Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre

Jordan Sulli a écrit:personne ne m'aime

Ça ce n'est pas vrai

Zebra-Finch a écrit:

Jordan Sulli a écrit:personne ne m'aime

Ça ce n'est pas vrai

On se connait ?
Sinon tu saurais que c'est vrai

Ah, là c'est un signe, faut y aller vraiment je crois.

Jordan Sulli a écrit: personne ne m'aime

C'est mal foutu l'amour. Si y en a pas assez c'est chiant. Si y en a trop ça devient gênant. En plus y a des problèmes d'exclusivités. Je sais pas pourquoi les gens ont ce besoin d'être exclusifs. Je sais surtout pas pourquoi moi je suis comme ça. Mais bon. C'est couillon les émotions. Bref t'en va pas !! Le forum est vide sans toi.

Le forum est vide de toute façon, ducon !
Tu pourrais trouver d'autres arguments...

Numero6 a écrit:

UCCEN a écrit:Non, pour une fois y a un truc pertinent par quelqu'un d'autre que moi sur ce fil !


(ce message s'adressait à super chevalier breizhonned, pas aux autres touristes, ben entendu)

Ouais, il me fait le même effet le lascar.

Comme Patate la géniale, la sublimissime, la vénérable, mère de tous les Patatons. Celle que rien que d'en parler, on est sur de te voir rappliquer.

quel empathique ce numéro !!
encooore vas y fais moi monter l'auto-satisfaction... hum hummm hmmmmm c'est bon !!! aaaaarg je je je

@ mauccienne : tu vas encore te prendre un coup sur la truffe, tu viendras pas pleurer que ça pique après !

J'ai de la morve à grands pouvoirs cicatrisants.

U C C E N a écrit:Le forum est vide de toute façon, ducon !
Tu pourrais trouver d'autres arguments...

C'est bien à moi que tu t'adresses ? Ben chai pas. Propose donc toi.

stauk a écrit:

U C C E N a écrit:Le forum est vide de toute façon, ducon !
Tu pourrais trouver d'autres arguments...

C'est bien à moi que tu t'adresses ? Ben chai pas. Propose donc toi.

on a qu'à tous s'aimer les uns, les autres (mais vite fait, j'ai pas trop de temps en ce moment)

stauk a écrit:C'est bien à moi que tu t'adresses ? Ben chai pas. Propose donc toi.

Si Uccen n'a pas d'idées, moi j'en ai..

Oh oui Patate je t'aime à la vapeur

Jordan Sulli a écrit:

Zebra-Finch a écrit:

Jordan Sulli a écrit:personne ne m'aime

Ça ce n'est pas vrai

On se connait ?
Sinon tu saurais que c'est vrai

bah NOUS on se connait et demain je te fais un vraaaaaaaaiiiiiiii bisou !

Merde j'm'a trompé c'est P(l)atatonique la proposition.

Mieux c'est bitblique !
Aimez-vous les uns, les autres...

c'est l'esprit sein...

stauk a écrit:C'est bien à moi que tu t'adresses ? Ben chai pas. Propose donc toi.

De quoi, réconforter les gens, tout ça ??

Tu te fous de ma gueule.
A part mes très proches...

Moi j'ai besoin que tu me réconfortes Uccen

Merci ma Patate.
Je disais ca pour déconner, mais Stauk a réussi à me persuader (faut jamais dire à un mec qui veut se suicider de ne pas le faire, c'est là qu'il va le faire sinon).
Je vais me désinscrire.
Je vais pas étaler les raisons ici, c'est un fil noble pas pour les chialeuses. Pour ça j'ai mon fil.
Zc m'a tuer.

à zebra machin

Ah bon ?
Ben c'est bien,
mais j'en ai rien à foutre.

Mais chuis super poli, alors je prends le temps de l'écrire.




