Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
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Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
La pensée par déduction consiste à passer du général au particulier. La pensée par induction passe du particulier au général.
J'ai ce problème, en plus de ma dyscalculie (ça c'est chiant !) de n'être capable de penser quasiment que par induction. Ce n'est pas une stratégie préméditée, c'est le mouvement naturel de ma pensée. En réalité dans une discussion, c'est extrêmement handicapant, car la plupart des gens ne voient pas où je veux en venir. J'ai un mal de chien pour créer des compartiments, des divisions. Par exemple ma dyscalculie me rend impossible les soustractions, à l'inverse des additions où je suis beaucoup plus à l'aise. C'est curieux quand même...
D'après vous, ce fonctionnement a t-il à voir avec une quelconque utilisation préférentielle du cerveau droit ? A t-on noté une tendance dans ce sens en ce qui concerne les surdoués ? Ou est-ce simplement une particularité singulière, peut-être amplifiée de surcroît par certaines expériences...comment dire...d'absolue immensité ?
J'aimerais vous entendre sur ce thème, ça pourrait même m'aider !
J'ai ce problème, en plus de ma dyscalculie (ça c'est chiant !) de n'être capable de penser quasiment que par induction. Ce n'est pas une stratégie préméditée, c'est le mouvement naturel de ma pensée. En réalité dans une discussion, c'est extrêmement handicapant, car la plupart des gens ne voient pas où je veux en venir. J'ai un mal de chien pour créer des compartiments, des divisions. Par exemple ma dyscalculie me rend impossible les soustractions, à l'inverse des additions où je suis beaucoup plus à l'aise. C'est curieux quand même...
D'après vous, ce fonctionnement a t-il à voir avec une quelconque utilisation préférentielle du cerveau droit ? A t-on noté une tendance dans ce sens en ce qui concerne les surdoués ? Ou est-ce simplement une particularité singulière, peut-être amplifiée de surcroît par certaines expériences...comment dire...d'absolue immensité ?
J'aimerais vous entendre sur ce thème, ça pourrait même m'aider !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Quand tu dis induction, tu veux dire que tu perçois le principe général dont est issu un cas particulier? Comme le fait de percevoir un système dans sa globalité?
Je sais que j'ai toujours besoin (et je pèse mes mots) d’appréhender le système dans son ensemble quand je suis confronté à plusieurs éléments que je perçois (là aussi) comme liés. Au cours d'une discussion j'ai tendance à vouloir conceptualiser le système, je me sers des réflexions des autres pour étayer les miennes et nourrir ma construction mentale.
Je ne sais pas si on parle de la même chose... mais ça me parle cette notion d'induction !
Je sais que j'ai toujours besoin (et je pèse mes mots) d’appréhender le système dans son ensemble quand je suis confronté à plusieurs éléments que je perçois (là aussi) comme liés. Au cours d'une discussion j'ai tendance à vouloir conceptualiser le système, je me sers des réflexions des autres pour étayer les miennes et nourrir ma construction mentale.
Je ne sais pas si on parle de la même chose... mais ça me parle cette notion d'induction !
Roseau- Messages : 54
Date d'inscription : 28/12/2012
Age : 38
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
L'induction consiste à prcéder comme suit. De la terre...Des racines... Un arbre...Des fruits...Du goût...Les sens...La vie...Son origine...C'est une pensée englobante et non discriminante.
Imagine que chaque nombre ne soit considéré que comme une fraction de l'unité. Comme si ce n'était qu'une illusion qui nous faisait nous représenter les choses comme détachées de l'idée (eidos) dont elles découlent.
En tout cas merci, ça fait au moins une réaction !
Imagine que chaque nombre ne soit considéré que comme une fraction de l'unité. Comme si ce n'était qu'une illusion qui nous faisait nous représenter les choses comme détachées de l'idée (eidos) dont elles découlent.
En tout cas merci, ça fait au moins une réaction !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
les deux me parlent mais quand il s'agit de spontaneite, j'avoue ne pas savoir. pourrait il exister une quelconque fusion entre les deux?
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Je l'ignore.
Cependant, quand j'écris, je suis bien obligé de délimiter des concepts, de tailler dans la masse, alors même que je ne vois l'ensemble du thème abordé que comme une unité "organique".
Cependant, quand j'écris, je suis bien obligé de délimiter des concepts, de tailler dans la masse, alors même que je ne vois l'ensemble du thème abordé que comme une unité "organique".
