Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
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Gabriel
ShineFlower
'C.Z.
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Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Ca ne sera pas tellement une présentation mais plus un coucou à tous !
Je ne sais pas si ça ira plus loin que ce message, je suis dans le coin en tous cas.
Bonne soirée
Je ne sais pas si ça ira plus loin que ce message, je suis dans le coin en tous cas.
Bonne soirée
Bavardoir- Messages : 70
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'C.Z.- Messages : 2910
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ShineFlower- Messages : 3583
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Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Coucou alors.
Gabriel- Messages : 2311
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Boitachat- Messages : 1754
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Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
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Dernière édition par Bavardoir le Mer 06 Avr 2016, 23:17, édité 1 fois
Bavardoir- Messages : 70
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Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Tout s'arrête un jour....
Gabriel- Messages : 2311
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Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Bonjour Bavardoir et bienvenu !
Ca serait triste ! Pour ma part j'ai noyé ça souvent dans l'alcool et les antidépresseurs mais ça n'est pas pérenne... Depuis que j'ai accepte ce fonctionnement, bin, j'accepte que tout soit un peu plus compliqué, mais faisable.
Au quotidien c'est sur surtout la méditation pleine conscience à raison de 5 minutes 3 fois par jours qui m'aide ; si j'arrête tout repart en... cacahuète.
Bavardoir a écrit:est-ce que ça s'arrête un jour ?
Ca serait triste ! Pour ma part j'ai noyé ça souvent dans l'alcool et les antidépresseurs mais ça n'est pas pérenne... Depuis que j'ai accepte ce fonctionnement, bin, j'accepte que tout soit un peu plus compliqué, mais faisable.
Au quotidien c'est sur surtout la méditation pleine conscience à raison de 5 minutes 3 fois par jours qui m'aide ; si j'arrête tout repart en... cacahuète.
wuwei- Messages : 49
Date d'inscription : 28/01/2016
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Gabriel a écrit:Tout s'arrête un jour....
Oui vu comme ça C'est juste que parfois on aimerait appuyer sur un bouton pour changer de mode, pas spécialement envisager quelque chose d'irréversible, faire des pauses
wuwei a écrit:Ca serait triste ! Pour ma part j'ai noyé ça souvent dans l'alcool et les antidépresseurs mais ça n'est pas pérenne... Depuis que j'ai accepte ce fonctionnement, bin, j'accepte que tout soit un peu plus compliqué, mais faisable.
Au quotidien c'est sur surtout la méditation pleine conscience à raison de 5 minutes 3 fois par jours qui m'aide ; si j'arrête tout repart en... cacahuète.
Je n'ai pas exploré cette piste, comme plein d'autres, parce que gérer des tentatives infructueuses par-dessus l'existant, je ne me sens pas pour le moment et je ne sais pas si ça sera le cas un jour...
J'ai tendance à penser que je vais passer ma vie avec des regrets, de n'avoir pas fait, plus que d'avoir fait. Cette idée devrait me faire bouger mais je me sens totalement empêtrée. A force de me regarder vivre comme ça, j'ai développé un tel mépris pour moi-même !
Bavardoir- Messages : 70
Date d'inscription : 21/10/2015
Age : 38
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Je comprends tout à fait. J'étais dans un état d'esprit similaire où je me dégageais de plus en plus de mes responsabilités, de mes ambitions et de mes rêves, car je me sentais de moins en moins capable de gérer ou réussir quoi que se soit...Bavardoir a écrit:...parce que gérer des tentatives infructueuses par-dessus l'existant, je ne me sens pas pour le moment et je ne sais pas si ça sera le cas un jour...
Et puis je suis tombé sur "le secret des gens qui réussissent" : ils échouent beaucoup, beaucoup plus que n'importe qui. Depuis, je me suis mis à aimer l'échec et j'ai jamais autant progressé.
Il faut se souvenir que : soit on réussit, soit on apprend.
