J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
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J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
Je suis pétrie d'angoisse à l'idée d'entamer cette présentation. C'est toujours un exercice qui m'a semblé périlleux, propice aux malentendus ou aux préjugés. D'habitude, j'aurais pris soin de lire pendant des heures les précédents topics de présentation histoire de capter l'atmosphère, le style...bref les éléments nécessaires à une bonne intégration mais aujourd'hui non...ici je ne vais pas biaiser et prendre le risque.
Vous connaissez certainement la chanson: on vit avec cette drôle d'idée selon laquelle il y aurait un défaut de fabrication à l'origine de cet incessant sentiment d'étrangeté. Pour ma part, je me suis vécue comme une gentille idiote au mode de fonctionnement anarchique. Il y a encore quelques mois, j'observais attentivement les gens qui m'entourent, profondément angoissée de les voir traverser la vie sans ces turbulences émotionnelles qui m'assaillent sans cesse, cette révolte face à l'illogisme du raisonnement commun. Je les sentais imperméables à tout ces petits riens qui me déroutent dès que j'entre dans une pièce... J'ai été généreusement qualifiée de marginale, originale, atypique, hypersensible,idéaliste, mais toujours avec cette pointe de désolation pour mon triste sort de faiblarde incapable de mettre correctement un pied devant l'autre.
J'ai joué la cancre pendant longtemps. Par peur : " si jamais je me donne les moyens de réussir et que j'échoue, alors cela voudra dire que je suis réellement stupide". Mais derrière cette façade de ravissante idiote, toujours la surprise de découvrir une lucidité extrême sur moi même et le monde qui m'entoure: "tu es plus structurée que je ne le pensais!" A qui le dis tu....
Puis les études supérieures. L'étude de la littérature, le grand bonheur enfin! Se lever pour apprendre, comprendre. J'ai trouvé dans les livres ce que je cherchais: le partage d'une vision subjective du monde, l'amour du mot juste et fort, celui qui n'aurait pas pu être à une autre place que la sienne, une invitation au dialogue, à l'interprétation. J'ai achevé mes études avec brio, j'ose le dire, mais au fond de moi rôdait l'angoisse d'avoir été un imposteur. J'avais travaillé dur, certes, mais avoir de si bons résultats...moi... ce n'était pas normal.
Fin des études. La dépression. Peur de tout. 2 ans. A chaque entretien d'embauche, chaque boulot, je décortiquais l'attitude générale, détectais les failles mais aussi recevais en pleine face les regards de travers, la méchanceté face à ma bizarrerie que je n'arrivais pas moi même à identifier. Puis un jour je franchis la porte d'une association pour élèves en difficultés. Je deviens prof pour ces enfants pas comme les autres: des précoces, des autistes, des hyperactifs. Je m'investis à fond, je découvre le bonheur de donner et recevoir. Je comprends ces jeunes perdus, leurs questionnements, leurs angoisses. Mais pas de "et si c'était aussi moi?". Au bout de deux ans je suis partie face à une boss manipulatrice qui abusait de ma gentillesse pour un salaire misérable. Je vous passerai les détails mais ça allait loin.
Et me voici aujourd'hui. 2 mois que je recherche un emploi. J'avais envie de faire une pause, de me consacrer à l'écriture alors je cherchais un boulot alimentaire dans l'éducation nationale du type pionne. On m'a finalement proposé un job hier... et j'ai refusé. J'avais trop l'impression qu'on m'attendait au tournant. Comment vous dire...j'avais la sensation que mon futur employeur pensait: "Tu vas voir, je vais te faire rentrer dans le rang moi!" Comme une sorte de vengeance sourde. Je suis sûre de ne pas m'être trompée mais comment avancer convenablement en se sentant perpétuellement inadaptée?
