A la recherche d'Atoum
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Re: A la recherche d'Atoum
Merci !!!
Ah ben vas-y
Je te lis (et t'écoute ^^) avec grande attention dans un spectre de connaissance dans lequel je suis novice
A bientôt
Ah ben vas-y
Je te lis (et t'écoute ^^) avec grande attention dans un spectre de connaissance dans lequel je suis novice
A bientôt
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Bon allez, je vais me coucher. Journée fatigante au boulot, et encore plein de choses à faire avant le weekend !
Bonne nuit !
Bonne nuit !
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
C'est moi qui l'ai trouvé.... (ma liberté..)
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
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Re: A la recherche d'Atoum
Géniaaaaal
Dernière édition par Qilin le Ven 4 Jan 2013 - 16:13, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
On est jamais mieux servi que par soi même...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Ah ben ça c'est sur !!!
Quand on arrête de céder aux caprices des autres, quand on se fiche des commentaires des gens aigris, quand on sait s'excuser de ses errements et continuer sa route, ... Quand on grandit en fait ...
Qu'est-ce que c'est cool
Je crois néanmoins qu'il faut toujours écouter et lire. Il y a toujours des choses sur lesquelles réfléchir. Reste ensuite à les comparer entre elles puis à en retirer l'essentiel qui permet d'avancer
Quand on arrête de céder aux caprices des autres, quand on se fiche des commentaires des gens aigris, quand on sait s'excuser de ses errements et continuer sa route, ... Quand on grandit en fait ...
Qu'est-ce que c'est cool
Je crois néanmoins qu'il faut toujours écouter et lire. Il y a toujours des choses sur lesquelles réfléchir. Reste ensuite à les comparer entre elles puis à en retirer l'essentiel qui permet d'avancer
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
La substantifique moëlle.... en fait, et l'assaisonner à sa propre sauce ensuite.... pour que le mélange soit nôtre....
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Mais oui !!!
Nous en sommes les seuls créateurs !
Je sais depuis longtemps que s'opposer aux autres génère beaucoup de frictions inutiles. Beaucoup tiennent à tout prix avoir raison pour se conforter eux-mêmes, pour avoir le sentiment d'exister
J'ai moi aussi fonctionné comme ça tu vois ! Et ... regarde ... Est-ce que je n'existe pas ? Mais si, bien sur !!!
Qu'est-ce qui a changé ? Juste que je fais des choix ... pas par dépit, pas dictés par les choix des autres, juste par ma volonté, par mon désir d'être bien dans mes baskets .
Ensuite, si cela aboutit sur une impasse, eh bien ... c'est fait. Les autres ont fait leur choix aussi et c'est ainsi.
Je leur reconnais la même chose qui m'habite, leur volonté de faire pour eux. C'est un bel équilibre je pense
En tout cas cela m'évite de m'attarder sur des choses qui n'ont pas de sens pour moi, et me permet d'avancer et de partager avec qui le souhaite, en actes communs, en regardant au dessus de ma propre personne (tout au moins est-ce ce que j'essaye de faire, même si je me trompe encore parfois )
Nous en sommes les seuls créateurs !
Je sais depuis longtemps que s'opposer aux autres génère beaucoup de frictions inutiles. Beaucoup tiennent à tout prix avoir raison pour se conforter eux-mêmes, pour avoir le sentiment d'exister
J'ai moi aussi fonctionné comme ça tu vois ! Et ... regarde ... Est-ce que je n'existe pas ? Mais si, bien sur !!!
Qu'est-ce qui a changé ? Juste que je fais des choix ... pas par dépit, pas dictés par les choix des autres, juste par ma volonté, par mon désir d'être bien dans mes baskets .
Ensuite, si cela aboutit sur une impasse, eh bien ... c'est fait. Les autres ont fait leur choix aussi et c'est ainsi.
Je leur reconnais la même chose qui m'habite, leur volonté de faire pour eux. C'est un bel équilibre je pense
En tout cas cela m'évite de m'attarder sur des choses qui n'ont pas de sens pour moi, et me permet d'avancer et de partager avec qui le souhaite, en actes communs, en regardant au dessus de ma propre personne (tout au moins est-ce ce que j'essaye de faire, même si je me trompe encore parfois )
Dernière édition par Qilin le Ven 4 Jan 2013 - 16:14, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Je te rejoins sur ce point, nos choix doivent découler de nôtre réflexion, unique et indivis, et non se calquer sur l'autre, car en faisant ça on s'oublie soit même, on peut même y perdre son individualité... son essence, son âme...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Tout à fait
Garder cela par devers nous me semble essentiel. Viendra un temps où nous pourrons partager le meilleur de nous avec ceux qui ont parcouru le même chemin de pensée. Il y en a.
Rien ne sert de vouloir vaincre sur tout et partout. C'est impossible et fait perdre une énergie folle sur des faits qui ne sont pas de notre ressort.
Partager sa vue et son expérience oui. Vouloir avoir raison, non : Vanité et vanité encore ... peur et crainte de ne pas être (vivant, intégré, reconnu, accepté ... C'est tout )
Garder cela par devers nous me semble essentiel. Viendra un temps où nous pourrons partager le meilleur de nous avec ceux qui ont parcouru le même chemin de pensée. Il y en a.
