L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
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L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Bonjours
Depuis approximativement 1 an je suis en lutte contre une inhibition intellectuelle sévère, qui s'est déclenché il y a de cela 2 ans. J'ai aujourd'hui 18 ans et l'intensité de mon activité cérébrale est encore relativement éloigné de son niveau optimum. Je fais allusion par cette façon de qualifier mon fonctionnent intellectuelle, à l'intensité de ma pensée en terme de nombres d'informations reçus, de quantité de cheminements analytiques et de liens associatifs. De vitesse de la pensée, ainsi que de potentiel de compréhension et de créativité. Sans oublier une myriade de spécificités dont je n'ai point connaissance. J'ai ressentie toutes les 2 à 4 semaines, durant 12 mois, un fort développement des facteurs cités précédemment. Sur le plan sensoriel, je ressentais lors de ces phases un bond de l'activité bioélectrique de mon cerveau. Cependant, j'ai eu un grand nombres de préoccupations scolaires, sociales et psychologiques qui ont drastiquement perturbé le bon déroulement de la chose. Ayant aujourd'hui 18 ans, je suis scolarisé en 1ère S.
Mes aménagements scolaires ainsi que mon cursus de développement psychologique, couplé à l'adaptation sociale, on du être étayé de protocole conçus exclusivement par mon être endolori. Endolori de non reconnaissance, de vide, de difficultés d'adaptations. Inhibé par 10 ans de prise d'un traitement antipsychotique, ayant limité fortement mon intellect, du CP jusqu’à l'entrée en second. J'ai décidé à cette période de quitter définitivement cette prison médicamenteuse. Ainsi j'ai commencé à m'ennuyait en cours et à ressentir un décalage de fonctionnement plus fort que jamais avec mes pairs. Durant un an j'ai souffert scolairement. J'ai déambulé malhabilement au travers de tous les problèmes liés à mon état de surdoué, depuis peu révélé et accompagné de tout son éclat. Scolairement j'aurais pu être soulagé d'un poids terrible.
L'académie de Créteil détient le savoir de protocoles d'aménagements scolaire, les professeurs que j'ai rencontrés ne détenaient que la force de la déformation ainsi que de la non application complète. Je n'ai eu droit qu’à un simulacre. Il y a eu déformations à leur avantage, des aménagements.
Pris en étau entre la force de persuasion quand à la perfection de leur protocole, et ma souffrance d'origine alors inconnue, scolairement parlant. Je faisais dans un élan d'espoir vain, tout pour me faire reconnaitre auprès d'eux. Ils n’ont rien assimilé. Continuant à m'oublier, me dévaloriser. Mes autres problèmes subsistaient. Déprimé je faisais face à ma nouvelle vie, dont les repères avait était annihilé par des bouleversements de fonctionnement intellectuel. Démoli peu avant la fin de l'année, par une réaction puérile face à un travail trop évolué de niveau université, par un enseignant inapte à la bienveillance.
J'ai entendu l'impensable. J'ai dès lors sombré dans l'inhibition intellectuelle, fuit la souffrance insurmontable engendré par mon intellect. Nous sommes aujourd'hui trois ans après.
Je suis maintenant en plein burn out et dépression nerveuse (en voie de résorption grâce à un antidépresseur). Une conjoncture qui n'est étonnement pas si néfaste que cela, bien qu'embourbé dans une certaine mélancolie. En effet je suis aujourd'hui en train de faire le point, de recentrer mes objectifs. Je théorise et analyse convenablement, ce qui était trop sous l’égide d'une spontanéité rimant avec hasardeuse cavalcades. Mais je dois aujourd'hui comprendre mon fonctionnement. Apprendre à utiliser mes potentialité et à faire corps avec ma pensé atypique, qui a tendance à me dépasser. Depuis un an mes potentialité se développent et cela continu. Je suis maintenant à l'aube d'une accélération du rythme de ma construction identitaire. J'ai besoin de vous pour clarifier les choses.
Qu'avez-vous à affirmer quant aux champs suivant: récupération fonctionnelle après une inhibition intellectuelle, expression de ses potentialité, construction identitaire au stade de la genèse que je viens de présenter. Merci d'avance...
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Power45, l’énergie de la transcendance mêlé aux troubles de l'absolu relatif, en ce monde fronde...
Depuis approximativement 1 an je suis en lutte contre une inhibition intellectuelle sévère, qui s'est déclenché il y a de cela 2 ans. J'ai aujourd'hui 18 ans et l'intensité de mon activité cérébrale est encore relativement éloigné de son niveau optimum. Je fais allusion par cette façon de qualifier mon fonctionnent intellectuelle, à l'intensité de ma pensée en terme de nombres d'informations reçus, de quantité de cheminements analytiques et de liens associatifs. De vitesse de la pensée, ainsi que de potentiel de compréhension et de créativité. Sans oublier une myriade de spécificités dont je n'ai point connaissance. J'ai ressentie toutes les 2 à 4 semaines, durant 12 mois, un fort développement des facteurs cités précédemment. Sur le plan sensoriel, je ressentais lors de ces phases un bond de l'activité bioélectrique de mon cerveau. Cependant, j'ai eu un grand nombres de préoccupations scolaires, sociales et psychologiques qui ont drastiquement perturbé le bon déroulement de la chose. Ayant aujourd'hui 18 ans, je suis scolarisé en 1ère S.
