Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...parce qu'en France on ne risque rien...
Deux générations déjà que ces connes ont été éduquées à exiger, à revendiquer. Des années qu'elles imposent aux hommes leur vision du monde. Cet aveuglement total prend tout son relief quand le réel est exprimé d'une manière aussi rudimentaire. Elles se font bastonner avec tact et mesure pour un rappel à la loi, mais non, ces connes continuent à refuser le réel : J'AI LE DROIT. Attend, tu n'as pas bien compris, je t'explique encore une fois, le CRS est patient et méticuleux, constant sur l'obstacle.
Ces pouffes hystériques refusent le réel, convaincues que le monde doit se plier, qu'il se pliera quoi qu'il advienne. La méthode a fonctionné avec leur conjoint, il n'y a pas de raison que des CRS s'y montre rebelles. Si des coups de matraque télescopique sont insuffisants pour lutter contre leur endoctrinement, comment imaginer que leurs propres déboires conjugaux les ramènent à une certaine lucidité.
Dans l'affolement de leurs convictions, elles réussissent à se mentir à elles-mêmes. Après avoir consciencieusement castré leur conjoint propre sur lui, leurs hormones les font rechercher le premier mâle qui ressemble encore un peu à l'espèce d'origine. Il ne reste plus que des modèles peu avenants, du rappeur lobotomisé au flic de base, en fait le premier mec disponible capable de neutraliser leur affolement de femelle déchaînée.
La capacité à nier le réel dépasse largement l'imagination du plus créatif des surdoués, au-dessus c'est le soleil. Cette génération est foutue. Si les couples gays californiens se tournent vers les asiatiques pour porter le fruit de leur amour, les néanderthaliens de la côte Ouest, je parle des derniers hétérosexuels, font de même pour trouver une femme qui se comporte encore comme une femme, qui connaissent encore les codes qui permettent la communication entre hommes et femmes, ce logiciel de compatibilité nécessaire pour faire fonctionner ensemble deux Operating System aussi incompatibles à la base.
La révolution informatique qui m'a le plus bluffé reste le premier émulateur qui permettait de faire tourner MacOS sur un PC. Adobe Reader aussi à sa manière, une passerelle entre les différents formats de documents.
Je regardais ces gentilles débilettes bac+5 comme de sympathiques gourdasses qui s'obstinaient à installer Windows 8 sur un MacBook Air, et qui redémarrent le système le nombre de fois nécessaires pour faire plier les processeurs.
Encore deux générations peut-être pour que leurs descendantes admettent que quand ça ne marche pas, et bien ça ne marche pas. Même si maman a certifié garantir le bon fonctionnement du conjoint parfait avec un logiciel féminin, leurs propres désillusions ne font que renforcer leurs convictions. Impressionnant. Beaucoup plus que les performances d'un QI au top de sa forme.
Deux générations déjà que ces connes ont été éduquées à exiger, à revendiquer. Des années qu'elles imposent aux hommes leur vision du monde. Cet aveuglement total prend tout son relief quand le réel est exprimé d'une manière aussi rudimentaire. Elles se font bastonner avec tact et mesure pour un rappel à la loi, mais non, ces connes continuent à refuser le réel : J'AI LE DROIT. Attend, tu n'as pas bien compris, je t'explique encore une fois, le CRS est patient et méticuleux, constant sur l'obstacle.
Ces pouffes hystériques refusent le réel, convaincues que le monde doit se plier, qu'il se pliera quoi qu'il advienne. La méthode a fonctionné avec leur conjoint, il n'y a pas de raison que des CRS s'y montre rebelles. Si des coups de matraque télescopique sont insuffisants pour lutter contre leur endoctrinement, comment imaginer que leurs propres déboires conjugaux les ramènent à une certaine lucidité.
Dans l'affolement de leurs convictions, elles réussissent à se mentir à elles-mêmes. Après avoir consciencieusement castré leur conjoint propre sur lui, leurs hormones les font rechercher le premier mâle qui ressemble encore un peu à l'espèce d'origine. Il ne reste plus que des modèles peu avenants, du rappeur lobotomisé au flic de base, en fait le premier mec disponible capable de neutraliser leur affolement de femelle déchaînée.
La capacité à nier le réel dépasse largement l'imagination du plus créatif des surdoués, au-dessus c'est le soleil. Cette génération est foutue. Si les couples gays californiens se tournent vers les asiatiques pour porter le fruit de leur amour, les néanderthaliens de la côte Ouest, je parle des derniers hétérosexuels, font de même pour trouver une femme qui se comporte encore comme une femme, qui connaissent encore les codes qui permettent la communication entre hommes et femmes, ce logiciel de compatibilité nécessaire pour faire fonctionner ensemble deux Operating System aussi incompatibles à la base.
La révolution informatique qui m'a le plus bluffé reste le premier émulateur qui permettait de faire tourner MacOS sur un PC. Adobe Reader aussi à sa manière, une passerelle entre les différents formats de documents.
Je regardais ces gentilles débilettes bac+5 comme de sympathiques gourdasses qui s'obstinaient à installer Windows 8 sur un MacBook Air, et qui redémarrent le système le nombre de fois nécessaires pour faire plier les processeurs.
Encore deux générations peut-être pour que leurs descendantes admettent que quand ça ne marche pas, et bien ça ne marche pas. Même si maman a certifié garantir le bon fonctionnement du conjoint parfait avec un logiciel féminin, leurs propres désillusions ne font que renforcer leurs convictions. Impressionnant. Beaucoup plus que les performances d'un QI au top de sa forme.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ces cerveaux passés au Spontex pensent encore que leur pouvoir de négation du réel doit s'imposer. Pour eux, le Vietnam, c'est ça :
Alors que la guerre, c'est plutôt ça :
Alors que la guerre, c'est plutôt ça :
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...enfin, presque rien, quand on est à moitié bourré...
Revenons à l'époque moderne et nos protestataires de pacotille.
Toujours les mêmes merdeux de manifestants, des connards qui se prennent pour Rambo parce qu'ils viennent de déposer une fleur devant le cordon de CRS, et qui lèvent les bras en signe de victoire comme Sir Edmund Hillary après sa grimpette. Des mères débiles qui implorent les flics comme de véritables piétas, au lieu d'engueuler leur connasse de fille hurlant comme une damnée son droit de rester assise devant le parlement parce qu'elle a des droits et que l'Espagne est une république et qu'elle encule Juan Carlos. Je détestais déjà les hommes qui délimitaient leur existence à coup d'expression phallique, mais venant d'une femme, cela me fait regretter ma bombe au poivre périmée.
Et puis toujours ces scènes désolantes de larves pleutres qui se prennent pour le Che et qui paniquent comme des tourterelles devant la charge féroce de trois flics qui abusent de leur supériorité numérique contre trois mille manifestants.
Déçu, je m'attendais à plus de bravitude dans le pays de la corrida.
Je me suis alors tourné vers l'Ukraine malgré mon arthrose cervicale. On pourra dire ce qu'on veut sur l'âme slave, mais les Ukrainiens c'est autre chose, la classe à l'état brut, camions à eau, Molotov à tous les étages, ils sont équipés d'extincteurs pour éteindre les flics transformés en torche humaine, la routine quoi. Et puis motivés les petits gars, quand ils choppent un CRS local, ce n'est pas pour lui chanter une berceuse. J'ai ainsi pu constater que pour frapper un corps humain à plusieurs, il convient d'abord de l'allonger au sol, il semble que cela facilite la manœuvre. Le recours au bulldozer pour éclater les cordons des brigades anti-émeutes relevait d'un esprit créatif certain. Ils ont réhabilité la catapulte pour lancer des pavés, on aurait pu se croire dans un épisode d'Astérix.
Et quand les flics chargent, les manifestants en font de même, ils ne sont pas là pour rigoler les Ukrainiens, ils savent pourquoi ils se battent, ils ne sont pas là pour protéger une zone humide. C'est de la vraie castagne comme on l'aime, les conventions de Genève, on s'assoit dessus comme sur le plug anal de la place Vendôme, avec appréhension d'abord puis avec volupté. Mais globalement les forces de l'ordre sont moins créatives que les manifestants. Moins conviviales aussi. Dans un bistrot, chacun offre sa tournée. Le flic ukrainien est mesquin, il se prend généreusement un Molotov en pleine poire, pas un pour offrir sa tournée. Le manifestant est plus généreux, surtout si on tient compte du prix de l'essence.
Revenons à l'époque moderne et nos protestataires de pacotille.
Toujours les mêmes merdeux de manifestants, des connards qui se prennent pour Rambo parce qu'ils viennent de déposer une fleur devant le cordon de CRS, et qui lèvent les bras en signe de victoire comme Sir Edmund Hillary après sa grimpette. Des mères débiles qui implorent les flics comme de véritables piétas, au lieu d'engueuler leur connasse de fille hurlant comme une damnée son droit de rester assise devant le parlement parce qu'elle a des droits et que l'Espagne est une république et qu'elle encule Juan Carlos. Je détestais déjà les hommes qui délimitaient leur existence à coup d'expression phallique, mais venant d'une femme, cela me fait regretter ma bombe au poivre périmée.
Et puis toujours ces scènes désolantes de larves pleutres qui se prennent pour le Che et qui paniquent comme des tourterelles devant la charge féroce de trois flics qui abusent de leur supériorité numérique contre trois mille manifestants.
Déçu, je m'attendais à plus de bravitude dans le pays de la corrida.
Je me suis alors tourné vers l'Ukraine malgré mon arthrose cervicale. On pourra dire ce qu'on veut sur l'âme slave, mais les Ukrainiens c'est autre chose, la classe à l'état brut, camions à eau, Molotov à tous les étages, ils sont équipés d'extincteurs pour éteindre les flics transformés en torche humaine, la routine quoi. Et puis motivés les petits gars, quand ils choppent un CRS local, ce n'est pas pour lui chanter une berceuse. J'ai ainsi pu constater que pour frapper un corps humain à plusieurs, il convient d'abord de l'allonger au sol, il semble que cela facilite la manœuvre. Le recours au bulldozer pour éclater les cordons des brigades anti-émeutes relevait d'un esprit créatif certain. Ils ont réhabilité la catapulte pour lancer des pavés, on aurait pu se croire dans un épisode d'Astérix.
