present dans l'hémicycle depuis février 2013 ni heureux ni déçu

Je t aime ddezhu, même si je ne te connais pas.

là cette nuit était le côté de l'amer
falloir que jreprenne des somnifères

merci larousse
là ça mtouche

on l'a dit su nu c'tun lyrique
déjanté sprend des piques

emberlificoté
emberfilicoté

encore une fois fait le tour
erré d'amers des amours

si si focalisé faut l'atiser
prends sa taille un baiser

pas fait pour un monde trop déchiré
l'arrache-cœur non à l'arraché

comme Narcisse à se mirer
n'est pas tard de se séparer

d'y glisser pluies et vents
douce nuitée qui ne ment

comme on crie dans le désert
bu à la source à l'eau claire

la souffrance t'arrache de beaux mots ded
puissent-t-ils t'apporter du baume au cœur
clo

Bonjour

Je m'imaginais bien que tu connaissais (par contre que tu en parles dans un bouquin.. c'est logique finalement)
Bref, c'était une découverte pour moi. J'ai trouvé ça beau.

merci clo oui de l'asie j'en parle
dans des bouquins des centaines
d'articles des dizaines (100 au bas mot)
de conférences des milliers de visages

des centaines d'écrits des millions de mots
des poèmes partout toutes directions
planète et planète atterré je le suis

les plus beaux poèmes
les plus beaux combats
patinés de souffrance

seraient-ils beaux s'en
s'être crottés éraflés
de boursoufflures
d'éclaboussures
de craquelures
de lustre de lucre
d'hirsutes phonèmes

dans ce pays de mentaux
des hermines des manteaux
ce tic-tac incessant pour
contre pour contre

sans avec sans
avec sans sang
avec avec bec

j'ai assez de mon harmonie
la cerclitude de mes envies

j'ai acheté un bol à thé magnifique rêche et un autre m'a été offert par un merveilleux conteur de grès du Berry! Comme j'aime ces matières

on ne sait pas ce qu'il y a dans le crâne d'un homme d'une femme mais de leurs mains il en sort parfois des joyaux

il ou elle s'invente une vie car il ou elle n'en a pas il ou elle est en colère et déverse sa bile sur il ou elle

sa colère sa bile il ou elle utilisée à bon escient ferait de mirifiques céramiques tisserait de coloriques tapis et des toiles apaisantes ou fantastiques comme celles de Fontana ou de Zao-Wou-Ki

je n'ai pas eu l'heur de rencontrer en ce sein d'artistes d'artisans il ou elle de leur cœur donner dans leur générosité

sans retour il ou elle juste il ou elle dans l'instant

J'aime bien ce que tu écris

merci larousse ça fait plaisir vraiment!

j'aime ce que tu écris de ce que j'écris avec les mots trouvés

ces objets trouvés

inertes sur leurs pages alignés en bandes verticales dans les livres de choses

les leçons des choses

ces trouvailles de mots des mots souples qui volontiers

aiment à être bousculés un moment comme

mille baisers au visage de celle que l'on aime

des mots à qui l'on a voulu qu'ils disent quelque chose

de pauvre signification une seule bien souvent

je leur demande gentiment avec délicatesse

d'écorcher le manteau acidulé de ma bouche

d'entrelacer mes doigts de se nicher là où l'ouïe

perçoit le son de cascade du goût de la nuance

là le nu

juste cela pour que tu saches que je passe te voir mais je n'ai pas toujours quelque chose a dire ......

suis souvent schotchee par tes ecrits

début de millénaire
d'amitié un désert
ou l'art de s'installer
en l'autre son canapé

doux moelleux ténu
bientôt les soixante
vie sente en pente
endormie la berlue

quand on a dix ans
jeux rires et pleurs
un nid insouciant
dodo il est l'heure

quand j'en eus onze
des idéogrammes bus
longue marche bonze
en croquant des lu

c'est qu'en cet âge
ne pas comprendre
tourner les pages
passé en cendres

j'aimais les pâtes
en petites lettres
ma molle assiette
poète déjà maître

anticléricaux papa
maman et le frérot
savoir couci-couça
sur la gaule et mao

quand j'en eus treize
ma cabane une huître
formaté à la glaise
chut tais-toi le pitre

quand j'en eus quinze
en colonie des nocturnes
de chopin hors les burnes
quelle affaire pas minze!

quand j'eus cinquante-sept
rayé en zebra-crossing
aussi prudent que bêbette
me lançais dans la cuisine

elle fut acide drue piquante
suis coi en une quinzaine
abandonne et décante
ce qui te faisais peine

doux lent aussi plus rare
ami-e-s de la soixantaine
vous attend quai de la gare
souriant nouvelle graine

ah pareil zalors à Mag zé à Calebasse

Le Mal Français

Y'en a qui ont écrit des bouquins là-dessus. Aujourd'hui dans l'édition on fait du beurre sur le bien que vous apporterai telle méthode... et sur ce qui est mal. Toujours la même dialectique depuis des temps immémoriaux.

Je prends un exemple tout simple arrivé ce matin entre ma mère et moi. Je ne suis pas en train de me plaindre. J'analyse: cela me permet de réfléchir à mon attitude et à celle de mon interlocutrice.