Mes aménagements scolaires ainsi que mon cursus de développement psychologique, couplé à l'adaptation sociale, on du être étayé de protocole conçus exclusivement par mon être endolori. Endolori de non reconnaissance, de vide, de difficultés d'adaptations. Inhibé par 10 ans de prise d'un traitement antipsychotique, ayant limité fortement mon intellect, du CP jusqu’à l'entrée en second. J'ai décidé à cette période de quitter définitivement cette prison médicamenteuse. Ainsi j'ai commencé à m'ennuyait en cours et à ressentir un décalage de fonctionnement plus fort que jamais avec mes pairs. Durant un an j'ai souffert scolairement. J'ai déambulé malhabilement au travers de tous les problèmes liés à mon état de surdoué, depuis peu révélé et accompagné de tout son éclat. Scolairement j'aurais pu être soulagé d'un poids terrible.
L'académie de Créteil détient le savoir de protocoles d'aménagements scolaire, les professeurs que j'ai rencontrés ne détenaient que la force de la déformation ainsi que de la non application complète. Je n'ai eu droit qu’à un simulacre. Il y a eu déformations à leur avantage, des aménagements.
Pris en étau entre la force de persuasion quand à la perfection de leur protocole, et ma souffrance d'origine alors inconnue, scolairement parlant. Je faisais dans un élan d'espoir vain, tout pour me faire reconnaitre auprès d'eux. Ils n’ont rien assimilé. Continuant à m'oublier, me dévaloriser. Mes autres problèmes subsistaient. Déprimé je faisais face à ma nouvelle vie, dont les repères avait était annihilé par des bouleversements de fonctionnement intellectuel. Démoli peu avant la fin de l'année, par une réaction puérile face à un travail trop évolué de niveau université, par un enseignant inapte à la bienveillance.
J'ai entendu l'impensable. J'ai dès lors sombré dans l'inhibition intellectuelle, fuit la souffrance insurmontable engendré par mon intellect. Nous sommes aujourd'hui trois ans après.
Je suis maintenant en plein burn out et dépression nerveuse (en voie de résorption grâce à un antidépresseur). Une conjoncture qui n'est étonnement pas si néfaste que cela, bien qu'embourbé dans une certaine mélancolie. En effet je suis aujourd'hui en train de faire le point, de recentrer mes objectifs. Je théorise et analyse convenablement, ce qui était trop sous l’égide d'une spontanéité rimant avec hasardeuse cavalcades. Mais je dois aujourd'hui comprendre mon fonctionnement. Apprendre à utiliser mes potentialité et à faire corps avec ma pensé atypique, qui a tendance à me dépasser. Depuis un an mes potentialité se développent et cela continu. Je suis maintenant à l'aube d'une accélération du rythme de ma construction identitaire. J'ai besoin de vous pour clarifier les choses.
Qu'avez-vous à affirmer quant aux champs suivant: récupération fonctionnelle après une inhibition intellectuelle, expression de ses potentialité, construction identitaire au stade de la genèse que je viens de présenter. Merci d'avance...
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Power45, l’énergie de la transcendance mêlé aux troubles de l'absolu relatif, en ce monde fronde...
Dernière édition par power45 le Mer 6 Mar 2013 - 17:06, édité 3 fois (Raison : aération du texte)
power45- Messages : 63
Date d'inscription : 17/10/2011
Age : 29
Localisation : Thiais
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Pas de réponses ?
power45- Messages : 63
Date d'inscription : 17/10/2011
Age : 29
Localisation : Thiais
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Tu devrais peut-être aérer ton texte, faire des paragraphes. Ce serait plus facile pour y entrer.
Par ailleurs, c'est une expérience très particulière que tu décris. Moi aussi je me sens pris, depuis longtemps, d'inhibitions intellectuelles, mais ce n'est pas du tout de la même façon.
Par ailleurs, c'est une expérience très particulière que tu décris. Moi aussi je me sens pris, depuis longtemps, d'inhibitions intellectuelles, mais ce n'est pas du tout de la même façon.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
ben... se fixer des objectifs et les tenir, si besoin avec l'aide d'un bon psy ?
il s'agit simplement du passage à l'age adulte finalement, ton inhibition intellectuelle est un parametre, mais il ne faut pas la voir comme un frein, simplement faire avec, mais surtout, faire !
La stagnation me semble etre la pire chose qui puisse se produire en lisant ce que tu écris, et la façon dont tu l'écris (j'ai lu quelques passages en survolant, n'ayant pas mes lunettes c'est un coup à chopper un bon mal de crane ton pavé ^^)
il s'agit simplement du passage à l'age adulte finalement, ton inhibition intellectuelle est un parametre, mais il ne faut pas la voir comme un frein, simplement faire avec, mais surtout, faire !
