A la recherche d'Atoum
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Re: A la recherche d'Atoum
Quand les deux parents se déchiraient et me déchiraient ... quand ma fiancée mourrait, quand chaque geste que je faisais pour moi se trouvait compromis ou dénié ... comment aurais-je pu croire qu'il fallait que je continue à penser à moi ?
J'ai donc essayé le contraire, penser aux autres ... et je suis retombé dans les mêmes effets ...
Je me demande comment j'ai pu faire pour rester ici-bas. Quelle est la force de ma résilience ...
J'ai donc essayé le contraire, penser aux autres ... et je suis retombé dans les mêmes effets ...
Je me demande comment j'ai pu faire pour rester ici-bas. Quelle est la force de ma résilience ...
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
"Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage"
Boileau
Plutôt que de se demander "qu'est-ce que l'autre attend ? de quoi a-t-il besoin ?", il convient de se demander "qu'est-ce que je souhaite pour moi ? de quoi ai-je besoin ?" puis "est-ce possible d'être en relation avec l'autre qui a aussi des attentes et des besoins, peut-être différents de moi ?"
C'est cela le respect de soi et de fait, le respect de l'autre.
Ce que tu écris, Basilice, est crucialement vrai. Mais pour être capable de l'appliquer, il faut un véritable apprentissage. Et cet apprentissage est une refondation de son propre être, quand ses propres fondations ont été laminées par les faits ou les gens.
Oui, on doit d'abord se préoccuper de soi, de ses besoins, de ses désirs, de ses forces et de ses faiblesses.
Alors il est important de le dire, le rappeler à chaque fois que possible. Mais c'est compliqué de changer son logiciel, d'upgrader son Bios, plus d'un y grille sa carte mère.
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage"
Boileau
Plutôt que de se demander "qu'est-ce que l'autre attend ? de quoi a-t-il besoin ?", il convient de se demander "qu'est-ce que je souhaite pour moi ? de quoi ai-je besoin ?" puis "est-ce possible d'être en relation avec l'autre qui a aussi des attentes et des besoins, peut-être différents de moi ?"
C'est cela le respect de soi et de fait, le respect de l'autre.
Ce que tu écris, Basilice, est crucialement vrai. Mais pour être capable de l'appliquer, il faut un véritable apprentissage. Et cet apprentissage est une refondation de son propre être, quand ses propres fondations ont été laminées par les faits ou les gens.
Oui, on doit d'abord se préoccuper de soi, de ses besoins, de ses désirs, de ses forces et de ses faiblesses.
Alors il est important de le dire, le rappeler à chaque fois que possible. Mais c'est compliqué de changer son logiciel, d'upgrader son Bios, plus d'un y grille sa carte mère.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Oui Ours
Salut au passage !
C'est ce que j'ai fait. J'ai reconnu les besoins de l'autre et les miens en partant. En constatant leur impossibilité à cohabiter, même si cela m'a fait souffrir. C'est énormément dur quand on sent un vertige en face, et c'est ce vertige qui m'a aussi appris vers quoi je devais orienter ma sauvegarde, donc les outils dont il était nécessaire que je me dote.
Mon instinct me disait de le faire, de partir, et j'avais du mal à le croire. Je l'ai cru enfin et cette refondation commence, cette recherche de mon moi.
Je ne sais pas si je vais la griller ma carte mère ^^. J'espère que non ! En partant, j'ai voulu néanmoins garder le respect de l'autre. Mais le respect n'est pas forcément compris quand il touche aux désirs de ce dernier ... qui ne prend pas en compte celui de son vis-à-vis.
Erreur des deux cotés. C'est tout ce que j'en retire, en plus de devoir augmenter mon autonomie, donc mon niveau d'égoïsme, une exigence dont je commence à comprendre l'importance.
Bises à tous
Salut au passage !
C'est ce que j'ai fait. J'ai reconnu les besoins de l'autre et les miens en partant. En constatant leur impossibilité à cohabiter, même si cela m'a fait souffrir. C'est énormément dur quand on sent un vertige en face, et c'est ce vertige qui m'a aussi appris vers quoi je devais orienter ma sauvegarde, donc les outils dont il était nécessaire que je me dote.
Mon instinct me disait de le faire, de partir, et j'avais du mal à le croire. Je l'ai cru enfin et cette refondation commence, cette recherche de mon moi.
Je ne sais pas si je vais la griller ma carte mère ^^. J'espère que non ! En partant, j'ai voulu néanmoins garder le respect de l'autre. Mais le respect n'est pas forcément compris quand il touche aux désirs de ce dernier ... qui ne prend pas en compte celui de son vis-à-vis.
Erreur des deux cotés. C'est tout ce que j'en retire, en plus de devoir augmenter mon autonomie, donc mon niveau d'égoïsme, une exigence dont je commence à comprendre l'importance.
Bises à tous
Dernière édition par Neme6 le Ven 28 Déc 2012 - 20:03, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
En plus de ça ... il me semble qu'il y a un niveau de tolérance, de "débattement", qui est différent chez chacun d'entre nous .
Et puis il y a l'altruisme. Où se place-t-il ? Jusqu’où peut-il aller - ou plutôt doit-il se placer - dans une civilisation du paraitre et du "Je veux pour moi" ?
Le "faire-fi" du devoir de transmission de l'expérience, du devoir d'assistance (que nos lois essayent de remettre à jour) n'est-il pas aussi pour partie cause de cette remontée obligatoire de l’égoïsme comme facteur de survie ?
Et puis il y a l'altruisme. Où se place-t-il ? Jusqu’où peut-il aller - ou plutôt doit-il se placer - dans une civilisation du paraitre et du "Je veux pour moi" ?
Le "faire-fi" du devoir de transmission de l'expérience, du devoir d'assistance (que nos lois essayent de remettre à jour) n'est-il pas aussi pour partie cause de cette remontée obligatoire de l’égoïsme comme facteur de survie ?
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Au risque d'être sommaire, je ne conçois l'altruisme que comme une sorte d’égoïsme indirect.
Je me satisfais en sacrifiant à l'image satisfaisante que je veux avoir de moi. Cela ne m’empêche pas de tenter de le pratiquer, ...... parce que cela me fait plaisir ! cqfd !
Prends soin de toi, pour que tu puisses prendre soin de nous
Je me satisfais en sacrifiant à l'image satisfaisante que je veux avoir de moi. Cela ne m’empêche pas de tenter de le pratiquer, ...... parce que cela me fait plaisir ! cqfd !
Prends soin de toi, pour que tu puisses prendre soin de nous
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
ours a écrit:Prends soin de toi, pour que tu puisses prendre soin de nous
Égoïsme indirect ça ... Alors c'est de l'altruisme ? Pourtant je croyais que l'altruisme était un don sans demande de retour ...
(Je te taquine !)
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Pour continuer sur la lancée du dernier post que j'ai posé sur le fil de Basilice, je me posais la question suivante : mais d'où vient donc le "coup de coeur", cette chose que l'on constate aussi bien en amitié qu'en amour ?
Les questions que Basilice posait ici, et sur lesquelles Ours renchérissait, sont-elles un préalable à ce contact ? Viennent-elles en permanence à l'esprit durant celui-ci ?