Rien ne sert de vouloir vaincre sur tout et partout. C'est impossible et fait perdre une énergie folle sur des faits qui ne sont pas de notre ressort.
Partager sa vue et son expérience oui. Vouloir avoir raison, non : Vanité et vanité encore ... peur et crainte de ne pas être (vivant, intégré, reconnu, accepté ... C'est tout )
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
j'ai du presque Jazz, ca te branche?
- Spoiler:
- Worries piled high
Youre on the edge
You cant let go
You feel the stress
Youre so obsessed with all the debts you think youre owed
We create that victim inside
No different than suicide
And Ill be there no matter what you do
No matter what you choose
Cause we can make it through
Yes, I know the ordeal
I know how you feel but I believe
Yes, I believe in you
Just do what you can do
What more can you ask?
Its not just a task
No matter what happens to you
We can make it through
Low self esteem
Forgot how to dream but youre so tall
If you could only see in you what I see there would be no fear at all
Cause problems that we start to find have originated in our mind
And we have the power and strength to just let go, dont you think I know?
Cause we can make it through
Yes, I know the ordeal
I know how you feel but I believe
Yes, I believe in you
Just do what you can do
What more can you ask?
Its not just a task
No matter what happens to you
We can make it through
Its all good, yeah, sits all fine
If we can pacify our minds
Dont want you to feel left behind
Cause Im right by your side
Im right by your side
So no matter what you do
Cause we can make it through
Yes, I know the ordeal
I know how you feel but I believe
Yes, I believe in you
Just do what you can do
What more can you ask?
Its not just a task
No matter what happens to you
We can make it through!
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Ah ouais Tramber merci !!!
C'est plus que cool ça
A bientôt IRL
C'est plus que cool ça
A bientôt IRL
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
on pourra écouter du presque George Moustaki si tu veuxQilin a écrit:Ah ouais Tramber merci !!!
C'est plus que cool ça
A bientôt IRL
- Spoiler:
- People doing wrong right in my face
That's not for me because I have my place
Life is so short why spend it being a fool
The games you play are just not cool
It's time to WISE UP
You must WISE UP
Two wrongs do not make a right
Because others do it you say you might
EXCUSES, EXCUSES, are not for me
I've wised up, now I can see
It's time to WISE UP
You must WISE UP
COUNT ME OUT
Listen, listen, learn to listen
Think of what your life is missing
When will you, when will you be
Totally free
Dernière édition par Tramber le Ven 4 Jan 2013 - 17:04, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Je me sens bien
Je règle mes choses quotidiennes doucement. J'ai préparé un colis à envoyer à l'étranger.
Tout avance dans le bon sens et j'en suis satisfait. La vie est belle
Je règle mes choses quotidiennes doucement. J'ai préparé un colis à envoyer à l'étranger.
Tout avance dans le bon sens et j'en suis satisfait. La vie est belle
Dernière édition par Qilin le Ven 4 Jan 2013 - 17:05, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Journée productive s'il en fut ...
Il est temps pour moi d'aller me mettre devant National Geographic, en prendre plein des yeux
Il est temps pour moi d'aller me mettre devant National Geographic, en prendre plein des yeux
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Quelle chance...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
ben quoi ^^
Ca ne m'empêche pas de regarder les quelques délires qui trainent, les tentatives de manipulation, les égos qui éclatent et s'entrechoquent, les crises de rages enfantines et autres trucs assez drôles par ci et par là ...
Ca ne m'empêche pas de regarder les quelques délires qui trainent, les tentatives de manipulation, les égos qui éclatent et s'entrechoquent, les crises de rages enfantines et autres trucs assez drôles par ci et par là ...
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
par ci par là, par ici ??? lol..
Que regardes tu sur Nat geographique ?
Que regardes tu sur Nat geographique ?
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
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Re: A la recherche d'Atoum
21:35 --> Tabous: Les collectionneurs de l'extrême
22:30 --> Air Crash 10: Plaqué au sol
23:25 --> Mégastructures de Légende: Le Machu Picchu
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Oh le programme de 23h25... m'aurait bien plus.... sniffsnifff je n'ai que la tnt...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Ouah.. la chance ! ça fait partie d'une des multitudes de choses que j'aimerais voir...j'adoooore les voyages...(cette chaine aussi, me manque !)
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: A la recherche d'Atoum
AAA grand merci à toi.... je rêve de toucher ces pierres et ressentir l'énergie qui s'en dégage...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Prométhée (Louise Ackerman)
Frappe encor, Jupiter, accable-moi, mutile
L'ennemi terrassé que tu sais impuissant !
Écraser n'est pas vaincre, et ta foudre inutile
S'éteindra dans mon sang,
Avant d'avoir dompté l'héroïque pensée
Qui fait du vieux Titan un révolté divin ;
C'est elle qui te brave, et ta rage insensée
N'a cloué sur ces monts qu'un simulacre vain.
Tes coups n'auront porté que sur un peu d'argile ;
Libre dans les liens de cette chair fragile,
L'âme de Prométhée échappe à ta fureur.
