Rêves de zèbres
+2
Darth Lord Tiger Kalthu
Lophophora
6 participants
Page 1 sur 1
Rêves de zèbres
Cela fait bien longtemps que je ne me rappelle plus de mes rêves en me réveillant, mais lorsque j'étais plus jeune je m'en rappelais souvent, j'avais même à une époque la démarche de les noter sous forme d'une petite fiche de synthèse au réveil, pour pouvoir y revenir plus tard et tenter de m'en servir, de les comprendre, ou tout simplement pour m'en souvenir mieux.
Ce dont je me rappelle très bien en revanche, c'est de ce rêve très récurrent chez moi à tous les âges. Apparemment je ne suis pas le seul à l'avoir régulièrement, c'est peut-être donc un grand classique ?
Dans mon rêve, je suis dans la vraie vie, et je dois affronter une situations difficile, pénible, ou faire face à l'agressivité ou l'incompréhension des autres. Immédiatement, sachant que je n'y arriverai pas, j'utilise cette faculté que j'ai de m'élever dans les airs. Parfois pas très haut, juste ce qu'il faut pour échapper au toucher des autres (genre la hauteur d'un arbre), et parfois beaucoup plus haut pour vraiment m'échapper totalement, et je profite alors d'une vue d'avion très belle, d'un grand recul sur les choses. La plupart du temps je reste statique, cela me demande un effort de me maintenir en l'air, mais cet effort est à ma portée, souvent même "facile". Mais d'autres fois j'avance, un peu comme un oiseau, et je voyage de cette façon en contemplant le monde d'en haut. Il m'arrive de redescendre et de remonter plusieurs fois dans ces rêves, mais en général cela se finit "en haut".
Voilà, c'est un rêve extrêmement agréable à faire. Je pense que son analyse n'est pas difficile mais je serai curieux de savoir si d'autres parmi vous le font, avec peut-être des différences plus ou moins importantes ?
Ce dont je me rappelle très bien en revanche, c'est de ce rêve très récurrent chez moi à tous les âges. Apparemment je ne suis pas le seul à l'avoir régulièrement, c'est peut-être donc un grand classique ?
Dans mon rêve, je suis dans la vraie vie, et je dois affronter une situations difficile, pénible, ou faire face à l'agressivité ou l'incompréhension des autres. Immédiatement, sachant que je n'y arriverai pas, j'utilise cette faculté que j'ai de m'élever dans les airs. Parfois pas très haut, juste ce qu'il faut pour échapper au toucher des autres (genre la hauteur d'un arbre), et parfois beaucoup plus haut pour vraiment m'échapper totalement, et je profite alors d'une vue d'avion très belle, d'un grand recul sur les choses. La plupart du temps je reste statique, cela me demande un effort de me maintenir en l'air, mais cet effort est à ma portée, souvent même "facile". Mais d'autres fois j'avance, un peu comme un oiseau, et je voyage de cette façon en contemplant le monde d'en haut. Il m'arrive de redescendre et de remonter plusieurs fois dans ces rêves, mais en général cela se finit "en haut".
Voilà, c'est un rêve extrêmement agréable à faire. Je pense que son analyse n'est pas difficile mais je serai curieux de savoir si d'autres parmi vous le font, avec peut-être des différences plus ou moins importantes ?
Lophophora- Messages : 415
Date d'inscription : 11/12/2012
Age : 51
Localisation : Singapore
Re: Rêves de zèbres
Moi mes réves sont divers (et n'ont rien de zebresque je pense ou j'espère).
Le coup du vol me rappelle une série de rêves étant jeune.
Je suis dans un rêve, je suis avec des enfants de mon age et pour une raison que j'ignore je comprends que je rêve. Là arrive un danger. Donc je vole pour l'identifier (dur au départ, mais comme je sais que je rêve je me dis que je peux le faire). Ce qui est étrange c'est que je dis aux autres "on est dans mon rêve, je peux vous sauver", un peu comme si je me considérais dans un autre monde et que eux étaient vraiment en danger. Donc je me concentre pour faire apparaître une cabine téléphonique pour appeler la police (oui pas de portable à l’époque). Je fais apparaître des trous, j'emporte les autres en volant etc...