Est-ce que la confiance peut s'instaurer vraiment ainsi ? N'y a-t-il pas, au dessus d'un certain degré, une forme de nombrilisme qui se fait jour ?
Les questions que Basilice posait ici, et sur lesquelles Ours renchérissait, sont-elles un préalable à ce contact ? Viennent-elles en permanence à l'esprit durant celui-ci ?
Est-ce que la confiance peut s'instaurer vraiment ainsi ? N'y a-t-il pas, au dessus d'un certain degré, une forme de nombrilisme qui se fait jour ?
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Arf ... Je voulais envoyer des MP, et répondre à ceux que j'ai reçus, mais il me faut encore attendre quelques jours
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Aimee Mullins : La chance de l'adversité
http://www.ted.com/talks/lang/fr/aimee_mullins_the_opportunity_of_adversity.html
Barry Schwartz : La perte de notre sagesse
http://www.ted.com/talks/lang/fr/barry_schwartz_on_our_loss_of_wisdom.html
Jared Diamond : Pourquoi les sociétés s'effondrent-elles ?
http://www.ted.com/talks/lang/fr/jared_diamond_on_why_societies_collapse.html
http://www.ted.com/talks/lang/fr/aimee_mullins_the_opportunity_of_adversity.html
Barry Schwartz : La perte de notre sagesse
http://www.ted.com/talks/lang/fr/barry_schwartz_on_our_loss_of_wisdom.html
Jared Diamond : Pourquoi les sociétés s'effondrent-elles ?
http://www.ted.com/talks/lang/fr/jared_diamond_on_why_societies_collapse.html
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Il me fait chagrin d'employer un substantif à la place d'un autre. De devoir en permanence remodeler presque faussement ce verbe que l'on nomme parole ou écrit. Ainsi, et pour pouvoir céans me faire comprendre, je suis parfois soumis à l'emploi d'autres termes que ceux dont l'adéquation à la justesse que j'aimerais y voir figurer nécessiteraient.
Notre langue est richesse. Je ne la conçois pas comme un jeu. Et je comprends aisément qu'une des déviances utilisées ici est de, justement, jouer malicieusement sur l'écart pour y introduire une pique, une moquerie, un dérivatif qui parfois frise à l'obfuscation de la réalité, et cela de manière complètement délibérée.
Notre langue est richesse. Je ne la conçois pas comme un jeu. Et je comprends aisément qu'une des déviances utilisées ici est de, justement, jouer malicieusement sur l'écart pour y introduire une pique, une moquerie, un dérivatif qui parfois frise à l'obfuscation de la réalité, et cela de manière complètement délibérée.
Dernière édition par Neme6 le Ven 28 Déc 2012 - 17:48, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Merci.Neme6 a écrit:.../...conferences TED
Voila de quoi occuper ma Saint Sylvestre
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
L'empathie
(du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion complexe désignant le mécanisme par lequel un individu (un animal dans le domaine de l'éthologie) peut « comprendre » les sentiments et les émotions d'un autre individu voire, dans un sens plus général, ses états mentaux non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d'« empathie cognitive »).
Sympathie
Le mot est dérivé de la langue grecque συμπάθεια (sympatheia)1, du σύν (sýn) qui signifie ensemble et de πάθος (pathos) passion, en l'occurrence la souffrance (de πάσχω - pascho, « être affecté par, à souffrir »), d'où le sens original de « compassion » ou « condoléance » que le mot à encore de nos jours en anglais par exemple.
L'idée de sympathie est celle de participation, lien, concordance, communication. D'où différents sens, selon qu'on parle de la sympathie entre choses ou de la sympathie entre personnes. Comme le marque le Larousse : "Sympathie. 1) Faculté de participer aux peines et aux joies des autres. 2) Sentiment instinctif d'attraction à l'égard de quelqu'un. 3) Rapport de concordance de certaines choses entre elles." Sympathie psychologique, sympathie morale et sociale, sympathie universelle (cosmique).
Compassion
La compassion (du latin : cum patior, « je souffre avec » et du grec συμ πἀθεια , sym patheia, sympathie) est une vertu - par laquelle un individu est porté à percevoir ou ressentir la souffrance d'autrui, et poussé à y remédier.
La contagion émotionnelle ou contagion affective
C'est le transfert des émotions d'une personne émettrice vers une personne réceptrice. Elle doit être distinguée de la sympathie et de l'empathie.
Différents facteurs influent sur l'intensité de celle-ci, dont principalement :
(du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion complexe désignant le mécanisme par lequel un individu (un animal dans le domaine de l'éthologie) peut « comprendre » les sentiments et les émotions d'un autre individu voire, dans un sens plus général, ses états mentaux non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d'« empathie cognitive »).
Sympathie
Le mot est dérivé de la langue grecque συμπάθεια (sympatheia)1, du σύν (sýn) qui signifie ensemble et de πάθος (pathos) passion, en l'occurrence la souffrance (de πάσχω - pascho, « être affecté par, à souffrir »), d'où le sens original de « compassion » ou « condoléance » que le mot à encore de nos jours en anglais par exemple.
L'idée de sympathie est celle de participation, lien, concordance, communication. D'où différents sens, selon qu'on parle de la sympathie entre choses ou de la sympathie entre personnes. Comme le marque le Larousse : "Sympathie. 1) Faculté de participer aux peines et aux joies des autres. 2) Sentiment instinctif d'attraction à l'égard de quelqu'un. 3) Rapport de concordance de certaines choses entre elles." Sympathie psychologique, sympathie morale et sociale, sympathie universelle (cosmique).
Compassion
La compassion (du latin : cum patior, « je souffre avec » et du grec συμ πἀθεια , sym patheia, sympathie) est une vertu - par laquelle un individu est porté à percevoir ou ressentir la souffrance d'autrui, et poussé à y remédier.
La contagion émotionnelle ou contagion affective
C'est le transfert des émotions d'une personne émettrice vers une personne réceptrice. Elle doit être distinguée de la sympathie et de l'empathie.
Différents facteurs influent sur l'intensité de celle-ci, dont principalement :
- L'intensité avec laquelle les émotions sont exprimées ;
- l'attention et l'importance accordés par le récepteur.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Petit, message de début de soirée pour toi, ce nouvel ami, qui par ses écrits, me fait évoluer, en parallèle....
Biz
Biz
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: A la recherche d'Atoum
hello Lemniscate
Comment vas-tu ? As-tu passé une bonne journée ?
Heureux que ce que je pose ici te serve. Ma recherche est "éternelle", aussi bien en moi qu'en dehors de moi. Alors autant que cela profite au plus grand nombre, ne crois-tu pas ?
Comment vas-tu ? As-tu passé une bonne journée ?
Heureux que ce que je pose ici te serve. Ma recherche est "éternelle", aussi bien en moi qu'en dehors de moi. Alors autant que cela profite au plus grand nombre, ne crois-tu pas ?
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Oui, tout à fait, c'est ce que l'on nomme le Partage...
Ma journée c'est bien passée, j'ai assisté au remariage de mon paternel... revu ma mini famille..... et bien mangé...
Et toi comment te sens tu en ce début de soirée ?