La stagnation me semble etre la pire chose qui puisse se produire en lisant ce que tu écris, et la façon dont tu l'écris (j'ai lu quelques passages en survolant, n'ayant pas mes lunettes c'est un coup à chopper un bon mal de crane ton pavé ^^)
Wam- Messages : 966
Date d'inscription : 14/02/2012
Age : 37
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Moi j'ai tout lu
Des antipsychotiques, ça ne se donne pas à la légère, surtout à un enfant de 5 ans... Qui te les as prescrits initialement, puis renouvelés pendant plus de dix ans qui plus est, et pour quelle(s) raison(s)?
Des antipsychotiques, ça ne se donne pas à la légère, surtout à un enfant de 5 ans... Qui te les as prescrits initialement, puis renouvelés pendant plus de dix ans qui plus est, et pour quelle(s) raison(s)?
Invité- Invité
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Pour des troubles du comportement maintenant résorbé. Mais pour en revenir à mes questions, avez vous des retours d'expériences quand à la sortie d'une inhibition intellectuel ?
power45- Messages : 63
Date d'inscription : 17/10/2011
Age : 29
Localisation : Thiais
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Tu sembles avoir un fort potentiel intellectuel. Jignore ton niveau mais il est imposant. Mais il y a une chose essentielle que tu ne dois surtout pas perdre de vue: tu n'as que 18 ans. Et si ton intellect a une maturité supérieure et un développement accéléré, ce n'est pas le cas de ton quotient émotionnel qui lui évolue à une allure classique, si tant est que tu n'as pas subi de traumatismes graves.
Donc aujourd'hui, je te suggère de prendre le temps de te reconstruire et de solidifier tes bases psychoémotionnelles et tu auras bien le temps de te concentrer sur tes neurones dans quelques temps.
Ensuite tu as aussi des alternatives en milieu scolaire. Tu es majeur donc libre de prendre tes décisions. Tu peux soit changer d'école et aller dans une école que tu auras choisi selon ses qualités pédagogiques, soit suivre tes études à la maison avec le CNED, par exemple.
Quant au retour d'une inhibition intellectuelle, j'y suis encore. Ma psy me laisse entendre que lorsque j'en serais sortie j'appartiendrais sûrement au THQI.
Bon courage...
Donc aujourd'hui, je te suggère de prendre le temps de te reconstruire et de solidifier tes bases psychoémotionnelles et tu auras bien le temps de te concentrer sur tes neurones dans quelques temps.
Ensuite tu as aussi des alternatives en milieu scolaire. Tu es majeur donc libre de prendre tes décisions. Tu peux soit changer d'école et aller dans une école que tu auras choisi selon ses qualités pédagogiques, soit suivre tes études à la maison avec le CNED, par exemple.
Quant au retour d'une inhibition intellectuelle, j'y suis encore. Ma psy me laisse entendre que lorsque j'en serais sortie j'appartiendrais sûrement au THQI.
Bon courage...
anianka05- Messages : 987
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : Toulouse, dans un corps fait de chair et d'os (je crois...)
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Vos réponses sont particulièrement constructives, merci. Mais Le sujet est riche, le sujet peut potentiellement être développé. Merci encore.
power45- Messages : 63
Date d'inscription : 17/10/2011
Age : 29
Localisation : Thiais
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
je ne pense pas qu'il y aie de remède miracle concernant le décalage entre ton mode de fonctionnement et celui de notre société, qui n'accepte que peu ceux qui brûlent les étapes, qui comprennent tellement les codes qui régissent le système qu'ils en dénigrent leur absurdité. A moins de changer le monde, mais pour qui? Et le système scolaire et ses mécanismes qui rendent les grands esprit inadaptés ne sont simplement qu'une des nombreuses étapes de la construction de notre société et changer une donne impliquerait de tout remettre en question. La lucidité est accompagnée de la tristesse comme le génie par l'inadaptation, et même si on voulait changer le monde, le ratio surdoués/gens normaux voudrait qu'on se confronte toujours à la norme, et on nous a appris à aimer cette façon de faire et de détester ceux qui questionnent ses fondements.
En ce qui concerne la récupération fonctionnelle à laquelle tu fais allusion, il est dur de demeurer objectif surtout quand on prends en considération le caractère lucide de son introspection en ce qui concerne nos limites intellectuelles, il faudrait savoir quel était ton niveau, tes compétences, ce qui a été inhibé et a contratio développé tout en plaçant cela face aux études faites sur le développement intellectuel lambda des individus ainsi qu'intégrer toutes les variantes de celui-ci que l'on peut recenser chez les zèbres.
On en conclut qu'exprimer son potentiel n'est pas une mince affaire.
L'exprimer pour quelle raison? trouver le bonheur? existe-t'il? est-ce un but en soi? Sa place dans le monde des aveugles? s'adapter à un monde régit par des règles dont tes expériences n'ont que prouvé leur absurdité.