Et quand les flics chargent, les manifestants en font de même, ils ne sont pas là pour rigoler les Ukrainiens, ils savent pourquoi ils se battent, ils ne sont pas là pour protéger une zone humide. C'est de la vraie castagne comme on l'aime, les conventions de Genève, on s'assoit dessus comme sur le plug anal de la place Vendôme, avec appréhension d'abord puis avec volupté. Mais globalement les forces de l'ordre sont moins créatives que les manifestants. Moins conviviales aussi. Dans un bistrot, chacun offre sa tournée. Le flic ukrainien est mesquin, il se prend généreusement un Molotov en pleine poire, pas un pour offrir sa tournée. Le manifestant est plus généreux, surtout si on tient compte du prix de l'essence.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...et qu'on motive les troupes à grand coup de "faut y aller"...
Entre l'Ukraine et la France j'ai trouvé deux différences majeures dans la manifestation du courroux populaire.
Du coté ukrainien, on a pas peur de l'affrontement physique, on ne pleure pas sa mère et on n'appelle pas son avocat quand la cavalerie charge, on rentre dans la meule parce que c'est l'ultime solution qui reste, si on crève, au moins on saura pourquoi. Il y assez peu de gonzesses aussi.
Du coté français, on sort son smartphone, son reflex, sa caméra numérique, on sourit d'une manière entendue entre gens qui se comprennent, on se persuade que les flics n'oseront pas, qu'ils ne prendront pas le risque de se voir dénoncer sur Youtube.
Tu te rends compte que ce fonctionnaire que je paye avec mes impôts (enfin surtout l'impôt payé par les autres) a osé se montrer discourtois après que je lui eusse craché à la gueule, mais j'ai son numéro de matricule, on va le pourrir. Et puis, filme bien mes écorchures dans le dos, et regarde le trou fait dans la manche de mon blouson. La tyrannie ne passera pas.
Attaque à la barre de fer contre vidéos postées sur Internet. Je vous le dis tout net, je serais CRS en Ukraine, j'aimerais bien que ma seule prise de risque soit de voir ma tronche sur DailyMotion.
Et je serais CRS en France, muselé par des règlements de politicards bouffeurs de chattes journalistiques, me prendre une bouteille d'acide sur le coin de la tronche aurait tendance à me rendre maussade. Défiguré à vie pour une zone humide, la honte.
Entre l'Ukraine et la France j'ai trouvé deux différences majeures dans la manifestation du courroux populaire.
Du coté ukrainien, on a pas peur de l'affrontement physique, on ne pleure pas sa mère et on n'appelle pas son avocat quand la cavalerie charge, on rentre dans la meule parce que c'est l'ultime solution qui reste, si on crève, au moins on saura pourquoi. Il y assez peu de gonzesses aussi.
Du coté français, on sort son smartphone, son reflex, sa caméra numérique, on sourit d'une manière entendue entre gens qui se comprennent, on se persuade que les flics n'oseront pas, qu'ils ne prendront pas le risque de se voir dénoncer sur Youtube.
Tu te rends compte que ce fonctionnaire que je paye avec mes impôts (enfin surtout l'impôt payé par les autres) a osé se montrer discourtois après que je lui eusse craché à la gueule, mais j'ai son numéro de matricule, on va le pourrir. Et puis, filme bien mes écorchures dans le dos, et regarde le trou fait dans la manche de mon blouson. La tyrannie ne passera pas.
Attaque à la barre de fer contre vidéos postées sur Internet. Je vous le dis tout net, je serais CRS en Ukraine, j'aimerais bien que ma seule prise de risque soit de voir ma tronche sur DailyMotion.
Et je serais CRS en France, muselé par des règlements de politicards bouffeurs de chattes journalistiques, me prendre une bouteille d'acide sur le coin de la tronche aurait tendance à me rendre maussade. Défiguré à vie pour une zone humide, la honte.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...pendant que les punks à chien se barrent prudemment...
Ils avaient bien essayés sur TF1 de lancer un nouveau jeu, l'Acid Loft. Des candidats enfermés sur une place publique devaient revêtir une tenue protectrice et recevoir des bouteilles d'acide jetées par le public. Celui qui survivait gagnait l'équivalent d'un SMIC pendant un an. Peu de candidats, aucun élu. Et puis il y avait beaucoup de problèmes juridiques. Il paraîtrait qu'en France personne n'a le droit de balancer de l'acide sur ses contemporains même si ces derniers ont signé une décharge. Je sais, c'est navrant, mais c'est comme ça, c'est interdit.
Dans la course éternelle entre le glaive et le bouclier, j'ai pu découvrir une petite merveille de technologie, le canon à ultrasons. Ce truc te déglingue l'oreille interne sans passer par le tympan, pour dégager une place squattée par des types qui ne se sont jamais battus qu'à coup d'invectives et de blogs, c'est royal. Pas de trace, pas de vidéo sur Youtube, un mec qui plaque ses paumes sur ses oreilles face à un engin silencieux entre 2000 et 20000 MHz, ce n'est pas assez spectaculaire.
L'absurdité est si flagrante que plus personne ne la voit. Des connasses et des connards enfreignent les lois les plus élémentaires et sont convaincus que La Loi doit continuer à les protéger. Les mêmes qui ne sont pas choqués de foutre en taule une députée qui a hébergé une photo raciste sur sa page Facebook estime juste et rationnel de caillasser du poulet.
Ces raclures de bidet ne s'autorisent ces audaces factices que parce qu'ils savent qu'ils ne risquent pas grand-chose, protégés par le nombre et la connerie érigée en premier amendement de la constitution française.
J'ai été frappé aussi de constater que les dangereux activistes qui menacent les flics de leur objectif Reflex, repartent avec leur matos en bon état.
CRS, comment je ne me serais pas éclaté à leur exploser leur précieux Canikon pour tenter un début de rééducation au réel.
Le Rémi, ses potes écolos s'éclatent tellement avec l'acide lysergique qu'ils trouvaient fun d'en faire partager les forces de l'ordre. Mais voilà, personne n'avait du lui expliquer au Rémy Fraisse que balancer de l'acide sulfurique était interdit en France, rien qu'en mettre dans ses chiottes est interdit, alors que de mémoire de magistrat, aucune fosse d'aisance n'a jamais déposé de main courante.
Ils avaient bien essayés sur TF1 de lancer un nouveau jeu, l'Acid Loft. Des candidats enfermés sur une place publique devaient revêtir une tenue protectrice et recevoir des bouteilles d'acide jetées par le public. Celui qui survivait gagnait l'équivalent d'un SMIC pendant un an. Peu de candidats, aucun élu. Et puis il y avait beaucoup de problèmes juridiques. Il paraîtrait qu'en France personne n'a le droit de balancer de l'acide sur ses contemporains même si ces derniers ont signé une décharge. Je sais, c'est navrant, mais c'est comme ça, c'est interdit.
Dans la course éternelle entre le glaive et le bouclier, j'ai pu découvrir une petite merveille de technologie, le canon à ultrasons. Ce truc te déglingue l'oreille interne sans passer par le tympan, pour dégager une place squattée par des types qui ne se sont jamais battus qu'à coup d'invectives et de blogs, c'est royal. Pas de trace, pas de vidéo sur Youtube, un mec qui plaque ses paumes sur ses oreilles face à un engin silencieux entre 2000 et 20000 MHz, ce n'est pas assez spectaculaire.
L'absurdité est si flagrante que plus personne ne la voit. Des connasses et des connards enfreignent les lois les plus élémentaires et sont convaincus que La Loi doit continuer à les protéger. Les mêmes qui ne sont pas choqués de foutre en taule une députée qui a hébergé une photo raciste sur sa page Facebook estime juste et rationnel de caillasser du poulet.
Ces raclures de bidet ne s'autorisent ces audaces factices que parce qu'ils savent qu'ils ne risquent pas grand-chose, protégés par le nombre et la connerie érigée en premier amendement de la constitution française.
J'ai été frappé aussi de constater que les dangereux activistes qui menacent les flics de leur objectif Reflex, repartent avec leur matos en bon état.
CRS, comment je ne me serais pas éclaté à leur exploser leur précieux Canikon pour tenter un début de rééducation au réel.
Le Rémi, ses potes écolos s'éclatent tellement avec l'acide lysergique qu'ils trouvaient fun d'en faire partager les forces de l'ordre. Mais voilà, personne n'avait du lui expliquer au Rémy Fraisse que balancer de l'acide sulfurique était interdit en France, rien qu'en mettre dans ses chiottes est interdit, alors que de mémoire de magistrat, aucune fosse d'aisance n'a jamais déposé de main courante.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...et qu'on croit changer le monde dans un terrain vague...
Je crois qu'une âme généreuse aurait du lui expliquer que sous l'uniforme des CRS se dissimulaient des gorilles. Ce dégénéré n'aurait jamais osé envoyer son acide sur une espèce en voie de disparition, il aurait fait opposition de son corps si ses camarades avaient tenté de le faire. Mais un CRS on peut, ça vaut moins qu'un gorille, le CRS n'est pas encore classé dans la catégorie des espèces menacées. Ces pourritures ont l'esprit tellement vérolé qu'ils ne se rendent plus compte de leur barbarie.
Barbarie pour barbarie, tous les prétextes sont bons. Faire de la guérilla pour défendre un nid à moustiques, c'est déjà très con, mais alors faire de la guérilla urbaine pour défendre la mémoire du malchanceux qui faisait de la guérilla rurale au titre d’un BTS de gestion et protection de la nature, ça relève de la maladie mentale. Mais bon, je peux encore imaginer le plaisir qu'il y a à se défouler comme un salaud sur le mobilier urbain, les fonctionnaires de police, les vitrines des enculés de commerçants et les bagnoles des enculés de la classe moyenne, protégé par le public soumis qui se range toujours du coté de Guignol.
La touche finale de cette merdification de la pensée fut soigneusement apportée par une bourgeoise en vélo, affirmative de ses droits à circuler quand bon lui semble, où bon lui semble, et que ce n'était pas un cordon de CRS qui allait l'obliger à faire un détour pour se rendre chez son psychanalyste ou son esthéticienne, et se faire tondre dans les deux cas. Cette enflure nombrilesque mis si bien en relief le niveau azuréen de connerie débilitante qui vérole notre société, que je me contorsionnais devant mon écran en espérant qu'un mauvais coup allait partir de la part d'un CRS qui nettoyait sa matraque télescopique.
Au siècle précédent, on se prenait une baffe si on ne regardait pas à droite, puis à gauche, et encore à droite avant de se risquer sur la chaussée. On ne s'engageait pas d'un pas arrogant sur le passage clouté, le regard rivé sur l'iPhone, dans l'attitude de celui qui encule sur cinq générations tous les automobilistes présents, passés et sans avenir.
A l'ouverture de la chasse, il n'y avait que les débiles qui se hasardaient en forêt, les enfants étaient consignés. Oui, au siècle dernier on apprenait que la personne la plus motivée pour protéger vos fesses c'était vous. C'était le bon temps, les chasseurs éliminaient les débiles, tout le monde était content, la famille en charge du neuneu et le chasseur qui évitait de rentrer brocouille, la gallinette cendrée se faisait rare déjà à l'époque.
Je crois qu'une âme généreuse aurait du lui expliquer que sous l'uniforme des CRS se dissimulaient des gorilles. Ce dégénéré n'aurait jamais osé envoyer son acide sur une espèce en voie de disparition, il aurait fait opposition de son corps si ses camarades avaient tenté de le faire. Mais un CRS on peut, ça vaut moins qu'un gorille, le CRS n'est pas encore classé dans la catégorie des espèces menacées. Ces pourritures ont l'esprit tellement vérolé qu'ils ne se rendent plus compte de leur barbarie.
Barbarie pour barbarie, tous les prétextes sont bons. Faire de la guérilla pour défendre un nid à moustiques, c'est déjà très con, mais alors faire de la guérilla urbaine pour défendre la mémoire du malchanceux qui faisait de la guérilla rurale au titre d’un BTS de gestion et protection de la nature, ça relève de la maladie mentale. Mais bon, je peux encore imaginer le plaisir qu'il y a à se défouler comme un salaud sur le mobilier urbain, les fonctionnaires de police, les vitrines des enculés de commerçants et les bagnoles des enculés de la classe moyenne, protégé par le public soumis qui se range toujours du coté de Guignol.
La touche finale de cette merdification de la pensée fut soigneusement apportée par une bourgeoise en vélo, affirmative de ses droits à circuler quand bon lui semble, où bon lui semble, et que ce n'était pas un cordon de CRS qui allait l'obliger à faire un détour pour se rendre chez son psychanalyste ou son esthéticienne, et se faire tondre dans les deux cas. Cette enflure nombrilesque mis si bien en relief le niveau azuréen de connerie débilitante qui vérole notre société, que je me contorsionnais devant mon écran en espérant qu'un mauvais coup allait partir de la part d'un CRS qui nettoyait sa matraque télescopique.
Au siècle précédent, on se prenait une baffe si on ne regardait pas à droite, puis à gauche, et encore à droite avant de se risquer sur la chaussée. On ne s'engageait pas d'un pas arrogant sur le passage clouté, le regard rivé sur l'iPhone, dans l'attitude de celui qui encule sur cinq générations tous les automobilistes présents, passés et sans avenir.
A l'ouverture de la chasse, il n'y avait que les débiles qui se hasardaient en forêt, les enfants étaient consignés. Oui, au siècle dernier on apprenait que la personne la plus motivée pour protéger vos fesses c'était vous. C'était le bon temps, les chasseurs éliminaient les débiles, tout le monde était content, la famille en charge du neuneu et le chasseur qui évitait de rentrer brocouille, la gallinette cendrée se faisait rare déjà à l'époque.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...sans avoir la moindre de l'idéologie des forces en présence...
Je n'aurais pas coincé une grenade dans le sac à dos du Rémi, ce n'est pas dans mes pratiques, il y avait bien d'autres moyens de s'éclater avec ce beau gosse. Sa mort ne me fait pas sourire, elle symbolise trop la décrépitude du respect humain ou de la simple crainte des autorités, celles qui me protègent. Par contre, je souffre en pensant aux hurlements de douleur du CRS hospitalisé dans le service des grands brûlés quand il s'agit de faire ses pansements et que sa peau part en lambeaux, la morphine a tout de même des limites.
Vous viendrez me casser les couilles avec tout ce qu'il y a de plus volontiers quand la télévision diffusera un reportage sur les conséquences dramatiques, physiques et psychologiques, de ce que subissent les CRS. A quand une enquête journalistique, avec gros plan au grand angle de la peau ravagée qui choisit d'accompagner la compresse que l'on décolle, l'infidèle ?
Je vous autoriserais à vouloir infléchir le cours de ma brillante réflexion quand une blondasse sortie de Siences Po pour sucer du bourgeois et assurer son ascension dans le monde des médias posera la question aux potes devant les caméras de Canal : qu'avez-vous à dire aux familles des CRS que vous avez brûlés à l'acide ?
D'abord j'ai horreur de la concurrence des avaleuses de sabre, et ensuite je ne tolère plus que ces bâtardes vérolées exigent des forces de l'ordre une prudence de bisounours pour se donner une façade intraitable d'égérie de la lutte contre la barbarie à visage humain.
Si un bâtard de fils de pute avait défiguré votre soeur juste pour le fun d'un test de résistance des matériaux, acide contre femelle, sentez-vous bien monter en vous la haine dévastatrice, le droit de vengeance ? Moi, pareil. Mon sens de l'égalité place au même niveau votre soeur et un CRS. Alors que votre sens de l'égalité aurait tendance à mettre le CRS dans la catégorie des espèces nuisibles, entre la punaise de lit et le virus Ebola. Moi, non.
Je n'aurais pas coincé une grenade dans le sac à dos du Rémi, ce n'est pas dans mes pratiques, il y avait bien d'autres moyens de s'éclater avec ce beau gosse. Sa mort ne me fait pas sourire, elle symbolise trop la décrépitude du respect humain ou de la simple crainte des autorités, celles qui me protègent. Par contre, je souffre en pensant aux hurlements de douleur du CRS hospitalisé dans le service des grands brûlés quand il s'agit de faire ses pansements et que sa peau part en lambeaux, la morphine a tout de même des limites.
Vous viendrez me casser les couilles avec tout ce qu'il y a de plus volontiers quand la télévision diffusera un reportage sur les conséquences dramatiques, physiques et psychologiques, de ce que subissent les CRS. A quand une enquête journalistique, avec gros plan au grand angle de la peau ravagée qui choisit d'accompagner la compresse que l'on décolle, l'infidèle ?
Je vous autoriserais à vouloir infléchir le cours de ma brillante réflexion quand une blondasse sortie de Siences Po pour sucer du bourgeois et assurer son ascension dans le monde des médias posera la question aux potes devant les caméras de Canal : qu'avez-vous à dire aux familles des CRS que vous avez brûlés à l'acide ?
D'abord j'ai horreur de la concurrence des avaleuses de sabre, et ensuite je ne tolère plus que ces bâtardes vérolées exigent des forces de l'ordre une prudence de bisounours pour se donner une façade intraitable d'égérie de la lutte contre la barbarie à visage humain.
Si un bâtard de fils de pute avait défiguré votre soeur juste pour le fun d'un test de résistance des matériaux, acide contre femelle, sentez-vous bien monter en vous la haine dévastatrice, le droit de vengeance ? Moi, pareil. Mon sens de l'égalité place au même niveau votre soeur et un CRS. Alors que votre sens de l'égalité aurait tendance à mettre le CRS dans la catégorie des espèces nuisibles, entre la punaise de lit et le virus Ebola. Moi, non.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...on découvre le réel sous la forme d'une grenade.
A quand des CRS qui posent leurs boucliers, leurs casques et leurs tonfas au sol pour faire des mamours avec les manifestants ? Putain, ce jour-là, je m'équipe d'une arme automatique, le premier qui prétend descendre dans ma cave pour étancher sa soif je lui balance le contenu du chargeur. M'en fous, les flics m'offriront leurs femmes et une bière, nous sommes tous frères. Quoique j'eusse préféré une seule femme et un pack de bière, parce que sans vouloir me montrer désobligeant avec les forces de l'ordre, la femme de CRS a peu de points communs avec un mannequin, ou alors un mannequin pour une pub Cochonou.
Une zone humide, je m'en torche*, mais pour protéger mon Sociando-Mallet, je me sens prêt à devenir mauvais.
Ne vous fatiguez pas à me contredire, demain j'aurais changé d'avis. Je vais descendre le contenu de ma cave cette nuit. Demain, je n'aurais plus rien à défendre et j'aurais une superbe gueule de bois. Vazen paix Rémi, ton visage de branleur humide est un phare dans l'obscurité de la répression thuriféraire obscène du ventre immonde de la bête toujours féconde, la preuve c'est notre ministre marocaine qui l'a dit, la belle Kacem, affectueusement surnommée "j'avale pas" rue de Solferino.
De par mon éducation nationale donc communiste, j'avais appris la détestation de la police. Tout bien réfléchi, les rastas blancs diplômés en écologie et shootés à la met me font infiniment plus peur que les flics. Ce n'est pas une opinion au bout du compte, il ne s'agit que d'un calcul petit bourgeois. Et j'invite tous les connards qui se donnent des frissons à reprendre le slogan "fuck la police" à se projeter dans un monde où leur petite et frêle carcasse constituerait la proie de dégénérés sans limites.
Manquerait plus que je sois obligé de pomper des noeuds en rentrant tard chez moi, place de la Raie Publique, soumis à la menace des crocs d'un Rottweiller et à l'humeur badine de leurs maîtres, faut pas déconner merde, je n'ai pas toujours mon Chivas Régal sur moi, et je réclame le droit à un minimum d'hygiène quand je m'active goulûment. On est en république, merde. Que fait la police ?
*NDLR : L'auteur s'égare mais nous respectons sa liberté d'expression parce qu'elle fait vendre. Nous tenons à rappeler que l'auteur se passionne pour l'ornithologie et qu'il participe régulièrement à l'entretien des étangs de son bled de ploucs.
Aucune femme, aucun animal n'a été maltraité pendant la rédaction de ce post, c'est toujours ça de pris.
A quand des CRS qui posent leurs boucliers, leurs casques et leurs tonfas au sol pour faire des mamours avec les manifestants ? Putain, ce jour-là, je m'équipe d'une arme automatique, le premier qui prétend descendre dans ma cave pour étancher sa soif je lui balance le contenu du chargeur. M'en fous, les flics m'offriront leurs femmes et une bière, nous sommes tous frères. Quoique j'eusse préféré une seule femme et un pack de bière, parce que sans vouloir me montrer désobligeant avec les forces de l'ordre, la femme de CRS a peu de points communs avec un mannequin, ou alors un mannequin pour une pub Cochonou.