(nan en fait là d'un coup mon empathie légendaire m'attrape par le col et un horrible doute s'immisce en mes vaisseaux capillaires, merde alors et si ce con assez vaguement désagréable de zébra-finch était quelqu'un en vrai, enfin  un vrai quelqu'un, et même un peu sensible, disons pour donner mesure un tantième de l'extraordianire sensibilité qui m'habite, et que j'eusse par scandaleuse mégarde véritablement heurté un être en chair et en os -en plus ça s'trouve y pue, beurk...- et qu'il en vint à s'apitoyer sur son sort ou à se rentrer dans sa coquille, à saborder son compte, voire à s'ôter sa misérable vie, ce n'en quand même pas rien, même si c'est peu de choses, et la conscience proprement phénoménale qui est la mienne ne s'en remettrait pas, et je me poursuivrais journellement de remords intransigeants jusqu'à devenir plus que dingue plus qu'aujourd'hui et je tiens trop à ma personne non alors faut que je dise un mot gentil mince je sèche aller mon con vas-y lance toi !)


Bon va pas te suicider pour autant, hein, connard !

Désolé J........i

Jordan Sulli a écrit:Merci ma Patate.
Je disais ca pour déconner, mais Stauk a réussi à me persuader (faut jamais dire à un mec qui veut se suicider de ne pas le faire, c'est là qu'il va le faire sinon).
Je vais me désinscrire.
Je vais pas étaler les raisons ici, c'est un fil noble pas pour les chialeuses. Pour ça j'ai mon fil.
Zc m'a tuer.

Tsssss !!! C'est QiQi t'embête ? J'y Kakass saggle !

Jordan Sulli a écrit:
Je disais ca pour déconner, mais Stauk a réussi à me persuader (faut jamais dire à un mec qui veut se suicider de ne pas le faire, c'est là qu'il va le faire sinon).
Je vais me désinscrire.

Ah mais non. J'ai dis que tu dois rester. Et tu réponds que tu t'en vas !

ZeBrebis a écrit:Mais bon, voilà,  j'ai passé un tiers de ma vie à croire que les limites étaient néfastes, barrières aux contacts, et je passerai les deux autres en me disant qu'elles structurent et empêchent de se compromettre dans tout et n'importe quoi.
Qu'elles permettent le choix de la réponse, le choix dans le fait d'entrer ou non en contact et à quel moment, bref que les limites libèrent.

Je sais, c'est approximatif, un peu niais, mais le gros de l'idée y est.

T'sais que t'es belle quand t'es niaise ?

C'est ça, c'est exactement ça. Les limites libèrent.

Ne pas avoir de limites, c'est se contenter du statut de fluide gouverné par la gravité. L'autre est vide, je le remplis, l'autre déborde, je l'absorbe.

Se reconnaitre limité, c'est savoir se protéger du diktat de l'échange. Admettre que sa cuve a un volume fini pour s'épargner un transvasement dévastateur. J'ai ma petite fontaine à moi, et j'en ai besoin.

Me vient l'image d'un bol que l'on chercherait à remplir avec une lance à incendie. A la fin, le bol reste vide.

L'arrogance des surdoués, dont parlait Stauk sur le fil qu'il a ouvert à ce sujet, vient peut-être de cette position de sentinelle. Concentré sur les courants océaniques, on se croit à l'abri de l'écume des vagues sur la plage. Et chaque vague repart avec un peu de sable, et les pieds s'enfoncent, lentement, insidieusement sous nos pieds. Et quand le Tsunami arrive, et que personne ne tient compte de nos avertissements, on est là comme des cons, du sable jusqu'aux épaules.

Si arrogance il y a c'est de croire que la perception des marées met à l'abri. Je recherche d'autres sentinelles pour ne pas me sentir complètement idiot, à scruter l'horizon pendant que les autres font des patés ou du crawl.
Comment prendre plaisir aux joies de la plage si personne ne surveille La vague ?

- Arrête de faire le con, Numero6, viens jouer avec nous, il fait super beau.

- Ok, Ok, qui surveille à ma place ? Personne ? Fait'ch.

Cette putain de manie que j'ai de pousser les métaphores jusqu'au bout juste pour voir ce qu'elles ont dans le ventre !


Pour en revenir aux limites, c'est ça, elles structurent. Je ne suis que moi. Et je me trompe, c'est obligatoire que je me trompe, je bricole dans mon coin pour prévoir la survenue de la vague.

- Numero6, t'es le tronpa, guide-nous vers la lumière.

- Bon, ben... Tirez-toi, c'est tout ce que je peux vous répondre. Vous me déconcentrez.

Par contre, l'autre connard qui mate l'horizon, j'ai beau savoir que son bricolage est nullissime par rapport à mes géniales conclusions, je vais quand même aller jeter un coup d'oeil à ses graffitis. Et en accordant un oeil complaisant à ses modestes tentatives, je vais avoir le plaisir de penser "l'enculé de sa race, je n'avais pas du tout pensé à ça, l'enfoiré, comment a-t-il réussi à voir ce truc que j'ai sous les yeux depuis le début."

Je bafouille quelques mots juste pour faire celui qui n'en a rien à foutre, et je cours refaire mes calculs. L'enculé, merde, il a raison, faut que je reprenne tout. Mais comment ai-je pu être aussi con, c'était là, sous mes yeux et je ne voyais rien.

C'est un réflexe.

Il y a tellement d'âmes charitables qui sont venus apporter leur avis, leurs conseils. "Ton algorithme, là, je le sens pas", "Machinchouette a démontré la prévalence de la théorie des marées dans la prévision des entrechats des plaques tectoniques en l'an de grâce 1535, tu devrais le savoi". "Tu devrais venir te baigner l'eau est géniale."
Pas un capable de comprendre mes bricolages. J'ai fini par ne plus tenir compte des commentaires. Je leur offre une bière, je rote et je pète en montant chez kate. Moralité, eau et gaz à tous les étages. Comme ça ils me foutent la paix. Je suis un peu con, mais j'ai de la bière fraiche.

Quand je suis enfin tranquille, je refais tous les calculs, avec mon bricolage à moi, et avec les graffitis de l'autre connard. Et globalement, j'arrive à peu près au même résultat. Merde. Deux manières de faire, une communauté de résultat.

Comme je suis hyper-méga-intelligent, je mixte les deux méthodes. Et le résultat est faux, à l'évidence faux. Le Tsunami aurait du se produire la semaine dernière. Mais c'est quoi cette connerie ?

Je sais que je me trompe, je sais que je ne tiens pas compte des graffitis de l'autre, mais ça marche. J'ai mes limites. A l'intérieur de mes limites je suis bon. Bon en étant faux, bon en ne tenant compte que d'une partie du réel, la mienne. Mais ça marche.

Plus je me contenterais de mes limites, plus mes résultats seront concordants avec ceux de l'idiot aux graffitis, et plus je serais proche de lui, en calculant autrement. Cette idée m'arrache les neurones.

CuiCui a écrit:Siouplé, quinkun peut m'expliquer comment qu'on fait sans lire pour savoir si ça blesse ou pas?

Et comment qu'un gamin sait que les épinards c'est pas bon ?

Sans les parents qui vous imposent de manger ce truc immonde, aucun enfant ne ferait l'effort de développer son gout pour le vert, pour plus tard.

Dans le domaine de la pensée, c'est pareil. Faut gouter plein de trucs dégueus pour s'y habituer, pour éviter de ne plus savoir apprécier que frites et pates.

J'ai eu la chance de croiser certaines personnes qui m'ont expliqué pourquoi mon bricolage allait forcément se casser la gueule. Ils avaient raison. Ils avaient très souvent raison. Ils m'ont fait grincer des dents parce que j'aurais bien aimé que tous mes bricolages soient un aboutissement ultime. Je suis le messager, le divin dicte mes actes.

- Là, tu vas te planter parce que tu n'as respecté le soutènement minimun, tu vas voir, arrivé au troisième étage, tout va s'écrouler. Enculéééésss, ils avaient raison. J'ai fait comme il disait, j'avais l'impression de me servir de ma main gauche, mais c'est con son putain de truc, jamais je n'aurais fait comme ça. J'ai appris à me battre contre mon cerveau. Encore un enculé celui-là.

Progresser ça fait mal. Apprendre ça fait mal. A se laisser gentiment bercer par le courant induit par ses neurones, on finit sur la berge, faut ramer pour échapper à l'échouage.

J'arrête là. ZeBrebis va encore vous résumer tout ça en deux lignes. Elle m'énerve avec ses graffitis.

Le mec qui ne connaît pas les techniques de sauvetage coule avec le noyé.
Ça fait 2 victimes au lieu d'une.

loli loul a écrit:Le mec qui ne connaît pas les techniques de sauvetage coule avec le noyé.
Ça fait 2 victimes au lieu d'une.

Et merde, encore plus synthétique que ZeBrebis.

Mais cela ne concerne que la co-dépendance.

Dans ce domaine, je dirais que pour sauver quelqu'un, on peut le faire à condition de n'en attendre aucune récompense. Et encore moins en espérer une gratification. Sauver quelqu'un c'est une corvée qu'on aimerait bien éviter. Ce qui impose de connaitre ses limites.

J'ai parfois l'impression qu'un noyé vous inocule l'illusion que ses "Help ! Help !" vous donnent les compétences d'un nageur-sauveteur professionnel.
L'avait qu'à apprendre à nager au lieu d'apprendre l'anglais. Ce con.

Et si les calculs étaient bons pour calculer l'avancée des nuages plutôt que pour calculer les marrées, vous seriez deux à vous rendre compte que tout était juste sauf le but et au lieu de vous noyer vous pourriez voler.

Uccen a écrit:Ah oups je parlais de collier de nouilles,
pas de collier de nouilles.

Du genre on en un fait un beau collier de nouilles ici?

Kass a écrit:j'me sens déviante quand je lis ce fil...

J'me sens carrément OVNI parfois quand je lis ce fil.

supercalifragilis a écrit:
Merde j'm'a trompé c'est P(l)atatonique la proposition.

Yo girl, American Pie 4, LE chef-d’œuvre. La scène où Alyson Hannigan se fait culbuter dans la salle de concert... Hmmmm...

oh mais oh ! STASI c'était des vrais méchants

Bon alors on va dire que j'étais passée pour dire que j'arrivais à s'poiler mais non en fait.

on ne peut pas te citer/quoter etc ici tellement ton fil va vite

je retiens deux choses enfin deux choses m'ont interpellée dans le texte où tu parles de l'homo oh Stasi

le fait d'observer ses contemporains : je me suis revue dire ça à un collègue la plage : j'observe mes contemporains, me surprenant moi de le dire et à l'époque j'étais encore alors une zarbi contemporaine aussi... bref

le fait de chercher sa place : je n'ai pas de place, cette phrase d'observer d'ailleurs le démontre, toujours en part mais aussi en recul permanent, par contre j'observais les normo pensants ?.... afin justement de m'encastrer dans le puzzle mais ma fonction en ce bas monde est apparemment de déranger le puzzle et non pas de me ranger dedans.

sur la norme, les normo pensants ne sont que des personnes qui vont la même chose pour se sentir ensemble et que contrairement à un surdoué (ou le terme qu'on voudra) ils ne savent pas être tous seuls, quitte à être excessivement mal accompagné, qui à subir beaucoup de choses et quitte à ouvrir les yeux bien tardivement sur cette notion de collectivité qui finalement ne l'est pas du tout.

et j'ai aussi envie de dire le mot "échange" ainsi que celui de "réciprocité". je viens ici ailleurs quelque part le fait qu'on se projetterait dans l'autre (si j'ai bien compris), ma pensée est que le surdoué a la chance d'être différent donc du coup il peut échanger autrement que sur le mode normo pensant : on cherche les points communs et on délimite sa cloison, mais plutôt sur : chouette on s'enrichit de différences et on dépasse les limites.

pour avoir alors blablater avec je ne sais combien de np, il ne souhaite surtout pas que tu adoptes son mode de pensée (sauf les pas gentils, les jaloux, etc, chacun sa personnalité quand même) et est souvent très heureux du changement, du rayon de soleil, et de l'anti routine que tu peux lui apporter ainsi qu'une vision qu'il ne peut pas avoir : la mise en perspective etc.

voilà je retourne reviser comment on s'poile

'oméopathie, Pauv' Juliette.

La stasi m'a remis en tête le roman de Thomas Brussig, Le complexe de Klaus.

Selon la rumeur répandue jusqu'aux Etats-Unis, un héros inconnu aurait joué un rôle déterminant dans la chute du Mur de Berlin. Son nom ? Klaus Uhlitzscht. Au journaliste américain venu l'interviewer, ce jeune Berlinois de l'Est explique les circonstances qui l'ont amené, un jour de novembre 89, à un geste incongru et lourd de répercussions historiques. Mais le roman iconoclaste et revigorant de Thomas Brussig est avant tout le monologue hilarant d'un jeune mâle déchaîné, qui s'affranchit de ses tutelles. Celle d'une mère castratrice qui le surprotège - elle est inspectrice de l'hygiène - et celle d'un père trop autoritaire -il est agent de la Stasi. En grandissant, Klaus a développé un mélange détonnant de refoulement et de mégalomanie : s'il ne doute pas d'être un futur Prix Nobel, il se croit aussi affublé d'un sexe ridiculement petit et incontrôlable. L'école, les camps de vacances pour adolescents, puis la Stasi où son père l'a fait entrer sont pour lui l'occasion d'une série de découvertes, de surprises et de malentendus liés à son obsession majeure : le sexe. A travers le récit des mésaventures de Klaus, Thomas Brussig nous propose, avec un humour qui l'a fait comparer à Woody Allen ou a Philip Roth, une satire particulièrement incisive de la réalité socialiste. Une œuvre qui, en Allemagne, a été reçue comme un véritable choc littéraire.

Allez donc savoir pourquoi ce résumé de quatrième page me fait penser à Stauk.

Stauk - Klaus - Stasi. Philippe Roth, Woody Allen, obsession majeure ?

J'ai pas compris... j'aimais les épinards... fallait pas?

Ca ressemble à un coup bas (tout le monde saura situer l'endroit*) Numero6.
Mais je ne te jetterai pas la pierre, comme tu m'as caressée dans le sens du poil. Je suis trop occupée à ronronner présentement.

*Je viens d'ailleurs de me rendre compte que c'est de ce genre de coups donnés aux hommes que vient l'expression de "coup bas". J'ai des éclairs de compréhension parfois...

David Lee Roth et Van Halen, il existe donc une part musicale en toi en stock.

Rome est haut et Juliette fait ce qu'il peut

m'a l'air plutôt pas mal ton bouquin, tu m'avais rappelé ma visite à Rostock d'une prison de la STASI mais ton repère plutôt "sexe" me rappelle d'autant plus certains instruments de torture que j'y avais vu, les portes étaient closes, et je doute qu'ils jouaient à la Barbie

Bouquin commandé et hop, merci pour l'info je le reçois, je le lis et je repasse donner mon avis

c'est vrai : hiver, épinards égalent Fer (mais ça se commande pas sur price minister)

Juste pour info: Popeye, le fer il le trouve surtout dans la boîte de conserve.
Les épinards contiennent du fer mais à raison de 4 milligrammes par 100 g contre 24 milligrammes pour 100 grammes de moules
Du coup ce soir, c'est moules aux épinards pour tout le monde! avec des frites comme il se doi(g)t

Zoui, les épinards sont relativement pauvres en fer, et difficilement assimilable car il s'agit de fer végétal, contrairement à l’entrecôte ou au pinard.

De là à envisager un complot fomenté par le lobby des épinards... je dis ça, je dis rien.

Pffff et les olives alors ?? y'en a toujours que pour les marins d'eau de mer et leur spinach !

j'ai pas proposé de moules en remplacement?

Décidément, j'ai un humour incompris

Numero6 a écrit:Zoui, les épinards sont relativement pauvres en fer, et difficilement assimilable car il s'agit de fer végétal, contrairement à l’entrecôte ou au pinard.

De là à envisager un complot fomenté par le lobby des épinards... je dis ça, je dis rien.

J'ai pas compris. Le pinard n'est pas végétal?

p'tite nan a écrit:j'ai pas proposé de moules en remplacement?

Décidément, j'ai un humour incompris

Mais si mais si, j'y ai pensé en te lisant

Je relance en disant que si beaucoup de surdoués refusent d'entrer dans le moule, il en est tout autrement quand on passe au féminin.

Numero6 a écrit:
Dans ce domaine, je dirais que pour sauver quelqu'un, on peut le faire à condition de n'en attendre aucune récompense. Et encore moins en espérer une gratification. Sauver quelqu'un c'est une corvée qu'on aimerait bien éviter. Ce qui impose de connaitre ses limites.

Un de mes profs, qui était un ancien mns, nous a expliqué un jour qu'il suffisait de se laisser couler pour que le noyé lâche prise, et qu'on pouvait essayer de le récupérer ensuite.
Parce que le noyé n'est pas con, ce qu'il veut c'est rester à la surface, donc si tu coules, il te lâche.
Bref, c'est vrai que connaître ses limites permet de se libérer, le temps de reprendre des forces et de respirer, pour y retourner après si besoin.
C'est utile lorsqu'on n'a vraiment pas le choix et qu'on est obligé d'y aller :/

D'autres mns m'ont dit qu'il suffisait d’assommer la victime, mais là je ne sais pas trop comment ça se traduirait.

