Ceci n'est pas une présentation....

Ceci n'est pas une présentation. Ceci n'est pas un conseil. Ceci peut être lu de mille manières. Ceci est une réaction à la douleur exprimée sur ce ce forum.

Une baffe, un coup de poing dans le ventre face à cette douleur, ô combien insupportable, à ces appels au secours et à cette juxtaposition de solitudes qui se rêvent autres.

Je suis mon meilleur ennemi, le plus puissant qui soit.

Chacun sait que nous avons la clé en nous-même. Soit. Se regarder en face, sans pudeur, sans être effrayé par notre crasse, nos faiblesses. Dur, très dur de s'astreindre à cela, d'autant plus qu'un intellect puissant à les moyens de s'égarer dans les concepts. La vie n'est pas conceptuelle. Voilà, je suis en colère : je suis en colère. Je suis heureux : je suis heureux. Je souffre : je souffre. Je suis un salop à cet instant : je suis un salop à cet instant. Ne pas nier la réalité de nos ressentis et des conséquences de nos actes en raison de cette mauvaise conscience, de cet ego qui refuse d'avoir tort. Cette re-connaissance ne peut en rester là. Qu'en faire ? Chacun doit trouver le moteur à générer du bien-être et pourquoi pas du bonheur. Ne surtout pas penser que nous n'avons pas le droit au bonheur (vrai frein, fréquemment observé). Et savoir dire "NON" quand notre être est bafoué et violenté. Le respect de soi passe par ce "NON". Tant pis si les réactions sont violentes chez les autres....

Ah la relation aux autres !....Ca fait mal de se lier aux autres. On ne contrôle pas tout ce qui se passe dans la tête de l'autre. Je suis moi, l'autre est l'autre. Accepter que les faiblesses de l'autre et ses traits de caractère puissent nous énerver. Nous pouvons aimer malgré ces agacements. Ouvrir les yeux autour de soi pour savoir saisir les mains tendus, savoir parler franchement et honnêtement en exprimant ce que nous ressentons. Savoir gérer la frustration... Savoir accepter notre finitude. Savoir s'exposer à poil devant l'autre. Savoir accepter le risque d'avoir mal.


Chacun doit trouver son chemin. Ne pas s'enfermer sur soi. Cette tactique est l'annonce d'une mort prématurée. Nous n'avons qu'une vie, une seule...Qu'elle soit rayonnante, qu'elle puisse procurer du bonheur (même fugace), qu'elle soit créatrice,...enfin ce en quoi vous croyez. Se libérer de nos prisons personnelles.

Je suis mon meilleur ami, le plus puissant qui soit.

Je n'interviendrai peut-être plus sur ce fil, selon mon envie à moi, selon mon humeur . Ne pas y voir du mépris.

Bisous à tous

Bon, en tout cas, bienvenu !

Bienvenue.

Merci beaucoup...Je suis plus vieille que vous
Une revenante...avec un fil de présentation bien bien loin.

Alors, bienvenue à vous et j'espère que vous trouverez ce que vous cherchez sur ce forum.

Tu veux dire que tu étais inscrite sur ce forum auparavant sous un autre nom ?

Sous le même nom. Elle était inscrite et l'est de nouveau.

Non avec le même pseudo mais profil détruit (remplacé par "Invité"). Donc impossible de retrouver mes interventions pour quelqu'un qui ne connait pas SoleilSombre

Bonne année ! Qu'elle vous apporte paix intérieure et épanouissement.

Je viens de lire l'article dont le lien figure dans le dernier message de Theodicee...
http://www.cairn.info/revue-gestalt-2004-2-page-123.htm

Que dire ? Les mots sont justes sur l'expérience d'abandon. Dans un passage, il dit que "le petit abandonné a engrammé dans son corps une sensation de chute infinie". Oh que c'est vrai...C'est cette violence de la chute dans un tunnel, sans pouvoir m'agripper à quoi que ce soit qui m'a marquée. J'en reste là dans ma lecture...
Quand j'ai vu le mot névrose remis en cause à propos de l'abonnique dans l'un des fils de presentation, je n'ai même pas eu le courage de répondre. A quoi bon ? L'indicible de l'expérience.