- Fiston, il me semble que tu a payé plus que ton ex-épouse pour l'achat de la voiture...
- Maman, tu te souviens bien tu m'as envoyé en 1998 un chèque de *** Francs. Et moi j'ai payé la somme de ***Francs.
- Ah bon j'ai payé ça moi?
- Mais oui, tu as eu une promotion d'une cagnotte à ton travail. Tu as oublié?
- Alors c'est que je suis gâteuse...
- Allez ça recommence! Puisque je te dis que... Bon. Est-ce que tout cela est d'une importance capitale?
- Gâteuse et que j'invente...
- Ben... (en pensée je me dis qu'elle aime les combats du "t'as tort/j'ai raison", alors que moi je m'en fous! d'avoir raison ou pas)
- J'avais envoyé telle somme *** pour l'achat d'un gazinière, une marque top! Est-ce ton ex-épouse... la garce... Est-ce que...
- Stop Maman là tu dérailles... tu veux encore et toujours avoir le dernier mot. Et garce ou pas là n'est pas la question. Chacun à son système de référence des systèmes de connectivité-pensée compatibles ou non compatibles. (Je dis cela au moment où je le dis et il n'y a aucune échelle de valeurs dans mes propos. Cependant ma mère n'a pas saisi que je voulais davantage trouver une conciliation et elle a interprété mes propos comme étant contre elle).
- Oh ça va avec tes grands airs! Monsieur se prend pour une tête?
- Bon. Ben clôturons la discussion. Maman tu vois toujours tout en négatif.

(Elle s'en va et ferme la porte d'entrée et prépare sans doute une vengeance comme elle m'a fait le coup des centaines de fois)

La négation en langue française :

à part le "je ne peux pas ne pas" penser que/faire... assez amusant

Négation et échelle de valeurs:

"Tu ne voudrais pas essayer/ Pourquoi tu ne ferais pas/ Vous auriez pu au moins essayer de / Peux mieux faire / Ah! C'est de mieux en mieux (sens négatif) / Tu en auras plus si ("si" condition-punition) / etc.

Est-ce notre belle langue française qui nous fait être négatifs, fatalistes, amers, grognons, râleurs presqu'en permanence?

La langue française confronte tout le temps. Et les mots sont interprétés selon son propre système-pensée-action-impulsivité-émission-réception-réponse.

En français dans l'émission d'une phrase il n'y a pas de choix: on dit je suis d'accord, je ne suis pas d'accord. C'est tranché. On est pour ou on est contre.

La langue chinoise est à mon sens en souplesse: 你想不想？ Nǐ xiǎng bùxiǎng? = tu as envie tu n'as pas envie? (littéralement: tu avoir envie pas avoir envie)

En anglais c'est un peu pareil: are you, aren't you? (avec une virgule, pas de virgule en chinois)

En français on dira plus souvent: êtes vous pour ou êtes vous contre?

Je me demande comment la langue française pourrait évoluer/avancer pour qu'on cesse ou pour que l'on "se calme" et que l'on respecte des avis contraires/nuancés.

La nuance tout un art.

一个法国人 Yīgè fàguó rén = traduction de "un homme français"
En chinois cet homme est désigné comme Français.

Voyons cette autre phrase, on voit encore une différence fondamentale entre le français et le chinois:

mon chat il n'est pas gentil
我 的 猫 是 不是 很好
Wǒ de māo shì bùshì hěn hǎo

en français = c'est désigné : il n'est pas: c'est défini une fois pour toutes dans un contexte ou après qu'il m'est griffé ou mordu je vais définitivement penser qu'il est méchant.

en chinois = sujet: 我 的 猫 / positif : 是 / négatif: 不是 : présence d'un double choix / qualité: 很 好

en anglais: your cat is kind, isn't it?
cette phrase traduite en chinois : autre possibilité :

你的猫是怎么样，是不是？
Nǐ de māo shì zěnme yàng, shì bùshì?
traduction: comment est votre chat?
littéralement: tu (de - possessif en chinois = ton chat) chat être comment, être pas être?

(suite)

(suite)

Je donne des cours de chinois de base (et j'apprends également de vous) à tous les Z et non Z et de compréhension-réflexion sur les cultures "antinomiques" occidentales-orientales (Chine-Japon)

Et à toutes celles et tous ceux qui souhaitent voyager en Asie...

Bonjour dedezhu,

Ce qui me pose question c'est cette formulation énoncée par la dite mère dans l'histoire :
"Monsieur se prend pour une tête"

Il y a beaucoup à interroger ici dans cette formulation.
-Est-elle question ?
-Est-elle métaphore ?
-De quelle "autre" tête parle-t-elle si l'enfant dénommé Monsieur n'en est pas.
-Un sujet peut il être  réduit à un de ses éléments?
-Est-elle métonymie ?
-"Mon" fils, puisqu'il y a "ma" mère est il un élément d'appartenance de cette mère.
- Se constitue t-telle de lui ?
- Le fils peut-il "se prendre" pour une tête, et accepter l'image qui se fait de lui

Le fils "n'est-il" pas tout simplement une tête, c'est-à-dire une personne dont les compétences intellectuelles sont évidentes, dont les connaissances sont très étendues.

