Mily on air
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Re: Mily on air
quitte à redresser un peu la barre, autant y aller franchement.
Huhuhuhuhu
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Mily on air
"ne le dis , pas mais Gérard met la barre tellement haut "
Sabine Azéma parlant d'Eddy Mitchel dans "le bonheur est dans le pré"
après s'être faite délicieusement sauter comme une bête dans une bagnole par l'Eddy
(j'trouve pas l'extrait vidéo pfff)
et les passages comme ça hein ? ça sera taxé à combien hein ?
c'est inhumain !!!
et c'est communautariste tant c'est inhumain !!
Sabine Azéma parlant d'Eddy Mitchel dans "le bonheur est dans le pré"
après s'être faite délicieusement sauter comme une bête dans une bagnole par l'Eddy
(j'trouve pas l'extrait vidéo pfff)
et les passages comme ça hein ? ça sera taxé à combien hein ?
c'est inhumain !!!
et c'est communautariste tant c'est inhumain !!
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Mily on air
Mily a écrit:JCVD a écrit:tieutieu a écrit:Et pour les petites *bip*, qu'est-ce qui est prévu dans ton programme? Je me renseigne...pour un copain..
Nous les rallongerons ! Car c'est notre PROJEEEEEEEEEEEEEET !!!
Et tout sera pris en charge par la sécu !
Petites *bip*, votez pour nous !
Oui, d'ailleurs les inégalités sont insupportables.
Je propose que les gens qui ont un conjoint s'acquittent d'une "taxe conjoint" de 15% de leur vie sexuelle,
qui sera redistribuée. Cet ultraliberalisme affectif est intolérable.
Je pense qu'en tant qu'Anars chics, on peut se permettre, dans certains domaines, de pousser jusqu'au communisme : abolition de la propriété sexuelle privée capitalistico-petit-bourgeoise, collectivisation des sexes et mise en commun des moyens de reproduction. Extension du domaine de la pute !
Je me charge de la planification annuelle.
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Mily on air
et quand on a plusieurs conjoints on est surtaxés ?
(c'est une copine qui me demande ça , bien sur)
(c'est une copine qui me demande ça , bien sur)
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Mily on air
--- ma copine me dit qu'elle se sent pas marxiste du tout---- sur ses coups-là à elle --
PAS DE PARTAGE DU SEXES !
PAS DE PARTAGE DU SEXES !
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Mily on air
elle rajoute : (je la recopie dans le texte)
--"je suis pour la vie communautaire mais quand c'est moi la seule femme"
je fais juste que transmettre .......
--"je suis pour la vie communautaire mais quand c'est moi la seule femme"
je fais juste que transmettre .......
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Mily on air
En passant, pour faire un petit coucou-hiboux : la résistance par le Vaudou.
soto²- Messages : 2760
Date d'inscription : 07/12/2016
Localisation : Au delಠ(31)
Re: Mily on air
"C'est toujours le même geste"
Zinedine Zidane
C'est toujours le même geste. Il y a des gens qui vérifient l'état des toilettes avant de manger dans un restaurant, moi, je vérifie les accessoires de table. Je m'y connais peu en coutellerie et en porcelaine, mais s'il y a bien un accessoire qui trahit le restaurateur soucieux de sa clientèle, c'est le moulin à poivre.
Un spécialiste de l'hôtellerie qui prend le soin de placer sur sa table un moulin qui saura distiller l'arôme subtil de cette épice ne peut être que personne de goût. Le meilleur Kampot, le plus boisé des Sarawak, le plus corsé des Penja ne vaut rien s'il est éventé dans une saupoudreuse à sucre fabriquée à la chaine par des gosses de dix ans.
C'est donc toujours le même geste. Le bois est lisse et doux, en hêtre tourné, la tête arrondie prend parfaitement sa place dans la paume de la main, le poids est parfaitement équilibré. La silhouette est parfaitement calquée sur celle d'un pion d'échec. Je le prends, je le retourne et je regarde le mécanisme. Les contrefacteurs négligents y frappent le lion rampant, erreur grossière, car la manufacture PSP Peugeot a conservé le logo originel, le lion passant. Résistance, souplesse et rapidité. Le modèle Auberge, classique, intemporellement chic, comme un ongle court laqué de Rouge Noir Chanel, la semelle en cuir d'une ballerine Repetto, la rayure discrète d'une culotte Petit Bateau. De quoi déclencher un soupir d'aise à tout bon réac' conservateur au sortir de la messe, pour le déjeuner du dimanche.
C'est une histoire familiale, les moulins Peugeot. Affaire montée 1810, bien avant la première automobile de la marque qui ne sera conçue qu'en 1889. Les deux frangins transforment le moulin familial en fonderie, et fabriquent de l'outillage. Ils sont bons. Ils déposent des brevets qui sont encore aujourd'hui les bases du travail de l'acier : le laminage et le recuit. Acier rime aussi avec chic, et l'usine du Doubs produit non seulement des scies, mais aussi des ressorts d'horlogeries et des buscs de corsets. En 1850, les élégants équipent leur jardinier, leur table, leur poignet et le buste de leur maitresse de produits Peugeot.
C'est que Madame, c'est toujours fabriqué en France, et reconnu mondialement. Si les clients des restaurants cinq étoiles de New York ou des meilleures churrascarias de Rio n'ont jamais croisé une 306 au carrefour, ils ont en commun avec le péquin parisien qui se hausse du col le vendredi chez Bofinger d'avoir peloté une poivrière Peugeot.
Cela aurait pu se terminer brutalement. PSP (Poivrières Salières Peugeot) a failli passer en redressement en 2007, pour une malheureuse idée : diversifier la production pour se relancer dans l'outillage à main.
C'était sans compter sans la réaction immédiate de la famille historique, qui a immédiatement réinvesti son capital dans l'usine de Quingey, dans le Doubs, portant ses parts à 80%.
Aujourd'hui, 3 millions de moulins Peugeot sortent chaque années, dont 70% sont destinés à l'export.
Mondialisation ?
Les moulins manuels sont totalement fabriqués en France. Il y a bien les pièces des moulins électriques qui viennent de Chine, mais ça, c'est caca.
Contre la médiocrité ambiante, rien ne vaut la sensualité de mon moulin mécanique Peugeot, le craquement des baies, l'odeur boisée des épices ...
Zinedine Zidane
C'est toujours le même geste. Il y a des gens qui vérifient l'état des toilettes avant de manger dans un restaurant, moi, je vérifie les accessoires de table. Je m'y connais peu en coutellerie et en porcelaine, mais s'il y a bien un accessoire qui trahit le restaurateur soucieux de sa clientèle, c'est le moulin à poivre.
Un spécialiste de l'hôtellerie qui prend le soin de placer sur sa table un moulin qui saura distiller l'arôme subtil de cette épice ne peut être que personne de goût. Le meilleur Kampot, le plus boisé des Sarawak, le plus corsé des Penja ne vaut rien s'il est éventé dans une saupoudreuse à sucre fabriquée à la chaine par des gosses de dix ans.
C'est donc toujours le même geste. Le bois est lisse et doux, en hêtre tourné, la tête arrondie prend parfaitement sa place dans la paume de la main, le poids est parfaitement équilibré. La silhouette est parfaitement calquée sur celle d'un pion d'échec. Je le prends, je le retourne et je regarde le mécanisme. Les contrefacteurs négligents y frappent le lion rampant, erreur grossière, car la manufacture PSP Peugeot a conservé le logo originel, le lion passant. Résistance, souplesse et rapidité. Le modèle Auberge, classique, intemporellement chic, comme un ongle court laqué de Rouge Noir Chanel, la semelle en cuir d'une ballerine Repetto, la rayure discrète d'une culotte Petit Bateau. De quoi déclencher un soupir d'aise à tout bon réac' conservateur au sortir de la messe, pour le déjeuner du dimanche.
C'est une histoire familiale, les moulins Peugeot. Affaire montée 1810, bien avant la première automobile de la marque qui ne sera conçue qu'en 1889. Les deux frangins transforment le moulin familial en fonderie, et fabriquent de l'outillage. Ils sont bons. Ils déposent des brevets qui sont encore aujourd'hui les bases du travail de l'acier : le laminage et le recuit. Acier rime aussi avec chic, et l'usine du Doubs produit non seulement des scies, mais aussi des ressorts d'horlogeries et des buscs de corsets. En 1850, les élégants équipent leur jardinier, leur table, leur poignet et le buste de leur maitresse de produits Peugeot.
C'est que Madame, c'est toujours fabriqué en France, et reconnu mondialement. Si les clients des restaurants cinq étoiles de New York ou des meilleures churrascarias de Rio n'ont jamais croisé une 306 au carrefour, ils ont en commun avec le péquin parisien qui se hausse du col le vendredi chez Bofinger d'avoir peloté une poivrière Peugeot.
Cela aurait pu se terminer brutalement. PSP (Poivrières Salières Peugeot) a failli passer en redressement en 2007, pour une malheureuse idée : diversifier la production pour se relancer dans l'outillage à main.
C'était sans compter sans la réaction immédiate de la famille historique, qui a immédiatement réinvesti son capital dans l'usine de Quingey, dans le Doubs, portant ses parts à 80%.
Aujourd'hui, 3 millions de moulins Peugeot sortent chaque années, dont 70% sont destinés à l'export.
Mondialisation ?
Les moulins manuels sont totalement fabriqués en France. Il y a bien les pièces des moulins électriques qui viennent de Chine, mais ça, c'est caca.
