Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
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Doinel
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Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
Lu et relu,relu mes posts et les votres
réaction excessive de ma part ,et je vous présente mes plus plates excuses.
Grand merci à toi Doinel d'avoir préféré me comprendre plutot que me condamner?
réaction excessive de ma part ,et je vous présente mes plus plates excuses.
Grand merci à toi Doinel d'avoir préféré me comprendre plutot que me condamner?
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
C'est bien courageux de relire et de poster un message d'excuses sur un topic qui nous a fait bondir...J'avoue que j'évite tout sujet qui m'a brûlée pour ma part.
J'espère que tu n'as pas été trop blessée dans l'histoire, et même si je n'ai aucune excuse à recevoir de ta part je tenais à poster pour t'exprimer ma sympathie
J'espère que tu n'as pas été trop blessée dans l'histoire, et même si je n'ai aucune excuse à recevoir de ta part je tenais à poster pour t'exprimer ma sympathie
Invité- Invité
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
Je le laisse faire.siamois93 a écrit:
Quand tu vois une personne qui va se faire écraser, tu interviens aussi ou tu laisses faire ?
Disons dans la moitié des cas. Savoir sélectionner les réponses compréhensibles et acceptables des autres, et dire le reste dans sa tête, pour soi-même.Cherokee a écrit:Je ne dis pas qu'il faut se taire absolument.
Ou apprendre à développer un choix subsidiaire à chaque fois, à penser comme les autres pour sélectionner la bonne (non, meilleure) réponse. Mais c'est vrai que ce n'est plus naturel après.
Suivant les situations j'adopte une de ses solutions et je gère pas trop mal.
AlessB- Messages : 120
Date d'inscription : 16/09/2012
Age : 35
Localisation : Kadath
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
cleobule a écrit:Lu et relu,relu mes posts et les votres
réaction excessive de ma part ,et je vous présente mes plus plates excuses.
Merci à toi pour ce message,
mes excuses pour m'être excessivement enflammé aussi.
Invité- Invité
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 54
Localisation : kemper
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
A la base je l'avais compris au figuré, comme toi. Et j'avais répondu que j'attendais que la personne soit en détresse...AlessB a écrit:Je le laisse faire.siamois93 a écrit:
Quand tu vois une personne qui va se faire écraser, tu interviens aussi ou tu laisses faire ?
Bilan, quand j'ai compris que ça parlait d'accident de la route je me suis bidonnée toute seule devant mon ordi du sens que ma réponse prenait
Invité- Invité
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
Merci à toi cherokee pour ton "antepost",j'ai grandi sous les crachat donc pas de soucis,vacciné la bete.,mais ce qui explique un peu mes réactions épidermiques.
Mais plus sérieusement,ne trouvaient vous pas les gens la vie trop compliqué pour pouvoir asséner une vérité,guider un frére;
j'ai passé une grande partie de ma vie à tendre la main à mes fréres que je croyais se noyer (toxico,alcolo,maltraité en couple ou en famille,etc...),mais au final de quel droit me suis autorisé cela;ils étaient malheureux certes mais pas seul,mal accompagné mais pas seul.
C'est quoi le plus important:avoir raison ou avoir chaud;
Mais plus sérieusement,ne trouvaient vous pas les gens la vie trop compliqué pour pouvoir asséner une vérité,guider un frére;
j'ai passé une grande partie de ma vie à tendre la main à mes fréres que je croyais se noyer (toxico,alcolo,maltraité en couple ou en famille,etc...),mais au final de quel droit me suis autorisé cela;ils étaient malheureux certes mais pas seul,mal accompagné mais pas seul.
C'est quoi le plus important:avoir raison ou avoir chaud;
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 54
Localisation : kemper
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
Dans les cas que tu cites pour ma part je n'aide pas. Parce que j'ai vu avec les années qu'on ne peut aider une personne trop à la dérive. La seule manière constructive d'aider c'est en partenaires, avec l'autre qui peut entendre ce que tu as à lui dire, que tu peux atteindre.
Hors de ces cas là je n'aide donc pas...et ça restreint énormément
Ensuite quand j'aide c'est donc plutôt des suggestions, des pistes lancées, et là il n'est nul besoin de détenir le vrai, juste de sentir de quoi il est question en l'occurence et de donner des clefs qui ont pu nous être utiles à nous-mêmes ou nous sembler pertinentes de là où on se trouve.
Hors de ces cas là je n'aide donc pas...et ça restreint énormément
Ensuite quand j'aide c'est donc plutôt des suggestions, des pistes lancées, et là il n'est nul besoin de détenir le vrai, juste de sentir de quoi il est question en l'occurence et de donner des clefs qui ont pu nous être utiles à nous-mêmes ou nous sembler pertinentes de là où on se trouve.
