Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :)

J'avais dit que quand je serais grande je serais un lapin Duracell, c'est fait

de fait : précision et ajout de présentation

Je ne suis pas diagnostiquée, mais j'ai vu des personnes qui savent des choses et travaillent ..... dans le domaine médical (donc deux psychiatres connaissant la douance)....... donc...... 

C'est intéressant je trouve toutes ces subtilités je trouve

(Une femme, un homme, un été à Paris.

La passion, la rupture, les retrouvailles.

Une histoire damour dans le désordre. synopsis)



Je vais devoir écrire un film : 


Une femme,  Moi, chez moi ?

La passion, la rupture, les retrouvailles (avec moi ?).

Une histoire d'amour dans le désordre (qui recommence avec moi même ?) 

Tape du pied,
Vas-y, vas-y, tape du pied,
Y’a que comme ça que tu peux remonter.
Tape du pied,
Vas-y, vas-y, tape du pied,
Ça fait trop longtemps que tu te fais discret.
Tape du pied,
Vas-y, vas-y, tape du pied,
N’aie pas peur il faudra les réveiller.

Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit,
Tu vas voir que c’est là que tu te sens en vie.
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit,
Fais trembler les murs et réveille les nuits.
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit,
Relâche, crache tout ce qui te pourrit.

Ce qu’il y a sous la terre, m’effraie, autant que toi,
Tes catacombes, les ombres aux murs
De nos cavernes d’Ali Baba,
Secret taillé dans les rochers,


Trésor enfoui, très englouti,
Prends la pelle comme on prends le large,
Entends l’appel.
Déterre,
Déterre-les,
Déterre-toi.

Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux,
Laisse monter le trop plein à la lisière des yeux.
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux,
Fais jaillir le ras-le-bol, à ras-bord qui prend feu.
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux,
Sens-tu le sol se fendre en deux ?

Abandonne, vas-y, vas-y, abandonne,
Pour qu’à nouveau chaque seconde t’étonne.
Abandonne, vas-y, vas-y, abandonne,
Tu pèses plus rien toi qui pesais des tonnes.
Abandonne, vas-y, vas-y, abandonne,
Tape des pieds pour que la terre
Sous tes pieds résonne, résonne, résonne






 j'ai gagnéééééééééééééééééééééééé  les autres vont se gratter et j'ai gagné sans le tirage    je suis claquée mais j'ai gagné  mais moi j'étais d'en bas et j'y reste 



le mieux est l'ennemi du bien, tout le monde le sait logiquement !!!!





Je reste à mon grattage de "grattes"  Incrédibleuh  seule la fierté que l'on a de soi même pour soi même est importante dans la vie

Bonne journée à vous

Je ne vois du tout de quoi vous voulez parler très cher
Plait il ?

Penser à inventer des gros mots pas grossiers, mais des trucs relevés.  y'a de la concurrence de très haut vol qui volent très bas. je m'y colle de suite.

et ça aurait pu finir en oui mais de toute façon c'est elle qui  comme quoi faut pas laisser de faille.

mieux vaut passer parfois pour une nunuche fofolle soi disant  et continuer à tenir la barre.

ben oui mais elle est ceci alors elle va plus loin, non non, ça a bien poussé derrière.

restons vigilants et tout ira bien. faut que je me fasse des phrases avec des lampadaires et des poneys  j'aime pas les gens mais j'aime bien les gens.

rien de noeuf à l'horizon, mais une sacrée réussite improbable au compteur. et surtout imprévue.

et tu parles toujours en mystères comme ça ? 
ben tu sais verbaliser toi ce que tu as compris mais pas encore compris ? 
ben non, 
bon alors moi encore moins

jolie journée j'ai rendu quelques personnes heureuses comme avant et j'ai fait ma six s'if poulain  enfin  

J'ai rien gagné j'ai perdu des trucs mais au fond pas essentiels, mais (et c'est là où il va falloir que je mette des phrases  mais pas aujourd'hui, ni demain, j'ai pas le temps, il va falloir encore prendre des diagonales. mais le plus dur est derrière.

quand on a 5 coups aux échecs, faut jamais jouer avec ceux qui savent pas du tout, je l'aurais jamais pensé  et pourtant j'en ai vu comme une vieille jeune vieille jeune vieille

que le monde se débrouille aujourd'hui je fais des croques monsieur

Marcel Moreau a écrit:

oh génial, je comprends pas les gros mots en anglais mais justement  

je vais pouvoir chanter avec une voix de duke, thank youyou boy  mode coton

J'ai un mot qui m'est apparu pantonyme
le chien est le pantonyme de l'homme, quand il remue la queue son maître n'est pas loin

jolindien a écrit:J'ai un mot qui m'est apparu pantonyme
le chien est le pantonyme de l'homme, quand il remue la queue son maître n'est pas loin

Hello,

pourrais tu développer un peu plus ? stp ?  que je puisse faire le rapport avec mon fil, mes propos ? n'étant pas dans ta tête  ça m'aiderait à te répondre  et si possible dans le sujet  qu'on se retrouve pas à coté de la plaque

Donc le mari de la raie c'est platon ?








Bonne journée

Bonjour


Bonne après midi

Dans wikitruc la déf dit mammifère pantonyme du chien,
ben si le chien est le pantonyme de l'homme
cela veut dire qu'on doit remuer la queue devant son maître
sous-entendu on est plus docile qu'un chien
pas de tendancieux dans ce sous-entendu
un peu d'humour qui noirci aujourd'hui
c'était un bonjour déguisé, maljour alors

jolindien a écrit:Dans wikitruc la déf dit mammifère  pantonyme du chien,
ben si le chien est le pantonyme de l'homme
cela veut dire qu'on doit remuer la queue devant son maître
sous-entendu on est plus docile qu'un chien
pas de tendancieux dans ce sous-entendu
un peu d'humour qui noirci aujourd'hui
c'était un bonjour déguisé, maljour alors

ok
je n'y avais pas vu de sous entendu, 
mais non plus le bonjour déguisé
bonjour,  lol
enfin là bonsoir  comment vas tu ? quoi de neuf en Auvergne ?

Un petit feu de bois, ma fille est au lit depuis peu,
joli coin tranquille cette maison.
Sinon je ne flatte point mes élèves,
sociologie dans un groupe de classe (électrotechnique,30 élèves):
début seconde, 15"moyens" (comportement, niveau), 5"bons" (comportement, niveau), 5 pas bons voire faible (niveau pas forcément comportement)
5 odieux/difficilement gérable (parfois assez/très intelligents...)
Milieu d'année (là), 5 bons, 7 mauvais, 8 moyens, 10 odieux (égocentrisme, et le narcissisme se transmettent faut dire efficacement)
Tout par en vrille ma pauv dame
et dans 2 ans quel bilan?
Voilà je nage dans l'absurdité , mais les classes de chaudronnerie (soudeur, travail métal) avec effectif de 15 c'est bien plus tranquille et les élèves sont sympas...
Mon cœur est toujours libre, à bras le cœur avançons

offset a écrit:Bonjour


Bonne après midi

bonne soirée Offset  merci de ton coucou câlin

jolindien a écrit:Un petit feu de bois, ma fille est au lit depuis peu,
joli coin tranquille cette maison.
Sinon je ne flatte point mes élèves,
sociologie dans un groupe de classe (électrotechnique,30 élèves):
début seconde, 15"moyens" (comportement, niveau), 5"bons" (comportement, niveau), 5 pas bons voire faible (niveau pas forcément comportement)
5 odieux/difficilement gérable (parfois assez/très intelligents...)
Milieu d'année (là), 5 bons, 7 mauvais, 8 moyens, 10 odieux (égocentrisme, et le narcissisme se transmettent faut dire efficacement)
Tout par en vrille ma pauv dame
et dans 2 ans quel bilan?
Voilà je nage dans l'absurdité , mais les classes de chaudronnerie (soudeur, travail métal) avec effectif de 15 c'est bien plus tranquille et les élèves sont sympas...
Mon cœur est toujours libre, à bras le cœur avançons

Je te vois assez du coup rencontrer une maman célibataire lors d'un conseil de discipline  tu n'as plus qu'à convoquer  

socio c'est cool. avec un peu de chance, si tu as un élève comme moi j'étais, tu devrais t'amuser  on n'apprend rien quand c'est tout lisse  donc là tu as matière à faire et la bonne matière en plus  vois dans l'ensemble. bon donc résumé en Auvergne y'a des feux de bois lol !

tu devrais avancer aussi hors boulot et hors maison non ?

Petite étude socio perso que j'effectue dans une de mes classe...(je fais du dessin technique)
Avec certains cela colle tout de suite (et souvent ils semblent rayés)
Le truc c'est que le mauvais esprit de certains se propage vite,
le bon esprit ne gagne pas ...désolé pour le conte de fée.
Dans l'ensemble...l'éduc nationale coule peu à peu (respect, envie, niveau des élèves, administration qui gère plus voire laisse faire)
Je vais faire comme les rats
Je dirai que c'est plus une collègue prof de littérature ( maman célibataire...) avec qui le contact me plairait.
A voir (je touche avec les yeux)
Il y pratiquement aucuns conseils de discipline, même pour les cas sociaux, oui c'est comme ça aujourd'hui

jolindien a écrit:Petite étude socio perso que j'effectue dans une de mes classe...(je fais du dessin technique)
Avec certains cela colle tout de suite (et souvent ils semblent rayés)
Le truc c'est que le mauvais esprit de certains se propage vite,
le bon esprit ne gagne pas ...désolé pour le conte de fée.
Dans l'ensemble...l'éduc nationale coule peu à peu (respect, envie, niveau des élèves, administration qui gère plus voire laisse faire)
Je vais faire comme les rats
Je dirai que c'est plus une collègue prof de littérature ( maman célibataire...) avec qui le contact me plairait.
A voir (je touche avec les yeux)
Il y pratiquement aucuns conseils de discipline, même pour les cas sociaux, oui c'est comme ça aujourd'hui

ah ah

le dessin c'est cool

Le samedi c'est Chorégraphie

Bref à 6 ans la télé me parlait déjà, et tout était déjà rose.





Les digues c'est bien, ça a un début et une fin

Bonjour  



J'aime bien aussi la fièvre du samedi matin  












Bonne journée en mode relâche  

Je suis dans ma vers hier  mais après : 



Rendez vous au bout du bar tout droit au fond à gauche

You want to be or not to Bee gees ? Dame Offset ? 

Moi aussi je pique des vidéos chez Gabriel

Il m'avait filé aussi un Deuz, hein ? ben files un Deuz, quoi

Il faut faire un fil sur la "surdouance régionale, locale "

Personne ne pourrait penser qu'on comprend mieux son intelligence en écoutant les "Prout" !!!! 



Passes le fun autour de toi  C'est Clown Né qui l'a dit  It's my god, Georges. Georges t'aide à sortir de la Jungle urbaine

Je sais et je sais aussi ce que je ne veux pas savoir....

et personne ne saura jamais le plaisir que j'ai eu de nouveau à pouvoir de nouveau mettre "tout" dans "ah si tu savais".

Sacrée aventure.
Sacrée expérience très troublante.
Des personnes sont de vraies sacs de nœuds qui ne déferont jamais.
Le recul. Rester dans le recul.
La pugnacité.
Il suffisait d'une donnée. Une seule. Et je ne l'aurais jamais eu si je n'avais pas pris le risque de sortir d'un environnement duquel j'étais déjà sortie.
Et je me disais du genre humain, et ce jeune homme un jour m'avait dit : Mais tu es dingue de vouloir le rencontrer, le genre humain.
Je suis quelqu'un de bien.
Aucun regret, aucun remords.
Avancer désormais vers autre chose.
Il n'a suffit que quelques mots.
Tout était droit. Tout était calculé.
Tout était lisse. et seule moi me mettait ou non en mouvement.
Ca va aller maintenant, tu peux sécher tes larmes maintenant. Maintenant tout peut recommencer.
Je me savais tenace, mais pas à ce point là, c'est transcendant.
Au fur et à mesure, mettre des mots là dessus, avec le temps pour le faire.
La résilience doit rester un fait exceptionnel, je pense qu'il y a un quota.
A un carrefour de conflits, quand ce ne sont pas les siens, il faut prendre sa route. Sa direction.
Tout ce qui m'a été utile dans la vie, je l'ai écouté, regardé, entendu, écouté.
Rien d'autre.
Je me suis construite. Et il me semble bien, toute seule.
On peut effectivement reconnaître une longueur d'onde avec deux mots. Seulement deux.
Les sentiments sont quelque chose de simple, c'est une sensation, une série de sensation.
Après viennent les mots, la confirmation, ou pas. Il faut se reconnaître dans des modes de vie, dans des directions, dans des parcours. Avec des codes. et avec une logique.
Quand on le sent pas il faut partir. Dès qu'on peut. Fermer la porte. Et d'autres s'ouvriront.
Il vaut mieux parfois partir plutôt que d'aider quelqu'un.
Et si on est sensible, prendre du recul de suite. Ou alors y aller, et y aller jusqu'au bout.
Je pense que j'ai souffert durant tout ce temps de tout.
Des flèches, tout le temps et partout.
Je commence à m'y faire c'est ma nouvelle histoire.
Peu de pourquoi servent dans la vie, du moins dans la mienne, beaucoup plus de comment.
Tu es très philosophe, tu es très intelligente, c'est très intéressant. Et donc ? 
Elle m'a dit : tu as répondu à toutes les questions que les gens mettront leur vie à se poser.
Il m'a dit : et vice et versa.
Rien n'a jamais été de ma faute. Quand on a de tout, on doit veiller à ne pas se retrouver coincée dans les manques des autres.
La question n'est pas là où on le pense.
L'écho. Le vis à vis. Le contact. L'intensité qui craint la peur.
La confusion. La construction. Les références.
Ne pas se laisser enfermer. Dans les constructions mentales des autres. Aider à déconstruire ou pas.
Ne pas pouvoir s'imaginer et c'est logique chez d'autres, ce que l'on n'est pas soi même.
Laisser penser d'autres ce qu'ils veulent.
La paix intérieure existe.

Ca passe ou ça casse. Et cette fulgurance, effectivement, whaou. Il y a toujours deux directions prioritaires.

Privilégier les bons échanges. Ceux qui font du bien, quitte à paraître niais. Paraître est une futilité.

La Tour Eiffel ressemble à une bite. Tout est question de contexte. D'angle de vue, de moment, de besoins, d'envies.

Etre tirée entre le passé et le présent. Vouloir être autrement. 

La douceur et la délicatesse. Se dire des mots doux à soi même est un des plus beaux combats à mener contre les maudits.

La construction. Le résultat. Le calcul des moyens mis à disposition. L'évaluation. Les hypothèses.
Avoir un plan A et un plan B.

Les obligations, les contraintes, et puis le reste c'est du fun. Du cool. Du régal.

Ca va être très curieux cette nouvelle vie. Pour pouvoir passer d'une réalité à une autre, il faut avoir eu plusieurs vies. Si possible, quand on peut, il faut les avoir dans les mêmes dimensions. Dans les mêmes strates sociales, sinon c'est pas drôle.

Eteindre les incendies. Apaiser ces incendies mentaux. Les mettre à l'extérieur. Se calmer, se poser. et attendre. Et ça passe.

Ca peut nécessiter parfois discrètement chez soi un : "oh mais putain de bordel de merde". 

Il est des gens qui ne savent pas faire de plan. Il est des personnes à l'égo ravagé et c'est comme ça.

Changer de réalité n'est pas un souci, hop, mais constamment ça n'est pas viable à mes yeux.

Je suis dans ma "casse" et le véhicule compacté, je le vois désormais. Je ne pouvais pas sortir la problématique de mon esprit, parce que je n'étais pas le problème, donc pas la solution.

La résilience a un quota. Le lien sécure. C'est chouette.

Il faut effectivement partir de où on vient. Du quota de base. Réparer si besoin. Planter. Faire une belle pelouse qui tient la route.

Et ensuite c'est comme une recette de cuisine. D'abord on l'apprend, on la suit. La deuxième on s'en souvient et on rate un peu. et la troisième c'est la bonne.

Rien que de savoir qu'ils existent de bonnes personnes m'apaisent. Il y a toujours une quelque part.

Je ne sais pas ce que je suis en termes psychologiques, mais ce que je suis s'est connecté un jour à une personne, et à un autre jour en lien à une autre, et ce sont les seules choses qui m'ont aidée.

Eloigner de son esprit les scènes de panique le plus rapidement qu'il est possible. Sois prendre du recul. Sois se mettre en retrait. Ou alors en mode "protection". Et être convaincue.

J'ai eu une sacrée vie. Elle est loin d'être finie.

Le calme ne se retrouve jamais dans l'agitation mentale ou l'agitation tout court. 

Encore moi dans les schémas psychologiques des autres.

La variété des personnes rencontrées sert beaucoup dans la vie.

Du moins jusqu'à l'entonnoir. J'ai plus souvent eu des carrefours des solidarités. Que ce type de carrefour.

La bascule mentale parfois. vis à vis de quelqu'un. qui peut être bien. mais peut résider un seul défaut. au milieu de nombre de qualités.
Seuls des objectifs atteignables font tenir dans les ravins.

Et la richesse ne se situe effectivement pas là où on la pense, et encore moi aujourd'hui.

En cas de tuile, j'ai revendu du concret. qu'on trouvait ringard. on ne vend pas du vent.

Nouveau bac à sable, nouveaux grains, nouvelle pelle et nouveau râteau. J'irais acheter un seau.

https://www.youtube.com/watch?v=qgeocCLYGoo

un feutre, un bout de papier, un peu de génie


La nostalgie du passé (que je n'ai pas connu...)

Parler ou finir par se taire.

Le fil de sa conversation. Le rythme de sa vie. La tonalité qu'on lui donne ou pas.

Se battre ou subir.

Et cette facilité à pouvoir comprendre et analyser qu'il faut parfois laisser de coté justement, pour avancer, ne pas reculer.

La vie est un truc à la con. Et elle est comme une autoroute. 

T'aurais du faire psychologue  Ben non c'est plutôt vers l'inverse que je suis allée, que j'ai du aller.

Je ne pense pas à être froide, des personnes le sont. Lorsque ça refroidit et ça déchante, ça vient bien des autres.

Les mêmes repères et les mêmes névroses. En fait "Insu de mon plein gré", c'est l'homme de ma vie.

Etre envahi par le stress, le sien, ou celui des autres. 
Etre envahi par les émotions, les siennes ou celles des autres.
Etre envahi.
Vous devez apprendre à dire : ce n'est pas mon problème.
Cocasse  au milieu d'une diatribe continuelle et incessante.
Il a dit : ce sera toujours de ta faute. et j'ai dit : oui ça je le sais depuis longtemps.
La vision des autres dès petite. Voir plus loin. Que ce qu'une personne devait représenter.
Je pense qu'il faut pleurer pour l'enfant qu'on a été plutôt que le culpabiliser. 
Se comporter avec soi comme on voudrait qu'on se comporte avec nous même.
Je me suis prise en brut, en l'état actuel des choses.

Tu fais de la masturbation mentale  Oui oui tout à fait. D'ailleurs à ce sujet, tu dois pas .....

Il y a énormément de subtilités. Il n'y a de voir ce que d'autres ne voient pas à mon sens. Il y a de l'attention ou pas. Il y a des façons de voir les choses. Il y a ce sur quoi on focalise ou pas.

Voir son passé et les événements de sa vie comme des bagages, comme une boite à outils pour demain.

Ca va aller doucement mieux. Un jour à la fois. J'avais plus souvent été un tuteur de résilience, que l'inverse.

Résilience. Résilier. En fait c'est changer de forfait téléphonique. On appelle l'opérateur et on dit : bon ben salut

Des personnes jouent aux échecs en ayant les pieds sur des échiquiers différentes. Tu m'étonnes que ça soit compliqué pour eux.

La perte de points de repères. Et surtout le danger des personnes qui prétendent savoir. Alors que tu les regardes depuis longtemps, bien convaincue sans savoir pourquoi, qu'ils n'ont rien à t'apprendre. Mais ils ne vont pas vouloir décrocher de cette idée.

Alors on apprend le jonglage, l'esquive, le ski mental.

J'ai déjà ne pas pas parler pendant des semaines. C'est drôle, si on capte, on voit comment le corps réagit. Si on n'a pas utilisé ses membres, on se recroqueville. Et ça devient douloureux. 

Et si aucun son en sort, pendant un long moment, ça donne l'impression qu'il faut remettre tout un mécanisme en route, que c'est grippé.

Entendre le son de sa voix, de sa voie.

Le doué ne saura pas expliquer pendant. Je suis assez d'accord  voire carrément.

Une crise identitaire dans ce contexte doit être une véritable abomination. Une crise identitaire sur pas d'identité  Ca doit être l'enfer.

La compréhension de certaines choses peut varier au cours de la vie sur le fait que d'autres données, d'autres paramètres vont venir s'ajouter et rentrer en ligne de compte, modifier, compléter ou perturber, ou parasiter une vision. Si cette vision n'est pas limpide, c'est très rapidement un gros bordel inside.

Ce qui fait peur ou peut faire peur, c'est aussi de ne pas avoir peur.

Ne pas avoir peur de l'inconnu, parce qu'il est connu, mais inconnu par les autres.

Il n'y a pas de caméléon, il y a de la confiance ou pas.

Il est des personnes qui ont une personnalité à être convaincu. Leur esprit ne bougera pas d'un iota.

J'aime bien la citation qui dit : il faut avoir perdu le monde pour se trouver soi.

Après tout est ce que tout ceci est si grave ?

La gravité. L'estimation de la gravité des choses. Parfois on peut devoir se retourner le cerveau à l'estimer. La gravité en fonction de repères différents.

Tu es franche et authentique. Eh oui et j'en ai fait un "dans ton cul". Mais quelle massacre  aux yeux de certains/certaines. 

Pourtant vu d'un autre angle c'est d'une poésie et d'un romantisme incroyable tout ce qui peut se trouver "dans ton cul".

Je retrouve enfin mes propos. et me vient de la tendresse. C'est mignon. Je suis une feuille morte au milieu de feuilles mortes qui attend la prochaine brise.

On a pu me dire mais de où tu sors tout ça. Et ben, si on avait su que je ne le savais pas

C'est personnel, tout le monde s'en fout. Mais tout ceci est une sacrée blagounette.

La victoire en autres, c'est d'entendre prononcer : mais c'est tout l'inverse. D'abord par moi, et ensuite par d'autres.

Les rapports inversés. La petite usine si tu ne la sors pas de son contexte, elle ne sait pas qu'on la pollue.

Un trauma, sa densité, sa gravité, elle change en fonction du contexte, de l'interlocuteur, de l'estimation du moment et des connaissances sur le sujet au moment où on discute.

Il faut dissocier les peurs intérieures et les peurs extérieures.

Accepter de se laisser envahir. Se laisser envahir par des choses si on ne sait pas ce que c'est, ni où ça va. Ca peut être un cercle terriblement vicieux.

Parfois se repéter, se radoter, mais plutôt se souvenir, se rappeler, se rappeler à soi même. Le rappel à l'ordre.

et après la morale. Ferré à longueur de journée c'était chouette. Profond. Et ces vinyls de clavecin aussi. Mais c'était pas forcément le meilleur terreau pour pousser.

Ce qui a un impact ou pas. Ce qui est essentiel ou pas.

La vie peut être un long fleuve tranquille. Au pire on se fera "chier" parfois.

J'ai vu le film "Midnight Express" 254 fois. Là où quelqu'un verrait une attardée, je suis la reine de l'économie  Je trouve très drôle. Voire hilarant.

C'est le fait de pouvoir visualiser des scènes entières qui me rassurent. Je ne savais pas que des personnes ne savent pas faire ça ou ne peuvent pas.

Tout le monde n'est pas un kangourou. Tout le monde n'a pas une poche et tout le monde n'a pas plein de choses dans sa poche. Et ne pas sauter d'un tableau à un autre. Soit un tableau du passé, soit un tableau d'avenir en fonction d'une scène du passé.

S'imposer et s'affirmer. C'est assez incroyable de pouvoir s'imprégner de ce qu'on pu ressentir d'autres personnes alors qu'en fait parfois elles n'ont même pas conscience de ce qu'elles ont ressenti.

Il est des illogismes absolument totalement illogiques, à s'y noyer.

Regarder d'avant ou d'après, c'est un choix.

C'est tout à fait ça, j'ai gagné un "prisme" !!!! :)Gagner m'importait peu, alors gagner un "prisme"
La classe. Eh merde ça va encore faire des jaloux

Ben oui mais que veux tu. moi j'avais pas demandé à participer. J'avais pas coché tous ces cours de la vie moi.

Eh ben dis donc, je suis pas sûre que le monde y est gagné dans cette histoire. Selon le point de vue, je vais être à mon choix, à ma guise, chiante encore plus

Par contre, on a omis le fait que si il y a une personne pour laquelle j'ai un profond respect, et que donc je ne fais jamais chier plus de deux jours grand max, c'est moi

Si il y a bien quelqu'un qu'on doit éviter de faire chier, c'est moi  pour un ensemble de raisons qu'il faut demander à "Insu de son plein gré". Et encore si il veut bien en parler

Moi et "Insu de mon plein gré" on vous souhaite une bonne journée et tout le bonheur du monde. (ce qui ne veut pas dire que le monde est bonheur, mais qu'il en existe et qu'il faut aller le chercher.)



Je ne veux pas  Je suis  Miaou

Bonjour

Touché par ton post sur mon fil, le mot merci est celui qui n’a jamais de retard. Je n’attendais pas vraiment de remerciement, quand j'écris quelque chose c’est parce que j’en ai envie et donc nécessité d'écouter mes envies  






Bon dimanche

offset a écrit:Bonjour

Touché par ton post sur mon fil, le mot merci est celui qui n’a jamais de retard. Je n’attendais pas vraiment de remerciement, quand j'écris quelque chose c’est parce que j’en ai envie et donc nécessité d'écouter mes envies  






Bon dimanche

C'était juste une question de canathalisation  un joint mal placé  mieux faut trouver une autre embouchure et qui saura t'en boucher un coin au bon moment dans ton coin. Les plus beaux mercis sont ceux donnés à des actes gratuits  Les plus petits actes gratuits donnés spontanément sont souvent les plus importants et au meilleur moment. Il est de rigueur de mettre le donneur au courant, et si ça peut en retour lui faire de l'air  ça ajoutera à sa propre chanson

Bondis bondis bon dimanche  Je vais et je reviens toujours là où on m'attend. Tout le reste est perte de temps

Nostalgia, il y a aucune référence sur cette contrée, dans le guide du Routard : et le routard est mon guide de voyage intergalactique, tu me fais penser que je dois le prévenir que j'ai changé d'office du Tourprisme  

le dessin c'est cool

La purée c'est cool...

Marcel Moreau a écrit:

le dessin c'est cool

La purée c'est cool...

La purée s'écoule, l'art réside à la faire couler sans casser trop d'oeufs  afin de ne pas y laisser des plumes, sinon ce ne plus cool, mais c'est pool 

- Je cherche le sens du début de la fin
- Vous y êtes, enfin

Mars 2013

En fait n'importe qui croit n'importe quoi, c'est sidérant



Sid Errant, en attendant Les lois de Lu nivers.

Marcel Moreau a écrit:

" />

Merci Monsieur de cette confirmation. Que la femme que je suis est en béton, et que les hommes broutent la pelouse  Il faut avoir le ton D'euz

Marcel Moreau a écrit:

Je pense qu'il y a plus vilain petit canard et moins bien lotie que moi dans ma petite société en citadelle

et aucune recherche sérieuse n'a été faite pour résoudre le grand mystère des gros crabes et des grosses crevettes  Ca m'éteint


Bien à l'ombre, de tout ce tintamarre, 
et les deux pieds campés dans l'essentiel,
profitant de l'iode qui gère le teint, 
et dans la réalité, t'amarres





Je rêvais d'un autre monde
Où la Terre serait ronde
Où la lune serait blonde
Et la vie serait féconde

Je dormais à poings fermés
Je ne voyais plus en pieds
Je rêvais réalité
Ma réalité

Je rêvais d'une autre Terre
Qui resterait un mystère
Une Terre moins terre à terre
Oui je voulais tout foutre en l'air

Je marchais les yeux fermés
Je ne voyais plus mes pieds
Je rêvais réalité
Ma réalité m'a alité

Oui je rêvais de notre monde
Et la Terre est bien ronde
Et la lune est si blonde
Ce soir dansent les ombres du monde

A la rêver immobile
Elle m'a trouvé bien futile
Mais quand bouger l'a faite tourner
Ma réalité m'a pardonné
M’a pardonné
Ma réalité m’a pardonné

Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde

Hé ! Hé !

