Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Mon âme sœur des soirs. Amante du silence.
Jean de la Ville de Lormont.
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Jean de la Ville de Lormont.
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Arrête de révéler des moments historiques de ma vie. On est supersonique ou pas.
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L'aigle et la tortue. Croireenmoi.com.
Vous devez croire en moi je vous l'or donne...
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Vous devez croire en moi je vous l'or donne...
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Le vieux sultan et la bague. Désir d'être.com
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Sultans ofI am so sure a écrit:Le vieux sultan et la bague. Désir d'être.com
St'ban- Messages : 10478
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Brothers in arms. Dire straits.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Les trois arbres. Au delà des mots.fr
(L'étroit, art bleu, Ode de : là. Thèmes hauts.)
Art buste, art booste.
(L'étroit, art bleu, Ode de : là. Thèmes hauts.)
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
...sans laisser de trace !
Thelastchallenge.com.
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
C'est un mec qui rentre dans un zoo, alors il demande : « Bonjour, y a-t-il des zèbres ici ? » et la madame du zoo, elle lui répond : « Bah, non, vous croyez à la boucherie ? »
PS : Ça marche aussi avec boîte à partouze.
Invité- Invité
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
C'est deux nécrophiles qui rentrent dans un confessionnal et ils disent : « Seigneur, pardonnez-nous nos os fentes... »
Invité- Invité
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
La Lambada. Les garçons bouchers.
La partouze. Linda Lemay.
Babooska. Kate Bush.
Porcherie. Béruriers noirs.
Les contes de la crypte. Generique.
Tru calling. Générique.
D'un Ave Maria. Obispo.
La partouze. Linda Lemay.
Babooska. Kate Bush.
Porcherie. Béruriers noirs.
Les contes de la crypte. Generique.
Tru calling. Générique.
D'un Ave Maria. Obispo.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Petit Prince. (Paroles)Viederenard.com.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Le chemin du bonheur et de la vérité. Aucoeurdesoi.net.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
C'est pas la simple vie mais tant pis, c'est des histoires quand même.
A qui pensez-vous ? A Gainsbourg.
Quand il est arrivé à Paris il avait pas beaucoup d'argent. Alors il a optimisé. Il s'est loué un appart minable et a tout claqué dans deux choses : un fauteuil en cuir luxueux, et un beau stylo. Le reste il s'en accommodait.
A quoi pensez-vous ? A la sortie d'un de ses concerts, quand des parachutistes sont venus en groupe pour le tabasser, parce qu'il avait déshonoré la Marseillaise avec sa reprise reggae. Il a commencé à chanter la Marseillaise, la vraie, reprise par la foule présente. Et par réflexe tous les parachutistes se sont mis au garde-à-vous, incapables de bouger tant que la Marseillaise était chantée.
Et lui il s'est tiré, tranquillement.
Sans doute avec classe. L'histoire ne le dit pas.
edit : tl;dr
A qui pensez-vous ? A Gainsbourg.
Quand il est arrivé à Paris il avait pas beaucoup d'argent. Alors il a optimisé. Il s'est loué un appart minable et a tout claqué dans deux choses : un fauteuil en cuir luxueux, et un beau stylo. Le reste il s'en accommodait.
A quoi pensez-vous ? A la sortie d'un de ses concerts, quand des parachutistes sont venus en groupe pour le tabasser, parce qu'il avait déshonoré la Marseillaise avec sa reprise reggae. Il a commencé à chanter la Marseillaise, la vraie, reprise par la foule présente. Et par réflexe tous les parachutistes se sont mis au garde-à-vous, incapables de bouger tant que la Marseillaise était chantée.
Et lui il s'est tiré, tranquillement.
Sans doute avec classe. L'histoire ne le dit pas.
edit : tl;dr
Dernière édition par Alim le Mer 14 Aoû 2019, 13:04, édité 1 fois (Raison : trop personnel)
Invité- Invité
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Stand allright.
Stand'Art.
Mode hôtesse d'accueil (en chantant mentalement Fuck You de Lily Allen par exemple).
Des choses simples. La Ruda Salska.
Les petits plaisirs. Les Beautés Vulgaires.
Stand'Art.
Mode hôtesse d'accueil (en chantant mentalement Fuck You de Lily Allen par exemple).
Des choses simples. La Ruda Salska.
Les petits plaisirs. Les Beautés Vulgaires.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
L'hypersensibilité. Chaudron pastel.fr
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Comment se libérer de la colère. Dhamadelaforet. Org.
Khrisna. The Alchemist. YT.
Khrisna. The Alchemist. YT.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Reprenez le contrôle de votre inconscient.
Le Marin.
Santé et innovation.com
Hakuna matata un mantra stoïcien
Psytherapie.Toulouse. Fr
Le petit bonheur. Félix Leclerc. Des yeux dans le dos. Fr
Le Marin.
Santé et innovation.com
Hakuna matata un mantra stoïcien
Psytherapie.Toulouse. Fr
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Le petit bonheur. Félix Leclerc.
Oh
Une chanson-phare.
Ma première fête de l'Huma. Le début de la fin des ténèbres. Je l'avais presque oubliée. Punaise. Merci So Sure.
Invité- Invité
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Une histoire simple de la vie ordinaire... L'histoire d'un jeune homme qui, quand les brumes de l'enfance se sont dissipées, s'est dit que ça serait une bonne idée de regarder directement le soleil. Quitte à sortir du brouillard ! Autant aller droit au but. Et qui est devenu aveugle, s'est brûlé directement la rétine au dernier degré.
Et ce jeune homme avance, dans la nuit éternelle, ne se guidant plus qu'à l'oreille, arrivant à force, à vitesse, de fait presque à simuler un pas et une allure correcte. La nuit est là pourtant, présente, enveloppante, prégnante. Et paraît éternelle. Le temps de toute façon paraît toujours éternel vu d'un seul instant.
Le voilà un jour perdu, seul dans une foule de l'Humanité.
Son cœur à sombré, ne lui reste en barrière que l'idée du malheur, des questions, des erreurs de ses plus proches. Alors il erre, avance encore, encore, dans le désert. Quand soudain d'une tente monte un son latent, latin -- un son qui l'attend.
Et d'un seul pas de côté le voilà devant un drôle de Père Noël à la barbe fière, tout vêtu de blanc comme Dieu le Père. Et qui commence une nouvelle chanson, à l'instant même.
Le petit bonheur. Félix Leclerc.
Et c'était lui Patrick Jullian qui jouait. Le blanc lui allait bien. L'année de l'hommage à Jean Ferrat.
La première lueur d'un éclat. Juste une couleur vive, un simple méplat. Qui fut un phare pourtant, et de longs mois durant pour le guider hors de la nuit noire.
Merci à toi, une fois de plus. Encore une fois
Et pour toutes les chansons que tu as joué qui ont suivi celle-là.
La morale tirée -- quand on finit par s'habituer à l'éclat du soleil apparaissent derrière lui les étoiles. L'espoir est un secret qu'il convient de garder.
Et ce jeune homme avance, dans la nuit éternelle, ne se guidant plus qu'à l'oreille, arrivant à force, à vitesse, de fait presque à simuler un pas et une allure correcte. La nuit est là pourtant, présente, enveloppante, prégnante. Et paraît éternelle. Le temps de toute façon paraît toujours éternel vu d'un seul instant.
Le voilà un jour perdu, seul dans une foule de l'Humanité.
Son cœur à sombré, ne lui reste en barrière que l'idée du malheur, des questions, des erreurs de ses plus proches. Alors il erre, avance encore, encore, dans le désert. Quand soudain d'une tente monte un son latent, latin -- un son qui l'attend.
Et d'un seul pas de côté le voilà devant un drôle de Père Noël à la barbe fière, tout vêtu de blanc comme Dieu le Père. Et qui commence une nouvelle chanson, à l'instant même.
Le petit bonheur. Félix Leclerc.
Et c'était lui Patrick Jullian qui jouait. Le blanc lui allait bien. L'année de l'hommage à Jean Ferrat.
La première lueur d'un éclat. Juste une couleur vive, un simple méplat. Qui fut un phare pourtant, et de longs mois durant pour le guider hors de la nuit noire.
Merci à toi, une fois de plus. Encore une fois
Et pour toutes les chansons que tu as joué qui ont suivi celle-là.
La morale tirée -- quand on finit par s'habituer à l'éclat du soleil apparaissent derrière lui les étoiles. L'espoir est un secret qu'il convient de garder.
Invité- Invité
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Invité a écrit:La part du Colibri
Un immense incendie ravage la jungle.
Affolés, les animaux fuient en tous sens.
Seul un colibri, sans relâche,
fait l’aller-retour de la rivière au brasier,
une minuscule goutte d’eau dans son bec,
pour l’y déposer sur le feu.
Un toucan à l’énorme bec l’interpelle :
“tu es fou, colibri, tu vois bien que cela ne sert à rien”.
“Oui, je sais” réponds le colibri, “mais je fais ma part”…
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
I am just Nath a écrit:
- Spoiler:
Un jeu pour déplisser sa pensée: La 8e dimensionhttps://www.cairn.info/revue-le-journal-des-psychologues-2006-3-page-44.htm
parNicole Catheline
Praticien hospitalier, ch Henri-Laborit, Poitiers
etDaniel Marcel
Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, chef de service, Poitiers
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Le Journal des psychologues
2006/3 (n° 236)
Pages : 80
DOI : 10.3917/jdp.236.0044
Éditeur : Martin Média
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1
À l’heure où les médias proposent une activité de pensée d’une pauvreté souvent majeure, il est bienvenu de proposer aux adolescents de se construire, ou de se soigner, en développant une pensée propre, avec des pairs et des adultes garants. Dans un contexte théorique et pratique soutenu auprès d’adolescents en grande difficulté, les auteurs proposent un jeu thérapeutique.
La conquête de la pensée personnelle
2
Dès ses premières années, l’enfant est capable d’organiser un raisonnement, mais c’est à l’adolescence que se construit la pensée propre, c’est-à-dire un jugement personnel issu d’un raisonnement s’appuyant sur des choix de point de vue et leur mise en perspective avec d’autres. La pensée se complexifie en même temps qu’elle se singularise. Développer une pensée personnelle constitue un formidable progrès dans la compréhension du monde, un fantastique élargissement du champ de réflexion.
3
En début d’adolescence, entre douze, treize ans et quinze, seize ans, la conquête de ce nouvel « outil » est bien souvent entravée par les remaniements affectifs, en particulier le « pubertaire » (Gutton, 1991), cette force antiséparatrice qui maintient l’adolescent collé à ses parents, alors qu’il crie haut et fort qu’il veut s’éloigner. Pour se séparer sans angoisse (génératrice de symptômes), la relation inconsciente aux objets doit être maintenue. Celle-ci comprend deux niveaux de fonctionnement psychique : la qualité intériorisée du lien précoce à l’objet qui garantit les assises narcissiques d’un côté, le lien d’attachement et la relation de désir qui correspond à la relation d’objet de l’autre. Pour se séparer de ses parents sans se perdre, l’adolescent doit prendre du plaisir sans crainte d’abandon ou de représailles et accepter qu’il existe entre ses parents et lui des points de différence, mais aussi des points de ressemblance.
4
Ainsi, lorsqu’un jeune adolescent prend position, il s’agit assez souvent d’une contre-attitude au discours parental et non de l’élaboration d’une pensée propre. Pour y accéder et ne pas s’inscrire dans une contre-attitude œdipienne, il lui faudra d’abord se désengager de cet attachement œdipien à ses parents. Plus le passé infantile aura été insatisfaisant, plus le jeune adolescent aura de mal à s’en éloigner, car ses ressources internes sont fragiles et le « bagage » mince. A contrario, si le passé infantile a été trop étouffant, la séparation-individuation ne pourra se faire qu’au prix d’un arrachement [1][1] Daniel Marcelli parle de l’attachement parent-enfant....
Des symptômes inquiétants, une prise en charge difficile
5
Les adolescents qui ont entrevu le risque de perte que suppose la séparation psychique d’avec les parents renoncent volontiers à cette conquête. Ils se donnent des allures d’adolescent par leurs conduites actives d’opposition, alors qu’en fait ils ne font que jouer les prolongations de l’enfance en contraignant les parents à être sur leur dos. Ces adolescents ont des assises narcissiques fragiles et craignent qu’il y ait plus à perdre qu’à gagner en tentant l’aventure de la pensée personnelle. Aimer penser par soi-même, c’est encourir le risque de douter de la justesse de son raisonnement, c’est accepter le risque de l’erreur et faire en sorte que ce vécu douloureux ne constitue pas une hémorragie narcissique. Pendant toute cette période de mise en place d’une pensée propre, l’adolescent ne peut totalement compter sur cette capacité de jugement et d’analyse pour faire face aux différents problèmes qui vont se poser à lui. Le déploiement de cette pensée est en effet progressif et s’échelonne en moyenne de l’âge de dix ans et demi à quinze ans (Inhelder et Piaget, 1955). Il « couvre » précisément les années collège. Chez la plupart des adolescents, les changements sont patents et visibles mois après mois. Pour quelques-uns, le processus stagne et les conduit à réagir de manière répétitive et inadaptée aux situations sollicitant toute forme de séparation psychique d’avec les parents : refus de prendre en charge son travail scolaire, inhibition relationnelle avec les pairs ou, au contraire, agressivité, conduites agies contre autrui ou retournées sur soi-même en cas de frustration (actes violents, fugues, scarifications, voire tentatives de suicide, consommation de produits phar-maco-dépendants).
6
Que peut-on proposer à ces adolescents en matière de soin psychique ? S’ils refusent d’investir leur vie psychique, ils auront beaucoup de difficulté à s’inscrire dans une démarche d’entretiens psychothérapeutiques. C’est pourquoi le cadre du soin doit concourir à éviter la dépendance, à mettre l’adolescent dans une position active là où, fréquemment, il se sent passif devant un conflit qui s’impose à lui, enfin à lui offrir des espaces relationnels relativement neutres là où il se sent menacé par l’envahissement de la sexualité. L’utilisation des objets de médiation, en particulier dans un contexte ludique, peut favoriser cet investissement progressif d’un espace de pensée et relancer le processus de croissance.
Les fonctions de la médiation
7
Le médiateur sert d’embrayeur aux processus associatifs, car il met en marche l’activité de liaison et de symbolisation (Kaës, 1993). Il sert avant tout de pare-excitation. Il est le tenant-lieu de la rencontre clinique et représente l’état de la relation entre deux appareils psychiques (Chouvier, 2002). Il déclenche, favorise et accompagne le travail d’élaboration. Enfin, il héberge, contient, lie, transforme et interprète les émotions et les affects. À ce titre, on peut le comparer à la fonction alpha de Bion (1963) : rôle de détoxifiant des affects pénibles de l’adolescent pour les lui restituer de manière supportable afin qu’il les intègre dans son psychisme. L’externalisation de la rencontre dans l’objet concret rend possible ce qui semblait risqué au dedans. La pensée se montre par le jeu des actions en même temps que l’agir s’intériorise comme représentation de la pensée. L’utilisation d’objet de médiation constitue un lieu de partage d’une expérience sensorielle et de pensée, un entre deux sujets dont les psychés peuvent enfin s’appareiller et s’accorder. Il constitue réellement un espace de copensée. L’étayage ainsi réalisé rend moins menaçants les affects qui peuvent alors circuler de l’un à l’autre. À ce titre, l’objet concret de médiation peut être comparé à un articulateur intra et interpsychique, c’est-à-dire qu’il constitue un véritable organisateur psychique relationnel (Kaës, 1993).
8
Les adolescents montrent un vif engouement pour les tests de connaissance de soi largement diffusés dans la presse jeunesse, essentiellement féminine : « Êtes-vous une bonne copine ? », « Avez-vous une âme de leader ? », « Romantique ou femme fatale, quelle amoureuse êtes-vous ? » Les adolescents aiment s’appuyer sur de tels objets de médiation culturelle pour appréhender leur pensée, se connaître, se reconnaître. Mais, bien souvent, les réponses aux questions sont cochées hors le regard d’autrui, parfois même à la dérobée pour ne pas qu’un lecteur indélicat découvre cette partie de soi.
