Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve .....

oui

Continuez votre échange.
Je prends 15 petits jours de congé.
Vous allez me manquer

Il y a quelques temps, j'ai envoyé valser une Belle relation avec un HQI lui aussi (pour la première fois de ma Vie); le vrai Bonheur.
Faut croire que j'étais pas prête. Et les remords...

Les remords ?
......Les regrets ?
Je / jeu à rebattre.

Hmmm... Un sujet qui me parle beaucoup.

Se sauver...en fuyant le bonheur ; ne serait-ce pas se perdre dans ses peurs ?

Ca se défend, vouloir rester dans le linéaire et la constance par peur des descentes dans le montagnes russes...mais quel ennui cette absence de variables.

Cygne tes images sont splendides.

Fuir le bonheur pour fuir la souffrance innommable que peut engendrer une séparation (qui est souvent inévitable dans une relation). Dans mon cas, il est préférable de rien vivre que d'endurer une éventuelle séparation.

Oui je pensais précisément à ça.

Mmm pourquoi envisager une séparation dés le départ?

De plus; il y a parfois des séparations heureuses (consenties mutuellement, parce qu'on est arrivés au bout du chemin, c'était bien, merci pour ce moment)

Rien donc qui ne vaille pas la peine d'être vécu.

Je n'ai pas peur de ça.
Pas peur.
Mon bonheur s'est sauvé. Il est désormais prisonnier de sa fuite. regardez-le, tout là-bas, il court, il a peur, il est lâche.
Je peux sans peur m'asseoir au bord du chemin.

et attendre qu'il fasse demi tout? ta posture me semble passive.

Je dis me semble, ce qui n'est évidemment pas un jugement ou une certitude.

Au bord de ce chemin fleuri, chantent les passereaux,
et Fabrache s'absorbe dans une souriante méditation contemplative.

Non, rien qui ne vaille pas la peine d'être vécu, mais il est des temps pour le silence et l'écoute, d'autres pour l'action déterminée, d'autres encore pour le rien, la Vie.

Fuir ce bonheur , le laisser s'enfuir (je ne l'aperçois plus, rien d'autre à l'horizon qu'un merveilleux nuage) me semble maintenant relever d'une agitation d'esprit inutile, stérile et absurde.

bien bien bien (j'ai rien compris)

.

le destin????

Le hasard n'existerait pas....

.

fuir le bonheur ou l'idée qu'il est possible qu'on soit heureux ?

fuir le bonheur ne me viendrait pas à l'esprit

mais fuir un pseudo bonheur qui a le gout du malheur ou de la détresse oui et parfois par anticipation aussi

la question est alors anticipe t on bien ou est ce la peur de réussir, de vivre ce bonheur ?

en craignant qu'il ne s'arrête ?

les expériences négatives et les blessures renforcent l'envie de ne plus s'investir , on agite le bonheur devant soi et on y croit puis on se prend une mandale

la fois suivante on hésite.. est ce du bonheur ou ma situation actuelle bien qu'en apparence moins valorisante est au moins plus sure ,?

je pense qu'on compare ce qu'on sait, les possibles et les probables

et on jauge donc sur la probabilité d'être heureux et si on se juge durement on aura sans doute des obstacles de plus à se permettre à soi d'être heureux

si on ajoute à cela un discours rabaissant ou culpbilisant, , une manipulation ou un dédain , voir du mépris, l'image de soi peut être atteinte sur la durée

