Estime de soi inexistante
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Re: Estime de soi inexistante
Darkness a écrit:....mais j'ai constaté que quand je suis attentionnée envers les autres je suis heureuse donc je m'aime!
Alors pour m'aimer un peu plus ce soir.......
JE VOUS AIME TOUS MËME CEUX AVEC QUI JE NE SUIS PAS EN ACCORD.........
Voilà Mon post n'était pas très clair, le tien l'est : c'est exactement ce que je voulais dire
Invité- Invité
Re: Estime de soi inexistante
En effet ton post m'étais pas clair mais tintant de vérité,donc lumineux donc pour la clarté pas de soucis il il est très clair au contraire et ça m'à fait plaisir de lire ça car trop peu le pensent ou le disent !!!
Merci à toi........
Merci à toi........
MysticApocalypse- Messages : 3476
Date d'inscription : 07/08/2012
Localisation : Dans la limite du stock de neurones disponibles.....
Re: Estime de soi inexistante
je suis un peu embêtée, je n'éprouve pas vraiment de satisfaction à donner, pour moi c'est juste normal, je le fait pour l'autre et puis c'est tout.
après je peux aimer des gens dans ce qu'ils sont ou semblent exprimer (verbal, action et non-verbal) mais ça va pas plus loin non plus. ils sont là c'est bien voir mieux, ils ne sont pas là c'est autrement voir moins bien. à la limite les seuls pour qui j'ai pu éprouver un amour plus particulier ces dernières années (hormis mes parents!) (même mon ex avec qui j'ai vécu 4 ans n'en fait pas parti) sont un couple que je n'ai croisé qu'une fois dans ma vie mais dont les simples échanges m'ont fait tellement d'effet que je pense à eux très très régulièrement et correspond encore avec eux 2 ans après. quand j'étais plus jeune, oui j'aimais de cette manière-là plus facilement mais dans tout les cas je ne vois pas le rapport avec le fait de m'aimer.
de même que le désir d'amour ou d'amitié peut-être présent mais il n'y a pas d'individus pour qui je pourrais le ressentir ou c'est occasionnel.
ça m'embête, je suis contente de vous lire mais je crains de ne pas avoir compris quelque chose?
après je peux aimer des gens dans ce qu'ils sont ou semblent exprimer (verbal, action et non-verbal) mais ça va pas plus loin non plus. ils sont là c'est bien voir mieux, ils ne sont pas là c'est autrement voir moins bien. à la limite les seuls pour qui j'ai pu éprouver un amour plus particulier ces dernières années (hormis mes parents!) (même mon ex avec qui j'ai vécu 4 ans n'en fait pas parti) sont un couple que je n'ai croisé qu'une fois dans ma vie mais dont les simples échanges m'ont fait tellement d'effet que je pense à eux très très régulièrement et correspond encore avec eux 2 ans après. quand j'étais plus jeune, oui j'aimais de cette manière-là plus facilement mais dans tout les cas je ne vois pas le rapport avec le fait de m'aimer.
de même que le désir d'amour ou d'amitié peut-être présent mais il n'y a pas d'individus pour qui je pourrais le ressentir ou c'est occasionnel.
ça m'embête, je suis contente de vous lire mais je crains de ne pas avoir compris quelque chose?
medusa- Messages : 188
Date d'inscription : 15/02/2014
Localisation : 62
Re: Estime de soi inexistante
zut, ça me donne l'impression d'être anorexique sans l'overdose!
medusa- Messages : 188
Date d'inscription : 15/02/2014
Localisation : 62
Re: Estime de soi inexistante
Pour en revenir aux choses sérieuses, s'aimer c'est compliqué, vraiment compliqué... jusqu'au jour où tu rencontres une personne qui t'expliques qu'en fait non, c'est simple, c'est vraiment simple. Ce que je raconte ressemble un peu à l'histoire du prince charmant, à laquelle, passé un certain âge, on n'est plus censée croire, et pourtant... N'est-on pas blasé (et donc irrécupérable) si on ne croit pas un tout petit peu à ces histoires-là ?
de même que le désir d'amour ou d'amitié peut-être présent mais il n'y a pas d'individus pour qui je pourrais le ressentir ou c'est occasionnel
Pour moi, là est le problème : "pas d'individus pour qui je pourrais le ressentir"... Le plus urgent est de trouver ces individus ! Je pense qu'ils existent !
de même que le désir d'amour ou d'amitié peut-être présent mais il n'y a pas d'individus pour qui je pourrais le ressentir ou c'est occasionnel
Pour moi, là est le problème : "pas d'individus pour qui je pourrais le ressentir"... Le plus urgent est de trouver ces individus ! Je pense qu'ils existent !