"Monsieur se prend pour une tête" me dit Maman

Non pas une question ici! De l'ironie... De la jalousie... De la culpabilité... je lui ai prêté le livre de Siaud-Facchin, elle ne le pas lu.

Ironie de ma mère qui ne (me) comprend pas mon "statut" de gifted guy... Elle croit que je suis plus intelligent qu'elle... elle ne peut supporter que je ne (la) comprennes pas... à tort d'ailleurs... parce que je la comprend parfaitement bien.

Ce qui veut dire (?) qu'un haut potentiel peut se mettre au niveau d'un normal (je ne veux pas généraliser), ma mère en tout cas, mais qu'un normal ne peut pas se mettre au niveau d'un haut potentiel. Là c'est une question fort importante!

Il y a aussi un "conflit de génération", ainsi une culture différente, elle née en 1929, moi né en 1955.

Une métaphore? un sens caché, sous-entendu. Métaphore dans le sens de "comparaison", oui. Ma mère se croyant se voyant comme très intelligente et la plus intelligente dans sa famille... son fils ne peut pas la dépasser. Parce qu'elle croit que le dépasse alors que je m'en fiche pas mal.

Je me dis, depuis longtemps, que ma mère n'est pas elle-même sauf dans cette espèce de volonté à écraser l'autre (moi) de sa connaissance, de son intelligence hors normes/orientée vers ce qu'elle voudrait elle. Cela rejoint ce que j'ai écrit plus hait dans une poésie:

"ou l'art de s'installer
en l'autre son canapé"

Je prends un exemple: pour situer... elle a appris le japonais avant moi dans les années 1980. Mais comment dire elle n'a pas senti le japonais elle l'a étudié et elle l'a appris comme étude pas comme en fusion culturelle. C'est toute la différence avec son fils qui a appris le japonais (quelques années après elle) en vivant le Japon, pas en l'étudiant comme une matière "fossile" ou froide dans un bouquin.

L'autre tête c'est son ami avec qui elle vit depuis 36 ans, qui est un homme hyper-intelligent, plus qu'elle et plus que le monde entier! A ce qu'il croit lui. Aussi il est normal qu'elle ne puisse supporter que son fils ou que n'importe autre lambda puisse prendre la seconde place qui est la sienne.

"Monsieur se prend pour une tête"

Ma mère m'apprécie et à la fois (je l'ai déjà explique quel était le problème de ma mère) elle me diminue à partir du moment où je me permets d'utiliser mon arborescence. Et une vitesse de compréhension qu'elle n'arrive pas à suivre. Alors pour sauver sa face (à la chinoise) elle montre sa force mentale. Mais je ne suis pas dupe: cette force mentale n'est pas ma mère mais une femme de tête qui veut prendre le dessus.

Récemment elle s'est mêlée de ce qui ne la regarde pas. A savoir si j'ai ou non une petite amie.
J'ai répondu: "Est-ce que je t'ai jamais demandé qui était tes petits amis entre l'âge de tant et de tant? Cela ne ma regarde pas. Cela a été ta vie privée".

Sa réaction: rage!

Mon" fils, puisqu'il y a "ma" mère est il un élément d'appartenance de cette mère.

Oui, de quoi je me mêle!!! Ma mère, je le sais depuis pas mal de temps n'a cessé de fiche la merde dans mes vies de couple ou de petite amie.

Je ne sais pas. Malheureusement oui on est en tant que fils de sa mère et vivant chez sa mère (qui ne vient qu'épisodiquement dans son appartement où je suis) une "appartenance" de sa mère. Cependant même quand je vivais ma vie "hors ma mère", elle trouvait toujours le moyen de fiche du merdier.

Je suis le fils de ma mère et à la fois elle me démoli régulièrement comme une sorte de vengeance ou avec un plaisir certain: à cela je me suis demandé si elle était perverse et je lui ai dit une fois: "Maman, je te trouve perverse" - je crois que jamais personne n'a osé lui dire cela.

Et elle n'a pas compris. Elle ne se remet pas (jamais) en question.

Comme elle se pense intellectuelle (ancienne journaliste scientifique à la retraite) qu'elle s'est située donc dans une catégorie de ceux qui pensent qui font avancer le monde et la science elle ne me comprend pas et pas plus mon humour parfois grinçant.

Alors est-ce que je suis "constitutif de ma mère"?

Par les chromosomes peut-être et encore j'en ai un de plus! (dedezhu l'XXY et j'ajoute Z). Quand elle a su cela ma stérilité elle a voulu ameuter des membres de ma famille dont mon frère aîné... qui ne m'aime pas... De quoi je me mêle!

Cette maman alors croit qu'elle a engendré (avec mon père - thqi lui-même - un mauvais produit (moi) en plus thqi! merde alors!)

Le fils en question (c'est moi) ne se prend pas pour une tête. D'ailleurs depuis que je me sais thqi... ça fait presque deux ans... je n'ai qu'une envie c'est d'être anonyme! D'être un arbre parmi les arbres d'une forêt et pas la "plante carnivore ou bien l'hibiscus" qui habite ces lieux.

Compétences intellectuelles et manuelles (découvertes récemment) et connaissances (sentis également) très étendues c'est vrai... mais avec ma maman je dois fermer ma gueule!

