parisienne qui me critiquaient sans arrêt et me rejetaient car je ne savais pas parler de choses intéressantes ou "amusantes", bref, j'étais pas "cool".C'est là que j'ai commencé à m'intéresser à la logique non(zèbre, hélas pour moi car cela a failli très mal finir.
Bon courage à tous
Re: Torsion nerveuse
Cool tes 4 questions, merci beaucoup, j'en prends note.
Au fait tu étais où avant la région parisienne ? Simple curiosité, je viens de Grenoble et j'ai aussi eu du mal à m'adapter.
Au fait tu étais où avant la région parisienne ? Simple curiosité, je viens de Grenoble et j'ai aussi eu du mal à m'adapter.
Re: Torsion nerveuse
Je vais essayer le coup des 4 questions mais là je me sens submergé.
Et je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose que sur mon genou douloureux.
Alors que je devrais oublier,
Accepter le fait que dans la logique de l'autre (l'agresseur) je le dérangeais,
Accepter le fait que dans son système, quand quelqu'un dérange, on hurle et on tape dessus,
Accepter le fait qu'il avait le droit d'ignorer que mon comportement "anormal" à ses yeux était "légal",
Et donc accepter les raisons qui l'ont conduit à me brutaliser, comme étant cohérentes et donc légitimes.
Et je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose que sur mon genou douloureux.
Alors que je devrais oublier,
Accepter le fait que dans la logique de l'autre (l'agresseur) je le dérangeais,
Accepter le fait que dans son système, quand quelqu'un dérange, on hurle et on tape dessus,
Accepter le fait qu'il avait le droit d'ignorer que mon comportement "anormal" à ses yeux était "légal",
Et donc accepter les raisons qui l'ont conduit à me brutaliser, comme étant cohérentes et donc légitimes.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Tiens on me l'a fait le coup du déguisement mental !!! que je n'étais pas "naturelle". je rigole !!!
Je ne crois pas à la zénitude et au masque qu'on enlève, Que veut donc dire se sentir "libéré ?"
Je ne considère pas que ce soit légitime qu'on t'ait agressé, Fusain, je n'ai pas voulu dire ça et j'aurais dû expliquer cela autrement. au contraire je trouve ces réactions plutôt tordues. Je ne disais pas cela pour leur donner des excuses, au contraire. Mais de savoir pourquoi l'autre le fait rassure, petit à petit quelque chose en moi s'est construit et ma révolte est devenue crédible, je ne suis pas allée rejoindre le point de vue des non-zèbres agressifs et normatifs, mais petit à petit j'ai fini par me sentir moins vulnérable, donc j'ai moins eu besoin de cacher quelque chose de moi aux autres Car pour un "beauf" cela se voit gros comme une maison, je ne sais pas exactement ce qu'il voit mais il retourne la situation pour que cela tourne à son avantage. Au bout d'un moment on se "désensibilise" on peut se mettre à nouveau en pétard pour se défendre sans risquer que cela fasse pire. Au boulot, un jour, j'avais été convoquée par la directrice pour un motif que j'ai oublié, peu importe, j''ai juste dit que j'en avais marre de passer pour "je ne sais quoi" à la PJJ, mais il y a trois ans, une autre direcgtrice m'a gardée trois heures dans son bureau pour mon évaluation annuelle, j'ai dû prendre un bain froid en rentrant car j'ai cru que j'allais péter les plombs
(cela m'est déjà arrivée, j'ai manqué d'être psychiatrisée à cause de toutes ces conneries).
Je ne pense pas qu'on arrive à être zen et oublier, d'ailleurs ce n'est pas souhaitable, je suis plutôt dans ce forum pour qu'on soit des zèbres résistants et non des zèbres repentis !!!
L'idée du bonheur est évidemment la seule issue possible, un zèbre sest à la base optimiste, entier aussi et je pense que celui-ci est pour les gens qui se battent et non pas pour ceux qui acceptent et sont "zen", la zénitude étant pour moi une sorte de renoncement, de négation de soi , une idée qui n'est pas opératoire et qu'on peut mettre à la poubelle non recyclable, quelle super-formule, à réutiliser !
Je réponds à siamois 93 pour le lieu d'où je venais de la Sarthe, j'avais passé six ans en internat à La Flèche, mais je n'en suis pas originaire, je suis originaire de Paris par mon père, et de la Creuse par ma mère.
Je ne crois pas à la zénitude et au masque qu'on enlève, Que veut donc dire se sentir "libéré ?"
Je ne considère pas que ce soit légitime qu'on t'ait agressé, Fusain, je n'ai pas voulu dire ça et j'aurais dû expliquer cela autrement. au contraire je trouve ces réactions plutôt tordues. Je ne disais pas cela pour leur donner des excuses, au contraire. Mais de savoir pourquoi l'autre le fait rassure, petit à petit quelque chose en moi s'est construit et ma révolte est devenue crédible, je ne suis pas allée rejoindre le point de vue des non-zèbres agressifs et normatifs, mais petit à petit j'ai fini par me sentir moins vulnérable, donc j'ai moins eu besoin de cacher quelque chose de moi aux autres Car pour un "beauf" cela se voit gros comme une maison, je ne sais pas exactement ce qu'il voit mais il retourne la situation pour que cela tourne à son avantage. Au bout d'un moment on se "désensibilise" on peut se mettre à nouveau en pétard pour se défendre sans risquer que cela fasse pire. Au boulot, un jour, j'avais été convoquée par la directrice pour un motif que j'ai oublié, peu importe, j''ai juste dit que j'en avais marre de passer pour "je ne sais quoi" à la PJJ, mais il y a trois ans, une autre direcgtrice m'a gardée trois heures dans son bureau pour mon évaluation annuelle, j'ai dû prendre un bain froid en rentrant car j'ai cru que j'allais péter les plombs
(cela m'est déjà arrivée, j'ai manqué d'être psychiatrisée à cause de toutes ces conneries).
Je ne pense pas qu'on arrive à être zen et oublier, d'ailleurs ce n'est pas souhaitable, je suis plutôt dans ce forum pour qu'on soit des zèbres résistants et non des zèbres repentis !!!
L'idée du bonheur est évidemment la seule issue possible, un zèbre sest à la base optimiste, entier aussi et je pense que celui-ci est pour les gens qui se battent et non pas pour ceux qui acceptent et sont "zen", la zénitude étant pour moi une sorte de renoncement, de négation de soi , une idée qui n'est pas opératoire et qu'on peut mettre à la poubelle non recyclable, quelle super-formule, à réutiliser !
Je réponds à siamois 93 pour le lieu d'où je venais de la Sarthe, j'avais passé six ans en internat à La Flèche, mais je n'en suis pas originaire, je suis originaire de Paris par mon père, et de la Creuse par ma mère.
Re: Torsion nerveuse
J'ai un doute. Il y a différents niveaux de cohérence, et dans ce cas un tueur en série est cohérent, ça ne rend pas ce qu'il fait légitime.étant cohérentes et donc légitimes.
Je pense qu'il faut toujours essayer de dire la vérité brute: " Ce que tu fais me fait du mal et je n'en veux pas". Comme pour les arts martiaux où l'on avertit quelqu'un: " Tu es trop près de moi, tu me mets mal à l'aise, alors recule, sinon..."
Pourquoi pas du karaté do shotokan (position basse) ou mieux (et plus dur dans tous les sens du terme aussi !) du viet vo dao ?
Ça donne une assise stable, une fermeté calme que les autres perçoivent.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Torsion nerveuse
J'ai un doute. Il y a différents niveaux de cohérence, et dans ce cas un tueur en série est cohérent, ça ne rend pas ce qu'il fait légitime.
Pourtant c'est une des premières choses qu'on dit à une victime (quelle que soit la gravité des faits) : qu'elle a forcément fait quelque chose qui a dérangé l'agresseur et qu'elle l'a donc bien cherché.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
ça , je confirme.
Au commissariat de police, pour porter plainte contre un déli mentionné dans la loi, qui envoie au Tribunal ensuite avec peine d'emprisonnement possible (donc pas rien non plus comme délit) nous avons été plusieurs du quartier à nous faire refouler.
D'abord on nous explique que non, cela ne les concerne pas. Pourtant les textes sont clairs, il faut porter plainte en ces cas-là.
En insistant, on nous disait ensuite que c'était de notre faute.
On ne doit pas avoir les mêmes articles de loi sous les yeux donc...
En insistant encore plus, on te donne enfin après 3 visites, sur 3 jours différents, la possibilité de porter plainte, ouf, ça y est, ils se souviennent que cela peut effectivement faire partie de leur job.
Ah, si, la meilleure de tout...
Au tribunal, quand le jugement a eu lieu... avec toutes les personnes concernées, nous étions plusieurs plaignants différents...
On a entendu les juges, dire que c'était étonnant que son casier judiciaire était encore vierge au vu de l'étendue des dégâts et du nombre de plaignants. C'est sûr, que si chaque fois les commissariats refoulent les plaignants partout pour faire baisser les stats de délits, ou parce qu'ils sont surchargés de boulot, ...
Eh bien pendant ce temps le crime continue encore et encore si personne en les arrête, fait encore plsu de victimes. Ce n'est aps avec des stats déguisées et des gens refoulés chez les plaignants, qu'on va avoir une meilleure société, surtout pour des crimes qui encourrent la prison et pas seulement une infraction minime donnant un simple rappel dans le casier.
Au commissariat de police, pour porter plainte contre un déli mentionné dans la loi, qui envoie au Tribunal ensuite avec peine d'emprisonnement possible (donc pas rien non plus comme délit) nous avons été plusieurs du quartier à nous faire refouler.
D'abord on nous explique que non, cela ne les concerne pas. Pourtant les textes sont clairs, il faut porter plainte en ces cas-là.
En insistant, on nous disait ensuite que c'était de notre faute.
On ne doit pas avoir les mêmes articles de loi sous les yeux donc...
En insistant encore plus, on te donne enfin après 3 visites, sur 3 jours différents, la possibilité de porter plainte, ouf, ça y est, ils se souviennent que cela peut effectivement faire partie de leur job.
Ah, si, la meilleure de tout...
Au tribunal, quand le jugement a eu lieu... avec toutes les personnes concernées, nous étions plusieurs plaignants différents...
On a entendu les juges, dire que c'était étonnant que son casier judiciaire était encore vierge au vu de l'étendue des dégâts et du nombre de plaignants. C'est sûr, que si chaque fois les commissariats refoulent les plaignants partout pour faire baisser les stats de délits, ou parce qu'ils sont surchargés de boulot, ...
Eh bien pendant ce temps le crime continue encore et encore si personne en les arrête, fait encore plsu de victimes. Ce n'est aps avec des stats déguisées et des gens refoulés chez les plaignants, qu'on va avoir une meilleure société, surtout pour des crimes qui encourrent la prison et pas seulement une infraction minime donnant un simple rappel dans le casier.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Oui. mais merde à la fin ! Je sais pas combien de fois je me suis énervé en constatant qu'on inversait les rôles entre victime et agresseur ! C'est de la faute à Papy Freud ?Pourtant c'est une des premières choses qu'on dit à une victime (quelle que soit la gravité des faits) : qu'elle a forcément fait quelque chose qui a dérangé l'agresseur et qu'elle l'a donc bien cherché.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Torsion nerveuse
Plutôt la faute à "si tu es vraiment une victime, il va falloir que je te protège, que j'agisse, que je prenne des risques face à l'agresseur, que je m'engage" alors que "si tu l'as cherché, tans pis pour toi, débrouille-toi, je n'ai rien à y voir et aucune responsabilité dans ce qui t'arrive et je peux continuer ma petite vie tranquille".
Sur la torsion nerveuse, quand tout est agression, j'ai connu ça il y a à peu près deux ans. Je ne supportais plus rien. A la réflexion, une période de transition, de conflits internes très forts, qui s'extériorisaient. J'ai compris depuis que ces moments où tout m'insupporte sont à examiner avec attention, pour identifier le conflit intérieur et agir dessus, plutôt que de subir les "agressions" externes. A l'extrême, ça peut être des moments où étant particulièrement vulnérable, on peut devenir réellement agressé et/ou réellement agresseur. Ou être victime d'accident. Raison pour laquelle il faut faire très attention à ces moments, et essayer de trouver un moyen de calmer le conflit.
Sur la torsion nerveuse, quand tout est agression, j'ai connu ça il y a à peu près deux ans. Je ne supportais plus rien. A la réflexion, une période de transition, de conflits internes très forts, qui s'extériorisaient. J'ai compris depuis que ces moments où tout m'insupporte sont à examiner avec attention, pour identifier le conflit intérieur et agir dessus, plutôt que de subir les "agressions" externes. A l'extrême, ça peut être des moments où étant particulièrement vulnérable, on peut devenir réellement agressé et/ou réellement agresseur. Ou être victime d'accident. Raison pour laquelle il faut faire très attention à ces moments, et essayer de trouver un moyen de calmer le conflit.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Les moments où on sent le conflit très fort, on peut en effet travailler dessus. C'est à cela que me sert ma méthode des 4 questions, cela permet en effet de trouver des ouvertures petit à petit pour modifier certaines choses soit dans son rapport à ce qui se passe, sopit dans ce qu'on vit.
Cela n'empêche pas de faire face à ceux qui nous agresse.
Ce que tu dis, éclaircie, au sujet de la vicitime est tout à fait juste.
Quelquefois, on prend un vrai risque de nos jours à protéger les autres.
Hier, il y a eu une bagarre au centre, mon collègue s'est fait agresser, tous les autres jeunes sont venus m'aider et j'ai ensuite appelé le ditecteur pour qu'on n'ait pas de problème le reste de la soirée, et que l'incident ne soit pas le sujet de conversation du week-end.
Bien que ce soit mon travail, j'ai eu un peu peur de faire cela, surtout vis à vis de mon collègue, mais finalement il m'a dit que j'avais bien fait.
Donc moralité, même la victime ne veut pas qu'on la protège pour continuer son petit bonhomme de chemin !!
Sujet qui n'a rien à voir ; j'ai un travail à faire en informatique dans le cadre de ma formation, plus j'avance dans sa réalisation et plus je ressens une espèce de fatigue, un noeud, u stress de faire ce truc qui m'empoisonne, c'est une variante de "l'agression" ! Je n'aime pas ce travail car cela me rappelle l'écriture au CE&, juste après avoir sauté une classe.
Je pense, Fusain, que ce ne serait pas inutile que tu explores les situations qui t'ont fait t'énerver comme cela depuis que tu es tout petit, cela t'aiderait à ne plus le sentir aussi fort et à réagir d'une façon
qui t'attirerait moins de problèmes.
As tu des gens qui peuvent t(aider dans ce que tu vis, à part le forum ?
Cela n'empêche pas de faire face à ceux qui nous agresse.
Ce que tu dis, éclaircie, au sujet de la vicitime est tout à fait juste.
Quelquefois, on prend un vrai risque de nos jours à protéger les autres.
Hier, il y a eu une bagarre au centre, mon collègue s'est fait agresser, tous les autres jeunes sont venus m'aider et j'ai ensuite appelé le ditecteur pour qu'on n'ait pas de problème le reste de la soirée, et que l'incident ne soit pas le sujet de conversation du week-end.
Bien que ce soit mon travail, j'ai eu un peu peur de faire cela, surtout vis à vis de mon collègue, mais finalement il m'a dit que j'avais bien fait.
Donc moralité, même la victime ne veut pas qu'on la protège pour continuer son petit bonhomme de chemin !!
Sujet qui n'a rien à voir ; j'ai un travail à faire en informatique dans le cadre de ma formation, plus j'avance dans sa réalisation et plus je ressens une espèce de fatigue, un noeud, u stress de faire ce truc qui m'empoisonne, c'est une variante de "l'agression" ! Je n'aime pas ce travail car cela me rappelle l'écriture au CE&, juste après avoir sauté une classe.
Je pense, Fusain, que ce ne serait pas inutile que tu explores les situations qui t'ont fait t'énerver comme cela depuis que tu es tout petit, cela t'aiderait à ne plus le sentir aussi fort et à réagir d'une façon
qui t'attirerait moins de problèmes.
As tu des gens qui peuvent t(aider dans ce que tu vis, à part le forum ?
Re: Torsion nerveuse
Fata Morgana a écrit:Oui. mais merde à la fin ! Je sais pas combien de fois je me suis énervé en constatant qu'on inversait les rôles entre victime et agresseur ! C'est de la faute à Papy Freud ?Pourtant c'est une des premières choses qu'on dit à une victime (quelle que soit la gravité des faits) : qu'elle a forcément fait quelque chose qui a dérangé l'agresseur et qu'elle l'a donc bien cherché.
A qui la faute ? (et je vais répondre à Eclaircie et Danielleda du même coup).
Quand j'étais en primaire, j'étais toujours premier de classe en plus d'avoir un an d'avance. Aux récréations je me prenais rouste sur rouste et tabassage collectif sur tabassage collectif. Que s'est-il passé ? En CE2 une des instits a carrément déclaré à mes parents que c'était normal, parce que les autres prenaient mes notes pour de la provocation et qu'il était normal qu'ils rétablissent l'équilibre en me tapant dessus. C'est ainsi que mes parents me l'ont expliqué, pour me faire comprendre... ben qu'après tout, il fallait l'accepter. Et que je n'avais qu'à "me montrer plus intelligent qu'eux" en n'essayant surtout pas de me défendre mais en encaissant les coups sans réagir. Que si on réagit quand on se fait agresser, on prend double dose et que c'est normal : yavéka paréagir et les autres "vont bien finir par s'arrêter" (l'histoire ne dit juste pas quand).
J'ai eu le malheur de leur parler de cette agression d'il y a 2 semaines au stade. Et bien j'ai eu droit... au même discours. Que pour m'être fait attaquer par ce gars, j'avais forcément dû faire quelque chose qui justifiait qu'il vienne me taper dessus. Et que même si je n'avais rien fait d'autre que me tenir debout, il fallait que je comprenne que dans sa logique, ça justifiait des coups, et donc que je légitime son attaque.
Vous me direz qu'à 35 ans, ce que mes parents peuvent penser, je peux m'en foutre. Et de fait je m'en fous : c'est simplement une information notable qu'ils n'ont pas varié de logique d'un iota en plus de 25 ans et qu'ils sont toujours prêts, pour me coller la responsabilité de tout, à trouver tout à coup des excuses au modèle d'agresseur le plus con qu'on puisse imaginer, putain le mec qui vient taper sur un autre mec, dans une tribune, parce que sa station debout gêne sa visibilité sur certains corners adverses !
Seulement que se passe-t-il aussi ? Le club qui n'aurait pas toléré un éternuement de trop de la part de notre groupe, est en train de choisir le même camp et de nous dire qu'en fin de compte, cette agression ne les dérange pas. Qu'en tout cas c'est à nous de nous considérer comme en faute et certainement pas à nos agresseurs.
Autrement dit, l'attitude lâche qui consiste à culpabiliser la victime et victimiser l'agresseur le plus obtus, le plus stupide, le plus gratuit, alors même qu'on occupe le rôle d'autorité régulatrice et protectrice de la sécurité des uns et des autres, je la retrouve encore. Et on la retrouve encore. Partout ! Tous ! Qu'est-ce que j'étais censé faire alors ? Au lieu une fois relevé de faire le casque bleu en empêchant les copains de massacrer le mec, de les y aider ? Et me faire pour le coup virer du stade sinon embarquer ?
Si ça arrivait il ne faudrait pas s'en étonner.
Ou on est dans une société régulée et on assume, ou on ne l'est pas et on l'assume également. Comme nous y sommes, il n'y a qu'un mot pour qualifier ces attitudes : trahison.
Qu'est-ce qui reste à faire ? Se dire dans son petit moi intérieur qu'on a bien raison de se sentir victime et l'autre, agresseur ? Oui. Mais ça ne nous mène pas loin si tout autour de nous, les autres pensent, disent, et agissent selon le contraire. Tout en ayant beau jeu de nous accuser de syndrome de Stockholm, dites-donc les mecs, qui est-ce qui me parle suédois là depuis des plombes, et des mois et des années ?
Pour ce qui est de la torsion, j'échoue à identifier et verbaliser les forces qui sont en jeu. C'est un problème...
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Pour moi, Fusain, tes parents sont pathogènes. C'est de leur faute ce qui t'arrive car ils étaient là pour te protéger et ne l'ont pas fait.
Comme dit Eclaircie, cela côute un effort de protéger la victime, si tu avais agressé quelqu'un ils auraient eu des problèmes avec l'école,
Est-ce que tes parents sont des zèbre ou pas ?
Moi aussi j'ai été tabassée, on a même failli me faire manger un ver de terre, moralité, j'ai la phobie des vers de terre , je sais à l'avance si je vais en voir et quand j'étais à l'école s'il pleuvait (le temps des vers de terre) j'avais peur de croiser un groupe à l'école et en dehors.
Question parents mon père se fichait de moi par e que je n'arrivais pas à me défendre, jusqu'en sixième, où il connaissait le père d'ue des gamines qui m'agressait . Quand elle voulait me taper, elle disait qu'il ne fallait pas la toucher à cause de ses lunettes, mon père, m'a dit "vas_y, si tu les csees, on est assurés" et je lui ai fait valdinguer les lunettes dans une flaque d'eau, je l'ai fait d'emblée, sans qu'elle n'ait commencé à m'embêter.
Ensuite, elle a envoyé ses "sbires" (on était en sixième), j'ai donné un couop de poing dans la figure de l'une d'entre elle, puis j'ai eu un mégot de cigarette écarsé dans la main par sa soeur qui avait 19 ans mais je lui ai dit que si je le refaisais elle aurait un autre coup de poing.
En ce qui concerne les vers de terre une fois la phobie a été à son paroxysme car ils m'en avaient lancé sur mon poncho, j'ai pris mon élén et j'ai essayé de leur rentrer dedans sous l'emprise de la peur mais cela les a freinés car ils ont vu qu'ils avaient été trop loin. Effectivement, c'est un jeu, et quand cela va trop loin cela s'arrête (comme les jeunes de mon groupe, qui aiment enmmerdre les éducateurs mais interviennent quand il y en a un qui se bat. Gofman décrit cela au sujet des loutres dans le livre où il décrit ce qu'on appelle les modes je crois que c'est dans les cadres de l'expérience).
Tu peux trouver ces livres à la fac de Paris 8, au rayon sociologie, on peut entrer dans la bibliothèque avec une carte d'identité toute bête.
*
Les modes, voilà ce que c'est, c'est le degré d'implication qu'on a avec ce qu'on fait, ou ce qu'on dit.
Pour la plupart des gens on n'est pas tellement dans ce qu'on dit, si on est trop dans ce qu'on dit, pour eux on a un "problème".
Je crois que c'est ce critère là qui fait que les non-zèbres vont embêter un zèbre.
Alors cela devient un "jeu" pour eux d'embêter une personne "impliqué" (voilà comment tu décodes ce que dit ton père.
cela dépend quel est le degré.
Je pense que tu peux essayér pour tes parents de trouver une réaction qui peut leur montrer qu'ils vont trop loin mais comme je ne les connais pas je ne sais pas ce qu'il faudrait faire.
Apparemment ilos ne sont pas des zèbres, y en a til dans ta famille qui le sont (ou peuvent l'être) et quel est leur statut
Si tu as aussi des relations avec des zèbres, qui sont positives, même s'ils ne les connaissent pas cela peut les faire changer.
En ce qui concerne tes amis ils n'ont pas à te juger, c'est tout à fait normal que tu sois sensible à ce que tes parents pensent de toi, J'ai connu ce genre d'amis quand je me suis retrouvée avec le sadique. Ils ne savent pas ce qu'ils disent; quoi de pire que de constater que tes parents ne te protègent pas, que ceux qui représentent la lLoi, la société, toutes les instances organisatrices de ce monde te désapprouvent.
J'ai eu des problèmes tant qu'on m'a dit ça, j'ai laissé tomber tous ces gens un moment donné, et en ce qui concerne ma mère, ce qui m'a aidée c'est d'aller contre sa volonté, de lui "désobéir" à la fin de sa vie, elle avait un problème avec son chien qu'il l'avait mordu, de ce fait elle pensait qu'il était "malade" et pensait qu'elle serait peut-être obligée de la faire piquer. Tout d'abord, j'ai emmené le chien à l'éducation pour chien, puis j'ai couru avec lui, pour qu'il ait plus d'endorphines, puis je l'ai fait opérer parce qu'il avait un kyste qui le gênait quand il est devenu n mon chien au décès de ma mère. , il est redevenu normal, et de toutes façon un chien n'est pas un nounours etn'a pas non plus à tout endurer !