Contre la médiocrité ambiante, rien ne vaut la sensualité de mon moulin mécanique Peugeot, le craquement des baies, l'odeur boisée des épices ...
- Spoiler:
- Qui est John Galt ?
Invité- Invité
Re: Mily on air
Merci Milly pour ce message magistral, édifiant et élégant, oui, je le pense : exemplaire. "C'est toujours le même geste...", jusqu'à cette petite vulgarité finale qui vient faire contrepoint à l'édifice. La classe. Cela me rappel étrangement une autre figure du forum. Quand au spoiler, il me fait résonner d'autres échos plus complexes et mitigés, de sordides affaires de cybernétiques et de corporations, mais c'est une autre histoire. Je te salue donc bien bas, chère Mily, l'esprit et les papilles réjouis de ces saveurs, que les sots qualifient d'exotiques. Passez muscade !
soto²- Messages : 2760
Date d'inscription : 07/12/2016
Localisation : Au delಠ(31)
Re: Mily on air
Ci-mer Saute au Carré.
Toujours un peu étrange les comparaisons aux "figures" du forum.
John Galt pour moi c'est ça :
"I swear by my life and my love of it that I will never live for the sake of another man, nor ask another man to live for mine."
Figure qui en effet s'est trouvée récupérée pour des affaires qui puent. Rendons à Rand ce qui est à Rand, une ode désuète à l'amour du travail bien fait.
Livre terminé :
À re-lire
Toujours un peu étrange les comparaisons aux "figures" du forum.
John Galt pour moi c'est ça :
"I swear by my life and my love of it that I will never live for the sake of another man, nor ask another man to live for mine."
Figure qui en effet s'est trouvée récupérée pour des affaires qui puent. Rendons à Rand ce qui est à Rand, une ode désuète à l'amour du travail bien fait.
Livre terminé :
À re-lire
Invité- Invité
Re: Mily on air
merci Mily
suis comme "Soto fois Soto" ce " "C'est toujours le même geste..."
m''estomaque car il me reminisce , dans ma mémoire de l'oubli , ce geste , toujours
le même geste , (ancestral le geste) qui est celui de l'homme qui fait tomber sa
gougoutte
c'est-y pas mimi ? voire attendrissant ? ce " c'est toujours le même geste "?
suis une poétesse dans l'âme non ?
suis comme "Soto fois Soto" ce " "C'est toujours le même geste..."
m''estomaque car il me reminisce , dans ma mémoire de l'oubli , ce geste , toujours
le même geste , (ancestral le geste) qui est celui de l'homme qui fait tomber sa
gougoutte
c'est-y pas mimi ? voire attendrissant ? ce " c'est toujours le même geste "?
suis une poétesse dans l'âme non ?
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Mily on air
Bon, les livres d'économie et de société français sont vraiment nuls. J'aurais essayé, et on retrouve partout le même discours plus ou moins convenu noyé d'idéologie social-démocrate avec laquelle on nous a élevé au biberon.
Je me lance dans un projet. Une traduction. Je ne sais pas du tout comment ça fonctionne, dans le milieu de l'édition pour proposer une traduction. Faut-il l'autorisation de l'auteur avant de proposer sa copie ? Je suppose que oui, évidemment, pour les droits d'auteur.
L'auteur peut-il s'opposer à la traduction bénévole de son ouvrage ?
Qui se charge de demander l'autorisation ? Dois je le faire avant de proposer mon travail ?
Je pourrais la filer gratuitement, juste parce que j'ai envie que les gens le lisent mais j'ai du mal avec le vol de propriété intellectuelle.
Ou à compte d'auteur ? Ou en e-pub en reversant sa part à la maison d'édition originale ?
Ah et puis non, je vous dis pas ce que c'est. C'est une surprise. Mais ça décape.
Je me lance dans un projet. Une traduction. Je ne sais pas du tout comment ça fonctionne, dans le milieu de l'édition pour proposer une traduction. Faut-il l'autorisation de l'auteur avant de proposer sa copie ? Je suppose que oui, évidemment, pour les droits d'auteur.
L'auteur peut-il s'opposer à la traduction bénévole de son ouvrage ?
Qui se charge de demander l'autorisation ? Dois je le faire avant de proposer mon travail ?
Je pourrais la filer gratuitement, juste parce que j'ai envie que les gens le lisent mais j'ai du mal avec le vol de propriété intellectuelle.
Ou à compte d'auteur ? Ou en e-pub en reversant sa part à la maison d'édition originale ?
Ah et puis non, je vous dis pas ce que c'est. C'est une surprise. Mais ça décape.
Invité- Invité
Re: Mily on air
Sympa comme projet.
- Spoiler:
- J'espère que ce n'est pas Economics : A very Short Introduction de Partha DasGupta. En même temps c'est peu probable : ça décape pas et c'est un truc pour débutant.
Ça fait 2 semaines qu'il est dans mon panier et que je ne valide pas. Je doute de ma motivation pour arriver au bout, alors je vais lire des merdes en français.