J'aime bien cette citation :
"I've missed more than 9000 shots in my career. I've lost almost 300 games. 26 times, I've been trusted to take the game winning shot and missed. I've failed over and over and over again in my life. And that is why I succeed. Michael Jordan"
Bavardoir a écrit:
J'ai tendance à penser que je vais passer ma vie avec des regrets, de n'avoir pas fait, plus que d'avoir fait. Cette idée devrait me faire bouger mais je me sens totalement empêtrée. A force de me regarder vivre comme ça, j'ai développé un tel mépris pour moi-même !
On dirait que tu as mis le doigt sur le cœur du problème : le cercle vicieux qui érode l'estime de soi et qui grippe le moteur à l'action qui à sont tour érode l'estime de soi, etc.
Pour sortir de ça, il m'a semblé que le livre "Imparfait libre et heureux", de Christophe André, m'a plutôt bien aidé. Non seulement c'est une bonne introduction à la psychologie, mais, en plus, cela donne de nombreuse grilles de lecture et (quelque) exercices pour sortir des ornières dans lesquelles ont se vautre souvent tout au long de notre vie.
Là, j'ai envie d'approfondir la PNL et psychologie positive : c'est vital de devenir son propre coach...
wuwei- Messages : 49
Date d'inscription : 28/01/2016
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
wuwei a écrit:
Et puis je suis tombé sur "le secret des gens qui réussissent" : ils échouent beaucoup, beaucoup plus que n'importe qui. Depuis, je me suis mis à aimer l'échec et j'ai jamais autant progressé.
Qu'est-ce donc que cela ? Un livre ?
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Non c'est un principe que l'on retrouve dans de nombreux livre sur le coaching.
Le corollaire est que ne pas agir empêche de petites erreurs à court terme mais en constitue une immense à long terme.
Tout un chapitre approfondit la notion de regrets dans le livre de Christophe André.
Le corollaire est que ne pas agir empêche de petites erreurs à court terme mais en constitue une immense à long terme.
Tout un chapitre approfondit la notion de regrets dans le livre de Christophe André.
wuwei- Messages : 49
Date d'inscription : 28/01/2016
Bavardoir- Messages : 70
Date d'inscription : 21/10/2015
Age : 38
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
wuwei a écrit:
Pour sortir de ça, il m'a semblé que le livre "Imparfait libre et heureux", de Christophe André, m'a plutôt bien aidé. Non seulement c'est une bonne introduction à la psychologie, mais, en plus, cela donne de nombreuse grilles de lecture et (quelque) exercices pour sortir des ornières dans lesquelles ont se vautre souvent tout au long de notre vie.
Là, j'ai envie d'approfondir la PNL et psychologie positive : c'est vital de devenir son propre coach...
Hello
Bon bouquin
Bonne idée
Bon courage donc... et on arrive au bout
Invité- Invité
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Il est parfois urgent d'attendre.
Mais à part ça, que faites-vous pour gérer un tsunami émotionnel, une détresse totale ? Ça pourrait peut-être m'aider là, maintenant.
Mais à part ça, que faites-vous pour gérer un tsunami émotionnel, une détresse totale ? Ça pourrait peut-être m'aider là, maintenant.
Bavardoir- Messages : 70
Date d'inscription : 21/10/2015
Age : 38
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Bonjour,
dans ce cas la la règle la plus importante est de ne pas rester seul, même si ça parait dur à priori, partager son ressenti avec un proche de confiance est de loin ce qu'il a de plus efficace.
Ensuite, si ce n'est pas possible, j'observe et décris cette angoisse là plus précisément possible par écrit, sans la juger, sans forcément essayer d'en comprendre tout de suite l'origine, juste observer ses mécanisme de la façon la plus précise possible.
Pour ce faire, je médite en essayant d'observer la douleur/l'angoisse droit dans les yeux, en portant mon attention au niveau corporelle où elle prends racine. Contre intuitivement, c'est quand on essaie de fuir une douleur/angoisse/pensée que celle-ci se renforce d'autant. lorsqu'on l'observe précisément elle s'amenuise progressivement et devient moins insurmontable.
