Tout plaquer mais pour quoi d'autre ?

Pour faire du rugby ?

panda31 a écrit:Ou à ta chère et tendre qui veut construire une famille "normale" et qui t'implore de ne pas changer de taf afin d'avoir un taux honnête pour un crédit immo...

Ben, fais le crédit immo et change après ?

Choisis d'acheter quelque chose qui ne te lie pas les poings ? (moi, mais bon, c'est pas Toulouse, j'achète avec une mensualité telle que, si je n'ai plus de boulot, le montant des allocations logement soit presque exactement le montant de mon remboursement de prêt (plus ou moins quelques finesses du calcul desdites allocations)).

C'est ce que jai choisi de faire CD_CD

panda31 a écrit: C'est dur d'être, moins d'avoir...

Ça dépend du contexte.

Avoir... de l'eau potable, si possible courante, c'est parfois dur aussi (y compris dans certains endroits de France (enfin, pour l'eau potable, non, mais pour un air à peu près sain à respirer, ça, c'est beaucoup plus rare qu'on pourrait le penser/que je ne le pensais il y a encore une dizaine d'années)).

Je n'ai pas posé les prérequis : quand l'essentiel est assuré

oui le choix se fait souvent entre stabilité et changement, système fermé ou ouvert avec ou sans risques, passionnant , un temps... ou ennuyeux... longtemps

j'ai changé de très nombreuses fois de jobs dans ma vie et suis encore en train de changer, sauf que je ne suis pas demandeur cette fois, on veut m'utiliser , ils ont fini par comprendre que je n'étais pas trop nul.. hélas ils ont compris lol

je dis hélas car je ne cherche pas mon épanouissement dans mon job, juste le fric fin de mois, je cherche à avoir un job qui me laisse du temps pour les choses que j'aime faire, c'est différent

parce que j'aime faire plein de choses différentes depuis longtemps et parfois je me dis que je pourrais m'investir dans un brol plus ciblé

plus long.. j'y songe

donc la règle est de se fabriquer les conditions de faire ce que l'on veut, du coup la recherche de job prend une autre couleur , sauf bien sur si on veut faire une choses très ciblée que l'on aime particulièrement

certains veulent être médecin, pilote, commercial , créatif etc .. et que cela

une chance de savoir ce que l'on veut faire dans sa vie

moi en fait je ne sais pas , je n'ai jamais su ce que je voulais faire mais je sais ce qui m'intéresse au temps t , sans savoir combien de temps cela durera

donc je pense que cela dépend aussi du caractère et de ses envies professionnelles

d'autres construisent uniquement sur base du modèle standard ou par choix de carrière bien planifiée dès le départ, je serais ceci puis cela puis ça et comme ceci puis comme cela.. un vrai don aussi

évidemment le nec plus ultra ets de se trouver dans un environnement qui vous reconnait comme zèbre et vous donne les moyens de vous réaliser dans le cadre des objectifs de la société et/ou même de les inventer le cas échéant

c'est sans doute la raison pour laquelle se mettre à son compte est la plus valorisante de ce point de vue mais aussi la plus risquée dans certains pays ou l'esprit d'entreprise n'est pas vraiment ni aidé ni soutenu

ou alors on devient artiste, hors zone, et on développe son potentiel autrement sans règles autres que d'avoir une reconnaissance de son potentiel développé

c'est pourquoi il ya beaucoup de zèbres dans les professions artistiques, cinema theatre mais aussi dans les professions médicales ou le don et l'empathie joue beaucoup

mais ce ne sont pas des règles immuables

et le nec super plus ultra est de faire avancer le monde dans un job où vous êtes un des rouages avec d'autres, ça c'est le super pied pour un zèbre, mais évidemment très rare

votre mission consiste à révolutionner le secteur, aider le monde ou sauver la planète.. cela en tant que zèbre cela me convient parfaitement , je signe où déjà ?

;-)

Après avoir passé 20 ans dans l'informatique sans jamais n'avoir cessé de me demander "mais comment est-ce possible que les gens entretiennent de tels rapports en entreprise?" et en m'étant systématiquement ennuyée à mourir au bout de 3 mois, la reconversion s'impose. J'avais déclaré à mon mari que je n'avais malheureusement aucune passion dans la vie. Et puis un jour, il a déménagé la bibliothèque, et il est revenu hilare : pas de passion? Tu te fous de moi? Tu as au moins 200 bouquins de psycho, CNV, etc.
Ah oui, mais j'avais toujours pensé que heu...enfin que c'était pas un métier, un vague passe temps au plus.
En ce moment, j'essaie de mettre mes craintes de côté (Bac+ 5 pour  aller faire le guignol, tsss, le confort de l'argent, et quoi d'autre...bin rien) parce que chaque jour me donne un peu plus le sentiment de n'être pas à ma place (et je peux inclure mes études) et que surtout, je ne veux plus rien à voir à faire avec cette mascarade. Bref, j'ai encore démissionné, et je crois que cette fois, je vais devoir me lancer vers ce qui me plaît, parce que je ne peux tout simplement plus. Je ne peux plus faire semblant que ça m'intéresse, et encore moins que ça a du sens pour moi, cette comédie pathétique.

zebulonlezebre a écrit:oui le choix se fait souvent  entre stabilité et changement, système fermé ou ouvert avec ou sans risques, passionnant , un temps... ou ennuyeux... longtemps

j'ai changé de très nombreuses fois de jobs dans ma vie et suis encore en train de changer, sauf que je ne suis pas demandeur cette fois, on veut m'utiliser , ils ont fini par comprendre que je n'étais pas trop nul.. hélas ils ont compris lol

je dis hélas car je ne cherche pas mon épanouissement dans mon job, juste le fric fin de mois, je cherche à avoir un job qui me laisse du temps pour les choses que j'aime faire, c'est différent

parce que j'aime faire plein de choses différentes depuis longtemps et parfois je me dis que je pourrais m'investir dans un brol plus ciblé

plus long.. j'y songe

donc la règle est de se fabriquer les conditions de faire ce que l'on veut, du coup la recherche de job prend une autre couleur , sauf bien sur si on veut faire une choses très ciblée que l'on aime particulièrement

certains veulent être médecin, pilote, commercial , créatif etc .. et que cela

une chance de savoir ce que l'on veut faire dans sa vie

moi en fait je ne sais pas , je n'ai jamais su ce que je voulais faire mais je sais ce qui m'intéresse au temps t , sans savoir combien de temps cela durera

donc je pense que cela dépend aussi du caractère et de ses envies professionnelles

d'autres construisent uniquement sur base du modèle standard ou par choix de carrière bien planifiée dès le départ, je serais ceci puis cela puis ça et comme ceci puis comme cela.. un vrai don aussi

évidemment le nec plus ultra ets de se trouver dans un environnement qui vous reconnait comme zèbre et vous donne les moyens de vous réaliser dans le cadre des objectifs de la société et/ou même de les inventer le cas échéant

c'est sans doute la raison pour laquelle se mettre à son compte est la plus valorisante de ce point de vue mais aussi la plus risquée dans certains pays ou l'esprit d'entreprise n'est pas vraiment ni aidé ni soutenu

ou alors on devient artiste, hors zone, et on développe son potentiel autrement sans règles autres que d'avoir une reconnaissance de son potentiel développé

c'est pourquoi il ya beaucoup de zèbres dans les professions artistiques, cinema theatre mais aussi dans les professions médicales ou le don et l'empathie joue beaucoup

mais ce ne sont pas des règles immuables

et le nec super plus ultra est de faire avancer le monde dans un job où vous êtes un des rouages avec d'autres, ça c'est le super pied pour un zèbre, mais évidemment très rare

votre mission consiste à révolutionner le secteur, aider le monde ou sauver la planète.. cela en tant que zèbre cela me convient parfaitement , je signe où déjà ?

;-)

j'ai trouvé un copain de longue date

et zebulon, les soins à distance, t'es avec tous tes potes quand tu veux, tu peux faire ske tu veux quand tu veux en terme de soi, t'apprends des milliards de trucs, tu donnes à 1000 personnes en même temps dans les supermarchés, tu laves les lieux etc...

Préfère encore aller à la Bourboule.

Puy domois ?!

Non, je préfère aller à la Bourboule que chez Serge Boutboul.