Ce qui me déçoit je crois - puisqu'après tout c'est en partie le titre de mon fil - c'est que je n'ai pas rencontré (sauf vous vraiment miss asperge et quelques rares personnes) en deux ans de pratique de ce forum des personnes - non pas de mon niveau - mais avec qui je peux échanger et détruire/construire mon monde.

Ma mère ne sait que détruire les mondes, le sien (son côté négatif et suicidaire), le mien parce que je suis un garçon que son père est mort quand elle avait 16 ans et qu'elle en était amoureuse. Ainsi elle doit détruire ses propres fils (mon frère aîné a choisi sa femme chinoise contre ma mère) et c'est pourquoi il est temps que je m'en aille de cette femme/maman qui va chercher - consciemment ou non - beaucoup plus loin que la métonymie ou la métaphore comme prétexte à la destruction.

"Monsieur (Dedezhu) se prend pour une tête?"

Non. Cela ne m'est jamais arrivé. Bien que dans le passé on a trouvé (en France, pendant mes études universitaires et pas en Chine!) que Dede était franchement prétentieux. Alors que je faisais que voir ce qu'il y avait à voir. Mon empathie était telle que j'en souffrais moi-même (ne me sachant pas Z).

Mon cher Dedezhu,

Moi j'aime bien ta tête...

et je viens de comprendre "ou l'art de s'installer en l'autre son canapé"....

Et je te raconterait ma jolie histoire de caribou.... j'ai connu des caribous dans mon enfance.... les plus jolis du monde...

tellement beaux... tellement blancs...j'en étais tellement fière....

Oui Asperge des caribous brâment-ils? Dans la forêt humide mouillée sombre cachés dans des roches.

C'est gentil ma tête. Qu'est ce l'on m'a embêté quand j'étais enfant de ma tête du moins son enveloppe... alors j'ai appris à ne pas me regarder dans la glace. Et j'ai suivi mon chemin à l'intérieur de ma tête.

ou l'art de s'installer en l'autre son canapé: ce que de vous je suis / ce que de moi vous êtes... un peu la même image ici de "fusions" momentanées fugitives plus longues moins longues pour l'un pour l'une

c'est bien quand on aime une personne on aime "ce que vous vous m'êtes" une petite/courte/longue/grosse partie de cette personne partie de temps indéfinissable-intemporelle et qu'on voudrait/veut/fait/décide/ dans la liquéfaction de l'amour qu'on voudrait définir

quand on est liquéfié(e) d'amour (je t'aime / Est-ce que tu m'aimes?) image d'une flaque au sol avec deux lèvres de sa bouche dégoulinantes de fièvre de fébrilité de vénération idolâtre

l'amour qu'on voudrait définir par une définition!!! : par exemple: je t'aime - de toutes façons la langue française (ah j'y reviens!) ne nous laisse pas de choix: toujours cette désignation d'un état, une conceptualisation d'un état d'émotion quelque qu'il soit: I love you (or) I hate you.

Si je disais/prononçais juste : je t'aime et je lui fait plein de bisous. Ben, c'est possible mais pas nécessairement pour "toujours". C'est juste-là dans ce contexte que je dis que je l'apprécie. Et il n'y a aucune conséquence à cela. je ne comprenais pas au début des mes années chinoises quand mon amie chinoise me disait: le matin I hate you, le soir, I love you, le lendemain matin, I hate you...

ici dans mon pays c'est beaucoup plus ancré (et encré!) cette dialectique du contraire schlac! un couperet en disant par exemple: "ah ben ça alors! ça me reste en travers de la gorge!" cela veut dire que la lame ne m'a complètement coupée la tête!

sur le sujet de l'amour on pourrait argumenter pendant cent mille ans... Cependant en ce qui me concerne j'ai compris KAIMER c'est (de/du) moi-même en vous et qu'il est impossible que ce soit TOUT de/du moi-même en vous qui fasse que je l'aime

ce "du moi-même en vous" est une toute petite part (probablement) de "ce que de vous je suis, de ce que de moi vous êtes"

dans cette dernière expression "fusionnelle" il peut y avoir une incompréhension de base (et quand on est amoureux-liquéfié on n'y fait pas attention): parce que dire je t'aime (momentané, à la chinoise - plus "définitive" comme une agrafe, à la française) tu m'appartiens

tu m'appartiens... déjà!!

je me demande ce que signifiait "you belongs to me" quand mon amie chinoise me le disait ce qui avait l'heur de m'agacer parfois parce que je prenais le sens-orientation de cette expression d'attachement sans doute dans du long terme (en français) alors qu'en Chine et pays bouddhistes il n'y a que le court terme qui fonctionne en toutes choses (culture, économie et commerce dans le maintenant)

ce que de vous je suis ce que de moi vous êtes = c'est tout ce que je peux dire de l'amour

et puis tout cela est fluide il n'y a pas d'attachement (il ne devrait pas y en avoir) je dis cela en quelques images: de crocs plantés dans la chair - de cordes cordages qui nous attachent - d'appartenance subite parce que "je suis par vous" parce que "vous êtes par moi"