La construction identitaire ne pourra peut-être commencer qu'une fois que tu aura défini le sens réel et ultime de notre existence, sans cela la vrai nature des termes qui définissent ce que comprends la notion de construction identitaire demeurera toujours sujet à controverse et pas besoin de t'expliquer qu'un surdoué est souvent maître en matière de recherche d'incohérence.
C'est un long cheminement souvent accompagné de souffrance pour se rapprocher de la vérité par la lucidité, et enfin pouvoir comprendre au mieux le fonctionnement de notre monde, de ce qui l'a amené au firmament de sa décadence et qui au final implique que des personnes comme toi sont inadaptés à ses règles. Les réponses se trouveront dans cette quête de sens de la vie et peut-être que cela implique que tu réaliseras que tu poses peut-être les mauvaises questions dans un contexte de l'absolu
En ce qui concerne la récupération fonctionnelle à laquelle tu fais allusion, il est dur de demeurer objectif surtout quand on prends en considération le caractère lucide de son introspection en ce qui concerne nos limites intellectuelles, il faudrait savoir quel était ton niveau, tes compétences, ce qui a été inhibé et a contratio développé tout en plaçant cela face aux études faites sur le développement intellectuel lambda des individus ainsi qu'intégrer toutes les variantes de celui-ci que l'on peut recenser chez les zèbres.
On en conclut qu'exprimer son potentiel n'est pas une mince affaire.
L'exprimer pour quelle raison? trouver le bonheur? existe-t'il? est-ce un but en soi? Sa place dans le monde des aveugles? s'adapter à un monde régit par des règles dont tes expériences n'ont que prouvé leur absurdité.
La construction identitaire ne pourra peut-être commencer qu'une fois que tu aura défini le sens réel et ultime de notre existence, sans cela la vrai nature des termes qui définissent ce que comprends la notion de construction identitaire demeurera toujours sujet à controverse et pas besoin de t'expliquer qu'un surdoué est souvent maître en matière de recherche d'incohérence.
C'est un long cheminement souvent accompagné de souffrance pour se rapprocher de la vérité par la lucidité, et enfin pouvoir comprendre au mieux le fonctionnement de notre monde, de ce qui l'a amené au firmament de sa décadence et qui au final implique que des personnes comme toi sont inadaptés à ses règles. Les réponses se trouveront dans cette quête de sens de la vie et peut-être que cela implique que tu réaliseras que tu poses peut-être les mauvaises questions dans un contexte de l'absolu
rapou- Messages : 26
Date d'inscription : 25/11/2011
Age : 39
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Je plussoie rapou
J'ai moi-même eu ces interrogations, et moi aussi, j'ai cherché le sens de ma vie (et le sens de LA vie pendant que j'y étais .. ). J'ai trouvé des réponses qui me conviennent même si je me sens toujours à part, différente car je suis différente.
J'ai lu ton topic power45.. tu sais, il n'y a pas que les "qualités", "pouvoirs" intellectuels qui nous définissent.
Lorsqu'on se sent un peu débordé par sa base, les psy préconisent de faire du sport (qu'on sait faire aussi à fond !), de faire de la danse (genre la salsa par exemple, qui est ludique mais aussi qui nous permet de maîtriser l'espace, le mouvement, notre corps), d'avoir une activité artistique.
Tu pratiques tout ceci ?
J'ai moi-même eu ces interrogations, et moi aussi, j'ai cherché le sens de ma vie (et le sens de LA vie pendant que j'y étais .. ). J'ai trouvé des réponses qui me conviennent même si je me sens toujours à part, différente car je suis différente.
J'ai lu ton topic power45.. tu sais, il n'y a pas que les "qualités", "pouvoirs" intellectuels qui nous définissent.
Lorsqu'on se sent un peu débordé par sa base, les psy préconisent de faire du sport (qu'on sait faire aussi à fond !), de faire de la danse (genre la salsa par exemple, qui est ludique mais aussi qui nous permet de maîtriser l'espace, le mouvement, notre corps), d'avoir une activité artistique.
Tu pratiques tout ceci ?
Invité- Invité
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Rapou, je trouve ton analyse de la situation plutôt juste en ce qui concerne le regard de la société et son fonctionnement. Par-contre, je perçois un "à quoi bon?" danser discrètement au milieu de ta mélancolie.
Ensuite, je pense que si quelqu'un souhaite aller au bout de ce qu'il est, personne n'a le droit de lui dire: "c'est trop dur, à quoi bon, laisses tomber, ça sert à rien, de toute façon c'est voué à l'échec, tu ne seras jamais heureux car le bonheur n'existe pas, ect! Gnagnagna..." Je profite de ton topic pour pousser un énième coup de gueule sur le même sujet:
Arrêtons, par pitié, de vomir sur le monde et la société! Cessons de toujours tout dénigrer! Oui, il y a des travers, oui, il y a des choses qui ne vont pas! C'est vrai! Et le dire c'est bien, car il faut rester lucide! Mais ceci à 2 conditions seulement:
1) On dénonce et on propose des solutions, sinon ça ne sert à rien. Juste à sapper le moral des autres. Et c'est stérile!