Accablée, j'ai fini dans une librairie...lieu de réconfort. Sur les rayons le livre de JSF. Je feuillette, longtemps , j'achète, je rentre, je lis, je n'ose pas me le dire... Je trouve ce forum, j'ère sur la toile quelques heures et je vois se dessiner sous le prisme des rayures quelque chose qui ressemble fortement à ce que je suis, ou plutôt ce que je ressens être pour l'instant. Je vais me renseigner pour passer le test. Celui qui me permettra de répondre à la grande question qui me bouffe la vie: y'a t'il une raison valable à mes doutes et mes souffrances ou suis-je simplement faible?
Sous le pavé, le grain de sable. Merci de m'avoir lu et à bientôt.
Vous connaissez certainement la chanson: on vit avec cette drôle d'idée selon laquelle il y aurait un défaut de fabrication à l'origine de cet incessant sentiment d'étrangeté. Pour ma part, je me suis vécue comme une gentille idiote au mode de fonctionnement anarchique. Il y a encore quelques mois, j'observais attentivement les gens qui m'entourent, profondément angoissée de les voir traverser la vie sans ces turbulences émotionnelles qui m'assaillent sans cesse, cette révolte face à l'illogisme du raisonnement commun. Je les sentais imperméables à tout ces petits riens qui me déroutent dès que j'entre dans une pièce... J'ai été généreusement qualifiée de marginale, originale, atypique, hypersensible,idéaliste, mais toujours avec cette pointe de désolation pour mon triste sort de faiblarde incapable de mettre correctement un pied devant l'autre.
J'ai joué la cancre pendant longtemps. Par peur : " si jamais je me donne les moyens de réussir et que j'échoue, alors cela voudra dire que je suis réellement stupide". Mais derrière cette façade de ravissante idiote, toujours la surprise de découvrir une lucidité extrême sur moi même et le monde qui m'entoure: "tu es plus structurée que je ne le pensais!" A qui le dis tu....
Puis les études supérieures. L'étude de la littérature, le grand bonheur enfin! Se lever pour apprendre, comprendre. J'ai trouvé dans les livres ce que je cherchais: le partage d'une vision subjective du monde, l'amour du mot juste et fort, celui qui n'aurait pas pu être à une autre place que la sienne, une invitation au dialogue, à l'interprétation. J'ai achevé mes études avec brio, j'ose le dire, mais au fond de moi rôdait l'angoisse d'avoir été un imposteur. J'avais travaillé dur, certes, mais avoir de si bons résultats...moi... ce n'était pas normal.
Fin des études. La dépression. Peur de tout. 2 ans. A chaque entretien d'embauche, chaque boulot, je décortiquais l'attitude générale, détectais les failles mais aussi recevais en pleine face les regards de travers, la méchanceté face à ma bizarrerie que je n'arrivais pas moi même à identifier. Puis un jour je franchis la porte d'une association pour élèves en difficultés. Je deviens prof pour ces enfants pas comme les autres: des précoces, des autistes, des hyperactifs. Je m'investis à fond, je découvre le bonheur de donner et recevoir. Je comprends ces jeunes perdus, leurs questionnements, leurs angoisses. Mais pas de "et si c'était aussi moi?". Au bout de deux ans je suis partie face à une boss manipulatrice qui abusait de ma gentillesse pour un salaire misérable. Je vous passerai les détails mais ça allait loin.
Et me voici aujourd'hui. 2 mois que je recherche un emploi. J'avais envie de faire une pause, de me consacrer à l'écriture alors je cherchais un boulot alimentaire dans l'éducation nationale du type pionne. On m'a finalement proposé un job hier... et j'ai refusé. J'avais trop l'impression qu'on m'attendait au tournant. Comment vous dire...j'avais la sensation que mon futur employeur pensait: "Tu vas voir, je vais te faire rentrer dans le rang moi!" Comme une sorte de vengeance sourde. Je suis sûre de ne pas m'être trompée mais comment avancer convenablement en se sentant perpétuellement inadaptée?