"le bonheur ? c'est pas pour moi," ce matraquage peut faire de solides dégâts

surtout s'il y a renforcement à chaque fois qu'on se dit, alleeee on y va quand même

je pense qu'on ne fuit pas le bonheur mais le souvenir des échecs passés et la crainte qu'ils ne reviennent

il faut prendre du recul et de déprogrammer , mais si on a bonne mémoire de ses souffrances, ou si on ne les a pas affrontées , le moindre signe négatif peut s'amplifier

une relation simple, sans chichi, limitant ces cinémas négatifs qu'on peut se faire est l'idéal mais l'ideal dans la vie n'est pas courant...ni marchant d'ailleurs ;-)

conscient de la complexité j'aspire à la simplicité, blessé je refuse les combats

je ne me sauve que devant la complexité et les combats dans ces domaines là parce que j'ai vu trop de gens combattre et se prendre la tête

la confiance est comme une orchidée, les conditions de sa venue sont très précises et rares, il est très difficile de faire pousser une orchidée , si l'amour n'est pas rare, il est difficile de le faire durer

du coup oui on est tenté de rester dans sa zone d 'inconfort relatif

dans ses peurs

en fait je dis cela , je ne sais pas, cela dépend de l'autre, de ce qu'on est prêt à faire quand on aime aussi

donc je suis d'accord avec ortolan sur le hasard et le déterminisme

il existe clairement un facteur chance en amour mais aussi un déterminisme et une volonté d'être prêt à aimer

la vraie question qui se pose fondamentalement quand on a été blessé , c'est est ce oublié ? suis je prêt à recommencer à faire confiance ?

quel niveau de déception suis je prêt à accepter de l'autre ? car c'est inévitable ? quel niveau de déception l'autre est elle prête à accepter ?

quel niveau de surprise positive aussi, d'inattendu, de beau ?

et l'envie ? ai je envie ? est ce que je peux me projeter dans ce bonheur ? ou est ce un trou noir dont je ne vois pas les contours ?

est ce que je me permets même d'être heureux ? et sinon pourquoi ? qu'est ce qui traine comme conditionnement négatif ?

ai je droit d'être heureux comme les autres ? d'être aimé et d'aimer ?

des fois je pense que non

des fois je pense que oui

Si tu meurs aujourd'hui, quelle histoire tu voudrais qu'on raconte de toi :

Celle d'un gars qui a écouté son cœur toute sa vie
Et qui ne l'as jamais tu, et qui a su éviter/combattre les mauvaises routes, celles où l'amour et ou le bonheur n'est pas. Pour lui et pour les autres.

ca me plairais bien, ça comme épitaphe  

.

Pouchkine a écrit:
Son estomac en fait, la personification du coeur à la place de l'estomac et c'est les sucs gastrique qui partent en couille (question de victimisation, parité). Sûr que ce serait moins sexy de dire qu'on écoute son estomac, pourtant qu'on soit amoureux ou juste à deux doigts de péter une douille ça passe d'abord par l'estomac, papillon et crampe... 

C'est donc pour ça qu’être amoureux sans retour me fait perdre du pois et que quand j'suis amoureux j'crève la dalle et que j'ai un appétit énorme !   

Pouchkine a écrit:Putain, et ça va coûté combien à faire graver ste connerie ? Pas les morts qui payent ça se voit !

Excellent!      T’inquiète, t'as le temps économiser, je compte bien rester parmis  vous (les vivants ) encore longtemps !  

Pouchkine a écrit: écouter son estomac (tu me diras ça marche que si t'es pas boulimique).

Excellent! C'est bien vrai.      Et pic si t'es boulimique tu peux toujours essayer la tartiflette, ou la creuziflette, un seul plat, plus faim pendant des plombes  

Si je meurs aujourd'hui, je me fous totalement de savoir ce qu'on racontera de moi.
Piske j' s'rai mort, putaing con.
De toute, on m'oubliera.

Le bonheur n'existe pas.
Donc : de quoi on cause, là ?

Excellent l'approche pragmatique lool
On parle de fixer une direction de vie me semble t il

Apres, certains preferent y aller a l'aveugle et au ptit bonheur la chance, chacun son choix comme on dit

Fabrache a écrit:
Le bonheur n'existe pas.
Donc : de quoi on cause, là ?

Si si il existe, t as pas vu ma signature? (En tout cas, dans mon monde a moi) t'as encore un peu de temps pour le trouver t es pas si vieux que ca et pi certain le trouvent jamais alors...

