Arrivez-vous à réfléchir à une question qui ne vous intéresse pas ?

Arrivez-vous à réfléchir à une question qui ne vous intéresse pas ?

En fait je cherche depuis que j'ai la ta question ce que peut être une question qui ne m’intéresse pas.
Et en fait, je peux répondre aux deux questions d'un coup : une question qui ne m’intéresse pas est une question dont j'ai la réponse...

Non

Oui et non... Je peux commencer mais si ça ne m'intéresse pas mes pensées vont gentiment dériver toutes seules vers quelque chose de plus intéressant.
Problèmes de concentration... je connais aussi.

Eh bien moi, cette question me donne envie de réfléchir à la notion de réponse, ce qui en soi en une, de réponse, dans la mesure où la dite question peut nous intéresser comme question, plutôt que comme problème, et encore moins comme enjeu auquel on accorderait une importance ou une urgence qui nous pousserait à nous déterminer.

Bon – on l'aura peut-être compris –, ce qui m'intéresse, c'est aussi de justifier la réputation des philosophes – dont je ne suis pas –, je veux parler du fait, qu'après qu'ils ont répondu, on ne comprend plus le sens de sa question.

Alors, voilà : une question, on se la pose en contexte. C'est-à-dire que, pour répondre en toute généralité, il faudrait déjà commencer par établir la liste de tous les contextes possibles, ou de tous les contextes courants.
La raison de cela, c'est que ma réponse à ta question peut différer, Wise, parce que déjà les choix que tu indiques ne sont pas tous pertinents pour tous les contextes.

J'ai commencé une petite liste, à compléter, mais cela devient technique, et je préfère épargner les esprits sensibles, dont le mien.

Simplement, selon le contexte, je prévois des réponses en : Oui / Non / Indécidable / Je ne souhaite pas répondre / Je ne sais pas bien / Ce n'est pas suffisamment important / Si la question était mieux formulée, je pourrai peut-être répondre / etc.

Pour terminer par le commencement, je dirais qu'il y a des enjeux qui ne m'intéressent pas, ou plutôt c'est que j'ai décidé de ne pas m'y intéresser; et pourtant, si on les exprime comme problèmes, je peux me prendre au jeu de les résoudre, ce qui va dès lors m'intéresser; et puis, comme ici, il y a des questions qui sont intéressantes en elles-mêmes, parce qu'elles permettent de réfléchir sur le contenu ou sur la forme de la pensée.

"Je sais pas, j'ai jamais essayé" ^^

Du coup j'ai voté pour Obi-Wan Kenobi

En tout cas Wise, ta liste est excellente... (même si marketinguement parlant tu risques de galérer sur la significativité des résultats).

J'aurais bien répondu oui,

parce que des fois dans la vie faut bien se poser des questions qui nous em... profondément mais qui ont l'air de passionner les gens autour de nous, du style:
- "qu'est ce que je vais lui faire comme prix à ce satané client?"
- "est ce que c'est grave si mon copain Brian (oui, oui celui de la kitchen) n'est plus mon ami, dis maman?"
- "qu'est ce que tu veux pour Noêl?" (alors celle là vraiment....en plus elle récurre tous les ans...)
- "aurons nous de l'eau cet été (dixit G Roussel)?"
Fin voilà je peux continuer encore pendant longtemps...

mais j'ai pas trouvé la ligne à cocher... Tu peux créer une réponse "oui faut bien mais ça gave?"

Quand une question ne m'intéresse pas j'ai tendance à prendre la première réponse qui me vient à l'esprit sans développer, de cette manière je suis en quelque sorte "débarrasser" de ce que je n'aime pas pour profiter de ce que j'aime.

On peut comparer cela à une assiette pleine de nourriture, je commence par ce que je n'aime pas pour remplacer le gout désagréable par le gout que je préfère après

ok, je me suis mal exprimé ;

la question :

Arrivez-vous à réfléchir, à un problème qui ne vous passionne pas dutout, mais au contraire qui vous rebute. ?

TEST DE QI

moi je brille quand je fais ce que j'aime. quand ça me plait, quand ça me passionne.

mon cerveau bloque si il déteste, le sujet.
impossible de réfléchir.
complètement bloqué !

celui (court) d'entrée à Mensa, j'ai trouvé les questions pas intéressantes.
ça ne m'a pas motivé dutout.

j'ai trouvé le moment pénible.
mon esprit ne voulait pas.

impossible de me concentrer.