Tant qu'il n'existe pas de traduction, j'ai l'espoir d'être fier de moi un jour parce que je l'aurais lu en anglais.
tieutieu- Messages : 953
Date d'inscription : 20/05/2016
Age : 47
Localisation : LA
Re: Mily on air
Non c'est pas ça. Le titre contient le mot "anointed" en anglais. Rien que ça c'est un challenge de traduction pour retranscrire toutes les nuances derrière ce mot.
Invité- Invité
Re: Mily on air
C'est un manuel pour un décapant pour four, attention, une mauvaise traduction, peut rendre son utilisation dangereuse !
Dernière édition par Mystère Blue le Lun 24 Avr 2017 - 18:43, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Mily on air
oindre ou anoindre ? telle est la question
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Mily on air
Mily a écrit:Bon, les livres d'économie et de société français sont vraiment nuls.
Que penses-tu du bouquin de Piketti Le Capital au XXIe siècle (je viens de l'acheter, pas encore lu) ?
Invité- Invité
Re: Mily on air
Mily a écrit:Bon, les livres d'économie et de société français sont vraiment nuls. J'aurais essayé, et on retrouve partout le même discours plus ou moins convenu noyé d'idéologie social-démocrate avec laquelle on nous a élevé au biberon.
Je me lance dans un projet. Une traduction. Je ne sais pas du tout comment ça fonctionne, dans le milieu de l'édition pour proposer une traduction. Faut-il l'autorisation de l'auteur avant de proposer sa copie ? Je suppose que oui, évidemment, pour les droits d'auteur.
L'auteur peut-il s'opposer à la traduction bénévole de son ouvrage ?
Qui se charge de demander l'autorisation ? Dois je le faire avant de proposer mon travail ?
Je pourrais la filer gratuitement, juste parce que j'ai envie que les gens le lisent mais j'ai du mal avec le vol de propriété intellectuelle.
Ou à compte d'auteur ? Ou en e-pub en reversant sa part à la maison d'édition originale ?
Ah et puis non, je vous dis pas ce que c'est. C'est une surprise. Mais ça décape.
Super idée ! Tu pourrais commencer par les oeuvres de Thomas Sowell stp? Je regrette tellement de ne pas maîtriser l'anglais...
Je suis assez d'accord avec ton constat sur les livres français de société, surtout les plus récents.
Invité- Invité
Re: Mily on air
Ryuzaki L. a écrit:Tu pourrais commencer par les oeuvres de Thomas Sowell stp?
Mais comment tu m'as spoilée
- Spoiler:
- Le pire c'est que c'est un livre de Sowell justement. J'ai envoyé mon courrier aujourd'hui à sa maison d'édition pour demander l'autorisation, les mains tremblantes, en vraie groupie.
Invité- Invité
Re: Mily on air
Oui, j'avais cru comprendre que tu l'appréciais beaucoup, t'en as parlé dans 2 ou 3 fils. Si ça se trouve il va me faire changer ma façon gôcho-socialo-interventionniste de voir le monde .
Invité- Invité
Re: Mily on air
Je "l'apprécie" pas plus que ça. Je déconne quand je dis groupie. Mais c'est vrai que je suis un peu impressionnée. Si ça se trouve il va me répondre qu'il en a rien à carrer d'être lu par des français, et qu'ils n'ont qu'à apprendre l'anglais ce serait bien son genre d'ailleurs.
Je connais même pas depuis très longtemps, j'ai acheté deux de ses livres il y a 6 mois suite à une discussion sur ZC d'ailleurs.
Mais c'est un discours qu'on entend PAS en France. Jamais. La pensée qui fait mal et qui oblige à se regarder de manière rationnelle sans se chercher d'excuse. En France on a arrêté ça au XIXème siècle.
Je m'attends pas à ce que ça change ta manière de voir le monde. Ça n'a pas vraiment changé la mienne. Je ne serais pas surprise même que cela choque. Mais qu'au bout du compte ça ouvre à autre chose.
J'ai un autre projet aussi, dans ce genre là :
Je connais même pas depuis très longtemps, j'ai acheté deux de ses livres il y a 6 mois suite à une discussion sur ZC d'ailleurs.
Mais c'est un discours qu'on entend PAS en France. Jamais. La pensée qui fait mal et qui oblige à se regarder de manière rationnelle sans se chercher d'excuse. En France on a arrêté ça au XIXème siècle.
Je m'attends pas à ce que ça change ta manière de voir le monde. Ça n'a pas vraiment changé la mienne. Je ne serais pas surprise même que cela choque. Mais qu'au bout du compte ça ouvre à autre chose.
J'ai un autre projet aussi, dans ce genre là :
Invité- Invité
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Mily on air
Du coup, pour la seconde énigme de ce jeu, plus connu sous la dénomination 'encore un projet pour Mily', je tente :
Tu as pour projet de passer une bonne nuit grâce à cette vidéo ASMR ?