Dansent, dansent, dansent, dansent, dansent, dansent,
dansent, dansent, dansent, dansent, dansent, dansent

Dansent les ombres du monde.






Par la lune nette arrière
Défilent les lumières
Et devant t'emmener
Là où tu dis qu'tu dois il sinusoïde

Dans la ville humide
Il pourra te montrer ce que tu veux bien voir
Si tu n'es pas pressé

Donne l'adresse pose tes fesses
Maint'nant tu peux rêver je te conduis allez allez

Ce taxi-la c'est moi
Qui t'emmène où tu veux
Ce taxi-là est là
Je ferai de mon mieux
De mon mieux

STOP

Si tu veux t'arrêter
Fais signe de payer signe de monnayer
Là où tu as choisi
Tout le monde obéit hein, le monde est petit

Oui si tu veux t'arrêter
Il se pose te dépose
Comme in cygne sur le lisse mica
Il s'en va loin de toi

Loin loin

Ce taxi-là c'est toi, tu t'emmènes où tu veux
Ce taxi-là c'est moi, je t'emmèneoù tu veux
Ce taxi-là c'est toi, qui t'emmènes où tu veux
Ce taxi-là s'en va, tu fais ce que tu veux
Ce taxi-là c'est moi, qui t'emmène où tu veux
Ce taxi-là s'en va, excuse moi du peu.

Excuse-moi du peu, t'excuse pas du peu
Je ferai de mon mieux, je te conduis
Allez, allez.

STOP
 



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[ltr]Je veux vous parler de l'arme de demain 
Enfantée du monde elle en sera la fin 
Je veux vous parler de moi, de vous 
Je vois a l'intérieur des images, des couleurs 
Qui ne sont pas a moi qui parfois me font peur 
Sensations qui peuvent me rendre fou 
Nos sens sont nos fils nous pauvres marionnettes 
Nos sens sont le chemin qui mène droit a nos têtes 

La bombe humaine tu la tiens dans ta main 
Tu as l'détonateur juste à côté du cœur 
La bombe humaine c'est toi elle t'appartient 
Si tu laisses quelqu'un prendre en main ton destin 
C'est la fin, hum la fin, hum la fin, hum la fin 

Mon père ne dort plus sans prendre ses calmants 
Maman ne travaille plus sans ses excitants 
Quelqu'un leur vend de quoi tenir le coup 
Je suis un électron bombardé de protons 
Le rythme de la ville c'est ça mon vrai patron 
Je suis charge d'électricité 
Si par malheur au cœur de l'accélérateur 
J'rencontre une particule qui m'mette de sale humeur 
Oh non, faudrait pas que j'me laisse aller 
Faudrait pas que j'me laisse aller 
Faudrait pas que j'me laisse aller 
Faudrait pas que j'me laisse aller 
Faudrait pas que j'me laisse aller 
Faudrait pas que j'me laisse aller [/ltr]




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Si un jour je fais un malaise, j'espère que ce sera un Pelloux qui s'occupera de ma santé, j'adore sa façon de dire et d'écrire

Bon en tous les cas, je ne sais pas où "ça pèle aujourd'hui" mais par chez moi il ne fait pas froid  



Un café, l'ami Ricoré, une biscotte Aubert et hopopop, 

bonne journée à vous

(un troupeau de toi même, grosse boîte à oeufs ça )

La vie est comme une perspective qui converge vers ce point...le soi
Alors plutôt que de nous éloigner marchons vers ce nous
ensemble le nous et le même, et si nous nous donnons cette main nous
comprendrons qu'en fait nous n'avons jamais été séparé
c'est notre perspective qui était fuyante...l'impression que produise les choses
loin de nous,
elle paraissent petites, c'est parce que nous nous plaçons dans notre petit référentiel
existentiel qu'est l'égo
celui qui nous fait paraitre grand alors que nous y sommes petits, tout et tous petits

jolindien a écrit:La vie est comme une perspective qui converge vers ce point...le soi
Alors plutôt que de nous éloigner marchons vers ce nous
ensemble le nous et le même, et si nous nous donnons cette main nous
comprendrons qu'en fait nous n'avons jamais été séparé
c'est notre perspective qui était fuyante...l'impression que produise les choses
loin de nous,
elle paraissent petites, c'est parce que nous nous plaçons dans notre petit référentiel
existentiel qu'est l'égo
celui  qui nous fait paraitre grand alors que nous y sommes petits, tout et tous petits

Hello de j'ai lu ton propos

A l'inverse, ma vie a toujours ainsi que donc ma vision convergeait vers aujourd'hui, demain. et qui donc n'a jamais converger vers "moi" puisque donc alors je fûtes, j'étais, je suis, et je serais.