2) On note aussi ce qui va! Je commence: l'école gratuite pour tous, les soins médicaux à moindre coups, la liberté de penser et de parler, de choisir sa voie. Nous sommes dans un pays en paix où nous ne craignons pas nous recevoir des bombes sur la gueule... C'est pas mal déjà.
On ne sauve pas quelqu'un de la noyade en lui enfonçant la tête sous l'eau! Perso, après des lectures ou des écoutes de constats de catastrophes ou de critiques acerbes stériles, je me sens mal et j'ai envie de rester dans mon lit! et qd on me dit que je suis jolie et super, j'ai envie de faire des tas de trucs bien! Comme tout le monde, j'ai envie de progresser quand on me dit que ce que je fais est bien! Si on me dit que c'est de la merde et bien je n'ai pas envie de bouger! A bon entendeur salut!
Ensuite, je pense que si quelqu'un souhaite aller au bout de ce qu'il est, personne n'a le droit de lui dire: "c'est trop dur, à quoi bon, laisses tomber, ça sert à rien, de toute façon c'est voué à l'échec, tu ne seras jamais heureux car le bonheur n'existe pas, ect! Gnagnagna..." Je profite de ton topic pour pousser un énième coup de gueule sur le même sujet:
Arrêtons, par pitié, de vomir sur le monde et la société! Cessons de toujours tout dénigrer! Oui, il y a des travers, oui, il y a des choses qui ne vont pas! C'est vrai! Et le dire c'est bien, car il faut rester lucide! Mais ceci à 2 conditions seulement:
1) On dénonce et on propose des solutions, sinon ça ne sert à rien. Juste à sapper le moral des autres. Et c'est stérile!
2) On note aussi ce qui va! Je commence: l'école gratuite pour tous, les soins médicaux à moindre coups, la liberté de penser et de parler, de choisir sa voie. Nous sommes dans un pays en paix où nous ne craignons pas nous recevoir des bombes sur la gueule... C'est pas mal déjà.
On ne sauve pas quelqu'un de la noyade en lui enfonçant la tête sous l'eau! Perso, après des lectures ou des écoutes de constats de catastrophes ou de critiques acerbes stériles, je me sens mal et j'ai envie de rester dans mon lit! et qd on me dit que je suis jolie et super, j'ai envie de faire des tas de trucs bien! Comme tout le monde, j'ai envie de progresser quand on me dit que ce que je fais est bien! Si on me dit que c'est de la merde et bien je n'ai pas envie de bouger! A bon entendeur salut!
anianka05- Messages : 987
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : Toulouse, dans un corps fait de chair et d'os (je crois...)
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Merci pour ce coup de gueule ! C'est très bien dit.
Eh bien moi, je dis que tu es jolie et super (euh, si je peux me permettre : jolie, tu peux le montrer ? c'est juste pour nous donner envie de faire des tas de trucs bien, nous aussi).
Eh bien moi, je dis que tu es jolie et super (euh, si je peux me permettre : jolie, tu peux le montrer ? c'est juste pour nous donner envie de faire des tas de trucs bien, nous aussi).
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
merci!!!
anianka05- Messages : 987
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : Toulouse, dans un corps fait de chair et d'os (je crois...)
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
anianka05 a écrit:Rapou, je trouve ton analyse de la situation plutôt juste en ce qui concerne le regard de la société et son fonctionnement. Par-contre, je perçois un "à quoi bon?" danser discrètement au milieu de ta mélancolie.
Ensuite, je pense que si quelqu'un souhaite aller au bout de ce qu'il est, personne n'a le droit de lui dire: "c'est trop dur, à quoi bon, laisses tomber, ça sert à rien, de toute façon c'est voué à l'échec, tu ne seras jamais heureux car le bonheur n'existe pas, ect! Gnagnagna..." Je profite de ton topic pour pousser un énième coup de gueule sur le même sujet:
Arrêtons, par pitié, de vomir sur le monde et la société! Cessons de toujours tout dénigrer! Oui, il y a des travers, oui, il y a des choses qui ne vont pas! C'est vrai! Et le dire c'est bien, car il faut rester lucide! Mais ceci à 2 conditions seulement:
1) On dénonce et on propose des solutions, sinon ça ne sert à rien. Juste à sapper le moral des autres. Et c'est stérile!
2) On note aussi ce qui va! Je commence: l'école gratuite pour tous, les soins médicaux à moindre coups, la liberté de penser et de parler, de choisir sa voie. Nous sommes dans un pays en paix où nous ne craignons pas nous recevoir des bombes sur la gueule... C'est pas mal déjà.