Sous l'ongle du vautour qui sans fin me dévore,
Un invisible amour fait palpiter encore
Les lambeaux de mon cœur.
Si ces pics désolés que la tempête assiège
Ont vu couler parfois sur leur manteau de neige
Des larmes que mes yeux ne pouvaient retenir,
Vous le savez, rochers, immuables murailles
Que d'horreur cependant je sentais tressaillir,
La source de mes pleurs était dans mes entrailles ;
C'est la compassion qui les a fait jaillir.
Ce n'était point assez de mon propre martyre ;
Ces flancs ouverts, ce sein qu'un bras divin déchire
Est rempli de pitié pour d'autres malheureux.
Je les vois engager une lutte éternelle ;
L'image horrible est là ; j'ai devant la prunelle
La vision des maux qui vont fondre sur eux.
Ce spectacle navrant m'obsède et m'exaspère.
Supplice intolérable et toujours renaissant,
Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère
Que rien n'arrachera ces germes de misére
Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang.
Pourtant, ô Jupiter, l'homme est ta créature ;
C'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé,
Cet être déplorable, infirme, désarmé,
Pour qui tout est danger, épouvante, torture,
Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé,
Étouffe et se débat, se blesse et se lamente.
Ah ! quand tu le jetas sur la terre inclémente,
Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir,
Qu'on lui disputerait sa place et sa pâture,
Qu'un souffle l'abattrait, que l'aveugle Nature
Dans son indifférence allait l'ensevelir.
Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide,
Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide
Qui n'entendait partout que gronder et rugir,
Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres,
Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres
Tremblant toujours de voir un ennemi surgir.
Mais quoi ! sur cet objet de ta haine immortelle,
Imprudent que j'étais, je me suis attendri ;
J'allumai la pensée et jetai l'étincelle
Dans cet obscur limon dont tu l'avais pétri.
Il n'était qu'ébauché, j'achevai ton ouvrage.
Plein d'espoir et d'audace, en mes vastes desseins
J'aurais sans hésiter mis les cieux au pillage,
Pour le doter après du fruit de mes larcins.
Je t'ai ravi le feu ; de conquête en conquête
J'arrachais de tes mains ton sceptre révéré.
Grand Dieu ! ta foudre à temps éclata sur ma tête ;
Encore un attentat, l'homme était délivré !
La voici donc ma faute, exécrable et sublime.
Compatir, quel forfait ! Se dévouer, quel crime !
Quoi ! j'aurais, impuni, défiant tes rigueurs,
Ouvert aux opprimés mes bras libérateurs ?
Insensé ! m'être ému quand la pitié s'expie !
Pourtant c'est Prométhée, oui, c'est ce même impie
Qui naguère t'aidait à vaincre les Titans.
J'étais à tes côtés dans l'ardente mêlée ;
Tandis que mes conseils guidaient les combattants,
Mes coups faisaient trembler la demeure étoilée.
Il s'agissait pour moi du sort de l'univers :
Je voulais en finir avec les dieux pervers.
Ton règne allait m'ouvrir cette ère pacifique
Que mon cœur transporté saluait de ses vœux.
En son cours éthéré le soleil magnifique
N'aurait plus éclairé que des êtres heureux.
La Terreur s'enfuyait en écartant les ombres
Qui voilaient ton sourire ineffable et clément,
Et le réseau d'airain des Nécessités sombres
Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant.
Tout était joie, amour, essor, efflorescence ;
Lui-même Dieu n'était que le rayonnement
De la toute-bonté dans la toute-puissance.
O mes désirs trompés ! O songe évanoui !
Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui,
Me retrouver devant l'iniquité céleste.
Devant un Dieu jaloux qui frappe et qui déteste,
Et dans mon désespoir me dire avec horreur :
« Celui qui pouvait tout a voulu la douleur ! »
Mais ne t'abuse point ! Sur ce roc solitaire
Tu ne me verras pas succomber en entier.
Un esprit de révolte a transformé la terre,
Et j'ai dès aujourd'hui choisi mon héritier.
Il poursuivra mon œuvre en marchant sur ma trace,
Né qu'il est comme moi pour tenter et souffrir.
Aux humains affranchis je lègue mon audace,
Héritage sacré qui ne peut plus périr.
La raison s'affermit, le doute est prêt à naître.
Enhardis à ce point d'interroger leur maître,
Des mortels devant eux oseront te citer :
Pourquoi leurs maux ? Pourquoi ton caprice et ta haine ?
Oui, ton juge t'attend, - la conscience humaine ;
Elle ne peut t'absoudre et va te rejeter.
Le voilà, ce vengeur promis à ma détresse !
Ah ! quel souffle épuré d'amour et d'allégresse
En traversant le monde enivrera mon cœur
Le jour où, moins hardie encor que magnanime,
Au lieu de l'accuser, ton auguste victime
Niera son oppresseur !
Délivré de la Foi comme d'un mauvais rêve,
L'homme répudiera les tyrans immortels,
Et n'ira plus, en proie à des terreurs sans trêve,
Se courber lâchement au pied de tes autels.
Las de le trouver sourd, il croira le ciel vide.
