Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Une femme, elle s'en fout, ça glisse sur elle comme l'eau sur une plume de canard, immunisée par la perfidie quotidienne de ses congénères. Elle s'en fout, elle s'en contrefout, de toute façon elle sait qu'elle a raison. Même chargée en testostérone, elle ne ressentirait jamais cette envie de détruire, c'est violent, ça monte des reins en quelques secondes. Vous ne vous imaginez pas les trésors d'énergie que nous déployons pour ne pas vous étrangler quand vous nous donnez tort en public. Pour nous c'est une déclaration de guerre, l'affront qui ne part pas au lavage, même à 60 °.
L'énorme différence qui me sépare du féminin, c'est ma réaction brutale à l'affrontement direct, c'est incontrôlable, j'ai l'impression de me transformer en dos argenté, j'ai envie de détruire. Faut jamais affronter un mec en full frontal, faut jamais lui montrer qu'il a tort, ça réveille des instincts guerriers, le besoin de génocide, le pal sinon rien.
Je pense que je comprends, chacun d'entre nous peut comprendre ce qui est exprimé.
L'un des "socles" de base, lors des échanges relationnels avec les autres me semble la "prise de soin, la précaution" de l'autre, de ce qu'il est et de ne jamais alimenter les "différences divergentes" ou ce que NOUS considérons comme une erreur ou une bêtise, en "public", cela accentue la réaction de la personne interpellée ; cela me semble quelque peu "incorrect" inconscient ce type de comportement.
Cela s'apprend le contrôle du besoin de "contredire, rectifier, avoir gain de cause, avoir raison..." ; la fameuse notion de degré, de dosage et surtout de prise en considération de l'autre.
Je ne sais pas si les femmes plus "tempérées", peut-être...j'en ai rencontrées certaines qui ne supportent pas que l'on remette en question leur angle de vision ; ces dernières semblent hermétiques à la "remise en question"...
Lorsque nous avons tort, lorsque nous "sortons" un peu de nos gonds ; nous le savons, immédiatement, nous le ressentons directement, alors bien sûr, l'accent mis sur notre "dérapage" engendre parfois des réactions en chaîne...
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Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je l'avais bien compris, tu sais...mais je l'avoue, j'apprécie de te "taquiner" de temps en temps ; car oui, je t'apprécie bien, sans te connaître ; tes analyses sont redoutables...je ne m'y frotte donc pas, mais j'en admire les "roses" de toutes les couleurs.Cygne, non mais en fait c'était pour alléger le propos, je le trouvais un peu trop sentencieux. Un peu d'auto-dérision m'a paru utile.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kondomm, je peux faire lire ton texte à ma compagne, j'ai beau lui dire, mais quand ça vient de moi, elle en fait une affaire personnelle !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ainsi la femme dit à l'homme : "tu vois la poussière, là ?" Et l'homme répond invariablement : "de la poussière, où ça ?"...
Faudrait que je te présente une copine.
Tu as oublié de préciser la longueur des pieds, nous sommes trop loin de l'évier pour nous montrer efficients à la vaisselle.
J'ai été conditionné comme tout le monde au discours féministe, la double journée de travail.
Jusqu'à tomber sur la bible du déconditionnement, l'homme subjugué, d'Esther Villard. Écrit par un homme, j'aurais trouvé tout ça grotesque. Le chapitre où elle décrit la passion féminine pour l'entretien d'un intérieur a fait s'écrouler un pan entier de mes croyances. Elles adorent ça ! Et nous le vendent comme un sacrifice. Elles ont inventé le marketing avant les amerloques.
Ceci dit tout évolue, faudrait que je te présente une copine.
J'ai l'impression qu'il existe un changement profond des mentalités. Je me demande si, hommes et femmes, nous ne perdons pas progressivement le gout de faire, le plaisir de faire, la bienheureuse satisfaction d'avoir fait.
J'ai l'impression que de plus en plus nous attendons d'être satisfaits, nourris. La gratification ne vient plus de nous, nous l'attendons de l'extérieur, aboutissement du statut de consommateur. Je pense qu'il existe un véritable émoussement de la capacité à tirer plaisir de nos actes, à les constater et à s'en montrer fiers.
Je crois que ça ne nous fait plus aucun effet.
Les femmes capables de s'avouer qu'elles adorent s'occuper d'un intérieur deviennent rarissimes. Et je crois qu'effectivement elles n'en ont plus rien à foutre, elles n'en tirent plus aucun plaisir.
Je me demande si la propagande destinée aux mecs ne finit pas par les atteindre. A force de nous répéter à quel point elles ont bien du mérite à se taper le ménage, à quel point c'est pénible, je me demande si elles n'ont pas fini par croire à leur propre propagande. Jusqu'à totalement oublier qu'elles adoraient ça.
Le plaisir de tenir un intérieur a fait place aux caprices languides de la préférée du harem, l'index sur le smartphone, pute à like qui se morfond entre deux pouces bleus. La gratification ne vient plus que de l'extérieur.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben la mienne, depuis qu'elle est mère, faut voir comment qu'elle astique le nid, par contre la vaisselle et le linge, c'est pas son truc, ch'uis bien meilleur !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et si je te disais que je fais partie de celles-là :!!!! Pas dans la rareté, mais j'adore prendre soin de mon petit nid....tout simplement parce que je ne sais pas faire autrement ; en m'occupant de mon intérieur "matérialisé objetisé" je chouchoute mon autre "intérieur, mon bien-être".Les femmes capables de s'avouer qu'elles adorent s'occuper d'un intérieur deviennent rarissimes. Et je crois qu'effectivement elles n'en ont plus rien à foutre, elles n'en tirent plus aucun plaisir.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nr6, je suppose que tu t'es déjà retrouvé dans une guerre entre femmes. et ça m'étonnerais que tu ne sois pas d'accord.
Autant les mecs se tapent sur la gueule de manière franche et directe, autant la violence féminine est redoutable.
Perso je la trouve bien plus terrible.
Et si une femme accepte d'avoir tort face à un mec, en se disant "cause toujours mon cher", autant face à une autre femme, ouille!...
et ça y va, et ça envoie, pas besoin de sortir les poings ^^
Kondom, j'adore ton texte, je peux te le piquer?
j'ai bien ri ^^
Je crois que je me retrouve plus dans l'analyse de la femme moderne de Nr6, à moins que ça soit encore mon côté masculin qui joue, ou bien le côté zèbre, si ça existe, j'en sais rien, ce qui est certain, c'est qu'astiquer la maison, c'est pas mon truc.
Par contre, les box des chevaux sont nickels, ma sellerie impeccable, et les bourriques idem
Autant les mecs se tapent sur la gueule de manière franche et directe, autant la violence féminine est redoutable.
Perso je la trouve bien plus terrible.
Et si une femme accepte d'avoir tort face à un mec, en se disant "cause toujours mon cher", autant face à une autre femme, ouille!...
et ça y va, et ça envoie, pas besoin de sortir les poings ^^
Kondom, j'adore ton texte, je peux te le piquer?
j'ai bien ri ^^
Je crois que je me retrouve plus dans l'analyse de la femme moderne de Nr6, à moins que ça soit encore mon côté masculin qui joue, ou bien le côté zèbre, si ça existe, j'en sais rien, ce qui est certain, c'est qu'astiquer la maison, c'est pas mon truc.
Par contre, les box des chevaux sont nickels, ma sellerie impeccable, et les bourriques idem
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Qui ménage sa monture va loin, @ Chuna 56 et Cygne Ethéréa !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je pense acheter un aspirateur robo, ca fait de moi une femme objet ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les sioux disaient des oiseaux qu'ils avaient la même religion qu'eux, car eux aussi leurs maisons étaient rondes.
@Grand Schtroumpf
Fais lui plaisir j'assume qu'un 5ième des propos surtout vers la fin, le reste est effectivement entre deux pouces bleus et en dessous, y a deux myrtilles à la salsepareille en cas d'assombrissement spontané et soudain du teint de Madame Banner.
@ N°6
Tu soulèves encore une fois le point vernal de la triangulaire de l'érection pestilentielle passé présente et à venir, confier à d'autres ce qui devrait être le fruit de nous-même.
Mais bon c'est toujours pareil l'illusion du demain, ça ne fait avancer que les oiseux au pas pour les ranger au cordeau.
Ceci dit, si tu tiens tant à me présenter une copine, la place est libre mais ça serait bienvenue de sa part qu'elle vienne avec sa chaise.
C'est pour faciliter le retour .
@Grand Schtroumpf
Fais lui plaisir j'assume qu'un 5ième des propos surtout vers la fin, le reste est effectivement entre deux pouces bleus et en dessous, y a deux myrtilles à la salsepareille en cas d'assombrissement spontané et soudain du teint de Madame Banner.
@ N°6
Tu soulèves encore une fois le point vernal de la triangulaire de l'érection pestilentielle passé présente et à venir, confier à d'autres ce qui devrait être le fruit de nous-même.
Mais bon c'est toujours pareil l'illusion du demain, ça ne fait avancer que les oiseux au pas pour les ranger au cordeau.
Ceci dit, si tu tiens tant à me présenter une copine, la place est libre mais ça serait bienvenue de sa part qu'elle vienne avec sa chaise.
C'est pour faciliter le retour .
Kondomm- Messages : 899
Date d'inscription : 21/01/2014
Age : 47
Localisation : ;●) Grand Rouveau ou à côté.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Par contre, les box des chevaux sont nickels, ma sellerie impeccable, et les bourriques idem
J'ai appris qu'il existait deux sortes de femmes qui échappent à toutes les considérations classiques ou pas classiques : les danseuses et les cavalières.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pola a écrit:Je pense acheter un aspirateur robo, ca fait de moi une femme objet ?
Mieux !
Un pote à condition que tu le ramènes en plus des bières...
Kondomm- Messages : 899
Date d'inscription : 21/01/2014
Age : 47
Localisation : ;●) Grand Rouveau ou à côté.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kondomm a écrit:Tu soulèves encore une fois le point vernal de la triangulaire de l'érection pestilentielle passé présente et à venir, confier à d'autres ce qui devrait être le fruit de nous-même.
Je m'inscris en faux, j'adore savoir que mes érections sont femelles-dépendantes.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ça me bouleverse ce regard et ces quelques mots "qu'est ce que tu aimes vraiment faire ?"