Bref, en m'occupant de lui, j'ai pris conscience de ce que j'avais "intégré" en quelque sorte du discours de mes parents, à chaque étape des souvenirs me sont revenus, j'ai fini pâr me rendre compte que je faisais rarement des choses que mes parents n'auraient pas approuvé, je me suis interrogée sur cela et finalement j'ai découvert que mon père etait sans doute un zèbre, mais comme je disais au début de ce sujet "refoulé", donc qui ne s'assumait pas.
Je pense que certains membres de ma famille le sont mais ne veulent pas le reconnaître car c'est plus pratique dans les familles, qu'il y ait un membre considéré comme anormal et qu'on en parle de temps à autres (cela aussi me cassait les bonbons), j'ai piqué ma crise et exigé qu'on arrête tout cela après ma semaine d'hospitalisation, après cela je n'ai plus eu de nouvelles de certains membres de ma famille, mais bon débarras !
Bon courage,, fusain, cette fois il faut que je me mette à mon informatique.
Comme dit Eclaircie, cela côute un effort de protéger la victime, si tu avais agressé quelqu'un ils auraient eu des problèmes avec l'école,
Est-ce que tes parents sont des zèbre ou pas ?
Moi aussi j'ai été tabassée, on a même failli me faire manger un ver de terre, moralité, j'ai la phobie des vers de terre , je sais à l'avance si je vais en voir et quand j'étais à l'école s'il pleuvait (le temps des vers de terre) j'avais peur de croiser un groupe à l'école et en dehors.
Question parents mon père se fichait de moi par e que je n'arrivais pas à me défendre, jusqu'en sixième, où il connaissait le père d'ue des gamines qui m'agressait . Quand elle voulait me taper, elle disait qu'il ne fallait pas la toucher à cause de ses lunettes, mon père, m'a dit "vas_y, si tu les csees, on est assurés" et je lui ai fait valdinguer les lunettes dans une flaque d'eau, je l'ai fait d'emblée, sans qu'elle n'ait commencé à m'embêter.
Ensuite, elle a envoyé ses "sbires" (on était en sixième), j'ai donné un couop de poing dans la figure de l'une d'entre elle, puis j'ai eu un mégot de cigarette écarsé dans la main par sa soeur qui avait 19 ans mais je lui ai dit que si je le refaisais elle aurait un autre coup de poing.
En ce qui concerne les vers de terre une fois la phobie a été à son paroxysme car ils m'en avaient lancé sur mon poncho, j'ai pris mon élén et j'ai essayé de leur rentrer dedans sous l'emprise de la peur mais cela les a freinés car ils ont vu qu'ils avaient été trop loin. Effectivement, c'est un jeu, et quand cela va trop loin cela s'arrête (comme les jeunes de mon groupe, qui aiment enmmerdre les éducateurs mais interviennent quand il y en a un qui se bat. Gofman décrit cela au sujet des loutres dans le livre où il décrit ce qu'on appelle les modes je crois que c'est dans les cadres de l'expérience).
Tu peux trouver ces livres à la fac de Paris 8, au rayon sociologie, on peut entrer dans la bibliothèque avec une carte d'identité toute bête.
*
Les modes, voilà ce que c'est, c'est le degré d'implication qu'on a avec ce qu'on fait, ou ce qu'on dit.
Pour la plupart des gens on n'est pas tellement dans ce qu'on dit, si on est trop dans ce qu'on dit, pour eux on a un "problème".
Je crois que c'est ce critère là qui fait que les non-zèbres vont embêter un zèbre.
Alors cela devient un "jeu" pour eux d'embêter une personne "impliqué" (voilà comment tu décodes ce que dit ton père.
cela dépend quel est le degré.
Je pense que tu peux essayér pour tes parents de trouver une réaction qui peut leur montrer qu'ils vont trop loin mais comme je ne les connais pas je ne sais pas ce qu'il faudrait faire.
Apparemment ilos ne sont pas des zèbres, y en a til dans ta famille qui le sont (ou peuvent l'être) et quel est leur statut
Si tu as aussi des relations avec des zèbres, qui sont positives, même s'ils ne les connaissent pas cela peut les faire changer.
En ce qui concerne tes amis ils n'ont pas à te juger, c'est tout à fait normal que tu sois sensible à ce que tes parents pensent de toi, J'ai connu ce genre d'amis quand je me suis retrouvée avec le sadique. Ils ne savent pas ce qu'ils disent; quoi de pire que de constater que tes parents ne te protègent pas, que ceux qui représentent la lLoi, la société, toutes les instances organisatrices de ce monde te désapprouvent.
J'ai eu des problèmes tant qu'on m'a dit ça, j'ai laissé tomber tous ces gens un moment donné, et en ce qui concerne ma mère, ce qui m'a aidée c'est d'aller contre sa volonté, de lui "désobéir" à la fin de sa vie, elle avait un problème avec son chien qu'il l'avait mordu, de ce fait elle pensait qu'il était "malade" et pensait qu'elle serait peut-être obligée de la faire piquer. Tout d'abord, j'ai emmené le chien à l'éducation pour chien, puis j'ai couru avec lui, pour qu'il ait plus d'endorphines, puis je l'ai fait opérer parce qu'il avait un kyste qui le gênait quand il est devenu n mon chien au décès de ma mère. , il est redevenu normal, et de toutes façon un chien n'est pas un nounours etn'a pas non plus à tout endurer !
Bref, en m'occupant de lui, j'ai pris conscience de ce que j'avais "intégré" en quelque sorte du discours de mes parents, à chaque étape des souvenirs me sont revenus, j'ai fini pâr me rendre compte que je faisais rarement des choses que mes parents n'auraient pas approuvé, je me suis interrogée sur cela et finalement j'ai découvert que mon père etait sans doute un zèbre, mais comme je disais au début de ce sujet "refoulé", donc qui ne s'assumait pas.
Je pense que certains membres de ma famille le sont mais ne veulent pas le reconnaître car c'est plus pratique dans les familles, qu'il y ait un membre considéré comme anormal et qu'on en parle de temps à autres (cela aussi me cassait les bonbons), j'ai piqué ma crise et exigé qu'on arrête tout cela après ma semaine d'hospitalisation, après cela je n'ai plus eu de nouvelles de certains membres de ma famille, mais bon débarras !
Bon courage,, fusain, cette fois il faut que je me mette à mon informatique.
Re: Torsion nerveuse
Pour moi, Fusain, tes parents sont pathogènes. C'est de leur faute ce qui t'arrive car ils étaient là pour te protéger et ne l'ont pas fait.
Comme dit Eclaircie, cela côute un effort de protéger la victime, si tu avais agressé quelqu'un ils auraient eu des problèmes avec l'école,
Est-ce que tes parents sont des zèbre ou pas ?
Ah mais ils sont totalement toxiques. Ce que je n'ai cité n'est qu'un exemple. Ils ont toujours eu comme règle de me répéter que tout ce qui était bien et réussi dans ma vie venait d'EUX (à commencer par mes bons résultats scolaires) et que tout ce qui se passait moins bien était mon oeuvre... Et non, ils ne sont pas Z.
Bien sûr que j'ai toujours eu tort de les écouter, que j'ai tort de conserver la moindre bribe de leurs schémas. Si j'étais totalement capable de m'en dépêtrer, il n'y aurait pas de problèmes. Le drame du schéma "victime coupable" c'est que la victime est tout d'abord coupable de croire au schéma qui la rend coupable alors qu'elle pourrait réfléchir ou se bouger le cul et rejeter ces histoires.
quoi de pire que de constater que tes parents ne te protègent pas, que ceux qui représentent la lLoi, la société, toutes les instances organisatrices de ce monde te désapprouvent
Quand les aléas de la vie font qu'un événement semble confirmer les schémas toxiques parentaux, ceux-ci explosent comme des bombes à retardement alors même qu'on croyait en être tout à fait libéré. Et on porte le même regard sur tout cela.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Moi quand il y avait des gens qui disaient que j'étais un débile mental je devais me remettre en question pour savoir ce qui faisait chez moi qu'on me traitait de débile(c'est ce que me disait ma soeur).
Je dis du mal d'un mec qui me prend pour un con et m'emmerde régulièrement et ma mère me dit: "tu as le droit de le penser mais tu n'as en aucun droit de le dire, j'aime pas que tu parles comme ça des gens".
Moi mon impression c'était que j'avais un devoir d'intelligence avec l'ennemi, et que si je considérais qu'il fallait aller à leur encontre j'étais alors semblable aux va-t'en-guerre(jamais rien ne se résout par la violence, ce qui est militaire c'est mal et on doit le respect à l'ennemi). Donc à chaque agression j'avais intériorisé dans ma tête un gaucho qui me demandait de respecter l'agresseur.
Je dis du mal d'un mec qui me prend pour un con et m'emmerde régulièrement et ma mère me dit: "tu as le droit de le penser mais tu n'as en aucun droit de le dire, j'aime pas que tu parles comme ça des gens".
Moi mon impression c'était que j'avais un devoir d'intelligence avec l'ennemi, et que si je considérais qu'il fallait aller à leur encontre j'étais alors semblable aux va-t'en-guerre(jamais rien ne se résout par la violence, ce qui est militaire c'est mal et on doit le respect à l'ennemi). Donc à chaque agression j'avais intériorisé dans ma tête un gaucho qui me demandait de respecter l'agresseur.
dreamliner- Messages : 60
Date d'inscription : 17/07/2010
Localisation : une plus grande efficience par delà les océans
Re: Torsion nerveuse
Voilà. Celui qui nous tape dessus, on doit le respecter et se remettre en question.
ça serait bien qu'un jour les parents de ce genre mesurent le mal qu'ils sont capables d'infliger pour préserver leur petite tranquillité de merde.
ça serait bien qu'un jour les parents de ce genre mesurent le mal qu'ils sont capables d'infliger pour préserver leur petite tranquillité de merde.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Franchement, mon père m'a aidée parfois mais il avait des revirements spectaculaires. Une fois, il m'a demandé pourquoi je ne lui faisais plus confiance, je n'ai pas répondu car je pensais que c'était évident, j'aurais dû lui dire, cela aurait bien fini je pense.
Mais dès fois la discussion n'est pas possible, comme c'était le cas avec ma mère.
J'ai connu deux revirements positifs, avec ma fille, qui est "zèbre" et avec mon prof d'arts plastiques qui je pense l'est, mais qui comme mon père a des "revirements" et discute.
Les six ans de pension que j'ai faits de 10 a 16 ans m'ont beaucoup aidée malgré le mégot écrasé sur ma main et les vers sur le poncho, eux
aussi étaient seuls et n'avaient pas papa-maman derrière.
Je ne sais pas comment je suis mais jusqu'à 16 ans à peu près je m'en foutais royalement qu'on me critique, cela me faisait marrer, je trouvais que critiquer était enfantin, bébé, puéril, cela me choquait d'entendre quelqu'un qui se croyait sérieux faire cela. Je pense que certains s'appuyaient sur ce genre de réactions pour dire que j'étais débile, car personne n'aime être critiqué.
De 10 à 11 ans, je faisais un journal, que je cachais dans une fenêtre à fusible dans un escalier, un jour, le journal est tombé dans le trou. Ce journal m'a aidée, après on m'a moins embêtée. J'écrivais tout dans le journal puisqu'on ne m'écoutait pas et que je n'avais pas de solutions. Quand j'avais écrit cela m'a donné des idées que je n'aurais pas eues,
Je pense vraiment que les zèbres respectent davantage les autres que les non-zèbres et cela leur joue des tours,
Moi, par exemple, j'avais voulu aider le sadique car les collègues faisaient circuler des rumeurs sur lui, comme ils en faisaient circuler sur plein de gens je n'ai pas c ru que cela pouvait être vrai !
Mais dès fois la discussion n'est pas possible, comme c'était le cas avec ma mère.
J'ai connu deux revirements positifs, avec ma fille, qui est "zèbre" et avec mon prof d'arts plastiques qui je pense l'est, mais qui comme mon père a des "revirements" et discute.
Les six ans de pension que j'ai faits de 10 a 16 ans m'ont beaucoup aidée malgré le mégot écrasé sur ma main et les vers sur le poncho, eux
aussi étaient seuls et n'avaient pas papa-maman derrière.
Je ne sais pas comment je suis mais jusqu'à 16 ans à peu près je m'en foutais royalement qu'on me critique, cela me faisait marrer, je trouvais que critiquer était enfantin, bébé, puéril, cela me choquait d'entendre quelqu'un qui se croyait sérieux faire cela. Je pense que certains s'appuyaient sur ce genre de réactions pour dire que j'étais débile, car personne n'aime être critiqué.
De 10 à 11 ans, je faisais un journal, que je cachais dans une fenêtre à fusible dans un escalier, un jour, le journal est tombé dans le trou. Ce journal m'a aidée, après on m'a moins embêtée. J'écrivais tout dans le journal puisqu'on ne m'écoutait pas et que je n'avais pas de solutions. Quand j'avais écrit cela m'a donné des idées que je n'aurais pas eues,
Je pense vraiment que les zèbres respectent davantage les autres que les non-zèbres et cela leur joue des tours,
Moi, par exemple, j'avais voulu aider le sadique car les collègues faisaient circuler des rumeurs sur lui, comme ils en faisaient circuler sur plein de gens je n'ai pas c ru que cela pouvait être vrai !
Re: Torsion nerveuse
C'est chiant ce que vous écrivez, ça me concerne tellement. Comment faire avec les autres, ne pas se faire marcher sur la gueule mais parfois ne pas abandonner le combat.
Parfois il m'arrive aussi de me mettre au milieu de ceux qui se battent pour les séparer. C'est là ma vraie nature.
N'empêche que dans mon quartier, depuis qu'il y a des caméras dans les bus et un peu plus de police, c'est quand même plus calme.
Et souvent aussi je prie pour que ça se calme, et ça marche, D.ieu merci
Mais je ne connaissais pas tout ça dans ma jeunesse alors je me faisais bien emmerder parfois. Et les brutes ne comprenaient pas pourquoi je n'était pas brutal comme eux.
Parfois il m'arrive aussi de me mettre au milieu de ceux qui se battent pour les séparer. C'est là ma vraie nature.
N'empêche que dans mon quartier, depuis qu'il y a des caméras dans les bus et un peu plus de police, c'est quand même plus calme.
Et souvent aussi je prie pour que ça se calme, et ça marche, D.ieu merci
Mais je ne connaissais pas tout ça dans ma jeunesse alors je me faisais bien emmerder parfois. Et les brutes ne comprenaient pas pourquoi je n'était pas brutal comme eux.
Re: Torsion nerveuse
T'es pas encore couché, Siamois 93 ?
je suis en train de faire une espèce d'enquete sur l'informatique, cela fait partie d'un certificat qui est obligatoire pour devenir prof.
C'est barbant à souhait, cela me fait plaisir de passer sur le forum entre deux questions à remplir.
Là aussi je me suis "faite remarquer", au début j'ai posé des questions, parce que je voulais que cela aille plus vite (je déteste les nouvelles pédagogies, où il faut soi-disant chercher soi-même alors que tout le monde fait des "copiés-collés" sur internet, il y en a qui m'ont sorti ça à la fin du cours, eu cela leur plait de s'embêter à faire ce certificat informatique je crois, certains sont très "masos" en tous cas ils n'osent rien dire. Au bout de trois séances, ils ont commencé à gueuler car ils avaient enfin compris, alors la prof les a humiliés en leur disant "qu'ils devraient se débrouiller tous seuls quand ils seraient profs", j'ai été contente sur le moment qu'ils se fassent traiter comme ça et je l'ai "fermée mais après coup, j'ai donné à la "leadeuse" du groupe les coordonnées de la déléguée d'étudiants et on a monté une action commune, maintenant ils m'apprécient bien, mais c'est juste pour m'utiliser.
je reste à distance de tous ceux qui sont non-zèbres maintenant, je m'aperçois petit à petit de ceux à qui je peux ou non faire confiance, et dans ce groupe il n'y en a qu'une qui n'est pas méchante, qui a essayé d'entrer en relation avec moi au début de l'année.
Dans le reste de la promo il y a un groupe de l'an dernier qui n'est pas mal.
Maintenant je laisse venir les gens, et j'étudie ceux qui s'approchent de moi, je ne leur fais pas confiance tout de suite.
Je sépare les bagarres seulement au travail, mais les autres les laissent se battre.
Mon collègue avait archi-tort, il se fait tout le temps attirer dans ces espèces de duels, il ne faut pas,
Je fais cela par défi, c'est utile de s'affirmer, de ne pas suivre comme des moutons,.
Je suis assez populaire à la fac, ceux de mon groupe ne peuvent pas me faire grand chose et comme à la première attaque ils se sont aperçus que je m'en foutais, ils ont arrêté.
Je pense que c'est aussi parce que je ne suis pas aussi hargneuse qu'eux qu'ils font ça.
C'est partout pareil, au match d'impro, où je m'étais oinscrite avec ma fille, à l'éducation pour chiens (les chiens faisant comme leur mâitres bien souvent, regardant méchamment les chiens plus peits qu'eux ou moins agressifs, comme mon chien, qui avait été accusé d'être un "dominant". La réalité, c'est qu'il n'est pas un chien de race, donc là aussi on m'a pourri la vie tous les samedis pendant un an !
Il y a des endroits où ce n'est pas comme çé, cela dépend aussi de la taille des groupes, si on est moins de 5 on peut avoir la paix, ou plus de 30 comme dans mon groupe de la fac, il y a des sous-groupes possibles.
C'est dur de trouver des alliances correctes mais c'est faisable, en tous cas il faut se méfier de l'ambivalence des gens qui vont être sympas un jour et le lendemain, des cons de zébrophobes.
je suis en train de faire une espèce d'enquete sur l'informatique, cela fait partie d'un certificat qui est obligatoire pour devenir prof.
C'est barbant à souhait, cela me fait plaisir de passer sur le forum entre deux questions à remplir.
Là aussi je me suis "faite remarquer", au début j'ai posé des questions, parce que je voulais que cela aille plus vite (je déteste les nouvelles pédagogies, où il faut soi-disant chercher soi-même alors que tout le monde fait des "copiés-collés" sur internet, il y en a qui m'ont sorti ça à la fin du cours, eu cela leur plait de s'embêter à faire ce certificat informatique je crois, certains sont très "masos" en tous cas ils n'osent rien dire. Au bout de trois séances, ils ont commencé à gueuler car ils avaient enfin compris, alors la prof les a humiliés en leur disant "qu'ils devraient se débrouiller tous seuls quand ils seraient profs", j'ai été contente sur le moment qu'ils se fassent traiter comme ça et je l'ai "fermée mais après coup, j'ai donné à la "leadeuse" du groupe les coordonnées de la déléguée d'étudiants et on a monté une action commune, maintenant ils m'apprécient bien, mais c'est juste pour m'utiliser.
je reste à distance de tous ceux qui sont non-zèbres maintenant, je m'aperçois petit à petit de ceux à qui je peux ou non faire confiance, et dans ce groupe il n'y en a qu'une qui n'est pas méchante, qui a essayé d'entrer en relation avec moi au début de l'année.
Dans le reste de la promo il y a un groupe de l'an dernier qui n'est pas mal.
Maintenant je laisse venir les gens, et j'étudie ceux qui s'approchent de moi, je ne leur fais pas confiance tout de suite.
Je sépare les bagarres seulement au travail, mais les autres les laissent se battre.
Mon collègue avait archi-tort, il se fait tout le temps attirer dans ces espèces de duels, il ne faut pas,
Je fais cela par défi, c'est utile de s'affirmer, de ne pas suivre comme des moutons,.
Je suis assez populaire à la fac, ceux de mon groupe ne peuvent pas me faire grand chose et comme à la première attaque ils se sont aperçus que je m'en foutais, ils ont arrêté.
Je pense que c'est aussi parce que je ne suis pas aussi hargneuse qu'eux qu'ils font ça.
C'est partout pareil, au match d'impro, où je m'étais oinscrite avec ma fille, à l'éducation pour chiens (les chiens faisant comme leur mâitres bien souvent, regardant méchamment les chiens plus peits qu'eux ou moins agressifs, comme mon chien, qui avait été accusé d'être un "dominant". La réalité, c'est qu'il n'est pas un chien de race, donc là aussi on m'a pourri la vie tous les samedis pendant un an !
Il y a des endroits où ce n'est pas comme çé, cela dépend aussi de la taille des groupes, si on est moins de 5 on peut avoir la paix, ou plus de 30 comme dans mon groupe de la fac, il y a des sous-groupes possibles.
C'est dur de trouver des alliances correctes mais c'est faisable, en tous cas il faut se méfier de l'ambivalence des gens qui vont être sympas un jour et le lendemain, des cons de zébrophobes.
Re: Torsion nerveuse
ça, se heurter à l'indolence panurgique des autres, ça n'a rien de spécifiquement Z, ni zébrophile ni zébrophobe.
Mais il est clair que vu nos bizarreries on a intérêt à être encore plus méfiants que la moyenne avant de baisser les ponts-levis, et en milieu professionnel il vaut mieux ne jamais le faire et discuter depuis le haut du rempart. Ce n'est pas très classe mais j'ai payé cher le fait d'avoir fait le contraire et noué des relations amicales quelques années avec une supérieure hiérarchique qui... quand elle a constaté que j'étais en couple et que c'était sérieux... s'est révélé être une PN. Et comme elle était déjà "à l'intérieur", elle n'a plus eu qu'à foutre le feu et en sachant très bien où étaient les greniers. Bref, se découvrir c'est ça aussi : montrer où sont les greniers et les poudrières de la ville. N'importe qui peut en profiter.
Seulement, dans notre solitude on souffre du manque de rapports humains sincères. On aimerait que l'humanité soit "bienveillante a priori" et de fait, elle devrait l'être. Se tromper, c'est courir le risque de sombrer dans la misanthropie la plus crasse, rester indéfiniment seul derrière ses remparts humides et perdre toute chance de faire de vraies rencontres avec des personnes qui ne sont peut-être ni Z, ni zébrophiles, mais tout simplement humaines, riches d'humanité.
L'expérience du harcèlement par un PN, lorsqu'il provoque un grave effondrement, ressemble à l'expérience de la torture. Il brise la confiance que l'on a a priori dans son semblable, la réduit à rien et fait de nous des fuyards, des bêtes traquées qui s'attendent à tout instant à se faire sauter à la gorge dans la rue, entouré de croquantes et de croquants qui nous regarderont nous faire saigner en opinant gravement du bonnet : "Tu l'as bien mérité. Bienvenue dans la vraie vie, c'est pas le monde des bisounours. Dans la vraie vie, les minables dans ton genre sont tout juste bons à se faire défoncer la gueule par amusement, et c'est une très bonne chose, c'est la saine nature humaine."
Je vous laisse imaginer le carnage quand dans un ou deux cas les croquantes et les croquants se comportent réellement comme ça, comme on disait quelques messages au-dessus. Dans l'affaire de mon agression, je n'ai même pas osé aller déposer une main courante. Parce que les faits ne sont pas très graves ? Tout de même (incapacité de travail de 10 jours)... Non. Juste parce que je suis fermement convaincu qu'en entendant les faits, le flic serait dans son droit le plus absolu de me coller deux coups de poing et trois de pied en plein commissariat avant de lancer contre moi une procédure pour dénonciation abusive... parce qu'il faut se défendre soi-même ou alors fermer sa gueule.
Mais il est clair que vu nos bizarreries on a intérêt à être encore plus méfiants que la moyenne avant de baisser les ponts-levis, et en milieu professionnel il vaut mieux ne jamais le faire et discuter depuis le haut du rempart. Ce n'est pas très classe mais j'ai payé cher le fait d'avoir fait le contraire et noué des relations amicales quelques années avec une supérieure hiérarchique qui... quand elle a constaté que j'étais en couple et que c'était sérieux... s'est révélé être une PN. Et comme elle était déjà "à l'intérieur", elle n'a plus eu qu'à foutre le feu et en sachant très bien où étaient les greniers. Bref, se découvrir c'est ça aussi : montrer où sont les greniers et les poudrières de la ville. N'importe qui peut en profiter.