Jetant sur toi son voile éternel et splendide,
La Nature déjà te cache à son regard ;
Il ne découvrira dans l'univers sans borne,
Pour tout Dieu désormais, qu'un couple aveugle et morne,
La Force et le Hasard.
Montre-toi, Jupiter, éclate alors, fulmine,
Contre ce fugitif à ton joug échappé !
Refusant dans ses maux de voir ta main divine,
Par un pouvoir fatal il se dira frappé.
Il tombera sans peur, sans plainte, sans prière ;
Et quand tu donnerais ton aigle et ton tonnerre
Pour l'entendre pousser, au fort de son tourment,
Un seul cri qui t'atteste, une injure, un blasphème,
Il restera muet : ce silence suprême
Sera ton châtiment.
Tu n'auras plus que moi dans ton immense empire
Pour croire encore en toi, funeste Déité.
Plutôt nier le jour ou l'air que je respire
Que ta puissance inique et que ta cruauté.
Perdu dans cet azur, sur ces hauteurs sublimes,
Ah ! j'ai vu de trop près tes fureurs et tes crimes ;
J'ai sous tes coups déjà trop souffert, trop saigné ;
Le doute est impossible à mon cœur indigné.
Oui ! tandis que du Mal, œuvre de ta colère,
Renonçant désormais à sonder le mystère,
L'esprit humain ailleurs portera son flambeau,
Seul je saurai le mot de cette énigme obscure,
Et j'aurai reconnu, pour comble de torture,
Un Dieu dans mon bourreau.
Frappe encor, Jupiter, accable-moi, mutile
L'ennemi terrassé que tu sais impuissant !
Écraser n'est pas vaincre, et ta foudre inutile
S'éteindra dans mon sang,
Avant d'avoir dompté l'héroïque pensée
Qui fait du vieux Titan un révolté divin ;
C'est elle qui te brave, et ta rage insensée
N'a cloué sur ces monts qu'un simulacre vain.
Tes coups n'auront porté que sur un peu d'argile ;
Libre dans les liens de cette chair fragile,
L'âme de Prométhée échappe à ta fureur.
Sous l'ongle du vautour qui sans fin me dévore,
Un invisible amour fait palpiter encore
Les lambeaux de mon cœur.
Si ces pics désolés que la tempête assiège
Ont vu couler parfois sur leur manteau de neige
Des larmes que mes yeux ne pouvaient retenir,
Vous le savez, rochers, immuables murailles
Que d'horreur cependant je sentais tressaillir,
La source de mes pleurs était dans mes entrailles ;
C'est la compassion qui les a fait jaillir.
Ce n'était point assez de mon propre martyre ;
Ces flancs ouverts, ce sein qu'un bras divin déchire
Est rempli de pitié pour d'autres malheureux.
Je les vois engager une lutte éternelle ;
L'image horrible est là ; j'ai devant la prunelle
La vision des maux qui vont fondre sur eux.
Ce spectacle navrant m'obsède et m'exaspère.
Supplice intolérable et toujours renaissant,
Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère
Que rien n'arrachera ces germes de misére
Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang.
Pourtant, ô Jupiter, l'homme est ta créature ;
C'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé,
Cet être déplorable, infirme, désarmé,
Pour qui tout est danger, épouvante, torture,
Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé,
Étouffe et se débat, se blesse et se lamente.
Ah ! quand tu le jetas sur la terre inclémente,
Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir,
Qu'on lui disputerait sa place et sa pâture,
Qu'un souffle l'abattrait, que l'aveugle Nature
Dans son indifférence allait l'ensevelir.
Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide,
Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide
Qui n'entendait partout que gronder et rugir,
Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres,
Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres
Tremblant toujours de voir un ennemi surgir.
Mais quoi ! sur cet objet de ta haine immortelle,
Imprudent que j'étais, je me suis attendri ;
J'allumai la pensée et jetai l'étincelle
Dans cet obscur limon dont tu l'avais pétri.
Il n'était qu'ébauché, j'achevai ton ouvrage.
Plein d'espoir et d'audace, en mes vastes desseins
J'aurais sans hésiter mis les cieux au pillage,
Pour le doter après du fruit de mes larcins.
Je t'ai ravi le feu ; de conquête en conquête
J'arrachais de tes mains ton sceptre révéré.
Grand Dieu ! ta foudre à temps éclata sur ma tête ;
Encore un attentat, l'homme était délivré !
La voici donc ma faute, exécrable et sublime.
Compatir, quel forfait ! Se dévouer, quel crime !
Quoi ! j'aurais, impuni, défiant tes rigueurs,
Ouvert aux opprimés mes bras libérateurs ?
Insensé ! m'être ému quand la pitié s'expie !
Pourtant c'est Prométhée, oui, c'est ce même impie
Qui naguère t'aidait à vaincre les Titans.
J'étais à tes côtés dans l'ardente mêlée ;
Tandis que mes conseils guidaient les combattants,
Mes coups faisaient trembler la demeure étoilée.
Il s'agissait pour moi du sort de l'univers :
Je voulais en finir avec les dieux pervers.
Ton règne allait m'ouvrir cette ère pacifique
Que mon cœur transporté saluait de ses vœux.
En son cours éthéré le soleil magnifique
N'aurait plus éclairé que des êtres heureux.