L'abandon reste dans la chair d'un être qui a été abandonné dans l'enfance, que ce soit un abandon réel ou un abandon au sens d'absence de soin, voire de présence de violences...La poursuite infinie pour remplir ce gouffre tant que cette blessure n'est pas reconnue, tant que la souffrance n'est acceptée pleinement...

Une souffrance acceptée n'est plus une souffrance.
Mon année a débuté à 7h49 ce jour même.

Bonne année à toi.

Une souffrance acceptée ou plutôt accueillie est le début d'une non souffrance...C'est le but du schmilblick.

Très bonne année à toi

bienvenue SoleilSombre,

je ne peux plus accueillir ma souffrance et personne pour l'accueillir à ma place, bien entendu.

Je peux acceuillir celle de quelqu'un d'autre.

ps; pas sur, je suis dans la confusion complete, je suis dingue de souffrance


bon aller, tout le monde s'en fou, à plus

Merci Elfe et je te souhaite une bonne année.

Il faut se laisser le temps pour avancer. Nier son existence est une bombe à retardement. Si tu es capable d'accueillir celle d'un autre, tu es ouvert...Tu n'es pas dans la négation de la tienne. Eh, c'est déjà pas mal non ? Il ne faut pas percevoir cette rémarque comme du je-men-foutisme, ce que nous avons tendance à faire dans le fond du puit ou dans un endroit non identifié du puit.

Tu es vivant. Tu réagis. Tu es mu par ce qui te touche. Tu ne te résumes pas à cette douleur.

Soleil pas sombre a raison !!!
Tu souffres donc tu vis, mais cela n'est pas toute chose.
Tu peux vivre sans souffrir autant.
Je n'ai pas de recette à te donner, fais du mieux que tu peux pour vivre.

J'aime bien la sérénité qui se dégage de ton écriture, Sol. Tu es calme et claire sans occulter tous les mouvements et les torsions que tu décris.

Sol sait très très bien écrire et décrire les choses.

J'en prend de la graine. Pour moi soit tout est contracté, synthétisé, soit tout déborde et ne finit plus. Tous les mots en évitent d'autres. Tous les mots paraissent insuffisants, et plus ça va moins je leur trouve de sens. Ca devient une grande bouillie cynique !

Les mots sont une enveloppe qui portent l'essence de ton message. En soit ils sont inutiles un à un, c'est leur ensemble qui doit donner la musicalité de ton texte.

Ta "présentation" est donc ici . Même si ce n'est pas une vrai "présentation", en même temps, qu'est ce qu'une "vraie" présentation, mis à part de dire "je suis moi" ^^. En tout cas, j'aime bien ce que tu écris ici.

Et puis bonne année à toi aussi!

Il suffit de s'absenter quelques minutes....ça part en...présentation !

Merci Monsieur Pinailleur, Phallucieux, aux multiples pseudos qui me font rire.

IK, Tu te souviens de la séance mémorable de l'atelier d'écriture (The séance, puisqu'unique) ? Ton texte est celui qui a touché le plus : un texte simple, percutant car chaque mot avait sa place...Oui, on peut avoir des doutes sur les mots, sur leur sens. Pourquoi ne pas jouer ? Rire de ces mots et s'amuser de temps en temps....Mis en pâte dit ce qui est essentiel dans un écrit : la musicalité, le ton donné par l'ensemble.

Oui je me souviens^^ il n'y a peut etre que quelques choses que je peux exprimer comme ça. En tout cas, je ne fais pas celle qui n'a pas d'estime d'elle même, parfois je touche des gens, ça suffit amplement à mon égo. Le vieil homme libre, comme il se plait à se décrire lui même, est fort dans le ton, la rhétorique. D'autres ont un beau lyrisme, où pudeur et générosité s'équilibrent bien. En te lisant je me dis que la fluidité et le recul ont du bon.
J'ai relu Prévert il y a quelques mois. Ce sont aussi ses visions qui donnent de la profondeur a la musicalité de ses mots. "Minerve pleure, sa dent de sagesse pousse"

Chacun a une force à exprimer comme tu le dis si bien.
L'image, les sons, le rythme, etc...Les mots sont un matériau, un moyen par lequel tu transmets ce que tu as envie de transmettre. La peur d'être imparfait, il faut le mettre au placard. C'est marrant, je raconte un peu la même chose sur le fil où j'ai mis quelques textes.

