Dérivation et projections des tensions sur des objets
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Dérivation et projections des tensions sur des objets
Bonjour à tous,
Je n'ai pas vérifié s'il y avait un sujet sur le forum intéressant pour cela, car au final je parle de ma propre expérience, et j'en ai besoin dans un premier temps. Aussi, si vous pensez pouvoir m'orienter vers un sujet intéressant, vous êtes les bienvenus, car cela m'a toujours amené, jusqu'ici, vers de riches rencontres.
J'ai remué un sacré paquet de merde y'a pas longtemps. Du coup, c'est plutôt chargé en émotions, et plutôt très dur à nettoyer pour sortir de la pièce. Et pourtant, je l'ai fait au mieux que j'ai pu, sans effusion de sang, ni même meurtre symbolique (ou non) en direct live. Et pourtant, c'est de cela que j'aurais eu envie. Mais quand on comprend plus en avant les tenants et les aboutissants, je dirais qu'on choisit ses combats.
Pour en venir au sujet que je vous propose, j'ai remarqué, hier soir, ma tension nerveuse importante liée au fait de ne pas avoir de feuilles à rouler pour m'enfumer la gueule proprement. Pourtant, objectivement, je n'avais rien fait pour m'en procurer, alors que ce n'était pas compliqué. En bref, je me suis mis clairement face à un manque, et une projection de ce manque sur un objet.
Finalement, j'ai réussi à dériver cette tension, pour me contenter de bien manger. Et au final, je me suis attaqué le bide comme il faut sur overdose de chou. Rien de bien grave, mais pas plaisant pour autant.
Je suis en plein préparatifs de voyage, pour longtemps. Je me sépare actuellement de plein d'objets dans lesquels j'avais investi de beaux rêves, trop sûr que ma vie ne les réalisait pas. Maintenant que je pars, je m'en sépare assez facilement, à ma grande surprise, mais je sens toujours la puissance d'une dérivation sur des objets, d'une projection de ses tensions sur des trucs.
Se l'interdire me semble stupide. Je crois que je vais me chercher deux ou trois petits objets aussi nouveaux pour moi que symbolique, pour les garder avec moi. Au moins pourrai-je y projeter mes mondes intérieurs bafoués, comme un enfant qui préfère jouer tout seul parfois parce que le monde extérieur est trop violent. Et quand je me sentirai prêt, tout coulera de source.
Bon, OK, tapas trop de question. Écrire ma fait un peu avancer. Mais je suis preneur de réflexions similaires, expériences, pensées, poésie jolie…
À vos envies.
Je n'ai pas vérifié s'il y avait un sujet sur le forum intéressant pour cela, car au final je parle de ma propre expérience, et j'en ai besoin dans un premier temps. Aussi, si vous pensez pouvoir m'orienter vers un sujet intéressant, vous êtes les bienvenus, car cela m'a toujours amené, jusqu'ici, vers de riches rencontres.
J'ai remué un sacré paquet de merde y'a pas longtemps. Du coup, c'est plutôt chargé en émotions, et plutôt très dur à nettoyer pour sortir de la pièce. Et pourtant, je l'ai fait au mieux que j'ai pu, sans effusion de sang, ni même meurtre symbolique (ou non) en direct live. Et pourtant, c'est de cela que j'aurais eu envie. Mais quand on comprend plus en avant les tenants et les aboutissants, je dirais qu'on choisit ses combats.
Pour en venir au sujet que je vous propose, j'ai remarqué, hier soir, ma tension nerveuse importante liée au fait de ne pas avoir de feuilles à rouler pour m'enfumer la gueule proprement. Pourtant, objectivement, je n'avais rien fait pour m'en procurer, alors que ce n'était pas compliqué. En bref, je me suis mis clairement face à un manque, et une projection de ce manque sur un objet.
Finalement, j'ai réussi à dériver cette tension, pour me contenter de bien manger. Et au final, je me suis attaqué le bide comme il faut sur overdose de chou. Rien de bien grave, mais pas plaisant pour autant.
Je suis en plein préparatifs de voyage, pour longtemps. Je me sépare actuellement de plein d'objets dans lesquels j'avais investi de beaux rêves, trop sûr que ma vie ne les réalisait pas. Maintenant que je pars, je m'en sépare assez facilement, à ma grande surprise, mais je sens toujours la puissance d'une dérivation sur des objets, d'une projection de ses tensions sur des trucs.
Se l'interdire me semble stupide. Je crois que je vais me chercher deux ou trois petits objets aussi nouveaux pour moi que symbolique, pour les garder avec moi. Au moins pourrai-je y projeter mes mondes intérieurs bafoués, comme un enfant qui préfère jouer tout seul parfois parce que le monde extérieur est trop violent. Et quand je me sentirai prêt, tout coulera de source.
Bon, OK, tapas trop de question. Écrire ma fait un peu avancer. Mais je suis preneur de réflexions similaires, expériences, pensées, poésie jolie…
À vos envies.
siddhartha- Messages : 378
Date d'inscription : 25/01/2012
Age : 39
Localisation : Sur le chemin après ma rencontre avec Alice Miller
Re: Dérivation et projections des tensions sur des objets
Tu investis sentimentalement des objets, c'est ça ?
Invité- Invité
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