Et puis certains, ici, ne t oublieront pas je pense

.

Le doute m'habite, comme dirait un p'tit bleu.

Et puis je suis totalement névrosé : je préfère tenter de rendre heureux que de courir (?) après le bonheur.
-Je suis perdu. Hola! gardes ! la camisole !
-Mais non, pas la carmagnole!
(A part) Il est un peu benêt, n'y prenez garde.
Au fait : Gardes ! Hola !
Aucun garde n'arrive.
-Nous sommes perdus, sans gardes...
-Emportons nos hardes et nos bières de garde, ce ne sera pas de trop pour la route.

vous êtes trop compliqués ici.

vous finirez par mourir, hein, vous le savez ça? on y arrivera tous, à ça, rien n'est plus sur que ça.

.

les proverbes j'aime les lire, j'en fais rarement des règles de vie.

Dans mon cas, j'aime mieux me dire que tout ira trop vite et que non, ça ne durera pas toujours.

L'au dela...c'est incertain.

Très bien, Mijanou, absolument.

Pourquoi parler de mort quand je parle de rigolade ?
Ah ! ce n'est pas à cause de mes bières de garde ! Tu me rassures.

Mijanou a écrit:vous êtes trop compliqués ici.

vous finirez par mourir, hein, vous le savez ça? on y arrivera tous, à ça, rien n'est plus sur que ça.

oui vivre plutôt que mourir mais faut il accepter une vie sans bonheur sous prétexte qu'il vaut mieux vivre que de finalement mourir à petit feu ?

il faut relativiser et ne pas vouloir l'absolu car on n'a qu'une vie, évidemment mais le drame de beaucoup de zèbres c'est que l'on veut sans doute un peu plus que une vie normale, tout simplement parce que nous ne sommes pas codés comme cela

je parle pour moi mais je fonctionne autrement, je fais et pense autrement beaucoup de choses, du coup la bonheur prend lui aussi des formes inédites et le drame c'est qu'on nous donne le modèle standard de bonheur en apprentissage qui ne nous convient absolument pas

alors on essaie de s'y conformer comme chacun et on est vite déçu , heurté, apeuré au point de refuser ce bonheur là , ce modèle là , il faut du temps et une compréhension de soi pour comprendre qu'il ya d'autres modèles et que l'on peut même en inventer mais il faut que l'autre soit dans la même longueur d'onde au niveau couple et si on est seul que la société tolère et accepte au moins partiellement ce modèle sans nous bannir et en nous acceptant partiellement

l'acceptation et l'intégration de nos différences à nous c'est bien le nœud à mon sens d'une partie de bonheur de ces nouveaux modèles

doit on être dans la solitude et l'(opposition en tant que zèbre pour être heureux ou devons nous nous nous fondre dans ce moule général pour l'être vaguement mais en gommant ce que nous sommes ?

la mort la belle affaire, se gommer est aussi une négation et une forme de mort lente

pas simple et puis chacun a son fonctionnement et son gout du bonheur

alors moi oui je fuis le modele standard couple avec deux enfants et belle maison, 2 vacances par an et les biens à disposition et les hobbys standards foot ou aerobic, je ne me retrouve pas la dedans du tout

meme si avoir des enfants et de l'affection et une maison font partie de mon modèle à moi aussi, le reste est disons plus martien mdrrr

après tout il n'est pas si simple de s'affirmer différent et tout n'est pas à jeter dans le modèle standard non plus , non en soi mais parce qu'on est libre de tout ses choix y compris d'aimer des parties du modèle standard

pas simple la vie hein ;-)

Moi c'est plutot les demoiselles qui fuient le bonheur avec moi
Et ce même si je ne cherche pas à draguer ou quoi que ce soit.

ortolan a écrit:Très beau proverbe marocain que j'ai appris il y a peu: "Vis ta vie présente comme si elle devait durer toujours et pense à l'au-delà comme si tu devais mourir demain."