Une zone humide, je m'en torche*, mais pour protéger mon Sociando-Mallet, je me sens prêt à devenir mauvais.
Ne vous fatiguez pas à me contredire, demain j'aurais changé d'avis. Je vais descendre le contenu de ma cave cette nuit. Demain, je n'aurais plus rien à défendre et j'aurais une superbe gueule de bois. Vazen paix Rémi, ton visage de branleur humide est un phare dans l'obscurité de la répression thuriféraire obscène du ventre immonde de la bête toujours féconde, la preuve c'est notre ministre marocaine qui l'a dit, la belle Kacem, affectueusement surnommée "j'avale pas" rue de Solferino.
De par mon éducation nationale donc communiste, j'avais appris la détestation de la police. Tout bien réfléchi, les rastas blancs diplômés en écologie et shootés à la met me font infiniment plus peur que les flics. Ce n'est pas une opinion au bout du compte, il ne s'agit que d'un calcul petit bourgeois. Et j'invite tous les connards qui se donnent des frissons à reprendre le slogan "fuck la police" à se projeter dans un monde où leur petite et frêle carcasse constituerait la proie de dégénérés sans limites.
Manquerait plus que je sois obligé de pomper des noeuds en rentrant tard chez moi, place de la Raie Publique, soumis à la menace des crocs d'un Rottweiller et à l'humeur badine de leurs maîtres, faut pas déconner merde, je n'ai pas toujours mon Chivas Régal sur moi, et je réclame le droit à un minimum d'hygiène quand je m'active goulûment. On est en république, merde. Que fait la police ?
*NDLR : L'auteur s'égare mais nous respectons sa liberté d'expression parce qu'elle fait vendre. Nous tenons à rappeler que l'auteur se passionne pour l'ornithologie et qu'il participe régulièrement à l'entretien des étangs de son bled de ploucs.
Aucune femme, aucun animal n'a été maltraité pendant la rédaction de ce post, c'est toujours ça de pris.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
L'auteur signale qu'il serait mort de honte et s'aplatirait au sol en se confondant en excuses s'il se trouvait face aux parents de Rémi Fraisse.
C'est juste histoire de causer.
C'est juste histoire de causer.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Une matraque télescopique. Inflige des blessures sévères en raison de son énergie cinétique.
Un Tonfa. Plus gros, mais moins dangereux, un classique des manifs, quoi.
Du Tofu. Dans Maison6, c'est haram. Même avec du miel.
Un Tonfa. Plus gros, mais moins dangereux, un classique des manifs, quoi.
Du Tofu. Dans Maison6, c'est haram. Même avec du miel.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mort aux vaches, mort aux lois, vive l'anarchie
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
A l'ombre des maris mais cela va sans dire, pas n'importe lesquels, je les tri'
,les choisis,
Si madame Dupont, d'aventure m'attire, il faut que par surcroît, Dupont me
plaise aussi
,les choisis,
Si madame Dupont, d'aventure m'attire, il faut que par surcroît, Dupont me
plaise aussi
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Que ton nom soit sanctifié, que ta parole soit faite sur la terre comme au ciel.
Hosanna au plus haut des cieux !
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur.
Nous louons ton nom. Nous lisons silencieusement et méditons tes pensées.
Hosanna au plus haut des cieux !
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur.
Nous louons ton nom. Nous lisons silencieusement et méditons tes pensées.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Un petit cadeau
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Super a écrit:Que ton nom soit sanctifié, que ta parole soit faite sur la terre comme au ciel.
Hosanna au plus haut des cieux !
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur.
C'est ce que j'appelle un exemple de culture islamo-chrétienne !
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Merci aqua, je m'étais arrêté à la Symphony Nº 5 par Karajan. Je vais écouter.
Je crois qu'on t'attend.
Je crois qu'on t'attend.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le final touche au Divin, c'est peut-être pour cette raison que le Seigneur, dans son infinie bonté, à décidé de rappeler Abbado...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je ne sais plus qui avait deviné que Karajan était adepte du Yoga simplement en le voyant diriger un concert.
En regardant Claudio Abado, c'est autre chose, je trouve qu'il ne garde "que la musique". C'est une formule idiote, mais je n'y connais rien. Tu as raison, le final est un grand moment. Inspiré. On peut dire ça ?
Depuis qu'un des meilleurs guitaristes de France m'a fait le signe quand je lui ai parlé d'Angus Young, je me fais une cure d'AC/DC.
Il nous a confié ne pas avoir acquis la technique avec la main gauche seule, comme dans ce classique.
Plus ils sont bons, plus ils sont modestes.
En regardant Claudio Abado, c'est autre chose, je trouve qu'il ne garde "que la musique". C'est une formule idiote, mais je n'y connais rien. Tu as raison, le final est un grand moment. Inspiré. On peut dire ça ?
Depuis qu'un des meilleurs guitaristes de France m'a fait le signe quand je lui ai parlé d'Angus Young, je me fais une cure d'AC/DC.
Il nous a confié ne pas avoir acquis la technique avec la main gauche seule, comme dans ce classique.
Plus ils sont bons, plus ils sont modestes.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le chaînon manquant dans l'évolution du Blues au Hard Rock :
J'avais 2 ans...
J'avais 2 ans...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pendant que j'y suis, je remonte à l'année de ma naissance ;-)
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et il n'y a pas que les bad boys qui contestent :
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ti-ene-Ti, Ti-ene-Ti, Ti-ene-Ti
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je prépare un texte sur les sales arabes.
Ça va être torride.
Ça va être torride.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et, puisqu'on en vient à Rostropovitch, comment ne pas citer les concerti de Shostakovich écrits pour le maître et perpétués avec brio par l'élève, le fils spirituel :
Ils ont démantelé l’œuvre, il faut cliquer pour passer au mouvement suivant !
Ils ont démantelé l’œuvre, il faut cliquer pour passer au mouvement suivant !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sale arabe !
Putain, il n'y a pas pire insulte pour un arabe. Dans cette civilisation qui a porté le culte de l'hygiène corporelle au rang d'art de vivre, se faire traiter de "sale" par un français qui vénère les "pieds fumants et les aisselles surettes", relève tout autant du surréalisme que de l'injustice.
Et cette culture a porté au sublime l'art de l'érotisme, distillé dans les gestes les plus quotidiens. Ce qui se montre, ce qui ne se montre pas, tout est tellement présent que l'érotisme est permanent, dans la manière de s'asseoir, de baisser les yeux, d'échapper au regard.
Pas de string qui dépasse du jean taille basse, aussi érotique qu'un scooter en panne, mais une gestuelle, une langueur, un code, éléments permanents d'une sensualité constante.
Notre compatriote en QI nous délivra sa prose,
Elle ne s’était pas totalement mise à nue.
Évoquant en lui tant de rêves, tant de désir
Elle n’avait rien dévoilé, sous la légèreté de sa robe vaporeuse.
Elle avait la taille effilée d'une guêpe, ses longs cheveux noirs aux boucles flottantes, son regard...
Une cheville dépassait à peine. Une épaule se laissait deviner, une courbe de plus, poitrine ronde généreuse, un appel au plaisir.
Il senti son parfum. Il fantasma son corps.
Laissant dans son sillage un parfum d’Eden, envoûtante créature.
Elle ne lui laissait que des songes.
Je ne peux la citer, car, entre autres usages, la flatterie sans délicatesse est mal perçue. Il y faut de l'allusif, du discret.
Il n'est pas convenable de louer exagérément quelqu'un, plus la louange est discrète et bien envoyée, mieux elle est perçue. En particulier, les enfants si fragiles, si difficiles à élever, peuvent recevoir des preuves d'amour mais pas d'admiration. Certaines superstitions se sont greffées sur cette expérience dure de la vie qui vous enlève qui on a de plus cher, qui balaie la beauté, la santé d'un jour par la maladie du lendemain…
Putain, il n'y a pas pire insulte pour un arabe. Dans cette civilisation qui a porté le culte de l'hygiène corporelle au rang d'art de vivre, se faire traiter de "sale" par un français qui vénère les "pieds fumants et les aisselles surettes", relève tout autant du surréalisme que de l'injustice.
Et cette culture a porté au sublime l'art de l'érotisme, distillé dans les gestes les plus quotidiens. Ce qui se montre, ce qui ne se montre pas, tout est tellement présent que l'érotisme est permanent, dans la manière de s'asseoir, de baisser les yeux, d'échapper au regard.
Pas de string qui dépasse du jean taille basse, aussi érotique qu'un scooter en panne, mais une gestuelle, une langueur, un code, éléments permanents d'une sensualité constante.
Notre compatriote en QI nous délivra sa prose,
Elle ne s’était pas totalement mise à nue.
Évoquant en lui tant de rêves, tant de désir
Elle n’avait rien dévoilé, sous la légèreté de sa robe vaporeuse.
Elle avait la taille effilée d'une guêpe, ses longs cheveux noirs aux boucles flottantes, son regard...
Une cheville dépassait à peine. Une épaule se laissait deviner, une courbe de plus, poitrine ronde généreuse, un appel au plaisir.
Il senti son parfum. Il fantasma son corps.
Laissant dans son sillage un parfum d’Eden, envoûtante créature.
Elle ne lui laissait que des songes.
Je ne peux la citer, car, entre autres usages, la flatterie sans délicatesse est mal perçue. Il y faut de l'allusif, du discret.
Il n'est pas convenable de louer exagérément quelqu'un, plus la louange est discrète et bien envoyée, mieux elle est perçue. En particulier, les enfants si fragiles, si difficiles à élever, peuvent recevoir des preuves d'amour mais pas d'admiration. Certaines superstitions se sont greffées sur cette expérience dure de la vie qui vous enlève qui on a de plus cher, qui balaie la beauté, la santé d'un jour par la maladie du lendemain…
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les arabes traitent leurs femmes comme des animaux, ils les obligent à marcher à distance derrière eux. Bombardons les talibans, démocratisons les Iraniens. Foutaises.
Spéciale dédicace pour Jordan Suli et ses aïeules :
On disait que si une femme (sans revenus personnels, travaillant pour sa famille à l'intérieur de la maison ou aux champs) devait demander des sous-vêtements, de la nourriture ou quoi que ce soit de nécessaire à son mari, c'est que celui-ci " était délicat comme un sanglier " ou " prévenant comme un dromadaire " (suivant les régions), partant du principe que celui qui est responsable de la famille doit précéder la demande, être assez observateur pour savoir ce qui convient et ce qu'il est possible d'offrir pour faire plaisir suivant les moyens matériels.
Dans mon ode factice au darwinisme, j'avais parlé de l'attractivité des hanches larges, du cul, du cul et encore du cul. En vérité je vous le dis, j'ai dessiné de nombreuses nuques si sensuelles, les photographies des salons de coiffure sont parmi les plus érotiques à mes yeux.
Il y a des zones du corps qui sont chantées ou sacrées suivant les époques et le culte : la nuque par exemple. Les femmes arabes ont horreur qu'un homme marche derrière elles (sauf fils ou époux, et encore), elles n'aiment pas monter un escalier en précédant un homme. Afin d'éviter de les mettre mal à l'aise, il était de bon ton qu'un homme précède une femme, lui indiquant par là qu'il renonçait à fantasmer sur ses hanches, ses fesses ou sa nuque. C'était donc une marque de respect.
Spéciale dédicace pour Jordan Suli et ses aïeules :
On disait que si une femme (sans revenus personnels, travaillant pour sa famille à l'intérieur de la maison ou aux champs) devait demander des sous-vêtements, de la nourriture ou quoi que ce soit de nécessaire à son mari, c'est que celui-ci " était délicat comme un sanglier " ou " prévenant comme un dromadaire " (suivant les régions), partant du principe que celui qui est responsable de la famille doit précéder la demande, être assez observateur pour savoir ce qui convient et ce qu'il est possible d'offrir pour faire plaisir suivant les moyens matériels.
Dans mon ode factice au darwinisme, j'avais parlé de l'attractivité des hanches larges, du cul, du cul et encore du cul. En vérité je vous le dis, j'ai dessiné de nombreuses nuques si sensuelles, les photographies des salons de coiffure sont parmi les plus érotiques à mes yeux.
Il y a des zones du corps qui sont chantées ou sacrées suivant les époques et le culte : la nuque par exemple. Les femmes arabes ont horreur qu'un homme marche derrière elles (sauf fils ou époux, et encore), elles n'aiment pas monter un escalier en précédant un homme. Afin d'éviter de les mettre mal à l'aise, il était de bon ton qu'un homme précède une femme, lui indiquant par là qu'il renonçait à fantasmer sur ses hanches, ses fesses ou sa nuque. C'était donc une marque de respect.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tous les parfums de l'orient
Chacun sa madeleine de Proust, la nostalgie d'un parfum ravive ma mémoire plus sûrement qu'une vidéo. Mais le plus grand souvenir de toute mon existence est celui de l'odeur du ventre de mon premier amour. J'aimerais mourir avec ce parfum naturel de jeune fille en tête.
On doit se parfumer, sauf manque de moyen. On peut le faire avec une essence de fleur ou avec une huile ou une pommade, et, pour les femmes, en portant un collier composé de perles de pâte de parfums minéraux ou végétaux ou en brûlant sur un brasero encens minéral, pâtes végétales, graines, épices ou zestes de fruits, pour en imprégner les vêtements. Se parfumer est une marque de politesse.
La société consumériste et la médiocrité ambiante ont réduit la sensualité exhalée par un corps féminin a des images simplistes, vendeuses. Pour un polynésien, la beauté d'une femme commence par ses longs cheveux, dont elle joue en permanence en brouillant les pistes. Pour les arabes, tout est érotisme, les cheveux entre autres.
La chevelure (longue évidemment) rend les hommes fous. Pour ne pas les " allumer ", les femmes évitent, sauf dans l'intimité, de déployer leur chevelure (il n'y a pas si longtemps, longue assez souvent jusqu'aux chevilles). Même de célèbres poèmes, telle l'histoire de Qaïs et Leyla, montrent à quel point voir une femme se coiffer ou être coiffée peut (pouvait) troubler un homme. L'intérieur des poignets, la main maquillée de henné, les chevilles (parées de bracelets) sont hautement érotiques.
Chacun sa madeleine de Proust, la nostalgie d'un parfum ravive ma mémoire plus sûrement qu'une vidéo. Mais le plus grand souvenir de toute mon existence est celui de l'odeur du ventre de mon premier amour. J'aimerais mourir avec ce parfum naturel de jeune fille en tête.
On doit se parfumer, sauf manque de moyen. On peut le faire avec une essence de fleur ou avec une huile ou une pommade, et, pour les femmes, en portant un collier composé de perles de pâte de parfums minéraux ou végétaux ou en brûlant sur un brasero encens minéral, pâtes végétales, graines, épices ou zestes de fruits, pour en imprégner les vêtements. Se parfumer est une marque de politesse.
La société consumériste et la médiocrité ambiante ont réduit la sensualité exhalée par un corps féminin a des images simplistes, vendeuses. Pour un polynésien, la beauté d'une femme commence par ses longs cheveux, dont elle joue en permanence en brouillant les pistes. Pour les arabes, tout est érotisme, les cheveux entre autres.
La chevelure (longue évidemment) rend les hommes fous. Pour ne pas les " allumer ", les femmes évitent, sauf dans l'intimité, de déployer leur chevelure (il n'y a pas si longtemps, longue assez souvent jusqu'aux chevilles). Même de célèbres poèmes, telle l'histoire de Qaïs et Leyla, montrent à quel point voir une femme se coiffer ou être coiffée peut (pouvait) troubler un homme. L'intérieur des poignets, la main maquillée de henné, les chevilles (parées de bracelets) sont hautement érotiques.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
T'as de beaux yeux tu sais
Habitué au regard haineux de la connasse française fauxsacvuitonnisée et iphonisée, je fus cloué sur place par les regards des marocaines, à la fois discrets et d'une sensualité envoûtante. Pas de provocation, pas de prostitution, celle qui m'accompagnait était une bebom de chez bebom, non, juste le jeu des regards. J'en frémissais du string.
Mais par-dessus tout, les yeux sont des trésors : il arrive qu'un homme supplie une femme de les dissimuler pour lui épargner la souffrance d'un désir irrépressible. Et tout ceci apparaît comme valeurs normales et établies. On ne nomme pas la bouche d'une femme, d'ailleurs, pour les hommes comme pour les femmes, il est parfaitement inconvenant de faire allusion, même de façon détournée, à une partie du corps de l'autre. Offrir un simple foulard à une femme, de la part d'un homme, sous-entend soit une intimité familiale, ou d'adoption, soit un engagement amoureux qu'on fait souvent parvenir par une autre femme.
Dans mon jeune temps, le désir masculin à la française restait encore admis. Une jeune femme qui se penchait pour ramasser quelque chose à terre se faisait réprimander gentiment. On lui demandait de plier les genoux pour ne faire bomber son postérieur devant les regards. Maintenant, se vêtir comme une pute n'interdit de se montrer horripilée par l'insistance de la concupiscence masculine.
Comme les Arabes sont réalistes, ils sont bien conscients que le désir sexuel concerne en premier lieu le postérieur : il y a donc une série d'attitudes qu'on évitera en présence d'hommes, de façon générale. Ne pas frotter le sol ni s'occuper des plantations, ne pas se coucher sur le ventre, etc. Mais la règle valait aussi pour les hommes plus jeunes en présence d'hommes plus âgés.
Comme vous pouvez le constater, les arabes sont d'affreux homophobes.
Habitué au regard haineux de la connasse française fauxsacvuitonnisée et iphonisée, je fus cloué sur place par les regards des marocaines, à la fois discrets et d'une sensualité envoûtante. Pas de provocation, pas de prostitution, celle qui m'accompagnait était une bebom de chez bebom, non, juste le jeu des regards. J'en frémissais du string.
Mais par-dessus tout, les yeux sont des trésors : il arrive qu'un homme supplie une femme de les dissimuler pour lui épargner la souffrance d'un désir irrépressible. Et tout ceci apparaît comme valeurs normales et établies. On ne nomme pas la bouche d'une femme, d'ailleurs, pour les hommes comme pour les femmes, il est parfaitement inconvenant de faire allusion, même de façon détournée, à une partie du corps de l'autre. Offrir un simple foulard à une femme, de la part d'un homme, sous-entend soit une intimité familiale, ou d'adoption, soit un engagement amoureux qu'on fait souvent parvenir par une autre femme.
Dans mon jeune temps, le désir masculin à la française restait encore admis. Une jeune femme qui se penchait pour ramasser quelque chose à terre se faisait réprimander gentiment. On lui demandait de plier les genoux pour ne faire bomber son postérieur devant les regards. Maintenant, se vêtir comme une pute n'interdit de se montrer horripilée par l'insistance de la concupiscence masculine.
Comme les Arabes sont réalistes, ils sont bien conscients que le désir sexuel concerne en premier lieu le postérieur : il y a donc une série d'attitudes qu'on évitera en présence d'hommes, de façon générale. Ne pas frotter le sol ni s'occuper des plantations, ne pas se coucher sur le ventre, etc. Mais la règle valait aussi pour les hommes plus jeunes en présence d'hommes plus âgés.
Comme vous pouvez le constater, les arabes sont d'affreux homophobes.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les arabes n'aiment pas les femmes, ils les réduisent à des silhouettes, des fantômes encagés dans un nikab ou une burka. Bombardons l'Afghanistan.
Très longtemps, avant les notions injectées par les colonialismes occidentaux, la poitrine de la femme qui allaite ne posa aucun problème. Les religions luttèrent, parfois en vain, contre le " décolleté " qui, n'étant pas " malséant ", revint, sporadiquement, inévitablement, à la charge. Pour les filles et les fils, la poitrine maternelle restera toujours d'accès libre, même grands. Ce sont les chrétiens arabes qui ont réussi le plus à entraver la libre expression des poitrines abondantes ou victorieuses qui débordaient toujours un peu ou se montraient sous des étoffes trop fines ; la mode occidentale importée a résolu les problèmes religieux avec ses vêtements à manches étroites et ses robes haut fermées. La poitrine féminine parle de douceur, le torse masculin de protection et l'on n'hésite pas à les nommer si le contexte n'est pas d'ordre sexuel. Le ventre ne se nomme pas facilement : menstrues ou problèmes intestinaux, l'on dira qu'on a " mal l'estomac ".
Sans vouloir vous faire l'insulte de supposer que vous ne savez pas que la bière et le vin font partie de la tradition arabe, sachez que je ne renoncerais que sous la torture à mon saucisson Label Rouge, et que je ne supporte pas que le cochon soit devenu Haram dans les cantines scolaires. Je ne supporte pas que nos politiques choisissent d'ignorer notre propre culture, par avidité électorale ou par lâcheté. D'autant plus qu'en terme de savoir-vivre la culture arabe n'a rien à envier à cette nouvelle mode de l'empathie zèbresque, qui devrait être plus un art de vivre qu'une prédisposition liée au QI.
Les anciens enseignaient encore récemment qu'au-dessus des convenances, l'art de vivre en son point le plus haut était cette sensibilité à l'autre, ce que la langue française appelle populairement le " tact ", cette perception immédiate de ce qui plaît ou risque de chagriner autrui. Ils disaient aussi que celui qui ne se comportait pas avec savoir-vivre à la maison, avec son époux, son épouse ou ses enfants, serait toujours raide et malvenu avec les étrangers, parce que peu sincère.
Très longtemps, avant les notions injectées par les colonialismes occidentaux, la poitrine de la femme qui allaite ne posa aucun problème. Les religions luttèrent, parfois en vain, contre le " décolleté " qui, n'étant pas " malséant ", revint, sporadiquement, inévitablement, à la charge. Pour les filles et les fils, la poitrine maternelle restera toujours d'accès libre, même grands. Ce sont les chrétiens arabes qui ont réussi le plus à entraver la libre expression des poitrines abondantes ou victorieuses qui débordaient toujours un peu ou se montraient sous des étoffes trop fines ; la mode occidentale importée a résolu les problèmes religieux avec ses vêtements à manches étroites et ses robes haut fermées. La poitrine féminine parle de douceur, le torse masculin de protection et l'on n'hésite pas à les nommer si le contexte n'est pas d'ordre sexuel. Le ventre ne se nomme pas facilement : menstrues ou problèmes intestinaux, l'on dira qu'on a " mal l'estomac ".
Sans vouloir vous faire l'insulte de supposer que vous ne savez pas que la bière et le vin font partie de la tradition arabe, sachez que je ne renoncerais que sous la torture à mon saucisson Label Rouge, et que je ne supporte pas que le cochon soit devenu Haram dans les cantines scolaires. Je ne supporte pas que nos politiques choisissent d'ignorer notre propre culture, par avidité électorale ou par lâcheté. D'autant plus qu'en terme de savoir-vivre la culture arabe n'a rien à envier à cette nouvelle mode de l'empathie zèbresque, qui devrait être plus un art de vivre qu'une prédisposition liée au QI.
Les anciens enseignaient encore récemment qu'au-dessus des convenances, l'art de vivre en son point le plus haut était cette sensibilité à l'autre, ce que la langue française appelle populairement le " tact ", cette perception immédiate de ce qui plaît ou risque de chagriner autrui. Ils disaient aussi que celui qui ne se comportait pas avec savoir-vivre à la maison, avec son époux, son épouse ou ses enfants, serait toujours raide et malvenu avec les étrangers, parce que peu sincère.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les femmes à la maison, les hommes au bistrot
Dans notre pays les hommes s'occupent peu des enfants, en tout cas pas en public. Venir au bistrot ou à une IRL avec son garçon dans les bras vous classe entre fiotasse soumise et relâché du sphincter. En Égypte, j'ai vu les fumeurs de chicha avec leur enfant sur les genoux sans que cela semble remettre en cause leur virilité.
Dans ce registre, il est malséant de crier, très choquant de frapper quiconque, peu convenable de bouder. L'éducation des enfants se comprenait en trois phases : " Jusqu'à sept ans, protège-le, joue avec lui, après sept ans soit sévère si nécessaire (y compris la fessée), après quatorze ans, fraternise avec lui ".
Pour ceux qui seraient tenté de croire que la culture arabe de la sexualité se résume à la frustration, et que la succession "t'sais qu't'es bonne, toi" et "c'est ça, casse-toi connasse" en est un reflet, lisez ceci :
Il n'est pas franchement répréhensible, dans la rue, qu'un homme se laisse surprendre par la beauté d'une femme et casse la bonne conduite d'abaisser le regard, mais alors il doit se rattraper très vite en livrant furtivement son hommage : un ou deux vers d'une poésie connue qui tombent alors comme la justification de cet écart de conduite ! Il est de bon ton que, sans le regarder la femme dise simplement " merci ".
Ce qui est fou, c'est que ce manuel de savoir-vivre reprend les propos de Soral sur l'impossibilité de la drague dans nos contrées. Aborder une fille en plein Paris est la garantie de se voir méprisé comme un gorille en rut.
Dans la culture arabe le corps féminin est par définition désirable, et le désir masculin son corollaire.
Dans notre pays les hommes s'occupent peu des enfants, en tout cas pas en public. Venir au bistrot ou à une IRL avec son garçon dans les bras vous classe entre fiotasse soumise et relâché du sphincter. En Égypte, j'ai vu les fumeurs de chicha avec leur enfant sur les genoux sans que cela semble remettre en cause leur virilité.
Dans ce registre, il est malséant de crier, très choquant de frapper quiconque, peu convenable de bouder. L'éducation des enfants se comprenait en trois phases : " Jusqu'à sept ans, protège-le, joue avec lui, après sept ans soit sévère si nécessaire (y compris la fessée), après quatorze ans, fraternise avec lui ".
Pour ceux qui seraient tenté de croire que la culture arabe de la sexualité se résume à la frustration, et que la succession "t'sais qu't'es bonne, toi" et "c'est ça, casse-toi connasse" en est un reflet, lisez ceci :
Il n'est pas franchement répréhensible, dans la rue, qu'un homme se laisse surprendre par la beauté d'une femme et casse la bonne conduite d'abaisser le regard, mais alors il doit se rattraper très vite en livrant furtivement son hommage : un ou deux vers d'une poésie connue qui tombent alors comme la justification de cet écart de conduite ! Il est de bon ton que, sans le regarder la femme dise simplement " merci ".
Ce qui est fou, c'est que ce manuel de savoir-vivre reprend les propos de Soral sur l'impossibilité de la drague dans nos contrées. Aborder une fille en plein Paris est la garantie de se voir méprisé comme un gorille en rut.
Dans la culture arabe le corps féminin est par définition désirable, et le désir masculin son corollaire.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bonheur et malheur, oui, mais dans la discrétion
Si l'on devait comparer les cultures françaises et arabes de l'érotisme, on pourrait dire que les rois de la rillette et du saucisson réunis sont au niveau "boum-boum dans ton cul" quand les arabes chantent le trouble d'une cheville entraperçue. On a bien la Princesse de Clèves ou le Roman de la Rose, mais au quotidien c'est plutôt Deepthroat Story.
Alors que notre compatriote en QI nous parfume de tant de rêves, de tant de désir, de robe vaporeuse, de longs cheveux noirs aux boucles flottantes, de regard, de cheville qui dépasse à peine, d'une épaule qui se laisse deviner, d'une courbe de plus, d'une poitrine ronde généreuse, un appel au plaisir.
L'érotisme est singulier. On ne se laisse pas troubler par les chevilles d'une femme, mais par une de ses chevilles. Deux, ce serait trop.
Dans la finesse d'une sensualité omniprésente, l'outrance est malvenue, le vulgaire est impossible. Cet esprit se prolonge dans l'expression de la douleur, ce qui ne facilite pas le travail des médecins. Mais plus encore que le malheur, c'est l'expression du bonheur qui est réservé aux femmes.
La joie, la vraie, s'exprime par le cri, dans la nourriture, les vêtements neufs ou la fête. Une femme pouvait exprimer son bonheur ou son déplaisir à son mari en se maquillant (rôle important du henné sur les mains et sur les pieds) ou en refusant de se maquiller et de " se faire belle ".
Les hommes s'expliquent difficilement, ils n'ont aucun code réel pour s'exprimer, ils fuient pour ne pas vexer, ne pas chagriner : la sagesse populaire n'approuve pas mais constate. Le bonheur est toujours fragile et celui qui ose exprimer sa joie ressent cela comme un acte de courage, une sorte de défi à la vie qui n'est jamais égale et toujours dangereuse.
Toujours j'apprécie ce sens merveilleux du respect de l'humain tel qu'il est, pas tel qu'il devrait être selon les normes psychologiques ou idéologiques d'une époque donnée.
Si l'on devait comparer les cultures françaises et arabes de l'érotisme, on pourrait dire que les rois de la rillette et du saucisson réunis sont au niveau "boum-boum dans ton cul" quand les arabes chantent le trouble d'une cheville entraperçue. On a bien la Princesse de Clèves ou le Roman de la Rose, mais au quotidien c'est plutôt Deepthroat Story.
Alors que notre compatriote en QI nous parfume de tant de rêves, de tant de désir, de robe vaporeuse, de longs cheveux noirs aux boucles flottantes, de regard, de cheville qui dépasse à peine, d'une épaule qui se laisse deviner, d'une courbe de plus, d'une poitrine ronde généreuse, un appel au plaisir.
L'érotisme est singulier. On ne se laisse pas troubler par les chevilles d'une femme, mais par une de ses chevilles. Deux, ce serait trop.
Dans la finesse d'une sensualité omniprésente, l'outrance est malvenue, le vulgaire est impossible. Cet esprit se prolonge dans l'expression de la douleur, ce qui ne facilite pas le travail des médecins. Mais plus encore que le malheur, c'est l'expression du bonheur qui est réservé aux femmes.
La joie, la vraie, s'exprime par le cri, dans la nourriture, les vêtements neufs ou la fête. Une femme pouvait exprimer son bonheur ou son déplaisir à son mari en se maquillant (rôle important du henné sur les mains et sur les pieds) ou en refusant de se maquiller et de " se faire belle ".
Les hommes s'expliquent difficilement, ils n'ont aucun code réel pour s'exprimer, ils fuient pour ne pas vexer, ne pas chagriner : la sagesse populaire n'approuve pas mais constate. Le bonheur est toujours fragile et celui qui ose exprimer sa joie ressent cela comme un acte de courage, une sorte de défi à la vie qui n'est jamais égale et toujours dangereuse.