Ma journée c'est bien passée, j'ai assisté au remariage de mon paternel... revu ma mini famille..... et bien mangé...
Et toi comment te sens tu en ce début de soirée ?
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
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Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Super
Vraiment super ! Je suis avec des potes et on se marre !
Bises, j'y retourne !
Vraiment super ! Je suis avec des potes et on se marre !
Bises, j'y retourne !
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Bonnes rigolades...
Bises...
Bises...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
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Re: A la recherche d'Atoum
Je m'éclaaaate !!
Dernière édition par Neme6 le Sam 29 Déc 2012 - 9:52, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
A propos d'empathie, pour ceux qui ne connaissent pas, un ensemble de 6 émission de JC AMEISEN sur l'empathie ("Sur les épaules de Darwin", les samedis de 11 à 12). Voici le lien de la première:
http://www.franceinter.fr/emission-sur-les-epaules-de-darwin-le-lien-qui-nous-rattache-aux-autres
Dans l'une il parle notamment des neurones miroirs, qui seraient défectueux chez la personne autiste m'a-t-on appris par ailleurs (l'autiste a un défaut d'empathie).
Merci à Neme6 pour la très intéressante "leçon" de vocabulaire (pour moi ça en est une, sans aucune gêne, et un rappel à la nécessaire précision que me semble-t-il je tends à oublier).
http://www.franceinter.fr/emission-sur-les-epaules-de-darwin-le-lien-qui-nous-rattache-aux-autres
Dans l'une il parle notamment des neurones miroirs, qui seraient défectueux chez la personne autiste m'a-t-on appris par ailleurs (l'autiste a un défaut d'empathie).
Merci à Neme6 pour la très intéressante "leçon" de vocabulaire (pour moi ça en est une, sans aucune gêne, et un rappel à la nécessaire précision que me semble-t-il je tends à oublier).
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Localisation : 30
Re: A la recherche d'Atoum
The Antiquity of Empathy (article du journal Science, 15 juin 2012, auteur : Frans B. M. de Waal)
The view of humans as violent war-prone apes is poorly supported by archaeological evidence and only partly supported by the behavior of our closest primate relatives, chimpanzees and bonobos. Whereas the first species is marked by xenophobia, the second is relatively peaceful and highly empathic in both behavior and brain organization. Animal empathy is best regarded as a multilayered phenomenon, built around motor mirroring and shared neural representations at basal levels, that develops into more advanced cognitive perspective-taking in large-brained species. As indicated by both observational and experimental studies on our closest relatives, empathy may be the main motivator of prosocial behavior.
After the devastations of World War II, humans were routinely depicted as “killer apes”—in contrast to the real apes, which were regarded as pacifists. Books by Konrad Lorenz, the Austrian ethologist, and Robert Ardrey, an American journalist, contributed to the idea that a hallmark of humanity is aggression. Until well into the 1980s, this remained the dominant theme of biological approaches to human behavior. This literature is now recognized as one-sided because it overlooked our species' capacity for cooperation, empathy, and prosocial behavior.
Species-typical tendencies normally come with built-in rewards. Nature has ensured that we find fulfillment in eating, sex, nursing, and socializing, all of which are necessary for survival and reproduction. If there were truly a genetic basis to our participation in lethal combat, we should willingly engage in it. Yet soldiers report a deep revulsion to killing and shoot at the enemy only under pressure. After these experiences, they often end up with substantial psychological damage. Far from being a recent phenomenon, hauntingmemories of combat were already known to the ancient Greeks, such as Sophocles, who described Ajax's “divine madness,” now known as posttraumatic stress disorder (PTSD).
Even though evidence for individual murder goes back hundreds of thousands of years, comparable signs of warfare (such as graveyards with weapons embedded in a large number of skeletons) are lacking from before the Agricultural Revolution [about 12,000 years ago]. This is not to imply that war was absent before then, but it does mean that the common assumption that our ancestors waged perpetual wars and knew peace only at “precarious interludes” (as Winston Churchill surmised) lacks solid archaeological backing. During most of our prehistory, we were nomadic huntergatherers, whose cultures are nowadays not particularly known for warfare. They do occasionally raid, ambush, and kill their neighbors, butmore often trade with them, intermarry, and permit travel through their territories.Hunter-gatherers illustrate a robust potential for peace and cooperation.
Going back farther in time, we end up with Ardipithecus ramidus, a 4.4-million-year-old hominin that has been described as relatively peaceful, owing to its reduced canine teeth as compared to those of the chimpanzee (Pan troglodytes), who can be lethally violent during territorial encounters between communities. However, the conclusion drawn from Ardipithecus' dentition that our ancestors were less war-prone than the apes is not rigorous unless the bonobo (P. paniscus), which also has relatively small canines, is included. Despite being as closely related to us as chimpanzees, the behavior of bonobos fails to support traditional violence-based scenarios of human evolution. Deadly aggression among bonobos has thus far not been observed, neither in captivity nor in the wild, and xenophobia is only weakly developed.
Bonobos sometimes mingle across territorial borders, where they engage in sex, grooming, and play. They are known as the “make love, not war” primates for solving dominance issues through sexual activity. Indeed, it has been suggested that these apes “may approach more closely to the
common ancestor of chimpanzees and man than does any living chimpanzee”.
In addition, developments in psychology, neuroscience, behavioral economics, and animal behavior have begun to question the view, dominant until a decade ago, that animal life, and by extension human nature, is based on unmitigated competition. In primatology, the countermovement started with research into the survival value of friendships and conflict resolution.
After the discovery that chimpanzees often kiss and embrace shortly after a fight within their group, numerous studies have documented reconciliations”
in nonhuman primates. Methodologies comparing postconflict observations with baseline data to determine how species members behave in the presence versus absence of previous antagonism show that primates are generally attracted to former opponents, seeking friendly contact especially if they otherwise enjoy a mutually beneficial relationship. Relationship value appears to drive post-conflict repair. The behavioral expression of reconciliation varies, but its general effect is a rapid return to preexisting levels of tolerance and affiliation. This reunion process has been reported for macaques,
gorillas, golden monkeys, capuchins, and many other primates, but also for nonprimates, such as wolves, dolphins, and hyenas. Reconciliation is a
common social mechanism that would be superfluous if social life were ruled entirely by dominance and competition.
The level of cooperation among nonhuman primates tends to be underappreciated. In order to set it apart from human cooperation with nonrelatives,
aid among primates is sometimes ascribed largely to kinship. This claim has not held up, however, on the basis of DNA extracted from chimpanzee feces in the wild. Males without genetic ties make up the majority of mutually supportive partnerships. The same seems to apply to bonobos. Female bonobos maintain a close social network that allows them to collectively dominate the majority of males despite the fact that females are also the migratory sex,
which means that they are largely unrelated within each community. Both of our closest primate relatives are marked, therefore, by high levels of nonkin cooperation, probably explained by well-developed reciprocity.
Expressions of empathy are common in apes and resemble those of our own species. In child research, for example, a family member is typically instructed to feign distress or pain, upon which touching, stroking, and close-up eye-contact by the child is interpreted as a sign of sympathetic
concern. In chimpanzees, bystanders at a fight go over to the loser and put an arm around his or her shoulders or provide other calming contact.