Assez étrange mais pas refais depuis fort longtemps celui là !!!
Le coup du vol me rappelle une série de rêves étant jeune.
Je suis dans un rêve, je suis avec des enfants de mon age et pour une raison que j'ignore je comprends que je rêve. Là arrive un danger. Donc je vole pour l'identifier (dur au départ, mais comme je sais que je rêve je me dis que je peux le faire). Ce qui est étrange c'est que je dis aux autres "on est dans mon rêve, je peux vous sauver", un peu comme si je me considérais dans un autre monde et que eux étaient vraiment en danger. Donc je me concentre pour faire apparaître une cabine téléphonique pour appeler la police (oui pas de portable à l’époque). Je fais apparaître des trous, j'emporte les autres en volant etc...
Assez étrange mais pas refais depuis fort longtemps celui là !!!
_________________
IMPERATOR•KALTHU•CAESAR•DIVVS
Pour plus d'infos cliquez là -> Appel tigres XXX Règles de courtoisie XXX pour les nouveaux XXX C'est quoi les Tigres ? <-
Re: Rêves de zèbres
Adorant dormir et rêver (que je considère comme une seconde vie), j'aime noter mes aventures et y revenir de temps en temps, on apprend certaines choses, on en débloque d'autres, mais c'est souvent difficile de faire face à ses rêves, notre inconscient nous balance la sauce un peu violemment des fois.
J'ai déjà fait des rêves comme le tien Lophophora, mais je ne m'envolais pas pour échapper à une difficulté, lorsque je m'envole c'est au bout de plusieurs essais, et j'ai toujours ce sentiment d'avoir réussi quelque chose que les autres n'arrivent pas à faire et auquel ils ne croient pas, je suis sereine et contente d'avoir été plus loin que ce que qui est dans la norme.
Le rêve que je fait très fréquemment est un rêve dans lequel je suis au bord de la mer et la plage est très pentue, les vagues sont hautes et approchent dangereusement jusqu'à vouloir happer les gens...bien souvent je dois m'accrocher à quelque chose pour ne pas me laisser être emportée.
Je pense que Jung pourrait m'aider, l'eau représente parait-il l'inconscient du rêveur & collectif...ben le mien est perturbé depuis un moment dis donc!
J'ai déjà fait des rêves comme le tien Lophophora, mais je ne m'envolais pas pour échapper à une difficulté, lorsque je m'envole c'est au bout de plusieurs essais, et j'ai toujours ce sentiment d'avoir réussi quelque chose que les autres n'arrivent pas à faire et auquel ils ne croient pas, je suis sereine et contente d'avoir été plus loin que ce que qui est dans la norme.
Le rêve que je fait très fréquemment est un rêve dans lequel je suis au bord de la mer et la plage est très pentue, les vagues sont hautes et approchent dangereusement jusqu'à vouloir happer les gens...bien souvent je dois m'accrocher à quelque chose pour ne pas me laisser être emportée.
Je pense que Jung pourrait m'aider, l'eau représente parait-il l'inconscient du rêveur & collectif...ben le mien est perturbé depuis un moment dis donc!
Re: Rêves de zèbres
Tiens, un truc amusant : cela faisait très longtemps que je ne me rappelais plus de mes rêves, mais depuis quelques jours, je m'en rappelle de nouveau (parfois uniquement à court terme), et ce tous les jours ! Je me demande ce qui peut expliquer ce phénomène surprenant. Si quelqu'un a une idée...
Lophophora- Messages : 415
Date d'inscription : 11/12/2012
Age : 51
Localisation : Singapore
Re: Rêves de zèbres
J'voudlais bien, ouin ouin ouin,
Mais ch'peux point ouin ouin ouin
Mariée deux enfants.
Mes envies de déménagement, de changement de boulot, de sortir 10euros par semaine pendant 1 an pour après quitter le cocon et "refaire ma vie" je m'en suis ouverte à ma psychologue il y a quelques années. Elle m'a fait penser que c'était une fuite...
Quelle fuite !
Mais ch'peux point ouin ouin ouin
Mariée deux enfants.
