Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
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Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Bonjour,
Je vous fait partager le texte ci-dessous que j' ai écrit, toute observation constructive est la bienvenue.
L'écrit est un besoin, besoin de se comprendre, besoin d'être conscient de sa conscience. Cela ne ce force pas, c'est instinctif, écrire c'est assumer le fait d'être ou de ne pas être. La pensé est volatile, l'écrit reste est te possède à chaque lecture, comme un besoin de réécrire de manière plus profonde, un moyen de faire évoluer la pensé originel. Que devrai-je savoir de ce que je vais écrire sinon de constater l'évolution de ma pensé à ma lecture. J'écris ma conscience tout en constatant que mon inconscience me rattrape. Ma perception est l'unique moyen d'être moi, elle ne saurait être d' autrui. L' empathie peut être utile mais elle a une certaine prétention. Si l' écrit est une forme de questionnement alors sa lecture est une forme de réponse. Rien n' y est absolue, la relativité nous pousse à la liberté d' écriture. On peut écrire tout et son contraire, l'important est d'entretenir la réflexion. La vérité peut rendre aveugle quand on fait d 'elle une certitude. Toute certitude est une défaite quand on est à la recherche du savoir. Il ne faudrait pas considérer qu' une vérité est une finalité, alors que le chemin éternelle de la réflexion peut toujours évoluer. Écrire une vérité c 'est comme lire un mensonge quand on prétend qu' elle l' est figé (la vérité). Je m’ appel Thomas, mais est-ce une certitude? est-ce absolu? n'y a t' il pas une chance sur un million que j' eu été adopté et renommé sans que je ne le sache? La terre vue du ciel est bleu, mais est-ce une certitude? est-ce absolu? n'y a t' il pas une chance sur un million qu'un daltonien la perçoive grise? Il y a beaucoup de chance qu' enfaite cette absolue que nous croyons ne le sois pas. Il faudrait avoir conscience que notre propre perception n'engage que nous, qu' elle n'est pas forcément celle d' autrui. J' aime à penser que rien n' est absolu, que tout est relatif, mais je comprend par l 'écrit les difficultés liées à la formulation. Mais je dois m' y employer car en cela je semble avoir trouvé le réel chemin de ma réflexion. Écrire sans prétendre est une forme de questionnement éternelle, une forme qui amène la réflexion a évoluer sans cesse. La forme approprié de la réflexion et de ses écrits serai le conditionnel, il semblerai que... Mais je n' y parviens pas toujours, pourquoi? Qu-est-ce qui fait que malgré ma conception de l' absolue et de la relativité, j' ose prétendre des choses? Pourquoi suis-je lié comme par des chaîne à la prétention, est-ce instinctif? est-ce les conséquences d' une éducation? d' un système? Je constate souvent des dialogues du genre humain consistant à vouloir faire de notre perception celle des autres, entrainant souvent des litiges car l'un pense ceci et l'autre pense cela, cherchant à vouloir faire valoir sa vérité au détriment de celle de l'autre. Une forme d'équilibre, de compromis semble lié comme pour réponse et solution à deux perceptions opposés, si c' est vraiment le cas, l'équilibre n' est pas inné, il reste à définir et surtout à accepter. C'est ce qui doit je pense générer le conflit, moi même n' est pas envie de reconsidéré et accepté que j'ai tord et qu 'il est raison, j'aurai le sentiment d'être un abrutis ou inférieur. Ce sentiment doit être lié a l' esprit de compétition généré par mon éducation sociétale. Il faudrait enfaite d'office considérer que chacun de mes écris n'est qu' une prétention relative. Il faudrait que chaque phrase ne donne pas un sens absolu à ma perception. Remplacer les arguments qui me donne raison par ceux qui pourrai laissé penser que tu as peut être tord. Ainsi pousser indirectement l' autre sur le chemin de sa réflexion visant à ce qui' il comprenne de lui même ses propre tords. Si chaque perception étaient un monde, je les définirai comme ceci:
Les mondes multiples.
La théorie des mondes multiples est divisé en trois mondes.
1 Le monde intérieur (je):
Le monde intérieur est basé à la première personne, je suis ce monde.
Il est définie par ma personne, mon être, ma conscience, ma spiritualité, ma perception.
Ce monde m'appartient, il est unique.
2 Le monde extérieur (tu, il, elle, vous, ils, elles):
Le monde extérieur rassemble le monde intérieur de chacun de vous.
Cela signifie qu'il est composé de chaque monde intérieur, soi celui de chaque être.
3 Le monde commun (nous):
Le monde commun est le monde dans lequel nous vivons tous.
La terre, une forme de réalité, de normalité et de conscience collective dont nul n'échappe.
Ces trois mondes dépendent les un des autres, en sommes, ils ne forment qu'un.
Je vous fait partager le texte ci-dessous que j' ai écrit, toute observation constructive est la bienvenue.