On ne sauve pas quelqu'un de la noyade en lui enfonçant la tête sous l'eau! Perso, après des lectures ou des écoutes de constats de catastrophes ou de critiques acerbes stériles, je me sens mal et j'ai envie de rester dans mon lit! et qd on me dit que je suis jolie et super, j'ai envie de faire des tas de trucs bien! Comme tout le monde, j'ai envie de progresser quand on me dit que ce que je fais est bien! Si on me dit que c'est de la merde et bien je n'ai pas envie de bouger! A bon entendeur salut!
peut-être que tu perçois un "à quoi bon" mais on ne doit pas avoir le même genre d'implicite...
je ne vois pas en quoi le fait d'apporter des précisions, et de placer son questionnement dans un rapport au monde pour s'extraire d'une certaine subjectivité et donc étendre les possibilités pourrait prendre le sens de "c'est trop dur, à quoi bon, laisses tomber, ça sert à rien, de toute façon c'est voué à l'échec, tu ne seras jamais heureux car le bonheur n'existe pas, ect! Gnagnagna..."
Tu fais juste une interprétation libre de ce que je dis et c'est ça qui risque d'être stérile...
Oui le monde va mal, et peut-être qu'en parler serait déjà une première étape dans la recherche de solution,à moins que l'on ne veuille rester dans le monde des bisounours, je ne peux pas penser à sa place je lui présente ce qui pour ma conscience demeure la meilleure des réflexion: oser tout remettre en question, même ce que l'on a appris à croire, jusqu'à se demander si l'on se pose les bonnes questions lorsque l'on s'étend sur un plan universel et intemporel.
Il y a des personnes qui justifient leur absence d'actions par leur pessimisme et je n'en fait pas parti si c'est ce genre de pensée à laquelle tu fais allusion.
je n'ai pas non plus dit que l'on vit en enfer, mais notre confort matériel a un prix, si la plus grande partie de la population mondiale doit souffrir à cause de l'économie de marché des organisations financières qui gèrent les ressources du globe alors là on peut se poser des questions sur le bien-fondé de nos privilèges car tu dis grosso-modo on vit dans un pays où nous ne sommes pas touchés donc ça ne nous regarde pas, et ce n'est pas comme cela qu'un libre penseur se doit d'observer et de présenter les faits.
ton coup de gueule comme tu le dis, ça reste "TON" coup de gueule, avec tes propres envies, et ça manque cruellement d'abnégation car tu te positionnes sur un terrain où tu opposes littéralement la conscience du monde avec ton droit de vivre, notions sur lesquelles tu justifies ta pensée par simple association de connotations en présentant une vision où la symbolique de la lucidité ne doit pas t'empêcher de vivre heureuse.
Je n'empêche personne de penser ou vivre, mais transposer ces idées sur un plan de l'absolu démontre que ces notions de vivre, bonheur, ou de beauté perdent dès lors ce qui en font leur substance.
Après si il suffit de gonfler ton égo avec quelques compliments pour que tu te sentes la force de vivre dans un monde où l'essentiel de ce qui définit le sens de la vie (selon la vision que tu nous proposes) qui serait "d'avancer" sans perdre de temps sur les problèmes du mondes alors reste dans le tien et celle qui empêche l'autre de penser par l'utilisation du procès d'intention c'est toi
rapou- Messages : 26
Date d'inscription : 25/11/2011
Age : 39
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Je vois que je t'ai vexé. Désolée, ce n'était pas mon intention. Mais c'est dû à une réaction épidermique engendrée par un constat supplémentaire sans solution derrière. Comme je l'ai bien souligné, il est sain de se poser des questions de faire des constats de situations négatives, mais la stérilité est, je persiste, dans l'absence de solutions concrètes derrière!
D'où le "ah quoi bon?" Je m'explique: quelqu'un arrive et dit en gros "j'ai envie de me surpasser mais je ne sais pas comment faire" et il y a quelqu'un qui lui répond "C'est bien, mais on vit dans un monde qui part en couille, qui rejette des gens comme toi pour telles et telles raisons... Mais vas-y fonce!"
Et donc conclusion, d'après toi? Il est fort possible qu'il se dise: "ok, je fais quoi maintenant? Puisque de toute façon, on me rejette..."
Voilà pour le "à quoi bon?" Cette personne était en recherche de solutions que tu ne lui as pas réellement proposé...
"Gonfler mon égo par quelques compliments": Et il était évident qu'il ne s'agit pas que de simples compliments mais d'une exagération pour illustrer mes propos. La base de toute pédagogie efficace est la valorisation par le positif de toutes les situations même les plus douloureuses. Une critique constructive se découpe de la manière suivante: on commence par le + on continue avec le - et on termine avec le +!
Sois honnête: Quand tu lis les journaux ou que tu écoutes les infos, tu te sens comment ensuite? A quel moment tu te sens dans une énergie positive?
1- Quand les oiseaux de mauvaises augures, qui au nom de la libre expression et de l'information ne dispensent que des nouvelles atroces?
2- Ou bien quand pendant 3 minutes, on a mis en valeur une initiative locale intéressante et sympathique?