ça me l'a toujours fait.

les psys apellent ça le TDAH.


mon cerveau veut à tout prix fuir ce qu'il trouve pénible,
et recherche inlassablement ce qu'il adore.


il faut que le sujet me soit montré de façon agréable, c'est tout.
mes notes variaient en fonction de mes profs.

(prof agréable et gentil : super notes. prof colérique : effondrement et grande souffrance).


<< Le rôle essentiel du professeur est d'éveiller la joie de connaître. >>
Albert Einstein

<< L'enseignement devrait être ainsi :
celui qui le reçoit le recueille comme un don inestimable mais jamais comme une contrainte pénible. >>
Einstein

Je sais ! ; Obiwan Kenobi. c'est toujours la bonne réponse de toute façon.

Ah non, je suis désolée, mais c'est 42.

Du coup je répondrai pas.

RE-fléchir ..... Plier les genoux comme à ski ?
Plier le cerveau alors ?
J'aime bien réfléchir.
oui si c'est nouveau.

Moi, j'réfléchis pas, j'pense ! Et des fois j'sais.
Pis des fois, faut qu'j'y pense.
Mais sinon, ta question m'intéresse
En fait, j'crois qu'j'y avais encore jamais réfléchi...

Mais à bien y réfléchir... Trêve de plaisanterie !
J'ai plutôt l'impression d'être une "pelleteuse de nuages" à la façon de Jean-Baptiste Adamsberg (héros de Fred Vargas pour ceux qui n'ont pas encore le plaisir de le connaître) : soit l'idée est là (avec ses copines, bien sûr), soit non. Point. Que le sujet m'intéresse ou pas.

Attends, j'essaie pour voir.

...

Bon. Déjà il me faudrait une question qui ne m'intéresse pas un minimum. Ou que je ne puisse pas rendre un minimum intéressante.
Euh, c'est mort semble-t-il Il y a forcément au moins UN truc qui peut être intéressant, un angle de vue ou quelque chose.

J'crois que c'est juste quand on veut m'obliger à réfléchir à quelque chose que je n'aime pas ça. Ca n'a donc rien à voir avec la question ni avec son intérêt intrinsèque.
Ce qui annule ta question. Désolée
Ou pas.

En tous cas, ça m'a bien plu. Surtout de lire tes réponses possibles.
Mais j'suis pas sûre d'avoir réfléchi. Ni même de t'avoir répondu, en fait. Vu que pour moi y'a pas de question.
Ou alors, c'est que la question ne se pose pas
Mais j'vois pas en quoi ça t'empêche de la poser.Parce qu'après tout, c'est pas parce qu'y a pas de question qu'on peut pas se la poser, non ? Et j'parle même pas des Papous !
Tant mieux d'ailleurs sinon je n'ai pas fini de pourrir ce post.

"Attends, je réfléchis au sens de la question..."

c'est vrai... reflechir a propos de quelque chose qui ne m'interesse pas (tu as bien changer la question non? au 19 dec 2012 20:02)...
je commencerai bien sure, histoire de me prouver que je suis un etre exceptionnel mais mon cerveau lacherait. non mais avec tout ce qui me passionne auquels je dois y penser, a venir rajouter un truc qui me rebute???
non, je suis pas superwoman, je suis un etre humain avec ces limites alors la reponse est un retentissant : NON!!!!!!!!!!

Darth Toff a écrit: Du coup j'ai voté pour Obi-Wan Kenobi

Ha c'est toi ? moi aussi ...

L'intérêt d'une chose est fonction de ce qu'elle déclenche chez nous.
Lui même fonction de l'expérience que l'on a de celle ci.

Or, c'est quelque chose qui varie facilement.
Par exemple j'ai pas envie de parler de l'art indien. Demain j'ai un ami qui aime l'art indien et il a envie de discuter avec moi.
Bah la veille au soir pour pas paraître trop con je vais aller sur Wikipédia histoire de pas passer pour un looser. C'est dans mon intérêt mdr.

Je pense que l'esprit des prodiges tend à se fermer à tout ce qui ne tombe pas dans leur domaine. Cf Poincaré qui voulait pas dessiner chez pas quoi et a eu un 0. Mais franchement quoi mdr ! C'est quand même étonnant. Mais bon c'est juste une tendance à l’opposition à l'autorité qu'il a certainement avoir depuis petit et qui s'est renforcée au gré de ses expériences.

C'est une erreur.