Très bof comme proverbe, qui ne s'applique qu'à un groupe d'individus. Personnellement, l'idée que la vie dure éternellement ne m'emballe pas du tout, au contraire alors profiter en faisant comme si c'était le cas...

eh bien tant mieux firemane moi c'est le contraire je fais fuir sans doute

carpe diem et noctem que en somme nevahe

l'épicurisme n'est pas une nouvelle invention il est vrai et ronsard en parlait aussi

http://www.poetica.fr/poeme-110/pierre-ronsard-cueillez-aujourd-hui-roses-vie/

psyché-dream a écrit:J'aimerais connaître vos histoires ou vos avis sur ce sujet , j'espère ne pas avoir créé un topic similaire a un autre ...

Vous arrive t-il de fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve ?
Vous est t-il arrivez d'être déchiré entre l'envie d'être avec une personne et la peur du risque que cette même personne puisse partir et vous briser le coeur ?
et préférer partir plutôt que de risquer de souffrir ?

Merci de m'éclairer

Je me demande aujourd'hui si vivre en couple est vraiment vivre heureux, je n'en sais rien, mais je sais qu'il est possible de vivre heureux sans vivre en couple.

Par contre, cela demande soit beaucoup de relations amicales, éphémères, etc. donc des relations sociales non conjugales, soit une très grande volonté d'être heureux solitaire, et de savoir comment faire cela.

D'ailleurs, t'as remarqué ? Les couples cherchent beaucoup moins de relations sociales en dehors de leur couple. Par contre le couple devient une relation sociale extrêmement importante...

De nombreux couples oublient de cultiver la communication après un certain temps, là les soucis du quotidien prennent le pas sur l'amour du quotidien... et le chateau de pierre devient chateau de sable...

COMMUNIQUEZ pour garder votre chateau de pierre ! La vie de couple est aussi importante que la vie de famille !

Pas mal, Jérémy. Bon résumé.

Si je reprends le texte de psyché (une nymphe ? Je ne sais plus...),
j'ai tendance à trouver ça très triste.
Si l'attitude est répétitive, cela relève d'une réaction névrotique (t'en fais pas, psyché, c'est pas un gros mot, si je te parlais des miennes...de névroses...) dont, pour se défaire, il faut trouver la source.
Attention à ne pas devenir destructeur/trice. Parce que la souffrance alors s'étend.

-Mesure tes mots, fabrache. Tu sais, toi, ce que tu mets derrière, mais les autres ne les entendent pas de la même oreille.
-Je ne le sais que trop. Il ne suffit pas de communiquer, Jérémy, il faut aussi BIEN se faire entendre, et BIEN entendre l'autre. Parce que nous sommes tous des étrangers les uns aux autres.

And then leaning on window-sill your  he'll say one day you caused his will to weaken with your love and warmth and shelter.
And taking from his wallet an old schedule of train , he'll say
I told you when I came I was a stranger.
Yes I told you
when I came
I was a stranger.

Je ne sais pas si nous fuyons le bonheur de peur qu'il ne se sauve ; dans le cas présent de cette "interrogation", la notion de "bonheur" semble être "allié" ou "liée" à une intersection entre nous et une autre personne (couple) pour l'état de "bonheur" à deux ?

Pour me représenter le bonheur, je l'aîimaginé comme étant une personne physique. Puis, je me suis imaginée la rencontrant et les premier mots qui me sont venus à l'esprit sont : "salut" et non, plus rien. Je ne savais pas du tout quoi lui dire, vraiment toute conversation me paraissait ridicule.

Je ne savais pas du tout quoi lui dire, vraiment toute conversation me paraissait ridicule.

Un échange, un "oser" aller vers l'autre, à mon sens, n'est jamais habillé de "ridicule", mais de spontanéité, l'Envie hors raison, hors contrôle, ...