Le Concept
9
Notre jeu La 8e dimension illustre ce type de médiateur et son rôle. C’est un outil à l’usage des professionnels de l’adolescence : soignants, pédagogues ou animateurs. Il a été coconçu par une société de concep-tion de jeu [2][2] Valoremis, située à Paris 19e. et une équipe de soignants (sous la direction du Pr Daniel Marcelli et du Dr Nicole Catheline) travaillant depuis de nombreuses années auprès de jeunes adolescents, en particulier des collégiens qui présentent des troubles à prévalence scolaire : troubles du comportement, échec scolaire et menace de décrochage, signes de souffrance psychique (état dépressif, tentatives de suicide, troubles des conduites alimentaires, etc.). Ce jeu cherche à favoriser les représentations des adolescents et à susciter leur réflexion et leur jugement en les situant dans un système d’échanges et de reconnaissance des pensées de chacun. L’appui sur les pairs constitue un étayage particulièrement intéressant dans le travail de désengagement du lien aux objets œdipiens (les parents). Encore faut-il accepter de soumettre son jugement au regard d’autrui. Le caractère ludique du jeu permet de rendre ce dévoilement supportable.
Présentation du jeu
10
Il s’agit d’un jeu de plateau avec sept territoires : Personne/Individu ; Famille/ Proches ; Amis/Copains ; Scolarité/Travail ; Société/Modes de vie ; Institutions/Règles ; Valeurs/Symboles, auxquels vient s’ajouter un territoire transversal (cases réparties sur le plateau qui correspondent à des questions loufoques), soit deux cent quatre-vingts questions sur cent quarante cartes.
Déroulement du jeu
11
Le joueur lance les dés, tire une carte correspondant au territoire sur lequel il a décidé de commencer son parcours.
12
L’arbitre (l’adulte ou un adolescent) lit les deux questions inscrites sur la carte. Le joueur en choisit une. Après environ deux minutes de temps de réponse, au signal de l’arbitre, les autres joueurs votent : oui/non.
13
Le but du jeu est de développer une argumentation susceptible de convaincre les autres joueurs et d’emporter leur adhésion (vote oui). Chacun retrouve ainsi sa capacité potentielle d’émettre un avis, puis de le confronter à celui des autres.
14
Est déclaré gagnant celui qui arrive le premier au terme du parcours décidé ou atteint le premier le score choisi en début de partie (vingt-cinq, trente, trente-cinq points). Avec quatre joueurs, il faut compter environ quarante-cinq à soixante minutes pour une partie en vingt-cinq points ; soixante à soixante-quinze minutes pour une partie en trente points ; et soixante-quinze à quatre-vingt-dix minutes pour une partie en trente-cinq points.
15
Au moment du jeu, il n’est pas souhaitable de demander aux votants de justifier leur point de vue, mais, en fin de partie (et c’est là tout l’intérêt de la présence de l’adulte), l’arbitre peut lancer une discussion sur les sujets qui ont fait naître des divergences de points de vue ou réintérro-ger les joueurs sur un avis donné trop vite, par exemple.
Cadre d’utilisation
16
Ce jeu a été expérimenté dans diverses structures de soins avec des adolescents âgés de douze à seize ans : hospitalisation à temps complet, hôpital de jour, cattp, etc. (Chalon-sur-Saône, Chartres, Poitiers, Strasbourg, Thuir). Tous les adolescents ont apprécié le caractère ludique. Cette activité a même été proposée à des adolescents parfois en grande difficulté pour s’exprimer. Son utilisation a permis à de nombreux adolescents de relancer l’intérêt pour leur vie psychique, ceux-ci réclamant spontanément aux adultes de pouvoir jouer à ce jeu. Le choix des questions, issu d’un travail de plusieurs années, correspond aux préoccupations des adolescents. La présence d’un professionnel garantit le cadre du jeu. Mettre ses pensées en parole dans un cadre protégé (institution et présence d’un adulte) et les soumettre au jugement des autres, telles sont les finalités de cet outil ludique de médiation.
Vignette clinique
17
Marc, treize ans et demi, souffre d’une importante inhibition en classe et ses résultats scolaires sont médiocres (il redouble sa cinquième). Il est triste, démotivé, ne réussit que dans les matières où il ne faut pas apprendre (eps, technologie, musique, arts plastiques). Les parents ne font que relater à l’envi les mauvaises expériences scolaires antérieures. Selon les parents, Marc se serait « braqué » contre toute forme d’apprentissage. Ils ont beaucoup soutenu leur fils pendant la période du primaire, mais leur propre niveau scolaire les met en difficulté pour l’aider au collège. Marc est un adolescent très réservé mais pas déprimé. Il attend avec ennui la fin des cours pour retrouver ses copains avec lesquels il fait du sport et joue à des jeux vidéo. Ses parents, sur les recommandations des professeurs, ont limité ces activités, ce qui a entraîné des conflits importants au sein de la famille. La mère présente une grave maladie pour laquelle elle est depuis peu en invalidité. Le père est un homme pragmatique, très étayant pour son épouse. Il ne s’occupe guère de la scolarité de son fils, ayant lui-même eu maille à partir avec des enseignants dans sa jeunesse (orientation arbitraire). Il est souvent absent du domicile familial pour des raisons professionnelles, mais il vient à chaque consultation. Marc présente un lien anxieux à ses parents : il n’ose pas s’éloigner de sa mère, dépressive de longue date, et admire un père inaccessible dont il craint le jugement et… la virilité. Marc est, en effet, un garçon aux traits extrêmement fins, aux cheveux noirs bouclés, peu masculin dans sa présentation. Son bilan scolaire montre des lacunes importantes, mais sa culture générale est bonne, ses potentialités intellectuelles dans la moyenne sans écart majeur entre les échelles verbale et performance avec des compétences préservées en logique et raisonnement. Admis à l’hôpital de jour à temps partiel, Marc a d’abord été pris dans deux ateliers thérapeutiques à médiation sportive et ludique (jeux de stratégies tels que échecs, jeu de go, awale, etc.). Au bout de six mois, on lui propose l’atelier où se pratique La 8edimension. Au début, Marc regrette l’atelier ludique. Les premières séances dans le nouvel atelier sont difficiles ; Marc est silencieux, il veut arrêter l’atelier. Le groupe de pairs exprime son soutien et le sollicite pour continuer. Ce mouvement de solidarité fait qu’il se sent autorisé à donner son avis sans craindre d’être critiqué. Il devient l’un des adolescents le plus plébiscité par la qualité de ses réponses et sa capacité d’échanges.
18
Peu à peu, il aborde la dépression de sa mère et sa douleur à imaginer l’éventualité d’une séparation d’avec ses parents, son père l’ayant, en effet, menacé d’un apprentissage loin du domicile familial. Les questions du jeu lui ont ainsi permis d’aborder des sujets dont il n’osait pas parler jusqu’alors, en dépit d’une bonne relation avec les soignants de l’institution depuis six mois. Lors de vacances avec une modification des ateliers, Marc a proposé spontanément de faire une partie de La 8e dimension. Marc a choisi une orientation vers un lycée professionnel avec internat et envisage la fin de la prise en charge avec l’accord de l’équipe de soin.
19
Cette vignette clinique met en évidence l’importance du médiateur et celle du groupe des pairs (Chapelier, 2000), dont le soutien a fait que Marc a pu réinvestir le plaisir de pensée (De Mijolla-Mellor S., 1992), de communiquer avec autrui, de confronter ses idées, puis, finalement, de parler de son vécu et d’accepter de se séparer de ses parents. Accepter d’exprimer son point de vue ne peut se faire que dans un cadre rassurant. C’est là tout l’intérêt de La 8e dimension : rassembler des adolescents autour d’un jeu sur la pensée.
Conclusion
20
Grâce à ce dispositif, de nombreux adolescents ont déjà pris plaisir à déplisser leur pensée devant les autres. La relance élaborative par le soignant peut, à son tour, renforcer l’intérêt pour la vie psychique, soulevant des questions qui n’auraient jamais pu être abordées spontanément en face à face. Au décours de cet atelier (une vingtaine de séances de cinquante minutes environ), de nombreux adolescents ont pu s’engager dans une authentique démarche psychothérapique (entretiens individuels dans un cadre réglé, en face à face).
Bibliographie
Bion W. R, 1963, Éléments de psychanalyse, Paris, Puf.
Catheline N., 2001, « Quand penser devient douloureux. Intérêt du travail thérapeutique de groupe en institution et à médiateur », Psychiatrie de l’enfant, xliv(1) : 169-210.
Catheline N., 2002,« Des médiations au service d’un groupe de jeunes adolescents », in « Travailler avec les groupes », Enfances et Psy, 19: 63-70.
Chapelier J.-B. et al., 2000, Le Lien groupal à l’adolescence, Paris, Dunod.
Chouvier B. et al., 2002, Les Processus psychiques de la médiation, Paris, Dunod.
Gutton Ph., 1991, Le Pubertaire, Paris, Puf.
Inhelder B., Piaget J., 1955, De la logique de l’enfant à la logique de l’adolescent, Paris, Puf.
Kaës R., 1993, Le Groupe et le sujet du groupe, Paris, Dunod.
Marcelli D., 1999, « Un père, pairs et passe », in Revue de psychothérapie de groupe, 31: 9-17.
Mijolla-Mellor S. (De), 1992, Le Plaisir de pensée, Paris, Puf.
« Les groupes à médiation en pratique institutionnelle », in Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe, 41 (2), Érès, 2004.
Notes
[1]
Daniel Marcelli parle de l’attachement parent-enfant « colle forte », versus « post-it ».
[2]
Valoremis, située à Paris 19e.
Plan de l'article
La conquête de la pensée personnelle
Des symptômes inquiétants, une prise en charge difficile
Les fonctions de la médiation
Le Concept
Présentation du jeu
Déroulement du jeu
Cadre d’utilisation
Vignette clinique
Conclusion
---------------------------------------------------------------------------------------
Chéri, t'as pensé à repasser ma chemise ? Non j'ai déplissé ma pensée, on peut pas tout faire ...
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
I am just Nath a écrit:
- Spoiler:
Fréquences vibratoires 3D, 4D, 5D.
Publié par Pascal Cadart sur 9 Mars 2014, 17:07pm
Catégories : #Joéliah, #Spiritualité
Fréquences vibratoires 3D, 4D, 5D.
Plusieurs personnes m'ont parlé de 3D, 4D, 5D et je ne savais pas trop de quoi il en retournait. Voici une réponse qui me parait claire.
Message transmis par Joeliah, le 22 juin 2009 :
Et si on essayait d’éclaircir ce que sont ces 3/4/5 dimension... ?
On les appelle dimensions, densités, plans… En fait des niveaux, mais pas comme les marches d’une échelle : ces niveaux peuvent s’interpénétrer, et les niveaux supérieurs englobent les niveaux inférieurs. Il s’agit en fait de niveaux de fréquence, de vibration : tout est énergie qui vibre. Dans la matérialité (visible, monde extérieur), un taux de fréquence plus élevé correspond à une vibration plus élevée des atomes (en fait les électrons qui tournent plus vite autour du noyau), la matière devient plus légère, moins dense, moins visible à nos yeux de 3ème dimension (tout comme on ne voit plus au delà de l’ultra-violet : la lumière visible est une onde électromagnétique qui vibre dans une gamme très étroite de fréquence en 3ème dimension).
Dans la spiritualité (invisible, monde intérieur), un taux de fréquence plus élevé correspond à plus de bien-être, de joie, de paix, d’amour : on se sent aussi plus léger (d’où le nom de densité aussi utilisé pour les dimensions). Il s’agit d’un niveau de conscience plus élevé qui permet la compréhension, la connaissance et la sagesse. Bien-sûr, la matérialité et la spiritualité vont ensemble, sont complémentaires : c’est la spiritualité qui crée la matérialité, et celle-ci sert de support à la spiritualité. Mais la matérialité est obligatoirement collective, tandis que la spiritualité peut être individuelle.
La 3ème dimension dans laquelle nous vivons depuis pas mal de temps est en fait le monde de la dualité, avec tout ce que cela implique : la séparation. C’est le monde dominant du « moi je », de l’égo, de la personnalité, du mental, de l’émotionnel, de la survie. Tout est basé sur la différenciation entre moi et les autres à tous les niveaux : physique, sexe, âge, race, caractère, famille, social, travail, richesse, pouvoir…Tout nous fait croire qu’il n’y a aucun lien entre moi et les autres, et que c’est chacun pour soi. Evidemment, la confrontation entre moi et les autres (par les chakras inférieurs) qui me sont complètement séparés, différents, donc incontrôlables, crée sans cesse des peurs, heurts, disputes et autres problèmes. C’est une lutte permanente pour maintenir la tête hors de l’eau en s’appuyant sur celle des autres. Une autre caractéristique essentielle de la 3ème dimension est au niveau de la création : elle est très difficile pour deux raisons. D’abord, on n’a pas conscience de son pouvoir créateur à partir de nos pensées / émotions, donc nous ne les contrôlons pas pour les diriger vers ce que nous désirons : la création est ainsi inconsciente et fluctuante, donc correspond peu à nos aspirations si on en a vraiment. Ensuite, le temps de manifestation est long, dû à la non-synchronicité de la 3ème dimesion et des multiples obstacles que nous mettons sans le savoir. C’est aussi un monde linéaire (temps), et tridimensionnel (être et espace).
Par contre, dans la 5ème dimension, la dualité n’existe plus. La polarité existe encore, mais la lumière et l’ombre ont été intégrées, équilibrées, et notre conscience se trouve au centre, au point zéro (lumière de Vie), au lieu de nous focaliser sur un des pôles avec un regard critique dû au déséquilibre. Dès lors, il n’y a plus de séparation, plus de jugement, c’est le monde du « nous Un », où je considère les autres comme moi dans une autre expérience. Tous sont reliés, et ce qui arrive à un autre arrive aux autres, et forcément à moi. Donc, je veux le bonheur des autres, je les aide, je leur rends service naturellement, et ce bonheur me revient. Il y a fusion des énergies individuelles à tous les niveaux. De plus, la création est facile et instantanée. Pas étonnant qu’il faille faire un sacré travail sur soi pour entrer dans la 5ème dimension : imaginez que toutes nos pensées/émotions de 3ème dimension créent instantanément toutes les bêtises qui nous passent par la tête, quelle catastrophe ! C’est aussi un monde non linéaire et multidimensionnel (connexion avec le Moi Supérieur). En résumé, la peur est remplacée par l’amour.
La 4ème dimension est simplement un état intermédiaire entre ces deux niveaux de conscience, où la dualité existe encore mais moins qu’en 3ème dimension.
Voilà en gros les caractéristiques de ces dimensions. Alors maintenant, la question qui se pose est : mais comment passe-t-on d’une dimension à l’autre ? L’image qui nous vient est une espèce de porte (sas, vortex, portail…) qu’on franchit pour entrer pleinement, d’un coup, en discontinu dans la dimension supérieure, et pour cela il faut avoir réussi un examen, à une certaine date.
Non ! En fait, à l’heure actuelle, nous sommes quasiment tous en 3D, 4D et 5D ! Hein, quoi ? Je suis en 5D et je ne le sais même pas ! Oui ! Revenons à la base : les dimensions sont des états de conscience, des états d’être. Donc, quand je me sens bien, quand je suis en harmonie et en paix, quand je suis isolé dans la nature, quand je m’émerveille, quand j’ai des frissons de plaisir, quand j’ai un orgasme, quand je suis en état d’extase, quand je médite en ne m’accrochant pas à mes pensées, quand je suis centré dans le coeur et dans le moment présent : je suis en 5D (en gros, quand je ne suis pas contrôlé par mon mental et mon émotionnel, autrement dit l’égo). Mais… cela ne dure pas encore assez longtemps : disons que pour une personne moyenne, cela correspond à quelques pourcents du temps éparpillés dans sa journée. Puis, le monde 3D l’aspire rapidement tel un vortex, par toute une série de préoccupations terre-à-terre…(travailler, se nourrir, confronter les autres…), ce qui la fait rester dans la 3D 80% de sa journée. Le reste, elle le passe dans l’état intermédiaire 4D. En fonction du travail sur soi, les pourcentages se modifient, et on passe globalement de plus en plus de temps en 5D. On passe de l’un à l’autre de ces états de conscience sans s’en apercevoir (du moins au début), ces portails intérieurs étant très subtils, indétectables.
Alors on ne peut pas dire, ça y est, je suis en 5D ! Ou encore, quand est-ce que je vais passer en 5D ? Non, mais on peut dire : j’ai progressé, mon pourcentage de temps en état de conscience 5D augmente : je suis plus heureux, je crée ce qui me plaît, j’attire les synchronicités et les miracles, je prends plaisir à rendre service aux autres… Mais il restera toujours un petit pourcentage 3D, avant que la Terre elle-même n’ascensionne complètement en 5D, avec son humanité. En effet, il faudra toujours redescendre un peu pour continuer à vivre sur ce merveilleux support (mère) qu’est notre planète (argent, nourriture, relations sociales…), et surtout pour aider les autres qui sont toujours là ! Ce seront des descentes que nous serons poussés à faire, car nous avons bien du mal à ne pas succomber à la tentation de ne plus tolérer ce monde basé sur l’ancienne énergie masculine.
Mais comment les dimensions peuvent coexister sans qu’on s’en rende compte ? D’abord, la 5D englobe la 3D, donc notre conscience peut être en 5D et voir la 3D. Par contre, un être en 3D de conscience ne peut pas voir la 5D qui coexiste. Ensuite, pour un être qui serait 50% de son temps en 5D, il se passe deux choses. Premièrement, il n’est pas affecté par la 3D dès lors qu’il en est isolé géographiquement et vibratoirement. Il n’est plus impliqué par les remous et déboires des vieilles habitudes et croyances, il survole cela avec compassion, comme un observateur transparent. Il émet des pensées et des émotions positives qui le tiennent dans des vibrations supérieures hors d’atteinte du marasme d’en-dessous. Aussi, il se tient à l’écart des grosses villes pour créer des communautés d’êtres de fréquences similaires : ce seront les oasis de lumière.
Deuxièmement, on peut se poser la question : pourquoi cet être ne verrait-il pas un monde en 5D quand il est majoritairement dans cet état de conscience ? Il s’agit ici d’un effet de masse critique : il ne pourrait créer le monde en 5D à lui tout seul, car son énergie 5D est bien trop faible par rapport à l’égrégore majoritaire 3D. En effet, la 5D est avant tout un état de conscience avec des pensées/émotions créatrices de cette fréquence. Le monde 5D est à l’intérieur de nous (d’ailleurs, tout l’Univers est à l’intérieur de nous !), et nous le projetons, le manifestons, le matérialisons à notre échelle. Ainsi, les oasis de lumière (une communauté crée bien plus qu’un être seul) constitueront des graines d’hologramme 5D plantées en 3D. Ces îlots seront isolés et dispersés sur la planète en des lieux sacrés, sans interférences du monde 3D, ce qui n’empêchera pas à ces êtres d’y retourner de temps en temps pour des affaires courantes indispensables, et pour aider les autres par des enseignements et guérisons. Ces graines vont croître par le nombre grandissant de personnes qui y séjourneront avec leur conscience de plus en plus en 5D. Les formes-pensées ainsi émises en commun vont agrandir les sphères d’influence 5D (énergie des mini hologrammes), puis quand une masse critique sera atteinte, la planète entière basculera en 5D : l’hologramme sera complet et englobera la planète, en lui servant de nouveau support. Cela sera alors différent en ce sens que se sera "plus" : nous serons capables de voir (en fait, tous les sens, plus ceux extra-sensoriels) beaucoup plus de choses que nous pouvons voir actuellement, ce sera une belle surprise !
Autre élément important : la reconnexion aux autres Moi, principalement le Moi Supérieur. Qu’est-ce que cela signifie ? En fait, nous sommes multidimensionnels, cela veut dire que nous sommes déjà dans toutes les dimensions, y compris la Source, puisque nous sommes la Source (comme une goutte d’eau pourrait dire qu’elle est l’océan, puisqu’elle est de la même essence, la grandeur n’important pas dans un univers fractal). Ce qui se passe, c’est que nous, ici en 3D, n’avons pas conscience que nous sommes aussi "là-bas" à cause du voile de l’oubli. Au fur et à mesure de notre travail intérieur et l’élévation de notre fréquence, nous prenons conscience de nos Moi, de notre existence parallèle en d’autres dimensions, en commençant par les plus proches : 4D et 5D. Plus précisément, nous nous souvenons de ce que nous sommes vraiment, nous reprenons conscience de notre véritable Etre. Comme un amnésique qui retrouverait lentement la mémoire, c’est l’éveil, la levée du voile : je ne vais pas en 5D, mais je me souviens que j’y suis déjà ! Donc, quand on est en état de conscience 5D, c’est reprendre conscience qu’on existe déjà en 5D, et on se reconnecte à cette facette de notre Moi Supérieur qui est bien plus grand que ce qu’on peut imaginer… Cet éclatement en facettes/dimensions a été créé pour expérimenter la Vie de la manière la plus efficace dans l’éternel Présent. Nous réapprenons donc à présent à redevenir un être entier, corps, âme et esprit, enrichis d’une expérimentation extraordinaire pour le plus grand bien de tous. Plus on remonte dans les dimensions, donc plus on reprend conscience de notre Moi Supérieur, plus on fusionne vers l’état d’Unité, jusqu’à la dimension ultime où il n’y a plus que le Moi Un, l’Unité parfaite qu’on appelle Dieu. C’est cela le retour à la Maison, reprendre graduellement conscience que nous sommes dans la Source, que nous n’avons d’ailleurs jamais vraiment quittée.
Il est facile de comprendre avec ces explications, comment une même situation peut être vécue selon la dimension dans laquelle on se place. Par exemple, en troisième dimension, vous pouvez vivre de la colère, de la frustration, de l'injustice et toute blessure de l'âme qui est encore activée. En quatrième dimension, en ajoutant de l'amour et de la conscience, cette situation commence à vous indiférer et en cinquième, elle ne vous intéresse plus, elle devient neutre.
J'aime bien prendre l'explication de l'eau qui chauffe pour expliquer aussi les différents stades. La glace représente le corps physique et la lourdeur de nos pensées et de nos émotions, c'est un peu la 3D Mise dans une casserole chauffée, l'amour réchauffe..., l'eau peut se transformer en liquide qui est plus maléable, c'est un peu la 4D et avec encore plus de chaleur et d'amour, elle se transforme en vapeur, devient plus subtile mais est toujours présente, c'est la 5D. La preuve, c'est qu'en mettant un miroir froid au dessus de la casserole, l'eau réapparait et en réfroidissant par un manque d'amour et de chaleur, elle peut se recongeler... Nous vivons ces états simultanément.
Il y a cependant un piège d'illusion d'être dans la cinquième dimension, et beaucoup d'éveillés tombent dedans par une extension déséquilibrée de l'égo, notre véhicule terrestre. C'est le fait d'être déconnecté de la réalité et de se croire déjà réalisés. L'orgueil spirituel est très présent actuellement. Beaucoup de personnes se sentent supérieures aux autres du fait qu'elles ont commencé à comprendre qu'elles étaient des déesses ou des dieux, plus que d'autres... Nous sommes tous des esprits divins venus faire une expérience humaine, tous issus de la même Source, mais personne n'est plus le représentant de Dieu qu'un autre. C'est cette idolatrie qui encourage de nombreux êtres à se montrer supérieur. La supériorité n'est pas un état de la 5ème dimension ! C'est même de la 3ème dimension pure avec l'illusion de la 5ème. Ne tombez pas dans ce piège. L'humilité et la simplicité sont des garants de l'intégrité de l'élévation.
L'ascension ne se fait pas que pour les éveillés en spiritualité. Elle se fait dans tous les domaines. L'élévation est une reconnexion à la conscience. De nombreuses personnes ascensionnent actuellement dans divers domaines et la société commence à en ressentir les effets. Plus de conscience dans le domaine de la science, des finances, des affaires, de la justice, de l'agriculture ou même de la politique. Tous les domaines existants sur la terre sont obigés de passer par cette prise de conscience de l'unité et de l'interférence des uns avec les autres.
L'expérience de la dualité arrive à sa fin, mais il faut encore beaucoup d'années pour que tous mettent un terme à leurs souffrances et leur orgueil. L'énergie fait tranquillement son ménage... la terre se nettoie partout où il faut. Le feu et l’eau montre leur pouvoir et purifiera et lavera tout ce qui doit l’être. Ce n'est pas une punition, simplement un nettoyage afin que seul ce qui est vrai, beau et bon puisse passer dans le nouveau monde. Chacun possède un taux vibratoire qu'il élève ou abaisse selon ses actes, ses pensées, ses paroles, ses croyances. Ce taux donne une "couleur", une résonance propre à chacun.
Personne ne peut tricher avec ce taux. On peut se donner l'illusion d'être élevé, mais c'est le taux vibratoire qui sert de juge. Deux personnes seront au champ, l'une sera prise et l'autre non... C'est leur taux vibratoire qui servira de clé pour l'entrée dans la fraternité spirituelle.
L'amour véritable est l'unique voie de l'ascension qui est enseignée par tous les maîtres.
Le Jardin de Joeliah
Le Jardin de Joeliah
La persévérance vers un but choisi est un moyen important pour atteindre ce but. Elle requiert courage, foi sans faille, audace, répétition constructive, patience et vision élevée de son idé...
http://lejardindejoeliah.com/
http://www.pensactiv.com/2014/03/frequences-vibratoires-3d-4d-5d.html
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
RevisionsInvité a écrit:Le bocal à con, ludique, efficace, unique!
La plupart du temps, les solutions élaborées par les clients sont trop personnelles pour pouvoir être utiles à d’autres. Cependant, parfois, leurs caractéristiques métaphoriques peuvent les rendre transformables en véritables outils exploitables par bon nombre de personnes.
Ainsi l’autre jour, voilà ma cliente A., avec qui je travaille sur le relationnel professionnel, qui me lance une de ses œillades malicieuses dont elle a le secret et m’explique qu’elle et son mari sont les heureux inventeurs d’un concept qu’ils auraient du breveter il y a plus de 20 ans : le bocal à con.
J’en reste sans voix. Je suis éblouie par le potentiel phénoménal, l’étendue du champ d’action possible d’une telle idée. Merci donc à A. qui non seulement m’a fourni un outil ludique et efficace, et qui en plus m’a autorisée à le partager avec vous.
Le concept
Le concept est ultra simple. Quand nos tentatives bienveillantes pour améliorer les relations avec un abruti donné ont échoué, il s’agit tout simplement d’imaginer qu’on place ledit abruti dans un bocal. Car le con, une fois coincé dans un bocal hermétiquement fermé, a beaucoup plus de mal à nuire : Il n’a plus de son, plus d’odeur. De plus, pour peu qu’on ait choisi un bocal en verre, les parois arrondies lui déforment la figure, nous donnant une sorte de caricature de notre abruti qui diminue grandement l’emprise que ses comportements ont sur nous.
Regardons-le, enfermé dans son bocal: ni ses mots, ni son agressivité, ni ses petites et grandes manipulations, ou encore ses comportements de persécuteur, ses attitudes et manies qui nous insupportent ne parviennent à franchir la barrière de verre qui le sépare de nous. Le con est devenu inoffensif, impuissant.
Le bocal peut ensuite être placé sur une étagère décorative, au fond d’un placard ou encore planqué à la cave. Selon la nature de notre relation au con en question et la solution qui nous convient le mieux, nous pouvons choisir de ranger notre con à la place qui lui revient.
Etes-vous du genre agressif ou soumis? Au lieu de vous cataloguer un peu trop vite, admettons qu’en fait, ce n’est probablement ni l’un ni l’autre! Plutôt un mélange savant et unique des deux, en fonction des circonstances. Partons donc en exploration des comportements hérissons et paillassons, et trouvons le juste milieu…
Hérisson/Paillasson
devenir assertif au lieu de réagir en paillasson ou hérisson/Comportements et estampilles hâtives
Les catégories, genres, étiquettes, ainsi que les adjectifs qui vont avec, sont fort utiles: en simplifiant le monde ils le rendent lisible, compréhensible, rassurant.
Nous avons donc tendance à coller des estampilles de préférence hâtives et souvent définitives sur un maximum de choses. Comme ça, pas de surprise, nous savons à quoi nous en tenir / nous attendre et à partir de quelles généralisations abusives ou de quelles convictions construire notre perception du monde en général et des autres en particulier.
Le hic avec les étiquettes, c’est qu’elles sont vite erronées: notre personnalité n’est pas figée et même le copain le plus saule pleureur est capable de nous étonner par son enthousiasme aussi soudain qu’inattendu vis-à-vis d’un d’un nouveau projet.
Il en va de même dans nos relations: nos réactions sont souvent davantage une question de circonstances que de nature. Quand elles s’y prêtent, l’ours peut se transformer en mouton, la poule mouillée en peau de vache, le dragon en gentil chien-chien.
Nous pouvons aussi passer d’un extrême à l’autre, avec de temps en temps des éclairs de génie pendant lesquels nous ne sommes plus ni hérissons ni paillassons, mais bels et bien assertifs, c’est à dire que nous nous affirmons tout en prenant en compte et en respectant les intérêts des autres parties – bref, nous sommes capables d’être grandioses.
Hérisson Vs Paillasson
L’imagerie animalière regorgeant d’expressions appropriées, continuons dans ce registre aussi gaiement que le pinson entame une chanson. C’est bien connu: chat échaudé craint l’eau froide. Du coup, face à une situation ou un comportement qui lui déplaît, différentes réactions sont possibles et parmi elles, les réactions hérisson ou paillasson.
Il se peut alors qu’il se retrouve à montrer les crocs, toutes griffes dehors, prêt à monter sur ses grands chevaux, à distribuer les chiens de sa chienne, à chercher des poux dans des têtes, à secouer des puces, à clouer des becs.
A l’autre bout de la ligne, à force de ménager la chèvre et le chou, d’être doux comme un agneau, voilà notre matou échaudé qui peut tout aussi bien se retrouver fermé comme une huître, enfermé dans sa coquille, voire prêt à se faire pigeonner, à avaler toutes les couleuvres, bref dindon de la farce, bouc-émissaire, fait comme un rat.
Bref, entre réaction agressives et retrait excessif soumis au bon vouloir d’autrui, les expressions d’un égo malmené par les circonstances s’expriment au détriment:
de la relation à soi: la dévalorisation et la perte d’estime de soi ne sont pas loin.
de la relation à l’autre en générant des interactions déséquilibrées en mode dominant-dominé.
Pourtant, le greffier n’a pas forcément besoin qu’on le prenne sous son aile pour retomber sur ses pattes et réagir avec une affirmation de soisereine et respectueuse de l’autre, cette gentillesse ni serpillière ni prison qui caractérise ceux qui sont sortis de l’égo au profit d’une estime d’eux-même capable d’accueillir l’autre, y compris dans ses défauts. Et ce sans se soumettre à lui ou le passer à la moulinette de ses propres vertus outragées. Pour exemple, faites donc un tour du coté de la vidéo de cet admirable minet champion de l’affirmation de soi.
Mais si notre greffier héros du jour ne craint pas les crocodiles, ça ne signifie pas pour autant qu’il ne craint personne. On peut parfaitement imaginer que ce chat-là ait du mal à prendre la parole en réunion. La plupart d’entre nous agissons parfois en hérisson, parfois en paillasson, et nous gagnons tous à identifier ces situations et ce qu’elles nous renvoient pour renforcer notre assurance et notre aisance relationnelle.
Mini coaching: connaissance de soi – hérisson et paillasson
Bon, arrêtons-là le bestiaire / bêtisier de nos relations et penchons-nous sur nos mécanismes relationnels pour identifier nos circonstances paillasson et nos circonstances hérisson dans le but de faire un premier pas (de loup?) vers l’assertivité et un environnement relationnel qui ne ressembe pas à un panier de crabes (promis, maintenant j’arrête). Il s’agit donc bien d’un pas vers la sortie du triangle dramatique / relationnel / infernal de ce bon vieux Karpman.
Dans quels types de situations avez-vous tendance à être hérisson? Paillasson?
Avec quels types de personnes avez-vous tendance à être hérisson? Paillasson?
Qu’est-ce que ça vous dit sur vous-même?
Sur vos besoins?
Qu’avez-vous besoin d’apprendre, de renforcer, de développer pour vous affirmer davantage, avec douceur et fermeté?
http://www.ithaquecoaching.com/articles/guide-de-survie-aux-abrutis-le-bocal-a-con-814.html
http://www.ithaquecoaching.com/articles/relations-herisson-et-paillasson-843.html
La carotte, l'oeuf et le café.
source inconnue
reçu de Chabella
Vous ne regarderez plus jamais une tasse de café de la même façon.
Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît.
Sa mère l'amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir.
Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus. Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les oeufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une carafe.
Se tournant vers sa fille, elle dit : "Dis-moi, que vois-tu?"
"Des carottes, des oeufs et du café", répondit sa fille.
La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu'elles étaient toutes molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur. Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.
La fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman?"
Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit différemment.
La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.
L'oeuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur.
Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.
"Lequel es-tu?", demanda la mère à sa fille. "Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café?"
Penses-y?
Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force?
Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur?
Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur?
Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.
Comment faites-vous face à l'adversité? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café?
Un petit garçon de 8 ans rejoint son père, scientifique, qui cherche à résoudre les problèmes de l’humanité.
Guerres, terrorisme, abus, scandales,,, absorbent la réflexion du père.
Le petit garçon entre dans le bureau, tire la manche de son papa et lui dit : « Papa, je veux t’aider ! »
Son père le renvoie : « Non non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. »
Mais le petit insiste.
Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle : « Voilà, essaie de reconstruire le monde. »
Il croit occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours.
Mais après deux heures, le fils a résolu le problème et revient voir son père.
» Comment as-tu pu faire cela ? » lui dit le père interloqué.
» Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. Mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. »
L’histoire du Loup Blanc et du Loup Noir
C’est l’histoire d’un enfant qui, comme tous les enfants, joue, rêve et se pose beaucoup de bonnes questions.
Un jour, il va voir son grand-père considéré comme le vieux sage du village.
Il lui demande « Dis-moi, Grand Père, qu’est-ce qu’un Homme ? »
Alors son grand-père, avec ses mots, l’emmène en voyage. Il lui parle de territoires immenses, connus et inconnus, des loups qu’on y trouve.
Il lui raconte le loup noir, sombre, manipulateur, envieux, colérique, hargneux et menaçant, qui hurle la nuit, se cache, se bat avec les uns et dévore les autres, terrifie, domine par la peur et tue.
Il lui raconte aussi le loup blanc, accueillant, équitable, joyeux, solidaire et fraternel. Pacifique, lucide, il protège les siens et soutient les autres, attentif, généreux et confiant.
Puis il lui dit : « Tu vois, l’Homme a ces deux loups en lui. Chacun de nous abrite en lui un loup noir et un loup blanc qui ne cessent de s’affronter. »
L’enfant réfléchit et lui demande : » … et c’est lequel qui gagne ? »
Alors, le vieux lui répond doucement :
« Celui qui gagne, …… c’est celui que tu nourris. »
Jolie métaphore qui nous raconte. Cette dualité nous fait parfois souffrir. A l’adolescence, période particulièrement vulnérable, cette lutte est souvent à l’origine de confusions et de comportements chaotiques qui favorisent un mal être et une perte de sens.
De cette histoire, nous sommes partis pour élaborer un parcours concret et efficace. Associant coaching scolaire, développement personnel, neuroéducation: la réussite et l’épanouissement ne s’acquièrent durablement que par un regard global sur notre singularité et une réconciliation avec soi.
Nourrir son Loup Blanc, c’est retrouver confiance en soi, développer l’estime de soi, comprendre ses leviers de motivation, renforcer sa concentration, devenir responsable de ses choix et atteindre ses objectifs.
http://www.parcoursduloupblanc.com/blog/lenfant-qui-devait-reconstruire-le-monde/
- Spoiler:
http://www.languageguide.org/french/readings/jokes/grenouille/
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Invité a écrit:Un sage hindou qui était en visite au Gange pour prendre un bain a remarqué un groupe de personnes criant de colère les uns après les autres.
Il se tourna vers ses disciples, a souri et a demandé :
- Savez-vous pourquoi les gens crient les uns sur les autres lorsqu'ils sont en colère ?
Les disciples y pensèrent pendant un moment et l'un d'eux dit:
- C'est parce que nous perdons notre calme que nous crions.
- Mais pourquoi criez vous quand l'autre personne est juste à côté de vous?, demanda le guide.
- Pourriez-vous tout aussi bien lui dire ce que vous avez à dire d'une manière plus douce?
Lorsqu'aucune des réponses des disciples n'était suffisamment satisfaisantes pour le sage, il a finalement expliqué:
- Quand deux personnes sont en colère l'une contre l'autre, leurs cœurs sont séparés par une grande distance.
Pour couvrir cette distance, ils doivent crier, car sinon ils sont incapables de s'entendre l'un et l'autre.
Plus ils sont en colère et plus ils auront besoin de crier fort pour s'entendre l'un et l'autre pour arriver à couvrir cette grande distance.
- Qu'est-ce qui se passe lorsque deux personnes tombent en amour?
Ils ne crient pas à l'autre, mais ils se parlent doucement parce que leurs cœurs sont très proches. La distance entre eux est soit inexistante, soit très faible.
Le sage continua...
- Quand ils s'aiment encore plus, que se produit-il ? Ils ne se parlent pas, ils chuchotent et obtiennent encore plus de proximité et plus d'amour.
Enfin vient un moment où ils n'ont même plus besoin de chuchoter, ils se regardent seulement l'un et l'autre et se comprennent.
Puis il regarda ses disciples et leur dit :
- Ainsi quand vous discutez les uns avec les autres ne laissez pas vos cœurs s'éloigner.
Ne dites pas les mots qui vous éloignent davantage, ou bien viendra un jour où la distance sera si grande que vous ne trouverez pas le chemin du retour...
Auteur inconnu
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Invité a écrit:
- Spoiler:
parce que le bassiste est bon
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
I am just Nath a écrit:Reprenez le contrôle de votre inconscient.
Le Marin.
Santé et innovation.com
Hakuna matata un mantra stoïcien
Psytherapie.Toulouse. Fr
Le petit bonheur. Félix Leclerc. Des yeux dans le dos. Fr
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
I am just Nath a écrit:
- Spoiler:
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
I am just Nath a écrit:
- Spoiler:
Ajoutée le 5 juin 2006
DANS UN MONDE EN NOIR ET BLANC, SEULES LES ETOILES SONT EN COULEUR...
- Spoiler:
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Invité a écrit:La part du Colibri
Un immense incendie ravage la jungle.
Affolés, les animaux fuient en tous sens.
Seul un colibri, sans relâche,
fait l’aller-retour de la rivière au brasier,
une minuscule goutte d’eau dans son bec,
pour l’y déposer sur le feu.
Un toucan à l’énorme bec l’interpelle :
“tu es fou, colibri, tu vois bien que cela ne sert à rien”.
“Oui, je sais” réponds le colibri, “mais je fais ma part”…
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
La poubelle magique. Ma planète chérie. YouT.
Coucou coucou coucou je suis là..
---
Apocalypse. Les sales majestés. Musique.
Coucou coucou coucou on est là...
Coucou coucou coucou je suis là..
---
Apocalypse. Les sales majestés. Musique.
Coucou coucou coucou on est là...
Dernière édition par I am just Nath le Ven 17 Avr 2020, 18:34, édité 1 fois
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Docteur la peluche. Crise de timidité. YouT.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Georges le petit singe. Georges l'apprenti plombier. Saison 2. YouT.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Einstein assiste à un cocktail. Leblogdemic.com.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
C'est l'histoire d'un pingouin qui respirait par les fesses.
Un jour il s'assoie et meurt.
Un jour il s'assoie et meurt.
St'ban- Messages : 10478
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Age : 102
Localisation : Belgium (Région Namuroise)
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Invité a écrit:Un scorpion voulait passer sur la rive opposée d'une petite rivière, mais n'étant pas un animal amphibie, il ne sait comment faire.
Voici qu'il aperçoit une charmante grenouille qui prend le frais sur le bord.
Il l'interpelle :
"Eh, toi la grenouille, prend-moi sur ton dos et emmène-moi de l'autre côté de la rivière",
"sûrement pas" rétorque t-elle "si je te prends sur mon dos, tu vas me piquer avec ton aiguillon venimeux",
"enfin, grenouille, réfléchis, si je te pique, nous allons sombrer tous les deux au fond de la rivière, et si tu meurs, je meurs. Donc, pourquoi ferais-je ça ?"
La grenouille, convaincue, prend le scorpion sur son dos et ce curieux attelage se met en route pour passer sur l'autre rive.
Et voilà qu'au milieu du ruisseau, le scorpion, pique la grenouille qui, au fur et à mesure que le venin l'envahit, se sent lentement sombrer avec le scorpion toujours solidement accroché sur elle.
Incrédule elle le questionne, tandis qu'elle coule et sens progressivement ses forces l'abandonner :
"Mais, pourquoi ? pourquoi ? Tu m'avais pourtant promis et nous allons mourrir tous les deux, pourquoi as-tu fait ça ?
"Je sais, je sais, mais tu me connais... Si j'ai fait ça, c'est... parce que c'est dans ma nature..."
Par Daniel-lebeau
Une fois le scorpion,disait à la grenouille:
"Veux-tu me ramener,sur ton dos,jusqu'en face,
Où la prairie est riche,en vers et en limaces;
Ici il n'y a rien,à sortir de mes fouilles!
La rénette disait:"je ne suis pas idiote:
J'ai peur que tu me piques,au milieu de la flotte!"