Pfff, trop beau
Pfff, trop beau
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Prends plutôt un modèle bobo. Plus tendance.Pola a écrit:Je pense acheter un aspirateur robo, ca fait de moi une femme objet ?
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
A l'emporte-pièce
D'une manière directe, nette et franche
Origine
Au début du XVIIe siècle, on parlait de "cautère emporte-pièce" pour désigner un objet tranchant destiné à être chauffé au rouge pour brûler les tissus et cautériser les blessures.
Et c'est le côté tranchant qui est important ici, car aujourd'hui, un emporte-pièce () est un instrument d'acier tranchant ayant une forme bien précise qui permet de découper d'un seul coup des morceaux d'un produit généralement tendre (carton, cuir, tissu, pâte...) ayant les contours de l'emporte-pièce.
C'est de cette faculté de trancher net quelque chose qu'est née, dès le début du XVIIIe siècle, la métaphore qui assimilait l'emporte-pièce à des "propos mordants", notre expression n'étant apparue qu'au milieu du XIXe.
Par extension, elle s'applique aussi pour désigner des manières brutales ("très tranchantes"), sans finesse.
D'une manière directe, nette et franche
D'une manière mordante, incisive
Brutalement, sans tact, sans finesse
OrigineAu début du XVIIe siècle, on parlait de "cautère emporte-pièce" pour désigner un objet tranchant destiné à être chauffé au rouge pour brûler les tissus et cautériser les blessures.
Et c'est le côté tranchant qui est important ici, car aujourd'hui, un emporte-pièce () est un instrument d'acier tranchant ayant une forme bien précise qui permet de découper d'un seul coup des morceaux d'un produit généralement tendre (carton, cuir, tissu, pâte...) ayant les contours de l'emporte-pièce.
C'est de cette faculté de trancher net quelque chose qu'est née, dès le début du XVIIIe siècle, la métaphore qui assimilait l'emporte-pièce à des "propos mordants", notre expression n'étant apparue qu'au milieu du XIXe.
Par extension, elle s'applique aussi pour désigner des manières brutales ("très tranchantes"), sans finesse.
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon, tant que c'est pas interdit, j'en profite.
C'est au sujet des femmes au pouvoir, je trouve que c'est dangereux. Donc, fessée.
Un peu de Trump, beaucoup d'Hillary, la tarée de Wall Street.
Et malheureusement très peu de sexe, finalement faire c'est pas plus con que d'en parler. On peut débattre.
- Titre:
- Je ne sais pas si les femmes plus "tempérées", peut-être...j'en ai rencontrées certaines qui ne supportent pas que l'on remette en question leur angle de vision ; ces dernières semblent hermétiques à la "remise en question"...
On a réussi à désarmer les hommes. Ça tombe très bien, ça arrange tout le monde. Pour remplir un tableur et se soumettre à sa chef de service, vaut mieux du castré. T'imaginerais un primitif hurlant qui t'enverrait ton putain de process à la gueule au prétexte qu'il est complètement crétin et impossible à respecter ? Non, de l’eunuque, de l’eunuque, et encore de l’eunuque. Un peu de Ritaline ne nuit pas.
Légalement, il est devenu criminel de gifler une femme, même si elle vous pourrit la vie avec son agressivité et sa vulgarité permanente, même si elle vous donne la nausée de tant de bassesse, même si elle vous détruit psychologiquement.
Insulter la pire des garces est le meilleur moyen de perdre son job, de se faire cracher dessus sur les commentaires Youtube en cas de captation de l'outrage.
Au mieux on baisse son froc pour se flageller, on se frappe la poitrine, moment d'égarement, j'aime les femmes, toutes les femmes, je leur dois la vie, surtout maman, qui est une sainte. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je suis désolé, je présente mes excuses à toutes ces merveilleuses femmes qui ont fait de nous les hommes que nous sommes.
J'ai beaucoup regardé les débats entre Trump et Clinton. C'est assez étonnant. Le choix ne se fait pas entre Démocrates et Républicains, c'est le choix entre papa et maman.
Hillary ment comme une arracheuse de dents, et ça ne lui pose aucun problème. Mais maman est une sainte, d'ailleurs elle le dit elle-même. Je suis très impressionné, elle utilise les vérités comme les mensonges, c'est manifestement interchangeable, le bien et le mal, le vrai et le faux, tout ça c'est kif-kif bourricot.
Les seuls moments où elle décoche son sourire de débile hystérique c'est lorsque Trump évoque sa possible défaite, ça la rend dingue. La morale ne veut rien dire pour elle, seule sa victoire et sa gloire méritent l'attention. Les accusations de mensonge ne lui pose aucun problème. Good game. Elle ne lève pas un sourcil.
Elle est très impressionnante, ne se laisse jamais démonter, enchaîne coups pour coups, n'hésite pas une seule seconde à taper très en dessous de la ceinture. Elle veut le pouvoir, elle mérite le pouvoir, elle n'a aucune morale, elle dit ce qu'il faut dire, même si c'est absolument odieux, infâme.
Elle dit ce qu'il faut dire pour atteindre le pouvoir, comme une élève bien sage qui récite sa leçon. Elle ne croit en rien, elle n'a aucune idée. Elle semble totalement étrangère à la moindre pudeur, à la moindre hésitation morale, elle ne semble se soucier que de l'efficacité de ses propos.
Beyonce et Hillary Clinton, les deux idoles du rêve américain à la sauce femelle, les deux plus beaux miroirs dans lesquels les ricaines aiment se mirer. Une pute obscène et une cynique hystérique, bourrées de pognons, dominantes. Seule la victoire est belle.
A coté d'elle Trump semble un puritain moraliste, ce vieux cabot. Il sait qu'il n'a pas le droit de baver sur une femme, il sait qu'il doit flatter son épouse, il sait qu'il risque son élection si Hillary réussit à faire passer le message qu'il méprise les femmes. Aucun écart ne lui sera accordé. Une phrase de trop et il est mort.
Ce type est un génie absolu. Il a réussi l'exploit de faire voler en éclat la tyrannie du politiquement correct. Il a osé dire d'une obèse qu'elle était grosse. Une vraie bombe, une audace inouïe, les téléspectateurs ont regardé la grosse truie qui menait son talk-show depuis des années, et ils ont osé penser : « tiens, oui, c'est vrai qu'elle est grosse ».
Démonter le politiquement correct c'est ça, dire les choses, simplement les dire. C'est du vitriol.
Malgré tout ça, il est extrêmement prudent, il balance du « beautiful person » dés qu'il parle d'une femme. Il s'excuse platement pour avoir déconner sur les courbes généreuses d'une journaliste quand il pensait que personne ne l'entendait, à l'arrière d'un bus.
C'est injuste, c'est absolument injuste, elle ne pouvait pas être offensée, elle ne pouvait pas l'entendre.
Mais il sait que ça peut choquer, et même si c'est injuste et débile, il présente ses excuses.
Hillary en est totalement incapable.
Elle est capable de remettre sur le tapis des propos de Trump vieux de plus de dix ans, de la gaudriole entre mecs à l'arrière d'un bus et un micro qui traîne.
Trump vient de lui rappeler ses agressions verbales et juridiques des victimes violées par son mari, lorsqu'elles celles-ci avaient le malheur de porter plainte contre ce psychopathe.
Elle n'a absolument aucun sens moral, aucun. Sinon comment pourrait-elle sembler convaincue qu'une gauloiserie ait le moindre poids en regard des plusieurs viols de Bill Clinton.
Elle est là, elle répète, elle veut faire tomber la tête de Trump dans la corbeille, parce qu'il a dit en ses termes à lui qu'une journaliste était bien gaulée.
L'indécence de la comparaison ne l'arrête pas une seule seconde.
Comme si elle n'était responsable de rien, comme si le maintien de son bien-être intérieur justifiait ses mensonges à répétition. Elle est totalement amputée de la honte. Elle ne fait pas la différence entre une connerie échangée entre mecs à l'arrière d'un bus et des destins de jeunes femmes brisés par un viol.
Vous croyez qu'elle fait la différence ? Vous croyez qu'elle n'a pas le choix ? L'enjeu politique lui impose des bassesses ?
Félicitations ! Vous êtes féministes ! Tout est permis pour obtenir gain de cause.
Si elle disposait du moindre sens moral, il y a longtemps qu'elle aurait du se séparer d'un violeur, elle aurait du le condamner au moins à titre personnel, elle aurait du protéger sa fille, l'éloigner de l'influence d'un esprit malsain.
Si elle disposait du moindre sens moral, elle n'aurait pas accepté de faire semblant de lui pardonner, quand l'Amérique voyait qu'elle était prête à tout pour s'accrocher au pouvoir.
Si elle disposait du moindre sens moral, elle n'oserait jamais comparer une gaudriole et un viol, c'est une insulte, un mépris total pour les victimes des viols.
D'après ce que j'ai pu lire les hommes sont extrêmement choqués, ils ne supportent pas que le pouvoir puisse être incarné par une personne qui mente autant, qui n'a aucun honneur, aucune morale, aucune pudeur, aucun remords. Le pouvoir requiert des attributs dont Hillary est totalement dépourvus. Et je ne parle pas d'une paire de testicules.
Et je dis bien les hommes, pas les loques émasculées qui se désespèrent de remplacer leur branlette hebdomadaire par un véritable coït, plus féministes, plus carpettes, plus soumis que des esclaves, ils pardonnent tout à Hillary. Ils prouvent ainsi aux femmes qu'ils espèrent pécho avec leur veulerie, leur absence totale de sens moral, leur soumission à la doxa féministe. Pas certain que ça les fasse mouiller les moukères.
Bref, heureusement qu'il reste encore quelques bikers à l'hygiène approximative pour ces dames du parti démocrate. Ils poquent mais au moins on n'a pas l'impression de sucer une larve neurasthénique.
Pour simplifier à l'extrême, parce que les femmes les plus couillues ne la supportent pas non plus la mère Clinton, le public féminin n'est attentif qu'à une seule chose, les éventuelles agressions de Trump envers Clinton. Toute agression envers une femme mérite l'infamie, à l'ancienne, comme dans la petite maison dans la prairie. Le tabou de tout les tabous.
Elles semblent totalement indifférentes aux faits, aux arguments, elles avalent comme allant de soi les mensonges d'Hillary, elles ne fait que se protéger des hommes, c'est normal, dans cette lutte pour la survie un mensonge n'est plus un mensonge, c'est une manœuvre habile.