Seulement, dans notre solitude on souffre du manque de rapports humains sincères. On aimerait que l'humanité soit "bienveillante a priori" et de fait, elle devrait l'être. Se tromper, c'est courir le risque de sombrer dans la misanthropie la plus crasse, rester indéfiniment seul derrière ses remparts humides et perdre toute chance de faire de vraies rencontres avec des personnes qui ne sont peut-être ni Z, ni zébrophiles, mais tout simplement humaines, riches d'humanité.
L'expérience du harcèlement par un PN, lorsqu'il provoque un grave effondrement, ressemble à l'expérience de la torture. Il brise la confiance que l'on a a priori dans son semblable, la réduit à rien et fait de nous des fuyards, des bêtes traquées qui s'attendent à tout instant à se faire sauter à la gorge dans la rue, entouré de croquantes et de croquants qui nous regarderont nous faire saigner en opinant gravement du bonnet : "Tu l'as bien mérité. Bienvenue dans la vraie vie, c'est pas le monde des bisounours. Dans la vraie vie, les minables dans ton genre sont tout juste bons à se faire défoncer la gueule par amusement, et c'est une très bonne chose, c'est la saine nature humaine."
Je vous laisse imaginer le carnage quand dans un ou deux cas les croquantes et les croquants se comportent réellement comme ça, comme on disait quelques messages au-dessus. Dans l'affaire de mon agression, je n'ai même pas osé aller déposer une main courante. Parce que les faits ne sont pas très graves ? Tout de même (incapacité de travail de 10 jours)... Non. Juste parce que je suis fermement convaincu qu'en entendant les faits, le flic serait dans son droit le plus absolu de me coller deux coups de poing et trois de pied en plein commissariat avant de lancer contre moi une procédure pour dénonciation abusive... parce qu'il faut se défendre soi-même ou alors fermer sa gueule.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Félicitation, Fusain, pour la formule, l'indolence panurgique, je retiens.
Je suis d'accord avec toi, la zébritude n'est pas une garantie et la non-zébritude une raison d'éviter la rencontre !
Je connais aussi le PN? mon ex en était un et ce salaud avait réussi à manipuler mon père.
C'était mon ancien correspondant roumain, à qui j'avais réécrit quad il y avait eu les histoires avec Ceaucescu.
J'avais vu qu'il y avait un problème après le décès de son père, dans un tremblement de terre, il y avait quelque chose que j'ai détecté, mais je ne comprnais pas ce que c'était.
Ce n'est pas chez les flics que je suis allée mais chez un psy 'c'est à dire, directement dans la gueule du loup, là où on peut voir tout de suite où il y a les greniers à foin), et c'est parti.
Bien sûr cela l'arrangeait le psy que je sois avec un PN car toutes les semaines cela douillait, je pourrais acheter une mercédès avec tout ce que je lui ai donné en presque huit ans.
C'est cela qui a démoli ma famille car pendant ce temps et plus tard avec le "sadique", ma mère comptait les points.
Mais tout cela est fini, c'est ce quil faut que je me dise.
Les PN ont un "don" si j'ose dire, de détruire le psychisme en faisant en sorte que l'autre va douter de lui-même, et des autres, c'est pour cela que m'occuper du chien a été une vraie thérapie, en plus ce chien n'était pas gentil, il a fallu que je le réapprivoise donc que je pésse par une espèce de reconstitution de ce que pouvait être l'altérité.
A ce moment, qui correspond au moment où j'ai repris mes études, en 2006 à peu près c'est à dir 8 ans plus tard que mon ex et quantre ans plus tard que le sadique, je me suis seulement sentie capable d'y retourner, le seul truc qui avait tenu dans toutes les tempêtes étant mon travail.
Mais j'étais en ruines, psychiquement parlant, tellement tout ce que j'avais en ùmoi avait été dénudé par le PN,
Il y a eu des étapes où des déclics se sont produits, quand mon chien s'est fait attaquer par un berger allema,d il y a quatre ans un jour de Noël, j'ai réussi à attrapper le berger amlemand par son collier alors qu'il avait retourné mon chien, un petit cocker, et qu'il lui cherchait la gorge, puis l'an dernier, pendant que je pass&ais l'agrégation d'arts plastiques. En remplissant la copie, j'ai atterri, je me suis dit, Danielle t'es où ? J'ai réalisé que j'avais un master 2 et que pour une "nulle" (cest ce qui'il me disait à longueur de journée et à tout$s propos) c'est tout de même pas mal !!!
Pendant ces années "post-PN" toute ma vie n'étais qu'un film auquel j'assistais de l'extérieur, sur lequel je n'avais aucune prise. Je n'arrivais plus à remplir mon agenda, et bien sûr je ne pouvais avoir aucune relation, sincère ou pas, amicale ou autre.
Ces "déclics" ont fini par déchirer le voile, mais je savais que ce n'était pas foutu car j'avais fait un superbe voyage en Ecosse en 2006, om j'avais pris toute seule l'avion, où je me suis retrouvée la nuit dans les Higlands et les pubs aussi un peu,
Ce qui embêtait tout le monde est que je faisais tout comme s'il ne m'était rien arrivé.
maintenant lj'ai l'impression que je peux compter au moi ns sur ce qu'il y a à l'intérieur de moi, mais il y a en filigrane la peur de l'autre, qui s'était installée à cause du PN, je pense qu'il n'y a pas autre chose à faire que d'en parler, mais il faut que cela soit avec qui le reçoive, qui ait envie de le recevoir, c'est cela qui est important.
Des fois c'est par hasard qu'on trouve quelqu'un, il faut y aller quand on a trouvé la bonne personne, j'avoue que j'ai très peur de me confier vraiment malgré tout ce que je raconte, mais quand cela m'"est arrivé pour le PN il n'y a eu personne pour m'aider et je suis convaincue que c'est à cause de cela que maintenant, je ne peux toujours pas y arriver vraiment, mais je pense que cela viendra.
J(ai aussi trouvé un "confident" en la personne d'un de mes profs, j'ai craqué u jour à une évaluation une veille de vacances, et pour qu'on ne voie pas que je pleurais, je suis allée dans un coin de la fac pleurer pendant deux heures, j'ai laissé toutes mes affaires et je suis revenue quand mon "rimmel" a été à nouveau sec, et quand il m'a demandé ce qu'il y avait, je me suis vue lui raconter le flot d'émotions qui m'avait submergée alors !
Le problème avec le PN est qu'il fait mélanger les émotions du présent évec celles du passé, je croyais que mon passé me hantait mais ce n'était pas mon passé c('étais autre chose, maintenant c'est de cela que je me méfie, quand quelque chose de mon passé soi-disant "remonte", je me dis, attention, PN !
Mais effectivement, le PN, comme les gens des sectes, ou d'autres se servent de ces zones de fragilité qu'on peut avoir, mais la peur de l'autre à l'extrême c'est une émotion bien spécifique qu'ils déclenchent et qui leur appartient, c'est un travail de se réapproprier ses propres émotions après avoir subi un PN, donc, quand je ressens un truc un peu bizarre, je fais en sorte de le "dégager".
Les PN sont des lâches, ils sont souvent inefficaces et bordéliques, trouvent un refuge dans le fait de se moquer de l'autre, de la rabaisser mais ils ne tiennent pas la route au bout du compte et sont malheureux, ils essaient souvent de se faire prendre en pitié, c'est comme cela que mon ex s(était approché de moi, le salaud, ensuite, ma vie a été un désert, il faisait des trucs idiots chaque fois que j'invitais quelqu'un ou qu'on était invités : il se mettait dans un coin, ne parlait pas, ne "participait" pas, si on lui en parlait parès cou, moi ou ma fille, il niait, trouvait un prétexte minable ou bien se mettait à dénigrer la personne qui avait invité. Si c'était à la maison, il pouvait se mettre en petite tenue (il avait un abominable short jaune)/ Ma fille et moi nous avons eu le droit à un lancer de tourte plate, dans ma maison de la Creuse, on avait en effet touché à son pain, et il l'a balancé dans les airs comme un freesbi, (je ne sais pas écrire ce mot, pardon, mais on reconnait le jeu de plage bien connu).
Cela va paraître idiot mais ce sont ces épisodes ridicules qui ml'ont le plus marquée parce qu'incompréhensibles, cela me touche bien plus encore que d'avoir été humiliée, ou plutôt j'ai du mal à percevoir en quoi cela a pu me rabaisser, Bref, c'est idiot, je n'ai pas peur de rencontrer quelqu'un parce qu'il pourrait me fiaire une crasse,( mais parce qu'il pourrait jeter des pains ou voir un fantôme !!!
Il m'a dit aussi un jour qu'il m'avait "usurpée", cela veut dire, pour un monarque "prendre sa place", mais je ne sais de quoi je suis le monarque dans l'histoire 'des cons peut-être ?
Pour ma fille, qui me dit qu'elle aussi c'est son pire souvenir, car cela l'a choquée de voir "un adulte faire ça", c'est aussi le pire, quoique nous en ayions vu d'autres, c'est pour cela que c'est si difficile d'être compris car cela paraît si enfantin, dérisoire, que c'est impossible à faire partir<.
Ce con, ce "bouffon" qui n'était même pas capable de tondre une pelouse, a fait en sorte que pendant des années je n'ai pas osé inviter quelqu'un, je mettais en avant des idées sur mon passé, la zébritude et tout, en fait c'est à cause de lui et de ses singeries, la tourte, le short jaune, s'allonger sur le canapé dans cette tenue et mettre sa tête sur les genoux de sa mère, à 49 ans, je ne sais pas, mais cela a été pour moi le comble de l'horreur, c'est cela qui a blessé mon psychisme plus que tout le reste, c 'est absurde mais vrai !
On avait droit aussi à des scènes entière du "Père Noêl est une ordure, qu'il récitait à tous propos.
Je pense que ces épisodes étaient destinés à nous rabaisser dans notre incompréhension des codes, ma fille étant comme moi une "kinder-surprise".
En tous cas je suis drôlement contente de l'avoir car nous avons les mêmes façon de réagir et comme je l'ai dit déjà une fois, le fait d'avoir mis au monde un être à travers lequel je me reconnais a brisé mon sentiment d'âtre un phénomène, qu'on a essayé de m'inculquer tout au long de la vie.
Mais ce salaud, en "téléguidant" les réactions de ma mère, a bien failli nous séparer, nous dresser l'une contre l'autre il y a dix ans mais j'ai été plus ùmaligne que lui .
Je suis d'accord avec toi, la zébritude n'est pas une garantie et la non-zébritude une raison d'éviter la rencontre !
Je connais aussi le PN? mon ex en était un et ce salaud avait réussi à manipuler mon père.
C'était mon ancien correspondant roumain, à qui j'avais réécrit quad il y avait eu les histoires avec Ceaucescu.
J'avais vu qu'il y avait un problème après le décès de son père, dans un tremblement de terre, il y avait quelque chose que j'ai détecté, mais je ne comprnais pas ce que c'était.
Ce n'est pas chez les flics que je suis allée mais chez un psy 'c'est à dire, directement dans la gueule du loup, là où on peut voir tout de suite où il y a les greniers à foin), et c'est parti.
Bien sûr cela l'arrangeait le psy que je sois avec un PN car toutes les semaines cela douillait, je pourrais acheter une mercédès avec tout ce que je lui ai donné en presque huit ans.
C'est cela qui a démoli ma famille car pendant ce temps et plus tard avec le "sadique", ma mère comptait les points.
Mais tout cela est fini, c'est ce quil faut que je me dise.
Les PN ont un "don" si j'ose dire, de détruire le psychisme en faisant en sorte que l'autre va douter de lui-même, et des autres, c'est pour cela que m'occuper du chien a été une vraie thérapie, en plus ce chien n'était pas gentil, il a fallu que je le réapprivoise donc que je pésse par une espèce de reconstitution de ce que pouvait être l'altérité.
A ce moment, qui correspond au moment où j'ai repris mes études, en 2006 à peu près c'est à dir 8 ans plus tard que mon ex et quantre ans plus tard que le sadique, je me suis seulement sentie capable d'y retourner, le seul truc qui avait tenu dans toutes les tempêtes étant mon travail.