L'écrit est un besoin, besoin de se comprendre, besoin d'être conscient de sa conscience. Cela ne ce force pas, c'est instinctif, écrire c'est assumer le fait d'être ou de ne pas être. La pensé est volatile, l'écrit reste est te possède à chaque lecture, comme un besoin de réécrire de manière plus profonde, un moyen de faire évoluer la pensé originel. Que devrai-je savoir de ce que je vais écrire sinon de constater l'évolution de ma pensé à ma lecture. J'écris ma conscience tout en constatant que mon inconscience me rattrape. Ma perception est l'unique moyen d'être moi, elle ne saurait être d' autrui. L' empathie peut être utile mais elle a une certaine prétention. Si l' écrit est une forme de questionnement alors sa lecture est une forme de réponse. Rien n' y est absolue, la relativité nous pousse à la liberté d' écriture. On peut écrire tout et son contraire, l'important est d'entretenir la réflexion. La vérité peut rendre aveugle quand on fait d 'elle une certitude. Toute certitude est une défaite quand on est à la recherche du savoir. Il ne faudrait pas considérer qu' une vérité est une finalité, alors que le chemin éternelle de la réflexion peut toujours évoluer. Écrire une vérité c 'est comme lire un mensonge quand on prétend qu' elle l' est figé (la vérité). Je m’ appel Thomas, mais est-ce une certitude? est-ce absolu? n'y a t' il pas une chance sur un million que j' eu été adopté et renommé sans que je ne le sache? La terre vue du ciel est bleu, mais est-ce une certitude? est-ce absolu? n'y a t' il pas une chance sur un million qu'un daltonien la perçoive grise? Il y a beaucoup de chance qu' enfaite cette absolue que nous croyons ne le sois pas. Il faudrait avoir conscience que notre propre perception n'engage que nous, qu' elle n'est pas forcément celle d' autrui. J' aime à penser que rien n' est absolu, que tout est relatif, mais je comprend par l 'écrit les difficultés liées à la formulation. Mais je dois m' y employer car en cela je semble avoir trouvé le réel chemin de ma réflexion. Écrire sans prétendre est une forme de questionnement éternelle, une forme qui amène la réflexion a évoluer sans cesse. La forme approprié de la réflexion et de ses écrits serai le conditionnel, il semblerai que... Mais je n' y parviens pas toujours, pourquoi? Qu-est-ce qui fait que malgré ma conception de l' absolue et de la relativité, j' ose prétendre des choses? Pourquoi suis-je lié comme par des chaîne à la prétention, est-ce instinctif? est-ce les conséquences d' une éducation? d' un système? Je constate souvent des dialogues du genre humain consistant à vouloir faire de notre perception celle des autres, entrainant souvent des litiges car l'un pense ceci et l'autre pense cela, cherchant à vouloir faire valoir sa vérité au détriment de celle de l'autre. Une forme d'équilibre, de compromis semble lié comme pour réponse et solution à deux perceptions opposés, si c' est vraiment le cas, l'équilibre n' est pas inné, il reste à définir et surtout à accepter. C'est ce qui doit je pense générer le conflit, moi même n' est pas envie de reconsidéré et accepté que j'ai tord et qu 'il est raison, j'aurai le sentiment d'être un abrutis ou inférieur. Ce sentiment doit être lié a l' esprit de compétition généré par mon éducation sociétale. Il faudrait enfaite d'office considérer que chacun de mes écris n'est qu' une prétention relative. Il faudrait que chaque phrase ne donne pas un sens absolu à ma perception. Remplacer les arguments qui me donne raison par ceux qui pourrai laissé penser que tu as peut être tord. Ainsi pousser indirectement l' autre sur le chemin de sa réflexion visant à ce qui' il comprenne de lui même ses propre tords. Si chaque perception étaient un monde, je les définirai comme ceci:
Les mondes multiples.
La théorie des mondes multiples est divisé en trois mondes.
1 Le monde intérieur (je):
Le monde intérieur est basé à la première personne, je suis ce monde.
Il est définie par ma personne, mon être, ma conscience, ma spiritualité, ma perception.
Ce monde m'appartient, il est unique.
2 Le monde extérieur (tu, il, elle, vous, ils, elles):
Le monde extérieur rassemble le monde intérieur de chacun de vous.
Cela signifie qu'il est composé de chaque monde intérieur, soi celui de chaque être.
3 Le monde commun (nous):
Le monde commun est le monde dans lequel nous vivons tous.
La terre, une forme de réalité, de normalité et de conscience collective dont nul n'échappe.
Ces trois mondes dépendent les un des autres, en sommes, ils ne forment qu'un.
tomtom31- Messages : 12
Date d'inscription : 26/11/2015
Localisation : Toulouse
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Bonsoir Thomas,
voici les choses qui me viennent en te lisant. Je te laisse piocher ce qui t'interessera, je pose juste des formes de pensée.
(Je passe sur l'orthographe...)
Lorsque tu écris: "Si l' écrit est une forme de questionnement alors sa lecture est une forme de réponse." je pense à Umberto Eco qui a beaucoup écrit sur l'interprétation et ses limites (ou non limites), l'une de ses idées est qu'une oeuvre littéraire (mais cela s'applique à toute forme d'oeuvre) n'est achevée que par la lecture/et l'interprétation d'un lecteur; qu'il existe de fait autant d'interprétation/de sens (direction, possibles) que de lecteurs; une oeuvre est donc infiniment féconde et à la fois absolument aboutie (pour l'individu lecteur)... Cela rejoint l'idée d'une lecture réponse. Eco m'a beaucoup nourrie à ce sujet, c'est pourquoi je l'évoque.
Ensuite concernant les perceptions, je ne sais pas si tu as entendu parler de la méditation vipassana (selon S.N Goenka, mais beaucoup de techniques permettent de comprendre et de conscientiser la/les perception(s) ), on est plus dans le littéraire, mais dans l'expérimental (et quelque part, il me semble que ce devrait être une base fondamentale...), la technique en question permet d'apprendre à observer ses sensations, à comprendre, les conditionnements auxquels sont soumises les perceptions et les interactions entre conscience, sensations, perceptions, réactions... (L'art de vivre de William Hart, presente très bien la technique et ses fondements. Absolument laique et universelle!). Il ne s'agit pas de prosélitisme, c'est simplement une piste qui me parait en adéquation avec les questions que tu soulèves.
Ce qui m'amène à ma troisieme pensée, sur les 3 mondes que tu définis: intérieur, extérieur, commun. Cela me fait penser automatiquement au 1+1=3... ma conclusion rejoint la tienne à travers le tout est UN, l'unité, transcendant le duel intérieur/extérieur... nous pénétrons le monde et sommes pénétrés par lui parfois violemment, les hypersensibles le savent bien... Il nous est même possible d'expérimenter cette fusion, lorsqu'alors le Je n'existe plus. Tout n'est plus que vibrations.