Invité- Invité
Re: Estime de soi inexistante
elle est top ta vidéo!!! vive toi!!
medusa- Messages : 188
Date d'inscription : 15/02/2014
Localisation : 62
Re: Estime de soi inexistante
c'est clair, mais pour l'instant j'ai trop besoin de moi je ne peux pas partager, merci très beaucoup et la vidéo fait son p'tit effet!
bonne nuit à toi!
bonne nuit à toi!
medusa- Messages : 188
Date d'inscription : 15/02/2014
Localisation : 62
Re: Estime de soi inexistante
Je connais bien ce sentiment... Il est encore pire maintenant que je suis travailleur social et que j'accompagne des personne dans la m**de toute la journée. L'envie de venir en aide aux autres doublé d'une commande professionnelle de venir en aide aux autres.
Je pense pas avoir trouvé la solution, mais j'ai un début, donc si ça peut t'aider je partage (sait-on jamais).
Je me suis inscrite dans un sport d'équipe, qui, paradoxalement, me permet de me concentrer sur moi : car si je suis ailleurs, si je soutiens trop un coéquipier, je ne suis plus attentive à ma position et j'handicape mon équipe. Donc là, je suis obligée d'être concentrée sur ma position à 200%, de faire gaffe à moi pour aider tout le monde. Et puis je me dis que je ne peux pas agir sur les performances de tous les joueurs, seulement sur les miennes, pour tirer vers le haut tout le monde.
Je m'autorise parfois ce que j'appelle un instant "caprice" : je me pose deux minutes (voir plusieurs heures) pour réfléchir à un truc qui me fait vraiment, mais alors vraiment envie, et que je vais faire seule. Ça peut être tout et n'importe quoi : une glace, une sortie, un film, un travail manuel, un gommage de la peau... Je coupe mon portable et je m'interdis de contacter qui que ce soit avant d'avoir assouvi cette envie, tant que c'est pas terminé. Comme ça, je m'oblige à penser à moi. C'est très compliqué au début de trouver un truc si égoïste qui nous fera du bien que à soi, mais si on fait taire la culpabilité en se disant qu'on a le droit, ça ressource.
Et mon travail m'aide à déculpabiliser : me dire que j'accompagne des personnes en grandes difficultés toute la journée, je m'autorise plus facilement à prendre un moment pour moi.
Et, et ça peut paraitre complètement con, je tiens un cahier, dans lequel je note tous les jours une pensée, une phrase, une rencontre, un événement qui m'a interpellé et pourquoi... Y a rien de plus intime, et je sais que personne ne le lira jamais... Entretenir son jardin secret, se dire qu'une partie de nous n'est accessible qu'à nous, ça permet aussi d'apprendre à se découvrir...
Voilà quelques pistes. Je sais pas si elles sont applicables pour tout le monde, en tout cas pour moi ça semble à peu près bien fonctionner !
Je pense pas avoir trouvé la solution, mais j'ai un début, donc si ça peut t'aider je partage (sait-on jamais).
Je me suis inscrite dans un sport d'équipe, qui, paradoxalement, me permet de me concentrer sur moi : car si je suis ailleurs, si je soutiens trop un coéquipier, je ne suis plus attentive à ma position et j'handicape mon équipe. Donc là, je suis obligée d'être concentrée sur ma position à 200%, de faire gaffe à moi pour aider tout le monde. Et puis je me dis que je ne peux pas agir sur les performances de tous les joueurs, seulement sur les miennes, pour tirer vers le haut tout le monde.
Je m'autorise parfois ce que j'appelle un instant "caprice" : je me pose deux minutes (voir plusieurs heures) pour réfléchir à un truc qui me fait vraiment, mais alors vraiment envie, et que je vais faire seule. Ça peut être tout et n'importe quoi : une glace, une sortie, un film, un travail manuel, un gommage de la peau... Je coupe mon portable et je m'interdis de contacter qui que ce soit avant d'avoir assouvi cette envie, tant que c'est pas terminé. Comme ça, je m'oblige à penser à moi. C'est très compliqué au début de trouver un truc si égoïste qui nous fera du bien que à soi, mais si on fait taire la culpabilité en se disant qu'on a le droit, ça ressource.