Je réfléchis à pourquoi je devrais réfléchir à cette question. Puis à pourquoi je devrais réfléchir à pourquoi je devrais réfléchir à cette question. Puis je fuis

Tout m'intéresse mais c'est d'extérioriser tout de suite qui ne me vient pas forcément.
Une idée est exprimée; un bout de mon attention s'y accroche; je répondrais bien un jour, mais quand je serai prêt. D'ailleurs j'ai des dizaines, peut-être des centaines de réponses en attente à faire ici, un jour ou l'autre.

Ce que je n'apprécie pas, c'est qu'on me demande d'abonder, ou de réagir, comme s'il était surtout question d'être d'accord, d'être prêt à rigoler à la première stupidité ou à combattre contre le premier moulin venu...
— Ceci est cela, n'est-ce pas ? — Ce n'est pas normal... — Tu as vu ça... — Comme c'est beau, hein !
Voilà ce qu'on me dit, ce que me disent des proches, qui m'aiment bien, et que j'aime bien, et qui voudraient communiquer... et moi aussi je voudrais d'ailleurs... Mais faire comme si je m'intéressais au flux et au reflux du moment, ça ne vient pas. Tout peut attendre, une semaine, ou un mois, le temps que l'effet de mode soit passé. Là on peut rassembler ce qu'on a perçu de loin et commencer à réfléchir de façon argumentée.

Hiiiiiiii hiiiiii hiiiiiiiii Trop de choix... panique, fonce dans un mur tête baissée et tombe dans les pommes.

Pour moi c'est devenu de pire en pire avec les années,
je suis devenu totalement incapable de réfléchir à quelquechose qui ne m'intéresse pas. même d'assez simple.

je trouve ça insupportable de perdre du temps à réfléchir à quelquechose qui ne me fait pas avancer vers un de mes buts.

je suis le seul a m’être poser la question "ou est le oui et le non ?"

bon et bien obiwan kenobi ! ou euuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuk j’hésite ( les deux s'est possible ? )

J'adore ta réponse Kass! En lisant le post, j'ai pensé à José de scène de ménage.

Et même pas honte!

ma réponse fut Obi Wan Kenobi, mais j'y réfléchis encore, à cette foutue question !

@supercali:

Dans ce cas de figure je formule très rapidement une méta-question :

-Pourquoi diable cette question passionne-t-elle la moitié de la planète mais pas moi, aurais-je manqué qqch ?   

Exemple de ? déclanchant ce processus:

Je viens ici juste parce que le titre du fil m'interpelle.

Je vois une longue série de cases à cocher, même pas envie de les lire !!!

En revanche le
- arrivez-vous à réfléchir : ben oui tout le temps ça tourne là-haut
- à une question : encore mieux, si on me pose une question ben là au moins ma réflexion va servir à quelque chose
- qui ne vous intéresse pas : ça existe ?   

Crotte de bichette et puis s'en va

Edit : le Bresil, 'tain, trop envie d'y aller. C'est quoi qui va se passer ? Au pif du foot ? T'aimes le foot ? Moi oui mais juste quand la balle entre dans les buts, et puis je me demande si une cuisse de footballeur c'est plus gros qu'un jambon ou pas. Ca doit être cool les ola au Brésil. Je ne regarderai pas le match sans doute car moi et les RV TV c'est pas ça, mais si tu peux me conseiller un lien de streaming gratuit etc etc etc

Tout dépend de la question... en question   

Mais effectivement, plus le sujet m'intéresse, plus mon cerveau sera performant. Cependant, j'ai pas très bien compris le but de ce sondage un peu embrouille neurones. Par rapport à un test de Q.I ? Parce que dans ce cas je me dis que je dois vraiment tenter de tout donner, même si je ne me sens pas à l'aise à cause du stress (réponse lundi dans le prochain épisode).

Le problème n'est pas de réfléchir à la question, mais bien de réfléchir à la réponse. Est-ce que d'avoir une réponse à la question va changer ta perception du monde, de ta vie ? Ou t'aider dans ta passion ? Ou autre ?  
Dans le cas où il s'agit d'un sujet pas intéressant, mais que je sais qu'il va falloir obtenir une réponse car "ma vie en dépend", je peux essayer 2 techniques :
1) la carotte : "cerveau réfléchi! ! Et tu auras du chocolat ! (Le problème étant que mon cerveau connaît la localisation du chocolat)
2) le feintage : essayer de faire croire à son cerveau qu'il y a un intérêt personnel à répondre à la question, qu'on pourra en tirer un avantage (hint : noyer les réflexions du cerveau quant à savoir si cela vaut vraiment la peine dans les pensées parasites non-liées au sujet) (problème : tout cela prend vite beaucoup, beaucoup de temps)

Tout ça pour dire que j'y réfléchis encore...