La morale ? Quelle morale ?!
Le bien commun ? Mais de quoi tu causes ?
Je signale quand même que la mère Clinton serait plutôt favorable à une guerre avec la Russie, et que l'usage de l'arme nucléaire ne lui pose pas d'objections majeures.
Et vous voudriez que j'en ai quoi que ce soit à foutre de savoir si son petit confort intime a été offensé ?
Clinton n'est pas en mode survie, n'est pas une victime, c'est une prédatrice, et de la pire espèce. Elle est à la tête d'une fortune colossale grâce à la fondation Clinton.
Le principe est simple. Tu veux un entretien avec la Secretary of State, pas de problème, tu achètes une conférence de Bill Clinton pour la modique somme de 500.000 dollars, et hop, t'as ton rencard.
Tu veux imposer ton réseau de téléphonie mobile dans Haïti ravagé par un cyclone ? Pas de problème, la fondation va faire de l'humanitaire sous l’œil des caméras des grandes chaînes de télé des petits copains. Et hop, les secouristes et les planteurs d'antennes relais travaillent main dans la main.
Profiter d'une population en détresse pour monnayer son influence politique, je n'appelle pas ça une faible femme, c'est une hyène, à la tête du troupeau.
Vous me direz, pauvre choupette, son mari se faisait sucer par la Monica, elle subissait l'opprobre, maintenant elle est contrainte de servir de paravent, elle subit, elle est victime.
Mes couilles, c'est une vacherie sur pattes. Bill commence à sucrer les fraises, mais quand il est interviewé seul, il est beaucoup moins agressif, moins fascisant dans ses approches. ils ne veulent plus lui filer un micro, ses analyses ridiculisent par leur finesse les interventions de sa grosse.
Non, non, la pire saloperie c'est bien elle.
On s'en rend moins compte parce que c'est une femme, on lui accorde systématiquement le bénéfice de la victime, elle a le droit de mordre parce qu'elle est agressée, forcément puisqu'elle est une femme.
Elle et son staff sont extrêmement intelligents. Ils utilisent des arguments et des postures qui avaient un sens à une certaine époque, avant que 62 % du capital ne soient entre les mains des femmes aux U.S., avant que des femmes soient à la tête de grandes entreprises du Nasdaq, avant qu'elles soient majoritaires dans la réussite universitaire, avant que les hommes ne se fassent complètement étrillés en cas de divorce, avant que la paternité soit ramenée au rang d'anecdote, la fameuse petite goutte si misérable.
J'ai l'impression que nous nous trouvons à un véritable tournant de notre culture. Pour l'instant ce sont les hommes qui se font désosser, le taux de suicide est éloquent : quatre fois supérieur à celui des femmes.
Époque de transition.
Les femmes n'ont pas encore la culture du pouvoir, elles continuent de mordre et de mentir comme lorsqu'elles avaient besoin de se protéger. Je pense qu'il va leur falloir une ou deux générations avant d'apprendre à ne pas agresser les hommes, leurs inférieurs. Quand à les protéger, je sens qu'il faudra prévoir un délai.
Protéger un homme de la folie des femmes, didiou, le champagne va rester au frais encore un moment. Condamnée pour avoir ravagé totalement son employé à coups d'humiliations répétées, de mépris et de harcèlement moral. Aargh, non, je sais, je rêve.
Condamnée pour avoir mis en cause la virilité de son employé pour un rapport parvenu avec dix minutes de retard. Rhoo, je fantasme sévère, là.
Hillary Clinton veut le pouvoir ET conserver le privilège du mensonge, accordé aux femmes de toute éternité pour se protéger des hommes. Nous, on n'avait plus que la baffe pour se protéger, on ne fait plus de bonne massue de nos jours. Et en plus on fatigue vite, c'est l'horreur, on peut gueuler dessus, on peut taper dessus, ça reboot en permanence, infatigables elles sont, et gnagnagna et tu m'aimes pas, et tu m'as jamais aimé et j'attends toujours la pension depuis plus de deux heures, et ta fille m'a dit qu'elle ne t'avais jamais aimé, et tu es un monstre.
Je vous assure, taper, on n'a même plus envie. Ça soulage une minute, mais c'est totalement impropre à les arrêter, c'est comme pisser sur un derrick en flamme, ça soulage mais ça ne va pas bien loin.
C'est fini, on est à poil les mecs.
C'est un truc que j'ai constaté il y a une vingtaine d'années, devant cette inversion des valeurs les hommes n'ont plus le choix, ils sont contraints de devenir plus malins que les femmes. Ils ont même appris à ne plus obéir à leur bite, c'est fou.
Les amerloques ont encore un coup d'avance. Les mecs se serrent les coudes. C'est tout à fait anormal. Ils partagent leurs expériences, ils apprennent à ne plus se laisser manipuler, ils apprennent à se déconditionner. Plutôt seul qu'esclave.
Ils passent leur temps à étudier l'ennemi, à analyser son comportement, ils sont devenus plus savants que des ethnologues en matière femelle.
Le plus dingue c'est qu'ils en sont à réclamer des safe space.
Safe space ? C'est un refuge pour te protéger de l'agression violente de la vie sociale. Un mec a dit que le dernier Star Wars était une bouse ? Ton petit cœur saigne, tu veux éviter le stress post-traumatique, alors tu te plonges dans un espace régressif avec du rose et des nounours. C'est ça, c'est ça, un univers de connasse immature.
Alors les mecs veulent leur safe space sur les campus universitaires. Un endroit où ils ne se feront pas systématiquement agressés par des pouffiasses devenues surpuissantes. Décider d'une warzone où les filles sont interdites ? You're serious ? Ces chiennes se déchaînent.
Et là je m'incline devant la puissante nation britannique qui, à l'aide de sueurs, de larmes et de cannettes de bière, a inventé les premiers safe spaces de l'histoire : les pubs. No bitch, please. Comme quoi, ça ne doit pas dater d'hier que certaines femmes se comportent en pète-couilles.
C'est vraiment la merde, quoi. Pour bien fonctionner un mec doit être seul, naïf et se soumettre au dictat de sa bite, tenue de main de maître par leur Princesse qui fait pas caca.
Les anciens n'avaient pas molli pour avoir des descendants.
T'es pédé ? T'es plus pédé.
Tu veux niquer ? Tu signes le contrat de mariage.
La pipe et la sodo ? Tu oublies mon pote, sinon c'est bronzette chez Lucifer.
La branlette ? Hein ? Tu dis quoi ?
Tout dans la chatte mon gamin, tout.
Même les gonzesses s'y mettaient. Cuisine, culottes fendues, regard baissé. Et va-z-y que je suis une petite chose fragile, et va-z-y que je suis moins intelligente, dis-moi que tu m'aimes mon grand fou.
Ils avaient même inventé un truc génial, le devoir conjugal.
Juste au cas où tu gardais un minimum de doute et de lucidité, la baise était garanti par contrat.
Tu pouvais pas échapper au piège.
Pendant des siècles les hommes ont vécus dans l'illusion que les femmes étaient des petites choses fragiles, bien moins intelligentes qu'eux, juste bonnes à faire des gosses et à nettoyer le parquet.
La cruauté de l'époque moderne les oblige à constater qu'on leur a quand même bien bourré le fion avec des conneries.
Rien que le fait de leur montrer que leur princesse n'a aucun sens moral est déjà une révolution. Les hommes ont beaucoup de mal à croire que les femmes n'ont aucun sens moral, je dirais qu'elles n'en voient pas l'utilité, c'est pas qu'elles sont contre, je crois qu'elles n'en voient pas l'usage.
Les femmes et les enfants d'abord, ma couille, c'est leur seule morale, et ça a fonctionné comme ça pendant pas mal de siècles. A une époque, c'était sans aucun doute une idée géniale. Vaut toujours mieux sacrifier un mâle qu'une femelle.
Les femelles sont plutôt d'accord dans l'ensemble, et les mecs aussi, ça fait un concurrent de moins.
Sentir qu'ils portent la morale en eux, et qu'il leur revient de l'imposer, ça leur reboost l'ego et le sens de leur responsabilité à un point inimaginable.
Ça leur fout un choc terrible. Responsable de la morale et responsable de l'imposer, c'est pas vraiment ce qu'on leur a appris à l'école ou dans les médias. Ça fait tellement d'années qu'on leur explique qu'ils ne sont que des très gros porcs. On leur a fait croire que la morale est féminine, institutrice, mère, père couillemollisé, médias. Nope, tout ce qu'on leur a appris c'est à respecter les femmes, la morale en vigueur, la seule enseignée, les femmes et les enfants d'abord, surtout les femmes.
Mais pour la morale, la vraie, la justice, l'équité, toutes ces conneries, on leur avait pas dit, mais s'ils ne s'en occupent pas, faut pas compter sur les femmes.
Le jour où une femme juge se lancera dans une campagne médiatique pour rétablir un semblant d'équité dans les divorces, le jour où elle se révoltera contre ces destins brisés, ces types qui finissent SDF et doivent continuer à entretenir leur feignasse d'ex, le jour où je sentirais une femme défendre les pères divorcés au nom du principe de la justice, je vous promets, je suis capable de réviser ma position.
Les hommes le font depuis toujours, ils ont le souci de la femme et de l'orphelin, ils ont pondu un nombre incalculable de lois qui ne vont pas dans le sens de leur propres intérêts mais dans celui de la justice, au profit des femmes, parce qu'ils trouvent que c'est juste. Ils s'attendent à ce que les femmes en fassent autant. Logique. Ben non, les femmes d'abord. Là s'arrête leur morale.
Et tout d'un coup ils regardent autrement leur princesse. La pauvre jeune fille délaissée par un salopard, magnifique de dévouement et de sacrifices, qu'ils s'apprêtait à protéger de leurs ailes, elle et son enfant si attendrissant, tout d'un coup ils se rendent compte qu'elle n'est qu'une grosse salope qui s'est faite troncher comme une truie sur la banquette pourrie du bus d'un musicos en tournée, tout ça parce que ça lui déclenchait des émotions intenses, et que réfléchir c'est bon pour les intellos et les filles moches.
Et puis c'est bien le diable si elles ne trouvent pas un gentil connard qui va payer pour l'autre salaud, deux ou trois larmes, un tombé de braguette, ah, toi, tu sais me comprendre, je t'aime, signe-là.