C'est moi ou ça fonctionne vraiment ? et
Tu as pour projet de passer une bonne nuit grâce à cette vidéo ASMR ?
C'est moi ou ça fonctionne vraiment ? et
tieutieu- Messages : 953
Date d'inscription : 20/05/2016
Age : 47
Localisation : LA
Re: Mily on air
tieutieu a écrit:Du coup, pour la seconde énigme de ce jeu, plus connu sous la dénomination 'encore un projet pour Mily', je tente :
Tu as pour projet de passer une bonne nuit grâce à cette vidéo ASMR ?
C'est moi ou ça fonctionne vraiment ? et
Oui ça fonctionne. Enfin il faut connaître ses "triggers", ce qui marche pour les uns ne fera rien aux autres, ou pire leur sera insupportable.
Perso j'ai un truc assez marqué avec les bruits d'aspirateurs et de sèche-cheveux. Le tapping ne me fait rien du tout, et les chuchotements inaudibles m'agacent, j'ai besoin de comprendre ce que j'écoute.
J'ai donc opté pour du chuchotement audible, lecture d'oeuvres tombées dans le domaine public.
L'exercice est beaucoup plus fatigant qu'il n'y parait, cela demande pas mal de concentration, un effort de diction et ... ça donne soif je m'attendais pas à ça.
Invité- Invité
Re: Mily on air
Merci pour les infos. J'essaierai d'écouter quelques trucs par curiosité.
Depuis quelques mois, je m'intéresse à l'autohypnose. Il doit y avoir des similitudes : au moins parce que tout ne passe pas par la conscience.
Depuis quelques mois, je m'intéresse à l'autohypnose. Il doit y avoir des similitudes : au moins parce que tout ne passe pas par la conscience.
tieutieu- Messages : 953
Date d'inscription : 20/05/2016
Age : 47
Localisation : LA
Re: Mily on air
L'autohypnose ? C'est pour arrêter l'autoflagellation ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Mily on air
tieutieu a écrit:Merci pour les infos. J'essaierai d'écouter quelques trucs par curiosité.
Depuis quelques mois, je m'intéresse à l'autohypnose. Il doit y avoir des similitudes : au moins parce que tout ne passe pas par la conscience.
Oui il y a des similitudes assez évidentes (la mémoire joue pas mal par exemple) mais le but recherché est plus superficiel par l'ASMR.
Dans le genre auto-hypnose tu as aussi les vidéos avec le tag "satisfying" qui jouent sur le même principe mais visuel.
Invité- Invité
Re: Mily on air
- Frédéric n'est pas Corse:
Pétition des fabricants de chandelles, bougies, lampes, chandeliers, réverbères, mouchettes, éteignoirs, et des producteurs de suif, huile, résine, alcool, et généralement de tout ce qui concerne l’éclairage.
À MM. les Membres de la Chambre des Députés.
« Messieurs,
« Vous êtes dans la bonne voie. Vous repoussez les théories abstraites ; l’abondance, le bon marché vous touchent peu. Vous vous préoccupez surtout du sort du producteur. Vous le voulez affranchir de la concurrence extérieure, en un mot, vous voulez réserver le marché national au travail national.
« Nous venons vous offrir une admirable occasion d’appliquer votre… comment dirons-nous ? votre théorie ? non, rien n’est plus trompeur que la théorie ; votre doctrine ? votre système ? votre principe ? mais vous n’aimez pas les doctrines, vous avez horreur des systèmes, et, quant aux principes, vous déclarez qu’il n’y en a pas en économie sociale ; nous dirons donc votre pratique, votre pratique sans théorie et sans principe.
« Nous subissons l’intolérable concurrence d’un rival étranger placé, à ce qu’il paraît, dans des conditions tellement supérieures aux nôtres, pour la production de la lumière, qu’il en inonde notre marché national à un prix fabuleusement réduit ; car, aussitôt qu’il se montre, notre vente cesse, tous les consommateurs s’adressent à lui, et une branche d’industrie française, dont les ramifications sont innombrables, est tout à coup frappée de la stagnation la plus complète. Ce rival, qui n’est autre que le soleil, nous fait une guerre si acharnée, que nous soupçonnons qu’il nous est suscité par la perfide Albion (bonne diplomatie par le temps qui court !), d’autant qu’il a pour cette île orgueilleuse des ménagements dont il se dispense envers nous.
« Nous demandons qu’il vous plaise de faire une loi qui ordonne la fermeture de toutes fenêtres, lucarnes, abat-jour, contre-vents, volets, rideaux, vasistas, œils-de-bœuf, stores, en un mot, de toutes ouvertures, trous, fentes et fissures par lesquelles la lumière du soleil a coutume de pénétrer dans les maisons, au préjudice des belles industries dont nous nous flattons d’avoir doté le pays, qui ne saurait sans ingratitude nous abandonner aujourd’hui à une lutte si inégale.
