Zèbres littéraire ou Zèbres matheux

Littéraire et pourtant pendant ma scolarité j'en ai fait des efforts de compréhension pour les maths.. mais rien à faire! irrémédiablement nulle
Je me l'explique aujourd'hui par un trouble de l'attention ou bien une mémoire immédiate défaillante.

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J'aurais plutôt tendance à me considérer Littéraire, par mon attrait pour les livres, les langues, l'histoire et la psychologie.
Cependant il me semble qu'il s'agit plus d'une succession d'evenement liés au hasard qui m'ont poussé vers tout ce qui s'apparente de près ou de loin à la littérature, qu'une véritable vocation.
Honnêtement je pense que j'aurais pu etre à l'aise et intéressée par toutes les matières. Je trouve cela bien dommage qu'on nous pousse si tôt à choisir tel ou tel spécialité au lycée qui sera décisive dans la plupart des cas pour la suite de nos études.
J'aurais vraiment apprécié pouvoir integrer une filière plus générale... À partir du moment où l'on intègre une section L les maths, la Physique-Chimie et la SVT sont considérés comme secondaires. J'aurais aimé avoir la possibilité de développer les Sciences à un plus haut niveau de connaissance. J'espère pouvoir rattraper cela par la suite =)

Definitivement litteraire... par contre je deteste livre des livres de litterature, fictions, etc. J'adore tout ce qui est analyse de texte, structure linguistique, semiologie j'adore!!! la philo aussi meme si j'ai toujours eu des notes pourries ou en dents de scie car souvent hors sujet dans mes demonstration...
les maths, j'arrive pas à retrouver le gout que j'avais pour ca etant enfant avant le passage fatidique de la 5e lorsque dès lors, j'aarrivais pas à me conformer aux etapes de demonstrations qu'on nous a souvent imposees en classe, mais je kiffe calculer pour m'amuser des chiffres miroirs...

Je suis fondamentalement un littéraire tout en étant ingénieur civil (comprenne qui pourra). Je pense que c'est cela aussi la zébritude, elle permet le croisement des rayures blanches et noires.

J'ai suivi ce métier parce que j'avais des facilités en maths (j'en avais aussi en lettres, mais c'était sans doute un peu moins marqué) et parce que, au moment du choix des études je ne considérais pas l'enseignement. (Aujourd'hui, je me dis que j'aurais pu faire des choses intéressantes dans ce domaine et que cela m'aurait intéressé d'être prof de français ou de philo).

J'ai été un boulimique de lecture et pendant cette période je jettais complètement mon dévolu sur la littérature. Actuellement je lis nettement moins et j'ai un petit penchant (un boentje comme on dit ici) pour la philo.

Je considère que les maths restent une invention "intéressante" (comme les machines de Leonard de Vinci sont des inventions "intéressantes") mais que la vie déborde vraiment tout cela.

PS : Donc je n'ai pas voté.

Il y a deux ans, pas grand-chose. Plutôt littéraire.
Et en lisant le livre de JSF, j'ai réalisé tout ce que j'avais peu à peu abandonné, délaissé... Je m'y suis remise, puissance mille. J'avais "faim" depuis ce temps passé.
Et en m'y remettant, j'ai eu la surprise de sentir que que mes limites étaient "repoussables". Et de les franchir, une à une. Beaucoup de choses me stoppent, mais dès que j'en choisis une, avec la persévérance, je la franchis cette limite, si je m'y attelle.


Donc aujourd'hui ? Omnivore... Je ne peux plus m'imaginer sans toutes ces facettes à la fois. Sans être spécialisée quelque part, mais il me faut de tout, que ce soit en:
- exploration-découverte,
- création et expression libre
- pratique simple aussi, sans création mais manipuler sans arrêt.

Le souci étant de caser toutes ces "nourritures terrestres" dans la semaine, ou le mois, pour ne pas en manquer.
Ni en oublier. Sinon un vide et un manque se crée à cet endroit délaissé, et le jour où je m'y remets enfin, c'est comme de respirer de nouveau après avoir retenu son souffle trop longtemps.

Longue à comprendre les maths en enfance.
Puis déclic en fin de collège, sans non plus faire des merveilles, plus facile en ayant compris qu'il me fallait "faire le tour global par moi-même" en entier avant de pouvoir piger les concepts. Long mais efficace, et développant l'autonomie du coup.
Maintenant j'adore les maths pour jouer, pour les arts, leur beauté dans la nature etc... J'essaye de faire partager ce plaisir autour de moi, pour les dédramatiser et les rendre "abordables" ou appréciables, beaux.