Ah ouais, les femmes et les enfants d'abord, c'est sur, mais mon cul et mon plaisir d'abord, et mon gamin vivra sans père. Et tout ce qu'il saura de son père c'est ce que c'était un sacré salopard qui les a abandonnés, lui et sa mère, pour aller niquer de la blondasse au hasard des concerts. Drogué ! Alcoolique ! Salaud !
Et vaut mieux pas que l'enfant soit un garçon, sinon c'est réglementaire, il portera toute sa vie la faute originelle de son père, ne deviens pas comme tous ces salauds mon petit Adrien, je t'en prie, ne deviens jamais comme ton père.
Putain, elle est pas belle la vie ? On devine tout de suite qu'il va être épanoui dans sa vie d'homme le minot.
Et c'est parfaitement légal ! Par contre une baffe sur ton gosse qui le mérite plus que largement, et hop, tes voisins te dénoncent, les vautours de l'aide sociale à l'enfance sont là, les associations pour la protection des mineurs, les ligues anti-alcooliques, l'association contre la violence routière, le PMU, le fisc, tu viens de commettre l'irréparable. Tu remarqueras, c'est quasiment toujours des bonnes femmes.
Pères démissionnaires ? Tu m'étonnes ! Instinct de survie, oui !
Le moyen le plus absolu que les amerloques utilisent larga manu pour échapper au mirage c'est d'accorder aux femmes de l'intelligence, de la volonté et la maîtrise de leur destin. C'est un concept très puissant. Personne ne les a obligées à s'exploser les émotions avec une Stratocaster poilue et à baiser sans contraception. Elles sont responsables, elles ont choisi. Leur enfant grandira sans un modèle paternel.
TDA, Asperger, échec scolaire et un jour, un petit Bowling à Columbine.
C'est sur, ça calme. T'as tout de suite moins envie de la protéger et de l'entretenir la fragile jouvencelle.
Les hommes n'ont plus le choix, il leur faut affronter le dragon : les femmes sont fortes et déterminées, elles choisissent, elles et elles seules. La culture du viol ne fait que masquer la merde, entretenir le mythe de la malheureuse victime délaissée par un homme sans honneur. Papa il a pas été gentil ? C'est sur, ça explique tout ! Papa n'a jamais dit « je t'aime » à maman ? Starfoullaaaaah, mais comment t'as raison de te faire engrosser par le premier connard venu, tout s'explique.
Oh gamin, tu te souviens de la dernière fois que tu t’aies fait gicler comme un merde ? Arrête de penser avec ta bite, tu m'énerves. Réponds honnêtement, elle était sous influence ta donzelle ou bien elle a décidé selon son bon plaisir ? Hmm ?
Je pense qu'il faudra un temps d'adaptation. Les hommes ont l'habitude du pouvoir, ils connaissent les règles du jeu, ils n'oseraient jamais commettre les erreurs grossières d'Hillary, l'arrogance, le mépris, le mensonge continu, l'auto-satisfaction inaltérable.
Si Trump commettait ces erreurs, il serait mort politiquement depuis longtemps.
Elles occupent de plus en plus des postes de pouvoir, mais continuent encore à se comporter comme si elles subissaient le pouvoir. Ce qui les rend absolument odieuses.
Et c'est toujours la faute de quelqu'un d'autre, toujours. Principe de base du discours victimaire. Le patron du FBI qui a fait détruire les preuves pouvant mettre en cause Hillary Clinton, convoqué devant le grand jury, et paf, cinq ans de taule.
L'audience est terrible à regarder, le procureur qui l'interroge est brillantissime, intraitable, il assène des uppercuts de morale républicaine, des crochets de constitution des Etats-Unis. Le patron des services secrets se chie littéralement dessus.
Vous vous dites que cet enculé l'a bien mérité. Pour qu'ils foutent le patron de leurs services secrets en taule c'est qu'il a vraiment du déconner sévère.
Tiens, c'est marrant, et pourquoi vous vous ne dites pas la même chose quand il s'agit de la mère Clinton ? Elle est faible ? Elle est sous influence ? Putain, vous ne seriez pas un peu sexiste par hasard ?
Dans ce cadre une autre femme a été convoquée, une juge de la cour suprême. L'anguille, elle n'a répondu à aucune question, elle est restée totalement insensible à toute sanction morale, elle a répété à l'infini ses phrases toutes prêtes. Se foutre ouvertement de la gueule des membres du congrès ne provoquait chez elle aucune gêne, aucun problème de honte, elle ne sentait responsable d'absolument rien.
C'est logique. Pour elle, elle était parfaitement morale, elle respectait LA règle, protéger la femme, sauver son cul.
LA morale, l'autre, est toujours celle des hommes. Les patriarches.
Et pour cause, les femmes en sont totalement dépourvues.
Je trouve que la confrontation de ces deux logiques est dramatique. Que les femmes se mettent en priorité et se protègent à tous prix dans une société contrôlée par les hommes, c'est bien, c'est utile, c'est nécessaire.
Qu'elles continuent à se mettre en priorité à tous prix, alors que ce sont elles qui ont le pouvoir, et c'est la banqueroute assurée. Tout ce qui ne sert pas leurs intérêts sera négligé.
Indemnes de toute pathologie psychiatrique, elles répondent parfaitement à la définition de sociopathes, je veux, je prends.
Lorsque tu es subordonné et que tu agresses ou critiques le pouvoir, tout va bien. Quand tu es au pouvoir et que tu agresses ou critique tes subordonnés, c'est destructeur. On peut le constater dans toutes les hiérarchies.
Le jour où elles se feront démolir pour une suspicion de condescendance, le jour où elles se feront renvoyer pour avoir moqué un homme de sa faiblesse, le jour où elles se feront insulter sur la planète Internet pour avoir prétendu que les femmes étaient plus intelligentes, ce jour-là il est possible qu'elles perdent leur réflexes ancestraux de pourrir les mecs et de se croire intouchables, protégées à vie par une épaisse couche de mensonges. Stratégies d'un autre temps.
Pour l'instant ça marche du feu de dieu.
Normalement, elles n'ont aucune raison de se gêner.
Mais je ne crois pas. T'as l'impression qu'elles rebootent immédiatement, une accusation, une condamnation, une baffe, boing, elles rebootent, elles se refont une virginité morale en quelques secondes. Moi, elles m'épatent.
Dans tous les reportages judiciaires, la première question que posent les juges est pour savoir si le délinquant à conscience de son acte, s'il a conscience d'avoir violé la loi, qu'il existe une loi. Il y a une règle, il y a une loi, vous l'avez violé, je ne veux pas savoir si vous êtes d'accord ou pas, je veux savoir si vous êtes conscient qu'il y a des règles à respecter.
Pour les femmes ça semble impossible à obtenir. Elles n'ont pas de remords, elles décrivent en général les hasards qui les ont conduites à se faire serrer par la patrouille. Elles évaluent leur faute en fonction de la probabilité de se faire gauler. Si le risque était faible, c'est comme s'il n'y avait pas de faute.
Et je te dis pas comment elles font tout pour le faire savoir. Tout ce qui est masculin est qualifié de stéréotype imposé par la société. Les hommes sont dangereux, faut encore rajouter des lois pour les enfoncer un peu plus.
Bien sur, quand on n'est guidé que par ses émotions et son bon plaisir, les grands principes font un peu la gueule, les règles, les lois, finissent par avoir les fils qui se touchent.
Les femmes sont libres, leur corps leur appartient, elles peuvent s'habiller comme elles veulent, comme des punks à chien, des zadistes ou des putes. Et peu importe les émotions qu'elles induisent chez les mecs, ça, c'est tout simplement de la merde, pouah, caca. Va mourir.
Les femmes laissent déborder leur instinct maternant de chiotte, laissez venir à nous les pauvres petits migrants qui meurent sur nos plages, mangés par les vautours. Vous voulez mon nichon les nigrants ? non ? Une gamelle de soupe et un portable ? OK.
V'la-t-y pas que les migrants ils leurs collent la combinaison intégrale à leurs gonzesses, raz du cou, manches longues.
Bing, ça beugue. C'est mon corps, ça m'appartient. Mais pas les arabes. Les arabes n'ont aucun libre arbitre. L'arabe est soumise au patriarche. Elle ne pense pas l'arabe. Plus sexiste que ça, ça n'existe pas. Ce sont ces connasses qui réduisent les femmes arabes au statut d'objet soumis.
S'il y a bien un truc qu'une féministe refuse totalement d'entendre, c'est l'arabe qui prétend porter la tenue intégrale par choix personnel.
Nope, liberté, stéréotypes, patriarches, à poil salope, vire-moi ce burkini d'esclave.
Qu'est-ce qui pourrait bien les obliger à respecter tout ce qui n'est pas leur privilège ? Un profond sens moral ? Non, ça, elles ne savent même pas ce que c'est, non, la trouille, la vertueuse pétoche, la peur de perdre les privilèges de leur sinécure.
Va savoir, si ça se trouve c'est ainsi que les hommes ont été contraints de développer leur sens moral, pour ne pas se faire rejeter.
Le pouvoir s'apprend. Faut pas faire n'importe quoi. Faut pas mettre le pouvoir uniquement à son service. Sinon, vous savez ce que c'est, vous vous exposez à quelques jalousies et à de fortes ingratitudes.
Cazeneuve a cherché jusqu'à bout à faire croire qu'il était honnête et soucieux du bien-être des français.
Taubira n'a jamais fait semblant, elle s'en branle, elle le dit, elle nous encule, de toutes façons on est tous des merdes racistes.
L'humanité a survécu en protégeant les femmes. Et les femmes savent parfaitement faire passer cette priorité avant tout autre considération. La morale attendra. Dans un conflit, à moins que la gonzesse ne menace les femmes, là c'est autre chose, personne n'a le droit de menacer les femmes, dans un conflit disais-je, les femmes ne donneront jamais raison au mec, jamais, c'est de sa faute s'il se laisse pourrir par une folledingue hystérique.
Les femmes ne vont le soutenir que dans une seule situation, en temps qu'arme. Quand la connasse aura suffisamment mis en danger le groupe des femmes, quand ce groupe aura lancé une fatwa contre elle, bon, là, on veut bien faire une exception, et si un homme se sent l'envie de lui tailler un costard, bon, là, éventuellement, sous réserve, on va lui donner raison, mais ça reste quand même un sacré enculé d'oser s'en prendre à une femme.
