Quels facteurs influents pour le sentiment de folie ?
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Quels facteurs influents pour le sentiment de folie ?
Bonjour (Bonsoir ) à vous,
Je me posais une question toute simple, j'ai de nombreuses fois lu que les êtres zebrés se sentaient fous ou monstrueux, ainsi je me demandais quels en étaient les facteurs influents ? Quels facteurs démontrent au zèbre qu'il serait susceptible d'être fou ? Ce sentiment de décalage permanent exacerbé ?
Merci a vous !
Je me posais une question toute simple, j'ai de nombreuses fois lu que les êtres zebrés se sentaient fous ou monstrueux, ainsi je me demandais quels en étaient les facteurs influents ? Quels facteurs démontrent au zèbre qu'il serait susceptible d'être fou ? Ce sentiment de décalage permanent exacerbé ?
Merci a vous !
DeltaDuRenard- Messages : 639
Date d'inscription : 08/07/2011
Age : 31
Localisation : <Inserez ici un truc super métaphilosophique>
Re: Quels facteurs influents pour le sentiment de folie ?
Me concernant, l'impression de ne jamais trouver les mots pour me faire comprendre.
Invité- Invité
Re: Quels facteurs influents pour le sentiment de folie ?
Pardon je n'avais pas remarqué ta réponse !
Oui j'ai ce ressenti aussi, communiquer par flux ou transmission de données, ça nous faciliterait bien la vie tout en nous excluant des autres aussi ; incompatibilité des esprits, données trop concentrées ou trop foisonnantes > blocage.
Personne d'autre ?
Oui j'ai ce ressenti aussi, communiquer par flux ou transmission de données, ça nous faciliterait bien la vie tout en nous excluant des autres aussi ; incompatibilité des esprits, données trop concentrées ou trop foisonnantes > blocage.
Personne d'autre ?
DeltaDuRenard- Messages : 639
Date d'inscription : 08/07/2011
Age : 31
Localisation : <Inserez ici un truc super métaphilosophique>
Re: Quels facteurs influents pour le sentiment de folie ?
.
Dernière édition par Fusain le Ven 22 Fév 2013 - 16:03, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Quels facteurs influents pour le sentiment de folie ?
Je rejoins Fusain à propos des rituels sociaux, sorte de dans du ventre.
Pour les questions, je reconnais aussi qu'il y à là source d'angoisses par rapport à nombre de personnes externes. Ceci étant, j'ai appris à ne plus les exposer (sauf au travers de ma profession, et en prenant le temps de laisser les autres y réfléchir. Mon " ex-urgence " à faire me semble à présent être, plus que tout, sujette à création de conflits, et révélatrice de mon désir autrefois exacerbé " d'exister ").
Comme dérivatif à ce questionnement non facilement partageable, je m'oriente vers la recherche de réponses, ou de confirmations, en fouillant Internet.
Il est évident que ceci restreint le contact humain. Néanmoins, cela " rassure ", si je peux s'exprimer ainsi. Être en face de données, procédés, idées qui viennent peu ou prou en contact avec les miennes est " stabilisant ".
Plus que tout autre chose, j'aime à penser qu'accepter pleinement mes différences permet ce lâcher-prise salvateur, fait diminuer ce besoin de contrôle que j'avais sur l'extérieur, seul moyen que je trouvais alors pour lutter contre l'incompréhension qui m'entourait.
Cette énergie que j'investissais à me " battre " pour avoir l'impression d'exister, pour démontrer que je ne me trompais pas, je la place à présent dans ma " croissance ". Libération, calme, choix de(s) (l' )autre(s) à sa (leur) charge : " Nul n'est prophète en son pays " ...
Pour les questions, je reconnais aussi qu'il y à là source d'angoisses par rapport à nombre de personnes externes. Ceci étant, j'ai appris à ne plus les exposer (sauf au travers de ma profession, et en prenant le temps de laisser les autres y réfléchir. Mon " ex-urgence " à faire me semble à présent être, plus que tout, sujette à création de conflits, et révélatrice de mon désir autrefois exacerbé " d'exister ").
Comme dérivatif à ce questionnement non facilement partageable, je m'oriente vers la recherche de réponses, ou de confirmations, en fouillant Internet.
Il est évident que ceci restreint le contact humain. Néanmoins, cela " rassure ", si je peux s'exprimer ainsi. Être en face de données, procédés, idées qui viennent peu ou prou en contact avec les miennes est " stabilisant ".
Plus que tout autre chose, j'aime à penser qu'accepter pleinement mes différences permet ce lâcher-prise salvateur, fait diminuer ce besoin de contrôle que j'avais sur l'extérieur, seul moyen que je trouvais alors pour lutter contre l'incompréhension qui m'entourait.
Cette énergie que j'investissais à me " battre " pour avoir l'impression d'exister, pour démontrer que je ne me trompais pas, je la place à présent dans ma " croissance ". Libération, calme, choix de(s) (l' )autre(s) à sa (leur) charge : " Nul n'est prophète en son pays " ...
Dernière édition par Mjöllnir le Jeu 21 Fév 2013 - 18:07, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Quels facteurs influents pour le sentiment de folie ?
Pour moi, le sentiment de n'avoir plus rien à dire à personne et que tout ce qu'on pouvait me dire je le connassais déjà. Du coup, enfermement dans ma bulle, concentration sur mes préoccupations bizarres et impression d'être à coté du monde, des gens et des choses...
Un jour où ça allait mal je me souviens d'avoir hurlé de toutes mes forces: " MAIS COMMENT ON FAIT POUR ETRE NORMAL BORDEL ???"
Enfant, vraiment jeune, je regardais les gens fonctionner, et pour eux, tout avait l'air normal. Ils n'étaient pas totalement bouleversés par tout, effrayés par le monde et semblait être à l'aise dans leur monde. Et moi je flippais dans mon coin en repensant à des choses affreuses, comme les leçons d'histoire à me demander: comment on fait pour être "un" ? Pour être là sans se regarder être ? Pour ne pas penser à tous ces dangers ? A toute cette souffrance qui rôde ? Ne pas être le témoin extérieur de son mal-être, ne pas toujours souffrir intérieurement ? Se sentir laid et bête, quand tous les regards des "camarades" vous renvoient que vous êtes autre... Ils avaient l'air légers ! Je me sentais à moi-même un horrible fardeau. Je n'ai jamais pu être INNOCENT...
Un jour où ça allait mal je me souviens d'avoir hurlé de toutes mes forces: " MAIS COMMENT ON FAIT POUR ETRE NORMAL BORDEL ???"
Enfant, vraiment jeune, je regardais les gens fonctionner, et pour eux, tout avait l'air normal. Ils n'étaient pas totalement bouleversés par tout, effrayés par le monde et semblait être à l'aise dans leur monde. Et moi je flippais dans mon coin en repensant à des choses affreuses, comme les leçons d'histoire à me demander: comment on fait pour être "un" ? Pour être là sans se regarder être ? Pour ne pas penser à tous ces dangers ? A toute cette souffrance qui rôde ? Ne pas être le témoin extérieur de son mal-être, ne pas toujours souffrir intérieurement ? Se sentir laid et bête, quand tous les regards des "camarades" vous renvoient que vous êtes autre... Ils avaient l'air légers ! Je me sentais à moi-même un horrible fardeau. Je n'ai jamais pu être INNOCENT...
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
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