Data from several thousand postconflict observations in chimpanzees indicate that consolation reduces the recipient's arousal and follows the
same sex difference as reported for sympathetic concern in children, with female apes providing comfort more often than males (13). Bonobos express
the same tendency sociosexually by means of genital contacts. A comparison of chimpanzee and bonobo brains supports the general view of bonobos as more empathic. This species has more gray matter in brain regions involved in the perception of distress, including the right dorsal amygdala and right anterior insula, and a better developed circuitry for inhibiting aggression.
Human empathy has been described as taking the perspective of another or imagining oneself in another's position. Psychologists commonly apply this cognitively demanding explanation of empathy even if the immediacy of the response hints at simpler processes. If we see a child fall and scrape its knee, we flinch, and exclaim “ouch!” as if what happened to the child happened at the same instant to ourselves. Another way of looking at empathy is
as a multilayered phenomenon that starts with automatic state-matching based on motor mimicry and shared neural representations. We should not be surprised, therefore, by unconscious empathy, such as when human study participants mimic observed facial expressions and report corresponding
emotions even though the expressions were presented too briefly for conscious perception. In this view,which maymap onto nested neural processing,
cognitive perspective-taking is a secondary development built around more elementary mechanisms, such as state-matching and emotional contagion.
The evolution of empathy is thought to go back to mammalian maternal care. Whether a mouse or an elephant, a mother needs to be exquisitely in tune with indications of hunger, danger, or discomfort in her young. Sensitivity to emotional signals confers clear adaptive value. This hypothetical origin of empathy would explain the observed sex differences as well as the stimulating effect of oxytocin. That empathy is rooted in bodily connections between individuals is reflected in pain contagion in mice and yawn contagion in apes and humans. Mirror neurons are often mentioned in this context, even though their precise role remains a point of speculation.
The fact that these neurons were discovered not in humans, but in monkeys, supports the idea of evolutionary continuity. Social animals need to coordinate travel, communicate about danger, and assist group mates in need. Bodily synchronization and sensitivity to the emotional states of others ranges from rapid spreading of alarm through an entire group to a mother ape returning to a whimpering youngster to help it from one tree to the next by draping her body between the two. The first is a reflex-like transmission of fear, whereas the mother ape is more discriminating because she needs to
assess the reason for her offspring's distress in order to ameliorate its situation.
The idea that empathy translates into altruism and helping is widely assumed for humans and has also been proposed for other mammals. Reports of spontaneous assistance among primates are abundant and are also available for elephants and cetaceans. For example, a female chimpanzee may react to the screams of her closest associate by defending her against an aggressive male, thus taking great risk on her behalf. Such coalitions are among the
most systematically studied forms of cooperation in primatology. One advantage of an empathy-based explanation is its ability to explain “unrepaid” altruism, such as that shown toward nonreciprocating nonkin. This type of behavior is well illustrated by the adoption of orphans by wild male chimpanzees, who may devote years of costly care to unrelated juveniles. Although empathy, such as between a mother and offspring or between cooperation partners, is likely to be adaptive, not each and every application of this capacity needs to be for it to retain overall adaptive value.
Increasingly, the importance of mammalian prosocial tendencies is backed by experiments that range from demonstrating that rats give priority to the liberation of a trapped companion over eating chocolate to those showing that apes are prepared to assist others even in the absence of incentives, go out of their way to give others access to food, or choose shared benefits over selfish ones. Studies have also demonstrated more complex expressions of empathy among apes, such as “targeted helping” (assistance based on an appreciation of the other's specific needs), both in their spontaneous behavior and during controlled experiments. This increased knowledge suggests that nearly the full spectrum of empathy-based altruism may be represented among nonhuman primates, including the cognitive perspective-taking that marks human altruism.
Empathy automatically produces a stake in another's welfare; that is, the behavior comes with an intrinsic reward, known as the “warm glow” effect. Humans report feeling good when they do good and show activation of reward-related brain areas. It will be important to determine whether the same self-reward system extends to other primates.We do know fromstudies on rodents, apes, and humans that empathy is biased toward the ingroup. For example, while watching the yawns of videotaped conspecifics, chimpanzees frequently joined the yawns of their own group members but not those of unfamiliar individuals. This ingroup bias makes sense from an evolutionary perspective, because it is with the members of one's own group that apes cooperate. At the same time, however, it poses a profound challenge for the modern human world, which seeks to integrate a multitude of groups, ethnicities, and nations. The flip side of the ingroup bias in empathy is lack of empathy for the outgroup, as is typical of xenophobia.7
Nevertheless, empathy may be our only hope to deal with these issues. We know that it can be activated by outsiders, even by members of a different species, such as when we empathize with a stranded whale and move it back into the ocean. This is not an outcome for which empathy evolved, yet once in existence, capacities are often emancipated from their evolutionary origin. If it weren't for empathy with all life forms, including enemy lives, soldiers would have no reluctance to kill nor would they return from the battlefield with PTSD.
Although it is true that empathy has trouble reaching beyond the ingroup, it is an automated response that does not allow itself to be fully suppressed by rationalizations and political indoctrination. This is another lesson fromWorldWar II, with examples such as Oskar Schindler and the guardians of Anne Frank. To better understand the power of empathy requires investigation of its neurological basis as well as its evolutionary antiquity.
The view of humans as violent war-prone apes is poorly supported by archaeological evidence and only partly supported by the behavior of our closest primate relatives, chimpanzees and bonobos. Whereas the first species is marked by xenophobia, the second is relatively peaceful and highly empathic in both behavior and brain organization. Animal empathy is best regarded as a multilayered phenomenon, built around motor mirroring and shared neural representations at basal levels, that develops into more advanced cognitive perspective-taking in large-brained species. As indicated by both observational and experimental studies on our closest relatives, empathy may be the main motivator of prosocial behavior.
After the devastations of World War II, humans were routinely depicted as “killer apes”—in contrast to the real apes, which were regarded as pacifists. Books by Konrad Lorenz, the Austrian ethologist, and Robert Ardrey, an American journalist, contributed to the idea that a hallmark of humanity is aggression. Until well into the 1980s, this remained the dominant theme of biological approaches to human behavior. This literature is now recognized as one-sided because it overlooked our species' capacity for cooperation, empathy, and prosocial behavior.
Species-typical tendencies normally come with built-in rewards. Nature has ensured that we find fulfillment in eating, sex, nursing, and socializing, all of which are necessary for survival and reproduction. If there were truly a genetic basis to our participation in lethal combat, we should willingly engage in it. Yet soldiers report a deep revulsion to killing and shoot at the enemy only under pressure. After these experiences, they often end up with substantial psychological damage. Far from being a recent phenomenon, hauntingmemories of combat were already known to the ancient Greeks, such as Sophocles, who described Ajax's “divine madness,” now known as posttraumatic stress disorder (PTSD).