Il me semble que les vérités appartiennent et dépendent de chacun et que nous ne pouvons jamais être parfaitement sûrs de toucher à LA Vérité universelle... et pour en revenir à ton texte, l'expérience que chacun en fait est unique (en tout cas il a fait fourmiller mon cerveau^^)
Voici l'extrait d'un texte que j'ai écrit...sur l'écriture:
"Je perçois la page comme un espace de création, la page n’agresse pas, elle se laisse habiter, elle ne résiste pas. L’esprit parfois résiste au désir d’écriture mais la page ne résiste pas. Lorsque deux personnes discutent, l’espace commun est plus un champ de bataille qu’un espace de création et d’amour, la maîtrise du Verbe, l’art de la dialectique, l’exercice d’une forme d’excellence rationnelle que l’être d’exception qu’est l’humain se targue de posséder. La page est un terrain neutre, les êtres s’y déposent, s’y mélangent, un espace de tous les possibles, un espace de l’infini. Au-delà du sens des mots, les formes parlent, le sens est partout y compris dans le non-sens. Thich Nhat Hanh écrit « il n’y a ni apparition, ni disparition. Tout fait semblant de naître et de mourir ». [...] Le mot écrit et lu vit indépendamment de l’auteur, du lecteur, l’un et l’autre y mettent d’eux-mêmes, la page constitue un espace-temps particulier, plus intime, qui permet d’effectuer toutes ces opérations sans que le regard de l’autre n’ait directement prise sur nous-mêmes, et par regard j’entends présence, énergie, force agissante… Là, il me paraît plus simple de choisir ce qui nous pénètre, ce qui nous imprègne, ce que nous laissons nous imprégner, ce dont nous nous imprégnons…"
Bien à toi =)
voici les choses qui me viennent en te lisant. Je te laisse piocher ce qui t'interessera, je pose juste des formes de pensée.
(Je passe sur l'orthographe...)
Lorsque tu écris: "Si l' écrit est une forme de questionnement alors sa lecture est une forme de réponse." je pense à Umberto Eco qui a beaucoup écrit sur l'interprétation et ses limites (ou non limites), l'une de ses idées est qu'une oeuvre littéraire (mais cela s'applique à toute forme d'oeuvre) n'est achevée que par la lecture/et l'interprétation d'un lecteur; qu'il existe de fait autant d'interprétation/de sens (direction, possibles) que de lecteurs; une oeuvre est donc infiniment féconde et à la fois absolument aboutie (pour l'individu lecteur)... Cela rejoint l'idée d'une lecture réponse. Eco m'a beaucoup nourrie à ce sujet, c'est pourquoi je l'évoque.
Ensuite concernant les perceptions, je ne sais pas si tu as entendu parler de la méditation vipassana (selon S.N Goenka, mais beaucoup de techniques permettent de comprendre et de conscientiser la/les perception(s) ), on est plus dans le littéraire, mais dans l'expérimental (et quelque part, il me semble que ce devrait être une base fondamentale...), la technique en question permet d'apprendre à observer ses sensations, à comprendre, les conditionnements auxquels sont soumises les perceptions et les interactions entre conscience, sensations, perceptions, réactions... (L'art de vivre de William Hart, presente très bien la technique et ses fondements. Absolument laique et universelle!). Il ne s'agit pas de prosélitisme, c'est simplement une piste qui me parait en adéquation avec les questions que tu soulèves.
Ce qui m'amène à ma troisieme pensée, sur les 3 mondes que tu définis: intérieur, extérieur, commun. Cela me fait penser automatiquement au 1+1=3... ma conclusion rejoint la tienne à travers le tout est UN, l'unité, transcendant le duel intérieur/extérieur... nous pénétrons le monde et sommes pénétrés par lui parfois violemment, les hypersensibles le savent bien... Il nous est même possible d'expérimenter cette fusion, lorsqu'alors le Je n'existe plus. Tout n'est plus que vibrations.
Il me semble que les vérités appartiennent et dépendent de chacun et que nous ne pouvons jamais être parfaitement sûrs de toucher à LA Vérité universelle... et pour en revenir à ton texte, l'expérience que chacun en fait est unique (en tout cas il a fait fourmiller mon cerveau^^)
Voici l'extrait d'un texte que j'ai écrit...sur l'écriture:
"Je perçois la page comme un espace de création, la page n’agresse pas, elle se laisse habiter, elle ne résiste pas. L’esprit parfois résiste au désir d’écriture mais la page ne résiste pas. Lorsque deux personnes discutent, l’espace commun est plus un champ de bataille qu’un espace de création et d’amour, la maîtrise du Verbe, l’art de la dialectique, l’exercice d’une forme d’excellence rationnelle que l’être d’exception qu’est l’humain se targue de posséder. La page est un terrain neutre, les êtres s’y déposent, s’y mélangent, un espace de tous les possibles, un espace de l’infini. Au-delà du sens des mots, les formes parlent, le sens est partout y compris dans le non-sens. Thich Nhat Hanh écrit « il n’y a ni apparition, ni disparition. Tout fait semblant de naître et de mourir ». [...] Le mot écrit et lu vit indépendamment de l’auteur, du lecteur, l’un et l’autre y mettent d’eux-mêmes, la page constitue un espace-temps particulier, plus intime, qui permet d’effectuer toutes ces opérations sans que le regard de l’autre n’ait directement prise sur nous-mêmes, et par regard j’entends présence, énergie, force agissante… Là, il me paraît plus simple de choisir ce qui nous pénètre, ce qui nous imprègne, ce que nous laissons nous imprégner, ce dont nous nous imprégnons…"
Bien à toi =)
Clali- Messages : 38
Date d'inscription : 02/12/2015
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Bonjour à vous.