Tu te sens mieux après des explications constructives qui doivent t'amener à progresser ou bien après que quelqu'un t'es dis que ce que tu fais c'est de la merde et point barre?
Qui sera le plus fort et le mieux dans sa peau, le plus stable et le plus joyeux? L'enfant battu ou celui entouré par l'amour et la douce fermeté de ses parents? Les jeunes dans les rues qui mettent le bazar, sont généralement lesquels? Ceux qui dont à appris des valeurs ou ceux qui ont été laissé à l'abandon? Et des exemples comme ça, j'en ai à la pelle!
Alors je le répète "oui on doit dire ce qui ne va pas, mais non on ne doit pas en rester là! On donne des solutions ou il vaut mieux se taire, c'est plus sage! (je ne parle pas pour toi en particulier)"
Et on montre autant les belles choses de ce monde que les mauvaises. Il n'y a aucune raison valable de s'arrêter au négatif! Le positif est là et le positivisme fait avancer, contrairement au négativisme qui lui fait faire du surplace voire reculer! Faire un liste de montagnes à franchir n'est pas suffisant, reste à montrer les sentiers qui les traversent.
J'ai relu ton topic et je suis restée sur la même impression, je me trompe dans ma compréhension ou peut-être que tu n'as pas été assez clair(e)...
D'où le "ah quoi bon?" Je m'explique: quelqu'un arrive et dit en gros "j'ai envie de me surpasser mais je ne sais pas comment faire" et il y a quelqu'un qui lui répond "C'est bien, mais on vit dans un monde qui part en couille, qui rejette des gens comme toi pour telles et telles raisons... Mais vas-y fonce!"
Et donc conclusion, d'après toi? Il est fort possible qu'il se dise: "ok, je fais quoi maintenant? Puisque de toute façon, on me rejette..."
Voilà pour le "à quoi bon?" Cette personne était en recherche de solutions que tu ne lui as pas réellement proposé...
"Gonfler mon égo par quelques compliments": Et il était évident qu'il ne s'agit pas que de simples compliments mais d'une exagération pour illustrer mes propos. La base de toute pédagogie efficace est la valorisation par le positif de toutes les situations même les plus douloureuses. Une critique constructive se découpe de la manière suivante: on commence par le + on continue avec le - et on termine avec le +!
Sois honnête: Quand tu lis les journaux ou que tu écoutes les infos, tu te sens comment ensuite? A quel moment tu te sens dans une énergie positive?
1- Quand les oiseaux de mauvaises augures, qui au nom de la libre expression et de l'information ne dispensent que des nouvelles atroces?
2- Ou bien quand pendant 3 minutes, on a mis en valeur une initiative locale intéressante et sympathique?
Tu te sens mieux après des explications constructives qui doivent t'amener à progresser ou bien après que quelqu'un t'es dis que ce que tu fais c'est de la merde et point barre?
Qui sera le plus fort et le mieux dans sa peau, le plus stable et le plus joyeux? L'enfant battu ou celui entouré par l'amour et la douce fermeté de ses parents? Les jeunes dans les rues qui mettent le bazar, sont généralement lesquels? Ceux qui dont à appris des valeurs ou ceux qui ont été laissé à l'abandon? Et des exemples comme ça, j'en ai à la pelle!
Alors je le répète "oui on doit dire ce qui ne va pas, mais non on ne doit pas en rester là! On donne des solutions ou il vaut mieux se taire, c'est plus sage! (je ne parle pas pour toi en particulier)"
Et on montre autant les belles choses de ce monde que les mauvaises. Il n'y a aucune raison valable de s'arrêter au négatif! Le positif est là et le positivisme fait avancer, contrairement au négativisme qui lui fait faire du surplace voire reculer! Faire un liste de montagnes à franchir n'est pas suffisant, reste à montrer les sentiers qui les traversent.
J'ai relu ton topic et je suis restée sur la même impression, je me trompe dans ma compréhension ou peut-être que tu n'as pas été assez clair(e)...
anianka05- Messages : 987
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : Toulouse, dans un corps fait de chair et d'os (je crois...)
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Tu as simplement mal interprété, et la réponse à la problématique que tu poses se trouve simplement dans mon commentaire, alors je te réexplique:
1)Je lui rappelle le fonctionnement typique de notre société qui ne permet pas l'expression libre des potentiels intellectuels dans sa définition la plus basique.
2)Je lui propose ensuite de se questionner sur la raison pour laquelle il souhaite entamer ce processus.
3) J'essaye de lui présenter un des nombreux cheminements qui lui permettraient de prendre en considération la plus grande échelle contextuelle sur laquelle placer la cohérence de son désir car on ne peut pas être intellectuellement honnête et affirmer que l'exploitation de son potentiel intellectuel soit une fin en soi sans positionner sa réflexion sur un plan extérieur.