La Terreur s'enfuyait en écartant les ombres
Qui voilaient ton sourire ineffable et clément,
Et le réseau d'airain des Nécessités sombres
Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant.
Tout était joie, amour, essor, efflorescence ;
Lui-même Dieu n'était que le rayonnement
De la toute-bonté dans la toute-puissance.
O mes désirs trompés ! O songe évanoui !
Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui,
Me retrouver devant l'iniquité céleste.
Devant un Dieu jaloux qui frappe et qui déteste,
Et dans mon désespoir me dire avec horreur :
« Celui qui pouvait tout a voulu la douleur ! »
Mais ne t'abuse point ! Sur ce roc solitaire
Tu ne me verras pas succomber en entier.
Un esprit de révolte a transformé la terre,
Et j'ai dès aujourd'hui choisi mon héritier.
Il poursuivra mon œuvre en marchant sur ma trace,
Né qu'il est comme moi pour tenter et souffrir.
Aux humains affranchis je lègue mon audace,
Héritage sacré qui ne peut plus périr.
La raison s'affermit, le doute est prêt à naître.
Enhardis à ce point d'interroger leur maître,
Des mortels devant eux oseront te citer :
Pourquoi leurs maux ? Pourquoi ton caprice et ta haine ?
Oui, ton juge t'attend, - la conscience humaine ;
Elle ne peut t'absoudre et va te rejeter.
Le voilà, ce vengeur promis à ma détresse !
Ah ! quel souffle épuré d'amour et d'allégresse
En traversant le monde enivrera mon cœur
Le jour où, moins hardie encor que magnanime,
Au lieu de l'accuser, ton auguste victime
Niera son oppresseur !
Délivré de la Foi comme d'un mauvais rêve,
L'homme répudiera les tyrans immortels,
Et n'ira plus, en proie à des terreurs sans trêve,
Se courber lâchement au pied de tes autels.
Las de le trouver sourd, il croira le ciel vide.
Jetant sur toi son voile éternel et splendide,
La Nature déjà te cache à son regard ;
Il ne découvrira dans l'univers sans borne,
Pour tout Dieu désormais, qu'un couple aveugle et morne,
La Force et le Hasard.
Montre-toi, Jupiter, éclate alors, fulmine,
Contre ce fugitif à ton joug échappé !
Refusant dans ses maux de voir ta main divine,
Par un pouvoir fatal il se dira frappé.
Il tombera sans peur, sans plainte, sans prière ;
Et quand tu donnerais ton aigle et ton tonnerre
Pour l'entendre pousser, au fort de son tourment,
Un seul cri qui t'atteste, une injure, un blasphème,
Il restera muet : ce silence suprême
Sera ton châtiment.
Tu n'auras plus que moi dans ton immense empire
Pour croire encore en toi, funeste Déité.
Plutôt nier le jour ou l'air que je respire
Que ta puissance inique et que ta cruauté.
Perdu dans cet azur, sur ces hauteurs sublimes,
Ah ! j'ai vu de trop près tes fureurs et tes crimes ;
J'ai sous tes coups déjà trop souffert, trop saigné ;
Le doute est impossible à mon cœur indigné.
Oui ! tandis que du Mal, œuvre de ta colère,
Renonçant désormais à sonder le mystère,
L'esprit humain ailleurs portera son flambeau,
Seul je saurai le mot de cette énigme obscure,
Et j'aurai reconnu, pour comble de torture,
Un Dieu dans mon bourreau.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Carl Honoré fait l'éloge de la lenteur
Quand on se met à penser le temps dans le monde d’aujourd’hui, un paradoxe fait immédiatement irruption : la société semble prise dans un sentiment général d’accélération et de vitesse, mais parallèlement elle en est éprise. Autrement dit, on vit dans un monde effréné, lui-même conditionné, dans une large mesure, par notre propre exigence de performance. À l’heure de l’économie mondialisée et de l’instantanéité de la communication, s’agit-il simplement aujourd’hui de s’adapter au tempo des techniques et des échanges ? Carl Honoré pense qu’il faut trouver l’harmonie entre lenteur et rapidité. Il va même jusqu’à parler de ce fragile équilibre comme la clé d’une existence épanouie. Et si vous ralentissiez ? se demande Honoré dans Éloge de la lenteur.
« En Occident, personne, ou presque, n'échappe au virus. Je suis journaliste, je voyage souvent et j'écoute beaucoup les gens: tous se plaignent de manquer de temps. Sans doute parce que nous vivons dans une culture de consommation et que nous brûlons d'accumuler autant de biens et d'expériences que possible. Nous voulons faire une carrière honorable, nous occuper de nos enfants, sortir avec nos amis, pratiquer un sport, aller au cinéma, jouir d'une vie sexuelle harmonieuse... Il en résulte un constant décalage entre ce que nous attendons de la vie et ce que nous en obtenons, lequel nourrit le sentiment que nous n'avons jamais assez de temps. Du coup, la tentation d'aller plus vite, de courir contre la montre devient irrésistible. Nous sommes devenus des drogués de l'activité. Selon une étude menée en 2003 auprès de 5 000 travailleurs britanniques, 60% des personnes interrogées déclaraient ne pas envisager de prendre toutes leurs vacances. Et savez-vous qu'en moyenne les Américains délaissent chaque année un cinquième de leurs congés ? », a confié Honoré à L’express Livres en 2005.
Selon Honoré, tout le monde veut aller moins vite, mais le plus rapidement possible! Solution, faire du yoga … non, du speed yoga comme il existe maintenant un peu partout. Trêve de plaisanterie, la culture de la vitesse dans laquelle nous baignons tous au quotidien nécessite, selon l’auteur, de prendre son temps, de retrouver ce que les musiciens appellent le "tempo giusto". Comme le dit Gandhi « Nous avons mieux à faire de la vie que d’en accélérer le rythme. » Le plaidoyer d’Honoré pour ralentir s’inspire donc de réflexions autour du temps libre, du travail, de la santé, de l’amour, de la ville, du corps et de l’esprit. Survole tout en lenteur pour vivre plus heureux ?
http://www.ted.com/talks/lang/fr/carl_honore_praises_slowness.html
Quand on se met à penser le temps dans le monde d’aujourd’hui, un paradoxe fait immédiatement irruption : la société semble prise dans un sentiment général d’accélération et de vitesse, mais parallèlement elle en est éprise. Autrement dit, on vit dans un monde effréné, lui-même conditionné, dans une large mesure, par notre propre exigence de performance. À l’heure de l’économie mondialisée et de l’instantanéité de la communication, s’agit-il simplement aujourd’hui de s’adapter au tempo des techniques et des échanges ? Carl Honoré pense qu’il faut trouver l’harmonie entre lenteur et rapidité. Il va même jusqu’à parler de ce fragile équilibre comme la clé d’une existence épanouie. Et si vous ralentissiez ? se demande Honoré dans Éloge de la lenteur.
« En Occident, personne, ou presque, n'échappe au virus. Je suis journaliste, je voyage souvent et j'écoute beaucoup les gens: tous se plaignent de manquer de temps. Sans doute parce que nous vivons dans une culture de consommation et que nous brûlons d'accumuler autant de biens et d'expériences que possible. Nous voulons faire une carrière honorable, nous occuper de nos enfants, sortir avec nos amis, pratiquer un sport, aller au cinéma, jouir d'une vie sexuelle harmonieuse... Il en résulte un constant décalage entre ce que nous attendons de la vie et ce que nous en obtenons, lequel nourrit le sentiment que nous n'avons jamais assez de temps. Du coup, la tentation d'aller plus vite, de courir contre la montre devient irrésistible. Nous sommes devenus des drogués de l'activité. Selon une étude menée en 2003 auprès de 5 000 travailleurs britanniques, 60% des personnes interrogées déclaraient ne pas envisager de prendre toutes leurs vacances. Et savez-vous qu'en moyenne les Américains délaissent chaque année un cinquième de leurs congés ? », a confié Honoré à L’express Livres en 2005.
Selon Honoré, tout le monde veut aller moins vite, mais le plus rapidement possible! Solution, faire du yoga … non, du speed yoga comme il existe maintenant un peu partout. Trêve de plaisanterie, la culture de la vitesse dans laquelle nous baignons tous au quotidien nécessite, selon l’auteur, de prendre son temps, de retrouver ce que les musiciens appellent le "tempo giusto". Comme le dit Gandhi « Nous avons mieux à faire de la vie que d’en accélérer le rythme. » Le plaidoyer d’Honoré pour ralentir s’inspire donc de réflexions autour du temps libre, du travail, de la santé, de l’amour, de la ville, du corps et de l’esprit. Survole tout en lenteur pour vivre plus heureux ?
http://www.ted.com/talks/lang/fr/carl_honore_praises_slowness.html
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Alain Ehrenberg, La société du malaise --> https://www.zebrascrossing.net/t9171p20-fiche-de-lectures#360267
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Jean-Jacques Rousseau a écrit:
« Quand un homme ne peut croire ce qu'il trouve absurde, ce n'est pas sa faute, c'est celle de sa raison. »
« Un homme ne doit jamais rougir d'avouer qu'il a tort ; car, en faisant cet aveu, il prouve qu'il est plus sage aujourd'hui qu'hier. »
« L'espèce de bonheur qu'il me faut n'est pas tant de faire ce que je veux, que de ne pas faire ce que je ne veux pas. »
« L'homme est né libre, et partout il est dans les fers. Tel se croit maître des autres, qui ne laisse pas d’être plus esclave qu’eux. »
« Le bonheur est un état constant et l'homme un être trop muable pour que l'un convienne à l'autre. »
« Proposons-nous de grands exemples à imiter, plutôt que de vains systèmes à suivre. »
« L'habitude de rentrer en moi-même me fit perdre enfin le sentiment et presque le souvenir de mes maux, j'appris ainsi par ma propre expérience que la source du vrai bonheur est en nous. »
« Un homme vraiment heureux ne parle guère ; il resserre pour ainsi dire le bonheur autour de son cœur. »
« On a longtemps cherché s'il y avait une langue naturelle et commune à tous les hommes ; sans doute, il y en a une ; et c'est celle que les enfants parlent avant de savoir parler. »
« Dans tous les maux qui nous arrivent, nous regardons plus à l'intention qu'à l'effet. Une tuile qui tombe d'un toit peut nous blesser davantage mais ne nous navre pas tant qu'une pierre lancée à dessein par une main malveillante. »
« Je connais trop les hommes pour ignorer que souvent l'offensé pardonne, mais que l'offenseur ne pardonne jamais. »
« Les choses les plus difficiles à confesser ne sont pas les crimes, mais les actes ridicules et honteux. »
« Le sauvage vit en lui-même ; l'homme sociable toujours hors de lui ne sait vivre que dans l'opinion des autres. »
« La liberté consiste moins à faire sa volonté qu'à ne pas être soumis à celle d'autrui. »
« La personne la plus hésitante à faire une promesse est celle qui la respectera avec le plus de foi. »
« Les seuls biens dont la privation coûte sont ceux auxquels on croit avoir droit. »
« Il ne faut point refuser pour refuser, mais pour faire valoir ce qu'on accorde. »
« C'est surtout dans la solitude qu'on sent l'avantage de vivre avec quelqu'un qui sait penser. »
« Il y a des visages plus beaux que le masque qui les couvre. »
« Pour être quelque chose, pour être soi-même et toujours un, il faut agir comme on parle : il faut être toujours décidé sur le parti qu’on doit prendre, le prendre hautement et le suivre toujours. »
« Un innocent persécuté prend longtemps pour un pur amour de la justice l'orgueil de son petit individu. »
« L’ignorance n’a jamais fait de mal ; l’erreur seule est funeste ; on ne s’égare point parce qu’on ne sait pas, mais parce qu’on croit savoir. »
« Savez-vous quel est le plus sûr moyen de rendre votre enfant misérable ? C'est de l'accoutumer à tout obtenir. »
« En amour, une faveur qui n'est pas exclusive est une injure. »
« L’impulsion du seul appétit est esclavage, l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté. »
« L’homme civil veut que les autres soient contents de lui, le solitaire est forcé de l’être lui-même ou sa vie lui est insupportable. »
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Re: A la recherche d'Atoum
Le métal qui respire
http://www.ted.com/talks/lang/fr/doris_kim_sung_metal_that_breathes.html
http://www.ted.com/talks/lang/fr/doris_kim_sung_metal_that_breathes.html
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
J'étais dans cet état jusqu'à ce que des pigeons viennent semer le trouble en roucoulant devant ma fenêtre
Arf ... sacrés volatiles
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Pfff ... impossible de me relaxer. Ce putain d'ulcère qui fait encore des siennes ... !!
Je vais me mettre à l'horizontale tiens ... et compter les moutons
Je vais me mettre à l'horizontale tiens ... et compter les moutons
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Non, surtout pas à l'horizontal...sera encore pire !!! demi-assis.... et mie de pain... et argile verte pour faire pansement...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Merci Lemniscate
Tu sais, je me trimbale ça depuis mes 35 ans ... J'ai ce qu'il faut pour le soigner et je peux m'allonger quand même.
Tu sais, je me trimbale ça depuis mes 35 ans ... J'ai ce qu'il faut pour le soigner et je peux m'allonger quand même.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
As tu essayé l'argile verte supra ventillée ? tu mets 1à 2 cà s d'argile dans un verre d'eau que tu laisses toute la nuit " macérer " le matin tu bois l'eau chargée en oligoéléments et l'argile qui te fera un pansement gastrique ..
Dernière édition par Lemniscate le Sam 5 Jan 2013 - 20:25, édité 1 fois
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: A la recherche d'Atoum
Au goût tu verras c'est pas trop déguelasse... (neutre) , il faut faire une petite cure de 10 jours au moins....
Bizzz
Bizzz
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Ok ...
Je vais me coucher. Je ne tiens plus là ...
Bonne nuit et encore merci.
Je vais me coucher. Je ne tiens plus là ...
Bonne nuit et encore merci.
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Bonne nuit à toi aussi....
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
Re: A la recherche d'Atoum
Suite de ce que j'ai posté sur le fil de Basilice.
Je me connais ... bien. Je sais donc d'où proviennent mes blessures et, de ce fait, sais m'excuser dès que je détecte l'origine de la réaction qu'elles provoquent de par leur activation. J'ai énormément travaillé là-dessus.
Il se trouve que je suis un très grand sensitif. Que, quand une relation me tient à cœur, je ressens viscéralement les doutes et les actions de l'autre, ce qu'il fait et vit. J'en suis parfois chaviré, voire meurtri de manière indicible. Il se trouve que je peux appeler n'importe quand en fait dès que je ressens la tristesse de l'autre ...
Je ne sais qu'être transparent. Et les ressentis de l'autre, changeants, influent sur moi et me font aussi changer, m'adapter; me font réfléchir.
Cependant, un noyau dur reste en moi. Ce qui ma constitué depuis l'origine, mes croyances, mes vœux envers moi, le souhait que j'ai formulé d'être ce que je veux être.
Je ne cherche pas un appui, à me reposer sur un autre. Ce sont des choses que j'ai vécues, comme reposoir, et je sais pertinemment ce que cela m'a couté.