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Un petit bonjour, de façon à suivre ce qu'il va sortir de cette discussion. En effet mon fils va passer des tests de dyscalculie donc je vais y "tâter" un peu plus d'ici peu... En ce moment je suis noyée car il a passé des tests de dyslexie, c'est oui puis c'est non, et pour ce qui est du QI il a 136 et 125 mais 105 et 84. N'importe quoi et je 'énerve tant après la psychologue clinicienne qu'après l'orthophoniste qui restent chacune dans sa partie et n'envisagent pas mon fils comme un surdoué qui aurait diminué les effets de sa dyslexie... Le chat qui se mord la queue. Grumf.
Désolée je vois que par rapport à déduction-induction je suis "à côté", mais j'espère retomber sur mes pattes avec le tout... A bientôt
Désolée je vois que par rapport à déduction-induction je suis "à côté", mais j'espère retomber sur mes pattes avec le tout... A bientôt
Ise- Messages : 7899
Date d'inscription : 18/10/2012
Age : 55
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Bonjour Fata Morgana
Très clairement, je pense par induction (bien que je ne m'étais jusqu'alors pas posé la question). Il y a bien longtemps d'ailleurs que j'ai le sentiment de n'être qu'un proton d'un atome d'orteil de géant... je remets tout même moi dans sa globalité (y compris d'ailleurs les gloseurs à la pensée limitée, infatués de leur savoir, dont je me demande s'ils savent n'être qu'un neutron d'atome d'orteil de géant ).
Est-ce que cela a à voir avec le fonctionnement de mon cerveau droit ? je ne sais pas te répondre..
Très clairement, je pense par induction (bien que je ne m'étais jusqu'alors pas posé la question). Il y a bien longtemps d'ailleurs que j'ai le sentiment de n'être qu'un proton d'un atome d'orteil de géant... je remets tout même moi dans sa globalité (y compris d'ailleurs les gloseurs à la pensée limitée, infatués de leur savoir, dont je me demande s'ils savent n'être qu'un neutron d'atome d'orteil de géant ).
Est-ce que cela a à voir avec le fonctionnement de mon cerveau droit ? je ne sais pas te répondre..
Invité- Invité
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
À moins d'avoir à résoudre un problème déterminé, pour lequel on dispose d'un ensemble de règles applicables, il me semble que la pensée est toujours spontanée, qu'elle corresponde à ce qu'on appelle induction ou déduction.
La différence serait plutôt à chercher dans l'organisation des idées dont on part.
En pratique, s'il est question d'une déduction simple, on applique une seule règle, alors que toute induction nécessite d'envisager plusieurs cas pour généraliser. Aussi laisser la pensée errer tous azimuts doit favoriser l'induction.
D'un point de vue mathématique, si la déduction peut être appliquée mécaniquement (notamment par un ordinateur), il n'y aurait pas au sens strict d'induction formalisable, sinon à l'appeler intuition.
La différence serait plutôt à chercher dans l'organisation des idées dont on part.
En pratique, s'il est question d'une déduction simple, on applique une seule règle, alors que toute induction nécessite d'envisager plusieurs cas pour généraliser. Aussi laisser la pensée errer tous azimuts doit favoriser l'induction.
D'un point de vue mathématique, si la déduction peut être appliquée mécaniquement (notamment par un ordinateur), il n'y aurait pas au sens strict d'induction formalisable, sinon à l'appeler intuition.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Ce que je disais, c'est que le fonctionnement spontané de ma pensée est inductif.
Inutile de souligner le calvaire scolaire dans ces conditions...
Inutile de souligner le calvaire scolaire dans ces conditions...
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Merci Fata pour ce sujet !
(Bon, j'avoue que je n'ai pas encore lu les réponses de tout le monde.)
Il me semble que je pense prioritairement en inductif aussi. Ca ne me pose aucun problème particulier dans ma vie quotidienne (y compris pour les relations avec les autres, enfin pas plus que le surdon). Bon, je ne comprends pas que mes collègues s'intéressent à tant de détails inutiles mais c'est peut-être multifactoriel.
En revanche, j'ai l'impression que c'est ce qui me rend impossible la production d'une problématique de thèse et/ou mémoire en sciences sociales (je ne suis pas formée aux autres domaines). Il y a quelques années, je voulais faire de la recherche... Et, je me suis complètement plantée à mon mémoire de M1. L'année dernière, j'ai ré-essayé de faire une problématique de thèse et je me suis noyée... Impossible de sortir quelque chose qui satisfasse un prof (sans doute pour d'autres raisons aussi).