Tu me fais penser à ce qu'écrivait Cioran dans ses carnets : "Je ne prise rien tant qu'une prose squelettique traversée d'un frisson."

J'ai beaucoup apprécié certains "frissons" de Cioran, des choses comme "l'éternité est trop petite pour une âme immense et folle, désaccordée par son infinité avec l'existence... que pourrait parvenir jusqu'à elle d'un monde devenu muet?" ; le frisson donne le plaisir et quant au fond, quel soulagement ça avait été aussi de lire ce qui autrement est un tabou (on ne développe pas pour ne pas encourager sur ces voies etc.) tu es clairvoyante à mon sujet ^^

Un correctif adressé a The Rebirth ou Zebran : tu n'es pas le bienvenu sur mon fil.
Du haut de ta fêlure, je te remercie d'y rester et de ne pas revenir sur mon fil.
Toute tentative de provocation buttera contre un vide, un silence mortel.

2013 bizousssssssssssssssssss à toi l'amie SOSO,

Que cette année soit soso good pour toi..

Merci Lemniscate. Très très bonne année à toi.
Mince, moi qui voulais faire mystérieuse avec un pseudo en oxymore
J'aime beaucoup Soso !

Bonne année + 3 jours Soso!!!

Arrête Mimi....Bonne année + 2 jours + 16h12 !

Moi qui pensait être en avance sur mon époque, me voici en retard!!!

C'est pas pour pinailler mais normalement, on a jusqu'à la fin du mois pour souhaiter la bonne année

Alors, là....Comment te viennent les idées ?
Piscine...Ca me fait penser qu'il faudrait recommencer les exercices physiques. Vu mon grand âge, je me rouille...

Sur le coup, c'est à cause de l'Odyssée de Pi.

De l'intérêt des spoilers

Je vous pose une question ontologique du forum.
Pourquoi ces spoilers qui sont censés masquer du contenu alors que tous les lecteurs s'empressent de les lire ? Ce qui est dans le spoiler est presque toujours ce qui est le plus intéressant..Si vous avez des idées, je suis preneuse.

Un spoiler, c'est comme un clin d’œil non ? Ou un private joke...

Et oui, c'est souvent le plus intéressant, car l'humour en dit parfois plus...

Spoiler:

Merci Harpo
L'image du clin d'oeil colle bien au fonctionnement "physique" des spoilers.
Je la trouve jolie.

J'utilise très peu les spoilers parce que je sais que tout le contenu de ce que j'écris est accessible. Psychologiquement, je ne parviens pas à me dire que c'est un message "intime"....
Je peux comprendre que c'est un geste symbolique où on cache physiquement ce qu'on y dit, un petit voile. Une manière d'être en tête à tête.

Le pourquoi de ma question ? Je pense qu'on intègre les outils tels que le spoiler dans notre manière de communiquer. C'est comme un nouveau mot qui apparaîtrait et que nous utiliserions pour signifier que nous nous mettons en dialogue "intime" au vue et au su de tout le monde....

Oui, je suis en pleine réflexion sur la communication, à la suite d'un événement sur le forum.

Mis en pate a écrit:Une souffrance acceptée n'est plus une souffrance.

Je me permets d'intervenir sur ce fil parce qu’interpellé. Si le soleil en est offensé, qu'il brûle ce mot.

Mis en pate, je ne peux pas être d'accord avec toi sur le fait qu'une souffrance acceptée n'est plus une souffrance.
Aucune souffrance n'est acceptable, quelle qu'elle paraisse, petite ou grande, la sienne ou celle d'un autre. Je dis aucune parce que la moindre appellerait à une hiérarchisation, ou, pire, à une justification. Accepter une souffrance si petite ou utile qu’elle puisse paraître, c’est déjà ouvrir un champ d’interprétations possibles, mais c’est aussi ouvrir une porte à des justifications.
La souffrance rend aigri, triste, fatigué et vieux. Aucune n’est utile. Aucune n’est justifiable car rien de ce qui est produit par une souffrance n’aurait pu l’être sans elle. Et si elle ne peut être justifiable, a fortiori, elle ne peut être acceptable.
Croire (s’)aider en justifiant sa souffrance, en lui donnant du sens, c’est survivre, or, survivre est facile, c’est vivre qui est difficile. Donner du sens à une souffrance, ce n’est que créer du faux, c’est survivre en se mentant, et c’est prendre le risque de finir sa vie en se donnant des coups de marteau sur la tête au prétexte que c’est si bon quand ça s’arrête.
Je ne peux donc accepter que la souffrance soit acceptable.