Les questions de l'écrit et des mondes m'avaient déjà émoustillés l'esprit. Vos réflexions alliciantes me l'ont ouvert. Je dirai que vous avoir lu avec attention a permit à mes propres idées de prendre une réelle forme concrète.
Il me parait courtois de vous en remercier.
Les questions de l'écrit et des mondes m'avaient déjà émoustillés l'esprit. Vos réflexions alliciantes me l'ont ouvert. Je dirai que vous avoir lu avec attention a permit à mes propres idées de prendre une réelle forme concrète.
Il me parait courtois de vous en remercier.
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Tu m'as fait découvrir à un mot que je ne connaissais pas et qui me plaît bien Zannibal! Merci!
Clali- Messages : 38
Date d'inscription : 02/12/2015
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Bonjour Clali,
Merci pour ta réponse qui s' avère objective et constructif à la lecture de mes écrits.
N' ayant qu' une éducation de drôle de zèbre il est certain que je préféré faire rire que me consacrer à l' apprentissage de mes professeurs, d' où l' orthographe approximatif.
Depuis mon enfance, je ressentais dans mon esprit des pensées instinctives sans pour autant savoir si elles étaient inné ou apprise, sans pouvoir les formuler ou même les comprendre, et donc sans les assumer.
J' étais emprisonné dans un mal être qui n' était que le reflet de devoir être comme tout le monde sans y arrivé, en étant rejeté, exclu, ou tout simplement différent, j' étais probablement trop jeune, naïf et je manquais d' expérience.
Aujourd’hui avec le temps et au travers d' une évolution cérébral lié à une obsession du savoir, je parvient à donner un sens aux éléments qui m' entoure et qui me constitue, un sens certes relatif mais plutôt objectif et réfléchie.
L' allégorie de la caverne de Platon a eu sur moi pour action d' avoir appuyé sur réset, de tout recommencer à zéro en terme de perception.
Comme si une graine avait germé dans mon esprit puis poussé jusque à devenir l' arbre de ma connaissance de l' infini.
En me relisant je perçois l' ensemble de mon être, un être imparfait qui essai simplement de donner un sens à son ressentie.
En faisant cela j' ai le sentiment de me rapprocher de moi, d' être bien dans ma peau, de trouver une forme de rédemption par rapport à mon passé.
La retranscription que tu me livre de "Umberto Eco" me parle, je semble lié à son interprétation de la perception, je lirai donc ses écrits afin d' avoir plus d' élément de réponse.
Je m' étonne souvent que beaucoup de chose que je pense de manière inné puis réfléchi mais sans pouvoir y mettre la forme, se rapporte enfaite à des œuvres existante, comme si chacune de mes pensées pouvait trouver leurs sens dans un écrit extérieur.
Ainsi, de Platon et d' Umberto Eco entre autre, au travers de leur ouvrage je mets des mots et des forme plus concrète à ma pensé originel.
J' ai le sentiment que chacune de mes pensées même de sujet différent ont un lien commun, comme si un fil relié chaque pensées entre elles, instinctivement je fait des parallèle dans toutes mes analyses. Cette notion d' un absolu systématiquement relatif, me permet d' être toujours dans la réflexion, tout comme cette volonté d' équilibre me permet d' entrevoir la perception multiforme.
En bref, je constate ces deux notion philosophique a savoir que tout est relatif et donc que rien n' est absolu puis que rien n' est bon a l’excès et que tout n' est qu' équilibre. Je t' avoue que je suis un peut perdu, j' ai l' impression que l' absolu est devant moi sans pouvoir le concevoir.
La linguistique me perd, je constate trop de caractère absolu dans mon écrit alors que ma pensé est relative, je me sent prisonnier de ne pas pouvoir retranscrire à l' écrit le conditionnel de chacune de mes pensées.
Le savoir que je ressent a un retour de bâton, je ne suis plus dans l' ignorance et la naïveté, la contradiction pointe son nez dans toute mes réflexion.
Mais je ne regrette rien, la contradiction me permet toutefois d' avancer, d' affronter les paradoxes et d' assumer.
Goenka et William Hart me sont inconnue, merci de porter à ma connaissance leurs réflexion auquel j' ai hâte de découvrir.
Les 3 mondes que j' évoque, je l' est toujours ressenti en moi, puis en écrivant ce texte j' ai réussi à y mettre la forme.
Il en découle bien d' autre théorie, la conception des 3 mondes est pour moi le point de départ d' un univers infini.
Ces 3 mondes sont beaucoup de réponses à mes questions, elles ont soulevé de nouvelles question, auquel je commence a y répondre ainsi de-suite. Je pense mettre bientôt la forme sur les pensées qui en sont ressortie.
J' ai écrits mon texte une nuit d' insomnie, je me suis levé et j' ai écrit d' un trait comme si tout ce que j' avais accumulé, ressenti et réfléchi avais besoin de sortir, sans forcément que cela soit prémédité, je me suis lancé avec comme objet l' écrit et mon être s' en est révélé au travers de ma sensibilité. Comme si une force intérieur non contrôlé consciemment m' avait possédé sans que ma conscience lui en donne l' ordre.
Je ressent dans ton texte cette manière d' aborder l' écrit, comme si la page blanche n' était enfaite qu' un miroir qui te pousse à t'identifier en elle, une manière de te projeter, un prétexte de départ pour en ressortir ta propre histoire, un élan qui te permet de t' exprimer, une forme de point de départ, la cause à ton effet...
Un sujet qui est le moteur de ton exutoire, comme le patineur à besoin de glace, comme le pompier à besoin d' eau...
Ce servir et se ressentir un élément extérieur pour exprimer ton ressentie intérieur pour la lecture du bien commun.
Merci,
Merci pour ta réponse qui s' avère objective et constructif à la lecture de mes écrits.
N' ayant qu' une éducation de drôle de zèbre il est certain que je préféré faire rire que me consacrer à l' apprentissage de mes professeurs, d' où l' orthographe approximatif.
Depuis mon enfance, je ressentais dans mon esprit des pensées instinctives sans pour autant savoir si elles étaient inné ou apprise, sans pouvoir les formuler ou même les comprendre, et donc sans les assumer.
J' étais emprisonné dans un mal être qui n' était que le reflet de devoir être comme tout le monde sans y arrivé, en étant rejeté, exclu, ou tout simplement différent, j' étais probablement trop jeune, naïf et je manquais d' expérience.
Aujourd’hui avec le temps et au travers d' une évolution cérébral lié à une obsession du savoir, je parvient à donner un sens aux éléments qui m' entoure et qui me constitue, un sens certes relatif mais plutôt objectif et réfléchie.
L' allégorie de la caverne de Platon a eu sur moi pour action d' avoir appuyé sur réset, de tout recommencer à zéro en terme de perception.
Comme si une graine avait germé dans mon esprit puis poussé jusque à devenir l' arbre de ma connaissance de l' infini.
En me relisant je perçois l' ensemble de mon être, un être imparfait qui essai simplement de donner un sens à son ressentie.
En faisant cela j' ai le sentiment de me rapprocher de moi, d' être bien dans ma peau, de trouver une forme de rédemption par rapport à mon passé.
La retranscription que tu me livre de "Umberto Eco" me parle, je semble lié à son interprétation de la perception, je lirai donc ses écrits afin d' avoir plus d' élément de réponse.
Je m' étonne souvent que beaucoup de chose que je pense de manière inné puis réfléchi mais sans pouvoir y mettre la forme, se rapporte enfaite à des œuvres existante, comme si chacune de mes pensées pouvait trouver leurs sens dans un écrit extérieur.
Ainsi, de Platon et d' Umberto Eco entre autre, au travers de leur ouvrage je mets des mots et des forme plus concrète à ma pensé originel.
J' ai le sentiment que chacune de mes pensées même de sujet différent ont un lien commun, comme si un fil relié chaque pensées entre elles, instinctivement je fait des parallèle dans toutes mes analyses. Cette notion d' un absolu systématiquement relatif, me permet d' être toujours dans la réflexion, tout comme cette volonté d' équilibre me permet d' entrevoir la perception multiforme.
En bref, je constate ces deux notion philosophique a savoir que tout est relatif et donc que rien n' est absolu puis que rien n' est bon a l’excès et que tout n' est qu' équilibre. Je t' avoue que je suis un peut perdu, j' ai l' impression que l' absolu est devant moi sans pouvoir le concevoir.
La linguistique me perd, je constate trop de caractère absolu dans mon écrit alors que ma pensé est relative, je me sent prisonnier de ne pas pouvoir retranscrire à l' écrit le conditionnel de chacune de mes pensées.
Le savoir que je ressent a un retour de bâton, je ne suis plus dans l' ignorance et la naïveté, la contradiction pointe son nez dans toute mes réflexion.
Mais je ne regrette rien, la contradiction me permet toutefois d' avancer, d' affronter les paradoxes et d' assumer.
Goenka et William Hart me sont inconnue, merci de porter à ma connaissance leurs réflexion auquel j' ai hâte de découvrir.
Les 3 mondes que j' évoque, je l' est toujours ressenti en moi, puis en écrivant ce texte j' ai réussi à y mettre la forme.
Il en découle bien d' autre théorie, la conception des 3 mondes est pour moi le point de départ d' un univers infini.
Ces 3 mondes sont beaucoup de réponses à mes questions, elles ont soulevé de nouvelles question, auquel je commence a y répondre ainsi de-suite. Je pense mettre bientôt la forme sur les pensées qui en sont ressortie.
J' ai écrits mon texte une nuit d' insomnie, je me suis levé et j' ai écrit d' un trait comme si tout ce que j' avais accumulé, ressenti et réfléchi avais besoin de sortir, sans forcément que cela soit prémédité, je me suis lancé avec comme objet l' écrit et mon être s' en est révélé au travers de ma sensibilité. Comme si une force intérieur non contrôlé consciemment m' avait possédé sans que ma conscience lui en donne l' ordre.
Je ressent dans ton texte cette manière d' aborder l' écrit, comme si la page blanche n' était enfaite qu' un miroir qui te pousse à t'identifier en elle, une manière de te projeter, un prétexte de départ pour en ressortir ta propre histoire, un élan qui te permet de t' exprimer, une forme de point de départ, la cause à ton effet...
Un sujet qui est le moteur de ton exutoire, comme le patineur à besoin de glace, comme le pompier à besoin d' eau...
Ce servir et se ressentir un élément extérieur pour exprimer ton ressentie intérieur pour la lecture du bien commun.
Merci,
tomtom31- Messages : 12
Date d'inscription : 26/11/2015
Localisation : Toulouse
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Bonsoir Tomtom31.
Ton écrit, ou devrais-je dire ton témoignage, est très intéressant. Il me permet de comparer ta description de ta méthode de pensée avec la mienne et je constate d'énormes différences. En fait, ta méthode de pensée est notre seul point de divergence, en écartant le confus.
"J' ai le sentiment que chacune de mes pensées même de sujet différent ont un lien commun, comme si un fil relié chaque pensées entre elles, instinctivement je fait des parallèles dans toutes mes analyses."
"Cette notion d'un absolu systématiquement relatif, me permet d'être toujours dans la réflexion, tout comme cette volonté d'équilibre me permet d'entrevoir la perception multiforme."
Tu dis que tes pensées sont reliées entre elles. J'ai observé les gens et leurs manières de parler et d'écrire. J'en suis arrivée à une conclusion : ils ont une forme de pensée linéaire. Une idée en entraine une autre et ainsi de suite. Je trouve que c'est un mode de pensée très limité car à moins de créer plusieurs "étages", elle ne te permet pas de suivre beaucoup de fils différents.
J'ai moi-même opté pour un mode de pensée en effusion. C'est à dire qu'a partir d'une pensée, s'en suit dix, vingt autres ; d'où s'en suive le même nombre et ainsi de suite. En découle un esprit créatif et original, et surtout, après quelques entrainements, la prévoyance des actes d'autrui, les deux extrêmes en terme d'idées (et donc une multitudes de points de vues et d'avis) qui permettent d'arriver non pas à une évolution d'idée ou de fils de pensées, mais à une confrontation, qui elle, accélère l'évolution de ce fil par deux, voir trois.
Je n'ai pas de sites, ou de thèses, ou de livre qui décrivent surement bien mieux ce mode de pensée et je m'en excuse. Mais je suppose que vous, zèbres, voyez surement (vraiment) de quoi je parle.
Quand à la deuxième partie de ton texte que j'ai cité, on en arrive au même résultat avec la pensée à effusion.
Je conçois très bien que tu ne sois pas du même avis. Les gens "normaux" son souvent en désaccord, et c'est première fois que je suis en contact avec mes semblables, et je t'avoue que ta réaction m'est très imprévisible.
Pour Toi,
moi.
Ton écrit, ou devrais-je dire ton témoignage, est très intéressant. Il me permet de comparer ta description de ta méthode de pensée avec la mienne et je constate d'énormes différences. En fait, ta méthode de pensée est notre seul point de divergence, en écartant le confus.
"J' ai le sentiment que chacune de mes pensées même de sujet différent ont un lien commun, comme si un fil relié chaque pensées entre elles, instinctivement je fait des parallèles dans toutes mes analyses."
"Cette notion d'un absolu systématiquement relatif, me permet d'être toujours dans la réflexion, tout comme cette volonté d'équilibre me permet d'entrevoir la perception multiforme."
Tu dis que tes pensées sont reliées entre elles. J'ai observé les gens et leurs manières de parler et d'écrire. J'en suis arrivée à une conclusion : ils ont une forme de pensée linéaire. Une idée en entraine une autre et ainsi de suite. Je trouve que c'est un mode de pensée très limité car à moins de créer plusieurs "étages", elle ne te permet pas de suivre beaucoup de fils différents.
J'ai moi-même opté pour un mode de pensée en effusion. C'est à dire qu'a partir d'une pensée, s'en suit dix, vingt autres ; d'où s'en suive le même nombre et ainsi de suite. En découle un esprit créatif et original, et surtout, après quelques entrainements, la prévoyance des actes d'autrui, les deux extrêmes en terme d'idées (et donc une multitudes de points de vues et d'avis) qui permettent d'arriver non pas à une évolution d'idée ou de fils de pensées, mais à une confrontation, qui elle, accélère l'évolution de ce fil par deux, voir trois.
Je n'ai pas de sites, ou de thèses, ou de livre qui décrivent surement bien mieux ce mode de pensée et je m'en excuse. Mais je suppose que vous, zèbres, voyez surement (vraiment) de quoi je parle.
Quand à la deuxième partie de ton texte que j'ai cité, on en arrive au même résultat avec la pensée à effusion.
Je conçois très bien que tu ne sois pas du même avis. Les gens "normaux" son souvent en désaccord, et c'est première fois que je suis en contact avec mes semblables, et je t'avoue que ta réaction m'est très imprévisible.
Pour Toi,
moi.
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Clali a écrit:Tu m'as fait découvrir à un mot que je ne connaissais pas et qui me plaît bien Zannibal! Merci!
C'est toujours flatteur ce genre de remarque ! ^^
Avec plaisir !
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Il est certain que je suis un adepte de la cause à effet, qu' une chose en entraine une autre voir plusieurs autre d' ailleurs.
La pensé linéaire n' exclu pas de multiple effusion dans la mesure ou le point de perception varie selon où notre pensé se place.
Il doit y avoir probablement un caractère emphatique qui agis de manière multiforme sur ma pensé.
Cependant, peut être que ce fil que tu traduit en linéattitude, est une forme de pensé moins développé que cette effusion dont tu parle.
Je ne trouve pas dans ta description de différence si distincte, un degré supérieur peut être, mais pas différent dans la forme.
Je ne saisie pas de différence fondamentale entre une pensé linéaire a plusieurs étage, et une pensé en effusion tel que tu le décrit.
Ta description de l' effusion est synonyme me semble t' il de la pensé linéaire a plusieurs étage...
Peut être que nos mots sont différent mais en fin de compte veulent dire la même chose.
Mais si tu perçoit si sensiblement une différence sans que je la perçoive, ta vérité est intéressante pour moi, il serai bien que tu développe plus cette différence afin que j' ai plus d' élément pour comprendre ce dont tu parle.
tomtom31- Messages : 12
Date d'inscription : 26/11/2015
Localisation : Toulouse
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
La pensée circulaire as un rapport avec l' effusion dont tu parle?
tomtom31- Messages : 12
Date d'inscription : 26/11/2015
Localisation : Toulouse
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Bonsoir,
décidemment nous parlons là de questionnements passionnants! La langue comme systeme d'expression limité, restrictif et exclusif d'une certaine manière... Il m'est arrivée de passer de longues périodes sans pouvoir écrire une phrase tant je me sens contrainte par un cadre linguistique qui me paraît absolument insuffisant pour exprimer le quart de la moitié du tier d'une idée (et encore c'est approximatif!)
Juste un mot sur l'orthographe: parce que j'ai cette sorte de rigidité due à un acharnement douloureux lors de ma scolarité à intégrer des notions grammaticales, orthographiques, syntaxiques etc... sans doute en résulte aujourd'hui une sorte d'intransigeance un peu manique (à laquelle il ne faut pas s'attacher trop)
J'aime aussi ta métaphore de la page blanche en miroir!
Concernant la pensée en arborescence, ce qui est, si je ne me trompe pas, ce que tu appelles Zannibal, "la pensée en effusion", je lisais hier, ailleurs sur le forum, pas mal de discussions sur le sujet, définitionnelles, conceptualisantes, anaphorisantes, bref, il y a de la matière pour appréhender la chose! Bien que j'ai l'impression que certain exprime un besoin (quasi viscéral) de s'accrocher à une définition consensuelle et convergente de manière à pouvoir s'identifier avec certitude à ce type de "système" de pensée (avec l'idée sous-jacente de confirmer ainsi la douance)... Une fois cette réflexion posée, je reviendrai simplement à une échelle réflexive plus large en passant du "type" de pensée (décidemment je ne trouve pas le mot juste ) à l'intelligence (terme qu'après des années de recherche et de triturations méningiques, je ne parviens toujours pas à définir correctement...) De la même manière qu'un HP n'a pas une intelligence SUPERIEURE mais DIFFERENTE, les modes de pensée peuvent être à mon avis, aussi efficaces/performants/interessants les uns que les autre... Et ne doivent pas (ça me paraît dangeureux / le mot "eugénisme" clignote dans ma tête) être pensés selon une échelle verticale. Chacun des modes diffèrent et présentent des avantages ET des inconvénients. La pensée linéaire peut sembler lente, mais elle est claire (normalement), la pensée en arborescence/en effusion est extremement dense et profonde, mais quelles migraines quand on trouve pas le bouton pause...
décidemment nous parlons là de questionnements passionnants! La langue comme systeme d'expression limité, restrictif et exclusif d'une certaine manière... Il m'est arrivée de passer de longues périodes sans pouvoir écrire une phrase tant je me sens contrainte par un cadre linguistique qui me paraît absolument insuffisant pour exprimer le quart de la moitié du tier d'une idée (et encore c'est approximatif!)
Juste un mot sur l'orthographe: parce que j'ai cette sorte de rigidité due à un acharnement douloureux lors de ma scolarité à intégrer des notions grammaticales, orthographiques, syntaxiques etc... sans doute en résulte aujourd'hui une sorte d'intransigeance un peu manique (à laquelle il ne faut pas s'attacher trop)
J'aime aussi ta métaphore de la page blanche en miroir!
Concernant la pensée en arborescence, ce qui est, si je ne me trompe pas, ce que tu appelles Zannibal, "la pensée en effusion", je lisais hier, ailleurs sur le forum, pas mal de discussions sur le sujet, définitionnelles, conceptualisantes, anaphorisantes, bref, il y a de la matière pour appréhender la chose! Bien que j'ai l'impression que certain exprime un besoin (quasi viscéral) de s'accrocher à une définition consensuelle et convergente de manière à pouvoir s'identifier avec certitude à ce type de "système" de pensée (avec l'idée sous-jacente de confirmer ainsi la douance)... Une fois cette réflexion posée, je reviendrai simplement à une échelle réflexive plus large en passant du "type" de pensée (décidemment je ne trouve pas le mot juste ) à l'intelligence (terme qu'après des années de recherche et de triturations méningiques, je ne parviens toujours pas à définir correctement...) De la même manière qu'un HP n'a pas une intelligence SUPERIEURE mais DIFFERENTE, les modes de pensée peuvent être à mon avis, aussi efficaces/performants/interessants les uns que les autre... Et ne doivent pas (ça me paraît dangeureux / le mot "eugénisme" clignote dans ma tête) être pensés selon une échelle verticale. Chacun des modes diffèrent et présentent des avantages ET des inconvénients. La pensée linéaire peut sembler lente, mais elle est claire (normalement), la pensée en arborescence/en effusion est extremement dense et profonde, mais quelles migraines quand on trouve pas le bouton pause...
Clali- Messages : 38
Date d'inscription : 02/12/2015
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Zannibale: je pense d' après ton écrit qu' enfaite ta forme de pensé ne diverge pas de la mienne, je comprend que je me suis mal exprimé (distance pensé, écrit, interprétation) et tu aura eu le mérite par un certain égo voulu ou pas de me faire réalisé que j' ai plusieurs fils conducteur tout comme plusieurs effet à la cause qui semble toute fois une évidence dans le sens "fil conducteur n' exclu pas plusieurs fils...."
Il existe à mon sens deux types de pensé linéaire et circulaire, la circulaire étant hors sujet, nous sommes tous dans la pensé linéaire.
A des degrés différent, à des étages différent en nombre certes, jugé un écrit est une chose, jugé une pensé en est une autre, car le chemin entre la pensé et l' écrit est évolutif, relatif, l' écrit ne peut décrire l' ensemble de notre pensé.
Je comprend donc que tu te sent plus intelligent que moi, peut être
Il existe à mon sens deux types de pensé linéaire et circulaire, la circulaire étant hors sujet, nous sommes tous dans la pensé linéaire.
A des degrés différent, à des étages différent en nombre certes, jugé un écrit est une chose, jugé une pensé en est une autre, car le chemin entre la pensé et l' écrit est évolutif, relatif, l' écrit ne peut décrire l' ensemble de notre pensé.