Et mon travail m'aide à déculpabiliser : me dire que j'accompagne des personnes en grandes difficultés toute la journée, je m'autorise plus facilement à prendre un moment pour moi.
Et, et ça peut paraitre complètement con, je tiens un cahier, dans lequel je note tous les jours une pensée, une phrase, une rencontre, un événement qui m'a interpellé et pourquoi... Y a rien de plus intime, et je sais que personne ne le lira jamais... Entretenir son jardin secret, se dire qu'une partie de nous n'est accessible qu'à nous, ça permet aussi d'apprendre à se découvrir...
Voilà quelques pistes. Je sais pas si elles sont applicables pour tout le monde, en tout cas pour moi ça semble à peu près bien fonctionner !
Junna- Messages : 9
Date d'inscription : 17/02/2014
Age : 33
Localisation : Bretonnie Sud
Re: Estime de soi inexistante
Junna : je suis touchée par ton auto-prise en main. belle distanciation et auto-responsabilisation pour te protéger .. bref belle auto-empathie.
J'ai aussi mis un moment avant d'oser faire des choses toute seule puis finalement, s'il fallait attendre que les autres prennent soin de moi... autant me prendre en main.
Pour la méditation, j'ai trop d'énergie pour le faire sans support => coloriage, tricot, cuisine.. il faut que mes mains soient occupées pour que je puisse me centrer durablement.
Par contre, il est impossible pour moi de le faire en société, car alors je perçois tout mon entourage et c'est ingérable.
J'ai aussi mis un moment avant d'oser faire des choses toute seule puis finalement, s'il fallait attendre que les autres prennent soin de moi... autant me prendre en main.
Pour la méditation, j'ai trop d'énergie pour le faire sans support => coloriage, tricot, cuisine.. il faut que mes mains soient occupées pour que je puisse me centrer durablement.
Par contre, il est impossible pour moi de le faire en société, car alors je perçois tout mon entourage et c'est ingérable.
Pouet- Messages : 529
Date d'inscription : 13/02/2014
Age : 59
Localisation : ici (78) ... et ailleurs
Re: Estime de soi inexistante
ou en es tu? t arrives?Pouet a écrit:J'ai aussi mis un moment avant d'oser faire des choses toute seule puis finalement, s'il fallait attendre que les autres prennent soin de moi... autant me prendre en main.
petite creature- Messages : 153
Date d'inscription : 17/03/2014
Age : 37
Localisation : Tunisie
Bliss- Messages : 12125
Date d'inscription : 11/11/2010
Re: Estime de soi inexistante
Merci pour vos échanges éclairants....
Là, je vois un lien évident entre le manque d'estime de soi et la blessure d'abandon.
Choc à la lecture du post sur la honte toxique...
le môme interprète les pleurs pas consolés ou le biberon qui tarde comme un abandon dont il se sent responsable, il imagine qu'il doit être mauvais.
D'où la honte, la construction d'un faux self pour plaire et se sentir aimé. Sa propre valeur se base alors sur l'estime dont les autres le gratifient : besoin de reconnaissance, dépendance affective, etc...
Tout cet enchaînement "spontané" se maintien parce que ce n'est pas VU.
En voyant ses propres schémas de fonctionnement (qui sont refoulés, car "c'est dangereux d'aller voir ça"), et observant le manège dans son propre esprit, tout ce qui est faux est vu pour ce que c'est, les schémas peuvent être libérés, ils s'évaporent pitit à pitit...
Là, je vois un lien évident entre le manque d'estime de soi et la blessure d'abandon.
Choc à la lecture du post sur la honte toxique...
le môme interprète les pleurs pas consolés ou le biberon qui tarde comme un abandon dont il se sent responsable, il imagine qu'il doit être mauvais.
D'où la honte, la construction d'un faux self pour plaire et se sentir aimé. Sa propre valeur se base alors sur l'estime dont les autres le gratifient : besoin de reconnaissance, dépendance affective, etc...
Tout cet enchaînement "spontané" se maintien parce que ce n'est pas VU.
