Le chaudron

“The only way to behave to a woman is to make love to her if she is pretty, and to someone else if she is plain.”

Celle-là, je la dédicace aux grosses pas épilées convaincues que les hommes ont peur de leur intelligence.
Je résiste fallacieusement à la tentation ravageuse d'interroger l'impétrante : « he, Choupette, sous quelle latitude, sous quel régime, sur quelle planète, dans quelle faille spatio-temporelle cela a-t-il jamais eu lieu, depuis quand les MBA favorisent-ils les érections ? ».

ou en réponse à la cnv:



nan sérieux, allez essayer de leur causer de cnv en valais.
la démocratie rien à foutre, la laïcité rien à foutre, la justice rien à foutre, alors la cnv...
si tu tortilles du cul t'es foutu.
si t'es un loup on va te grenailler tout doux.
on vient pas du même monde.
je sais pas vers quel monde on va.
je vais reprendre une bière tiens.

“Irony is wasted on the stupid”

Tu serais pas un peu pédé, toi ?

Désespérant de pouvoir situer les vignes de ses ancêtres sur Streetview, Oscar sortit son calibre 12 sur la place centrale de Sion d'un geste nonchalant, taquina à plusieurs reprises la queue de détente pour se désengorger l'humeur, coucha avec délicatesse son calibre encore fumant dans le coffre de l'Imprez', satisfait et soulagé il darda son regard intense sur les blondes valaisannes.
C'est ainsi qu'un voile troubla son regard désabusé et cynique, un doute, une critique, une angoisse : et si la vie ne consistait pas seulement à tirer du plomb et du dandy londonien ?

bin... y'a bien l'arvine...

Kass a écrit:

ps6:

Vu sous cet angle, j'en conviens, le syndrome Nutella prend tout son sens. Comme pour un crash d'avion dans les Andes, là, on est au niveau protection de la ressource, mange, ma fille, mange.

'tain, ça serait à refaire, la plongée dans la passe aux requins de Ranguiroa, pour une fois dans ma vie je laisserais passer les femmes devant, tampon's first.

“Nothing spoils romance so much as a sense of humor in the woman”

C'était vraiment un bon le gars.

j'parie qu'il aimait les hommes à la cuisine.

Numero6 a écrit: depuis quand les MBA favorisent-ils les érections ? ».

Lorsqu'ils sont embauchés par Pfizer !

Kass a écrit:j'parie qu'il aimait les hommes à la cuisine.

Oui, mais pas seulement.

Je pressens une similitude synchrone, un héritage commun dans cette attraction avouée pour le fait masculin.
Dans le cas d'Oscar je l'interprète comme une volonté esthétique, ce qui reste une hérésie quand on connait les pédés.
Dans le cas de Kass, j'y perçois la lucide soumission à la tyrannie ovarienne, ce qui prouve que je m'égare.

Mais pour l'un comme pour l'autre l'enthousiasme se double de l'espoir de la perdition. Loin du solennel et pesant Nietzsche, incapable d'échapper à la pesanteur du sabbat rituel, Oscar élève l'évocation de la chair au rang de fantaisie délicate. Loin du sacrifice morbide, du bouc émissaire, il semble refuser toute symbolique à la fantaisie d'un moment. A l"idée de satisfaire un palais délicat il semble s'épanouir et se soumettre.

Sans vouloir faire mon Houellebecq, je suis fan de cette idée de soumission, au choix raffiné d'un coté, aux ovaires impérieux de l'autre, réactifs l'un et l'autre à une certaine idée du masculin, conclusion temporaire pour les deux.

Oscar Wilde, sors de ce corps !

Numero6 a écrit:
Oscar Wilde, sors de ce corps !

" Attends j'ai pas fini ! " O.W.

Pff, Oscarinouchet, tu es sûr que tu ne veux pas que je te finisse à la main ? Tu sais bien que j'adore ça. Et pi après on peut dormir l'un contre l'autre, j'adore ça aussi. Oui, oui, j'ai joui. Trois fois, mon tigre. Il n'y a que toi qui me fait cet effet-là. Ah oui, ah, c'est bon, ha, une quatrième ? Tu vas me rendre folle ! Va-z-y, donne tout, remplie moi. Ah, oui, ah, c'est bon, c'est trop bon !