Je comprend donc que tu te sent plus intelligent que moi, peut être
tomtom31- Messages : 12
Date d'inscription : 26/11/2015
Localisation : Toulouse
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
tomtom31 a écrit:Zannibale: je pense d' après ton écrit qu' enfaite ta forme de pensé ne diverge pas de la mienne, je comprend que je me suis mal exprimé (distance pensé, écrit, interprétation) et tu aura eu le mérite par un certain égo voulu ou pas de me faire réalisé que j' ai plusieurs fils conducteur tout comme plusieurs effet à la cause qui semble toute fois une évidence dans le sens "fil conducteur n' exclu pas plusieurs fils...."
Il existe à mon sens deux types de pensé linéaire et circulaire, la circulaire étant hors sujet, nous sommes tous dans la pensé linéaire.
A des degrés différent, à des étages différent en nombre certes, jugé un écrit est une chose, jugé une pensé en est une autre, car le chemin entre la pensé et l' écrit est évolutif, relatif, l' écrit ne peut décrire l' ensemble de notre pensé.
Je comprend donc que tu te sent plus intelligent que moi, peut être
Me sentir plus intelligent qu'un autre ? Certainement pas. Du moins, si tu as interprété mon écrit comme cela, saches que ce n'était pas mon intention. Je suis du même avis que Clali sur les différentes intelligences. Par conséquent, je considère chaque conversation "nous" comme une possibilité d'enrichissement intellectuel pour les deux parties.
Je n'arrive pas encore bien à décrire par écrit ma pensée, par manque de vocabulaire, je crois, mais aussi par manque de cohérence dans une pensée en arborescence comme le décrit bien Clali.
Peut-être en effet, que nous exprimons une idée commune, différemment.
Clali a écrit: je lisais hier, ailleurs sur le forum, pas mal de discussions sur le sujet, définitionnelles, conceptualisantes, anaphorisantes, bref, il y a de la matière pour appréhender la chose!
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Dense et profonde... Je vois très bien.
Dernière édition par louise le Dim 6 Déc 2015 - 6:04, édité 1 fois
louise- Messages : 1420
Date d'inscription : 18/10/2014
Age : 68
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
louise a écrit:Je rebondis sur un post, qu entend on par une pensée dense et profonde, comment cela se traduit il? C'est une question de cheminement, de relations entre les souvenirs, la mémoire, la culture et la réflexion qui se mélangent et produit un discours orale et écrit de quel type? Et en combien de temps ? Cela m intéresse énormément, si quelqu'un peut répondre.
Bonjour Louise.
Je vais essayer de répondre à tes questions d'après ma petite expérience de vie, en espèrent apporter des réponses satisfaisantes, ou au contraire étonnantes. Ceci est mon avis personnel :
Et je n'ai qu'un seul exemple en tête qui est le mien. J'utilise deux méthodes de pensées selon la situation ; ce sont celles qui ont été décrites plus haut. Parfois, quand j'utilise les deux en même temps (ce qui mobilise toute ma concentration et utilise vraiment beaucoup d'énergie), il m'arrive que les connexions se fassent tellement vite, que même ma "pensées" est trop lente pour tout "contenir". Certains pensent en paroles, en interactions, a vrai dire il y a tellement de de façons de penser ! Pour ma part, face à ce petit problème de rapidité, j'ai opté pour celle en images. Ne vous est-il jamais arrivé de discuter, et de ne pas pouvoir décrire précisément votre pensée et de finir par dire "Tu vois ce que je veux dire !?" ? C'est exactement le plus gros inconvénient de la pensée en image : la décrire. Mais elle reste quand même la plus rapide selon moi.
Je ne tisse pas de liens réels entre la mémoire, les souvenirs, la culture avec la pensée et la réflexion qui elles, selon moi sont liés puisque la pensée est une forme de réflexion.
J'ai tellement de choses à dire là-dessus... J'en garde un peu pour plus tard !
Voilà
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Je te rejoint sur cette forme de pensé par image que tu décris, en analysant cela je pointe notamment une cause de sensibilité, de ressenti, qui a probablement pour effet une image d' où il en découle une réflexion.
Certain pointe le QI pour définir l' intensité de la pensé, j' ai plutôt tendance à y voir la sensibilité me concernant.
Peut être est-ce un équilibre des deux, ou un cheminement sensibilité, image, réflexion qui se reproduit en chaine (s,i,r,s,i,r...)
A vrais dire, je ne vois que ce cheminement.
Peut être qu' un Haut Potentiel qu' il soit sensible ou QI détermine simplement l' intensité, le nombre d' étage, la vitesse, de cette forme de pensé commune.
Bien que l' on peut déterminer la forme et l' intensité de pensé intérieur qui nous est propre, il est très difficile de déterminé celle des autres, notamment car chacun a sa propre sensibilité et QI et que l' empathie et la compréhension de l' autre a ses limites.
J' ai beau y réfléchir, je doute qu' il y est une forme différente de la pensé que l' on cite, simplement des degrés différent.
Aussi, je pense que la capacité de stockage de mémoire joue un rôle important qui détermine l' intensité de l' ensemble.
Dans ma démarche de compréhension du zèbre, je me suis heurté à ce qui détermine de l' être ou de ne pas l' être.
Simplement car il n' y a pas de définition commune auquel on peut se rapporter hormis peut être un Haut Potentiel.
Aux travers de mon analyse de ceux qui dise être zèbre, j' ai noté deux axes principaux de ce HP, la sensibilité, et le QI.
Me concernant, je fais un blocage envers cette notion de QI, et je ne vois qu' un HP lié à ma sensibilité.
Pour cela et pour d' autre analyse, je comprend qu' être ou ne pas être un zèbre ne peut qu' être lié à un jugement intérieur.
Vous voyez ce que je veux dire? ^^
tomtom31- Messages : 12
Date d'inscription : 26/11/2015
Localisation : Toulouse
Re: Cherche un(e) zèbre* pour discussion constructive sur un texte que j' ai écris.
Je vois très bien oui !
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