Even though evidence for individual murder goes back hundreds of thousands of years, comparable signs of warfare (such as graveyards with weapons embedded in a large number of skeletons) are lacking from before the Agricultural Revolution [about 12,000 years ago]. This is not to imply that war was absent before then, but it does mean that the common assumption that our ancestors waged perpetual wars and knew peace only at “precarious interludes” (as Winston Churchill surmised) lacks solid archaeological backing. During most of our prehistory, we were nomadic huntergatherers, whose cultures are nowadays not particularly known for warfare. They do occasionally raid, ambush, and kill their neighbors, butmore often trade with them, intermarry, and permit travel through their territories.Hunter-gatherers illustrate a robust potential for peace and cooperation.
Going back farther in time, we end up with Ardipithecus ramidus, a 4.4-million-year-old hominin that has been described as relatively peaceful, owing to its reduced canine teeth as compared to those of the chimpanzee (Pan troglodytes), who can be lethally violent during territorial encounters between communities. However, the conclusion drawn from Ardipithecus' dentition that our ancestors were less war-prone than the apes is not rigorous unless the bonobo (P. paniscus), which also has relatively small canines, is included. Despite being as closely related to us as chimpanzees, the behavior of bonobos fails to support traditional violence-based scenarios of human evolution. Deadly aggression among bonobos has thus far not been observed, neither in captivity nor in the wild, and xenophobia is only weakly developed.
Bonobos sometimes mingle across territorial borders, where they engage in sex, grooming, and play. They are known as the “make love, not war” primates for solving dominance issues through sexual activity. Indeed, it has been suggested that these apes “may approach more closely to the
common ancestor of chimpanzees and man than does any living chimpanzee”.
In addition, developments in psychology, neuroscience, behavioral economics, and animal behavior have begun to question the view, dominant until a decade ago, that animal life, and by extension human nature, is based on unmitigated competition. In primatology, the countermovement started with research into the survival value of friendships and conflict resolution.
After the discovery that chimpanzees often kiss and embrace shortly after a fight within their group, numerous studies have documented reconciliations”
in nonhuman primates. Methodologies comparing postconflict observations with baseline data to determine how species members behave in the presence versus absence of previous antagonism show that primates are generally attracted to former opponents, seeking friendly contact especially if they otherwise enjoy a mutually beneficial relationship. Relationship value appears to drive post-conflict repair. The behavioral expression of reconciliation varies, but its general effect is a rapid return to preexisting levels of tolerance and affiliation. This reunion process has been reported for macaques,
gorillas, golden monkeys, capuchins, and many other primates, but also for nonprimates, such as wolves, dolphins, and hyenas. Reconciliation is a
common social mechanism that would be superfluous if social life were ruled entirely by dominance and competition.
The level of cooperation among nonhuman primates tends to be underappreciated. In order to set it apart from human cooperation with nonrelatives,
aid among primates is sometimes ascribed largely to kinship. This claim has not held up, however, on the basis of DNA extracted from chimpanzee feces in the wild. Males without genetic ties make up the majority of mutually supportive partnerships. The same seems to apply to bonobos. Female bonobos maintain a close social network that allows them to collectively dominate the majority of males despite the fact that females are also the migratory sex,
which means that they are largely unrelated within each community. Both of our closest primate relatives are marked, therefore, by high levels of nonkin cooperation, probably explained by well-developed reciprocity.
Expressions of empathy are common in apes and resemble those of our own species. In child research, for example, a family member is typically instructed to feign distress or pain, upon which touching, stroking, and close-up eye-contact by the child is interpreted as a sign of sympathetic
concern. In chimpanzees, bystanders at a fight go over to the loser and put an arm around his or her shoulders or provide other calming contact.
Data from several thousand postconflict observations in chimpanzees indicate that consolation reduces the recipient's arousal and follows the
same sex difference as reported for sympathetic concern in children, with female apes providing comfort more often than males (13). Bonobos express
the same tendency sociosexually by means of genital contacts. A comparison of chimpanzee and bonobo brains supports the general view of bonobos as more empathic. This species has more gray matter in brain regions involved in the perception of distress, including the right dorsal amygdala and right anterior insula, and a better developed circuitry for inhibiting aggression.
Human empathy has been described as taking the perspective of another or imagining oneself in another's position. Psychologists commonly apply this cognitively demanding explanation of empathy even if the immediacy of the response hints at simpler processes. If we see a child fall and scrape its knee, we flinch, and exclaim “ouch!” as if what happened to the child happened at the same instant to ourselves. Another way of looking at empathy is
as a multilayered phenomenon that starts with automatic state-matching based on motor mimicry and shared neural representations. We should not be surprised, therefore, by unconscious empathy, such as when human study participants mimic observed facial expressions and report corresponding
emotions even though the expressions were presented too briefly for conscious perception. In this view,which maymap onto nested neural processing,
cognitive perspective-taking is a secondary development built around more elementary mechanisms, such as state-matching and emotional contagion.
The evolution of empathy is thought to go back to mammalian maternal care. Whether a mouse or an elephant, a mother needs to be exquisitely in tune with indications of hunger, danger, or discomfort in her young. Sensitivity to emotional signals confers clear adaptive value. This hypothetical origin of empathy would explain the observed sex differences as well as the stimulating effect of oxytocin. That empathy is rooted in bodily connections between individuals is reflected in pain contagion in mice and yawn contagion in apes and humans. Mirror neurons are often mentioned in this context, even though their precise role remains a point of speculation.
The fact that these neurons were discovered not in humans, but in monkeys, supports the idea of evolutionary continuity. Social animals need to coordinate travel, communicate about danger, and assist group mates in need. Bodily synchronization and sensitivity to the emotional states of others ranges from rapid spreading of alarm through an entire group to a mother ape returning to a whimpering youngster to help it from one tree to the next by draping her body between the two. The first is a reflex-like transmission of fear, whereas the mother ape is more discriminating because she needs to
assess the reason for her offspring's distress in order to ameliorate its situation.
The idea that empathy translates into altruism and helping is widely assumed for humans and has also been proposed for other mammals. Reports of spontaneous assistance among primates are abundant and are also available for elephants and cetaceans. For example, a female chimpanzee may react to the screams of her closest associate by defending her against an aggressive male, thus taking great risk on her behalf. Such coalitions are among the
most systematically studied forms of cooperation in primatology. One advantage of an empathy-based explanation is its ability to explain “unrepaid” altruism, such as that shown toward nonreciprocating nonkin. This type of behavior is well illustrated by the adoption of orphans by wild male chimpanzees, who may devote years of costly care to unrelated juveniles. Although empathy, such as between a mother and offspring or between cooperation partners, is likely to be adaptive, not each and every application of this capacity needs to be for it to retain overall adaptive value.
Increasingly, the importance of mammalian prosocial tendencies is backed by experiments that range from demonstrating that rats give priority to the liberation of a trapped companion over eating chocolate to those showing that apes are prepared to assist others even in the absence of incentives, go out of their way to give others access to food, or choose shared benefits over selfish ones. Studies have also demonstrated more complex expressions of empathy among apes, such as “targeted helping” (assistance based on an appreciation of the other's specific needs), both in their spontaneous behavior and during controlled experiments. This increased knowledge suggests that nearly the full spectrum of empathy-based altruism may be represented among nonhuman primates, including the cognitive perspective-taking that marks human altruism.