Les choses changent. Certains tabous vont peut-être tomber. On va peut-être considérer qu'il y a légitime défense si un homme rend la gifle qu'une femme vient de lui infliger. A force de marteler l'égalité homme-femme, il n'est pas impossible que le législateur s'interdise de distinguer une baffe de trappeur d'une gifle de fille, dont l'effet ravageur ne tient qu'à l'humiliation qu'elle induit, même si ça fait un mal de chien quand même.
L'époque est passionnante. Pour l'instant les femmes gagnent haut la main, c'est indéniable. Elles se comportent comme des garces quand elles sont au pouvoir, infiniment plus sauvages et agressives que leurs équivalents masculins.
C'est peut-être tout simplement un manque d'expérience.
Pour l'instant ça fait des gros dégâts.
Que ce soit Anne Lauvergeon qui a coulé AREVA parce qu'elle refusait d'écouter ses plus proches conseillers, Taubira qui a fini d'achever le système judiciaire, Bachelot qui vient nous secouer son goitre en toute indécence sur les plateaux télé après avoir pris des décisions catastrophiques et ruineuses au ministère de la santé, ou encore la marocaine Belkhacem qui fiste les parents d'élèves avec la théorie-du-genre-que-c'est-pas-la-théorie-du-genre, elles ont toutes une caractéristique fabuleuse, flamboyante : elles dégagent une impression d'autosatisfaction absolue qui me flanque la nausée.
Elles sont totalement incapables de se remettre en question. Je sens bien que cette notion n'a aucun sens pour elles.
Elles jouissent d'elles-mêmes.
Madeleine Albright, l'ancienne secrétaire d'état à la défense U.S., a osé déclarer que la noble cause du plan pétrole contre nourriture en Irak, la répression sauvage exercée contre le pays de l'horrible Saddam Hussein, ce tyran, macho toussa, et bien les 500.000 enfants morts par privation de nourriture ou de médicaments, cette truie immonde a osé déclarer que la noble cause de la démocratie méritait ce sacrifice.
Putain !
Aucun homme, même le plus immonde psychopathe cynique n'aurait jamais osé dire ça !
Il l'aurait peut-être pensé, sûrement, mais jamais il n'aurait négligé que sa fonction lui imposait de respecter au minimum les apparences, que son électorat pouvait ne pas le supporter.
Et ben Madeleine, non, elle s'en fout, fallait faire tomber Saddam, j'ai fait le job, je l'ai bien fait, et j'apprécierais que vous me remerciiez. En tous cas, moi, comme disent tous ces porcs quand ils se sont vautrés dans l'immonde, j'assume mes responsabilités. Traduction : je suis une princesse.
Cette absence de morale, ce refus d'assumer la moindre responsabilité me troue le cul.
C'est quand même la mère Georgina Dufoix qui ne se préoccupait que de son cul quand elle a inventé le célèbre « responsable mais pas coupable ». Des milliers de personnes contaminés par des transfusions enrichies au VIH, et madame ne comprend pas que le minimum syndical est de faire comme si elle était désolée.
T'es ministre ma fille, t'es nulle, t'es stupide, tu ne prends aucune décision, t'as sucé le père François, c'est d'accord.
Mais les français ne voient que la ministre, ils ne voient que la fonction.
Et la ministre de la santé qui a laissé passer un truc pareil, le minimum c'est qu'il montre qu'il est au moins un peu emmerdé, que ça le gêne un peu sous les bras.
Il faut se faire démonter la gueule, il faut avoir peur pour se remettre en question, personne ne se remet en question s'il n'en voit pas l'intérêt. La culpabilité, la honte, la responsabilité, ça s'apprend, comme le cul et la rhétorique.
Bien des années plus tard, la même Georgina Dufoix avait appris. Je suppose que les familles des morts par transfusion ont pris la peine de faire son éducation.
Dans une interview on sentait qu'elle avait pris conscience du drame. Voilà, c'est bien, au moins tu prends conscience de la souffrance. C'est beaucoup pour une femme.
Je n'irais pas jusqu'à dire qu'elle endossait la responsabilité, par négligence ou incompétence, non, faut pas déconner non plus, elle a pris la peine de détailler pourquoi elle n'y était pour rien.
Pour l'instant je ne vois pas Madame El Khomry capable de comprendre pourquoi elle pourrait se remettre en question. Dans quel but ?
On lui a confié la tache de faire passer une loi scélérate, elle fait son boulot, en brave petite soldate courageuse et vaillante, elle n'attend que des compliments pour le travail accompli. Elle se croit vachement intelligente, ça se voit.
Elle comme les autres, elle porte ce masque sur son visage, ce masque inoxydable du contentement de soi.
Je ne sais pas si cette conne a compris qu'on l'envoyait au casse-pipe, que sa carrière politique est morte.
Je ne pense pas. Il aurait fallu qu'elle pense, qu'elle connaisse la loi qu'elle portait, pas seulement les éléments de langage mâchés par les directeurs de com. Il aurait fallu qu'elle connaisse les gens, les français, elles auraient pris conscience de l'agression caractérisée contre les acquis sociaux. Sinon elle se serait doutée que tout le monde allait la détester.
Mais je ne pense pas qu'elle s'en rende compte. Elle vit dans son petit monde, son intérêt, son cul, toujours plus de privilèges.
L'autre salope de Marisol-Touraine, celle qui a fini de flinguer la médecine libérale en France, qui a offert en pâture aux mutuelles le marché de la santé, qui a imposé aux employeurs d'imposer une mutuelle à leurs salariés (dés fois que certains soient moins cons que les autres et constatent que leur mutuelle est bien trop cher pour les garanties couvertes. Le prix en 2016 est faux, il va doubler après les élections présidentielles, vérifiez, vous verrez), quand cette brave dame s'exprime, on dirait qu'elle touche les écrouelles des mendiants, qu'elle guérit les mutilés dans une léproserie. Cette ministre socialiste a couvert la privatisation de la santé mais uniquement aux profits des grands groupes (c'est partout pareil en Europe, dans toutes les branches, la mise à mort du tissu social libéral, les indépendants, les PMI-PME), a fini d'étendre les déserts médicaux, et cette salope affiche une satisfaction totale, la sérénité du devoir accompli, autosatisfaction, narcissisme et je vous emmerde à tous les étages. Nausée.
Ses circuits neurologiques n'ont pas été câblés pour la honte.
C'est toute une éducation, ça commence très jeune.
Une gamine de 5 ans flanque une baffe à un petit camarade. Tous les garçons se foutent de la gueule du faible. Il n'y aura aucune réprimande, aucune sanction pour la petite fille.
Que le petit garçon lui rende sa baffe, et là il va morfler, il va être obligatoirement sanctionné par les institutrices, c'est systématique. On va lui renvoyer l'image d'un monstre. C'est absolument systématique. On va le castrer. Psychologiquement. Lui faire regretter d'être né garçon avec ce genre de pulsions.
Et toutes ces braves dames, persuadées de défendre le bien et de lutter contre la violence inacceptable, la violence est par définition inacceptable si elle vient d'un homme, n'éprouveront pas le moindre début de quoi que ce soit de sentiment de culpabilité à détruire psychologiquement un petit garçon de 5 ans. Rien. C'est normal. Priorité numéro one absolue : protéger les femmes, protéger les filles.
Une cause noble et indispensable peut s'avérer catastrophique en ces temps de transition.
Dans vos souvenirs les plus lointains, c'est quand la dernière fois que vous avez vu une fillette se faire pourrir psychologiquement, réprimander, pour avoir giflé un garçonnet ?
Que dalle, en général on applaudit.
Un des deux sexes est entraîné dés le plus jeune âge à endosser la responsabilité de ses actes. En toute injustice, deux poids deux mesures. Il apprend à subir l'injustice. Et c'est très bien, ça forge le caractère. C'est une bonne chose pour quand il prendra le pouvoir.
L'autre sexe est encouragé à ne jamais endosser cette responsabilité. Victime. Éternellement victime. Fragile. Si elle lui a foutu une baffe, c'est obligatoirement parce que le petit garçon s'était montré menaçant. Aucune autre explication ne sera acceptée. Ni responsable ni coupable. Une personne comme ça, ne faut surtout pas lui donner du pouvoir, sinon ça risque de faire des taches sur la moquette.
Le pouvoir engendre des devoirs. Ça, j'ai l'impression que ça ne rentre pas dans toutes les têtes. C'est douloureux. Ça s'apprend tôt, sinon c'est foutu. Tu gifles ton petit camarade ? Tu vas morfler ma chérie ! No one is innocent.
Tu voulais pas ? Il t'a provoquée ? Tu l'as frappé. Sanction.
Tu pleures ? Tu n'es pas d'accord ? Tu trouves que c'est injuste ? Oui, c'est normal, mais sanction. Parce que. Baffe égale sanction. Toute autre considération est secondaire.
Les garçons finissent par le comprendre très tôt, je suis certain que les filles en sont capables, elles prennent leur temps, elles réfléchissent, c'est sans doute ça.
Ta boite est ruinée pendant ton mandat ? Tu es responsable, totalement responsable, même si tu as bossé comme une malade. Tu diriges, tu es responsable.
Tu diriges, tu es responsable de la pire connerie faite par un de tes employés. C'est comme ça le pouvoir. Toute faute est ta faute.
Avant c'était plus simple, les filles n'étaient pas entraînées au sentiment de toute-puissance, elles n'auraient pas pris le risque de frapper un garçon. On a créé de toute pièce une génération de monstres narcissiques en désarmant les hommes, en leur répétant que la femme était la race supérieure, qu'elles avaient tous les droits.
Une jolie fille se faisait courtiser par les trois célibataires du bled.
Aujourd'hui une fille désirable (c'est-à-dire pas trop moche et propre), se fait inonder de propositions sur son Tinder. Princesse.
A part quelques psychopathes irrécupérables comme Hillary Clinton ou Christine Taubira, prêtes au après-moi-le-déluge si ça peut servir leurs intérêts et leur gloire, la grosse, l'énorme question qui reste en suspens me parait la suivante : est-ce qu'une femme normale prend son pied avec le pouvoir ?
Suffisamment pour accepter pleinement la responsabilité du pouvoir, qui fait quand même bien chier.