Mais j'étais en ruines, psychiquement parlant, tellement tout ce que j'avais en ùmoi avait été dénudé par le PN,
Il y a eu des étapes où des déclics se sont produits, quand mon chien s'est fait attaquer par un berger allema,d il y a quatre ans un jour de Noël, j'ai réussi à attrapper le berger amlemand par son collier alors qu'il avait retourné mon chien, un petit cocker, et qu'il lui cherchait la gorge, puis l'an dernier, pendant que je pass&ais l'agrégation d'arts plastiques. En remplissant la copie, j'ai atterri, je me suis dit, Danielle t'es où ? J'ai réalisé que j'avais un master 2 et que pour une "nulle" (cest ce qui'il me disait à longueur de journée et à tout$s propos) c'est tout de même pas mal !!!
Pendant ces années "post-PN" toute ma vie n'étais qu'un film auquel j'assistais de l'extérieur, sur lequel je n'avais aucune prise. Je n'arrivais plus à remplir mon agenda, et bien sûr je ne pouvais avoir aucune relation, sincère ou pas, amicale ou autre.
Ces "déclics" ont fini par déchirer le voile, mais je savais que ce n'était pas foutu car j'avais fait un superbe voyage en Ecosse en 2006, om j'avais pris toute seule l'avion, où je me suis retrouvée la nuit dans les Higlands et les pubs aussi un peu,
Ce qui embêtait tout le monde est que je faisais tout comme s'il ne m'était rien arrivé.
maintenant lj'ai l'impression que je peux compter au moi ns sur ce qu'il y a à l'intérieur de moi, mais il y a en filigrane la peur de l'autre, qui s'était installée à cause du PN, je pense qu'il n'y a pas autre chose à faire que d'en parler, mais il faut que cela soit avec qui le reçoive, qui ait envie de le recevoir, c'est cela qui est important.
Des fois c'est par hasard qu'on trouve quelqu'un, il faut y aller quand on a trouvé la bonne personne, j'avoue que j'ai très peur de me confier vraiment malgré tout ce que je raconte, mais quand cela m'"est arrivé pour le PN il n'y a eu personne pour m'aider et je suis convaincue que c'est à cause de cela que maintenant, je ne peux toujours pas y arriver vraiment, mais je pense que cela viendra.
J(ai aussi trouvé un "confident" en la personne d'un de mes profs, j'ai craqué u jour à une évaluation une veille de vacances, et pour qu'on ne voie pas que je pleurais, je suis allée dans un coin de la fac pleurer pendant deux heures, j'ai laissé toutes mes affaires et je suis revenue quand mon "rimmel" a été à nouveau sec, et quand il m'a demandé ce qu'il y avait, je me suis vue lui raconter le flot d'émotions qui m'avait submergée alors !
Le problème avec le PN est qu'il fait mélanger les émotions du présent évec celles du passé, je croyais que mon passé me hantait mais ce n'était pas mon passé c('étais autre chose, maintenant c'est de cela que je me méfie, quand quelque chose de mon passé soi-disant "remonte", je me dis, attention, PN !
Mais effectivement, le PN, comme les gens des sectes, ou d'autres se servent de ces zones de fragilité qu'on peut avoir, mais la peur de l'autre à l'extrême c'est une émotion bien spécifique qu'ils déclenchent et qui leur appartient, c'est un travail de se réapproprier ses propres émotions après avoir subi un PN, donc, quand je ressens un truc un peu bizarre, je fais en sorte de le "dégager".
Les PN sont des lâches, ils sont souvent inefficaces et bordéliques, trouvent un refuge dans le fait de se moquer de l'autre, de la rabaisser mais ils ne tiennent pas la route au bout du compte et sont malheureux, ils essaient souvent de se faire prendre en pitié, c'est comme cela que mon ex s(était approché de moi, le salaud, ensuite, ma vie a été un désert, il faisait des trucs idiots chaque fois que j'invitais quelqu'un ou qu'on était invités : il se mettait dans un coin, ne parlait pas, ne "participait" pas, si on lui en parlait parès cou, moi ou ma fille, il niait, trouvait un prétexte minable ou bien se mettait à dénigrer la personne qui avait invité. Si c'était à la maison, il pouvait se mettre en petite tenue (il avait un abominable short jaune)/ Ma fille et moi nous avons eu le droit à un lancer de tourte plate, dans ma maison de la Creuse, on avait en effet touché à son pain, et il l'a balancé dans les airs comme un freesbi, (je ne sais pas écrire ce mot, pardon, mais on reconnait le jeu de plage bien connu).
Cela va paraître idiot mais ce sont ces épisodes ridicules qui ml'ont le plus marquée parce qu'incompréhensibles, cela me touche bien plus encore que d'avoir été humiliée, ou plutôt j'ai du mal à percevoir en quoi cela a pu me rabaisser, Bref, c'est idiot, je n'ai pas peur de rencontrer quelqu'un parce qu'il pourrait me fiaire une crasse,( mais parce qu'il pourrait jeter des pains ou voir un fantôme !!!
Il m'a dit aussi un jour qu'il m'avait "usurpée", cela veut dire, pour un monarque "prendre sa place", mais je ne sais de quoi je suis le monarque dans l'histoire 'des cons peut-être ?
Pour ma fille, qui me dit qu'elle aussi c'est son pire souvenir, car cela l'a choquée de voir "un adulte faire ça", c'est aussi le pire, quoique nous en ayions vu d'autres, c'est pour cela que c'est si difficile d'être compris car cela paraît si enfantin, dérisoire, que c'est impossible à faire partir<.
Ce con, ce "bouffon" qui n'était même pas capable de tondre une pelouse, a fait en sorte que pendant des années je n'ai pas osé inviter quelqu'un, je mettais en avant des idées sur mon passé, la zébritude et tout, en fait c'est à cause de lui et de ses singeries, la tourte, le short jaune, s'allonger sur le canapé dans cette tenue et mettre sa tête sur les genoux de sa mère, à 49 ans, je ne sais pas, mais cela a été pour moi le comble de l'horreur, c'est cela qui a blessé mon psychisme plus que tout le reste, c 'est absurde mais vrai !
On avait droit aussi à des scènes entière du "Père Noêl est une ordure, qu'il récitait à tous propos.
Je pense que ces épisodes étaient destinés à nous rabaisser dans notre incompréhension des codes, ma fille étant comme moi une "kinder-surprise".
En tous cas je suis drôlement contente de l'avoir car nous avons les mêmes façon de réagir et comme je l'ai dit déjà une fois, le fait d'avoir mis au monde un être à travers lequel je me reconnais a brisé mon sentiment d'âtre un phénomène, qu'on a essayé de m'inculquer tout au long de la vie.
Mais ce salaud, en "téléguidant" les réactions de ma mère, a bien failli nous séparer, nous dresser l'une contre l'autre il y a dix ans mais j'ai été plus ùmaligne que lui .
Re: Torsion nerveuse
En attendant j'en ai marre d'avoir la vie pourrie par une perpétuelle anticipation de "l'agression bien méritée"...
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Je comprends, moi j'ai peur d'inviter des gens chez moi, ou de ma faire jeter, ce qui peut t'aider, c'est de te dire que le MN, l'agresseur, c'est eux, pas toi, que c'est eux qui ont des problèmes.
Au début, ce sont des mots un peu vides de sens et puis un moment cela marche, tu finis par avoir deux fois moins peur que cela arrive, puis, si tu as peur, tu te dis direct que c'est lui, ou elle, sans revivre tes émotions, et ensuite, cela marche moins.
Dis toi aussi que ce n'est pas marqué sur ton front, contrairement à ce qu'on te dit, que c'est sûrement pas vrai que tu es bon à rien, je suis sûre que tu es plain de talents.
Et ne te dis pas que c'est de ta faute, c'est eux qui cherchent des gens pour faire leurs méchancetés, on n'a aucune responsabilité là-dedans en revanche ils en ont une d'être tordus, car le mal se choisit.
Au lieu de manipuler ils peuvent se soigner, mais pour eux c'est trop dur, ils préfèrent se servir des autres.
Au début, ce sont des mots un peu vides de sens et puis un moment cela marche, tu finis par avoir deux fois moins peur que cela arrive, puis, si tu as peur, tu te dis direct que c'est lui, ou elle, sans revivre tes émotions, et ensuite, cela marche moins.
Dis toi aussi que ce n'est pas marqué sur ton front, contrairement à ce qu'on te dit, que c'est sûrement pas vrai que tu es bon à rien, je suis sûre que tu es plain de talents.
Et ne te dis pas que c'est de ta faute, c'est eux qui cherchent des gens pour faire leurs méchancetés, on n'a aucune responsabilité là-dedans en revanche ils en ont une d'être tordus, car le mal se choisit.
Au lieu de manipuler ils peuvent se soigner, mais pour eux c'est trop dur, ils préfèrent se servir des autres.
Re: Torsion nerveuse
Peut-être que c'est eux qui ont les problèmes, il n'empêche qu'on peut quand même se faire sauter dessus n'importe quand et détruire. J'en ai assez de faire semblant de vivre normalement, alors que j'avance en me protégeant de tireurs embusqués imaginaires. J'en ai assez d'y gaspiller 90% de mon énergie et ensuite de me haïr et me vomir parce qu'avec les 10% qui restent, forcément je ne peux pas accomplir tout ce qu'il faudrait. Ce qui me rend légitimement méprisable.
Je passe mon temps à avoir l'air de soutirer des commentaires positifs. Oui, comme le gamin qui part bouder en pleurant dans le secret espoir qu'on le rappelle en lui disant qu'en fait on l'aime bien. Ce serait vrai si j'étais capable de me sentir aimé mais ça, chez moi, c'est une fonction totalement en panne.
Me sentant donc totalement haïssable je ne peux anticiper que la haine et donc l'attaque.
Je passe mon temps à avoir l'air de soutirer des commentaires positifs. Oui, comme le gamin qui part bouder en pleurant dans le secret espoir qu'on le rappelle en lui disant qu'en fait on l'aime bien. Ce serait vrai si j'étais capable de me sentir aimé mais ça, chez moi, c'est une fonction totalement en panne.
Me sentant donc totalement haïssable je ne peux anticiper que la haine et donc l'attaque.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Fusain il y a quand même une réalité "oléagineuse" du St Esprit. Je te dis ça parce que tu interviens dans le salon en personne qui connait ces choses.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: Torsion nerveuse
Je sais, mais cela ne suffit pas non plus on dirait. C'est peut-être la clé de mon sentiment de vulnérabilité.
Tout à l'heure ma femme m'a inondé de paroles et de gestes d'amour et ça ne faisait aucun écho. J'avais beau essayer de les recevoir, ça glissait. Incapable d'y croire. Incapable de l'accepter.
A ce stade, logiquement quelqu'un devrait intervenir pour dire :
- que je refuse pour recevoir double dose
- que je dédaigne les messages positifs parce que mon orgueil est tellement démesuré qu'il les juge encore indignes de lui.
Peut-être, mais ma réaction quand quelqu'un émet un avis positif sur ma personne c'est plutôt de tomber du placard. Il me paraît toujours si évident que je suis l'inutile qui est venu s'incruster, le mec qu'on n'a pas invité mais qu'on n'a pas osé chasser et qui maintenant est là, chiant, superflu, qui hérisse tout le monde mais à qui on persiste à ne pas oser dire "casse-toi".
Tout à l'heure ma femme m'a inondé de paroles et de gestes d'amour et ça ne faisait aucun écho. J'avais beau essayer de les recevoir, ça glissait. Incapable d'y croire. Incapable de l'accepter.
A ce stade, logiquement quelqu'un devrait intervenir pour dire :
- que je refuse pour recevoir double dose
- que je dédaigne les messages positifs parce que mon orgueil est tellement démesuré qu'il les juge encore indignes de lui.
Peut-être, mais ma réaction quand quelqu'un émet un avis positif sur ma personne c'est plutôt de tomber du placard. Il me paraît toujours si évident que je suis l'inutile qui est venu s'incruster, le mec qu'on n'a pas invité mais qu'on n'a pas osé chasser et qui maintenant est là, chiant, superflu, qui hérisse tout le monde mais à qui on persiste à ne pas oser dire "casse-toi".
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
C'est sur que tes posts sont pas "super rigolos", mais des mecs (ou des nanas) bien coincés j'en ai déjà vus. Et puis c'est pas facile de se décoincer, des fois on est plus coincé par sa vie courante que par ce que l'on n'ose pas faire pour aller mieux.
Re: Torsion nerveuse
Je sais pas si coincé est le bon mot. Déprimé, pour sûr. Je ne peux pas communiquer un bonheur que je ne possède pas. Sinon, je m'empresserais de le faire !