Empathy automatically produces a stake in another's welfare; that is, the behavior comes with an intrinsic reward, known as the “warm glow” effect. Humans report feeling good when they do good and show activation of reward-related brain areas. It will be important to determine whether the same self-reward system extends to other primates.We do know fromstudies on rodents, apes, and humans that empathy is biased toward the ingroup. For example, while watching the yawns of videotaped conspecifics, chimpanzees frequently joined the yawns of their own group members but not those of unfamiliar individuals. This ingroup bias makes sense from an evolutionary perspective, because it is with the members of one's own group that apes cooperate. At the same time, however, it poses a profound challenge for the modern human world, which seeks to integrate a multitude of groups, ethnicities, and nations. The flip side of the ingroup bias in empathy is lack of empathy for the outgroup, as is typical of xenophobia.7
Nevertheless, empathy may be our only hope to deal with these issues. We know that it can be activated by outsiders, even by members of a different species, such as when we empathize with a stranded whale and move it back into the ocean. This is not an outcome for which empathy evolved, yet once in existence, capacities are often emancipated from their evolutionary origin. If it weren't for empathy with all life forms, including enemy lives, soldiers would have no reluctance to kill nor would they return from the battlefield with PTSD.
Although it is true that empathy has trouble reaching beyond the ingroup, it is an automated response that does not allow itself to be fully suppressed by rationalizations and political indoctrination. This is another lesson fromWorldWar II, with examples such as Oskar Schindler and the guardians of Anne Frank. To better understand the power of empathy requires investigation of its neurological basis as well as its evolutionary antiquity.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Sur le même sujet que le précédent :
http://dept.psych.columbia.edu/~kochsner/pdf/ZakiOchsner_Empathy_Rev_in_press.pdf
http://dept.psych.columbia.edu/~kochsner/pdf/ZakiOchsner_Empathy_Rev_in_press.pdf
Invité- Invité
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
J'ai dormi comme un loir
Je suis dans un état de sérénité que je n'ai que rarement atteint ! Les choses se mettent doucement en place en moi, et je retrouve ma position d'équilibre, mon autonomie, la pleine possession de mes choix.
Je suis heureux d'avoir tranché une fois pour toute les liens qui m’encombraient, qui n'étaient qu'un pâle reflet de ce que je cherche à être. Ces liens n'étaient que la représentation de ce que je me refusais de vivre par moi-même, ces liens m'empêchaient de grandir, me retardaient. Je l'ai compris !!!
Il se passe des choses gigantesques quand je vais fouiller en moi, quand je regarde pourquoi j'ai, par le passé, adopté tel ou tel comportement, et que j'arrive à relier cela avec les abus que j'ai subis.
Je me suis penché sur les séquelles du viol et de la maltraitance et j'ai pris conscience de ce que j'ai été plus jeune. Des pas que j'ai effectués de moi-même pour m'en sortir, animé d'une énorme pulsion de vie, et ouvert sur les différences des autres, les différences de leurs comportements.
J'ai toujours voulu comprendre comment les autres fonctionnaient, pourquoi leurs réactions différaient des miennes. Ce fut un moment par désir de reconnaissance et de mimétisme, puis après par un désir d'appartenance ...
Maintenant c'est clairement pour être moi ! Pour comprendre ce que mon histoire à joué comme rôle ... dans mon dos !!!!
Oui, oui !!! Je ne voulais pas passer pour fou !!! J'avais en permanence l'impression de l'être et je me battais, je souffrais, tout en faisant semblant d'être très détaché et de faire le grand seigneur qui, après une blessure immense, fait comme si de tien n'était ... Pfffffff .... tu parles !!!! Je replantais encore un couteau en moi, encore plus fort, encore plus profond, comme un signe énorme de culpabilité, culpabilité que j'avais à boire jusqu'à la lie, soumis que j'étais, sans le savoir, aux autres par les avanies que j'avais subies ... Une putain de putain de fuite de merde, de mes décisions ... et de mes propres besoins !!!
J'étais un esclave sans le savoir, un esclave qui cherchait une main pour me tirer en dehors de ma prison ...
Et voilà un peu de ce qui m'a aidé à sortir de cette dernière, une des limes qui m'a aidée à scier les barreaux de ma cage :
http://memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-physiques.html
http://memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-sexuelles.html
http://www.memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-psychologiques.html
http://memoiretraumatique.org/psychotraumatismes/conduites-a-risques.html
Je regarde ça en conscience, le ramène à ce que j'ai vécu. Et j'ouvre une fois de plus les yeux. Mon passé explique des choses, mon vécu derrière, sur ces bases, en explique d'autres. A moi de remettre de l'ordre dans tout ça. Et je le fais à fond !!! Ces outils (comme les liens ici posés) sont fantastiques si l'on accepte de regarder son vécu droit dans les yeux !!
Je suis dans un état de sérénité que je n'ai que rarement atteint ! Les choses se mettent doucement en place en moi, et je retrouve ma position d'équilibre, mon autonomie, la pleine possession de mes choix.
Je suis heureux d'avoir tranché une fois pour toute les liens qui m’encombraient, qui n'étaient qu'un pâle reflet de ce que je cherche à être. Ces liens n'étaient que la représentation de ce que je me refusais de vivre par moi-même, ces liens m'empêchaient de grandir, me retardaient. Je l'ai compris !!!
Il se passe des choses gigantesques quand je vais fouiller en moi, quand je regarde pourquoi j'ai, par le passé, adopté tel ou tel comportement, et que j'arrive à relier cela avec les abus que j'ai subis.
Je me suis penché sur les séquelles du viol et de la maltraitance et j'ai pris conscience de ce que j'ai été plus jeune. Des pas que j'ai effectués de moi-même pour m'en sortir, animé d'une énorme pulsion de vie, et ouvert sur les différences des autres, les différences de leurs comportements.
J'ai toujours voulu comprendre comment les autres fonctionnaient, pourquoi leurs réactions différaient des miennes. Ce fut un moment par désir de reconnaissance et de mimétisme, puis après par un désir d'appartenance ...
Maintenant c'est clairement pour être moi ! Pour comprendre ce que mon histoire à joué comme rôle ... dans mon dos !!!!
Oui, oui !!! Je ne voulais pas passer pour fou !!! J'avais en permanence l'impression de l'être et je me battais, je souffrais, tout en faisant semblant d'être très détaché et de faire le grand seigneur qui, après une blessure immense, fait comme si de tien n'était ... Pfffffff .... tu parles !!!! Je replantais encore un couteau en moi, encore plus fort, encore plus profond, comme un signe énorme de culpabilité, culpabilité que j'avais à boire jusqu'à la lie, soumis que j'étais, sans le savoir, aux autres par les avanies que j'avais subies ... Une putain de putain de fuite de merde, de mes décisions ... et de mes propres besoins !!!
J'étais un esclave sans le savoir, un esclave qui cherchait une main pour me tirer en dehors de ma prison ...