Peut-être que ça concerne plus les médecins qui prescrivent des médicaments ça.



Y'en a quand même beaucoup qui veulent sauver pour la frime - ils peuvent même être tentés de sauver ceux qui ne sont pas en train de se noyer.
Des fois, c'est par ignorance aussi. Le sauveur pense que tu ne sais pas nager, alors que tu fais simplement des ondulations dans l'eau avec les bras le long du corps - mais il ne connait pas alors...

J'ai parfois l'impression qu'un noyé vous inocule l'illusion que ses "Help ! Help !" vous donnent les compétences d'un nageur-sauveteur professionnel.
L'avait qu'à apprendre à nager au lieu d'apprendre l'anglais. Ce con.

Ouais, y'a pas mal d'inconscience là dedans - et ça peut être super dangereux pour la victime aussi.
Lorsqu'on voit arriver quelqu'un avec une barre de fer plantée dans la cuisse, on a envie de la retirer, mais là pouf c'est l'hémorragie, le sang gicle, c'est dégueulasse, et la victime claque. Y'aurait plutôt fallu l'amener à l'hosto.

J'ai besoin d'un calin!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est fatigant les animi.

cuicui a écrit:J'ai besoin d'un calin!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est fatigant les animi.

Bien d'accord.

L'autre jour, une charmante jeune femme nous jouxtait. Pas belle, mais attirante à se damner. Toute de noir vêtue, les chevilles découvertes par le bas de son pantalon s'ornaient de résilles, les souliers noirs vernis finissaient d'achever la perfection de l'ensemble. Le regard sublime, les cheveux comme une couronne. Yooouuuhouuuuu.

L'autre obsédé sexuel en face de moi matait à tour de bras, ce qui, vous l'admettrez sans barguigner, reste une pratique réservé à l'élite. Je savais bien qu'elle allait quitter le bistrot, le destin est cruel. Elle a hélé un taxi et comme dans les films un taxi a répondu à son appel. Elle est monté dans le taxi avec ses souliers vernis, tout plat.

Comme mon collègue obsédé sexuel a appris à lire tout seul, qu'il a une sensibilité de gazelle, et qu'il me pose des questions bizarres, j'ai tenté ma chance. Je lui ai demandé si lui aussi ressentait l'absence de la Sublime, s'il partageait cette sensation de manque.
C'est ce que j'apprécie chez lui, il ne pense pas du tout comme moi. Il m'a répondu que pour lui la chaise vide était la promesse qu'une autre y prenne place.

Un autre a conclu que c'était normal, qu'un anima comme le mien, on ne le rencontre qu'à la foire du trône.

C'est con. J'aimerais bien aimé pouvoir en parler de la femme en noir. Encore maintenant elle me manque un peu.

Des calins ? Pffff... Bon d'accord, mais alors on cause de la femme en noir.

On cause de la veuve en noir quand tu veux mais pour le calin, c'est avec l'anima.
Pasque les animi... pfffff....
Té.. puis y'a aussi zebrebis qui s'y connait en passantes...

J'ai encore le souvenir d'hommes que j'ai croisés ado et dont la présence m'a marquée. Je me dis que je suis peut-être passé à côté d'une autre vie. Comme un passage vers un monde parallèle ou tout serait différent.

p'tite nan a écrit:Je me dis que je suis peut-être passé à côté d'une autre vie. Comme un passage vers un monde parallèle ou tout serait différent.

Oh c'est certain même. On passe en permanence à côté d'une infinité de possibles. J'ai choisi d'être ici et maintenant, cela élimine toutes les autres possibilités et tout ce qui découlerait d'actions différentes.

Pour moi les hommes qui m'ont marquée sont surtout la preuve qu'il existe des hommes marquants. Je raisonne un peu comme ton collègue Numero6 donc.

Sauf qu'il ne s' agit pas de remplacer quelqu'un (lorsque la personne n'est pas interchangeable avec une autre ce serait proprement impossible) mais au contraire d'en garder l'impression pour en chercher d'aussi profondes. D'une autre forme, mais de même intensité.

pourquoi tu l'appelles mon collègue?