J'ai donc toujours beaucoup marché, et apparemment avec moi. J'ai du me donner la main, me donner des coups de mains, Me et "Insu de Mon Plein Gré" avons donc vécu une belle histoire d'amoureuh

I.M.P.G. Allons y ça le fait. J'ai du plus souvent me demander : où je suis, quels sont les paramètres, les repères, le cadre, les priorités, les obligations, les contraintes, et hop assimilation.

Tu me rappelles que je disais : je ne veux pas qu'on me suive, au mieux qu'on m'accompagne.

J'entame une grande phase "mais punaise qu'est ce que c'était con" mais sans regret aucun et sans remords. Je me disais : le soleil. Ben oui, savoir pourquoi ? comment ? il était, il est, et il doit être alors l'horizon ? le bout d'une perspective que je me suis fixée ? qui sait ? va savoir ? comme l'horizon au bout de la mer ? arrêter des perspectives sur un point fixe ? et alors comme une pendule autre qui m'indiquerait une heure ? un point fixe et régulier de confiance ? un copain de jeu aussi.

Ma seule grosse bouboule ? mon autorité ? si lui s'éteint ? craque ? là c'est ma fin.


comprendrons qu'en fait nous n'avons jamais été séparé




Je pense qu'il n'y a alors à ce jour que deux personnes qui ont été en capacité de me "séparer" de IMPG (ça fait sigle photo, IPG, IPEG, à tous les coups, Madame va en refaire un remix de Village People, je connais le personnage depuis longtemps, il faut de la zik, du son, de la rythmique, plus que l'arithmétique)


c'est notre perspective qui était fuyante...l'impression que produise les choses
loin de nous,


Je ne pense pas à contrario connaître cette sensation, soit j'ai accepté une perspective obligée, et hop on s'y colle, soit j'ai bidouillé je ne sais comment pour faire modifier cette perspective, soit j'en ai toujours eu douze mille, me vient en image ces pailles superbes qu'on allume sur les glaces en vacances, loin, près, loin près, c'est selon.


elle paraissent petites, c'est parce que nous nous plaçons dans notre petit référentiel
existentiel qu'est l'égo


je n'ai du jamais employer ce mot. j'ai du le lire dans un temps dont je ne me souviens plus, qui ne me sert plus, archivé alors donc ? le moi, le surmoi, ect, ok, intégré, digéré, adapté à ma sauce et hop, play.


celui  qui nous fait paraitre grand alors que nous y sommes petits, tout et tous petits


ça ça m'est beaucoup arrivé ces années, ça fait partie des trouvailles, me dire grande, petite, grande, petite, alors que j'ai toujours fait 1m65  !!!!! et cela ça je suis un moustique, et par rapport à ça, je suis grande, et dans l'esprit de personnes, j'ai été soit entourée de ci, ou toute seule.






Hier soir en étant toute petite sollicitant un truc, et encore en le payant, je suis passée de petite qu'on a bien emmerdé pour rien  à une grandeur qui m'est toute personnelle, puisque le nom de quelqu'un m'a rappelé soudainement que plus jeune, et donc plus petite, j'avais déjà fait et décidé de faire pour plus petits, plus emmerdés, plus "enfermés" réellement que moi. Ca doit sûrement être la faute à un livre  A chaque fois que j'ai eu des idées, là où je n'aurais pas du en avoir sans, y'a toujours un livre ou un cd.


Bref, d'une chose faite il y a 30 ans, j'ai enfin le bénéfice 30 ans après. Il semblerait que là où d'autres ouvrent des circuits ou le tentent, je passe mon temps à reboucler ma boucle.


Sur l'histoire des perspectives....

Et ça file un mauvais coton, j'irais parler au conducteur, pour savoir ça nous mène où ? il ne l'avait pas dys Nomi (de son prénom Klaus).  bref.

Moi j'arriverai avant eux.

Re: Messages importants !

 par six s'if Aujourd'hui à 11:05

offset a écrit:Offset a envie d'écrire cette pensée et ce lieu lui est favorable :

Toujours veiller à écouter son cœur et son propre écho, ne pas se laisser envahir est compréhensible et nécessaire. Accepter d’abandonner ce qui pèse et qui n'est pas vraiment important pour mieux faire vivre son authenticité, sa créativité, son génie et sa liberté, toutes ces qualités qui enrichissent la personne et donc le "soi" Et puis il ne faut pas oublier les compagnons des bons et mauvais jours car ils ont mis du cœur et du temps en mot, son, humour et émotion, même s'ils ne font pas partis du clan des  amis(es), ils ont aussi leurs importances.

Offset ça m'a Topset.