Et voilà un peu de ce qui m'a aidé à sortir de cette dernière, une des limes qui m'a aidée à scier les barreaux de ma cage :
http://memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-physiques.html
http://memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-sexuelles.html
http://www.memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-psychologiques.html
http://memoiretraumatique.org/psychotraumatismes/conduites-a-risques.html
Je regarde ça en conscience, le ramène à ce que j'ai vécu. Et j'ouvre une fois de plus les yeux. Mon passé explique des choses, mon vécu derrière, sur ces bases, en explique d'autres. A moi de remettre de l'ordre dans tout ça. Et je le fais à fond !!! Ces outils (comme les liens ici posés) sont fantastiques si l'on accepte de regarder son vécu droit dans les yeux !!
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Putain la vie est belle !!!!!
Le jazz de Stan Getz est magique, je vais passer une fin d'année de folie avec des potes à partir de demain, oublier toutes mes merdes et enfin vivre !!!!
Le jazz de Stan Getz est magique, je vais passer une fin d'année de folie avec des potes à partir de demain, oublier toutes mes merdes et enfin vivre !!!!
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
La différence entre la sympathie et l'empathie ?
L'empathie permet de comprendre ce que l'autre ressent. Elle autorise le pardon quand on comprend les mécanismes sous-jacents qui on poussé les autres à agir.
La sympathie rapproche et fait vivre en soi les souffrances de l'autre.
Je ne mélangerai plus jamais les deux !! La première peut amener à aider, la seconde se fait se noyer si l'on porte des souffrances qui ne sont pas les nôtres !
Il faut avant tout que je sois sympathique avec moi-même. Que je me câline, que je sache où sont mes besoins et que j'évite de me blesser. Je pourrais ensuite être empathe avec les autres. Après, j'aurai moyen de comprendre si les gens sont vraiment empathes à mon égard ...
J'avaaaaaaaaaaaaaaaaance !!!!
L'empathie permet de comprendre ce que l'autre ressent. Elle autorise le pardon quand on comprend les mécanismes sous-jacents qui on poussé les autres à agir.
La sympathie rapproche et fait vivre en soi les souffrances de l'autre.
Je ne mélangerai plus jamais les deux !! La première peut amener à aider, la seconde se fait se noyer si l'on porte des souffrances qui ne sont pas les nôtres !
Il faut avant tout que je sois sympathique avec moi-même. Que je me câline, que je sache où sont mes besoins et que j'évite de me blesser. Je pourrais ensuite être empathe avec les autres. Après, j'aurai moyen de comprendre si les gens sont vraiment empathes à mon égard ...
J'avaaaaaaaaaaaaaaaaance !!!!
Dernière édition par Neme6 le Sam 29 Déc 2012 - 10:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Je me suis promis, réellement promis, en plus que d'avouer mes torts (ce que je ne savais pas faire auparavant parce que je n'existais pas en moi), de ne plus jamais, une fois ces torts avoués, laisser de deuxième chance après les tentatives de conciliation que j'aurais effectuées. L'équilibre se construit en commun, pas autrement.
Si ceux qui ont compris le veulent, ils reviennent d'eux-mêmes. S'ils ne le désirent pas, par peur de perdre la face, c'est leur choix. La vie est dure dit-on ... eh bien, qu'ils en tirent les conclusions comme j'en tire les miennes, et qu'ils avancent dans leur parcours, qu'ils fouillent en eux ...
Je suis moi, et là est le principal !
Si ceux qui ont compris le veulent, ils reviennent d'eux-mêmes. S'ils ne le désirent pas, par peur de perdre la face, c'est leur choix. La vie est dure dit-on ... eh bien, qu'ils en tirent les conclusions comme j'en tire les miennes, et qu'ils avancent dans leur parcours, qu'ils fouillent en eux ...
Je suis moi, et là est le principal !
Dernière édition par Neme6 le Sam 29 Déc 2012 - 10:41, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Neme6 a écrit:
.../...
J'ai toujours voulu comprendre comment les autres fonctionnaient, pourquoi leurs réactions différaient des miennes. Ce fut un moment par désir de reconnaissance et de mimétisme, puis après par un désir d'appartenance ...
Maintenant c'est clairement pour être moi ! Pour comprendre ce que mon histoire à joué comme rôle ... dans mon dos !!!!
Oui, oui !!! Je ne voulais pas passer pour fou !!! J'avais en permanence l'impression de l'être et je me battais, je souffrais, tout en faisant semblant d'être très détaché et de faire le grand seigneur qui, après une blessure immense, fait comme si de tien n'était ... Pfffffff .... tu parles !!!! Je replantais encore un couteau en moi, encore plus fort, encore plus profond, comme un signe énorme de culpabilité, culpabilité que j'avais à boire jusqu'à la lie, soumis que j'étais, sans le savoir, aux autres par les avanies que j'avais subies ... Une putain de putain de fuite de merde, de mes décisions ... et de mes propres besoins !!!
J'étais un esclave sans le savoir, un esclave qui cherchait une main pour me tirer en dehors de ma prison ...
.../...
C'est la pleine et exacte communauté sur laquelle on se retrouve et à partir de laquelle nous avons pu établir au premier verre de côtes de Provence un connexion, improbable d'ailleurs pour ceux qui me connaissent bien. Mais la vie est ainsi faite qu'elle nous surprend et c'est cela qui est beau.
Par une trop forte prégnance de l'émotion sur l'intellect, je n'ai pu avoir accès aux textes et livres curateurs.
Il m'a fallu la parole et les yeux de l'autre, il m'a fallu le sensitif.
J'ai trouvé, en fait non, je n'ai pas trouvé, il m'a été donné de croiser les mains qui m'ont progressivement sorti de ma prison ainsi qu'une main en ligne de mire. Je ne serai jamais guéri de ces douleurs, ces cicatrices ne seront jamais effacées, mais je crois que je vis mieux, plus profondément plus vrai.
J'ai toujours besoin de ces mains, j'en cherche la présence, le contact, je ne sais les lâcher que par pudeur et tu peux aisément imaginer la brulure de leur manque à l'instant où je t'écris et la connerie que je viens de faire en les évoquant ; Putain de neurone, il aurai pu éviter de connecter cette zone !
Mais la vie est aussi cela. L'acceptation de la solitude de l'âme et de l'absurdité de la vie de Sisyphe. C'est dans cette acceptation que résiderait notre accomplissement.
J'ai encore un peu de mal avec cela.
Sois prudent et patient avec toi, ne te crois pas plus fort que tu n'es.
Bon rétablissement.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Ours merci.
Je te dirai que j'entends ce que tu dis et que je le garderai dans un coin de ma mémoire, que j'y penserai. Ceci étant, j'ai mon parcours à faire, et je n'ai pas peur !!! La peur, cette peur immonde, est notre premier ennemi. Nous la cultivons en nous, peu de ne pas être plein, peur de partir qui nous raccroche au passé, peur d'être fou ...
Ma vie, c'est moi qui la construit, Ours ...
Je te dirai que j'entends ce que tu dis et que je le garderai dans un coin de ma mémoire, que j'y penserai. Ceci étant, j'ai mon parcours à faire, et je n'ai pas peur !!! La peur, cette peur immonde, est notre premier ennemi. Nous la cultivons en nous, peu de ne pas être plein, peur de partir qui nous raccroche au passé, peur d'être fou ...
Ma vie, c'est moi qui la construit, Ours ...