je suis par vous dans cet instant vous êtes par moi - encore je ne peux me mettre à votre place et je tombe très vite dans la théorie (non consciente quand on est liquéfié) de l'amour qui n'a rien à faire avec l'amour que je vis - que vous vivez que je peux sans doute sentir mais pas expliquer (théorie et théorie orientée vers ce qui arrange l'un ou l'autre)

je suis par vous c'est une chose un instant un partage particulier et je ne suis plus par vous dans un autre instant

est-ce que quand on aime une personne on lui dit: je t'aime entièrement je t'apprécie en entier (c'est-à-dire avec ce que je n'apprécie pas ou bien avec ce que je comprends pas)

cette manière d'anticiper d' "enfermer" à l'avance ce qui n'existe pas encore par le je t'aime entièrement

le mot entièrement émis dans l'instant qui n'a aucune conséquence dans le futur - la seconde ou dix ans après - cela existe

le mot entièrement émis à l'instant qui se prend pour une unité de valeur un poids et mesure du temps comme un "catch me if you dare" (attrape-moi si tu l'oses) cela existe

"je suis par vous" parce que "vous êtes par moi"

je ne vois pas nécessairement de l'amour ici plutôt un attachement conventionnel - et bien souvent des erreurs dans le casting ! - une conformité sociétale

mon ex-épouse m'avait dit un jour (en 1987): "tu n'étais rien, je t'ai fait"








C'était contextuel.

"tu n'étais rien, je t'ai fait"

un nouveau départ! je ne crois pas qu'on RE-commence quelque chose... le "re" de certains verbes français est un (totale) illusion je l'ai écrit dans mon livre sur la Chine

tu n'étais rien je t'ai fait en effet contextuel mais je crois qu'en disant cela (à l'époque je n'ai pas compris le sens de cette expression j'étais encore liquéfié après cinq de vie avec mon ex-épouse)

dans le contexte de cette vie en commun tu n'étais rien je t'ai fait si j'avais compris que cela voulait dire la fin de l'amour (avec elle) mais je n'ai pas compris

il ne s'agit pas de regrets (je n'aime pas beaucoup ce mot dans ma manière de penser asiatique depuis trente ans)

----> ce que de vous je suis ce que de moi vous êtes <----- dans l'instant devenu un "raccourci extrême" dans l'instant: => 0 tu n'étais rien je t'ai fait <-----


0 zéro comme un (re) commencement...

recommencer cela n'existe pas on fait on fait on fait on fait on fait à l'infini

on fait émotion on fait émotion on fait émotion...

on fait on fait on fait on fait on fait on est d'accord - il semble qu'on le soit qu'on s'apprécie dans un "on fait" celui-là - il semble que l'on ne se comprend pas dans un "on fait" un autre - quelle importance? aucune Une échelle de valeurs? non/je n'en vois pas

on peut se dire ce que l'on veut on peut écrire ce que l'on veut là maintenant il n'y a pas de hiérarchie (-sation) entre nous (je ne parle pas du travail où il y a des règles, des interdits, des humiliations, des retenues, de la rétention) entre deux entre...

la vie française la vie en France la pensée en France l'action en France tout cela "à la manière française conceptualisée dans chaque mot sans exception" je n'arrive pas à suivre

de longtemps je me suis détourné de ces pratiques sémantiques comportementales psychologiques (et psycho-illogiques)

ce que de vous je suis ce que de moi vous êtes : la richesse de soi dans la richesse de soi (l'autre)

sans nécessairement pour la richesse - pour: un objectif, un but, une linéarité, une orientation (tu n'étais rien, je t'ai fait), une construction artificielle plaquée

plaquée n'est pas un jugement (je ne juge pas/plus): on ne sait pas qui est qui

eh ben tant mieux! histoire de découvrir une personne... laisser venir les choses / se protéger à l'avance-anticiper / anticiper: (se) définir l'autre / se définir de l'autre

comme on dit: se faire une idée

une idée c'est bien la question

se définir de l'autre = ce que de vous je suis

cependant que la définition puisse partir en fumée dès qu'elle a été émise

(en fin de compte) en dé-conceptualisant (à titre privé) l'amour je dirais: amour / aime / jolie / drôle / organisée / promener / mmm? / cuisine / œuf sur le plat à la coque salade?

ça c'est ça ça c'est ci et où est le bonheur là-dedans? Le bonheur pas besoin de le dire on le fait on le vit

dedezhu a écrit:Oui Asperge des caribous brâment-ils? Dans la forêt humide mouillée sombre cachés dans des roches.

... tu veux dire quoi au juste... par ce que là .... c'est pas ça mon histoire de caribou... ma si jolie histoire... non mais c'est quoi ct'affaire...

ah bon désolé alors... des caribou c quoi...

... ben des rennes...

eh oui caribou bout de ficelle selle de renne reine et roi roitelet lait de vache vache qui rit riquiqui suis-je bêêêêêêêêêttteee!

offset asperge

crampes du soir fiche toi dans le noir!
et la crampe-matin mieux que le réveil-matin, plus écologique et solidaire
solidaire ça réveille aussi les voisins (à 6 heures du mat tout de même!)