Accepter l'angoisse, juste ce dire "ok je ressens ça, ça et ça..." sans rien d'autre et continuer son observation de l'angoisse sans s'y attacher, sans nourrir le flot de pensée. Comme il s'agit de revenir au niveau des émotions, dés que les pensées commencent à trop interpreter et nourrir ces emotion, ils faut leur coupé l'herbe sous le pied et revenir a une observation pure et simple, sans s'accrocher à l'angoisse : si elle décide d'évoluer, de partir, ne pas la retenir.
Si l'angoisse est trop forte pour l'observer, respirer profondément et lentement (Au moins 4 seconde D'inspiration et 6 seconde d'expiration), assis, le dos droit, au moins 30 fois, en se concentrant uniquement sur la respiration et rien d'autre. Si l'esprit s'égarer et les émotions s'emballent, ne pas s'en culpabiliser, juste le constater et ramener son attention de façon bienveillante sur sa respiration.
Si c'est trop difficile : sortir, s'aérer l'esprit dans des activités relaxante loin du contexte qui provoque cette angoisse (marche en nature, piscine, sauna...)
Quand l'angoisse est devenu moins paralysant, j'essaie de l'analyser de manière plus froide, pour en comprendre l'origine, les mécanismes et je réfléchi à ce que je peux mettre en place pour ne plus les subir (le Yi Jing m'aide beaucoup mais ça demande un peu de pratique avant d'être maîtrise...) Ce qui est important c'est d'écrire, le dialogue intérieur ne suffit pas, trouver les mots pour l'écrire est très important.
J'espère que ça va aller et que vous trouverez les techniques qui marchent le mieux pour vous !
dans ce cas la la règle la plus importante est de ne pas rester seul, même si ça parait dur à priori, partager son ressenti avec un proche de confiance est de loin ce qu'il a de plus efficace.
Ensuite, si ce n'est pas possible, j'observe et décris cette angoisse là plus précisément possible par écrit, sans la juger, sans forcément essayer d'en comprendre tout de suite l'origine, juste observer ses mécanisme de la façon la plus précise possible.
Pour ce faire, je médite en essayant d'observer la douleur/l'angoisse droit dans les yeux, en portant mon attention au niveau corporelle où elle prends racine. Contre intuitivement, c'est quand on essaie de fuir une douleur/angoisse/pensée que celle-ci se renforce d'autant. lorsqu'on l'observe précisément elle s'amenuise progressivement et devient moins insurmontable.
Accepter l'angoisse, juste ce dire "ok je ressens ça, ça et ça..." sans rien d'autre et continuer son observation de l'angoisse sans s'y attacher, sans nourrir le flot de pensée. Comme il s'agit de revenir au niveau des émotions, dés que les pensées commencent à trop interpreter et nourrir ces emotion, ils faut leur coupé l'herbe sous le pied et revenir a une observation pure et simple, sans s'accrocher à l'angoisse : si elle décide d'évoluer, de partir, ne pas la retenir.
Si l'angoisse est trop forte pour l'observer, respirer profondément et lentement (Au moins 4 seconde D'inspiration et 6 seconde d'expiration), assis, le dos droit, au moins 30 fois, en se concentrant uniquement sur la respiration et rien d'autre. Si l'esprit s'égarer et les émotions s'emballent, ne pas s'en culpabiliser, juste le constater et ramener son attention de façon bienveillante sur sa respiration.
Si c'est trop difficile : sortir, s'aérer l'esprit dans des activités relaxante loin du contexte qui provoque cette angoisse (marche en nature, piscine, sauna...)
Quand l'angoisse est devenu moins paralysant, j'essaie de l'analyser de manière plus froide, pour en comprendre l'origine, les mécanismes et je réfléchi à ce que je peux mettre en place pour ne plus les subir (le Yi Jing m'aide beaucoup mais ça demande un peu de pratique avant d'être maîtrise...) Ce qui est important c'est d'écrire, le dialogue intérieur ne suffit pas, trouver les mots pour l'écrire est très important.
