Aller en séjour loin chez sa famille ou autres.
Page 1 sur 1
Aller en séjour loin chez sa famille ou autres.
Bonjour
Il arrive que l'on désire partir loin pour aller visiter ses proches/amis/famille pour garder contact.
Imaginons un scénario : vu la contrainte des kilomètres (500,1000,1500km)et que l'on ne se voit que très rarement , il faut en même temps prévoir de rester un bout de temps. On vous accueille volontiers , sans contrainte de temps prédéfini pour séjourner.
Cependant, il faut donc aussi suivre les règles où l'on séjourne :
- propreté , vaisselle, les contraires comme en co-location, regarder la tv avec les autres....
Après il y a toutes les petites manies, des détails sans importances qui font que je pète vite un plombs (casserole à ranger là-bas au lie d'ici etc). Si c'est deux semaines comme çà ok.
Mais après un mois, vient vite le sentiment de vraiment retourner chez soi et de redevenir au plus vite autonome.
En plus des manies à supporter 24h/24h, vient ce sentiment de vouloir être libre, sans que l'on me dise : "fait comme si" ou "celà", le besoin de redevenir solitaire chez soi après même pas un mois.
Déjà un zèbre est différent, je ne peux pas rester intégré sans jouer sur les apparences, après un mois la comédie a assez duré, impossible de continuer plus longtemps psychiquement, il faut repartir sous peine de tomber dans une relation de pouvoir, de honte toxique, où les sentiments et émotions sont tellement présentent qu'il est impossible de faire quoi que ce soit. On fini par faire des erreurs monumentales : casser des choses par inadvertance etc..
Et il y a toujours cette gène d'être en trop ou de perturber. SI on part trop vite : "déjà", si c'est trop tard je pète un plomb
Peut-être j'ai pas eu de chance, j'ai peut-être des proches qui provoque un effet de relation de pouvoir.
Il arrive que l'on désire partir loin pour aller visiter ses proches/amis/famille pour garder contact.
Imaginons un scénario : vu la contrainte des kilomètres (500,1000,1500km)et que l'on ne se voit que très rarement , il faut en même temps prévoir de rester un bout de temps. On vous accueille volontiers , sans contrainte de temps prédéfini pour séjourner.
Cependant, il faut donc aussi suivre les règles où l'on séjourne :
- propreté , vaisselle, les contraires comme en co-location, regarder la tv avec les autres....
Après il y a toutes les petites manies, des détails sans importances qui font que je pète vite un plombs (casserole à ranger là-bas au lie d'ici etc). Si c'est deux semaines comme çà ok.
Mais après un mois, vient vite le sentiment de vraiment retourner chez soi et de redevenir au plus vite autonome.
En plus des manies à supporter 24h/24h, vient ce sentiment de vouloir être libre, sans que l'on me dise : "fait comme si" ou "celà", le besoin de redevenir solitaire chez soi après même pas un mois.
Déjà un zèbre est différent, je ne peux pas rester intégré sans jouer sur les apparences, après un mois la comédie a assez duré, impossible de continuer plus longtemps psychiquement, il faut repartir sous peine de tomber dans une relation de pouvoir, de honte toxique, où les sentiments et émotions sont tellement présentent qu'il est impossible de faire quoi que ce soit. On fini par faire des erreurs monumentales : casser des choses par inadvertance etc..
Et il y a toujours cette gène d'être en trop ou de perturber. SI on part trop vite : "déjà", si c'est trop tard je pète un plomb
Peut-être j'ai pas eu de chance, j'ai peut-être des proches qui provoque un effet de relation de pouvoir.
p'tit toutou- Messages : 264
Date d'inscription : 23/12/2012
Re: Aller en séjour loin chez sa famille ou autres.
Deux semaines, ça me suffirait amplement pour reprendre contact, et ça semble être ta limite de tolérance également. Tu le sauras pour la prochaine fois .
Perso, je ne me vois pas rester plus d'une semaine au même endroit, ailleurs que chez moi. Et si j'avais plusieurs personnes à revoir à l'étranger, je passerais quelques jours tout au plus avec chacune d'elles et mes bagages me suivraient d'une maison à l'autre. Ainsi, je n'aurais pas l'impression d'abuser de l'hospitalité de mes hôtes et je n'aurais pas le temps de me lasser de leurs petites manies non plus.
Perso, je ne me vois pas rester plus d'une semaine au même endroit, ailleurs que chez moi. Et si j'avais plusieurs personnes à revoir à l'étranger, je passerais quelques jours tout au plus avec chacune d'elles et mes bagages me suivraient d'une maison à l'autre. Ainsi, je n'aurais pas l'impression d'abuser de l'hospitalité de mes hôtes et je n'aurais pas le temps de me lasser de leurs petites manies non plus.
Invité- Invité
Re: Aller en séjour loin chez sa famille ou autres.
On est bien d'accord, même si on est accueilli, on m'a même proposé de rester plus longtemps que j'en avais l'intention, il arrive un moment où "supporter" les habitudes des autres devient épuisants, lourds, je pense que c'est encore plus pire pour un zèbre différent.
Lorsque l'on est gamin je pense que l'on ressent moins (pas de responsabilité).
Lorsque l'on est gamin je pense que l'on ressent moins (pas de responsabilité).
p'tit toutou- Messages : 264
Date d'inscription : 23/12/2012
Sujets similaires
» HQI+ avéré, j'ai besoin d'aller plus loin
» Faire du théâtre ou des mises en scène de soi et de soi avec les autres pour aller mieux ?
» Repas Mensuel Avignon (3eme vendredi du mois)
» Les zèbres et leur famille. C'est comment chez vous ?
» Misanthropie, cynisme, désabusement, dédain : avoir « mal aux autres » et aller au-delà.
» Faire du théâtre ou des mises en scène de soi et de soi avec les autres pour aller mieux ?
» Repas Mensuel Avignon (3eme vendredi du mois)
» Les zèbres et leur famille. C'est comment chez vous ?
» Misanthropie, cynisme, désabusement, dédain : avoir « mal aux autres » et aller au-delà.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum