Que faire quand on ne travaille pas ?
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Que faire quand on ne travaille pas ?
Bonjour,
Cela faisait plusieurs années que je n'avais rien posté sur ce forum...
Ma question est à la fois simple et compliquée : que faire quand :
- on ne veut pas que sa vie se résume à travailler pour payer le loyer, la voiture et régler les emprunts à la consommation ;
- on n'a aucune passion particulière (art, animaux, sport...) ;
- les interactions sociales nous sont pénibles à cause d'un autisme léger ;
- il y a une certaine urgence à répondre à la question parce qu'on a moins de 25 ans et plus droit à la bourse étudiante à partir de septembre ?
Je ne sais pas vraiment pourquoi je poste, chaque situation est spéciale et je ne vois même plus quelle réponse peut-être faite sans tomber dans les clichés généraux (faire de l'humanitaire...trouver un emploi pour survivre...) :s
Cela faisait plusieurs années que je n'avais rien posté sur ce forum...
Ma question est à la fois simple et compliquée : que faire quand :
- on ne veut pas que sa vie se résume à travailler pour payer le loyer, la voiture et régler les emprunts à la consommation ;
- on n'a aucune passion particulière (art, animaux, sport...) ;
- les interactions sociales nous sont pénibles à cause d'un autisme léger ;
- il y a une certaine urgence à répondre à la question parce qu'on a moins de 25 ans et plus droit à la bourse étudiante à partir de septembre ?
Je ne sais pas vraiment pourquoi je poste, chaque situation est spéciale et je ne vois même plus quelle réponse peut-être faite sans tomber dans les clichés généraux (faire de l'humanitaire...trouver un emploi pour survivre...) :s
Chantilly- Messages : 9
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
le mariage, je vois que ça comme solution pour vivre sans passions et ne pas travailler.
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Déjà fait...
Chantilly- Messages : 9
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
sans tomber dans les clichés, y'a mourir de faim comme réponse
ne pas vouloir survivre voire même quelle audace vivre c'est curieux comme questionnement
voir comme ça la vie c'est se fermer les portes à tout je trouve.
ne pas vouloir survivre voire même quelle audace vivre c'est curieux comme questionnement
voir comme ça la vie c'est se fermer les portes à tout je trouve.
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
surtout que le mariage pour ces motifs c'est aller dans le mur total comment se rendre non pas autonome et heureux mais ultra isolé et ultra dépendant
bouh je sais pas faire extraterrestre ? carrément ? ah ben non les extraterrestres n'ont pas d'urgence ... en fait tu fais une demande d'adoption en échange de rien ?
bouh je sais pas faire extraterrestre ? carrément ? ah ben non les extraterrestres n'ont pas d'urgence ... en fait tu fais une demande d'adoption en échange de rien ?
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Pas très sympa l'humour ironique dans cette situation. C'est récurrent dans les fora quel qu'ils soient. On poste parce qu'on est en galère et qu'on a besoin d'aide, ou au moins de s'exprimer, et on se prend des remarques de type "c'est de ta faute", "fallait pas faire ça", "ta demande n'a aucun sens", "moi ça me fait marrer ce genre de post"...
Si c'est pour lâcher son petit trait d'humour méprisant pour être content de soi, il vaut mieux s'abstenir je pense.
On peut très bien formuler les mêmes remarques sans être blessant.
Si c'est pour lâcher son petit trait d'humour méprisant pour être content de soi, il vaut mieux s'abstenir je pense.
On peut très bien formuler les mêmes remarques sans être blessant.
Chantilly- Messages : 9
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Chantilly : Peut-être te reconnaîtras-tu dans cette définition :
« Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant. »
(source : ministère de la Santé et des solidarités, 11/04/2006).
Dans ce cas, tu as une piste du côté de ce Lien...
Et si tu veux avoir de plus amples informations sur le sujet, c'est ICI
Bonne suite à toi ...et rappelles-toi bien que :
"Il y a toujours une solution à un problème, d'ailleurs, c'est à ça qu'on le reconnaît."
(Bon, comme cette citation ne se retrouve à-priori pas sur le net, c'est qu'elle est de moi alors ...pourtant, il me semblait l'avoir déjà entendu ou lu...peut-être était-ce seulement dans ma tête )
« Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant. »
(source : ministère de la Santé et des solidarités, 11/04/2006).
Dans ce cas, tu as une piste du côté de ce Lien...
Et si tu veux avoir de plus amples informations sur le sujet, c'est ICI
Bonne suite à toi ...et rappelles-toi bien que :
"Il y a toujours une solution à un problème, d'ailleurs, c'est à ça qu'on le reconnaît."
(Bon, comme cette citation ne se retrouve à-priori pas sur le net, c'est qu'elle est de moi alors ...pourtant, il me semblait l'avoir déjà entendu ou lu...peut-être était-ce seulement dans ma tête )
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
ben mince, je t'aurais bien proposé l'étape suivante qui est le divorce, mais c'est un peu l'effet inverse au niveau revenu, tu bosses mais c'est pour la voiture, l'appartement et la consommation de quelqu'un d'autres. Par contre au niveau relation social, c'est pas si mal, ça fait un peu le vide autour de toi.Chantilly a écrit:Déjà fait...
Plus sérieusement, si tu as pas trop de passion et pas envie de bosser, il y a le fonctionnariat, c'est presque comme un travail mais tu dois seulement te lever la matin. Et pas de risque pour la voiture ou la maison, tu gagneras juste de quoi manger.
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Chantilly a écrit:Pas très sympa l'humour ironique dans cette situation. C'est récurrent dans les fora quel qu'ils soient. On poste parce qu'on est en galère et qu'on a besoin d'aide, ou au moins de s'exprimer, et on se prend des remarques de type "c'est de ta faute", "fallait pas faire ça", "ta demande n'a aucun sens", "moi ça me fait marrer ce genre de post"...
Si c'est pour lâcher son petit trait d'humour méprisant pour être content de soi, il vaut mieux s'abstenir je pense.
On peut très bien formuler les mêmes remarques sans être blessant.
J'ai écrit ça où ?
Confuse si cela t'a blessé, ce n'était aucunement le but, ni aucune ironie, preuve en est est que j'aurai pu ne pas répondre, ma réponse correspond à l'urgence que tu postes. elle était façon de prévenir, tu prends ou tu laisses, perso dans les situations urgentes, je n'ai et ne prend le temps de philosopher, je vais à l'essentiel donc excuses de t'avoir répondu ceci mais je ne vois pas d'autres réponses à tes questions... vouloir faire des choix et avoir le choix je conçois au moment où on ne l'a pas ça m'a surprise, tu vas te retrouver confronter à des choses et des gens bien moins sympathiques que moi et ça ne te fera pas rire
j'ai pris ta demande dans le sens d'une demande de feedback, je te l'ai donné et dans tes propos bien moins durs que ceux dont tu t'affubles toi même. en tout cas je remarque que tu as le temps dans l'urgence de tenter d'analyser l'autre plutôt que d'échanger chacun ses priorités dans la vie
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Merci Godisgood.
Pour clarifier les choses je suis la femme de la personne dont j'expose la situation. J'ai pensé au handicap, c'est la seule piste financière que j'ai pour le moment pour que mon conjoint ait de quoi subvenir à ses besoins (moi je ne peux pas faire vivre deux personnes). Mais ça ne servira qu'à court terme, pour renouveler le droit à la bourse, car je pense qu'il ne sera jamais reconnu handicapé au point de percevoir une allocation MDPH. Les chances de succès actuels pour faire reconnaître l'autisme sont déjà faibles (vu qu'il est paradoxalement un champion de la communication, ça va pas être facile).
ça fait des années qu'il est en mode "survie", ou du moins ce que je considère comme tel : on a un appart, une voiture (déjà payée), de la nourriture autant qu'il en faut, et absolument rien à faire de constructif et de sérieux de son côté. Se lever le matin et n'avoir rien à faire, puisque de toute façon il peut boucler ses études en deux semaines par semestre. Chaque projet qu'il a essayé de lancer a échoué. Il ne sait plus quoi entreprendre. A force de démotivation il a lâché ses études dont il ne voyait absolument pas là où ça pourrait le mener.
Continuer cette vie est juste insupportable... Avoir une alloc handicapé, ok, ça continue ce que j'appelle la "survie", mais c'est juste immonde comme situation je trouve. Constater tous les jours son inutilité, le temps qui se gaspille, la jeunesse qui passe dans l'inaction totale, les capacités qui ne servent à rien et qui dégénèrent... Et aucun but à l'horizon, aucun fil conducteur qui pousse à se lever le matin et abattre tous les obstacles parce qu'on a un objectif, un projet, une raison de vivre...
Toujours cette incertitude, ce flou total : qu'est-ce que je vais faire de ma vie, la même question depuis quinze ans...
Pour clarifier les choses je suis la femme de la personne dont j'expose la situation. J'ai pensé au handicap, c'est la seule piste financière que j'ai pour le moment pour que mon conjoint ait de quoi subvenir à ses besoins (moi je ne peux pas faire vivre deux personnes). Mais ça ne servira qu'à court terme, pour renouveler le droit à la bourse, car je pense qu'il ne sera jamais reconnu handicapé au point de percevoir une allocation MDPH. Les chances de succès actuels pour faire reconnaître l'autisme sont déjà faibles (vu qu'il est paradoxalement un champion de la communication, ça va pas être facile).
ça fait des années qu'il est en mode "survie", ou du moins ce que je considère comme tel : on a un appart, une voiture (déjà payée), de la nourriture autant qu'il en faut, et absolument rien à faire de constructif et de sérieux de son côté. Se lever le matin et n'avoir rien à faire, puisque de toute façon il peut boucler ses études en deux semaines par semestre. Chaque projet qu'il a essayé de lancer a échoué. Il ne sait plus quoi entreprendre. A force de démotivation il a lâché ses études dont il ne voyait absolument pas là où ça pourrait le mener.
Continuer cette vie est juste insupportable... Avoir une alloc handicapé, ok, ça continue ce que j'appelle la "survie", mais c'est juste immonde comme situation je trouve. Constater tous les jours son inutilité, le temps qui se gaspille, la jeunesse qui passe dans l'inaction totale, les capacités qui ne servent à rien et qui dégénèrent... Et aucun but à l'horizon, aucun fil conducteur qui pousse à se lever le matin et abattre tous les obstacles parce qu'on a un objectif, un projet, une raison de vivre...
Toujours cette incertitude, ce flou total : qu'est-ce que je vais faire de ma vie, la même question depuis quinze ans...
Chantilly- Messages : 9
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Oui, je comprends mieux maintenant.
Tu décrits là surtout son vide existentiel profond, l'autonomie financière apportée par l'AAH ne répondra évidemment pas à cette question.
Note toutefois qu'en dehors de trouver que "c'est juste immonde comme situation" comme tu le ressens, l'AAH peut aussi être considérée de la part de la société comme une reconnaissance -fortement éthique paradoxalement je trouve- de vouloir intégrer toute personne se trouvant dans l'incapacité à trouver une utilité ou fonction au sein de celle-ci, en leur accordant le droit à une compensation pour y vivre -certes à l'écart de ces activités de part le fait- suffisamment décemment.
C'est d'ailleurs le fond même de la dernière loi sur le handicap de 2005, et à ce titre, je trouve que l'Etat français se positionne à la pointe de l'intégration de toute la diversité humaine.
Il reste cependant encore et toujours du chemin à parcourir bien-sûr, en particulier une intégration "visible" et une protection face aux jugements et exclusion, mais tout de même, quel autre état du monde reconnaît et accepte en son sein des individus si peu nombreux dans son cas, sans les juger ni même les exclure ?
On est loin là des sales réflexions couramment entendues encore de nos jours de la part d'une certaine population dont la valeur "travail" est la seule envisageable...et qui nient du coup tout autre façon d'appréhender la vie, tu ne trouve pas ?
Cela me fait penser à une citation du célèbre écrivain français du 17è siècle La Bruyère :
« Il faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d'esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi, et à ne rien faire.
Personne presque n'a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires.
Il ne manque cependant à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler.» — La Bruyère
Tu imagines le courage qu'il a eu à l'époque pour réussir à écrire de tels propos ? Peut-être même que cet écrit a été trouvé dans ces affaires personnelles et publié publiquement seulement post-mortem.
Tu décrits là surtout son vide existentiel profond, l'autonomie financière apportée par l'AAH ne répondra évidemment pas à cette question.
Note toutefois qu'en dehors de trouver que "c'est juste immonde comme situation" comme tu le ressens, l'AAH peut aussi être considérée de la part de la société comme une reconnaissance -fortement éthique paradoxalement je trouve- de vouloir intégrer toute personne se trouvant dans l'incapacité à trouver une utilité ou fonction au sein de celle-ci, en leur accordant le droit à une compensation pour y vivre -certes à l'écart de ces activités de part le fait- suffisamment décemment.
C'est d'ailleurs le fond même de la dernière loi sur le handicap de 2005, et à ce titre, je trouve que l'Etat français se positionne à la pointe de l'intégration de toute la diversité humaine.
Il reste cependant encore et toujours du chemin à parcourir bien-sûr, en particulier une intégration "visible" et une protection face aux jugements et exclusion, mais tout de même, quel autre état du monde reconnaît et accepte en son sein des individus si peu nombreux dans son cas, sans les juger ni même les exclure ?
On est loin là des sales réflexions couramment entendues encore de nos jours de la part d'une certaine population dont la valeur "travail" est la seule envisageable...et qui nient du coup tout autre façon d'appréhender la vie, tu ne trouve pas ?