J'espère que ça va aller et que vous trouverez les techniques qui marchent le mieux pour vous !
wuwei- Messages : 49
Date d'inscription : 28/01/2016
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Bavardoir a écrit:Il est parfois urgent d'attendre.
Mais à part ça, que faites-vous pour gérer un tsunami émotionnel, une détresse totale ? Ça pourrait peut-être m'aider là, maintenant.
Coucou aussi !
Ce sont de bons conseils de wuwei D'autant plus que ces outils permettent de comprendre les mécanismes qui déclenchent les tsunami et de s'en prémunir, dans une certaine mesure, par la suite. Mieux vaut prévenir que guérir, autant s'épargner ce genre de moments.... qui répété peuvent avoir des implications... assez pénibles
Invité- Invité
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Vraiment merci à tous les deux de prendre le temps de répondre.
En fait, contrairement à d'autres fois, cette détresse n'est pas hors sol. Elle n'est pas arrivée par hasard, par le fait d'être zèbre : elle est bêtement liée à une relation dont j'ai parlé dans un précédent message (effacé), c'est tout à fait affligeant de banalité. Après les émotions sont ce qu'elles sont et démultipliées.
- Coupé au montage -
En fait, contrairement à d'autres fois, cette détresse n'est pas hors sol. Elle n'est pas arrivée par hasard, par le fait d'être zèbre : elle est bêtement liée à une relation dont j'ai parlé dans un précédent message (effacé), c'est tout à fait affligeant de banalité. Après les émotions sont ce qu'elles sont et démultipliées.
- Coupé au montage -
Dernière édition par Bavardoir le Lun 11 Avr 2016, 09:37, édité 1 fois
Bavardoir- Messages : 70
Date d'inscription : 21/10/2015
Age : 38
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Aïe, désolé pour la déconvenue.
Il est toujours délicat de remettre sa sensibilité dans les mains de quelqu'un d'autre et de ces inconstances... En matière de bonheur on est souvent mieux servi par soi même.
Sinon il n'est jamais trop tard (sauf quand on est mort mais là on s'en fout on est plus là). C'est plutôt davantage l'inverse, il est souvent trop tôt, on est pas encore préparé... (de toute façon on est jamais vraiment prêt à quoi que soit, donc se préparer à chaque instant à toutes éventualités et encore la plus sage des postures)
Il est toujours délicat de remettre sa sensibilité dans les mains de quelqu'un d'autre et de ces inconstances... En matière de bonheur on est souvent mieux servi par soi même.
Sinon il n'est jamais trop tard (sauf quand on est mort mais là on s'en fout on est plus là). C'est plutôt davantage l'inverse, il est souvent trop tôt, on est pas encore préparé... (de toute façon on est jamais vraiment prêt à quoi que soit, donc se préparer à chaque instant à toutes éventualités et encore la plus sage des postures)
wuwei- Messages : 49
Date d'inscription : 28/01/2016
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
wuwei : un petit mot pour te dire que j'avais bien lu ton message et c'est toujours agréable d'avoir un échange.
Bavardoir- Messages : 70
Date d'inscription : 21/10/2015
Age : 38
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
C’est que votre démarche intérieure est naturelle et réfléchie. C’est bien.C'est juste que parfois on aimerait appuyer sur un bouton pour changer de mode, pas spécialement envisager quelque chose d'irréversible, faire des pauses
Pour ne pas blesser, je crois que le reset ou la pause peut se faire uniquement quand toutes les conditions sont réunies, et quand on le sent. Parfois, on a envie d'anticiper la déconnexion, de débrancher, de fuir, d’essayer de lâcher mais le perfectionnisme, le doute, le quotidien, les aléas de la vie, le manque de confiance nous bloque, la pensée en fait qu’il reste un impondérable gênant.
