Vos pensées, petit recueil...

Euh, par définition, l'univers quantique est contre intuitif. Donc l'intuiter par un truc aussi bidon que l'astrologie, j'y crois pas une seule seconde.

hardkey a écrit:Euh, par définition, l'univers quantique est contre intuitif. Donc l'intuiter par un truc aussi bidon que l'astrologie, j'y crois pas une seule seconde.

Bon, ok, tu connais rien au sujet, je n'insiste pas.

Bonne poursuite de tes réflexions

Des centaines de physiciens, parmis les plus grands du monde ont mis des années à accepter cette théorie, et tu considères que je n'y connais rien parce que je dis que c'est contre intuitif?

Excuse moi, mais bon, je me suis intéressé au sujet depuis un certain temps, et penser comprendre la mécanique quantique comme ça, c'est juste n'importe quoi.

Mais je dois être con hein.

hardkey a écrit: Excuse moi, mais bon, je me suis intéressé au sujet depuis un certain temps, et penser comprendre la mécanique quantique comme ça, c'est juste n'importe quoi

Salut Hardkey,

Je ne mets pas en doute tes connaissances en physique quantique
Par "sujet", je parlais de l'astrologie et de la pensée symbolique.

L'Asie a depuis longtemps pensé le monde de façon énergétique globale.
Notre pensée occidentale se remet à peine de la version "Grand Barbu" et se montre donc susceptible sur le sujet

(la suite en MP)

Comme je te l'ai déjà dit, j'avais effectivement mal compris. Et je ne doute pas que sur ce sujet j'ai vraiment à apprendre ^^

Le meilleur moyen de lutter efficacement contre le vieillissement c'est de choisir soigneusement ses lectures.

Belletegeuse a écrit:Au sujet de la liberté, on peut la valoriser un peu moins quand tous les points d'appui viennent à manquer.

Lorsque tous les points d'appuis viennent à manquer,
alors l'essence de la liberté dévoile son parfum,

être humain n'est pas donné mais peut être apprivoisé
l' asperger de ce parfum... rend la tâche soluble dans la joie...

Voici une pensée qui m'est venue il y a quelques temps :
[i]et si les zèbres étaient des non-zèbres et les non-zèbres des zèbres.
Je veux dire par là que peut-être que ce n'est pas nous qui sommes différents
mais eux. Enfin ce n'est qu'une pensée.

On est différent par rapport à un référentiel (que ce soit une norme ou pas). Si nous sommes différents, c'est par rapport aux autres. Les autres sont donc différents par rapport à nous...

Je pense que l'on peut se vanter autant que l'on veu d'etre libre et unique ,

mais tot ou tard la majorité "normale" impose et s'impose inconsiament je pense des regles , des normes , des "moules" dans lequels tout le monde doit rentrer

(c'est en pensant à la production en chaine que cette pensée m'est venue )

l'usine fabrique des objets à la chaine , (l'ecole , la société qui cherche a omogénéiser les personnes )
puis elle procede au "controle qualité " (etre comme les autres sinon ... )
et enfin ceux qui echouent sont rejetés (tout comme moi en l'ocurense )

L individualisme devient d ailleurs la nouvelle norme, puisqu'elle est le meilleur idéal pour pérenniser notre société de consommation.
Il faut être unique, mais à travers nos achats (matériels ou culturels).

Soyez uniques, comme tout le monde.

la liberté s’arrête la commence celle des autres. Dans ce cas les règles servent elles à ne pas se faire dominé par la liberté des autres?

c'est helas notre cas , car par example les autres sont libres de nous rejeter et de ne pas nous aimer , de nous exclure , nous par contre nous sommes contraints de nous adapter aux autres mais selon moi la liberté est la premiere priorité , le reste passe aprés .

Je viens de me rendre compte que l'expression "mettre un terme à ses souffrances" se lisait selon deux sens, et reliés avec ça, car mettre des mots sur ce qui nous travaille c'est déjà un bon bout de chemin de fait.

C'est beau comme de la psy de comptoir non ?

(dimanche dernier)

Les montagnes ne se rencontrent pas. Plus exactement leurs sommets ne se rencontrent pas. Ce n'est qu'avec les versants de sa propre montagne que chacun d'eux a des relations. Les sommets se regardent de loin, avec l'impression que l'autre est toute la montagne qu'il voit. Aussi oublient-ils qu'ils ne sont que minuscules parachèvements.

Inattendre c'est ce donner la liberté d'être libre ...

L'esprit jeune, c'est l'esprit affamé, et sans oreilles. C'est celui qui va chercher, frénétiquement, mais qui ne prêtera pas grande attention à ce qu'on lui communique.
Du moins c'est comme ça que j'étais à 20 ans.

Garder l'esprit jeune, maxime maintes fois mise en avant, me semble une idée curieuse. L'esprit prenant en âge, ce qu'on perd en voracité, on le gagne en expérience et en conscience de soi, des autres, du monde...Ce qui nous rend plus efficace que lors des mouvements désordonnés de la découverte totale.

J'aime bien l'esprit plus vieux moi

Le langage découpe la réalité pour enfaire des concept compréhensibles et communicables. On ne peut donc jamais parler de réalité!

Ha ha! donc autant ne plus parler en fait!?

Intéressant ce sujet, je m'y joins !

Donc, à titre anecdotique, j'ai remarqué il y a quelques jours lors d'un flash, que le terme d' "espace" était erroné en raison de son point de vue sémantique débordant à tort sur l'étendue stellaire, puis hier, encore un flash ; j'ai remarqué que la matière était temporaire selon un cycle bouclé en raison du rapport espace/temps qui tend à la dématérialisation pour former une re-matérialisation instantanée.

Ne discutez jamais avec un crétin, il est possible qu'il soit en train de faire la même chose

.

Un peu décalé mais bon...

Pour un homme, être très amoureux c'est regarder les autres femmes pour le plaisir de détailler ce qui leur manque.

Très bien dit Doinel, bravo !

Le noeud d'un problème n'est jamais où la personne concernée le situe, sinon il aurait déjà été dénoué.

Puisque tout le monde s'y met, alors moi aussi :

Mon rêve réside là où la réalité a échoué

(le 23 mai 2002)

Établir une liste d'arguments ou de faits contraires à certaines de mes façons de penser trop rapides, ou adoptées trop formellement. Il faudrait en effet pouvoir toujours conserver en mémoire de tels arguments quand je m'exprime avec les autres, où, je le sens bien, j'ai tendance moi aussi à vouloir imposer certaines vues. En fait, il n'est pas si simple que cela d'être lucide même quand on s'en sent par ailleurs tout à fait capable : les raisons contraires résident parfois en des aspects subtils ou singuliers, même s'ils ne sont pas si difficiles à admettre quand on se les rappelle. Avoir une logique assurée ne suffit pas : il faut l'avoir mise à l'épreuve de toutes les voies dans lesquelles on cherche à l'appliquer.
Pour cela, il faudrait commencer par faire l'inventaire des déclarations que j'ai coutume de faire, en réalité ou à part moi, de ces énoncés bien sentis, trop sentis, où je risque de me fourvoyer.
En fait, une telle préoccupation peut très bien être prise en compte de façon assez rigoureuse : écrire une dissertation sur un sujet consiste justement à discuter les questions, à les traiter sous différents points de vue.

Je connais des souffrances qui sont des puits sans fond.

Pourtant je l'atteins souvent...

Je repensais à l'adhésion qu'ont pu soulever des messages durs sur le forum, et j'en conclus que les "mouches" humaines s'attrapent bien avec du vinaigre.

C'est sans doute propre à l'Homme, car ayant conscience de lui-même il se targue de pouvoir exercer son esprit critique et accompagne volontiers qui revendique de mettre au jour des travers humains présents dans l'entourage. Pourvu que ces critiques ne lui soient pas directement et nommément adressées, l'individu voit là matière à une salvatrice remise en question. Voire un amusement à travers un discours non tempéré, sortant de l'ordinaire.

Inutile de dire que le procédé de critique intempestive est despotique à mon sens, et si le miel des compliments semble trop sirupeux, on pourra par contre affirmer qu'il ne nuit pas.

Primum non nocere, ne rien faire plutôt qu'intervenir à tort et à travers, je crois que c'est un précepte que les non-médecins peuvent également reprendre à leur compte. Et je souhaite qu'un jour les critiques professionnels n'aient plus leur cour personnelle. Ce qui relève d'une discipline de chacun, et je me mets dans le lot de ceux qui gravitent autour de ceux-ci (sans m'extasier mais tout de même), quand le contraire serait à faire.

Tes pensées sont sympa Cherokee

Merci paela...Je dois avouer que je suis toujours très mal à l'aise quand on me complimente, pour répondre quelque chose surtout, mais ça me touche.

Sinon, c'est plus de l'ordre du jeu d'idées, et je pense à Fata en disant :

"La liberté continue à guider le peuple, mais elle a pris l'apparence d'une liasse de billets."

Bon, alors autant que tu prennes les compliments tout d'un coup, pour que tu ne sois pas mal à l'aise trop souvent. Je trouve que tu as un très beau style quand tu le veux. Cela fait plusieurs fois que je le remarque. C'était notamment le cas récemment dans un sujet sur les THQI.

Petite(s) pensée(s) du soir, espoir :

Les promesses sont des mensonges en devenir.

La vie d'un arbre me parait plus intéressante que celle du dernier président.

Toute vie est inerte jusqu'à ce que l'amour lui crée sa propre genèse.

Ceux qui n'acceptent ni l'erreur, ni l'amour* ont déjà commencé à creuser leur scépulture.



(* ici je cite "amour" dans un sens plus large en y intégrant également deux correlats: "dévotion" et perdition". Le mirage de l'humanité...)

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La réaction enchaîne, la création libère

Nous sommes à l'image de Dieu.
Mais quelle image ai-je de Dieu?

Artistes : ils croquent les gens pour prendre leur pied.

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