A l'époque, j'avais un petit peu réfléchi à la question (je m'étais dit que quand j'aurais le temps, je pourrais essayer d'écrire un article sur "Induction et sciences humaines et sociales" ou quelque chose comme ça) et j'avais trouvé cette référence de livre : "L'avenir est ouvert", entretien entre Karl Popper et Konrad Lorenz (Popper défendrait la déduction et Lorenz l'induction). Je l'ai acheté mais je ne l'ai pas encore ouvert
(Je ne suis pas sûre de pouvoir chercher en déductif, c'est pourquoi j'aurais tendance à militer pour l'inductif...)
Dernier élément : une psy spécialiste des enfants surdoués en province me disait qu'elle distinguait les "non-surdoués" qui pensent en "séquentiel progressif" des surdoués qui pensent en "analytique projectif".
(Bon, j'avoue que je n'ai pas encore lu les réponses de tout le monde.)
Il me semble que je pense prioritairement en inductif aussi. Ca ne me pose aucun problème particulier dans ma vie quotidienne (y compris pour les relations avec les autres, enfin pas plus que le surdon). Bon, je ne comprends pas que mes collègues s'intéressent à tant de détails inutiles mais c'est peut-être multifactoriel.
En revanche, j'ai l'impression que c'est ce qui me rend impossible la production d'une problématique de thèse et/ou mémoire en sciences sociales (je ne suis pas formée aux autres domaines). Il y a quelques années, je voulais faire de la recherche... Et, je me suis complètement plantée à mon mémoire de M1. L'année dernière, j'ai ré-essayé de faire une problématique de thèse et je me suis noyée... Impossible de sortir quelque chose qui satisfasse un prof (sans doute pour d'autres raisons aussi).
A l'époque, j'avais un petit peu réfléchi à la question (je m'étais dit que quand j'aurais le temps, je pourrais essayer d'écrire un article sur "Induction et sciences humaines et sociales" ou quelque chose comme ça) et j'avais trouvé cette référence de livre : "L'avenir est ouvert", entretien entre Karl Popper et Konrad Lorenz (Popper défendrait la déduction et Lorenz l'induction). Je l'ai acheté mais je ne l'ai pas encore ouvert
(Je ne suis pas sûre de pouvoir chercher en déductif, c'est pourquoi j'aurais tendance à militer pour l'inductif...)
Dernier élément : une psy spécialiste des enfants surdoués en province me disait qu'elle distinguait les "non-surdoués" qui pensent en "séquentiel progressif" des surdoués qui pensent en "analytique projectif".
Invité- Invité
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
"Daria-Boavista"
"Séquentiel progressif" je comprends, mais est-ce que tu pourrais m'expliquer le sens d'"analytique projectif"? En fait c'est surtout "projectif" qui me pose un problème. Merci d'avance.
Dernier élément : une psy spécialiste des enfants surdoués en province me disait qu'elle distinguait les "non-surdoués" qui pensent en "séquentiel progressif" des surdoués qui pensent en "analytique projectif".
"Séquentiel progressif" je comprends, mais est-ce que tu pourrais m'expliquer le sens d'"analytique projectif"? En fait c'est surtout "projectif" qui me pose un problème. Merci d'avance.
Andromaque- Messages : 674
Date d'inscription : 07/11/2012
Localisation : Paris
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Sommes-nous bien d'accord sur ce qu'est la pensée déductive ou inductive ?
Pensée inductive : part de plusieurs faits pour inférer une loi qui permet d'ordonner et de comprendre ces faits
Pensée déductive : part d'une loi, d'un fait afin d'inférer plusieurs conséquences et une conclusion
J'ai l'impression que vous êtes partis sur l'inverse...
Pensée inductive : part de plusieurs faits pour inférer une loi qui permet d'ordonner et de comprendre ces faits
Pensée déductive : part d'une loi, d'un fait afin d'inférer plusieurs conséquences et une conclusion
J'ai l'impression que vous êtes partis sur l'inverse...
Ise- Messages : 7899
Date d'inscription : 18/10/2012
Age : 55
Re: Pensée spontanée : par déduction, ou par induction ?
Les surdoués ont une vision globale et une perception accrue du monde qui les entoure. De surcroît, ils sont capables d'aller dans tous les sens sans se perdre. Donc, la pensée par induction est inévitable, m'est avis! C'est mon cas. Je ne peux pas faire autrement que développer mes pensées vers un élargissement mais par-contre, je sais toujours revenir au point de départ, sans incohérence et sans me perdre. Pour simplifier: je zoome et dézoome à volonté.
Ce n'est pas un phénomène à combattre mais à maîtriser, car en effet, c'est une chance. Je m'explique: dans la philosophie bouddhiste, pour ceux ou celles que ça intéresse, la vacuité est la capacité de comprendre les choses (dans le sens le plus large possible) dans son individualité et dans sa globalité en même temps. Une table, par exemple, c'est un objet qui sert à poser des trucs dessus, à manger, à écrire... mais c'est aussi juste un objet mais qui est composé de 5 autres éléments: un plateau et 4 pieds. Si elle est en bois, constituée de morceaux d'arbre, qui aura pris racine dans la Terre, etc... puis on englobera aussi ceux qui l'auront construite puis vendue... Ce n'est pas seulement un meuble mais un objet autour duquel gravite toute une vie et une succession d'évènements pour que l'on puisse s'en servir.
Voilà pour la vacuité en simplifié.
Je reviens donc sur cette notion de chance: la vacuité permet au gens de comprendre le monde qui l'entoure dans sa complexité et donc d'atteindre une ouverture d'esprit et une tolérance immenses envers les autres. C'est ce qui permet d'accéder après beaucoup de travail sur soi, à la paix intérieure.
Je pense, si je comprends bien ce que vous dites, vous avez un aperçu ou plutôt un début de travail fait qui permettrait d'évoluer vers cette voie. Personnellement, j'y travaille. Je considère cette douance, comme l'opportunité d'atteindre la paix intérieure en travaillant sur cette notion de globalité. Nous ne faisons qu'un. Nous sommes tous les cellules d'un même organisme vivant. Je travaille donc sur la notion du lâcher-prise.
Astuce: pour ne pas perdre les autres, dans une discussion, ne pas se perdre soi-même. Ordonner ses idées et se forcer à les dire jusqu'au bout avant d'entamer autre chose. Enfin: se demander si l'élément qui vous traverse l'esprit est nécessaire ou superflu pour vous faire comprendre. Ne pas hésiter à faire reformuler l'autre pour être sûre d'avoir bien été comprise. Et si ce n'est pas le cas, alors poursuivre ses idées.
Voilà mon avis sur les pensées par induction...
Ce n'est pas un phénomène à combattre mais à maîtriser, car en effet, c'est une chance. Je m'explique: dans la philosophie bouddhiste, pour ceux ou celles que ça intéresse, la vacuité est la capacité de comprendre les choses (dans le sens le plus large possible) dans son individualité et dans sa globalité en même temps. Une table, par exemple, c'est un objet qui sert à poser des trucs dessus, à manger, à écrire... mais c'est aussi juste un objet mais qui est composé de 5 autres éléments: un plateau et 4 pieds. Si elle est en bois, constituée de morceaux d'arbre, qui aura pris racine dans la Terre, etc... puis on englobera aussi ceux qui l'auront construite puis vendue... Ce n'est pas seulement un meuble mais un objet autour duquel gravite toute une vie et une succession d'évènements pour que l'on puisse s'en servir.
Voilà pour la vacuité en simplifié.
Je reviens donc sur cette notion de chance: la vacuité permet au gens de comprendre le monde qui l'entoure dans sa complexité et donc d'atteindre une ouverture d'esprit et une tolérance immenses envers les autres. C'est ce qui permet d'accéder après beaucoup de travail sur soi, à la paix intérieure.
Je pense, si je comprends bien ce que vous dites, vous avez un aperçu ou plutôt un début de travail fait qui permettrait d'évoluer vers cette voie. Personnellement, j'y travaille. Je considère cette douance, comme l'opportunité d'atteindre la paix intérieure en travaillant sur cette notion de globalité. Nous ne faisons qu'un. Nous sommes tous les cellules d'un même organisme vivant. Je travaille donc sur la notion du lâcher-prise.
Astuce: pour ne pas perdre les autres, dans une discussion, ne pas se perdre soi-même. Ordonner ses idées et se forcer à les dire jusqu'au bout avant d'entamer autre chose. Enfin: se demander si l'élément qui vous traverse l'esprit est nécessaire ou superflu pour vous faire comprendre. Ne pas hésiter à faire reformuler l'autre pour être sûre d'avoir bien été comprise. Et si ce n'est pas le cas, alors poursuivre ses idées.
Voilà mon avis sur les pensées par induction...
anianka05- Messages : 987
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : Toulouse, dans un corps fait de chair et d'os (je crois...)
Helen M.- Messages : 233
Date d'inscription : 02/03/2013
Age : 48
Localisation : 31
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