« Veuillez, Messieurs les députés, ne pas prendre notre demande pour une satire, et ne la repoussez pas du moins sans écouter les raisons que nous avons à faire valoir à l’appui.
« Et d’abord, si vous fermez, autant que possible, tout accès à la lumière naturelle, si vous créez ainsi le besoin de lumière artificielle, quelle est en France l’industrie qui, de proche en proche, ne sera pas encouragée ?
« S’il se consomme plus de suif, il faudra plus de bœufs et de moutons, et, par suite, on verra se multiplier les prairies artificielles, la viande, la laine, le cuir, et surtout les engrais, cette base de toute richesse agricole.
« S’il se consomme plus d’huile, on verra s’étendre la culture du pavot, de l’olivier, du colza. Ces plantes riches et épuisantes viendront à propos mettre à profit cette fertilité que l’élève des bestiaux aura communiquée à notre territoire.
« Nos landes se couvriront d’arbres résineux. De nombreux essaims d’abeilles recueilleront sur nos montagnes des trésors parfumés qui s’évaporent aujourd’hui sans utilité, comme les fleurs d’où ils émanent. Il n’est donc pas une branche d’agriculture qui ne prenne un grand développement.
« Il en est de même de la navigation : des milliers de vaisseaux iront à la pêche de la baleine, et dans peu de temps nous aurons une marine capable de soutenir l’honneur de la France et de répondre à la patriotique susceptibilité des pétitionnaires soussignés, marchands de chandelles, etc.
« Mais que dirons-nous de l’article Paris ? Voyez d’ici les dorures, les bronzes, les cristaux en chandeliers, en lampes, en lustres, en candélabres, briller dans de spacieux magasins auprès desquels ceux d’aujourd’hui ne sont que des boutiques.
« Il n’est pas jusqu’au pauvre résinier, au sommet de sa dune, ou au triste mineur, au fond de sa noire galerie, qui ne voie augmenter son salaire et son bien-être.
« Veuillez y réfléchir, Messieurs ; et vous resterez convaincus qu’il n’est peut-être pas un Français, depuis l’opulent actionnaire d’Anzin jusqu’au plus humble débitant d’allumettes, dont le succès de notre demande n’améliore la condition.
« Nous prévoyons vos objections, Messieurs ; mais vous ne nous en opposerez pas une seule que vous n’alliez la ramasser dans les livres usés des partisans de la liberté commerciale. Nous osons vous mettre au défi de prononcer un mot contre nous qui ne se retourne à l’instant contre vous-mêmes et contre le principe qui dirige toute votre politique.
« Nous direz-vous que, si nous gagnons à cette protection, la France n’y gagnera point, parce que le consommateur en fera les frais ?
« Nous vous répondrons :
« Vous n’avez plus le droit d’invoquer les intérêts du consommateur. Quand il s’est trouvé aux prises avec le producteur, en toutes circonstances vous l’avez sacrifié. — Vous l’avez fait pour encourager le travail, pour accroître le domaine du travail. Par le même motif, vous devez le faire encore.
« Vous avez été vous-mêmes au-devant de l’objection. Lorsqu’on vous disait : le consommateur est intéressé à la libre introduction du fer, de la houille, du sésame, du froment, des tissus. — Oui, disiez-vous, mais le producteur est intéressé à leur exclusion. — Eh bien ! si les consommateurs sont intéressés à l’admission de la lumière naturelle, les producteurs le sont à son interdiction.
« Mais, disiez-vous encore, le producteur et le consommateur ne font qu’un. Si le fabricant gagne par la protection, il fera gagner l’agriculteur. Si l’agriculture prospère, elle ouvrira des débouchés aux fabriques. — Eh bien ! si vous nous conférez le monopole de l’éclairage pendant le jour, d’abord nous achèterons beaucoup de suifs, de charbons, d’huiles, de résines, de cire, d’alcool, d’argent, de fer, de bronzes, de cristaux, pour alimenter notre industrie, et, de plus, nous et nos nombreux fournisseurs, devenus riches, nous consommerons beaucoup et répandrons l’aisance dans toutes les branches du travail national.
« Direz-vous que la lumière du soleil est un don gratuit, et que repousser des dons gratuits, ce serait repousser la richesse même sous prétexte d’encourager les moyens de l’acquérir ?
« Mais prenez garde que vous portez la mort dans le cœur de votre politique ; prenez garde que jusqu’ici vous avez toujours repoussé le produit étranger parce qu’il se rapproche du don gratuit, et d’autant plus qu’il se rapproche du don gratuit. Pour obtempérer aux exigences des autres monopoleurs, vous n’aviez qu’un demi-motif ; pour accueillir notre demande, vous avez un motif complet, et nous repousser précisément en vous fondant sur ce que nous sommes plus fondés que les autres, ce serait poser l’équation : + × + = – ; en d’autres termes, ce serait entasser absurdité sur absurdité.