Et le scorpion jurait qu'il ferait attention;
Il ne voulait mourir ensemble dans l'étang.
La roussette apaisée,le mettait sur son dos,
Pour le faire accoster l'autre rive en nageant.
Mais au milieu du lac,il transperse la peau
De la pauvre grenouille,oubliant son serment!
La grenouille apeurée rappelait son juron,
Etait-il si content de se noyer dedans?
Le scorpion disait:"Non,je sais qu'on va mourir!
Mais mon instinct me pousse à user de mon dard;
Je ne peux contrecarrer ma nature qui part!
Et tant pis si on va se noyer et périr."
Il ne faut se fier jamais à un méchant,
Il ne peut dominer ses tendances du sang,
Il se sert,tôt ou tard,de son âpre poison!
http://ladameauxpapillons.over-blog.com/article-la-fable-du-scorpion-et-de-la-grenouille-81581385.html
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Invité a écrit:LES ENFANTS APPRENNENT SELON CE QU'ILS VIVENT
"Children Learn What They Live"Si les enfants vivent avec la critique, ils apprennent à condamner.
Si les enfants vivent avec l’hostilité, ils apprennent à se battre.
Si les enfants vivent avec la peur, ils apprennent à craindre.
Si les enfants vivent avec la pitié, ils apprennent à se sentir désolés pour eux-mêmes.
Si les enfants vivent avec le ridicule, ils apprennent à se sentir gênés.
Si les enfants vivent avec la jalousie, ils apprennent à ressentir l'envie.
Si les enfants vivent avec la honte, ils apprennent à se sentir coupables.
Si les enfants vivent avec des encouragements, ils apprennent la confiance.
Si les enfants vivent dans la tolérance, ils apprennent la patience.
Si les enfants vivent avec des éloges, ils apprennent appréciation.
Si les enfants vivent avec l'acceptation, ils apprennent à aimer.
Si les enfants vivent avec l'approbation, ils apprennent à s'aimer.
Si les enfants vivent avec la reconnaissance, ils apprennent qu'il est bon d'avoir un objectif.
Si les enfants vivent avec le partage, ils apprennent la générosité.
Si les enfants vivent avec l’honnêteté, ils apprennent la véracité.
Si les enfants vivent avec l’équité, ils apprennent la justice.
Si les enfants vivent avec bonté et considération, ils apprennent le respect.
Si les enfants vivent en sécurité, ils apprennent à avoir confiance en eux et dans leur entourage.
Si les enfants vivent avec l’amitié, ils apprennent que le monde est un endroit agréable où vivre.
Dorothy Law Nolte et Rachel Harris, Children Learn What They Live,1998,
Poème extrait : “Children Learn What They Live”, (Les enfants apprennent selon ce qu'ils vivent)
So Sûre 2- Messages : 6805
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So Sûre 2- Messages : 6805
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Il était une fois 3 princes de Serendip.
C-marketing.eu.
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
C'est un fou qui repeint son plafond,
Un fou arrive et lui dit :
Accroche-toi au plafond, je suis hors norme sur la course de Gauss.
L'autre fou, Quebécois, lui répond :
Et mes couilles, tu les vois mes couilles ?*
Un fou arrive et lui dit :
Accroche-toi au plafond, je suis hors norme sur la course de Gauss.
L'autre fou, Quebécois, lui répond :
Et mes couilles, tu les vois mes couilles ?*
- *Comme l'illustre référence est sans doute moins connue :
- C'est un Corse qui va en vacances à la plage, avec le beau maillot de bain en laine que lui a tricoté sa chère mère. Il va se baigner un peu, mais fatigué (c'est un Corse, après tout) va retourne profiter du soleil et bronzer un peu. Le soleil faisant sur la laine mouillée son effet, un passant s'arrête et fait à notre ami de Bonifacio cette remarque ô combien remarquable (puisque c'est une remarque (ce qui prouve bien qu'on ne devrait pas raconter de blague après un l'apéro trop arrosé)) :
« Monsieur, monsieur, on voit passer un testicule… »
Le Corse se redresse de sa serviette, scrute l'horizon, mais rien ! Et se demandant ce que lui montre ce con de continental vu que l'horizon est aussi désert que possible retourne farnienter en maugréant sur l'agitation de ces agités (répétition et bis repetita).
Passé une demi-heure (qui lui parut bien trente minutes), notre ami Corse, ou du moins, l'ami de quelqu'un ce qui fait qu'il vaut mieux éviter de ne pas être son ami, retourne patauger quelques minutes avant de retourner profiter d'un soleil aussi pesant qu'une blague resucée depuis cinquante ans. L'effet est malheureusement plus traumatisant encore pour la fragile fibre textile et et cela ne manque pas d'attirer l'attention d'un nouveau passant qui passe (c'est son rôle après tout). Celui-ci, s'arrêtant par devant lui, lui souffle alors :
« Monsieur, monsieur, on voit passer deux testicules… »
Le Corse, jurant qu'on ne l'aura pas deux fois, ne prend même pas la peine de se relever pour scruter la ligne de la mer et jette à peine et plein de dédain à l'importun un dédaigneux :
« Pfff… Et mes couilles, tu les vois mes couilles ? »
Archiloque- Messages : 1665
Date d'inscription : 22/09/2020
Localisation : Les terres
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Hello.
Bienvenue ici.
Où tu peux poster à ta guise et sans obligation de spoiler sauf si c'est ton souhait
Bienvenue ici.
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So Sûre 2- Messages : 6805
Date d'inscription : 08/08/2020
Age : 53
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
L'homme qui ne possédait rien
Guba Guyan/YouT
Conte sagesse.
La rose et l'oiseau.
Contes et cookies/YouT
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So Sûre 2- Messages : 6805
Date d'inscription : 08/08/2020
Age : 53
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
L'histoire du désert amoureux
Lilly 31/YouT
Lilly 31/YouT
So Sûre 2- Messages : 6805
Date d'inscription : 08/08/2020
Age : 53
So Sûre 2- Messages : 6805
Date d'inscription : 08/08/2020
Age : 53
Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
c'est l'histoire de Hulk, fidèle à lui-même, vert, donc, qui arrive avec sa Porsche rose fuschia, à un carrefour où le feu de signalisation est au rouge et tout à coup le feu passe au vert il devient tout rouge... encore aujourd'hui cette histoire est une énigme encore non résolue par tous les chercheurs du monde entier...
Il y a la version HQI..
Alors c'est un Hqi qui arrive dans sa Fiat Panda, à une vitesse de 90 de quotient intellectuel peut-être même de 45 puisque il est en train d'écouter Samantha Fox, il arrive à un carrefour où le feu de signalisation est rouge.. et là tout à coup, une de ses connaissances avec un quotient intellectuel de 370, traverse dans le passage pour piétons, et ce qui s'est produit ensuite reste une énigme très perturbante pour tous les mathématiciens du monde entier.
Puisque bien évidemment n'importe qui se dit que si une personne de quotient intellectuel de 130 rencontre quelqu'un d'un quotient intellectuel incalculable mais estimé à la cuillère en bois qui cache la forêt, à 370 logiquement il devrait se produire un équilibre au niveau d'une intelligence supérieure commune...
Que nenni.
Et en fait stupéfaction, les services de police ont indiqué dans le rapport que lorsqu'ils étaient arrivés sur les lieux, après que des habitants de ce carrefour les ai contacté, ils avaient été surpris de trouver un peu près l'équivalent des Village People sortant éméchés d'un bistrot tous les deux en train de danser sur le passage pour piéton et en n'arrêtant pas de répéter : "Qu'est-ce qu'on a de la chance de pouvoir se croiser sur ce Zebracrossing..., dansons la danse du soleil pour fêter ça..."
Bilan : Estimation de quotient intellectuel de ces deux personnes par les experts psychiatres, avant l'audition devant le procureur général, pour trouble de l'ordre public, ect : entre 25 et 32.
Leurs avocats respectifs ont plaidé un arrêt brutal et une chute incompréhensible de Qi, d'une grande intelligence
Affaire en délibéré. Nous en saurons plus dans 15 jours.
Le monde scientifique est en alerte et il paraîtrait même que la CIA est au taquet
So Sûre 2- Messages : 6805
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Re: Racontes moi, inventes moi des histoires simples de la simple vie
Conte perse.
Une histoire dans le sable.
Sable d'avril/YouT
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So Sûre 2- Messages : 6805
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