Il y a des tas de théories qui parlent de réservoir affectif. Le mien ne se contente pas d'être vide, il est scellé, je ne sais même pas s'il a un orifice, ni même s'il existe en fait. Rien. Je ne sais pas ressentir ce sentiment. Je peux aimer, sans aucun problème, être aimé, niet. Je me souviens dix, quinze, vingt ans après de paroles de haine à mon encontre, des mots d'amour ou d'amitié, au bout de deux heures sont oubliés. Comme si on me parlait une langue étrangère.
Et tant que je ne croirai pas qu'il soit possible d'être aimé je continuerai à penser qu'on peut parfaitement être saigné en pleine rue "just for fun" : si personne n'est digne d'amour alors une vie humaine ne vaut même pas un paquet de cigarettes.
Il y a des tas de théories qui parlent de réservoir affectif. Le mien ne se contente pas d'être vide, il est scellé, je ne sais même pas s'il a un orifice, ni même s'il existe en fait. Rien. Je ne sais pas ressentir ce sentiment. Je peux aimer, sans aucun problème, être aimé, niet. Je me souviens dix, quinze, vingt ans après de paroles de haine à mon encontre, des mots d'amour ou d'amitié, au bout de deux heures sont oubliés. Comme si on me parlait une langue étrangère.
Et tant que je ne croirai pas qu'il soit possible d'être aimé je continuerai à penser qu'on peut parfaitement être saigné en pleine rue "just for fun" : si personne n'est digne d'amour alors une vie humaine ne vaut même pas un paquet de cigarettes.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Je ressens cela aussi, mais pas tout à fait pareil. Avant de m'amuser, à Noêl, par exemple, j'étais souvent malade, j'ai fait aussi une fois un cauchemar monstrueux après m'être fait de nouveaux amis. Cela me le fait moins depuis que j'ai repris mes études en arts plastiques, cela m'a vraiment changé, j'ai été en effet confrontée à d'autres zèbres, il y a eu des trucs chouettes et j'arrive mieux à m'extérioriser, c'est ce qu'on me renvoie.
L'art enlève aussi la vulnérabilité car je me suis rendue compte qu'on ne pouvait pas me prendre ça, ni m'atteindre par ça, même si ce que je fais ne plait pas à tout le monde ce n'est pas "moi", je ne sais pas comment expliquer.
L'art enlève aussi la vulnérabilité car je me suis rendue compte qu'on ne pouvait pas me prendre ça, ni m'atteindre par ça, même si ce que je fais ne plait pas à tout le monde ce n'est pas "moi", je ne sais pas comment expliquer.
Re: Torsion nerveuse
L'art ne me sert à rien de ce point de vue. J'écris des textes qui parfois plaisent, je barbouille des choses idem (j'en ai mis un petit exemple sur le topic créazions), mais quoi qu'on m'en dise de positif, cela ne me fait rien, ne me fait pas me sentir moins méprisable.
Alors qu'une remarque sur une de ces peintures - surtout si je la trouve injuste, et donc, qu'elle prouve que mon jugement sur moi-même ne vaut rien, autrement j'aurais fait moi-même cette critique - provoque une tempête émotionnelle violente au cours de laquelle il est courant que je détruise plusieurs peintures, en plus de celle incriminée. (En fait, je les détruirais toutes, si ma chère et tendre ne m'en empêchait pas.)
Alors qu'une remarque sur une de ces peintures - surtout si je la trouve injuste, et donc, qu'elle prouve que mon jugement sur moi-même ne vaut rien, autrement j'aurais fait moi-même cette critique - provoque une tempête émotionnelle violente au cours de laquelle il est courant que je détruise plusieurs peintures, en plus de celle incriminée. (En fait, je les détruirais toutes, si ma chère et tendre ne m'en empêchait pas.)
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Tout cela dépend du temps que tu y passes, de ce que tu mets dedans surtout, ce n'est peut être pas la peinture qu'il te faut, ou l'art.
J'ai commencé en 2005-2006 à dessiner ce que je rêvais : des vampires, mon chien qui portait un costard, des arbres en forme de cube; , des trucs sans queue ni tête et sans idée artistique au départ, c'est de cela que c'est venu d'être moins préoccupée de ce qui se passe dans les relations, (même si j'ai encore peur à cause de l'autre naze, le PN, qu'on me dise "casse-toi), cela m'a emportée vers une finalité, je n'avais jamais ressenti ce genre de truc,
Je trouve aussi qu'on m'attaque moins, en tous cas je ne suis plus coincée comme avant quand cela arrive.
J'ai commencé en 2005-2006 à dessiner ce que je rêvais : des vampires, mon chien qui portait un costard, des arbres en forme de cube; , des trucs sans queue ni tête et sans idée artistique au départ, c'est de cela que c'est venu d'être moins préoccupée de ce qui se passe dans les relations, (même si j'ai encore peur à cause de l'autre naze, le PN, qu'on me dise "casse-toi), cela m'a emportée vers une finalité, je n'avais jamais ressenti ce genre de truc,
Je trouve aussi qu'on m'attaque moins, en tous cas je ne suis plus coincée comme avant quand cela arrive.
Re: Torsion nerveuse
Ce que j'essaie de "mettre" ce sont les images qui me défilent dans la tête et qui exigent de sortir.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Cela a l'air d'être unje bonne piste, je pense que cela va marcher.
D'autres ont peut-être représenté ces "images", il y ades trucs que j'avais fait que j'ai nretrouvé chez des artistes, Chirico, Eicher.
Je suppose que tu con,nais des peintres espagnols, Goya, Velasquez, par exemple, ce sont les nomqs qui me viennent.
Pouquoi les artistes représenteraient -ils cela s'ils n'avaient pas des émotions de cette sorte ? Ils n'ont pas peint juste parce que le roi machin ou truc leur a commandés...
Je crois aussi qu'il y a un "inconscient coillectif" et que nous n'avons pas en nous que nos pensées propres, ou plus exactement que ce que nous appelons nos "pensées propres" ne sont pas ce qu'on croit.. Mais pour moi cela n'a rien à voir avec la "spiritualité",
Peut-être que je me trompe, mais pour moi, cela ressemble à un processus artistique.
Elle a raison, ta femme;de ,ne pas les jeter !!!
Peux-tu me les montrer, je peux essayer de te dire ce à quoi cela ressemble en termes d'enjeux artistiques et de références, et si tu veux je peux aussi lke demander à d'autres,
On ne te dira pas si cela nous plaît, je ne dis jamais ce que je pense en termes "d'avis", car si on passe son temps à dire que quelque chose est bien ou que c'est con, on ne fait rien d'autre !!
D'autres ont peut-être représenté ces "images", il y ades trucs que j'avais fait que j'ai nretrouvé chez des artistes, Chirico, Eicher.
Je suppose que tu con,nais des peintres espagnols, Goya, Velasquez, par exemple, ce sont les nomqs qui me viennent.
Pouquoi les artistes représenteraient -ils cela s'ils n'avaient pas des émotions de cette sorte ? Ils n'ont pas peint juste parce que le roi machin ou truc leur a commandés...
Je crois aussi qu'il y a un "inconscient coillectif" et que nous n'avons pas en nous que nos pensées propres, ou plus exactement que ce que nous appelons nos "pensées propres" ne sont pas ce qu'on croit.. Mais pour moi cela n'a rien à voir avec la "spiritualité",
Peut-être que je me trompe, mais pour moi, cela ressemble à un processus artistique.
Elle a raison, ta femme;de ,ne pas les jeter !!!
Peux-tu me les montrer, je peux essayer de te dire ce à quoi cela ressemble en termes d'enjeux artistiques et de références, et si tu veux je peux aussi lke demander à d'autres,
On ne te dira pas si cela nous plaît, je ne dis jamais ce que je pense en termes "d'avis", car si on passe son temps à dire que quelque chose est bien ou que c'est con, on ne fait rien d'autre !!
Re: Torsion nerveuse
Je suppose que tu con,nais des peintres espagnols, Goya, Velasquez, par exemple, ce sont les nomqs qui me viennent.
Pourquoi forcément espagnols ? Je connais, et ce sont des oeuvres qui me laissent totalement de marbre.
Ce que je rêve de faire cela ressemblerait plus aux impressionnistes, et - ça n'a rien à voir, je sais - à Paul Klee.
Mais bon, là il faut être clair, je suis en train de replonger droit dans la dépression alors que je croyais être sur la bonne pente au contraire. Je n'ai plus faim, envie de pleurer, envie de me cacher, de redevenir bébé qu'on berce, je sais pas, je sais plus.
Marre de porter sur mon dos.
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Tu vois un ou une psy ?
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Torsion nerveuse
Tu connais des groupes charismatiques ?
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Torsion nerveuse
Non, mais je ne vois pas le rapport avec la choucroute aux framboises ?
danielleda : http://www.flickr.com/photos/exile17/sets/72157621898289111/
danielleda : http://www.flickr.com/photos/exile17/sets/72157621898289111/
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
Merci pour le lien Fusain, ce sont tes peintures ?
JE te parlais de la peinture espqgnole juste comme cela, cela me laissait de marbre aussi, comme l'impressionnisme d'ailleurs, mais il y a des déclics parfois qui font qu'on va sentir ou pas une peinture, cela dépend avec qui on est.
j'ai fait une visite dans un musée au mois de septembre (c'est un musée privé dans le 16ème arrondissement, je ne sais plus le nom, c'est bête, où j'ai vu des tableaux impressionnistes, on devait faire un travail sur la lumière ensuite.
Ensuite nous sommes allés au musée d'Orsay, même topo.
Quand j'étais enfant je n'aimais pas Cézanne Seurat, je trouvais les personnages bizarres.
Mais pourquoi pas relier Paul Klee et les impressionnistes, car les deux sont des espaces non-perspectifs et avec une figuration qui va avec cet espace forcément.
C'est un peu normal de déprimer avec le temps qu'il fait, cela devrait partir avec le soleil. j'ai pris une ampoule d'un truc qui remplace les UV il y a quelques semaines cela m'a redonné la pêche. Nous les zèbres, on carbure, alors ça consomme de l'énergie. Des fois, un peu de magnésium ou de vitamines, cela peut aider. J'ai un autre remède, les gaufres, maison bien sûr mais c'est calorique !
Bonne soirée, et merci encore pour le lien, je regarderai cela à tete reposée mais cela a l'air bien, plutôt apaisant.
JE te parlais de la peinture espqgnole juste comme cela, cela me laissait de marbre aussi, comme l'impressionnisme d'ailleurs, mais il y a des déclics parfois qui font qu'on va sentir ou pas une peinture, cela dépend avec qui on est.
j'ai fait une visite dans un musée au mois de septembre (c'est un musée privé dans le 16ème arrondissement, je ne sais plus le nom, c'est bête, où j'ai vu des tableaux impressionnistes, on devait faire un travail sur la lumière ensuite.
Ensuite nous sommes allés au musée d'Orsay, même topo.
Quand j'étais enfant je n'aimais pas Cézanne Seurat, je trouvais les personnages bizarres.
Mais pourquoi pas relier Paul Klee et les impressionnistes, car les deux sont des espaces non-perspectifs et avec une figuration qui va avec cet espace forcément.
C'est un peu normal de déprimer avec le temps qu'il fait, cela devrait partir avec le soleil. j'ai pris une ampoule d'un truc qui remplace les UV il y a quelques semaines cela m'a redonné la pêche. Nous les zèbres, on carbure, alors ça consomme de l'énergie. Des fois, un peu de magnésium ou de vitamines, cela peut aider. J'ai un autre remède, les gaufres, maison bien sûr mais c'est calorique !
Bonne soirée, et merci encore pour le lien, je regarderai cela à tete reposée mais cela a l'air bien, plutôt apaisant.
Re: Torsion nerveuse
Oui oui c'est ma production ces machins. Dans le tas il n'y en a pas 5 dont je sois vaguement satisfait...