Toujours j'apprécie ce sens merveilleux du respect de l'humain tel qu'il est, pas tel qu'il devrait être selon les normes psychologiques ou idéologiques d'une époque donnée.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nature et culture, certes, mais écriture et culture, j'aime. Et quand la culture transparaît en quelques lignes, je trouve que le monde est plus beau. Le chant du monde dirait Giono. Vous ne trouvez pas qu'elle écrit bien notre compatriote en QI ?
Bon allez les filles, toutes en stage à Marrakech, apprenez à parler, apprenez à masquer, les talons vertiges et les bas couture ne valent rien sans la pudeur et la discrétion, sans un pas féminin. Je n'en peux plus de cet érotisme de bulldozer. Apprenons à ne pas nommer, à ne pas avoir besoin de nommer.
Vous comprenez mieux pourquoi une jeune femme dont on "casse les couilles" peut me foutre sa chatte sous le nez, elle me fera autant d'effet qu'un grille-pain sur le plan érotique. Vous comprenez pourquoi l'érotisme commence par la délicatesse dans l'expression, écrite ou verbale, dans une certaine retenue, dans la manière de manger, de se coiffer, de se vêtir.
Sales arabes !
Bon allez les filles, toutes en stage à Marrakech, apprenez à parler, apprenez à masquer, les talons vertiges et les bas couture ne valent rien sans la pudeur et la discrétion, sans un pas féminin. Je n'en peux plus de cet érotisme de bulldozer. Apprenons à ne pas nommer, à ne pas avoir besoin de nommer.
Vous comprenez mieux pourquoi une jeune femme dont on "casse les couilles" peut me foutre sa chatte sous le nez, elle me fera autant d'effet qu'un grille-pain sur le plan érotique. Vous comprenez pourquoi l'érotisme commence par la délicatesse dans l'expression, écrite ou verbale, dans une certaine retenue, dans la manière de manger, de se coiffer, de se vêtir.
Sales arabes !
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bordel de merde, faut que les femmes proutent librement, vains dieux!
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je suis capable d'écrire trois pages sur la volupté sensuelle d'un pet, assedicman, et toi ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
La purée Muslim
J'adooorrre quand je ne comprends rien, c'est tout un champ de possibles qui s'offre.
Et je sentais que quelque chose m'échappait complètement dans les échanges que je pouvais avoir avec Jordan Suli. J'en étais arrivé à la conclusion que nos mails étaient inutiles, deux langages, deux approches trop différentes pour pouvoir s'enrichir mutuellement. J'adore découvrir, mais ça tournait trop en rond.
Jusqu'à ce que je réalise l'importance pour elle du regard des autres, de l'opinion des autres. Et par réflexivité j'ai fini par comprendre qu'elle me croyait perméable à ses avis.
Et pourtant, ce n'est pas faute de lui avoir expliquer. Pour moi, la place dans l'univers de ce que pense Jordan Suli se résume à la réalité suivante : c'est ce que pense Jordan Suli. Si elle pense que je suis un gros connard ou un génie, je ne retiens qu'une chose : voici l'avis de Jordan Suli. Et ceci ne change rien à ma réalité. Je suis ce que je suis, ce que pense Jordan Suli la définie elle, pas moi.
Il m'a fallu du temps pour réaliser que ce mode de pensée n'était pas le modèle dominant. Que beaucoup de personnes sont vulnérables à l'avis des autres, à un point tel qu'ils se sentent agressées ou mis en cause par des avis extérieurs.
Je dois constituer un des derniers modèles paranoïaques à tendance indéboulonnable, mais l'avis des autres ne définira jamais ma réalité, elle vaut ce qu'elle vaut, mais c'est la mienne. Et comme je n'en ai qu'une, j'y suis très attachée. Et si elle est médiocre, je ferais avec.
Je crois que c'est là que je coinçais, je pensais que chacun accordait la même valeur à sa vie, sa manière de voir la vie, ses goûts, ses besoins, c'est-à-dire le point central de ce qui était important pour lui. Les avis des autres ne sont que les avis des autres. Pas plus.
Si je préfère manger de la purée Mousline, un gastronome pourra m'expliquer pendant des heures la piètre qualité gustative, je l'écouterais religieusement, car il est toujours plaisant de suivre un passionné, cela ne m'empêchera jamais de préférer la purée Mousline. Qu'il s'agisse d'un produit industriel, que les qualités gustatives d'un produit lyophilisé ne respecteront jamais parfaitement celles d'un produit frais, je n'en disconviendrais pas, j'admettrais raisonnablement la qualité de la démonstration, je ne suis pas un con. Mais le soir je me ferais de la Mousline. Pas par conviction, mais parce que c'est ce que je préfère.
J'adooorrre quand je ne comprends rien, c'est tout un champ de possibles qui s'offre.
Et je sentais que quelque chose m'échappait complètement dans les échanges que je pouvais avoir avec Jordan Suli. J'en étais arrivé à la conclusion que nos mails étaient inutiles, deux langages, deux approches trop différentes pour pouvoir s'enrichir mutuellement. J'adore découvrir, mais ça tournait trop en rond.
Jusqu'à ce que je réalise l'importance pour elle du regard des autres, de l'opinion des autres. Et par réflexivité j'ai fini par comprendre qu'elle me croyait perméable à ses avis.
Et pourtant, ce n'est pas faute de lui avoir expliquer. Pour moi, la place dans l'univers de ce que pense Jordan Suli se résume à la réalité suivante : c'est ce que pense Jordan Suli. Si elle pense que je suis un gros connard ou un génie, je ne retiens qu'une chose : voici l'avis de Jordan Suli. Et ceci ne change rien à ma réalité. Je suis ce que je suis, ce que pense Jordan Suli la définie elle, pas moi.
Il m'a fallu du temps pour réaliser que ce mode de pensée n'était pas le modèle dominant. Que beaucoup de personnes sont vulnérables à l'avis des autres, à un point tel qu'ils se sentent agressées ou mis en cause par des avis extérieurs.
Je dois constituer un des derniers modèles paranoïaques à tendance indéboulonnable, mais l'avis des autres ne définira jamais ma réalité, elle vaut ce qu'elle vaut, mais c'est la mienne. Et comme je n'en ai qu'une, j'y suis très attachée. Et si elle est médiocre, je ferais avec.
Je crois que c'est là que je coinçais, je pensais que chacun accordait la même valeur à sa vie, sa manière de voir la vie, ses goûts, ses besoins, c'est-à-dire le point central de ce qui était important pour lui. Les avis des autres ne sont que les avis des autres. Pas plus.
Si je préfère manger de la purée Mousline, un gastronome pourra m'expliquer pendant des heures la piètre qualité gustative, je l'écouterais religieusement, car il est toujours plaisant de suivre un passionné, cela ne m'empêchera jamais de préférer la purée Mousline. Qu'il s'agisse d'un produit industriel, que les qualités gustatives d'un produit lyophilisé ne respecteront jamais parfaitement celles d'un produit frais, je n'en disconviendrais pas, j'admettrais raisonnablement la qualité de la démonstration, je ne suis pas un con. Mais le soir je me ferais de la Mousline. Pas par conviction, mais parce que c'est ce que je préfère.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Khol. Pas Helmut, just Khol.
C'est inconcevable pour moi qu'une personne qui adore le vulgaire, qui est heureuse avec le vulgaire, se sente mise en cause si j'évoque le bonheur du raffinement.
L'inverse est aussi vrai. J'adore les maquillages outranciés, j'aime l'évoquer, j'aime me vautrer dans mon attraction pour le vulgaire, les lèvres éclatantes et les trois centimères d'épaisseur de fond de teint. Jamais, jamais, je n'ai pu supposer que mon attirance pour l'excès de fard puisse constituer en quoi que ce soit un avis, une recommandation, une opinion.
C'est pourquoi je baigne dans un lac d'incompréhension si quelqu'un vient m'expliquer qu'il ou elle trouve vulgaire ces fards outrageants. Ben, oui, je le sais très bien, je suis le premier à le reconnaitre et à m'en amuser. Pourquoi le fait que vous n'aimiez pas ça devrait-il modifier ma réalité ? Que vous trouviez que cela fasse cliché, oui, évidemment, que cela corresponde à un stéréotype, oui, bien sur, que cela relève d'un fétichisme de bas étage, je suis le premier à le reconnaitre, c'est bien pour cela que j'adore vous le raconter.
Mais si vous cherchez à me convaincre d'abandonner mon attirance pour les lèvres carminées et le khol étalé, là vous commencez sérieusement à me gonfler, de quoi vous mêlez-vous ? J'aime ça, c'est nul, c'est vulgaire, c'est facile, oui, oui, oui. Mais si Numero6 aime le vulgaire, en quoi cela vous pose-t-il problème ? Je ne définis rien, je ne publie pas de décret, je n'oblige personne à se maquiller ainsi, je ne délivre pas de notice à celle qui voudrait me plaire, je goute au plaisir intense d'aimer ce que j'aime. Et plus c'est con, plus j'aime vous le raconter, il ne me viendrait pas à l'esprit de vous offrir la litanie de mes gouts communs et politiquement corrects.
Pour résumer, ce que j'aime restera toujours plus important pour moi que ce qu'en pense les autres.
L'avantage d'être vieux c'est le retour d'expérience. Or, il est évident qu'il vaut toujours mieux privilégier ce qu'on aime, car le temps finit toujours par vous donner raison. La morale et l'éthique d'une époque changent vite.
Ceux qui en conlueront que je ne saurais jamais aimer une femme sans maquillage sont des cons. Mais j'espère que vous l'avez déjà compris.
C'est inconcevable pour moi qu'une personne qui adore le vulgaire, qui est heureuse avec le vulgaire, se sente mise en cause si j'évoque le bonheur du raffinement.
L'inverse est aussi vrai. J'adore les maquillages outranciés, j'aime l'évoquer, j'aime me vautrer dans mon attraction pour le vulgaire, les lèvres éclatantes et les trois centimères d'épaisseur de fond de teint. Jamais, jamais, je n'ai pu supposer que mon attirance pour l'excès de fard puisse constituer en quoi que ce soit un avis, une recommandation, une opinion.