« Le travail et la nature concourent en proportions diverses, selon les pays et les climats, à la création d’un produit. La part qu’y met la nature est toujours gratuite ; c’est la part du travail qui en fait la valeur et se paie.
« Si une orange de Lisbonne se vend à moitié prix d’une orange de Paris, c’est qu’une chaleur naturelle et par conséquent gratuite fait pour l’une ce que l’autre doit à une chaleur artificielle et partant coûteuse.
« Donc, quand une orange nous arrive de Portugal, on peut dire qu’elle nous est donnée moitié gratuitement, moitié à titre onéreux, ou, en d’autres termes, à moitié prix relativement à celle de Paris.
« Or, c’est précisément de cette demi-gratuité (pardon du mot) que vous arguez pour l’exclure. Vous dites : Comment le travail national pourrait-il soutenir la concurrence du travail étranger quand celui-là a tout à faire, et que celui-ci n’a à accomplir que la moitié de la besogne, le soleil se chargeant du reste ? — Mais si la demi-gratuité vous détermine à repousser la concurrence, comment la gratuité entière vous porterait-elle à admettre la concurrence ? Ou vous n’êtes pas logiciens, ou vous devez, repoussant la demi-gratuité comme nuisible à notre travail national, repousser a fortiori et avec deux fois plus de zèle la gratuité entière.
« Encore une fois, quand un produit, houille, fer, froment ou tissu, nous vient du dehors et que nous pouvons l’acquérir avec moins de travail que si nous le faisions nous-mêmes, la différence est un don gratuit qui nous est conféré. Ce don est plus ou moins considérable, selon que la différence est plus ou moins grande. Il est du quart, de moitié, des trois quarts de la valeur du produit, si l’étranger ne nous demande que les trois quarts, la moitié, le quart du paiement. Il est aussi complet qu’il puisse l’être, quand le donateur, comme fait le soleil pour la lumière, ne nous demande rien. La question, et nous la posons formellement, est de savoir si vous voulez pour la France le bénéfice de la consommation gratuite ou les prétendus avantages de la production onéreuse. Choisissez, mais soyez logiques ; car, tant que vous repousserez, comme vous le faites, la houille, le fer, le froment, les tissus étrangers, en proportion de ce que leur prix se rapproche de zéro, quelle inconséquence ne serait-ce pas d’admettre la lumière du soleil, dont le prix est à zéro, pendant toute la journée ? »
Journal des Économistes, n° d’octobre 1845. Frédéric Bastiat
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Re: Mily on air
C'est le problème de l'équilibre de la balance commerciale, on peut aussi se demander pourquoi payer quelqu'un quand on peut avoir un esclave ? Par quoi on compense le manque à gagner ?
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Re: Mily on air
Mystère Blue a écrit:C'est le problème de l'équilibre de la balance commerciale, on peut aussi se demander pourquoi payer quelqu'un quand on peut avoir un esclave ? Par quoi on compense le manque à gagner ?
L'esclavage est-il un rapport librement consenti ?
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Re: Mily on air
Mystère Blue a écrit:Tu veux dire comme quand le soleil me brûle ?
Je sais pas, je suis un peu exempte de ce genre de trucs (je le dis pas trop, des fois qu'on me fasse payer une taxe d'égalité face à la mélanine).
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Re: Mily on air
J'avoue ch'uis taquin, mais n'étant pas THQI, et tout juste HQI de base si on en croit mon IAG, je comprends l'exemple des oranges, du soleil, mais pourquoi le cochon Espagnol serait moins cher que le cochon Français, surtout qu'elle est plus toute fraîche la bestiole, elle a plus voyagé, et me dites pas que les cochons grossissent mieux au soleil !
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Re: Mily on air
Mystère Blue a écrit:J'avoue ch'uis taquin, mais n'étant pas THQI, et tout juste HQI de base si on en croit mon IAG, je comprends l'exemple des oranges, du soleil, mais pourquoi le cochon Espagnol serait moins cher que le cochon Français, surtout qu'elle est plus toute fraîche la bestiole, elle a plus voyagé, et me dites pas que les cochons grossissent mieux au soleil !
Chais pas, je croise beaucoup de porcs français, mais le porc espagnol est rare par chez moi ...
Bref, pour ceux que cela intéresse, je vous laisse prendre connaissance des écrits de M.Bastiat, qui n'en était pas la moitié d'un, histoire d'apporter autre chose ...
http://bastiat.org/fr/greves_de_taxes.html
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Re: Mily on air
Je vais commencer par Etienne de La Boétie que je connais déjà parce qu'il y a un côté frustrant à décrocher du fond même si c'est un peu le but.