Pourquoi ne pas relier Klee et les impressionnistes ? Je t'avoue tout simplement que je n'éprouve pas le besoin de chercher à les relier. Peut-être que les académies pourraient m'expliquer la nature de ce lien, la raison théorique de ce que j'ai perçu, moi. Peut-être que ce lien "scientifique" n'existe pas et que rien ne les relie, que c'est par pur goût personnel que des gens sont sensibles simultanément à ces deux formes d'art. Les impressionnistes se préoccupaient de lumière, Klee de couleur, ce qui n'est pas la même chose, bien que Klee ait partagé le coup de foudre des impressionnistes pour les lumières de la Méditerranée (et moi, j'aime pas... Ou plutôt j'ai des préventions autres à l'encontre des régions méditerranéennes qui m'empêchent d'en apprécier quoi que ce soit).
Cela n'a pas d'importance. On se fout des théories. Je ne donne pas de cours. Je peux m'amuser en tant qu'être humain à être sensible à telle expression artistique, à associer et à raconter des ressentis (par des mots ou d'autres couleurs) à d'autres humains qui peuvent avoir envie de perdre leur temps à lire ou regarder ces ressentis. On peut venir me dire que je n'ai rien compris à Monet ni à Klee ni à Debussy (qui pour moi fait du Monet en musique). Si on m'explique ce qu'il faut comprendre, je veux bien. Peut-être que cela m'ouvrira les yeux sur des choses nouvelles. Si "on" ne m'explique rien, que c'est juste pour dénigrer, alors "on" peut aller cordialement se faire cuire un oeuf de dodo.
Tu as parlé d'Escher. J'ai eu aimé son dessin, et depuis, plus; j'admire juste la performance. Un jour, une brave dame l'a rencontré et ils ont parlé de son dessin où il a remis en scène son propre dessin des lézards imbriqués les uns dans les autres - la feuille est posée sur un bureau et les lézards à un bout, se dégagent du papier, deviennent de vrais animaux qui forment une procession sur le bureau, sur les livres qui y sont posés, et cette procession forme un cercle qui part de la feuille et retourne à la feuille, dans laquelle les lézards se réincorporent et redeviennent dessin. La brave dame a dit à Escher "c'est la plus belle représentation que j'aie jamais vue de la réincarnation !" Et Escher lui a répondu en gros "si vous y voyez cela avec une telle force, vous avez raison et je suis heureux de ce que vous ressentez à la vue de ce tableau". Peut-être qu'il n'avait, lui, absolument pas pensé à la réincarnation en dessinant ça. Il n'a dit ni oui ni non. Mais ce que ressentait la "brave dame" avait du prix à ses yeux, que ce fût ou non "la bonne" interprétation de l'oeuvre.
Désolé si tout cela est péteux et confus : je suis en hypoglycémie et les symptômes sont identiques à ceux de l'ivresse (il y a une excellente raison biochimique à cela, d'ailleurs...)
Pourquoi ne pas relier Klee et les impressionnistes ? Je t'avoue tout simplement que je n'éprouve pas le besoin de chercher à les relier. Peut-être que les académies pourraient m'expliquer la nature de ce lien, la raison théorique de ce que j'ai perçu, moi. Peut-être que ce lien "scientifique" n'existe pas et que rien ne les relie, que c'est par pur goût personnel que des gens sont sensibles simultanément à ces deux formes d'art. Les impressionnistes se préoccupaient de lumière, Klee de couleur, ce qui n'est pas la même chose, bien que Klee ait partagé le coup de foudre des impressionnistes pour les lumières de la Méditerranée (et moi, j'aime pas... Ou plutôt j'ai des préventions autres à l'encontre des régions méditerranéennes qui m'empêchent d'en apprécier quoi que ce soit).
Cela n'a pas d'importance. On se fout des théories. Je ne donne pas de cours. Je peux m'amuser en tant qu'être humain à être sensible à telle expression artistique, à associer et à raconter des ressentis (par des mots ou d'autres couleurs) à d'autres humains qui peuvent avoir envie de perdre leur temps à lire ou regarder ces ressentis. On peut venir me dire que je n'ai rien compris à Monet ni à Klee ni à Debussy (qui pour moi fait du Monet en musique). Si on m'explique ce qu'il faut comprendre, je veux bien. Peut-être que cela m'ouvrira les yeux sur des choses nouvelles. Si "on" ne m'explique rien, que c'est juste pour dénigrer, alors "on" peut aller cordialement se faire cuire un oeuf de dodo.
Tu as parlé d'Escher. J'ai eu aimé son dessin, et depuis, plus; j'admire juste la performance. Un jour, une brave dame l'a rencontré et ils ont parlé de son dessin où il a remis en scène son propre dessin des lézards imbriqués les uns dans les autres - la feuille est posée sur un bureau et les lézards à un bout, se dégagent du papier, deviennent de vrais animaux qui forment une procession sur le bureau, sur les livres qui y sont posés, et cette procession forme un cercle qui part de la feuille et retourne à la feuille, dans laquelle les lézards se réincorporent et redeviennent dessin. La brave dame a dit à Escher "c'est la plus belle représentation que j'aie jamais vue de la réincarnation !" Et Escher lui a répondu en gros "si vous y voyez cela avec une telle force, vous avez raison et je suis heureux de ce que vous ressentez à la vue de ce tableau". Peut-être qu'il n'avait, lui, absolument pas pensé à la réincarnation en dessinant ça. Il n'a dit ni oui ni non. Mais ce que ressentait la "brave dame" avait du prix à ses yeux, que ce fût ou non "la bonne" interprétation de l'oeuvre.
Désolé si tout cela est péteux et confus : je suis en hypoglycémie et les symptômes sont identiques à ceux de l'ivresse (il y a une excellente raison biochimique à cela, d'ailleurs...)
Invité- Invité
Re: Torsion nerveuse
J'ai appuyé sur un mauvais bouton, je récapitule pour le cas où tout se serait perdu,
Bonjour à tous d'abor.
Fusain, je suis comme toi antisudiste, PSG ppas OM ! :bounce:Je ne sais pas ce que je leur trouve car personnellemen,t je n'ai pas eu d'expérience négative avec les gens du sud, j'y suis juste allée par curiosité camper pendant trois semaines dans les années 90 avec ma tente, ma fille qui avait 8 ans, et ma petite chienne Bibiche, cela a été une sacrée péripétie, mais j'ai prouvé au monde entier qu'on peut passer des vacances chouettes sans faire le beauf touriste, c'est à dire être enfermé dans une structure hotelière, payer un max et suivre tout un circuit imposé.
Je ne te trouve pas pédant, veux-tu dire plutôt que "péteux", on me l'a souvent dit, je regrette juste pour ceux qui ont un QI de 2,5 et ne comprennent pas ce que je dis.
Je partage aussi ta répulsion pour les explications de texte et autres interpétations littéraires, sculpturales, photographiques, architecturales...
J'ai juste compris l'an dernier ce que voulait dire "analyser", autrement, en cours, je faisais semblant et mes profs me disaient qu'ils ne comprenaient rien, j'ai quand même réussi avec ces stratégies à obtenir des concours éducation nationale après le bac, mais après je n'ai pas pu suivre pour des raisons autres.
C'est ma fille qui m'a fait lire le livre de Béatrice Millêtre, qui m'a permis de mettre des mots sur tout cela et enfin, de pouvoir aller étudier sans devoir laisser mon intellect à la maison !
J'ai appris quelque chose en lisant ton post au sujet de la crise d'hypoglycémie. C'est sûrement ce que j'ai, un jour je me suis réveillée avec la GDB, mais alors, je n'avais rien bu cela faisais plusieurs semaines donc cela ne pouvait pas être vraiment cela, en revanche, la vaille, j'avais participé à une enquête sur les bananes et en avais mangé deux et demi, n'ayant pu finir la troisième qui n'était pas bonne du tout, il faut dire que je ne mange presque jamais de bananes, donc j'ai eu une baisse de sucre suite à une ingestion massive, je sais que cela peut arriver. Il y a surout que je dors souvent peu (j'enchaine soirée et nuit au travail, pour avoir des journées libres consécutives, pour suivre des sessions de cours en présentiel toute une semaine et cetera.
Il y a aussi l'anémie qui ressemble à la dépression dans le registre des symptômes qui ressemblent à d'autres. Cela arrive aussi lorsqu'on perd du sang,
J'aime bien tes aquarelles, tu te débrouilles bien dans la composition c'est cela qui saute aux yeux, c'est très cohérent ce que tu fais et em même temps, varié, mas systématiques,.les architectures, le quotidien, je suis un peu là-dedans moi aussi
Pour la technique proprement dite je trouve que tu la maîtrise plutôt bien, j'aime bien les effets de matière dans le terrain de foot. les couleurs également.
Qu'est-c que j'aimerais en avoir fini avec les préparations pour faire du travail personnel, je suis aussi en train d'écrire un roman, mais je ne peux pas travailler dessus en ce moment à cause de la préparation.
En me^me temps, c'était compliqué car avant de me mettre à ces études je n'ai jamais rien pu faire décoller car j'étais engluée dans des tas de trucs et je n'arrivais pas à structurer tout cela 'peur que cela ne tienne pas debout, si tu vois ce que je veux dire).
J'espère que je n'ai riien oublié et ne me suis pas trop répétée !
Bonjour à tous d'abor.
Fusain, je suis comme toi antisudiste, PSG ppas OM ! :bounce:Je ne sais pas ce que je leur trouve car personnellemen,t je n'ai pas eu d'expérience négative avec les gens du sud, j'y suis juste allée par curiosité camper pendant trois semaines dans les années 90 avec ma tente, ma fille qui avait 8 ans, et ma petite chienne Bibiche, cela a été une sacrée péripétie, mais j'ai prouvé au monde entier qu'on peut passer des vacances chouettes sans faire le beauf touriste, c'est à dire être enfermé dans une structure hotelière, payer un max et suivre tout un circuit imposé.
Je ne te trouve pas pédant, veux-tu dire plutôt que "péteux", on me l'a souvent dit, je regrette juste pour ceux qui ont un QI de 2,5 et ne comprennent pas ce que je dis.
Je partage aussi ta répulsion pour les explications de texte et autres interpétations littéraires, sculpturales, photographiques, architecturales...
J'ai juste compris l'an dernier ce que voulait dire "analyser", autrement, en cours, je faisais semblant et mes profs me disaient qu'ils ne comprenaient rien, j'ai quand même réussi avec ces stratégies à obtenir des concours éducation nationale après le bac, mais après je n'ai pas pu suivre pour des raisons autres.
C'est ma fille qui m'a fait lire le livre de Béatrice Millêtre, qui m'a permis de mettre des mots sur tout cela et enfin, de pouvoir aller étudier sans devoir laisser mon intellect à la maison !
J'ai appris quelque chose en lisant ton post au sujet de la crise d'hypoglycémie. C'est sûrement ce que j'ai, un jour je me suis réveillée avec la GDB, mais alors, je n'avais rien bu cela faisais plusieurs semaines donc cela ne pouvait pas être vraiment cela, en revanche, la vaille, j'avais participé à une enquête sur les bananes et en avais mangé deux et demi, n'ayant pu finir la troisième qui n'était pas bonne du tout, il faut dire que je ne mange presque jamais de bananes, donc j'ai eu une baisse de sucre suite à une ingestion massive, je sais que cela peut arriver. Il y a surout que je dors souvent peu (j'enchaine soirée et nuit au travail, pour avoir des journées libres consécutives, pour suivre des sessions de cours en présentiel toute une semaine et cetera.
Il y a aussi l'anémie qui ressemble à la dépression dans le registre des symptômes qui ressemblent à d'autres. Cela arrive aussi lorsqu'on perd du sang,
J'aime bien tes aquarelles, tu te débrouilles bien dans la composition c'est cela qui saute aux yeux, c'est très cohérent ce que tu fais et em même temps, varié, mas systématiques,.les architectures, le quotidien, je suis un peu là-dedans moi aussi
Pour la technique proprement dite je trouve que tu la maîtrise plutôt bien, j'aime bien les effets de matière dans le terrain de foot. les couleurs également.
Qu'est-c que j'aimerais en avoir fini avec les préparations pour faire du travail personnel, je suis aussi en train d'écrire un roman, mais je ne peux pas travailler dessus en ce moment à cause de la préparation.
En me^me temps, c'était compliqué car avant de me mettre à ces études je n'ai jamais rien pu faire décoller car j'étais engluée dans des tas de trucs et je n'arrivais pas à structurer tout cela 'peur que cela ne tienne pas debout, si tu vois ce que je veux dire).
J'espère que je n'ai riien oublié et ne me suis pas trop répétée !
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