"ma si jolie histoire... non mais c'est quoi ct'affaire"

ben je crois à tout cette belle histoire d'un troupeau perdu de caribous pour s'endormir le soir et pas de crampes sûr!

la crampe c'est nerveux mais là quand je lui dis tous les mots doux possibles à mon speedy brain là ça ne marche pas - pas comme les migraines...

isolé dans mon coin sur ce fil
des amis tout lointains proches
l'impression moins de sex-appeal
pauvre cloche à dire t'es moche

on est tous dans le même bain
à s'ronger les ongles les sangs
vie quotidienne le train-train
je vois ce fil de plus en plus lent

j'ai bien pensé m'en aller partir
suis ici au creux de nostalgie
lettre léchée cachet de cire
eh vieil homme cesse de glapir

Ouaip ! ...boff, y'en a qui n'ont plus de baignoire en plus !
Mais finalement la douche écossaise : c'est bien mieux pour la peau !
Pi les crampes... un peu de phosphore et ça repart
Où ? ça c'est une autre histoire

je soigne des crampes moi, aussi sans nostalgie : j'ai détruit les illusions forumesques qui me restaient, pour reprendre mon rêve…
Nassim Haramein Holofractographic Universe Theory
https://youtu.be/swoX8iPTMRQ


note : je poste en vitesse car ma ligne se déconnecte sans arrêt aussi je ne peux suivre fluidement les fils où je poste

ben mag j'ai encore une baignoire
pas plus de 2 mois zavec nageoires

ben mag y'a lacs rivières et mer
savon du sud la douche pépère

l'phosphore ça s'sniffe dis mag
un plein seau de Mg12 sans blague

oh mag oui où j'prends quoi
Ca5 NaAl3 Pb5 Cu Fe3 voilà

l'turquoise Cu Al6 dosé en s'ringue
eh mag jpeux encore faire la bringue

ce trou noir l'univers à ses crampes
dans un tub de baume je trempe

ces pauvres et tordus orteils
soir et matin patinés de salsepareille

Dimanche j'ai vu un huitrier se faire piquer sa proie par une mouette, il est resté à côté à la regarder manger...
C'est un peu plus loin que la vrille à commençé à torturer ma jambe gauche se rivant sur le genou...
p173 du livre de Cristelle Petitcollin "Echapper aux manipulateurs" il est écrit
"ce n'est pas parcequ'on vous à promis une patisserie et qu'on ne vous l'a pas donnée, que la patisserie n'existe pas"

c'est tout bête !

"ce jeux de miroir dans lequel la victime est enfermée"
les manipulateurs savent capter nos rêves et les renvoyer en hologramme dans notre esprit? C'est pour ça qu'on croit aimer le manipulateur alors qu'on est juste amoureux de son propre rêve," on croit que renoncer à la relation c'est renoncer au rêve...

à chaque fois que ça déconnecte je vais lire un des livre parmi la dizaine ouvert posés ci et là

j'ai acheté un rouleau de papier à dessin et fabriqué une partie de la table pour commencer
ça doit gêner quelque chose quelque part car depuis je n'ai que des obstacles qui viennent me tarabuster
mais en vain cette fois ci
l'âme agit
je la vois partout

Bonjour dedezhu








Bonne journée

Permettez-moi de vous saluer les mains jointes

je te souhaite une belle nuit
une amie de passage......

Une belle nuit ? Déjà !  

calebasse retire le mot "passage" je n'ai pas assez profité de toi

MDR offset je t'ecoute

ben t'es ou?

y'a personne ici ?

coucou, voici le chemin  :

https://www.zebrascrossing.net/t19467-le-fil-du-partage

le fil de Dedezhu un passage aucun problème!

cependant c'est d'une autre question que j'aimerais causer.

D'abord y a t-il des docteurs en quelque chose de la fac truc?

Puisque je fais des cartons en ce moment, déjà une cinquantaine...
j'ai retrouvé et relu mon mémoire de DEA puis le début de ma thèse

Après ma soutenance de thèse en janvier 1997 j'ai postulé dans les
facultés de France, de Belgique et de Suisse pour un poste de maître de Conf.

Jamais je n'ai eu le moindre poste. Je savais que quand je consultais le Journal Officiel
pour les postes 80 % de ceux-ci étaient déjà pourvus des années à l'avance

Des pistons et dans ma fac si t'étais pas homo ou bien si t'avais pas écarté les cuisses
pour le plaisir de ton directeur de thèse sûr que t'étais rayé ! à vie

Eh ben j'ai pas écarté les cuisses! Merde alors! En Chine j'ai eu des postes de prof de français
et d'anglais et même si cela n'avait rien à voir avec ma formation (historien de l'art du Japon)

au moins je n'ai pas vécu cette horrible manière (si française) de faCULté
de faire la pu*** pour décrocher un avenir un boulot intéressant dans l'enseignement

alors il a fallu dès 1998 par là que je créé ma propre situation professionnelle
ma connaissance et mon expérience du Japon
et plus tard de la Chine et des Chinois-es

j'ai aussi travaillé dans les champs comme un paysan, fait (comme Sylveno) le postier et le très matinal distributeur du journal local dans les boîtes et aussi coupeur de sapins de Noël parce que l'ANPE de l'époque n'a pas été fichue de comprendre que mon diplôme bac + 8
n'était pas qu'une voie de garage

les employés de Pôle-Emploi c'est pas mieux sont toujours aussi c***s!

voici ci-après un réel dialogue (un autre, qui date d'hier que j'ai mis sur le site d'asperge) qui a eu lieu en 2013 lors d'un stage proposé par Pôle-Emploi et que j'ai effectué (un stage qui ne m'a servi à rien mais qui a servi à ces c***ds de Pôle-Emploi à rendre à leur direction un quota!

Ce dialogue je l'ai publié dans mon histoire: les Aventures d'un Surdoué... Monsieur André Paillasson c'est moi! Vu que mon ex-épouse s'est largement essuyé les pieds sur le paillasson que j'étais... il y a quinze ans tout de même!

Le contexte de l'histoire c'est qu'André Paillasson concierge de Marseille est parti en Chine, à Shanghai, pour un Congrès Mondial des Concierges... et qu'il a oublié son chien!

- En ce jour, Monsieur Paillasson, nous faisons le bilan intermédiaire. Veuillez signer.
- Combien de signatures ? Dix-huit ! C’est de la folie !
- On ne vous demande pas votre avis, Monsieur.
- Ah ! Que suis-je ?
- Mais vous n’êtes qu’un misérable, un rieng du tout, un grain de sable dans cette horde de pauvres bougres et un tueur de chieng…
- Combien de temps dois-je porter cette croix !!
- Notre travail c’est de vous écraser. Que vous soyez docile, malléable, corvéable, annihilé, dans le moule. Maintenang vous allez me répondre : êtes-vous satisfait ou alors non satisfait pour les actions proposées et le suivi effequetué des démarches ?
- Je ne comprengs pas.
- N’essayez pas de comprendre. Signez.
- Mais… pourquoi sur la feuille que vous me tendez il y a écrit : Obeuservations du bénéficiaire, petit carré vide qui correspond à « Très satisfait des actions proposées et du suivi des démarches » et puis en dessous, petit carré avé une croix déjà imprimée à l’intérieur : « Satisfait des actions proposées et du suivi des démarches ». Et en dessous encore, avé un carré blanc, vide : « Non satisfait des actions proposées et du suivi des démarches ».
- N’allez pas chercher midi à quatorze heures. Signez !
- Alors j’ai le choix. Très satisfait ou alors non satisfait.
- Très satisfait, ça n’est pas possible. Je ne suis jamais très satisfaite de mon travail. Dans la vie, rien n’est vraiment satisfaisang.
- Ainsi je ne peux pas être très satisfait puisque vous n’êtes pas très satisfaite.
- Ne jouez pas sur les mots, Monsieur André Paillasson. Signez !
- Mais expliquez donc pourquoi nous avons la case « Très satisfait » que je n’ai pas le droit de cocher, puis la case « Satisfait » qui est déjà cochée… alors il me reste « Non Satisfait ».
- Etes-vous non satisfait ?
- Mais comment je peux répondre à un questionnaire pareil ? Un jour c’était moyen, un autre c’était bieng, un autre encore ne répondait pas à mes attentes. Alors il faut faire la moyenne. Mais comment se calecule la moyenne ?
- Monsieur Paillasson vous commencez à me les chauffer, à me les briser menu… Signez !
- Bon. Arrêtez de me prendre pour un imbécile. Si vous avez trois cases, que l’une de celles-ci est déjà cochée, que je n’ai pas le droit d’être très satisfait, et si je suis non satisfait, vous allez me fiche à la porte ! Ce bilang est truqué et méprisang pour les gens dans le besoing et dans la précarité qui vivent en démocratie. Attention ! La croix pré-imprimée, c’est le début de la dictature ! Je vais vous attaquer.
- On ne vous demande pas de penser, mais de signer. Signez !
- Je ne signerai rieng du tout tant que vous ne m’aurez pas exeupliqué la signification de ce que je peux lire ici en tout petit : « Cette ruberique ne doit contenir que des inforemations ayant un caraquetère obejequetif, c’est-à-dire dépourevues de jugement de valeur sur le bénéficiaire. Ces inforemations ne peuvent en aucung cas faire apparaître, directemeng ou indirectemeng, les origines raciales ou etheuniques, les opinions politiques, philosophiques ou religieuses ou l’apparetenance syndicale du bénéficiaire ; elles ne peuvent en aucung cas porter sur sa santé ou sa vie sequexuelle ou sur toute autre information relative à des difficuletés d’ordre social ou peresonnel ».
- Ca y est, vous avez vidé votre bile, vous êtes satisfait, très satisfait… Alors qu’attendez-vous ? Signez !
- Contrairemeng à ce que pensez je vais déposer une plainte contre vous pour immixtion dans ma vie privée.
- Commeng !? Vous êtes fou, vous êtes malade ! Vous êtes le tueur de chieng… C’est dans le journal…
- Oui, les chômeurs sont des malades. Ils sont fragiles, il faut les ménager. Et que j’ai tué mon chieng ou pas, cela ne vous regareude pas. Relisez ce qui est écrit en petites lettres. Alors voilà ce que je vous propose, on va écourter la formation qui ne mène à rieng et vous m’envoyez derechef chez les surdoués !