Beau boulot
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tieutieu- Messages : 953
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Re: Mily on air
Bonjour, bienvenue sur Zebrascrossing !!!!!!!!!!!!!!!
Tom Riddle- Messages : 58
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Re: Mily on air
- Les consacrés :
PREFACELes commentateurs politiques et les essayistes férus de thématiques sociales s'expriment souvent sur une grande variété de sujets, mais leurs opinions ne relèvent pas du hasard. S'ils sont progressistes, conservateurs ou radicaux sur la politique étrangère, ils sont très certainement aussi progressistes, conservateurs ou radicaux sur la sécurité, l'avortement ou l'éducation. Ce qui est en cohérence avec leurs croyances, dont le socle est attirail de suppositions sous-jacentes sur le monde - une certaine vision de la réalité.
Ces visions diffèrent, bien sûr, d'une personne à l'autre, d'une société à l'autre et d'une époque à l'autre. Ces visions sont également en compétition, incarnées par un porte-parole ou une société. Mais à certaines époques, une vision particulière prédomine tellement qu'elle devient emblématique d'un lieu et d'une époque. C'est ce qui se passe pour l'intelligentsia des États Unis d’Amérique, et d'une grande partie du monde occidental, en dépit des différences entre leur vision et celle du peuple. Il peut y avoir des variations individuelles dans la mise en œuvre, mais cela ne change pas le fondement : toutle discours politique et social contemporain, dans les médias, dans les universités et en politique, s'appuie sur un jeu d'hypothèses parfaitement défini dès le départ.
Grâce à la montée en puissance des médias d'information de masse, de la politique de masse, et du gouvernement des masses, les croyances d'un groupe de taille réduite mais bien organisé influencent la direction prise par toute une société.
L'analyse qui suit n'est pas seulement une description de la vision de cette élite et de ses nombreux suiveurs, dans les arènes politiques ou dans les salons. C'est également une comparaison empirique entre les promesses des politiques qui découlent de cette vision et leurs conséquences sinistres et amères. Pour faire bref, il n'est pas seulement question d'exposer le monde tel qu'il est dans l'esprit de l'élite auto-consacrée, mais de voir comment ce monde influence la réalité dans des domaines concrets comme la criminalité, le modèle familial, et d'autres phénomènes sociaux cruciaux de notre temps.
Cette influence est d'actualité, il est donc important d'en comprendre la genèse et de savoir vers quel futur elle nous mène. Les schémas intellectuels et politiques analysés ici sont devenus dominants depuis les années 60, et les hypothèses fondatrices des politiques actuelles suivent toujours la tendance amorcée depuis. Cependant, les racines historiques de cette vision dominante sont bien plus profondes, dans certains cas, séculaires. Il faut alors explorer à la fois le passé et le présent, pour comprendre la vision des consacrés et l'héritage qu'ils préparent aux futures générations.
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Re: Mily on air
Mystère Blue a écrit:Alors, les sacrés cons, y vont nous léguer quoi ?
Faudra acheter le livre
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Re: Mily on air
Donne moi un indice, est qu'on va payer des droits de succession ? (smiley inquiet)
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Re: Mily on air
08.05.2017
La princesse se marie à la fin et avec ses 5 enfants elle bénéficie de la retraite à 55 ans et du dispositif carrière longue.
Mais chut...
Mystère Blue a écrit:Donne moi un indice, est qu'on va payer des droits de succession ? (smiley inquiet)
La princesse se marie à la fin et avec ses 5 enfants elle bénéficie de la retraite à 55 ans et du dispositif carrière longue.
Mais chut...
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Mily on air
Ben oui, grace à ses cinq enfants, elle a bien travaillé à fournir 5 nouveaux esclaves pour alimenter l'arnaque de Ponzi le système de retraite que le monde entier nous envie ...
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Re: Mily on air
Nous devrions tout mettre dans des fonds de pension ? Retirer la moitié de son salaire et le poser sous le matelas pour les vieux jours ? Bosser jusqu'à en crever ?
Les enfants aident au champs et s'occupent de leurs parents âgés, comme cela a toujours existé, c'est ces salauds de sans enfants qui nous foutent dans la merde !
Les enfants aident au champs et s'occupent de leurs parents âgés, comme cela a toujours existé, c'est ces salauds de sans enfants qui nous foutent dans la merde !
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Re: Mily on air
Mystère Blue a écrit:Nous devrions tout mettre dans des fonds de pension ? Retirer la moitié de son salaire et le poser sous le matelas pour les vieux jours ? Bosser jusqu'à en crever ?
Les enfants aident au champs et s'occupent de leurs parents âgés, comme cela a toujours existé, c'est ces salauds de sans enfants qui nous foutent dans la merde !
Si tu rajoutes tous ces vieux qui font la compétition du croulant le plus âgé, on est foutus.
Gabriel- Messages : 2311
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