Je ne connais pas toutes les femmes de pouvoir. Je ne vois que les psychopathes narcissiques que les médias nous soumettent, ministres, chroniqueuses, journalistes, et bien elles partagent non seulement une autosatisfaction qui frôle la maladie mentale, mais une incapacité pathologique à établir un lien entre leurs actes et leurs conséquences. Quand à celles qui endossent la responsabilité de la fonction, je suis certain qu'elles existent, mais je vous garantis qu'elles ne passent pas dans les médias, parce que je n'en ai jamais vues.
Sans doute on ne tient pas à ce qu'elles donnent le mauvais exemple.
Xavier Bertrand est une salope, Cazeneuve un sociopathe, Sarkozy un chien de l'enfer, Hollande une merde ambulante.
J'aime bien rappeler que les femmes ne valent pas mieux. Je pense même qu'elles sont pires quand elles sont au pouvoir. On a oublié les énormes casseroles de Christine Lagarde pour son arbitrage dans l'affaire Adidas, qui donne des leçons de morale économique à la terre entière à la tête du FMI.
A quel moment El Khomry a-t-elle pris la peine de faire croire qu'elle était sensible au grondement populaire ? Jamais.
En fait c'est pas compliqué, on s'y habitue. Elles font leurs conneries et on sait qu'on devra passer derrière et payer les pots cassés. Et toujours leur foutu fasciés de putes réjouies d'elles-mêmes, se délectant de leurs mots, jouissant de s'écouter parler.
Dans ce domaine ma préférence absolue va à l'ancienne ministre de la justice, Élisabeth Guigou, mon dieeuu, elle doit se sucer les doigts tellement elle se trouve bonne.
N'oublions pas sa successeuse Marylise Lebranchu, à coté d'elle Alain Juppé passe pour un humaniste à l'écoute de son peuple. C'est Madame Tu-fermes-ta-gueule, une vraie purge.
Ah mais n'oublions pas non plus la sexy Rachida Dati, elle aussi ancienne garde des sceaux. Cette salope se fait engrosser par un riche, et lui fera cracher le morceau à grands coups de procès et de test ADN. Vachement classe, un exemple pour la jeunesse. Au lieu de mourir de honte d'avoir été la plus grande suceuse du gouvernement, popopo, mais comment qu'elle n'hésite pas à racketter le couillon friqué. Et pourtant je la trouve sexy la Rachida, et maline, hoouu qu'elle est maline. Mais bon, c'est quand même une pute.
Je vous ai parlé de Taubira ? C'est grâce à elle que Jospin s'est fait niqué en 2002, cet idiot avait refusé de lui promettre un ministère, faut dire que c'est une putain d'emmerdeuse totalement incompétente et tyrannique. Bien sur Taubira n'avait qu'une préoccupation en tête, la France et les français, elle a oublié son intérêt personnel, bien sur, il ne pouvait en être autrement, c'est une femme, dévouement, bien commun, toussa.
Elle a donc assumé ses responsabilités et a conseillé à Jospin d'aller se faire enculer chez les zoulous avec ses voix, c'est plus douloureux que chez les grecs, zont pas d'huile d'olive les zoulous.
Alors à toutes les gazelles soumises qui ne jurent que par le féminin en eux, qui s'épanchent et s'exclament sur la merveilleuse supériorité des valeurs féminines, qui tentent de placer leur chipolata de contrebande en changeant les couches et en se tripotant les mamelons, toujours à l'écoute de leur sensibilité et de leurs émotions, vous voulez que je vous dise ?
Non ?
Bon, tant pis.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
la violence [...] j'en suis totalement dépourvu
Je m'interroge sur la popularisation du mode d'expression façon "Raptor dissident" (une de tes influences du moment ?) qui veut que les mots les plus présents dans le champ lexical soient "pute" et "salope".
Pas que ça me dérange, tout le monde a le droit de se défouler, je comprends, ça fait du bien, à défaut de pouvoir mettre des claques, on se traite de salope sur internet pour montrer sa virilité, mais je me demandais ...
..., c'est quoi un homme, Numero6 ? Le masculin 2.0 adopte-t-il les armes des nouveaux dominants : le bashing des adolescentes de Rezocasociaux, si possible en bande ?
En revanche la réthorique du type "si t'es pas d'accord t'es moche, ou grosse, ou une salope, ou une tafiole, les gens intelligents sont d'accord avec moi", je retiens. De bon goût, simple, efficace ...
Je m'interroge sur la popularisation du mode d'expression façon "Raptor dissident" (une de tes influences du moment ?) qui veut que les mots les plus présents dans le champ lexical soient "pute" et "salope".
Pas que ça me dérange, tout le monde a le droit de se défouler, je comprends, ça fait du bien, à défaut de pouvoir mettre des claques, on se traite de salope sur internet pour montrer sa virilité, mais je me demandais ...
..., c'est quoi un homme, Numero6 ? Le masculin 2.0 adopte-t-il les armes des nouveaux dominants : le bashing des adolescentes de Rezocasociaux, si possible en bande ?
En revanche la réthorique du type "si t'es pas d'accord t'es moche, ou grosse, ou une salope, ou une tafiole, les gens intelligents sont d'accord avec moi", je retiens. De bon goût, simple, efficace ...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est fou le temps qu'on gagnerait si tout le monde intégraient quelques trucs simples.
Homme, femme = même espèce (Homo Sapiens Sapiens)
Définition de cette espèce : une variété de primate, dont la prolifération entraine une extinction massive (la 6eme).
Autrement dit, une impasse évolutive assimilable à une peste biologique.
Alors savoir si la zigounette est meilleure que la foufoune, ou l'inverse ?
Je me marre.
Homme, femme = même espèce (Homo Sapiens Sapiens)
Définition de cette espèce : une variété de primate, dont la prolifération entraine une extinction massive (la 6eme).
Autrement dit, une impasse évolutive assimilable à une peste biologique.
Alors savoir si la zigounette est meilleure que la foufoune, ou l'inverse ?
Je me marre.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai tout lu.
Sisi.
Punaise, j'ai tout lu
Moi je trouve pas que ces débats entre clinton et trump soient si violents, de ce que j'en ai vu...
Ya un certain nombre de choses qui m'interrogent...
- est-ce que Nr6 est sérieux sur tout ce qu'il dit?
- où est la part de "style littéraire" et la part de réalité? (ce qui rejoint la question précédente)
- j'avais compris de nos jour que lors d'un divorce, la femme n'avait pas plus de droits que l'homme, celui qui paye c'est celui qui a le plus gros salaire, du coup ça peut être la femme, mais généralement, ce sont les hommes qui gagnent le plus.
- combien de temps ça prend pour écrire un texte de cette longueur?
- si l'on refuse de mettre les gens dans des petites cases, genre HP (surdoué, zèbre, HQI...) / non HP (neuropensant, moldu, toussa), est-il judicieux alors de mettre tous les hommes dans une même case, et toutes les femmes dans une autre gosse case, et d'extrapoler à chaque population l'ensemble des caractéristiques observées sur un échantillonnage? (judicieusement ou non)
- existe-t-il des femmes qui ne soient pas des putes menteuses sans morale ? Si oui, existe-t-il des tests fiables pour les détecter?
- être homme et victime, ce n'est donc pas compatible? Qu'en est-il des hommes ayant eu affaire à des perverses narcissiques, d'autant plus s'ils sont HP ?
Je m'arrête là, tout de même, sinon j'y suis encore demain.
Sisi.
Punaise, j'ai tout lu
Moi je trouve pas que ces débats entre clinton et trump soient si violents, de ce que j'en ai vu...
- Spoiler:
(yen avait une autre que j'avais plus appréciée, mais je la retrouve plus dans ce bordel qu'est facebook...
Ya un certain nombre de choses qui m'interrogent...
- est-ce que Nr6 est sérieux sur tout ce qu'il dit?
- où est la part de "style littéraire" et la part de réalité? (ce qui rejoint la question précédente)
- j'avais compris de nos jour que lors d'un divorce, la femme n'avait pas plus de droits que l'homme, celui qui paye c'est celui qui a le plus gros salaire, du coup ça peut être la femme, mais généralement, ce sont les hommes qui gagnent le plus.
- combien de temps ça prend pour écrire un texte de cette longueur?
- si l'on refuse de mettre les gens dans des petites cases, genre HP (surdoué, zèbre, HQI...) / non HP (neuropensant, moldu, toussa), est-il judicieux alors de mettre tous les hommes dans une même case, et toutes les femmes dans une autre gosse case, et d'extrapoler à chaque population l'ensemble des caractéristiques observées sur un échantillonnage? (judicieusement ou non)
- existe-t-il des femmes qui ne soient pas des putes menteuses sans morale ? Si oui, existe-t-il des tests fiables pour les détecter?
- être homme et victime, ce n'est donc pas compatible? Qu'en est-il des hommes ayant eu affaire à des perverses narcissiques, d'autant plus s'ils sont HP ?
Je m'arrête là, tout de même, sinon j'y suis encore demain.
- Spoiler:
- N'empêche qu'il y a des choses forts intéressantes dans ce texte, qui me font réfléchir, notamment la façon dont on gère les petites filles à l'école. En tant que prof, que cavalière dont pas tout à fait femme, ça m'ennuierait d'être inéquitable, ceci dit, dans mes classes, ya assez peu de soucis garçon-fille, c'est plutôt intersexe que ça merdoie.
Puis le fait que les européennes n'arrivent pas à concevoir que les femmes arabes puissent porter volontairement leurs habits, c'est assez vrai. D'autre trucs...
Bref.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Soit disant (en apparence) on "maitrise" l'environnement, on n'a plus de prédateurs, donc faut bien s'occuper à se foutre sur la tronche entre humains. Il y a la gueguerre homme/femme, Islam/chrétienté, PSG/OM, gauche/droite, sans sucre dans le café/avec, etc etc etc
C'est rigolo, ça fait marcher le sens de la réthorique, ça donne des textes pompeux bien souvent, ou tordant comme celui de N6.
Après, l'interet pragmatique/operationnel est ... nul.
Mais c'est une alternative à peigner la girafe.
C'est rigolo, ça fait marcher le sens de la réthorique, ça donne des textes pompeux bien souvent, ou tordant comme celui de N6.
Après, l'interet pragmatique/operationnel est ... nul.