Accablée, j'ai fini dans une librairie...lieu de réconfort. Sur les rayons le livre de JSF. Je feuillette, longtemps , j'achète, je rentre, je lis, je n'ose pas me le dire... Je trouve ce forum, j'ère sur la toile quelques heures et je vois se dessiner sous le prisme des rayures quelque chose qui ressemble fortement à ce que je suis, ou plutôt ce que je ressens être pour l'instant. Je vais me renseigner pour passer le test. Celui qui me permettra de répondre à la grande question qui me bouffe la vie: y'a t'il une raison valable à mes doutes et mes souffrances ou suis-je simplement faible?
Sous le pavé, le grain de sable. Merci de m'avoir lu et à bientôt.
Aimule- Messages : 14
Date d'inscription : 22/09/2012
Age : 40
Localisation : Bordeaux
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
Drôle d'émulation.Je deviens prof pour ces enfants pas comme les autres: des précoces, des autistes, des hyperactifs.
Bonjour. Tu tombes bien j'ai un fils autiste et hyperactif et ma fille et moi sommes surdoués ! J'espère donc pouvoir profiter de quelques lumières dans ces domaines, tant il est vrai que quand on a le nez sur un problème, on n'y voit que pouic..
Tu aurais pu être ma maitresse, il y a longtemps (et donc ma proie, mais bon).
Je te souhaite la bienvenue dans cette animalerie enfiévrée.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
Bienvenue Aimule (de la part d'une fraîchement débarquée en ces lieux).
Ton vécu fait (en partie) écho au mien en ce sens que j'ai travaillé avec des personnes sans domicile fixe, et c'est avec la plupart d'entre-elles que pour la première fois je me suis ressentie comme étant enfin "à la maison".
Au plaisir de te lire très bientôt.
Et comment !Aimule a écrit:Vous connaissez certainement la chanson: on vit avec cette drôle d'idée selon laquelle il y aurait un défaut de fabrication à l'origine de cet incessant sentiment d'étrangeté.
Il semble que tu avais trouvé des membres de ta famille...Aimule a écrit:Je deviens prof pour ces enfants pas comme les autres: des précoces, des autistes, des hyperactifs. Je m'investis à fond, je découvre le bonheur de donner et recevoir. Je comprends ces jeunes perdus, leurs questionnements, leurs angoisses.
Ton vécu fait (en partie) écho au mien en ce sens que j'ai travaillé avec des personnes sans domicile fixe, et c'est avec la plupart d'entre-elles que pour la première fois je me suis ressentie comme étant enfin "à la maison".
Au plaisir de te lire très bientôt.
Invité- Invité
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
Bienvenue, Aimule!
Dommage que tu n'aies pas pu continuer ton précédent travail - j'ai l'impression qu'il te plaisait beaucoup et qu'en plus, des profs à rayures pour des enfants précoces, c'est franchement l'idéal.
Après, tes interrogations, ton sentiment d'étrangeté, je connais - j'espère que tu te sentiras plus à l'aise ici!
Dommage que tu n'aies pas pu continuer ton précédent travail - j'ai l'impression qu'il te plaisait beaucoup et qu'en plus, des profs à rayures pour des enfants précoces, c'est franchement l'idéal.
Après, tes interrogations, ton sentiment d'étrangeté, je connais - j'espère que tu te sentiras plus à l'aise ici!
fleur_bleue- Messages : 3764
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 41
Localisation : Paris
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
Merci de votre gentil accueil
Fata Morgana, en guise de lumière j'ai peur de n'apporter qu'un bien faible éclairage mais je serai ravie d'échanger avec toi.
Zebulon et fleur bleue, vous avez raison, j'aimais effectivement beaucoup ce travail, en dépit de ma patronne qui était une garce finie.
Lorsque ces jeunes arrivaient, ils avaient souvent les bras chargés de bagages remplis d'humiliations et de douleur. Catalogués comme fainéants, inadaptés, imbéciles...rongés par la peur de l'ennui ou celle de la mauvaise réponse.