Invité- Invité
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
Je relance ce sujet, parce que je voudrais vous parler d'un truc à cheval sur ce fil et celui là : https://www.zebrascrossing.net/t4900-avoir-l-air-hautain-et-meprisant , et je ne sais pas trop s'il faut que je crée un nouveau sujet...?
Je l'aurais appelé : "avoir toujours raison ?"
Quand on bavarde avec mon copain (surement un zèbre, mais il n'a pas réagi un poil à la lecture de JSF...), qu'on entre dans des petits débats plus ou moins absurdes, c'est toujours moi qui ai le mot de la fin.
Quand on parle plus sérieusement, de nos vécus, tout ça, j''ai la pénible impression qu'il est "en retard" par rapport à moi, c'est à dire qu'il se confronte aujourd'hui à des choses que j'ai déjà vécues et réglées il y a longtemps ;
En fait, à chaque fois qu'on parle, j'ai l'impression d'avoir toujours raison ; d'avoir la réponse ; de montrer la voie ; d'être devant.
C'est très désagréable, dans une relation, d'être devant. Surtout qu'il n'a pas vraiment confiance en lui ; j'ai l'impression qu'il me suit, me court après. Moi je voudrais quelqu'un à côté, au même rythme que moi. Qui parfois passe devant pour prendre le relais.
Mais le pire, c'est que ça c'est installé comme une mauvaise habitude entre nous, que j'aie raison.
Je ne me remets plus vraiment en question. Plus spontanément en tous cas.
Par exemple l'autre soir, il cherchait à organiser un WE à deux en Italie. J'étais naze du boulot, comme souvent. Je suis montée lire dans mon lit. Comme l'avion était trop cher, je lui ai glissé l'idée de chercher dans un rayon de 2h de train autour de Nice, et je me suis replongée au calme dans mon livre.
Il est repassé dans la chambre me dire un truc, que je n'ai pas entendu.
Je lui ai demandé de répéter, et il a pris la mouche : (ton cynique) "c'est pas comme si c'était important, hein." Vexé comme un pou il a refusé de me répéter sa phrase, pourtant j'ai insisté. Il m'a balancé méchamment que "visiblement, son idée ne m’intéressait pas", et il a boudé toute la nuit.
Je lui ai pourtant expliqué que je n'avais vraiment pas entendu sa phrase, et qu'à 20 min de m'endormir je n'avais pas forcément envie de redescendre du lit (mezzanine) allumer l'ordi et chercher des villes accessibles en train depuis Nice après une journée pareille, mais que s'il avait envie de se vexer quand même, qu'il se fasse plaisir. (oui bon je ne suis pas très diplomate, mais au moins je dis les choses ^^)
Après coup, j'y ai réfléchi, et c'est vrai que je n'ai pas montré beaucoup d'enthousiasme. Pourtant ça me botte, Naples, c'est superbe !
Longues journées au collège, tout ça. Lui chez moi depuis 5 mois et j'ai une furieuse envie et hâte qu'il se trouve un appart pour avoir un peu de solitude.
Ca a pas aidé à montrer que ça me plaisait malgré tout.
Dans ma tête à ce moment là, c'était lui se vexait pour rien, qui prenait les choses personnellement alors que mes petits m'avaient vraiment profondément soulés toute la journée, qui ne comprenait pas mon besoin de calme et ma non envie de penser à ce voyage ce soir là.
J'avais raison, j'avais compris comment il fonctionnait, ça n'était ni très légitime ni très honnête comme agissement de sa part.
Pas une seconde je me suis dit qu'il fallait peut être que j'y mettre du mien. Je ne suis pas dit que c'était peut être moi qui me vexait parce que... parce que... non je ne sais pas, je n'étais pas vexée! (ça ne m'aide pas à me remettre en cause d'ailleurs)
Je n'ai pas remis en question mon analyse. Toujours raison.
Pourtant je n'aime pas être devant et m'"imposer", mais à force que les autres soient derrière ça s'est imposé dans mon caractère contre mon gré.
Je me suis lassée de devoir être pédagogue avec les adultes. De jouer les psys de mes copains successifs. Ca n'est ni pour me mettre en avant ni pour me faire plaisir, mais ceux avec qui je suis restée longtemps ont beaucoup avancé "grâce" à moi, parce que je mettais le doigt à chaque fois sur leurs dysfonctionnements profonds, et les faisait réfléchir.
Je sais que quand on fait partie des fameux "trois pour mille" on a peu de chance de rencontrer un "égal"... mais il doit bien exister des parades ? des subterfuges?