Mais c'est une alternative à peigner la girafe.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moi ça me dirait bien de peigner une girafe, ce sont des animaux fabuleux, doux et gentils, mais c'est tout de même un peu haut comme bestiole. il faut un promontoire suffisamment élevé, sauf que j'ai le vertige. Pis faudrait qu'elle soit dressée à ne pas bouger.
Ceci dit, est-ce que la girafe a une crinière assez longue pour que l'on puisse la peigner? Peut-on la pionter? est-ce que ça a un intérêt à pionter la crinière d'une girafe?
Ceci dit, est-ce que la girafe a une crinière assez longue pour que l'on puisse la peigner? Peut-on la pionter? est-ce que ça a un intérêt à pionter la crinière d'une girafe?
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Chuna, si on part du principe que N6 est intelligent (hypothèse), alors il doit percevoir lui même les contradictions permanentes de ce qu'il écrit. Donc, c'est fait exprès.
Pourquoi voudrait-on se contredire volontairement ? Pour embrouiller, ou, terme à la mode, manipuler ? Semer la confusion ? Faudrait être mal intentionné.
Reste la déconne, c'est pas sérieux, il se fait plaiz, c'est pour le style ...
Il y a donc 3 possibilités :
- il est un peu con
- il est mal intentionné
- il est pas sérieux ...
Ça doit être l'option 3, quand même ...
Pourquoi voudrait-on se contredire volontairement ? Pour embrouiller, ou, terme à la mode, manipuler ? Semer la confusion ? Faudrait être mal intentionné.
Reste la déconne, c'est pas sérieux, il se fait plaiz, c'est pour le style ...
Il y a donc 3 possibilités :
- il est un peu con
- il est mal intentionné
- il est pas sérieux ...
Ça doit être l'option 3, quand même ...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
chuna56 a écrit:Moi ça me dirait bien de peigner une girafe, ce sont des animaux fabuleux, doux et gentils, mais c'est tout de même un peu haut comme bestiole. il faut un promontoire suffisamment élevé, sauf que j'ai le vertige. Pis faudrait qu'elle soit dressée à ne pas bouger.
Ceci dit, est-ce que la girafe a une crinière assez longue pour que l'on puisse la peigner? Peut-on la pionter? est-ce que ça a un intérêt à pionter la crinière d'une girafe?
Ah oui, d'accord pour les girafes, animaux incroyables. La prestance d'un sauropode croisé avec une élégance rappellant les équidés. J'avais visité étant petit un parc (le nom m'échappe) ou on passait (en voiture) quasiment sous leurs jambes, j'ai rarement eu une impression/émotion aussi forte.
Pionter ? Va falloir que je google-ise
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@Mily : vu la récurrence de la chose, ça me questionne fortement.
D'un autre côté, un style littéraire, ça se travaille, ça se peaufine...
- possibilité 4 : il est traumatisé par les femmes (enfin un certain échantillonnage)
- possibilité 5 : il est possédé
- possibilité 6 : ce sont en effet les hormones...
J'exclue d'emblée la possibilité 1.
D'un autre côté, un style littéraire, ça se travaille, ça se peaufine...
- possibilité 4 : il est traumatisé par les femmes (enfin un certain échantillonnage)
- possibilité 5 : il est possédé
- possibilité 6 : ce sont en effet les hormones...
J'exclue d'emblée la possibilité 1.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@Godzilla : je t'épargne google...
- Spoiler:
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
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Localisation : Landes
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je m'en branle !
Ah bin non, j'suis une femme, mince, je ne peux pas m'en branler
Ça me tient à coeur alors ? Raaaa, ça me gêne un peu quand même. Si ca me tient à coeur qui tient la barre ?
Ah bin non, j'suis une femme, mince, je ne peux pas m'en branler
Ça me tient à coeur alors ? Raaaa, ça me gêne un peu quand même. Si ca me tient à coeur qui tient la barre ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
c'est quoi un homme, Numero6 ? Le masculin 2.0
Je pense qu'il n'y a pas de Masculin 2.0. C'est le masculin tout court, celui qui apparait en filigrane du discours dominant qui me pose problème.
Voici la vidéo initiale, diffusée sur la chaine Youtube de Madmoizelle.com.
Cette vidéo ne me pose qu'une seule question : qui a les ressources critiques nécessaires pour repérer l'idéologie morbide sous-jacente ?
C'est redoutable.
J'ai remarqué que si l'on voulait debunker le discours, une étape était nécessaire, l'agression frontale, répondre à l'agression dissimulée par la petite blondinette sexy et son maquillage c'est-mon-corps-je-fais-ce-que-je-veux.
Et pour ça, je trouve que le Raptor a fait du bon boulot. En plus, il est très drôle avec son débit de mitrailleuse. Renvoyer le miroir de l'agression.
Si on s'arrête là, on est dans l'impasse.
De toute façon, le système médiatique déroule son rouleau compresseur, le Raptor a été censuré pour cette seule vidéo, alors qu'il démontait Youtube sur une autre. L'idéologie de la femme victime est toute puissante.
C'est vrai, mon précédent post est agressif. Il s'arrête à la première étape, débunker l'idéal féminin. Non, le monde ne serait pas meilleur avec les femmes au pouvoir. Les preuves sont innombrables. On attend toujours la manifestation de leurs prétendues qualités.
Et ce n'est pas vraiment ça que j'aimerais pouvoir dire. Je ne fais que beugler comme un sauvage comme le Raptor. Parce que le discours féministe est très violent, agressif, il heurte des sensibilités, comme disent les fragiles.
C'est un autre piège. Opposer force et sensibilité. C'est très difficile d'y échapper. Le conditionnement débute dés le plus jeune âge : « pleures pas comme une fille ».
Et c'est vrai, la première étape, balancer des baffes pour dissiper l'illusion de la pauvre victime fragile qui mérite le respect, je ne l'aime pas. C'est seulement placer des sous-titres. Non, vous ne regardez pas une femme courageuse qui défend sa dignité, vous regardez une arriviste hystérique, obsédée par le men's bashing, qui reprend les éléments de langage de la pensée dominante, le mal c'est le mâle.
Ce que j'aimerais savoir dire est contenu dans la vidéo qui suit.
Marion Seclin reprend les contes pour enfant à sa sauce pétasse hystérique. Je ne ressens pas l'envie de la tacler. C'est trop, c'est vomitif. Les femmes c'est beaucoup mieux que ça, la caricature de connasse libérée qui fait vendre ce n'est que de la propagande, un théâtre de marionnettes qu'on propose à toute une génération.
Le philosophe TeddyBoy m'a donné sa réponse, ça commence à 05:00. Son émotion est sincère. Son argumentaire n'est pas idiot. Mais ce ne sont que des mots, du débat. la vraie réponse elle est là, dans l'émotion.
Oui, voilà l'effet Seclin.
C'est ça que je ressens. Je me sens agressé. C'est la nausée qui prédomine. Et ce n'est pas évident de le mettre en mot. Comment cette petite mignonne parvient-elle à me déclencher un malaise pareil ?
Une seule explication : elle pulvérise quelque chose en moi, une morale, une sensibilité, un système de valeur, instinctif.
Plus elle l'agresse, plus je sens sa présence en moi.
L'esprit qu'on cherche à nous imposer est tellement hors-sol, tellement systématique, tellement violent, que la réaction première est de répondre violemment à l'agression. Marion parait tellement ravagée, tellement attardée, complètement sinoque que c'est un sentiment d'impuissance qui s'impose.
Parce qu'enfin, normalement, je ne devrais n'en avoir rien à faire de ses pitreries.
Comment lui faire entendre que raconter le Petit Poucet comme ça, c'est horrible pour des gamins ?
Mais surtout, pourquoi ça me touche à ce point qu'une femme parodie comme ça ce conte ?
C'est une parodie ? C'est juste un exercice de style ?
Pas seulement.
Et pourquoi ? Parce que je sens instinctivement que ça porte atteinte à une partie essentielle de l'humain que je porte en moi. Il l'exprime très bien le TeddyBoy avec sa gueule de zonard du 9-3.
Jusqu'à présent j'ai toujours suivi la voie du Raptor. Pas question de faire la victime, pas question de me mettre moi-même en PLS. Fureur et débordement.
J'ai envie d'autre chose, du genre TeddyBoy, une belle sensibilité masculine, et la force qu'elle procure.
Et ça passe par une autre étape : le renoncement total à modifier la trajectoire de toutes les Marion Seclin de la terre.
C'est foutu, on ne peut rien pour elles. Ne plus les écouter, s'en préserver, et, oui, les abandonner à leur triste sort.
Je tente de me désintoxiquer, d'abandonner la voie du Raptor, ne plus renvoyer le miroir de la violence, ça m'avilit et je ne le savais pas.
Ça ne se fera pas du jour au lendemain. Mettre des Marion Seclin en PLS, faut dire que c'est tentant, c'est quasiment une invitation gratuite au festin de la mandale des filles comme ça. La bêtise est stimulante.
Je pensais que tant que je n'aurais pas réussi à faire voir à quel point toutes les Seclin de la terre sont du poison concentré, je perdais mon temps. Je commence à comprendre que c'est inutile et dangereux, elles me contaminent, moi qui rêvait de mithridatiser mes comparses.
Il m'a foutu un choc le TeddyBoy. Son look et son accent facile à moquer ont favorisé cet effet. Si lui ose montrer sa sensibilité, c'est orgueilleux, c'est bêtement masculin, mais je me dis que je dois bien pouvoir y arriver.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:
Comme toujours, concision exquise.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:débunker l'idéal féminin.
Mais c'est le problème des hommes ça, justement, de se tordre le cerveau avec "l'ideal féminin". Y a pas d'idéal féminin (a part celui construit de toute pièce par les marchands divers, pour vendre).
Moi j'ai arrété toute idéalisation des femmes il y a fort longtemps, quand j'ai compris que les nazis, par exemple, avaient chez eux des petites femmes aimantes, que l'invasion de l'europe et le meurtre de masse n'empêchaient pas de dormir, et de couver fièrement la portée de nazillons.
(c'est n'importe quoi cette argumentation on est bien d'accord mais vu qu'on est dans le pseudo-humour noir nawak, j'ai droit de jouer aussi, flute !)
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Boudu que ça fait du bien de te lire !
J'ai passé ma vie à croire. Mes parents d'abord puis mes profs, mes amis, mes ennemis, la TV, les sciences...