Dès lors, si vous le pouvez, cherchez à vous évader et à vous ré-oxygéner le mieux possible lors des moments off, le soir, le week-end (suivant votre métier). De la musique paisible, une longue ballade au bord de la mer ou en altitude… un bon bouquin, une plongée dans les souvenirs de l’enfance à travers des recettes de cuisines, ou un petit plaisir pour enfin penser à soi. Si la douleur est trop forte, écrire permet d’évacuer, de libérer, de se vider, et souvent de permettre aux larmes de ruisseler vers la liberté…
Et puis un jour, tout s’aligne. Comme un ressenti que la tempête, le tsunami s’est calmé…On se sent vidé(e) tel un personnage de Murakami mais en vie…On titube mais on est là, un soi au milieu de soi, nu, le regard hagard. Puis, on se reconnaît enfin, on s'accepte soi puis le regard des autres, et on reprend la route en s’émerveillant de nouveau. L’impression que l’on n'a plus rien à perdre, tout à aller chercher de nouveau… enfin la sérénité avec l’acceptation du passé et le désir du lendemain.
Parfois une main, un sourire, un message, vous tire de la tempête, parfois vous êtes seul(e) mais dans tous les cas, l’après est plus simple car vous avez appris. Quoiqu’il advienne, les réponses sont en vous ainsi que le pouvoir de souffler temporairement et d'esquisser un joli sourire.
Les regrets…vous avez bien assez de temps pour faire les comptes car vous êtes toute jeune !! Peut-être que tout cela n’est qu’un chemin, qui vous semble certes tortueux, mais dont le but est de vous faire prendre de l’altitude pour vous mener quelque part et apprécier la vue de tout en haut puis profiter du paysage et de toute la suite.. Essayez d’être plus indulgente envers vous. De croire de nouveau. Souvent les personnes qui font le plus culpabilisent de ne pas faire assez (cette foutue manie de ne voir que l’imperfection à corriger, de focaliser sur la case blanche que la curiosité n’a pas encore remplie !). Dites-vous que ce sont vos valeurs qui vous ont conduite là où vous êtes et vous pouvez (/devez) être fière de vous.
Parfois, il faut accepter aussi. Accepter que l’on ait pu commettre une faute (intrinsèque ou extrinsèque comme faire confiance à la mauvaise personne), mais il faut voir au-delà. Vous parlez de tsunami émotionnel donc de quelque chose qui vous touche au plus profond de vous et au-delà de la raison (qui ne contrôle plus ce qui vous fait surement peur). S’il s’agit d’une relation (je n’ai pas pu lire), pensez aussi que dans une relation il y a toujours au moins 3 protagonistes : vous, l’autre et les événements. Alors après l'analyse, oubliez la culpabilité et concentrez-vous sur les 33% les plus importants et sur lesquels vous pouvez agir avec grand bénéfice : vous
Good luck
Oo7M- Messages : 50
Date d'inscription : 31/05/2016
Age : 40
Localisation : Le sud
Re: Peut-être bien que oui, peut-être bien que non
Merci pour ce message positif mais pas dégoulinant d'optimisme (je déteste)
Je l'ai pas mal relu, ne sachant pas tellement comment répondre. Il me parle beaucoup.
Un second tsunami aura lieu d'ici la fin d'année, je tente tant bien que mal de m'y préparer. Je n'ai en effet pas de prise sur les évènements, ni sur l'autre en réalité. Ca remet les choses en perspective...
Alors je commence la construction de mes petites digues, modestement, pour ne pas m'en vouloir de n'avoir rien fait pour m'aider.
Merci encore
Je l'ai pas mal relu, ne sachant pas tellement comment répondre. Il me parle beaucoup.
Un second tsunami aura lieu d'ici la fin d'année, je tente tant bien que mal de m'y préparer. Je n'ai en effet pas de prise sur les évènements, ni sur l'autre en réalité. Ca remet les choses en perspective...
Alors je commence la construction de mes petites digues, modestement, pour ne pas m'en vouloir de n'avoir rien fait pour m'aider.
Merci encore
Bavardoir- Messages : 70
Date d'inscription : 21/10/2015
Age : 38
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