En voyant ses propres schémas de fonctionnement (qui sont refoulés, car "c'est dangereux d'aller voir ça"), et observant le manège dans son propre esprit, tout ce qui est faux est vu pour ce que c'est, les schémas peuvent être libérés, ils s'évaporent pitit à pitit...
Re: Estime de soi inexistante
Lors d'une insomnie, je m'amusais à réfléchir à tout ça, et effectivement il y a beaucoup de points communs ce qui a été dit ici
L'estime de soi est fortement liée à certains critères déterminés en grande partie par la culture et l'identité sexuée. Elle est grandement fragilisée par le perfectionnisme.
Sur cette vidéo, on voit que les femmes sont perturbées par leur physique, car dans notre culture, une femme "doit" être belle pour être aimée.
Si je fais le parallèle avec moi-même (en tant qu'homme), mes préoccupations sont bien différentes. Déjà, j'aime bien mon corps, avec mon surpoids, et ma tête d'informaticien. J'aime bien plaisanter à son sujet, ses défauts m'apparaissent comme des "non-défauts", c'est à dire des simples attributs totalement acceptés.
Ce qui réduit le plus mon estime de moi, c'est la sensation d'être profondément inintéressant, et peu compétent. Ainsi je peux me sentir vraiment minable si je trouve que ma prime de fin d'année est trop faible : "Je le savais je suis vraiment nul". Et si quelqu'un semble s'ennuyer à mes côtés, je le vis relativement mal (et je détecte trop bien ces choses là )
Tous ces critères nous handicapent à cause d'une fausse idée, une idée que nous avons depuis la plus tendre enfance, bien avant que l'on ait pu parler : "Je dois avoir telle ou telle qualité pour être aimé".
Et d'une façon absurde, le cerveau fait un lien avec la réalité. A un moment donné, il se sent abandonné, il ne se sent pas aimé. Et comme il ne se sent pas aimé, il en tire la conclusion suivante : "Je n'ai pas la qualité requise".
Une conviction plus tenace que la saleté sur un plat à gratin, qui résistera à tout raisonnement et toute preuve objective.
Il existe plusieurs façon d'améliorer l'estime de soi :
Soit faire "sauter" cette idée (bon courage)
Soit augmenter son amour de soi/des autres, pour ensuite, reconnaître objectivement ses qualités, qui nous paraîtront évidentes.
My 2 cents
L'estime de soi est fortement liée à certains critères déterminés en grande partie par la culture et l'identité sexuée. Elle est grandement fragilisée par le perfectionnisme.
Sur cette vidéo, on voit que les femmes sont perturbées par leur physique, car dans notre culture, une femme "doit" être belle pour être aimée.
Si je fais le parallèle avec moi-même (en tant qu'homme), mes préoccupations sont bien différentes. Déjà, j'aime bien mon corps, avec mon surpoids, et ma tête d'informaticien. J'aime bien plaisanter à son sujet, ses défauts m'apparaissent comme des "non-défauts", c'est à dire des simples attributs totalement acceptés.
Ce qui réduit le plus mon estime de moi, c'est la sensation d'être profondément inintéressant, et peu compétent. Ainsi je peux me sentir vraiment minable si je trouve que ma prime de fin d'année est trop faible : "Je le savais je suis vraiment nul". Et si quelqu'un semble s'ennuyer à mes côtés, je le vis relativement mal (et je détecte trop bien ces choses là )
Tous ces critères nous handicapent à cause d'une fausse idée, une idée que nous avons depuis la plus tendre enfance, bien avant que l'on ait pu parler : "Je dois avoir telle ou telle qualité pour être aimé".
Et d'une façon absurde, le cerveau fait un lien avec la réalité. A un moment donné, il se sent abandonné, il ne se sent pas aimé. Et comme il ne se sent pas aimé, il en tire la conclusion suivante : "Je n'ai pas la qualité requise".
Une conviction plus tenace que la saleté sur un plat à gratin, qui résistera à tout raisonnement et toute preuve objective.
Il existe plusieurs façon d'améliorer l'estime de soi :
Soit faire "sauter" cette idée (bon courage)
Soit augmenter son amour de soi/des autres, pour ensuite, reconnaître objectivement ses qualités, qui nous paraîtront évidentes.
My 2 cents
plop- Messages : 188
Date d'inscription : 14/07/2014
Age : 41
Localisation : Lille
Pom-Pom- Messages : 74
Date d'inscription : 20/07/2014
Localisation : somewhere, over the rainbow // Nord
Re: Estime de soi inexistante
1) Peut on vivre sans estime de soi?