C'est pourquoi je baigne dans un lac d'incompréhension si quelqu'un vient m'expliquer qu'il ou elle trouve vulgaire ces fards outrageants. Ben, oui, je le sais très bien, je suis le premier à le reconnaitre et à m'en amuser. Pourquoi le fait que vous n'aimiez pas ça devrait-il modifier ma réalité ? Que vous trouviez que cela fasse cliché, oui, évidemment, que cela corresponde à un stéréotype, oui, bien sur, que cela relève d'un fétichisme de bas étage, je suis le premier à le reconnaitre, c'est bien pour cela que j'adore vous le raconter.
Mais si vous cherchez à me convaincre d'abandonner mon attirance pour les lèvres carminées et le khol étalé, là vous commencez sérieusement à me gonfler, de quoi vous mêlez-vous ? J'aime ça, c'est nul, c'est vulgaire, c'est facile, oui, oui, oui. Mais si Numero6 aime le vulgaire, en quoi cela vous pose-t-il problème ? Je ne définis rien, je ne publie pas de décret, je n'oblige personne à se maquiller ainsi, je ne délivre pas de notice à celle qui voudrait me plaire, je goute au plaisir intense d'aimer ce que j'aime. Et plus c'est con, plus j'aime vous le raconter, il ne me viendrait pas à l'esprit de vous offrir la litanie de mes gouts communs et politiquement corrects.
Pour résumer, ce que j'aime restera toujours plus important pour moi que ce qu'en pense les autres.
L'avantage d'être vieux c'est le retour d'expérience. Or, il est évident qu'il vaut toujours mieux privilégier ce qu'on aime, car le temps finit toujours par vous donner raison. La morale et l'éthique d'une époque changent vite.
Ceux qui en conlueront que je ne saurais jamais aimer une femme sans maquillage sont des cons. Mais j'espère que vous l'avez déjà compris.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Merci Numero6 pour ce que tu as écrit sur la femme arabe, j'en reviens pas que tu connaisses autant de chose à ce sujet
- Number6:
- sois gentil, ne me traite pas de blédard s'il te plaît
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ah ben j'ai bien aimé te lire, pour une fois, pas sur les arabes je sais pas quoi en haut, des racontars rassis tout ça,
mais sur son goût, sa pensée, l'opinion personnelle qui emmerde celle d'autrui,
mais bien sûr qu'est-ce tu veux que ça te fiche que je te le dise...
Patate est rassurée, à un moment elle a cru t'avais viré ta cuti et n'appréciais désormais que l'évocation subtile et voilée...
mais sur son goût, sa pensée, l'opinion personnelle qui emmerde celle d'autrui,
mais bien sûr qu'est-ce tu veux que ça te fiche que je te le dise...
Patate est rassurée, à un moment elle a cru t'avais viré ta cuti et n'appréciais désormais que l'évocation subtile et voilée...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mais j'ai horreur de la Mousseline !
Je suis en train de me rendre compte qu'à trop adapter mon discours à l'autre, je perd au passage ce qui est le plus intéressant dans ma petite tête, et qu'à force de distordre ma réalité pour la rendre compréhensible, elle devient inaudible.
J'ai tellement l'habitude qu'on ne comprenne pas ce que je dis. Je vais voir si je suis capable d'établir un lien plus direct entre ce que je pense et ce que j'écris.
Sans toi Jordan, je n'aurais pas mis le doigt sur ce truc, j'ai l'impression que le destin t'a mis sur ma route pour me montrer à quel point il est difficile de se faire comprendre quand on multiplie les images et les ambiances. Ta manie de tout prendre au pied de la lettre finit pas me faire réfléchir.
C'est assez angoissant pour moi de dire les choses simplement, j'ai besoin de multiples paravents. Et toi tu ne vois que les paravents. Tu es un véritable challenge.
@Offset, désolé pour le blédard, je croyais que ce mot évoquait une forme de communauté, dans le sens de complicité.
Je suis en train de me rendre compte qu'à trop adapter mon discours à l'autre, je perd au passage ce qui est le plus intéressant dans ma petite tête, et qu'à force de distordre ma réalité pour la rendre compréhensible, elle devient inaudible.
J'ai tellement l'habitude qu'on ne comprenne pas ce que je dis. Je vais voir si je suis capable d'établir un lien plus direct entre ce que je pense et ce que j'écris.
Sans toi Jordan, je n'aurais pas mis le doigt sur ce truc, j'ai l'impression que le destin t'a mis sur ma route pour me montrer à quel point il est difficile de se faire comprendre quand on multiplie les images et les ambiances. Ta manie de tout prendre au pied de la lettre finit pas me faire réfléchir.
C'est assez angoissant pour moi de dire les choses simplement, j'ai besoin de multiples paravents. Et toi tu ne vois que les paravents. Tu es un véritable challenge.
@Offset, désolé pour le blédard, je croyais que ce mot évoquait une forme de communauté, dans le sens de complicité.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
Pour résumer, ce que j'aime restera toujours plus important pour moi que ce qu'en pense les autres.
L'avantage d'être vieux c'est le retour d'expérience. Or, il est évident qu'il vaut toujours mieux privilégier ce qu'on aime, car le temps finit toujours par vous donner raison. La morale et l'éthique d'une époque changent vite.
Pourquoi se poser tant de questions puisque tu connais la réponse ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
@Offset, désolé pour le blédard, je croyais que ce mot évoquait une forme de communauté, dans le sens de complicité.
Malheureusement ce "nom" n'évoque pas du tout une complicité loin de là, ceux qui viennent du bled sont très critiqués alors que la plupart sont cultivés et civilisés.
Appelle moi Blédine si tu veux c'est plus doux à l'oreille
http://fr.wiktionary.org/wiki/bl%C3%A9dard
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moaï, Uccen a écrit:Nan mais je savais déjà,
juste moi je suis plus pudique que toi (la preuve, je le dis).
Y a pas à m'envier,
je suis un sale vieux con réac depuis que je suis né, et j'ai pas même ton âge.
Ici donc je ne fais que sentir un peu les relents de mes flatulences et banals rots,
quand lorsque je m'adresse à quelqu’un (pas ici donc, ici on ne s'adresse à personne si ce n'est la cantonade et encore),
en mp par exemple, je m'adapte peu ou prou à la personne qui communique avec moi, me mettant à son niveau et essayant de dire ce qu'elle aimerait, à peu près, selon mon entendement.
c'est bien pour ça que t'es encore ici mon gars
goer- Messages : 37
Date d'inscription : 31/10/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est pour ça que je demande pas d'autoban, trop la honte (ah mais tu dois pas connaître...)..
Nan mais moi contrairement aux déçus, j'ai rien à dire et n'attends rien,
désolé de ta foi en l'homme.
Nan mais moi contrairement aux déçus, j'ai rien à dire et n'attends rien,
désolé de ta foi en l'homme.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les enfants, je crois qu'on vient d'en toucher une vraie.
Oser dire que ses chevilles enflent quand on la félicite sur ses capacités, rien que ça me la rend sympathique.
https://www.zebrascrossing.net/t18840-j-ai-un-qi-superieur-a-130-mais-j-ai-du-mal-a-me-reconnaitre-comme-surdouee
Chacal, tu voudrais pas lui faire ton grand numéro de séducteur, j'ai peur qu'elle ne reste pas.
Oser dire que ses chevilles enflent quand on la félicite sur ses capacités, rien que ça me la rend sympathique.
https://www.zebrascrossing.net/t18840-j-ai-un-qi-superieur-a-130-mais-j-ai-du-mal-a-me-reconnaitre-comme-surdouee
Chacal, tu voudrais pas lui faire ton grand numéro de séducteur, j'ai peur qu'elle ne reste pas.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nan moi les chiffres, les indices, disparités d'indices, tout ça m'intéresse autant que le nasdaq.
En même temps elle relate son attrait pour les agates et calots, même pas sûr ça existe encore et j'étais une bille à ces jeux je ne conservais ni essences ni galaxies, alors chuis mitigé.
Les chevilles qui enflent, j'aime bien, mais qu'au figuré.
Et pis j'ai plus 17 ans, j'ai pas le droit de lui parler,
je suis pas un vieux satyre moi j'ai des principes.
En même temps elle relate son attrait pour les agates et calots, même pas sûr ça existe encore et j'étais une bille à ces jeux je ne conservais ni essences ni galaxies, alors chuis mitigé.
Les chevilles qui enflent, j'aime bien, mais qu'au figuré.
Et pis j'ai plus 17 ans, j'ai pas le droit de lui parler,
je suis pas un vieux satyre moi j'ai des principes.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
http://www.gauche-rencontre.com/index.php?gclid=CNnmyqG68MECFYLHtAodaToAiA
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Super Mepub, maintenant je sais que je suis de droite ,rien qu'en comparant la photo de "Droite Rencontre"
à celle de "Gauche Rencontre"
à celle de "Gauche Rencontre"
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Patate a écrit:Pourquoi se poser tant de questions puisque tu connais la réponse ?
Excellente question. Parce qu'il y a deux jours je ne la connaissais pas la réponse, je me croyais très influençable, beaucoup trop perméable aux opinions des autres.
Alors je raisonnais sur ce postulat. J'ai toujours l'impression que les autres sont plus affirmatifs dans leurs énoncés, c'est pour ça que j'ai tendance à rentrer dans le lard des gens. Je croyais que c'était le seul moyen de m'en sortir.
Ce que je ne savais pas, c'est que je me trompais complètement. Je n'arrivais pas à envisager par exemple que Jordan soit aussi sensible au regard des autres. J'en ai beaucoup discuté, il semble que cela soit l'attitude la plus répandue et comme dirait Catman, ça me troue le cul.
Comme j'ai découvert que des gens viennent chercher leur identité sur les réseaux sociaux (comment vouliez-vous que je puisse imaginer un truc pareil ?), je finis par comprendre pourquoi autant de zèbres sur ZC se sentent meurtris par les propos d'un inconnu virtuel, je n'arrivais pas à concevoir que l'on puisse être aussi sensible à l'avis des autres.
Honnêtement, ça me fait très peur. D'abord de constater que je peux blesser quelqu'un sans le vouloir, alors que ce quelqu'un pourrait tout simplement ne pas me lire pour se mettre à l'abri. Ensuite de constater l'insondable dépendance identitaire qui me fait encore plus peur. Si les gens ne savent pas qui ils sont, le premier mariole venu pourrait les manipuler sans problème.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
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