Ce n’est que mon opinion.

Zut, je voulais me taire.

Enfin, tu t'es décidé...
Mis en pâte ne peut pas te répondre car il s'est mis en auto-ban.

Je te dis comment je comprends sa phrase.
Il y a plusieurs sens du mot accepter. Quand une souffrance psychique (car on ne parle pas de souffrance physique ici) existe et ne peut être niée, cela ne sert à rien de faire comme si elle n'existait pas. Le fait de la re-connaître permet d'être sur la voie de la guérison...Le verbe accepter est utiliser dans ce sens-là et non dans le sens d'acquiescer.

La souffrance en soi est inacceptable car elle déforme l'être. La question est de savoir ce qu'on en fait quand elle est là.

Effectivement, je n'avais pas saisi l'autre acception de l'acceptation.

Je me coucherai moins bête ce soir et t'en remercie.

On ne se dévalorise pas de cette manière. C'est interdit sur ce fil

Ta dernière phrase fait 6 mots, ça tourne à la manie.

Je ne me dévalorise pas, il me reste encore un peu d'espace avant d'avoir atteint l'ultime, très peu, certes, mais encore un peu. (Mais peut-être la vantardise n'est-elle pas de mise non plus ?)

Zut, ce matin, je ne suis plus d'accord. Je relis sa phrase "une souffrance acceptée n'est plus une souffrance".

Si, justement, la réduire par l'acceptation, c'est la quantifier. Et il ne faut pas quantifier la souffrance, ce serait en reconnaitre certaines pire que d'autres, les comparer, jusqu'à finir par en admettre certaines comme plus supportables que d'autres, donc, finir par les admettre.

Je ne sais pas où m'emmène cette réflexion mais je sais que j'y vais.

J'ai reflechi beaucoup sur ce sujet dans mon fil sur la resilience.

En résumé, une comparaison entre individu me semble difficile et même impossible. Par contre, chaque individu a son echelle. Je sais intimement ce qui m'a fait le plus souffrir dans mon passé et je sais qu'un seul etre (ma fille) pourrait causer une souffrance encore plus grande. Le reste ne m'atteindrait pas autant même si la souffrance est bien réelle...Une rupture amoureuse ne me fera jamais autant souffrir, jamais car je fais la différence entre cette rupture et ce que la rupture touche en moi. La plupart des gens confondent les deux...

Sur la comparaison inter-personnelle, je te suggère de lire le fil de la resilience

Sur ce forum, il existe de petits enfants apeurés, avec une plaie béante à place du coeur. Je les reconnais car j'étais un tel enfant.

Certains veulent attirer l'attention pour être aimés, pour être acceptés. Ils se noyent dans une folie auto-centrée et s'agrippent à ceux qui les frôlent et qui auraient une telle ressemblance. Ils veulent être sauveurs pour se prouver qu'ils valent quelque chose. Mais aucune mesure, tout est permis chez eux. Nous avons du mal à identifier la frontiere entre le réel et le fantasme. Ils y vont aux basookas, aux poignards. Quand il s'agit de survie, on ne lésine pas...Ils vont manipuler, vont jouer avec les autres. Pour se sentir vivant, il faut exister aux yeux des autres. Si je me montre vrai, on va me prendre pour une mauviette. Alors, j'y vais à la machette. On remarquera bien tout ce sang...ce rouge bien voyant.

Face a ce comportement, je dis "Non". La jeunesse (je ne parle pas d'âge), l'inconscience des conséquences de ses actes n'excusent rien. Ils souhaitent avoir de la douceur. Alors qu'ils la demandent (l'orgueil au placard) en étant vrais, pas ces rôles fantasmatiques où la toute puissance rêvée de l'enfance s'y exprime. Nous nous sentons parfois des dieux, mais cette divinité reste dans la sphère de notre être et doit s'y cantonner. Le "divin" (je ne suis pas croyante) en nous est notre pouvoir d'auto-génération. Etre soi n'implique pas la destruction de l'autre...et une petite aide n'est pas une abdication.

Et ces autres enfants apeurés transparents, qui osent à peine respirer de peur de déranger ? Les regarder, leur dire qu'ils sont bien là et qu'ils ont le droit de respirer. Ne pas focaliser uniquement sur les enfants apeurés avec machette...

Des traders

En réaction à un échange sur un autre fil, je vous décris qui sont ces bad guys de traders des marchés financiers. Il y a beaucoup de fantasmes autour d'eux.
Ce sont des personnes formées aux mathématiques financières. Ce sont des techniciens avant tout. Leur travail est de maximiser les gains dans un monde sous contrainte, mais avec des incertitudes. Plus l'incertitude est grande, plus le prix de la prise de risque augmente. Les traders analysent toutes les informations disponibles pour arbitrer, pour faire des choix. L'analyse multi-factorielle n'est pas suffisante car il existe une part de flair, d'intuition. Les traders sont "joueurs", ils parient que tel événement va survenir, donc qu'il en résultera ceci....
Il faut imaginer ces personnes manipulant des montants avec beaucoup, beaucoup de zéros, derrière leurs ordinateurs. Ces montants sont théoriques, n'existent pas réellement. Ce sont de simples écritures. A force de manipuler ce théorique, on s'enferme dans un univers loin de la réalité. On oublie que les transactions auront des conséquences réelles sur la vie de milliers de personnes. Ils ne peuvent pas avoir de recul par rapport à ces transactions. N'oubliez pas : ils doivent maximiser le gain...Dans les banques, des procédures doivent être mises en place pour garantir que les prises de position n'exposent pas trop la banque aux risques...

Les phénomènes de comportements moutonniers sont fortement présents. Un ponte de la finance commence à parier sur un titre. Les autres auront tendance à faire le même pari. Dans le contexte économique actuel, les modélisations financières basées sur l'observation du passé posent problèmes et ne peuvent plus suffire dans la prise de décision. Ceci explique comment l'irrationnel peut s'introduire dans un monde qui, a priori, devrait être hautement rationnel.

Mon objectif est purement descriptif et je ne souhaite pas parler de la moralité d'une telle activité.

Je ne vais plus intervenir sur les sujets sur la souffrance. Mon approche se veut éloigner de l'affect sur le fil des autres car, justement, ce sujet me concerne trop...Dès qu'on aborde ce sujet, on voit les interventions remplies d'émotivité, agressives comme si le propos les attaquait.

Je vais me cantonner sur les sujets tels que le sexe et l'écriture. Position pèpère où je vais pouvoir rigoler. Enfin, la vie est aussi faite de rires !

SoleilSombre a écrit:Des traders

Tu as fait des études d'économie ? Parce-que ce que tu décris est pertinent. Il n'y a presque rien à ajouter.
Comme tu l'écris ce sont des personnes formées aux maths financières, je pense que l'absence de connaissances sur l'humain représente une faille dans leur formation. Aussi, il y a toujours quelqu'un/quelque chose (entité bancaire, etc) derrière le trader. Le trader n'est qu'un employé qui se plie aux exigences de ses patrons qui recherchent le gain maximum.

Je suis spécialisée dans les maths financières avec un parcours littéraire/matheux avant...Je décris ces traders car j'aurais pu être l'un d'eux.

Tu fais des études en économie ?

Pourquoi tu n'es pas devenue trader finalement ?

Je fais de l'économie mais je ne suis pas spécialisée dans la finance. Il y a d'autres domaines que je préfère. Par contre, j'ai des "financiers" dans ma famille (pas traders).

Je ne suis pas joueuse...Même en étant étudiante, je savais qu'il me manquait ce sens du jeu. J'ai choisi un autre domaine d'activité. Et si tu veux en savoir plus, on peut s'en parler par MP