Leur identité semblait fragmentée entre la honte de ne pas y arriver et la secrète conviction d'être capable du meilleur. C'est schizophrénique! Alors bien souvent ils manifestaient leur conflit intérieur par de l'insolence et une apparente nonchalance. Ils vous percent à jour d'un seul regard, vous testent de manière incessante. Ils mettent certainement mal à l'aise leurs professeurs mais personnellement j'ai adoré enseigner à leurs côtés. Je dis bien "à leurs côtés" car il s'agissait véritablement d'un accompagnement mutuel.
Lorsqu'on leur fait comprendre qu'il n'y a pas de mauvaise réponse lorsqu'on parle d'un livre, simplement des perceptions différentes, une variété infinie de sensibilités toutes aussi justifiables les unes que les autres alors, petit à petit, l'attrait pour le cours devient différent. Les esprits s'échauffent, on ose dire qu'on déteste ou qu'on adore, à tâtons pour commencer, histoire de voir comment le prof va réagir, puis en argumentant avec conviction sans se soucier d'autre chose que d'avancer dans sa réflexion, de partager avec les autres et surtout de rire! Parce que oui, on peut rire en apprenant sérieusement. Au fur et à mesure des jours, je m’effaçais pour les laisser s'exprimer librement. Il n'y avait pas besoin de sortir un cour ennuyeux à recopier mollement sur son cahier, les échanges endiablés aboutissaient toujours aux questions les plus fines et les plus pertinentes. Je les laissais mener le cour, intervenant simplement pour leur apporter de nouvelles pistes de réflexions, des indications nécessaires pour enrichir leurs analyses.
Mon meilleur souvenir reste la préparation au bac des 1ères. Ils avaient "Désert" de JMG Le Clézio à lire et le moins qu'on puisse dire est que la lecture ne leur plaisait pas du tout. Au lieu de transformer cette étude d'oeuvre en corvée, cela a été l'occasion de fous rires en pagaille. Leurs critiques étaient réellement désopilantes mais toujours très justes et je crois qu'ils prenaient un malin plaisir à s'attaquer à cette sacro-sainte littérature qu'on leur avait toujours présentée comme intouchable...
Ils ont fini par connaître cette oeuvre mieux que les autres!
Pardon je m'éloigne du sujet. Dans un sens je pourrais dire que je regrette de ne plus occuper ce poste mais malheureusement, derrière une formidable ambiance en classe se cachait une véritable exploitation de la part de ma patronne (j'ose à peine parler de ses dérives tellement c'est effroyable) sans compter que nos avis différaient considérablement sur la manière d'enseigner. En théorie nous étions d'accord, mais dans la pratique, elle aurait préféré en faire des petits singes savants lisses comme des galets. Elle ne les considérait que sous le prisme de sa gloire personnelle. Mais comment peut on décemment rassasier un zèbre en lui expliquant bêtement que "c'est comme ça qu'il faut faire un point c'est tout." ?
Fata Morgana, en guise de lumière j'ai peur de n'apporter qu'un bien faible éclairage mais je serai ravie d'échanger avec toi.
Zebulon et fleur bleue, vous avez raison, j'aimais effectivement beaucoup ce travail, en dépit de ma patronne qui était une garce finie.
Lorsque ces jeunes arrivaient, ils avaient souvent les bras chargés de bagages remplis d'humiliations et de douleur. Catalogués comme fainéants, inadaptés, imbéciles...rongés par la peur de l'ennui ou celle de la mauvaise réponse.
Leur identité semblait fragmentée entre la honte de ne pas y arriver et la secrète conviction d'être capable du meilleur. C'est schizophrénique! Alors bien souvent ils manifestaient leur conflit intérieur par de l'insolence et une apparente nonchalance. Ils vous percent à jour d'un seul regard, vous testent de manière incessante. Ils mettent certainement mal à l'aise leurs professeurs mais personnellement j'ai adoré enseigner à leurs côtés. Je dis bien "à leurs côtés" car il s'agissait véritablement d'un accompagnement mutuel.