2) Existe-t-il un moyen de pouvoir trouver un peu d'estime de soi? Pour ma part je ne vois pas c'est pour cela que ça m'arrangerait qu'on me réponde oui à ma 1ère question
Non
Des thérapies comportementales et cognitives, de la bienveillance de certaines personnes de sa famille, amis..., apprendre à se valoriser...
je pense que plus on a une mauvaise estime de soi, plus on devient dépendant du regard des autres,
plus on est dépendant du regard des autres, moins on s'aime, moins on s'aime moins on apprécie les autres etc etc etc
2) Existe-t-il un moyen de pouvoir trouver un peu d'estime de soi? Pour ma part je ne vois pas c'est pour cela que ça m'arrangerait qu'on me réponde oui à ma 1ère question
Non
Des thérapies comportementales et cognitives, de la bienveillance de certaines personnes de sa famille, amis..., apprendre à se valoriser...
je pense que plus on a une mauvaise estime de soi, plus on devient dépendant du regard des autres,
plus on est dépendant du regard des autres, moins on s'aime, moins on s'aime moins on apprécie les autres etc etc etc
colonel Sponz- Messages : 535
Date d'inscription : 22/05/2014
Re: Estime de soi inexistante
Chui pas d'accord avec ça. Que "moins on s'aime moins on apprécie les autres". Je n'y crois pas à "si tu ne t'aimes pas tu ne peux point aimer les autres". A l'inverse, ça faudrait dire que plus on s'aime plus on aime les autres ? Quelle utilité d'avoir inventer les mots "arrogance" "vanité" "etc" alors ?...-.- a écrit:Plus on est dépendant du regard des autres, moins on s'aime, moins on s'aime moins on apprécie les autres etc etc etc
L'estime de soi est-ce l'amour de soi ? Disons que oui on peut retrouver de l'amour dans l'estime. (L'amour qui englobe tellement de choses dont le désir de préservation par ex.)...-.- a écrit:1) Peut on vivre sans estime de soi?
Alors dans ce cas, je suis d'accord pour écrire qu'il n'est pas possible de vivre sans "aucune" estime de soi. Puisque même une personne qui ne s'accorde pas assez de valeur aura toujours une pulsion de vie, cherchera toujours à se préserver en situation de danger de mort. Par ex, la frayeur qui prend lorsqu'une voiture frôle la nôtre. S'il n'y avait pas une trace d'estime comment alors voudrait-on empêcher la perte (la mort) d'une personne (soi) que l'on n'aime pas ?
Bacha Posh- Messages : 568
Date d'inscription : 21/06/2014
Re: Estime de soi inexistante
l'estime de soi, je crois, c'est la valeur que l'on s'accorde, ce n'est pas de l'amour...
quand à la pulsion de vie rien à voir avec l'estime de soi, c'est de l'instinct
maintenant j'ai répondu non à la question pas parce qu'on ne peut pas vivre sans "estime de soi" mais parce qu'on en souffre (sauf exceptions)
quand à la pulsion de vie rien à voir avec l'estime de soi, c'est de l'instinct
maintenant j'ai répondu non à la question pas parce qu'on ne peut pas vivre sans "estime de soi" mais parce qu'on en souffre (sauf exceptions)
colonel Sponz- Messages : 535
Date d'inscription : 22/05/2014
Re: Estime de soi inexistante
Oui, oui, tout à fait. Cependant, estime et amour peuvent être étroitement liés d'où le "Disons que oui on peut retrouver de l'amour dans l'estime." ou comme l'écrit un intervenant de ce fil "Aimer c'est estimer. Le contraire n'est pas forcément vrai." Mais pas toujours faux....-.- a écrit:l'estime de soi, je crois, c'est la valeur que l'on s'accorde, ce n'est pas de l'amour...
Je remarque que même en remplaçant l'amour par la valeur mon exemple peut toujours tenir. ;-)
Il m'est possible de penser que cet instinct nous oblige à un minimum d'amour pour nous-même ou de nous accorder une valeur minimum.quand à la pulsion de vie rien à voir avec l'estime de soi, c'est de l'instinct
Bacha Posh- Messages : 568
Date d'inscription : 21/06/2014
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