Cela me fait penser à une citation du célèbre écrivain français du 17è siècle La Bruyère :
« Il faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d'esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi, et à ne rien faire.
Personne presque n'a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires.
Il ne manque cependant à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler.» — La Bruyère
Tu imagines le courage qu'il a eu à l'époque pour réussir à écrire de tels propos ? Peut-être même que cet écrit a été trouvé dans ces affaires personnelles et publié publiquement seulement post-mortem.
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Ah bah voilà pourquoi ça me parle tant :Chantilly a écrit:Toujours cette incertitude, ce flou total : qu'est-ce que je vais faire de ma vie, la même question depuis quinze ans...
C'est exactement la question que je posais continuellement à ma mère depuis l'âge de 3-4 ans environ...
Ma pauvre mère se démenait tellement pour tenter de me trouver des pistes d'activités pourtant, mais rien ne me convenait, ou plutôt chaque nouvelle chose ou projet finissait par m'ennuyer tellement rapidement....avec la lourde déception qui s'en suivait...
D'ailleurs, je crois qu'il n'y a là rien de pire pour une mère que de se retrouver dans l'incapacité à pouvoir répondre ou trouver une solution pour son enfant !
Je garde d'ailleurs en mémoire gravé à jamais son regard perdu face à moi lorsque, complètement désabusé suite à la déception d'une nouvelle occupation déjà aboutie, je retournais la voir pour lui poser toujours la même question :
"Maman, qu'est-ce que je pourrais faire ?"
Tout ça pour qu'à l'âge de 6 ans, j'avais dû arriver à un constat : aucun adulte n'allait être en mesure de m'aider ou de me trouver une solution. J'étais désormais seul au monde, et j'allais devoir me débrouiller seul...
Cet état de fait m'a poursuivi toute ma vie, malgré de très nombreuses expériences différentes, amicales, sentimentales, professionnelles, études et autres...
Aujourd'hui, et depuis quelques années, j'ai fini par accepter mon "sort" : celui d'accepter tout simplement que c'est comme ça :
Pour cela, il m'a fallu allé trouver une logique et une existence spirituelle personnelle bien au-delà des affaires humaines de cette terre dont je suis désormais totalement détaché depuis une dizaine d'années...
Et je me rends compte qu'entre chaque nouvelle étape de vide d'activité, je finis toujours par retrouver le goût à un nouveau projet -plus ou moins ponctuel certes-, mais qui me fait tout de même plaisir sur le moment, me comble ponctuellement et continue malgré tout de m'enrichir et de développer ma sociabilité par ex, mon intégration parmi tous ces gens avec qui je dois me satisfaire de tellement peu de profondeur !
Mais c'est comme ça que les choses sont - et c'est parfait ainsi paradoxalement !!!-, rien ni personne ne peut les changer.
Il n'y a qu'à accepter et chercher sans cesse, qu'à tenter, débroussailler et créer de nouvelles pistes encore inexplorées...finalement, cela en fait une vie drôlement riche tout compte fait....
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Entreprendre ? Rencontrer du monde ? Rester chez soi devant une horloge à observer les minutes passer, en ayant bien conscience qu'aucune ne sera jamais remboursée. Faire des mômes.
Bref j'ai rencontré pleins de gens qui se sont posé cette question. Et plein d'autres qui ne se la posent pas, travaillent, mais sont au fond dans le même moule.
Le coté "sans passion" ne me parle pas tellement par contre. La plus part des gens que j'ai rencontré qui correspondent à peu près à ce que tu décris ont eu des périodes "de passion". Ils ont appris des trucs. Et c'était agréable. Ils ont réalisé des bidules. Et c'était intense. Le fait que le vide s'installe n'est donc pas à proprement parlé une absence de passion, mais plutôt une absence de possibilité de les exprimer.
Donc trouver des façon de vivre ces moments intenses. Je dis pas que tout le monde y arrive tout le temps. Je dis pas que certains y arrivent parfois. Mais c'est tout ce que j'ai à proposer. Après s'il faut en plus de devoir jongler avec cette quête, trouver de quoi renflouer le budget du couple, alors là, heu, bah c'est ajouter du compliqué sur du pas facile. Peut être faut juste avoir du bol. Je me demande s'ils vendent ça sur le bon coin.
Bref j'ai rencontré pleins de gens qui se sont posé cette question. Et plein d'autres qui ne se la posent pas, travaillent, mais sont au fond dans le même moule.
Le coté "sans passion" ne me parle pas tellement par contre. La plus part des gens que j'ai rencontré qui correspondent à peu près à ce que tu décris ont eu des périodes "de passion". Ils ont appris des trucs. Et c'était agréable. Ils ont réalisé des bidules. Et c'était intense. Le fait que le vide s'installe n'est donc pas à proprement parlé une absence de passion, mais plutôt une absence de possibilité de les exprimer.
Donc trouver des façon de vivre ces moments intenses. Je dis pas que tout le monde y arrive tout le temps. Je dis pas que certains y arrivent parfois. Mais c'est tout ce que j'ai à proposer. Après s'il faut en plus de devoir jongler avec cette quête, trouver de quoi renflouer le budget du couple, alors là, heu, bah c'est ajouter du compliqué sur du pas facile. Peut être faut juste avoir du bol. Je me demande s'ils vendent ça sur le bon coin.
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Se tourner vers un psychothérapeute spécialiste (et recommandé sur ce forum par plusieurs personnes par ex?) des adultes à haut potentiel? Comprendre grâce à l'échange avec cette personne quels sont les potentiels inexploités, centres d'intérêts qu'il n'arrive même pas à réaliser qu'il les a tant c'est empêché (pourquoi? Par qui? Qui ne lui donne/ ne lui a pas donné/ dans son enfance, les parents, frères et soeurs, milieu, etc l'autorisation d'être qu' il doit être). L'écriture , pas pour faire un livre, une oeuvre, être lu ni rien dans ce genre, mais pour lui, noircir des pages, ses sentiments, son regard, ses colères, le pourquoi, des grossièretés, les trucs qu'il juge impossibles mais qui là peuvent exister sans risque sur le papier, devenir un tueur psychopathe qui découpe en morceaux et met au congèle (oui, je sais c'est convenu) celui ou celle, ceux qui l'empêchent de respirer. Tout cela sur le papier, on s'entend. L'écriture comme premier espace de liberté, ça se tente, non? En tout cas, j'espère pour lui, pour vous aussi (peut-être) qu'il trouvera le chemin pour oser devenir la personne exceptionnelle qu'il porte en lui (toute petite , serrée, emmurée qq part en lui, qui cogne fort pour se sortir de là). Mais dans son fonctionnement, il semble choisir l'apathie (si je comprends bien), ne rien faire, ne surtout pas risquer de vivre, de se déployer pour ne pas désobéir à qui? Pour ne pas remettre le système de qui, qui a été mis en place par qui? Car tout est systémique. S'il change d'attitude, de positionnement, d'autres choses seront appelées à changer. Et ça fait peur.
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Du coup question subsidiaire en passant : que faire quand on travaille ?
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Chantilly a écrit: que faire quand :
- on ne veut pas que sa vie se résume à travailler pour payer le loyer, la voiture et régler les emprunts à la consommation ;
- on n'a aucune passion particulière (art, animaux, sport...) ;
- les interactions sociales nous sont pénibles à cause d'un autisme léger ;
1:
- Ne pas travailler, ou prendre un "temps choisi" ( partiel), mais accepter d'être pauvre en contrepartie ( sous le seuil de pauvreté en France, voir à la moitié !) ou créer sa propre activité
- Habiter à la mesure de ce que l'on veut dépenser ( 120 m2 pour deux on oublie), les plafond à 3m et la vieille demeure en pierre avec du charme c'est la ruine à chauffer, genre studio...
- Se passer de voiture (possible en ville, certaines on les transports 100% gratos même !) ou rouler avec véhicule peu cher ( en exemple, une Ax ca ça côte 800€ et ca coute rien à entretenir/faire rouler), pas se faire plumer par les assureurs et autres garages ( faire sois même ou apprendre tout ce qu'il faut sur les tout ce qu'on achete, services compris)
- Ne pas prendre de crédit
2:
Ne pas attendre d'avoir la passion , un simple interêt doit suffire pour faire un truc, il y a forcément des centres d'interêt ou c'est très très gfrave et ça ressort de la consultation
3:
Ne pas se forcer ?
- il y a une certaine urgence à répondre à la question parce qu'on a moins de 25 ans et plus droit à la bourse étudiante à partir de septembre ?
Donc vous êtes marriés, si tu travailles pas de RSA possible sinon oui
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
être bénévole dans des associations,
les SEL "Systeme d' Echange Local", c'est de la solidarité (entre gens d'une même ville).
sinon ya OVS, là vous risquez pas de vous ennuyer.
par contre si vous habitez à la campagne à tataoine ou au fin fond de la camargue... :-s bin déménagez vit vit.
à+
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
tMerci pour vos réponses.
Stauk, tu as raison pour les passions, c'est tout à fait ce que tu décris.
Magali, consulter tout ce qui commence par "psy" est impensable à l'heure actuelle (trop de traumatismes avec ça).
L'écriture n'est malheureusement pas du tout un mode d'expression qu'il affectionne ou qui l'aide.
S'agissant du bénévolat, ça m'a rappelé quelque chose. Pour lui, ce n'est pas inutile mais ça revient à écoper l'eau d'un bateau au lieu de boucher la fissure de la coque ou d'en reconstruire un neuf. En clair, il faut résoudre les problèmes au niveau politique, donc à la source. La politique est donc l'une des choses qu'il pourrait faire et qui l'intéresserait, d'autant qu'il a d'excellentes facultés rhétoriques pour convaincre les gens.
Le problème, c'est que les voies pour y accéder sont peu évidentes. Je le vois mal prendre sa carte au Parti socialiste des républicains pour aller dans des soirées mondaines flatter l'égo du préfet (je caricature mais bon...), ni distribuer des tracts et arrêter des gens aléatoirement dans des marchés pour leur parler de tel candidat qu'il faut absolument soutenir. Sans compter qu'aucun parti ne représente ses valeurs. Il pourrait y arriver par la voie haute (ENA), avec suffisamment de motivation, mais pareil, quelles sont les chances réelles de succès de parvenir à faire quelque chose de significatif un jour, quand on est né sans relations bien placées, sans patrimoine ni richesses, et avec un autisme qui entrave en partie les actions potentielles ?
Stauk, tu as raison pour les passions, c'est tout à fait ce que tu décris.
Magali, consulter tout ce qui commence par "psy" est impensable à l'heure actuelle (trop de traumatismes avec ça).
L'écriture n'est malheureusement pas du tout un mode d'expression qu'il affectionne ou qui l'aide.
S'agissant du bénévolat, ça m'a rappelé quelque chose. Pour lui, ce n'est pas inutile mais ça revient à écoper l'eau d'un bateau au lieu de boucher la fissure de la coque ou d'en reconstruire un neuf. En clair, il faut résoudre les problèmes au niveau politique, donc à la source. La politique est donc l'une des choses qu'il pourrait faire et qui l'intéresserait, d'autant qu'il a d'excellentes facultés rhétoriques pour convaincre les gens.
Le problème, c'est que les voies pour y accéder sont peu évidentes. Je le vois mal prendre sa carte au Parti socialiste des républicains pour aller dans des soirées mondaines flatter l'égo du préfet (je caricature mais bon...), ni distribuer des tracts et arrêter des gens aléatoirement dans des marchés pour leur parler de tel candidat qu'il faut absolument soutenir. Sans compter qu'aucun parti ne représente ses valeurs. Il pourrait y arriver par la voie haute (ENA), avec suffisamment de motivation, mais pareil, quelles sont les chances réelles de succès de parvenir à faire quelque chose de significatif un jour, quand on est né sans relations bien placées, sans patrimoine ni richesses, et avec un autisme qui entrave en partie les actions potentielles ?
Chantilly- Messages : 9
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Chantilly a écrit:
Le problème, c'est que les voies pour y accéder sont peu évidentes. Je le vois mal prendre sa carte au Parti socialiste des républicains pour aller dans des soirées mondaines flatter l'égo du préfet (je caricature mais bon...), ni distribuer des tracts et arrêter des gens aléatoirement dans des marchés pour leur parler de tel candidat qu'il faut absolument soutenir. Sans compter qu'aucun parti ne représente ses valeurs. Il pourrait y arriver par la voie haute (ENA), avec suffisamment de motivation, mais pareil, quelles sont les chances réelles de succès de parvenir à faire quelque chose de significatif un jour, quand on est né sans relations bien placées, sans patrimoine ni richesses, et avec un autisme qui entrave en partie les actions potentielles ?
La politique c'est aussi la diffusion d'idées. Rencontrer des personnes qui partagent des idées comparables, c'est ça aussi (et même surtout) faire de la politique. Il existe beaucoup de mouvements, et rien n'empêche d'en créer de nouveaux. Souvent l'objectif est l'opportunité de la maturation des idées, et non pas de briguer un poste officiel. La politique passe aussi parfois par des projets. J'ai remarqué sur un internet, des jeux ou des sites qui à l'origine étaient une thèse / un essai politique. Et qui au fil du temps sont devenu des projets viables à part entière.
Dans tous les cas, s'il a la chance d'être jeune, suivre les passions, les partager, et créer des projets, c'est l'idéal pour se sortir de ce genres d'impasses. Tout le monde ne réussit pas, mais il y a beaucoup d'exemple où c'est précisément cette situation que tu décris qui a finalement porté des fruits.
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Bonjour,
Je travaille dans le domaine du handicap, et suis également concernée personnellement.
Déjà pour l'AAH il faut être reconnut handicapé au minimum à 50% et connaitre une réelle difficulté à l'emploi (sachant que "j'ai pas de motivation/ pas envie/ je me sens pas capable", que ce soit vrai ou non peut-importe je ne juge pas, ben c'est pas une raison valable ça pour la MDPH).
Et ensuite il faut que le foyer ne dépasse pas 19 000€ de revenu/an.
Donc, au vu de votre situation, espérer avoir quoi que ce soit de la MDPH est un peu fantaisiste pour moi (encore une fois je me base sur des faits, point de jugement de valeur ici).
La morale, et la valeur je vais plutôt l'aborder ici. Perso, si j'étais toi, je me tirerais. J'ai connu une situation similaire, pas de motivation, complaisance dans une vie de futilité et d'ennuie. Je me suis cassé; après tout si la personne qui "prêtent" m'aimer n'est pas capable de tirer la motivation nécessaire de son amour pour moi pour faire enfin une putain de chose dans sa vie, quelle importance ai-je? Aucune. Evidemment c'est pas parce qu'on fait rien de sa vie qu'on aime pas son partenaire, mais à un moment faut arrêter de prendre les gens pour des cons, et ce sortir les doigts de l'arrière-train. On n'a peut-être aucune bienveillance pour soi-même, peut-être aucun amour, mais pour l'être aimé? N'est t-il pas censé être dans ce cas la seule motivation d'avancer? A faire réellement quelque chose? Normalement si, sauf si on le laisse faire, dépérir. Tout cela finit par grignoter tel un cancer qui se propage à tout les organes.
Cependant m'a vie n'a pas forcement été meilleure après cela, mais en ne le faisant pas je me serait toujours demandé dans un coin de ma tête "si j'avais fait quelque chose, aurais-je pu profiter de la vie?!".
Bon bref, après tout ça, elle est où la corde...?
Je travaille dans le domaine du handicap, et suis également concernée personnellement.
Déjà pour l'AAH il faut être reconnut handicapé au minimum à 50% et connaitre une réelle difficulté à l'emploi (sachant que "j'ai pas de motivation/ pas envie/ je me sens pas capable", que ce soit vrai ou non peut-importe je ne juge pas, ben c'est pas une raison valable ça pour la MDPH).
Et ensuite il faut que le foyer ne dépasse pas 19 000€ de revenu/an.
Donc, au vu de votre situation, espérer avoir quoi que ce soit de la MDPH est un peu fantaisiste pour moi (encore une fois je me base sur des faits, point de jugement de valeur ici).
La morale, et la valeur je vais plutôt l'aborder ici. Perso, si j'étais toi, je me tirerais. J'ai connu une situation similaire, pas de motivation, complaisance dans une vie de futilité et d'ennuie. Je me suis cassé; après tout si la personne qui "prêtent" m'aimer n'est pas capable de tirer la motivation nécessaire de son amour pour moi pour faire enfin une putain de chose dans sa vie, quelle importance ai-je? Aucune. Evidemment c'est pas parce qu'on fait rien de sa vie qu'on aime pas son partenaire, mais à un moment faut arrêter de prendre les gens pour des cons, et ce sortir les doigts de l'arrière-train. On n'a peut-être aucune bienveillance pour soi-même, peut-être aucun amour, mais pour l'être aimé? N'est t-il pas censé être dans ce cas la seule motivation d'avancer? A faire réellement quelque chose? Normalement si, sauf si on le laisse faire, dépérir. Tout cela finit par grignoter tel un cancer qui se propage à tout les organes.
Cependant m'a vie n'a pas forcement été meilleure après cela, mais en ne le faisant pas je me serait toujours demandé dans un coin de ma tête "si j'avais fait quelque chose, aurais-je pu profiter de la vie?!".
Bon bref, après tout ça, elle est où la corde...?
Lainie- Messages : 3164
Date d'inscription : 22/07/2015
Localisation : Canterbury plains
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Le premier projet que je proposerais serait la (re)construction de soi. L'approche qui vient à l'esprit est l'hypnothérapie (aller sur l'annuaire de l'IFHE, en trouver un qui soit MP (maître praticien) soit S (superviseur), HH (hypnose humaniste) et TSA (thérapie symbolique avancée)), et entreprendre un travail sur soi, genre rééquilibrage du masculin et du féminin intérieur, remodelage d'histoire de vie, etc. L'hypnothérapie a l'avantage d'être une démarche de courte durée, avec des effets rapides, et une possibilité d'abandon rapide s'il n'y a pas d'effets observables par les autres (la personne ne se rend pas forcément compte qu'elle change).
Mais consulter tout ce qui commence par "psy" est impensable à l'heure actuelle (trop de traumatismes avec ça) : dans ce cas, tu peux tenter un parcours psy alternatif :
- stage de saut en parachute, histoire de tenter un Dabrowski, une confrontation avec ses instincts de survie
- activités à la carte en faisant un tour chez Jardiner ses possibles : avec plusieurs dizaines d'ateliers, il y a du choix.
Le deuxième chantier pourrait être l'identification de ses passions : une analyse des thématiques des bookmarks (marque-pages de son navigateur) pourrait indiquer ce qui retient son attention. Idem pour le contenu de sa bibliothèque. Et voir s'il n'y a pas une conférence dans les parages sur un de ces sujets.
Et la troisième démarche serait de le maintenir en contact avec des personnes qui, comme lui, peuvent boucler leurs études en deux semaines par semestre : en clair, des zèbres. Peut-être que la fréquentation assidue d'un petit groupe d'allumés l'amènera à être embarqué dans une de leurs passions ou dans un de leurs projets de vie.
Mais consulter tout ce qui commence par "psy" est impensable à l'heure actuelle (trop de traumatismes avec ça) : dans ce cas, tu peux tenter un parcours psy alternatif :
- stage de saut en parachute, histoire de tenter un Dabrowski, une confrontation avec ses instincts de survie
- activités à la carte en faisant un tour chez Jardiner ses possibles : avec plusieurs dizaines d'ateliers, il y a du choix.
Le deuxième chantier pourrait être l'identification de ses passions : une analyse des thématiques des bookmarks (marque-pages de son navigateur) pourrait indiquer ce qui retient son attention. Idem pour le contenu de sa bibliothèque. Et voir s'il n'y a pas une conférence dans les parages sur un de ces sujets.
Et la troisième démarche serait de le maintenir en contact avec des personnes qui, comme lui, peuvent boucler leurs études en deux semaines par semestre : en clair, des zèbres. Peut-être que la fréquentation assidue d'un petit groupe d'allumés l'amènera à être embarqué dans une de leurs passions ou dans un de leurs projets de vie.
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Tu n'as pas de passion, mais tu as bien des choses que tu apprécie faire, des trucs qui te donne un certains plaisir, qui ne t'ennuie pas trop etc..
Invité- Invité
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Devenir intérimaire et se satisfaire de peu , du moins au début.
Le rodage est difficile , mais une fois qu'on est dans la PLACE , ça décoiffe.
L'intérimaire est un aventurier qui peut être viré , à tout moment , il peut également changé de mission.
Différents horizons , différentes façon de travailler , différents personnes , de quoi occuper toute votre attention.
Et , après un temps certains , on mesure , on pèse , on compare et on décide de......................
Le rodage est difficile , mais une fois qu'on est dans la PLACE , ça décoiffe.
L'intérimaire est un aventurier qui peut être viré , à tout moment , il peut également changé de mission.
Différents horizons , différentes façon de travailler , différents personnes , de quoi occuper toute votre attention.
Et , après un temps certains , on mesure , on pèse , on compare et on décide de......................
Amarante- Messages : 116
Date d'inscription : 03/01/2016
Age : 56
Localisation : A l'est d'Eden
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Quand on ne travaille pas on peut faire des chose qu'on aime. Peinture dessin. Internet promenade voyage etc
ShineFlower- Messages : 3583
Date d'inscription : 04/07/2013
Age : 65
Localisation : Chez Dieu
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
Le ménage ? Retaper la maison ? S'occuper des choses à faire, tout simplement ? Être homme au foyer ?
CD_CD- Messages : 661
Date d'inscription : 05/09/2015
Age : 48
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
N'importe quoi.
Du moment que c'est fait avec Amour , tu ne peux que en tirer de la satisfaction.
Exemple en musique : https://www.youtube.com/watch?v=piPXOaZLI8U
Du moment que c'est fait avec Amour , tu ne peux que en tirer de la satisfaction.
Exemple en musique : https://www.youtube.com/watch?v=piPXOaZLI8U
Amarante- Messages : 116
Date d'inscription : 03/01/2016
Age : 56
Localisation : A l'est d'Eden
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
ce qui vient
Anne Onyme- Messages : 657
Date d'inscription : 26/06/2013
Re: Que faire quand on ne travaille pas ?
courage à deux mains, je vais parler aux gens, je pars en vadrouille tous les matins pour aider, dire, donner?
Je ne croise jamais les gens deux fois en ce moment.
Je ne croise jamais les gens deux fois en ce moment.
Anne Onyme- Messages : 657
Date d'inscription : 26/06/2013
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