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Oui Ours, je la construit !!! Je veux bien la construire en compagnie d'autres, là n'est pas mon propos que de le refuser. Je le veux bien quand ceux qui me font face savent regarder en eux quelle est leur part de responsabilité quand un clash arrive. Et qu'ils sachent jusqu'où ils peuvent présenter une argumentation qui tienne debout. Qu'ils regardent en face leurs propres blessures. Je ne leur demande pas d'imiter mon chemin, il en est un parmi tant d'autre, il est le mien. Je ne les prie même pas d'en faire un. Mais s'ils l'entreprenne, qu'ils le fassent au moins en cohérence ... C'est à eux de tendre la main, pas de demander à ce qu'on la prenne !
Il est pour moi, désormais, hors de question de faire tous les pas, de rester un jouet. Équilibre, Ours, équilibre ...
Il est pour moi, désormais, hors de question de faire tous les pas, de rester un jouet. Équilibre, Ours, équilibre ...
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Coucou Neme6
Moi-aussi, j' ai été heureuse de t' avoir croisé et encore plus de te voir évoluer vers plus de sérénité, avec courage, et de construire ta Vie......
Je t'envoie plein d' ondes ensoleillées
Profites bien de cette fin d' année
Moi-aussi, j' ai été heureuse de t' avoir croisé et encore plus de te voir évoluer vers plus de sérénité, avec courage, et de construire ta Vie......
Je t'envoie plein d' ondes ensoleillées
Profites bien de cette fin d' année
Aerienne- Messages : 1063
Date d'inscription : 11/03/2012
Age : 66
Localisation : GOLFE JUAN
Re: A la recherche d'Atoum
Ouah Aérienne
Sympa les ondes
Merci d'être là, d'avoir une pensée pour moi ! Cela me réchauffe vraiment
Très bonnes fêtes de fin d'année à toi !
Sympa les ondes
Merci d'être là, d'avoir une pensée pour moi ! Cela me réchauffe vraiment
Très bonnes fêtes de fin d'année à toi !
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Ours ...
Je vais encore te présenter quelque chose.
Pour poursuivre mon dernier post. Demander à ce que l'autre prenne la main, c'est avoir en soi un désir de partage encore fort, et ne pas vouloir en fait "perdre la face" en l'exprimant pour ce qu'il est. C'est aussi question sur soi, sur ce que l'on est, et on fait ainsi porter sa vie par l'autre. J'ai fait ainsi avant, je sais ...
Je ne crois pas que cela soit de la manipulation, c'est juste un état lié au passé à mon avis. C'est un doute de soi extrême (en ce qui me concerne tout au moins c'était le cas).
La force d'avancer est en soi. La force de dire clairement, de pardonner, de concilier est en soi. Pas dans l'autre. L'autre n'est qu'une excuse, un refuge, un drain qui ne fait pas son effet si le souhait profond n'est pas là ...
Je vais encore te présenter quelque chose.
Pour poursuivre mon dernier post. Demander à ce que l'autre prenne la main, c'est avoir en soi un désir de partage encore fort, et ne pas vouloir en fait "perdre la face" en l'exprimant pour ce qu'il est. C'est aussi question sur soi, sur ce que l'on est, et on fait ainsi porter sa vie par l'autre. J'ai fait ainsi avant, je sais ...
Je ne crois pas que cela soit de la manipulation, c'est juste un état lié au passé à mon avis. C'est un doute de soi extrême (en ce qui me concerne tout au moins c'était le cas).
La force d'avancer est en soi. La force de dire clairement, de pardonner, de concilier est en soi. Pas dans l'autre. L'autre n'est qu'une excuse, un refuge, un drain qui ne fait pas son effet si le souhait profond n'est pas là ...
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Dan Pink : The puzzle of motivation
Dan Pink, conseiller en carrière, examine les méandres de la motivation en partant d'un fait que les sociologues connaissent mais que la plupart des managers ignorent : les récompenses traditionnelles ne sont pas toujours aussi efficaces que l'on croit.
Dan Pink, conseiller en carrière, examine les méandres de la motivation en partant d'un fait que les sociologues connaissent mais que la plupart des managers ignorent : les récompenses traditionnelles ne sont pas toujours aussi efficaces que l'on croit.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Je suis dans le "secure" à présent puisque je me fais confiance
Et si je me fais confiance, c'est parce que je sais désormais que viendra qui doit venir
Et si je me fais confiance, c'est parce que je sais désormais que viendra qui doit venir
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
d'ailleurs Mog*Why ... si je ne me faisais pas confiance, je n'aurais pas exposé ce que je suis comme je l'ai fait ces derniers temps.
J'ai fini pas piger qu'il n'y avait pas grand chose à craindre, et que parler de soi est une libération. Ces démonstrations d'enfant, au travers du lien que tu viens de me donner, montrent effectivement qu'une expression des ressentis rapproche
Alors tu vois, à ma manière, j'avance.
J'ai fini pas piger qu'il n'y avait pas grand chose à craindre, et que parler de soi est une libération. Ces démonstrations d'enfant, au travers du lien que tu viens de me donner, montrent effectivement qu'une expression des ressentis rapproche
Alors tu vois, à ma manière, j'avance.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Je suis d'accord Neme6, je suis moi aussi de plus en plus dans le "secure" dans mon présent, mais nos structures "de base" restent des fondamentaux qu'il peut être intéressant d'identifier, pour mieux se connaître...
♡Maïa- Messages : 1734
Date d'inscription : 06/03/2012
Re: A la recherche d'Atoum
Ah eh bien oui c'est vrai ça !!! Très très vrai. C'est ce que je suis en train de faire, je m'y emploie. je m'y emploie !!!
Bisous
Bisous
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Bon c'est pas tout ça ... Y'a une vie en dehors de ZC et j'ai faaaaaaim !!!
Je remercie tous ceux qui passent ici lire ou poser un mot. Très cool !
A pluche et bon appétit à tous
Je remercie tous ceux qui passent ici lire ou poser un mot. Très cool !
A pluche et bon appétit à tous
Dernière édition par Neme6 le Sam 29 Déc 2012 - 15:37, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Le ciel est bleu sur Paris !!!
Pas un seul nuage, pareil que dans ma tëte quoi
Je viens de me poser au resto, et je profite du temps qui passe. Ça c'est la vie aussi !
Pas un seul nuage, pareil que dans ma tëte quoi
Je viens de me poser au resto, et je profite du temps qui passe. Ça c'est la vie aussi !
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Puis après je vais aller à Montmartre visiter les boutiques de décoration. J'avais prévu d'y aller hier mais il faisait moche.
Des trucs pour décorer mon intérieur ... Voilà enfin la vie qui revient
Des trucs pour décorer mon intérieur ... Voilà enfin la vie qui revient
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Décorer son intérieur, en voilà une belle image
♡Maïa- Messages : 1734
Date d'inscription : 06/03/2012
Re: A la recherche d'Atoum
Ouais Mog*why ... C'est ça !!!
Pourquoi me prendrai-je la tête avec le flou et l'improbable alors que je peux vivre ce qui me fait du bien ?
Pourquoi me prendrai-je la tête avec le flou et l'improbable alors que je peux vivre ce qui me fait du bien ?
Invité- Invité
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