Littéraire depuis l'enfance, mais j'ai donc sombré ensuite dans les études scientifiques, en passant aussi bien par de la bio que par de la physique et de la chimie.

Et puis accro aux arts: visuels, auditifs, cinématographiques... Voir, entendre et pratiquer lorsque cela est possible.

Accro aux sociétés et à leurs études, que ce soit les disparues, les anciennes, les modernes. Leur mode de fonctionnement. Leur histoire et évolution dans le temps, comprendre les mécanismes de changement.

réfléchir à notre existence: par les voies de la philo, ou spirituelles. Les contes oraux anciens, riches d'enseignements.

jouer, jouer, jouer... Jeux de stratégie divers, tactique...

les soins du corps qui sont à notre portée: tisanes, herbes guérisseuses et propriétés, éléments nutritionnels-vitamines et leurs fonctions, massages appris toute seule, massages shiatsu, et autres vertus comme la musique, le rythme du corps etc...

J'attaque un peu le sport, laissé pour compte jusqu'ici, et je ne regrette pas. C'est à découvrir même en ayant cru détester ça avant. Pas encore sportive je dirais quand même. Mais à force, là aussi je trouve ma façon de fonctionner pour tenir longtemps en course, accélérer quand j'en ai besoin. En arts martiaux c'était agréable de découvrir les méthodes et les réussir petit à petit.

bricolage manuels en tous genres: déco, origami, papiers, jardinage, cuisine, gravure sur verre, coudre... Mes mains doivent "faire" quelque chose, manipuler sans cesse, créer ou manier et sentir. Actuellement, je cherche où planter mon levier, quel style je veux me construire et en harmonie avec les êtres auprès de qui je vis. En gestation, mais lorsque cela aura éclos pour toucher juste ce qui leur plaît à tous sous ce toit commun que nous avons, alors ce sera non-stop. Pour faire "notre" Rivendale dans notre style.
Partouuuuuuuuuuuuuuuuuut: murs, meubles, vêtements, plafonds, bois, verre, dessins, plantations en cascades...



Si vous avez d'ailleurs un mur à donner, pour expression libre et créative, en vue de défoulement complet et intempestif, je prends.
Miam. Pas possible en location actuellement, snif.

EDIT: du coup, j'ai coché les trois options.

Comme je ne sais pas si je suis un zèbre, je ne sais pas si je peux poster ici, mais je le fais (qu'on me corrige sinon):

J'suis plutôt matheux, dans le sens où j'aime les maths, et résoudre des problèmes. Même si je n'aime plus trop la matière, à cause de la lenteur des cours (que je ressens plus qu'avant, parce que au collège les cours étaient aussi lents, mais j'avais 19 sans rien faire, alors c'était pas grave). Je m'intéresse aussi beaucoup à la physique et à l'informatique. Cependant, je suis aussi littéraire, j'adore la lecture, j'aime bien les jeux de mots (mais vous avez du vous ne rendre compte ) et j'ai pas une orthographe trop pourrie.

J'ai coché matheux ET littéraire (bonne idée d'avoir permis les réponses multiples).
Passé le bac, j'ai dû faire un choix pour mes études. J'ai opté pour une classe préparatoire scientifique, mais j'étais également admis en hypokagne (classe préparatoire littéraire), option lettres classiques (avec mes 5 ans de latin et de grec ancien).
J'ai toujours apprécié les maths, les jeux de logique et autres et je ne voulais pas y renoncer. Pour le côté littéraire, j'ai continué mes activités théâtrales, dont l'écriture des comédies que je jouais à l'époque avec mes camarades.
Merci à jmd d'avoir remonté ce sujet. Je n'étais pas remonté jusque-là.

Serdaber a écrit:Pour le côté littéraire, j'ai continué mes activités théâtrales, dont l'écriture des comédies que je jouais à l'époque avec mes camarades.

J'ai aussi suivi un cours d'art dramatique pendant six ou sept ans. J'aimerais d'ailleurs y revenir un des ces quatre en créant une petite troupe d'amateurs afin d'expérimenter différentes approches du travail du comédien (genre Stanislavski, Strasberg etc.).