4) Je mets en lien par la suite l'ensemble de ces éléments pour étendre les possibilités de recherche afin qu'il puisse se rendre compte qu'il ne se pose peut-être pas les bonnes questions et que le simplisme de ce genre de question demeure de la subjectivité par son absence de contexte et la réponse qu'il risque de recevoir serait malle appropriée
Quand une fille (un exemple comme tant d'autres) se pose la question de comment trouver l'amour, je trouve stérile d'employer le positivisme ou la flatterie( ce qui serait employé par beaucoup de personnes et qui auront sûrement trouvé la méthode dans les revues vulgarisées de psychologie) ou d'autres phrases bidons du genre "tkt t'es belle tu vas trouver"...
Ma méthode serait d'amener à un questionnement en prenant en considération le maximum d'éléments pour visualiser au mieux la différence entre mythe et réalité.
Je lui demanderai de se demander quelle est sa définition de l'amour, quelle vision a-t'elle d'une relation idéale, la raison pour laquelle elle en désire sa consommation, l'évolution des rapports amoureux dans notre société, l'impacte de ce sentiment sur notre vie sociale, psychologique..., quels sont les traits de caractères prédominants chez elle, quels sont les caractéristiques des individus qui lui plaisent, quelle part de raisonnement et d'affectivité répartira-t'elle...?
Une pédagogie qui l'amènera vers une réflexion et qui la poussera à réévaluer peut-être le réalisme de ses questions...
Alors non tu ne m'as pas vexé et je persiste à dire que tu as interprété librement ce que je dis en symbolisant l'idée essentielle pour la polariser avec ce que tu considères être la meilleure pédagogie.
1)Je lui rappelle le fonctionnement typique de notre société qui ne permet pas l'expression libre des potentiels intellectuels dans sa définition la plus basique.
2)Je lui propose ensuite de se questionner sur la raison pour laquelle il souhaite entamer ce processus.
3) J'essaye de lui présenter un des nombreux cheminements qui lui permettraient de prendre en considération la plus grande échelle contextuelle sur laquelle placer la cohérence de son désir car on ne peut pas être intellectuellement honnête et affirmer que l'exploitation de son potentiel intellectuel soit une fin en soi sans positionner sa réflexion sur un plan extérieur.
4) Je mets en lien par la suite l'ensemble de ces éléments pour étendre les possibilités de recherche afin qu'il puisse se rendre compte qu'il ne se pose peut-être pas les bonnes questions et que le simplisme de ce genre de question demeure de la subjectivité par son absence de contexte et la réponse qu'il risque de recevoir serait malle appropriée
Quand une fille (un exemple comme tant d'autres) se pose la question de comment trouver l'amour, je trouve stérile d'employer le positivisme ou la flatterie( ce qui serait employé par beaucoup de personnes et qui auront sûrement trouvé la méthode dans les revues vulgarisées de psychologie) ou d'autres phrases bidons du genre "tkt t'es belle tu vas trouver"...
Ma méthode serait d'amener à un questionnement en prenant en considération le maximum d'éléments pour visualiser au mieux la différence entre mythe et réalité.
Je lui demanderai de se demander quelle est sa définition de l'amour, quelle vision a-t'elle d'une relation idéale, la raison pour laquelle elle en désire sa consommation, l'évolution des rapports amoureux dans notre société, l'impacte de ce sentiment sur notre vie sociale, psychologique..., quels sont les traits de caractères prédominants chez elle, quels sont les caractéristiques des individus qui lui plaisent, quelle part de raisonnement et d'affectivité répartira-t'elle...?
Une pédagogie qui l'amènera vers une réflexion et qui la poussera à réévaluer peut-être le réalisme de ses questions...
Alors non tu ne m'as pas vexé et je persiste à dire que tu as interprété librement ce que je dis en symbolisant l'idée essentielle pour la polariser avec ce que tu considères être la meilleure pédagogie.
rapou- Messages : 26
Date d'inscription : 25/11/2011
Age : 39
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
Ok, merci pour tes explications.
Pour la petite histoire, je n'ai pas exposé ma vision de la pédagogie. J'ai juste souligné que favoriser une image positive de soi est une base de la pédagogie. Mais je ne suis pas allée plus loin dans ma pensée et je sais que ce n'est pas suffisant.
Pour la petite histoire, je n'ai pas exposé ma vision de la pédagogie. J'ai juste souligné que favoriser une image positive de soi est une base de la pédagogie. Mais je ne suis pas allée plus loin dans ma pensée et je sais que ce n'est pas suffisant.
anianka05- Messages : 987
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : Toulouse, dans un corps fait de chair et d'os (je crois...)
Re: L'inhibition intellectuelle: ma calvalcade en cette univers a besoin de votre accompagnement.
anianka05 a écrit: La base de toute pédagogie efficace est la valorisation par le positif de toutes les situations même les plus douloureuses. Une critique constructive se découpe de la manière suivante: on commence par le + on continue avec le - et on termine avec le +!
tu dis que c'est "UNE" base mais au dessus tu disais que c'est "LA" base...
L'un sous-entend une énumération, l'autre son caractère unique...
Mais pas de soucis
rapou- Messages : 26
Date d'inscription : 25/11/2011
Age : 39
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