Bref, plus j'avançais en âge, plus je croyais.
Un jour, on m'a posé cette question bateau : "Toi, qu'est ce que t'en pense ?" Et cette fois, j'ai plus pensé pareil. J'ai plus pensé du tout. Enfin si mais je n'arrivais même plus à croire ce que je pensais.
Ne plus croire pour moi c'est etre moi même et ca, je ne l'explique pas.
J'ai passé ma vie à croire. Mes parents d'abord puis mes profs, mes amis, mes ennemis, la TV, les sciences...
Bref, plus j'avançais en âge, plus je croyais.
Un jour, on m'a posé cette question bateau : "Toi, qu'est ce que t'en pense ?" Et cette fois, j'ai plus pensé pareil. J'ai plus pensé du tout. Enfin si mais je n'arrivais même plus à croire ce que je pensais.
Ne plus croire pour moi c'est etre moi même et ca, je ne l'explique pas.
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily a écrit:Chuna, si on part du principe que N6 est intelligent (hypothèse), alors il doit percevoir lui même les contradictions permanentes de ce qu'il écrit. Donc, c'est fait exprès.
Pourquoi voudrait-on se contredire volontairement ? Pour embrouiller, ou, terme à la mode, manipuler ? Semer la confusion ? Faudrait être mal intentionné.
Reste la déconne, c'est pas sérieux, il se fait plaiz, c'est pour le style ...
Il y a donc 3 possibilités :
- il est un peu con
- il est mal intentionné
- il est pas sérieux ...
Ça doit être l'option 3, quand même ...
Et l'option "on s'en tape des hystériques dans son genre" ??
Je crois qu'il comprend vite, faut juste lui esssspliquer longtemps.
Numéro6 tu nous dois 100 boules et quelques demis !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Perso, j'espère qu'il ne me doit rien
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- Spoiler:
- Je dis rien, je suis con (dans les deux définitions) et j'habite près de Seclin où on mange des chicons et un petit carnet pour rêver au Mexique....Le lundi au c'est comme un éléphant qui en se tromperait jamais.Queue pont d'un jour HP, Queue pont toujours
Et il a ri ou pas, ça dé pend
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon j'ai regardé Raptor (marrant mais sans plus)
Le "clash" Seclin/Teddy Boy par contre...
Num6, tu as de la chance : tu as BEAUCOUP de temps à perdre.
D'un coté un espèce de rat d'égout, de l'autre une hystérique modéle standard, les deux mettant en action leurs 3-4 neurones pour meugler à propos d'un vieux conte dont personne n'a plus à rien à foutre depuis fort longtemps - et chacune de leur "lecture" est un himalaya de connerie pure, entre la Marion qui tente la lecture décalé (mais au final hyper convenu), et le buveur de pastis à casquette qui vient pleurer comme un veau "qu'on touche à ses merveilleux contes" (dont, donc, aucun humain un tant soi peu futé n'accorde strictement aucune importance).
Mais chacun defends son sketch pourri le couteau entre les dents. Wow.
Et ça te "bouleverse" ?
Ptain, j'aimerais trop avoir ta vie
Le "clash" Seclin/Teddy Boy par contre...
Num6, tu as de la chance : tu as BEAUCOUP de temps à perdre.
D'un coté un espèce de rat d'égout, de l'autre une hystérique modéle standard, les deux mettant en action leurs 3-4 neurones pour meugler à propos d'un vieux conte dont personne n'a plus à rien à foutre depuis fort longtemps - et chacune de leur "lecture" est un himalaya de connerie pure, entre la Marion qui tente la lecture décalé (mais au final hyper convenu), et le buveur de pastis à casquette qui vient pleurer comme un veau "qu'on touche à ses merveilleux contes" (dont, donc, aucun humain un tant soi peu futé n'accorde strictement aucune importance).
Mais chacun defends son sketch pourri le couteau entre les dents. Wow.
Et ça te "bouleverse" ?
Ptain, j'aimerais trop avoir ta vie
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Godzilla a écrit:Numero6 a écrit:débunker l'idéal féminin.
Mais c'est le problème des hommes ça, justement, de se tordre le cerveau avec "l'ideal féminin". Y a pas d'idéal féminin (a part celui construit de toute pièce par les marchands divers, pour vendre).
Moi j'ai arrété toute idéalisation des femmes il y a fort longtemps, quand j'ai compris que les nazis, par exemple, avaient chez eux des petites femmes aimantes, que l'invasion de l'europe et le meurtre de masse n'empêchaient pas de dormir, et de couver fièrement la portée de nazillons.
(c'est n'importe quoi cette argumentation on est bien d'accord mais vu qu'on est dans le pseudo-humour noir nawak, j'ai droit de jouer aussi, flute !)
Non, non, c'est pas n'importe nawak.
Le truc c'est de résister à la tentation de porter un jugement moral.
Quand une femme fait ce qu'elle fait de mieux, couver sa portée, elle fait bien.
Et les petites femmes aimantes, ça aussi c'est bien.
La nazisme c'est un boulot de mecs, elles n'y sont pour rien.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Godzilla a écrit:Bon j'ai regardé Raptor (marrant mais sans plus)
Le "clash" Seclin/Teddy Boy par contre...
Num6, tu as de la chance : tu as BEAUCOUP de temps à perdre.
D'un coté un espèce de rat d'égout, de l'autre une hystérique modéle standard, les deux mettant en action leurs 3-4 neurones pour meugler à propos d'un vieux conte dont personne n'a plus à rien à foutre depuis fort longtemps - et chacune de leur "lecture" est un himalaya de connerie pure, entre la Marion qui tente la lecture décalé (mais au final hyper convenu), et le buveur de pastis à casquette qui vient pleurer comme un veau "qu'on touche à ses merveilleux contes" (dont, donc, aucun humain un tant soi peu futé n'accorde strictement aucune importance).
Mais chacun defends son sketch pourri le couteau entre les dents. Wow.
Et ça te "bouleverse" ?
Ptain, j'aimerais trop avoir ta vie
Salaud, comment ne pas te donner raison ?
Ouais, je sais, je tape dans le bas de gamme, je me vautre dedans tellement c'est bon. Se distordre les neurones, deviner des tendances sociétales au travers de vidéos débiles, de clash et de contre-clash, je sais, c'est la lose. Je ne sais pas pourquoi, je crois que j'aime m'imposer l'humilité totale.
Tu savais que les amateurs de métal étaient les conjoints les plus fidèles ?
J'ai tout un système de valeurs à ré-équilibrer. Je me lance dans le mosh'pit pour me secouer les évidences.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- Spoiler:
- Visualisation du champ magnétique d’un aimant droit. © DRUn aimant est un matériau développant naturellement un champ magnétique et capable d'attirer dufer, le nickel, le cobalt, le chrome.Un aimant possède un pôle nord et un pôle sud. Les pôles de même nature se repoussent, ceux de natures différentes s'attirent. Les aimants sont donc des dipôles magnétiques, dont les pôles sont inséparables; l'existence d'un monopôle magnétique étant exclue jusqu'à preuve du contraire.Il existe des aimants naturels (à base d'un minerai de fer, la magnétite) et des aimants artificiels. Parmi les aimants artificiels, on distingue les aimants permanents tels que le barreau aimanté, l'aimant en U, l'aiguille magnétique, et les aimants temporaires tels que les électroaimants. Ces aimants sont constitués de matières ferromagnétiqueshttp://www.futura-sciences.com/sciences/definitions/matiere-aimant-3883/.Le doué ne doit pas tout prendre comme une attaque personnelle, ils disent dans les livres
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
La nazisme c'est un boulot de mecs, elles n'y sont pour rien.
C'est sans doute trop tabou/glissant pour que je me lance sérieusement dans une tirade la-dessus, mais j'avoue que je me pose pas mal de questions à ce sujet. Les femmes "impermeables" aux idéologies nauséabondes de leur chers moitiés ? hmmpf... j'ai comme un gros gros GROS doute
Vie et oeuvre d'Hanna Reitsch
PS : sinon, pour ma seconde réponse, je te taquinais, hein, rien de méchant
J'ai moi même beaucoup "philosophé" devant Loft Story ou pire encore
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
pola a écrit:Un jour, on m'a posé cette question bateau : "Toi, qu'est ce que t'en pense ?" Et cette fois, j'ai plus pensé pareil. J'ai plus pensé du tout. Enfin si mais je n'arrivais même plus à croire ce que je pensais.
C'est la base de mon système.
On nous a appris des tas de choses. On n'imaginerait même pas déroger à certaines règles incontournables. On réfléchit avec ce qu'on croit que les autres pensent.
Le déclic vient le jour où on s'autorise à accorder la priorité à ce qu'on pense soi-même.
Et la grosse surprise survient au moment où l'on constate que tous les autres autour de nous pensaient la même chose mais n'osaient pas le dire, par respect pour les pensées des autres. Enfin... ce que l'on supposait de la pensée des autres.
Et en fait non, on pensait tous plus ou moins la même chose.
C'est l'incroyable pouvoir des médias : nous faire croire que les autres, tous les autres, ne pensent pas comme nous. Nous faire croire que les Marion Seclin sont le reflet de ce que pensent les femmes.
En fait non. Comme l'a si bien exprimé Godzi, personne ne veut s'approprier ce discours.
Les femmes ne veulent pas qu'on les respecte, elles aimeraient bien qu'on leur adresse des compliments.
C'est la magie d'accorder de la valeur à ce que l'on pense, on a de fortes chances de toucher l'universel.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Plus belle la vie !
Chéri, tu penseras à sortir les poubelles !
Poubelle la vie !
Tu dis ?
Non, rien !
Chéri, tu penseras à sortir les poubelles !
Poubelle la vie !
Tu dis ?
Non, rien !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:
Poubelle la vie !
Une de mes compos d'électro a ce titre
Comme quoi l'inspiration "divine", hein
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tiens je me disais...
Quand c'est à vendre on se demande souvent si il y a arnaque alors que quand c'est un don, la question ne se pose pas.
Quand c'est à vendre on se demande souvent si il y a arnaque alors que quand c'est un don, la question ne se pose pas.
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pola a écrit:Tiens je me disais...
Quand c'est à vendre on se demande souvent si il y a arnaque alors que quand c'est un don, la question ne se pose pas.
Est ce que les MST sont considérées comme des dons, je me pose la question !
Invité- Invité
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
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