Des moyens de déverser toute cette frustration, voire de ne pas l'emmagasiner?
Vous en pensez quoi, vous? vous avez aussi tout le temps raison? J'ai eu raison ou tort? ... Je suis un peu perdue (et quand on est devant, faut réussir à faire croire que l'on sait où on va, pas facile... ^^)
Je l'aurais appelé : "avoir toujours raison ?"
Quand on bavarde avec mon copain (surement un zèbre, mais il n'a pas réagi un poil à la lecture de JSF...), qu'on entre dans des petits débats plus ou moins absurdes, c'est toujours moi qui ai le mot de la fin.
Quand on parle plus sérieusement, de nos vécus, tout ça, j''ai la pénible impression qu'il est "en retard" par rapport à moi, c'est à dire qu'il se confronte aujourd'hui à des choses que j'ai déjà vécues et réglées il y a longtemps ;
En fait, à chaque fois qu'on parle, j'ai l'impression d'avoir toujours raison ; d'avoir la réponse ; de montrer la voie ; d'être devant.
C'est très désagréable, dans une relation, d'être devant. Surtout qu'il n'a pas vraiment confiance en lui ; j'ai l'impression qu'il me suit, me court après. Moi je voudrais quelqu'un à côté, au même rythme que moi. Qui parfois passe devant pour prendre le relais.
Mais le pire, c'est que ça c'est installé comme une mauvaise habitude entre nous, que j'aie raison.
Je ne me remets plus vraiment en question. Plus spontanément en tous cas.
Par exemple l'autre soir, il cherchait à organiser un WE à deux en Italie. J'étais naze du boulot, comme souvent. Je suis montée lire dans mon lit. Comme l'avion était trop cher, je lui ai glissé l'idée de chercher dans un rayon de 2h de train autour de Nice, et je me suis replongée au calme dans mon livre.
Il est repassé dans la chambre me dire un truc, que je n'ai pas entendu.
Je lui ai demandé de répéter, et il a pris la mouche : (ton cynique) "c'est pas comme si c'était important, hein." Vexé comme un pou il a refusé de me répéter sa phrase, pourtant j'ai insisté. Il m'a balancé méchamment que "visiblement, son idée ne m’intéressait pas", et il a boudé toute la nuit.
Je lui ai pourtant expliqué que je n'avais vraiment pas entendu sa phrase, et qu'à 20 min de m'endormir je n'avais pas forcément envie de redescendre du lit (mezzanine) allumer l'ordi et chercher des villes accessibles en train depuis Nice après une journée pareille, mais que s'il avait envie de se vexer quand même, qu'il se fasse plaisir. (oui bon je ne suis pas très diplomate, mais au moins je dis les choses ^^)
Après coup, j'y ai réfléchi, et c'est vrai que je n'ai pas montré beaucoup d'enthousiasme. Pourtant ça me botte, Naples, c'est superbe !
Longues journées au collège, tout ça. Lui chez moi depuis 5 mois et j'ai une furieuse envie et hâte qu'il se trouve un appart pour avoir un peu de solitude.
Ca a pas aidé à montrer que ça me plaisait malgré tout.
Dans ma tête à ce moment là, c'était lui se vexait pour rien, qui prenait les choses personnellement alors que mes petits m'avaient vraiment profondément soulés toute la journée, qui ne comprenait pas mon besoin de calme et ma non envie de penser à ce voyage ce soir là.
J'avais raison, j'avais compris comment il fonctionnait, ça n'était ni très légitime ni très honnête comme agissement de sa part.
Pas une seconde je me suis dit qu'il fallait peut être que j'y mettre du mien. Je ne suis pas dit que c'était peut être moi qui me vexait parce que... parce que... non je ne sais pas, je n'étais pas vexée! (ça ne m'aide pas à me remettre en cause d'ailleurs)
Je n'ai pas remis en question mon analyse. Toujours raison.
Pourtant je n'aime pas être devant et m'"imposer", mais à force que les autres soient derrière ça s'est imposé dans mon caractère contre mon gré.
Je me suis lassée de devoir être pédagogue avec les adultes. De jouer les psys de mes copains successifs. Ca n'est ni pour me mettre en avant ni pour me faire plaisir, mais ceux avec qui je suis restée longtemps ont beaucoup avancé "grâce" à moi, parce que je mettais le doigt à chaque fois sur leurs dysfonctionnements profonds, et les faisait réfléchir.
Je sais que quand on fait partie des fameux "trois pour mille" on a peu de chance de rencontrer un "égal"... mais il doit bien exister des parades ? des subterfuges?
Des moyens de déverser toute cette frustration, voire de ne pas l'emmagasiner?