Lorsqu'on leur fait comprendre qu'il n'y a pas de mauvaise réponse lorsqu'on parle d'un livre, simplement des perceptions différentes, une variété infinie de sensibilités toutes aussi justifiables les unes que les autres alors, petit à petit, l'attrait pour le cours devient différent. Les esprits s'échauffent, on ose dire qu'on déteste ou qu'on adore, à tâtons pour commencer, histoire de voir comment le prof va réagir, puis en argumentant avec conviction sans se soucier d'autre chose que d'avancer dans sa réflexion, de partager avec les autres et surtout de rire! Parce que oui, on peut rire en apprenant sérieusement. Au fur et à mesure des jours, je m’effaçais pour les laisser s'exprimer librement. Il n'y avait pas besoin de sortir un cour ennuyeux à recopier mollement sur son cahier, les échanges endiablés aboutissaient toujours aux questions les plus fines et les plus pertinentes. Je les laissais mener le cour, intervenant simplement pour leur apporter de nouvelles pistes de réflexions, des indications nécessaires pour enrichir leurs analyses.
Mon meilleur souvenir reste la préparation au bac des 1ères. Ils avaient "Désert" de JMG Le Clézio à lire et le moins qu'on puisse dire est que la lecture ne leur plaisait pas du tout. Au lieu de transformer cette étude d'oeuvre en corvée, cela a été l'occasion de fous rires en pagaille. Leurs critiques étaient réellement désopilantes mais toujours très justes et je crois qu'ils prenaient un malin plaisir à s'attaquer à cette sacro-sainte littérature qu'on leur avait toujours présentée comme intouchable...
Ils ont fini par connaître cette oeuvre mieux que les autres!
Pardon je m'éloigne du sujet. Dans un sens je pourrais dire que je regrette de ne plus occuper ce poste mais malheureusement, derrière une formidable ambiance en classe se cachait une véritable exploitation de la part de ma patronne (j'ose à peine parler de ses dérives tellement c'est effroyable) sans compter que nos avis différaient considérablement sur la manière d'enseigner. En théorie nous étions d'accord, mais dans la pratique, elle aurait préféré en faire des petits singes savants lisses comme des galets. Elle ne les considérait que sous le prisme de sa gloire personnelle. Mais comment peut on décemment rassasier un zèbre en lui expliquant bêtement que "c'est comme ça qu'il faut faire un point c'est tout." ?
Aimule- Messages : 14
Date d'inscription : 22/09/2012
Age : 40
Localisation : Bordeaux
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
Bienvenue
Je sens que j'aurais aimé être dans ta classe de littérature... (mais bon, à cette époque tu devais être tout juste née, si je compte bien )
Je sens que j'aurais aimé être dans ta classe de littérature... (mais bon, à cette époque tu devais être tout juste née, si je compte bien )
Mowa- Messages : 4392
Date d'inscription : 07/07/2012
Age : 56
Localisation : Suisse, la Côte
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
bienvenue à toi
je sens dejà qu on "risque" de sentendre
et je me reconnais ds tes difficultés a accepter un job alimentaire sans avoir l'air de courber l echine et tourner le dos a ce qu on est vraiment...
je sens dejà qu on "risque" de sentendre
et je me reconnais ds tes difficultés a accepter un job alimentaire sans avoir l'air de courber l echine et tourner le dos a ce qu on est vraiment...
Invité- Invité
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
.
Dernière édition par Dune le Lun 1 Oct 2012 - 20:56, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: J'ai vu des rayures alors je suis entrée...
Dune je suis tellement d'accord: " Les enfants et les ados sont vrais" au moins avec eux ça éclate avec force et fracas, je préfère cette manière frontale de tout se dire.
Je ne sais pas si j'y retournerais. La structure était vraiment spéciale, pas sûre qu'en j'en trouve une pareille à moins de la créer moi même un de ces 4 (et là on est sur un projet qui trotte dans ma tête)
Je ne sais pas si j'y retournerais. La structure était vraiment spéciale, pas sûre qu'en j'en trouve une pareille à moins de la créer moi même un de ces 4 (et là on est sur un projet qui trotte dans ma tête)
Aimule- Messages : 14
Date d'inscription : 22/09/2012
Age : 40
Localisation : Bordeaux
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