Du coup, je me suis imaginée le bonheur comme étant une personne non physique. J'avais pleins de trucs à lui dire mais je n'étais pas heureuse

Le bonheur s'imagine-t-il ? Je ne l'ai jamais imaginé, car il ne peut prendre forme que lorsqu'il se Vit et s'exprime par lui-même, de lui-même. Un peu comme une explosion intérieure qui nous fait "rayonner" et scintiller extérieurement...et cela est "visible" et palpable...
De toute chose, nous pouvons extraire des particules de bonheur...

Je ne vois donc aucun interet au sujet

Pola est pleine d'attention et pourtant...:

Comment fuir le bonheur ? Tous ces instants de grâce offert par la vie.
Psyché, ne veux tu pas plutôt parler de cette exaltation des premiers temps d'un amour ?
Si c'est cela, je les aime ces temps là. Tout y est incroyablement doux et fort.

Ahhh patate, je viens de te manger avec une noix de beurre

Pola a écrit:Ahhh patate, je viens de te manger avec une noix de beurre

Je ne prête pas que mon corps à la science et si cela peut faire ton bonheur...

Pola m'a traité ailleurs de Dom Juan.
Ma foi, je ne sais comment le prendre.
Le personnage de Dom Juan n'est pas a priori sympathique.
Mais, oui , j'avoue avoir une inclination (une inclinaison si le protocole l'exige) pour les femmes....depuis tout petit, j'ai été fabriqué comme ça, je crois.
...................................
Mais là n'est pas la question.
J'ai été très séduit par la phrase de la chanson de Birkin
"fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve".
Et je la trouve très profonde.
Et ceusses qui voudraient simplifier avec de belles envolées sentimentales, je crois que je ne serais pas vraiment d'accord.
Le bonheur. Un état qui se voudrait permanent, ou accessible, ou prégnant,
le bonheur, un mot après lequel courent philosophes et poètes,
il me semble que dans la chanson ce "bonheur" était clairement lié à l'amour,
et, oui, l'amour...
ben on continue à fabriquer à la chaîne des chansons sur le thème,
alors, soit c'est important, soit c'est difficile,
soit les deux......  
......So long. Je vais voir comment ça se passe chez les Têtes-en-Bas    

G

ifness a écrit:Pola m'a traité ailleurs de Dom Juan

ifness a écrit:
Le personnage de Dom Juan n'est pas a priori sympathique.

J'aime sa révolte contre Dieu. Incarné par Michel Piccoli, c'était quand même la classe !

zebulonlezebre a écrit:
je parle pour moi mais je fonctionne autrement, je fais et pense autrement beaucoup de choses, du coup la bonheur prend lui aussi des formes inédites et le drame c'est qu'on nous donne le modèle standard de bonheur en apprentissage qui ne nous convient absolument pas

alors on essaie de s'y conformer comme chacun et on est vite déçu , heurté, apeuré au point de refuser ce bonheur là , ce modèle là , il faut du temps et une compréhension de soi pour comprendre qu'il ya d'autres modèles et que l'on peut même en inventer mais il faut que l'autre soit dans la même longueur d'onde au niveau couple et si on est seul que la société tolère et accepte au moins partiellement ce modèle sans nous bannir et en nous acceptant partiellement

l'acceptation et l'intégration de nos différences à nous c'est bien le nœud à mon sens d'une partie de bonheur de ces nouveaux modèles

Je suis entièrement d'accord avec toi Zebulon...

Dès l'enfance, la société nous présente le modèle "normal" de bonheur auquel chaque personne (à nouveau sous-entendu normalement constituée) devrait tendre...

Personnellement, je n'adhère pas à ce modèle socialement convenable...
Désolé, mais il ne me correspond pas... Pas assez entier, pas assez intense, pas assez "Bonheur"...

Je reste persuadé que nous devons accepter nos zébrures, contrairement à ce qu'on nous ressasse sans arrêt, elles sont autant de forces et d'avantages, si on parvient à les accepter et à s'assumer tel que nous sommes...

Alors, oui, peut-être qu'aux yeux des autres, nous fuyons le bonheur, mais c'est pour mieux trouver celui qui nous correspond...

@+!