Quand je fais un choix, je l'explique. Je le démontre au mieux de mes possibilités, ayant auparavant exprimé le pourquoi, la place que prennent mes fondamentaux dans ma vie et l'attachement que j'y porte.
Ceci peut-être pris pour un manque d'ouverture ... Peut-être. Mais ce sont aussi des différences, comme d'autres en portent. Elles peuvent en devenir incompatibles, et je ne crois pas que cela doivent être pris pour une faute de quelque coté que ce soit. Elles sont, simplement.
Ainsi, un partage peut s'effectuer à un moment ou a une autre. Puis s'arrêter. Ce qui n'empêche le respect et une affection qui perdure, et qui peut aller, chez moi, à souhaiter le bonheur à l'autre dans sa recherche.
Ce que je décris peut ressembler aux dires de ceux qui affirment qu'il n'y a pas de promesses qui durent à vie. Je le concède. Pourtant, de mon coté, je pense que cela existe. Que cela est si la transparence prend place depuis depuis le début et que l'envie de construire se fonde sur des bases communes, en sachant que les aléas de la vie peuvent changer les édifications périmétriques, mais pas les bases érigées ensemble, ces fameux fondamentaux partagés.
Tout est basé sur la confiance pour moi, et, par essence, je l'offre. A ma démesure ...
Reste à ceux qui s'y frottent à en accepter ou non le "poids".
PS : Tout cela n'est pas en vue de me faire accepter, hein ? (non mais )
Je me connais ... bien. Je sais donc d'où proviennent mes blessures et, de ce fait, sais m'excuser dès que je détecte l'origine de la réaction qu'elles provoquent de par leur activation. J'ai énormément travaillé là-dessus.
Il se trouve que je suis un très grand sensitif. Que, quand une relation me tient à cœur, je ressens viscéralement les doutes et les actions de l'autre, ce qu'il fait et vit. J'en suis parfois chaviré, voire meurtri de manière indicible. Il se trouve que je peux appeler n'importe quand en fait dès que je ressens la tristesse de l'autre ...
Je ne sais qu'être transparent. Et les ressentis de l'autre, changeants, influent sur moi et me font aussi changer, m'adapter; me font réfléchir.
Cependant, un noyau dur reste en moi. Ce qui ma constitué depuis l'origine, mes croyances, mes vœux envers moi, le souhait que j'ai formulé d'être ce que je veux être.
Je ne cherche pas un appui, à me reposer sur un autre. Ce sont des choses que j'ai vécues, comme reposoir, et je sais pertinemment ce que cela m'a couté.
Quand je fais un choix, je l'explique. Je le démontre au mieux de mes possibilités, ayant auparavant exprimé le pourquoi, la place que prennent mes fondamentaux dans ma vie et l'attachement que j'y porte.
Ceci peut-être pris pour un manque d'ouverture ... Peut-être. Mais ce sont aussi des différences, comme d'autres en portent. Elles peuvent en devenir incompatibles, et je ne crois pas que cela doivent être pris pour une faute de quelque coté que ce soit. Elles sont, simplement.
Ainsi, un partage peut s'effectuer à un moment ou a une autre. Puis s'arrêter. Ce qui n'empêche le respect et une affection qui perdure, et qui peut aller, chez moi, à souhaiter le bonheur à l'autre dans sa recherche.
Ce que je décris peut ressembler aux dires de ceux qui affirment qu'il n'y a pas de promesses qui durent à vie. Je le concède. Pourtant, de mon coté, je pense que cela existe. Que cela est si la transparence prend place depuis depuis le début et que l'envie de construire se fonde sur des bases communes, en sachant que les aléas de la vie peuvent changer les édifications périmétriques, mais pas les bases érigées ensemble, ces fameux fondamentaux partagés.
Tout est basé sur la confiance pour moi, et, par essence, je l'offre. A ma démesure ...
Reste à ceux qui s'y frottent à en accepter ou non le "poids".
PS : Tout cela n'est pas en vue de me faire accepter, hein ? (non mais )
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Oliver Sacks : Ce que les hallucinations révèlent de nos pensées.
Oliver Sacks attire notre attention sur le syndrome de Charles Bonnett qui touche les malvoyants qui font l'expérience d'hallucinations lucides. Il décrit les expériences de ses patients au travers de détails réconfortants et nous entraine à travers les aspects biologiques de ce phénomène peu documenté.
http://www.ted.com/talks//lang/fr/oliver_sacks_what_hallucination_reveals_about_our_minds.html
Oliver Sacks attire notre attention sur le syndrome de Charles Bonnett qui touche les malvoyants qui font l'expérience d'hallucinations lucides. Il décrit les expériences de ses patients au travers de détails réconfortants et nous entraine à travers les aspects biologiques de ce phénomène peu documenté.
http://www.ted.com/talks//lang/fr/oliver_sacks_what_hallucination_reveals_about_our_minds.html
Invité- Invité
Re: A la recherche d'Atoum
Ça y est. J'ai fait mon mea-culpa pour ce que je reconnais être de ma faute, et cela pleinement. Je ne peux rien de plus. Je suis en paix avec moi.
Invité- Invité
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