Vous en pensez quoi, vous? vous avez aussi tout le temps raison? J'ai eu raison ou tort? ... Je suis un peu perdue (et quand on est devant, faut réussir à faire croire que l'on sait où on va, pas facile... ^^)
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
La réaction démesurée vient peut-être de ce que lui complexe, s'il n'a pas confiance en lui et que par dessus tout ça tu as toujours raison. Il ne se sent sans doute pas très écouté (voire estimé ?), or il doit vouloir lui aussi une relation d'égal à égale, je suppose.ln_3 a écrit:
Mais le pire, c'est que ça c'est installé comme une mauvaise habitude entre nous, que j'aie raison.
Je ne me remets plus vraiment en question. Plus spontanément en tous cas.
[...]
Je lui ai demandé de répéter, et il a pris la mouche : (ton cynique) "c'est pas comme si c'était important, hein." Vexé comme un pou il a refusé de me répéter sa phrase, pourtant j'ai insisté. Il m'a balancé méchamment que "visiblement, son idée ne m’intéressait pas", et il a boudé toute la nuit.
Il y a certainement une solution à ce malaise que tu ressens...sans changer de compagnon pour autant
C'est ma piste de psy de comptoir du jour, j'espère que ça n'est pas trop bateau comme point de vue
Invité- Invité
Re: Comment ne pas devenir un "Môssieur-je-sais-tout" ?
Avoir toujours raison...
Ouais t'as bien fait de poster là ! Je me reconnais pas mal dans cette phrase. Ce qui me soûle parfois dans ma famille, ou même chez mes amis du quotidien, c'est qu'ils ne m'apprennent jamais rien. Ma mère avec qui j'ai vécu toute cette année, je fini ses phrases avant qu'elle ne les ai terminée. Parfois je ne peu pas m'empêcher, histoire de faire avancer plus vite la conversation, pour aller directement au détail qui va m'intéresser. Ou bien je répond à la question avant qu'elle ne soit finie. J'ai un frère d'un an et demi de plus que moi et j'ai remarqué à quelques reprises que quand il réalise des découvertes du genre développement personnel, mode de pensée alternatif, spiritualité, dans des trucs assez poussés donc... j'ai à peu près toujours déjà abordé le sujet dans mes lectures et mes pensées. Comme si il finissait par me rejoindre.
Des fois, dans des conversations dans un groupe d'amis, j'ai l'impression que c'est inutile que je prenne la parole tellement j'ai déjà assez pensé au sujet, et tellement ils n'en restent qu'aux banalités d'introduction... (mais bon c'est pas tout le temps non plus hein jsuis pas dieu héhé)
Hélène de Troie, pour ton exemple, je sais pas trop quoi te dire, car je ne vois pas trop la relation entre avoir raison ou tort et cette dispute à propos du fait que tu n'ai pas assez montré d'entrain. Tu as eu raison d'aller te reposer quand tu étais fatiguée, tu as eu tort de ne pas assez communiquer et lui prouver ton intérêt !
Ouais t'as bien fait de poster là ! Je me reconnais pas mal dans cette phrase. Ce qui me soûle parfois dans ma famille, ou même chez mes amis du quotidien, c'est qu'ils ne m'apprennent jamais rien. Ma mère avec qui j'ai vécu toute cette année, je fini ses phrases avant qu'elle ne les ai terminée. Parfois je ne peu pas m'empêcher, histoire de faire avancer plus vite la conversation, pour aller directement au détail qui va m'intéresser. Ou bien je répond à la question avant qu'elle ne soit finie. J'ai un frère d'un an et demi de plus que moi et j'ai remarqué à quelques reprises que quand il réalise des découvertes du genre développement personnel, mode de pensée alternatif, spiritualité, dans des trucs assez poussés donc... j'ai à peu près toujours déjà abordé le sujet dans mes lectures et mes pensées. Comme si il finissait par me rejoindre.
Des fois, dans des conversations dans un groupe d'amis, j'ai l'impression que c'est inutile que je prenne la parole tellement j'ai déjà assez pensé au sujet, et tellement ils n'en restent qu'aux banalités d'introduction... (mais bon c'est pas tout le temps non plus hein jsuis pas dieu héhé)
Hélène de Troie, pour ton exemple, je sais pas trop quoi te dire, car je ne vois pas trop la relation entre avoir raison ou tort et cette dispute à propos du fait que tu n'ai pas assez montré d'entrain. Tu as eu raison d'aller te reposer quand tu étais fatiguée, tu as eu tort de ne pas assez communiquer et lui prouver ton intérêt !
Thaïti Bob- Messages : 1850
Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 37
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