Bon allez, bouge ton cul l'artiste, je te suce et on en parle plus, je ne voudrais pas m'hasarder dans le trivial mais j'ai trois powerpoint à rendre demain à l'aube. Mais oui, mais oui, j'ai joui comme une reine, mon tigrou, tu es le plus fort tu es magique, je t'aime et je n'en veux pas d'autre. Tu la veux ta turlutte ou pas, Oscar ? Décide toi, faut que j'aille me laver les dents, j'préfère après.
Non mais rêve pas, tu peux baratter jusqu'à l'aube t'es pas prêt d'obtenir du beurre AOC. Tu te fatigues pour rien mon canard, c'est deux francs et sans effort à la Migro.

Je sais pas vous mais y me font un peu chier, parfois, les poètes.

Oui, mais, heu, maitresse, c'est le Stroumph qui a commencé, d'abord.

M'en parle pas, les portes voudraient que j'emploie la cnv avec elles, alors que les cons, eux, veulent que je reste !

C'est pas ce qu'on appelle enfoncer des portes ouvertes ?

Uniquement si la porte est entre ouverte

J'adore vos portes ouvertes à toutes les fenêtres !
Voici ma petite contribution...

napoléon, dauphin, george et gégé... euh... kamoulox ?

procrastinons ensemble.

Elle a bien changé, Alice !

Le jour où j'aurais mon propre chez-moi, je l'appellerai "Le Napoléon"

la musique + le dessin, j'imagine déjà le jeu vidéo...
tellement de mining à faire que t'en avances pas ta quête principale...

la suite de

Gengis Khan:

Indique moi ton trigger, je te dirais qui tu es.
Platon. You'll never walk alone.
Recueil de réflexions de son séjour Erasmus à Liverpool en compagnie de Bighead dit l'Aristo.

On me croit pas quand je dis que le voyage c'est qu'un prétexte pour baiser 

C'est sûr que si tu vas que dans les lieux touristiques, t'as de grande chance de te faire baiser !

Faut aller où alors ?

Viens chez moi !

Reste chez toi ! 

autrement dit

Kass a écrit:autrement dit

Dis donc, t'as la main lourde !

Et le zizi léger !

Ché plus quoi faire de moi

Chui fatigué. Je vis dans ma bulle, et je ne sais pas comment construire ma vie à partir de là. Je sors, je vois du monde, et je reste dans ma bulle. Je voudrais m'ouvrir aux autres, doucement, rayonner depuis les profondeurs de ma nature, et atteindre l'autre. Les autres.

Je ne sais pas comment faire.

Je me sens mieux avec les gens avec qui je peux construire des choses, même des petites choses, même des idées de passage. Je ne sais pas quoi faire avec les autres, je suis content de les toucher un instant, et puis ils s'éloignent, comme les molécules d'un gaz. Je veux apprendre à nager, vivre dans l'eau, quand le contact est permanent, même si les molécules tournent.

chuis fatiguée aussi. fatiguée de ma gueule, de mes pensées, de mes mots. même voir mon avatar me fait chier.
et c'est pas que je sais pas comment faire: je sais qu'il y a rien à faire. à part compter les carreaux au fond de la piscine et attendre que ça passe.
attendre d'être touchée, inspirée, portée par une vague.
et garder les yeux grand ouverts même si le chlore ça pique.

un jeune padawan est venu me parler sur le quai de gare ce matin.
je l'ai connu b-boy/xxl, il était tout costumé/gominé, j'ai failli pas le reconnaître... bogoss !
il bosse toujours sur l'étoile noire. il ira loin.

Douceur et bienveillance:

Bon... j'm'en vais de ce fil avant de que Milly se remette en mode bonne sœur avec moi 

Ouaip, c'est chiant et fatiguant d'être un poisson et de devoir changer l'eau de son bocal soi même !

...et finir les bières de la dernière irl soi-même ?