Et c'est ce qui est arrivé André Paillasson a débarqué chez les SURDOUES et il les a aimés très vite!

quand je suis revenu de Chine, une amie de ma mère a dit à ma mère: tout de même votre fils il est sur-diplômé, il a vécu en Chine, il comprend et parle le chinois, il pourrait déposer une candidature à l'Université Catholique de Lille ou encore mieux à la branche HEC de Croix!

j'ai fait tout ça... J'ai écrit, proposé programme etc... jamais de réponses!

autre exemple intéressant: je vais aux cours Legendre, c'est à deux pas de chez moi.
Il y a une dame dans le bureau.

- Bonjour! J'aimerais savoir comment je pourrais postuler pour être professeur d'anglais dans le cadre des cours pour des particuliers en votre maison Legendre? j'ai ici tous mes documents, je suis docteur de la Sorbonne.
- Oui, Bonjour! Nous ne prenons plus les documents. Envoyez vos documents par internet en pdf.
- En quoi... p... p... df...
- Envoyez tous vos documents par internet
- Mais... mais... je...
- Au revoir, Monsieur...

peu de temps après, je scanne les dits documents, les envoie en pdf. Et...
Jamais de réponse!

c'est totalement incroyable cette soumission à INTERNET de nos jours. Ben alors à quoi sert cette dame dans ce bureau qui ne sert à rien... Autant fermer le bureau ça économisera!

pour des recherches pointues internet c'est formidable mais pour rechercher une personne (sites de (non)-rencontre), un boulot, une location... c'est vraiment pas au point!

je peux comprendre les moines bouddhistes (les vrais ceux du Japon, je ne parle pas de certains moines bouddhistes d'extraction française qui abusent de leur "pouvoir") qui disent: illusion que tout cela!

on avait encore dans les années 1970 aux années 1990 des relations humaines:

- Bonjour!
- Ah bonjour comment allez-vous aujourd'hui?
- Oui, pas mal. Et vous? Vos enfants?
- Ah ils grandissent. Justement je me disais vous pourriez venir à la maison, mon grand fils a quelques problèmes avec son anglais. Son prof est vraiment pas bon.
- Ben d'accord. I will come to see him. But when?
- Ah pardon, je ne parle pas l'anglais. Vous disiez?
- Oui, je disais quand est-ce que je pourrais venir bavarder avec votre fils? Ce week-end?
- Oui, bonne idée. Je vous rappelle au téléphone.

Le téléphone déjà c'était une sacrée nouveauté pour les gens qui vivaient en 1910!

Mais internet c'est à la fois formidable et la pire des hégémonies, la dictature du virtuel!

Cela débouche parfois sur une rencontre. C'est bien.

je suis en plein là dedans à tenter de me sauver la vie...
plutôt que de raconter tout mon parcours depuis effectivement les années 90, un article documenté sur le sujet de "l'internetisation" des services publics et le commentaire qui va avec :
http://fr.sott.net/article/24086-La-meta-dictature-des-systemes-informatises

merci Mag, j'ai déjà écrit cette histoire l'an dernier qui se déroule dans deux pays à l'opposé sur la planète dont un pays qui est une dictature de la pensée unique qui "contient" des gens appelés" Français" et un autre le Band qui contient des "Bandais".

Le fond de l'histoire étant le choix de livres dans des comités de lecteurs et le rôle (pitoyable?)des maisons d'édition.

J'ai lu l'article qui ne m'effraie pas vraiment cela ne fait 15 ans maintenant que la soi-disant modernité est en marche, celle du fichage mondial des individus... Bientôt les puces dans le crâne.

Et les mots, concepts, phrases, vides de sens (déjà, pour moi) le seront un peu plus.

dedezhu a écrit:Bientôt les puces dans le crâne.

On appellera ça des poux.

Non on appelle ça des puces électroniques...
Tu "sais" Dede,
alors il faut se servir autrement du doute,
c'est ça pour moi le chemin que m'a fait faire ce passage à travers ce monde français de "la douance" ces 3 dernières années
reprendre mes billes, me faire confiance, m'offrir à la Vie, et apprendre (encore et encore) pour être plus efficace avec mes "dons", sans complexes et sans orgueil...
J'ai perdu et gâché beaucoup d'énergie et de temps ces dix dernières années, j'espère quand même arriver à rectifier l'épigénétique que j'ai ainsi crée...

Ce qui est chouette avec la Vie c'est que lorsque tu l'aime elle ne te lâche pas même si des fois ça craint !
Aujourd'hui j'ai rigolé avec le gendarme de 60 ans qui me contrôlait sur la route avec mon vieux camion tout pourrit et ça c'est ma victoire de la journée, l'autre jour c'était avec la conseillère retraite au tel qui a sauvé ma pension du mois...
La conspiration des vieux c'est pas mal quand même !
J'aurais jamais imaginé la vie au vingtetunième siècle aussi décadente ! J'ai mal pour les jeunes...

J'ai acheté tout à l'heure un gros chou vert je vais passer la nuit avec des feuilles de chou autour des genoux

VIE CHOU

... je t'ai envoyé un "è sait faire".... bise... et bise encore...

S.F.R SE FAIRE (des) RAYURES



(l ettre) lai lue
and the bise where
en pleine mue
hautbois de trouvère