Mes envies de déménagement, de changement de boulot, de sortir 10euros par semaine pendant 1 an pour après quitter le cocon et "refaire ma vie" je m'en suis ouverte à ma psychologue il y a quelques années. Elle m'a fait penser que c'était une fuite...
Quelle fuite !
Ise- Messages : 7899
Date d'inscription : 18/10/2012
Age : 55
Re: Rêves de zèbres
Lophophora a écrit:Tiens, un truc amusant : cela faisait très longtemps que je ne me rappelais plus de mes rêves, mais depuis quelques jours, je m'en rappelle de nouveau (parfois uniquement à court terme), et ce tous les jours ! Je me demande ce qui peut expliquer ce phénomène surprenant. Si quelqu'un a une idée...
Tu n'es pas en vacances, ou dans une période moins stressée? Des fois ça peut suffire, ton cerveau est moins sur le qui-vive, mon ami se souvient davantage de ses rêves lorsqu'il est en vacances.
Autre hypothèse, si jamais tu fumes (des choses pas forcément nettes lol) et que tu as arrêté ça peut jouer aussi.
Bon après je ne te connais pas alors
Ou après les rêves que tu fais en ce moment ont peut-être davantage de signification pour toi, ils te transmettent peut-être des signes forts qui correspondent à des choses qui te préoccupent consciemment ou inconsciemment.
Les rêves dont je me souviens très bien sont toujours très théâtraux et bourrés de signes (mythologiques, symboles etc...) ou bien touchent à une sphère de ma vie privée qui me préoccupe beaucoup dans la même période.
Mais ce ne sont que des pistes...
Re: Rêves de zèbres
Carrément pas en vacances, et même plutôt en pleine bourre jusqu'à la fin de la semaine (je prend juste 10 mn ce soir pour venir ici et je file dormir, je me lève à 4h).
Je n'ai rien fumé de "pas net" depuis longtemps, c'est pas la bonne piste non plus
Peu importe après tout, je ne pense pas que ça soit inquiétant.
Bonne nuit, et faites de beaux rêves !
Je n'ai rien fumé de "pas net" depuis longtemps, c'est pas la bonne piste non plus
Peu importe après tout, je ne pense pas que ça soit inquiétant.
Bonne nuit, et faites de beaux rêves !
Lophophora- Messages : 415
Date d'inscription : 11/12/2012
Age : 51
Localisation : Singapore
Re: Rêves de zèbres
Moi mes reves ont toujours ete tumultieuses. Du moins, ceux dont je m'en rappelle.
Mais il y en a un qui m'avait marque parce que je l'avais fait plusieurs fois.
J'etais dans une foret et je courais a en perdre haleine. Les arbres etaient si hauts qu'ils cachaient la lumiere du soleil. J'etais a bout de souffle mais je continuais a courir parce que j'etais en danger. Je detournais la tete de temps a autre pour evaluer la distance entre moi et le "danger" (jusqu'a ce jour, je n'ai jamais su ce que c'etait). Puis, j'ai detourne la tete une derniere fois, en la retournant, j'ai vu un gouffre Juste devant moi, ne pouvant pas ralentir, je m'y precipite en faisant un cri strident et je me reveille.
Parfois quand je me reveille j'etais agrippee a mes draps, en sueur et la respiration difficile.
Je ne traversais aucune mauvaise passe a l'epoque.
Il y a aussi quelque chose de bizarre dans mes reeves, je suis toujours en double. Je veux dire, il y a toujours moi et moi. Il ya moi actrice et moi spectatrice. Par ex, dans celui que je viens de vous expliquer, je me regarde courir genre je me vois me voyant me voir.
Si quelqu'un a une petite idee de ce que cela peut bien vouloir dire...
Mais il y en a un qui m'avait marque parce que je l'avais fait plusieurs fois.
J'etais dans une foret et je courais a en perdre haleine. Les arbres etaient si hauts qu'ils cachaient la lumiere du soleil. J'etais a bout de souffle mais je continuais a courir parce que j'etais en danger. Je detournais la tete de temps a autre pour evaluer la distance entre moi et le "danger" (jusqu'a ce jour, je n'ai jamais su ce que c'etait). Puis, j'ai detourne la tete une derniere fois, en la retournant, j'ai vu un gouffre Juste devant moi, ne pouvant pas ralentir, je m'y precipite en faisant un cri strident et je me reveille.
Parfois quand je me reveille j'etais agrippee a mes draps, en sueur et la respiration difficile.
Je ne traversais aucune mauvaise passe a l'epoque.
Il y a aussi quelque chose de bizarre dans mes reeves, je suis toujours en double. Je veux dire, il y a toujours moi et moi. Il ya moi actrice et moi spectatrice. Par ex, dans celui que je viens de vous expliquer, je me regarde courir genre je me vois me voyant me voir.
Si quelqu'un a une petite idee de ce que cela peut bien vouloir dire...
Dernière édition par Ahnoas le Ven 21 Déc 2012 - 22:29, édité 1 fois
Re: Rêves de zèbres
Attention attention, profitez bien de vos derniers instants, fin du monde programmée !
Ise- Messages : 7899
Date d'inscription : 18/10/2012
Age : 55
Re: Rêves de zèbres
Cette nuit, j'ai fait - pour la première fois, je crois - une rêve dans lequel j'avais pleinement conscience d'être un zèbre, où, en plein sommeil paradoxal, j'ai pu me dire pour moi-même et au sein même de ce rêve : "Voilà exactement ce qui témoigne de ta douance, qui te rend si différent.
Dans ce rêve - dont le souvenir global s'évanouit progressivement depuis mon réveil, il y a près de six heures (j'ai eu d'autres choses à faire depuis, qui m'ont hélas empêché de le partager plus tôt) -, je passe dans une rue, un genre de promenade le long d'une étendue d'eau, et il y a cette enfilade de stands, façon marché ou brocante, que je longe sans y prêter particulièrement attention. Puis mon attention est soudainement et inexorablement captée par cette fille, derrière un de ces stands, qui est en proie à une souffrance psychique, je le ressens d'abord confusément, puis de manière toujours prégnante, insistante, comme une palpitation lourde et implacable à la tempe de mon empathie, ce baromètre sensoriel affolant. Sa détresse, imperceptible à première vue, ne peut plus échapper à ma pleine conscience à présent que je me retourne de plus vers elle, comme un pole magnétique qui m'obsède. Ce tropisme me rend d'ailleurs suspect aux yeux des quidams qui marchent à mes côtés, inaccessible à ce désordre sensitif qui m'est apparu et me plonge là dans une connexion inouïe avec ce point névralgique qui pulse autour de cette fille douloureusement sensible. Les signaux qu'elle m'envoient malgré elle ne trouvent pas d'autres échos dans la foule, qui n'a pas conscience de cette transmission télépathique qui a d'abord ralenti ma démarche pour l'arrêter tout à fait maintenant. Je m'extrais du flot continu des passants pour observer et ressentir mieux encore la source de cette souffrance palpitante, et dissidence avec le mouvement grégaire du cortège me vaut la curiosité interloquée des badauds qui ne saisissent pas la nature de ce phénomène discret et du drame invisible qui se joue là. Une femme à ma hauteur m'imite, pour regarder dans la direction où s’abîme mon regard pénétré. Elle ne verra pas l'objet de cette intensité subite en moi, qui m'a progressivement arraché à cette procession musardine pour me précipiter dans l'authenticité d'un rapport surnaturel. Un phénomène paranormal dont l'émetteur n'a même conscience, d'ailleurs : la fille ne semble pas percevoir que j'ai compris. Me voit-elle seulement ? Mon corps est à l'arrêt et encore loin, et si j'ai amorcé un mouvement vers elle, il est encore intérieur, ténu, indécis. Je suis dans l'expectative.
Et le rêve s'achève là où s'interrompent les meilleurs rêves : au moment-même de sa résolution (?), quand j'allais hypothétiquement traverser la rue pour combler la distance physique qui m'empêchait encore de lui dire que je n'ai pas pu faire semblant d'ignorer ce parasitage émotionnel, parce que je suis ce monstre d'empathie, cette bizarrerie de l'évolution dotée d'une "sensibilité absurde" (Flaubert).
Dans le cadre d'un projet de recueil de nouvelles consacrées aux brèves rencontres atypiques et intenses, je vais écrire sur ce rêve, en imaginant la suite de cette séquence symptomatique.
Dans ce rêve - dont le souvenir global s'évanouit progressivement depuis mon réveil, il y a près de six heures (j'ai eu d'autres choses à faire depuis, qui m'ont hélas empêché de le partager plus tôt) -, je passe dans une rue, un genre de promenade le long d'une étendue d'eau, et il y a cette enfilade de stands, façon marché ou brocante, que je longe sans y prêter particulièrement attention. Puis mon attention est soudainement et inexorablement captée par cette fille, derrière un de ces stands, qui est en proie à une souffrance psychique, je le ressens d'abord confusément, puis de manière toujours prégnante, insistante, comme une palpitation lourde et implacable à la tempe de mon empathie, ce baromètre sensoriel affolant. Sa détresse, imperceptible à première vue, ne peut plus échapper à ma pleine conscience à présent que je me retourne de plus vers elle, comme un pole magnétique qui m'obsède. Ce tropisme me rend d'ailleurs suspect aux yeux des quidams qui marchent à mes côtés, inaccessible à ce désordre sensitif qui m'est apparu et me plonge là dans une connexion inouïe avec ce point névralgique qui pulse autour de cette fille douloureusement sensible. Les signaux qu'elle m'envoient malgré elle ne trouvent pas d'autres échos dans la foule, qui n'a pas conscience de cette transmission télépathique qui a d'abord ralenti ma démarche pour l'arrêter tout à fait maintenant. Je m'extrais du flot continu des passants pour observer et ressentir mieux encore la source de cette souffrance palpitante, et dissidence avec le mouvement grégaire du cortège me vaut la curiosité interloquée des badauds qui ne saisissent pas la nature de ce phénomène discret et du drame invisible qui se joue là. Une femme à ma hauteur m'imite, pour regarder dans la direction où s’abîme mon regard pénétré. Elle ne verra pas l'objet de cette intensité subite en moi, qui m'a progressivement arraché à cette procession musardine pour me précipiter dans l'authenticité d'un rapport surnaturel. Un phénomène paranormal dont l'émetteur n'a même conscience, d'ailleurs : la fille ne semble pas percevoir que j'ai compris. Me voit-elle seulement ? Mon corps est à l'arrêt et encore loin, et si j'ai amorcé un mouvement vers elle, il est encore intérieur, ténu, indécis. Je suis dans l'expectative.
Et le rêve s'achève là où s'interrompent les meilleurs rêves : au moment-même de sa résolution (?), quand j'allais hypothétiquement traverser la rue pour combler la distance physique qui m'empêchait encore de lui dire que je n'ai pas pu faire semblant d'ignorer ce parasitage émotionnel, parce que je suis ce monstre d'empathie, cette bizarrerie de l'évolution dotée d'une "sensibilité absurde" (Flaubert).
Dans le cadre d'un projet de recueil de nouvelles consacrées aux brèves rencontres atypiques et intenses, je vais écrire sur ce rêve, en imaginant la suite de cette séquence symptomatique.
Kadjagoogoo- Messages : 900
Date d'inscription : 15/11/2014
Localisation : Lyon (Dabrowski Point)
Sujets similaires
» Nos rêves nocturnes de zèbres
» Un zèbre, deux zèbres, trois zèbres... Un lion, plus d'zèbres.
» trop zèbres pour les non-zèbres mais pas assez pour les vrais zèbres...
» Comment les jeunes zèbres envisagent-ils leur avenir de vieux zèbres?
» Rencontre de Zebrés Belge Néerlandophone, ouvert pour tou(te)s les Zebrés
» Un zèbre, deux zèbres, trois zèbres... Un lion, plus d'zèbres.
» trop zèbres pour les non-zèbres mais pas assez pour les vrais zèbres...
» Comment les jeunes zèbres envisagent-ils leur avenir de vieux zèbres?
» Rencontre de Zebrés Belge Néerlandophone, ouvert pour tou(te)s les Zebrés
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum