se pousser vers des "sommets" intellectuellement et mettre de côté tout le reste,
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se pousser vers des "sommets" intellectuellement et mettre de côté tout le reste,
Bonjour,
je serais curieux de connaître vos points de vue, entendre des témoignage, apprendre d'expériences de vie.
Après un baccalauréat un peu "spécial", dans un bon établissement, je me demandais que faire.
À l'école, je me sentais toujours un peu embêté, de ne pouvoir exprimer ce que je ressentais sans avoir l'impression de passer par une espèce d' "attaque" des autres.
Se brimer de peur de causer du tort, rien de tel pour saper le moral et se demander si, si le mal existe, je n'en ferais pas partie.
Je me suis donc lancé dans des études à l'étranger, en Allemagne, en philosophie, me disant que je trouverais là une liberté dépassant toutes les bornes d'une éducation familiale et d'un cadre de vie connu.
Je voulais me distancer des peurs de moi-même et me retrouver.
Je me suis donc tourné vers une faculté réputée et espérais une forme de "libération" par la schole ( le loisir studieux ), comme je m'imaginais les échanges des anciens Grecs ( attention hein, à l'époque je ne m'y connaissais que peu ).
La philosophie me fascinait depuis longtemps et j'étais certain de trouver là tout le sens qui m'avait manqué jusqu'à-là dans les cours, avec les amis et chez la famille...
Manque de chance, malgré une plus grande liberté de manoeuvre quant au "comment" durant les études ( comment est-ce que je rédige tel devoir, comment est-ce que je répartis mon temps, comment est-ce que je m'y prends pour réussir à passer le semestre ), je ne trouvais toujours pas de "sens".
Bon, à l'époque j'étais encore un zèbre qui s'ignorait ( même si toujours non-diagnostiqué à ce jour, j'ai de bonnes raisons de croire l'être ) et je me demandais pour quelle raison, même dans ce contexte de philosophie ( d'amour de la sagesse ), elle manquait tellement et faisait tellement défaut autour de moi, cette sagesse.
J'étais déboussolé, désespéré, et mes quelques repères s'effacaient, tandis que mes espoirs de trouver un jour un contexte favorable à mon plein-épanouissement fondaient comme neige au soleil.
J'étais parti loin, dans un contexte différent qui était censé me correspondre, et je n'y trouvais rien de plus qu'une version différente de ce que je connaissais déjà et comptais fuir.
Je pensais que les exigences liées à une pensée plus poussée mettraient de côté les petites rivalités des années collège-lycée.
J'étais extrêmement décu de voir qu'il n'en était rien.
Je me disait qu'il n'en était rien.
J'ai recommencé puis abandonné plusieurs des études dans différentes villes, qui chaque fois me laissaient décu et désabusé et aigri, à force de n'y trouver aucun sens ou des personnes comme moi.
Cela allait contre toutes mes attentes, vu que je me souvenais des bons résultats scolaires du contexte favorable ( amour et compréhension des parents ).
Je connais aussi en moi un appétit vorace voire immense pour l'apprentissage et la découverte.
Bref, je me perdais plus je cherchais à comprendre.
Bon, il y a quelques temps, Maman ( soutenue par un psychiatre dont je ne connais pas même le nom ) est arrivée avec des théories de surdouance qui expliqueraient énormément de choses.
Je me retrouvais dans la plupart des idées qu'elle émettaient au sujet des hauts-potentiels.
Maintenant, l'appétit de savoir qui revient me laisse affamé.
J'ai 26 ans depuis hier, et mes parents me reparlent d'études, me demande si je veux en faire.
Ces dernières années furent remplies d'expériences d'études commencées puis avortées en cours de route, sans compréhension aucune de l'entourage : je ne voulais plus jouer le jeu dans un contexte qui ne convenait pas, malgré toutes les protestations des proches et des amis d'études.
J'ai fait du stop sans argent aussi, parfois, et je rencontrais des gens très différents, qui vivent selon un mode de vie qui leur est propre : loin des cadres plus habituels de la société.
Le truc, c'est que même si la philo me soûlait ( même si je suis loin de tout connaître à ce sujet et que les profs étaient très compétents ), je ne vois pas trop ce qui serait plus empli de sens encore.
Car il s'agit bel et bien de cela : une quête de sens.
Je me rappelle que dans la République de Platon, le texte-phare de la philosophie, il était question des mathématiques comme étant LA science qui précède toutes les autres. ( C'est un peu parce que je cherchais cet aspect "premier", de "primauté" d'un type de connaissance que j'étais attiré vers la philosophie - croyant liés le sens et l'origine des choses ).
Du coup, maintenant que je me rends compte que les études et le contexte avec autrui me freine et me laisse ennuyé, désabusé et avec de moins en moins d'intérêt ou de compréhension pour les autres autour de moi, malgré le fait que je puisse les apprécier en tant qu'ami.e.s, ma mère et moi nous posions la question d'étudier via le CNED.
Je n'ai jamais été particulièrement bon en mathématiques, mais je sais que si cette discipline est maîtrisée, je "comprendrais" encore mieux le monde.
Cette ambition dévorante de tout vouloir absolument tout comprendre et tout savoir m'a mené à vivre des moments extrêmement forts de par le passé, mais ces hauts appelant des bas, je me trouvais ensuite face à des gouffres et abîmes insondables où le désespoir n'était jamais loin et où j'étais tellement dépassé que je trouvais encore moins le sens de quoi que ce fusse.
Illusions que ces ambitions, et pourtant : me voilà à les suivre à nouveau de plus bel, dans leur séduction et ce côté alléchant.
Bon, grâce à toutes ces peines et ces combats contre moi-même et mes limites, je serais au moins au clair pour considérer le haut potentiel, comme une hypothèse très probable.
Maintenant, est-ce qu'à 26 ans et sans trop de contacts sociaux avec qui que ce soit dans une petite ville loin de tout où j'ai grandi et chez les parents, j'arriverais à m'épanouir des années durant et éviter de péter un câble avec des devoirs de mathématiques qui arriveraient via la poste à domicile ( alors que je n'ai jamais trop été un matheux jusque-là ) ?!
A dire vrai, je crois que justement : le manque de simplicité au contact des autres fut tellement refoulés durant des années, que justement cette ambition est née, comme un monstre dans les profondeur.
En fait, le "faux-self" et le "masque" sont tellement devenus des parties intégrantes de moi-même, que la suradaptation par la maîtrise de sujets extrêmement épineux, au péril de ma santé ( physique et morale ) à repousser toutes les limites imaginables me paraît être la seule réalité.
Je crois que s'aimer soi-même est le remède, mais voilà, cela passe par le rapport aux autres.
Ces posts sur le forum ici, font partie du processus de guérison.
De toute facon, je peux commencer les maths et arrêter par la suite ( ce serait pas la première fois que j'abandonne des études en cours de route ).
Et qui sait, peut-être y trouverai-je du plaisir ?
Enfin, rien n'est arrêté, et je n'ai pas encore parlé de cette possibilité à Maman.
Donc, nous verrons bien.
Sûrement que tout se déroulera bien différemment de ce que décris ici...
Qui sait ? ^^
à défaut de pouvoir poster des liens, je le mets à disposition "morcelé" pour que soit néanmoins partagé une approximation du "feeling" de manière visuelle et auditive : https://www.youtube.com/watch?v=MV1Y1pMITIo
Je cherchais la version sous-titrée en Francais avec peu de succès pour la trouver.
Alors bon, si rentrer en contact avec les autres représente une constante remise en cause de soi et de son potentiel et quelques ponctuels éclairs et accès de mégalomanie, bof bof pour trouver un "juste milieu" / "équilibre".
Tiens, je m'amuse de remarquer qu'il est question du mot "potentiel" en 1:50 dans la vidéo.
Quoi qu'il en soit, je préfère jouer AVEC les autres que de faire le "monstre", la bête de toutes les compétences contre eux.elles dans un jeu de compétitions.
Vivons ensemble plutôt que les un.e.s contre les autres.
Enfin, quand je suis complètement dépassé et d'humeur massacrante ( très rare, ne m'arrive pratiquement pas ), la situation ressemblerait plutôt à ce qui suit :
https://www.youtube.com/watch?v=pQbd1fGOm6I
Et ce que j'aime particulièrement avec cette série : plutôt que de "se battre", les gens ne veulent que mettre des paniers pour témoigner de leurs compétences.
Plutôt que de s'entretuer, l'enjeu est plus "trivial", bien que l'aspect compétition/combat reste présent.
Et lorsque je ne suffit plus moi-même, je suis très capable d'inspirer ce qui est le plus grand chez autrui, un peu comme illustré dans l'exemple qui suit : https://www.youtube.com/watch?v=HwS67jeZhmY
En fait, en quoi tout ceci est en rapport avec les études.
De manière prévisible ( mais tant mieux d'une certaine facon ), l'équipe qui gagne le championnat mise moins sur les compétences ( comme moi je mise sur des études qui me dépasseraient de prime abord pour ensuite me forger lorsque je me mesure à elles ) que sur l'amour de l'équipe les uns pour les autres, l'affection et le contact humain.
En fait, faire des études est censé mener à la finalité de servir le monde.
Si je me construis moi, comme un dur à cuir, ces facultés enseignées seront dispensées en vain.
Donc bon, je me bats "pour" et "avec" les autres face à la mort, plutôt que de mourir cette vie déjà à vivre par l'épée.
https://www.youtube.com/watch?v=YroboV83qaI
La porte qui s'ouvre et les couleurs que j'y vois me font penser aux couleurs derrière "HP, HQI" sur la page d'accueil et la bannière du site )
et
Les deux vidéos sont plus ou moins une "conclusion" à cette pensée sur les études et le devenir de chacun.e ( et le mien ) dans un contexte d'études et donc de devenir.
J'y montre à peu près "l'état" que je cherche pour moi dans quelque entreprise qui me stimule à vivre, être plutôt qu'avoir, être pour devenir !
voilà un regard qu'il s'agit de dépasser, pour pouvoir coopérer avec les autres. Viva la vidaqu-delà de toute solitude, quoi ! ^^
Bien à vous !
PJ.
PS : en Anglais, voici une scène du film "the social network" au sujet de la création de facebook.
https://www.youtube.com/watch?v=VKnNUYknsuQ
J'y trouve un individu qui est poussé à bout, malgré ses capacités de créer et duquel certains aimeraient acquérir les idées, malgré son travail personnel investi et entièrement dédié à la cause.
Bien sûr, il y a des entourloupes et des approches plus ou moins "légales" et "respectueuses" du vis-à-vis.
Néanmoins, dans cette scène - que vous compreniez ou non la langue parlée, l'ambiance et le sentiment se transmettent de par le dialogue, la musique, la prise de vue - j'imagine que nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui puissent trouver une part d'émotion et comprendre "intuitivement".
https://www.youtube.com/watch?v=nG_Nwp0wZc0
Je veux VIVRE l'AMOUR avec autant d'intensité que d'autres se battent ( comme dans les deux scènes précédentes )
Tout en question de choix de priorités et d'ordre d'importance, où placer la présence de la conscience.
Voilà l'extrême inverse de ce que j'aimerais :
https://www.youtube.com/watch?v=HXNdqJF_igo
je serais curieux de connaître vos points de vue, entendre des témoignage, apprendre d'expériences de vie.
Après un baccalauréat un peu "spécial", dans un bon établissement, je me demandais que faire.
À l'école, je me sentais toujours un peu embêté, de ne pouvoir exprimer ce que je ressentais sans avoir l'impression de passer par une espèce d' "attaque" des autres.
Se brimer de peur de causer du tort, rien de tel pour saper le moral et se demander si, si le mal existe, je n'en ferais pas partie.
Je me suis donc lancé dans des études à l'étranger, en Allemagne, en philosophie, me disant que je trouverais là une liberté dépassant toutes les bornes d'une éducation familiale et d'un cadre de vie connu.
Je voulais me distancer des peurs de moi-même et me retrouver.
Je me suis donc tourné vers une faculté réputée et espérais une forme de "libération" par la schole ( le loisir studieux ), comme je m'imaginais les échanges des anciens Grecs ( attention hein, à l'époque je ne m'y connaissais que peu ).
La philosophie me fascinait depuis longtemps et j'étais certain de trouver là tout le sens qui m'avait manqué jusqu'à-là dans les cours, avec les amis et chez la famille...
Manque de chance, malgré une plus grande liberté de manoeuvre quant au "comment" durant les études ( comment est-ce que je rédige tel devoir, comment est-ce que je répartis mon temps, comment est-ce que je m'y prends pour réussir à passer le semestre ), je ne trouvais toujours pas de "sens".
Bon, à l'époque j'étais encore un zèbre qui s'ignorait ( même si toujours non-diagnostiqué à ce jour, j'ai de bonnes raisons de croire l'être ) et je me demandais pour quelle raison, même dans ce contexte de philosophie ( d'amour de la sagesse ), elle manquait tellement et faisait tellement défaut autour de moi, cette sagesse.
J'étais déboussolé, désespéré, et mes quelques repères s'effacaient, tandis que mes espoirs de trouver un jour un contexte favorable à mon plein-épanouissement fondaient comme neige au soleil.
J'étais parti loin, dans un contexte différent qui était censé me correspondre, et je n'y trouvais rien de plus qu'une version différente de ce que je connaissais déjà et comptais fuir.
Je pensais que les exigences liées à une pensée plus poussée mettraient de côté les petites rivalités des années collège-lycée.
J'étais extrêmement décu de voir qu'il n'en était rien.
Je me disait qu'il n'en était rien.
J'ai recommencé puis abandonné plusieurs des études dans différentes villes, qui chaque fois me laissaient décu et désabusé et aigri, à force de n'y trouver aucun sens ou des personnes comme moi.
Cela allait contre toutes mes attentes, vu que je me souvenais des bons résultats scolaires du contexte favorable ( amour et compréhension des parents ).
Je connais aussi en moi un appétit vorace voire immense pour l'apprentissage et la découverte.
Bref, je me perdais plus je cherchais à comprendre.
Bon, il y a quelques temps, Maman ( soutenue par un psychiatre dont je ne connais pas même le nom ) est arrivée avec des théories de surdouance qui expliqueraient énormément de choses.
Je me retrouvais dans la plupart des idées qu'elle émettaient au sujet des hauts-potentiels.
Maintenant, l'appétit de savoir qui revient me laisse affamé.
J'ai 26 ans depuis hier, et mes parents me reparlent d'études, me demande si je veux en faire.
Ces dernières années furent remplies d'expériences d'études commencées puis avortées en cours de route, sans compréhension aucune de l'entourage : je ne voulais plus jouer le jeu dans un contexte qui ne convenait pas, malgré toutes les protestations des proches et des amis d'études.
J'ai fait du stop sans argent aussi, parfois, et je rencontrais des gens très différents, qui vivent selon un mode de vie qui leur est propre : loin des cadres plus habituels de la société.
Le truc, c'est que même si la philo me soûlait ( même si je suis loin de tout connaître à ce sujet et que les profs étaient très compétents ), je ne vois pas trop ce qui serait plus empli de sens encore.
Car il s'agit bel et bien de cela : une quête de sens.
Je me rappelle que dans la République de Platon, le texte-phare de la philosophie, il était question des mathématiques comme étant LA science qui précède toutes les autres. ( C'est un peu parce que je cherchais cet aspect "premier", de "primauté" d'un type de connaissance que j'étais attiré vers la philosophie - croyant liés le sens et l'origine des choses ).
Du coup, maintenant que je me rends compte que les études et le contexte avec autrui me freine et me laisse ennuyé, désabusé et avec de moins en moins d'intérêt ou de compréhension pour les autres autour de moi, malgré le fait que je puisse les apprécier en tant qu'ami.e.s, ma mère et moi nous posions la question d'étudier via le CNED.
Je n'ai jamais été particulièrement bon en mathématiques, mais je sais que si cette discipline est maîtrisée, je "comprendrais" encore mieux le monde.
Cette ambition dévorante de tout vouloir absolument tout comprendre et tout savoir m'a mené à vivre des moments extrêmement forts de par le passé, mais ces hauts appelant des bas, je me trouvais ensuite face à des gouffres et abîmes insondables où le désespoir n'était jamais loin et où j'étais tellement dépassé que je trouvais encore moins le sens de quoi que ce fusse.
Illusions que ces ambitions, et pourtant : me voilà à les suivre à nouveau de plus bel, dans leur séduction et ce côté alléchant.
Bon, grâce à toutes ces peines et ces combats contre moi-même et mes limites, je serais au moins au clair pour considérer le haut potentiel, comme une hypothèse très probable.
Maintenant, est-ce qu'à 26 ans et sans trop de contacts sociaux avec qui que ce soit dans une petite ville loin de tout où j'ai grandi et chez les parents, j'arriverais à m'épanouir des années durant et éviter de péter un câble avec des devoirs de mathématiques qui arriveraient via la poste à domicile ( alors que je n'ai jamais trop été un matheux jusque-là ) ?!
A dire vrai, je crois que justement : le manque de simplicité au contact des autres fut tellement refoulés durant des années, que justement cette ambition est née, comme un monstre dans les profondeur.
En fait, le "faux-self" et le "masque" sont tellement devenus des parties intégrantes de moi-même, que la suradaptation par la maîtrise de sujets extrêmement épineux, au péril de ma santé ( physique et morale ) à repousser toutes les limites imaginables me paraît être la seule réalité.
Je crois que s'aimer soi-même est le remède, mais voilà, cela passe par le rapport aux autres.
Ces posts sur le forum ici, font partie du processus de guérison.
De toute facon, je peux commencer les maths et arrêter par la suite ( ce serait pas la première fois que j'abandonne des études en cours de route ).
Et qui sait, peut-être y trouverai-je du plaisir ?
Enfin, rien n'est arrêté, et je n'ai pas encore parlé de cette possibilité à Maman.
Donc, nous verrons bien.
Sûrement que tout se déroulera bien différemment de ce que décris ici...
Qui sait ? ^^
à défaut de pouvoir poster des liens, je le mets à disposition "morcelé" pour que soit néanmoins partagé une approximation du "feeling" de manière visuelle et auditive : https://www.youtube.com/watch?v=MV1Y1pMITIo
Je cherchais la version sous-titrée en Francais avec peu de succès pour la trouver.
Alors bon, si rentrer en contact avec les autres représente une constante remise en cause de soi et de son potentiel et quelques ponctuels éclairs et accès de mégalomanie, bof bof pour trouver un "juste milieu" / "équilibre".
Tiens, je m'amuse de remarquer qu'il est question du mot "potentiel" en 1:50 dans la vidéo.
Quoi qu'il en soit, je préfère jouer AVEC les autres que de faire le "monstre", la bête de toutes les compétences contre eux.elles dans un jeu de compétitions.
Vivons ensemble plutôt que les un.e.s contre les autres.
Enfin, quand je suis complètement dépassé et d'humeur massacrante ( très rare, ne m'arrive pratiquement pas ), la situation ressemblerait plutôt à ce qui suit :
https://www.youtube.com/watch?v=pQbd1fGOm6I
Et ce que j'aime particulièrement avec cette série : plutôt que de "se battre", les gens ne veulent que mettre des paniers pour témoigner de leurs compétences.
Plutôt que de s'entretuer, l'enjeu est plus "trivial", bien que l'aspect compétition/combat reste présent.
Et lorsque je ne suffit plus moi-même, je suis très capable d'inspirer ce qui est le plus grand chez autrui, un peu comme illustré dans l'exemple qui suit : https://www.youtube.com/watch?v=HwS67jeZhmY
En fait, en quoi tout ceci est en rapport avec les études.
De manière prévisible ( mais tant mieux d'une certaine facon ), l'équipe qui gagne le championnat mise moins sur les compétences ( comme moi je mise sur des études qui me dépasseraient de prime abord pour ensuite me forger lorsque je me mesure à elles ) que sur l'amour de l'équipe les uns pour les autres, l'affection et le contact humain.
En fait, faire des études est censé mener à la finalité de servir le monde.
Si je me construis moi, comme un dur à cuir, ces facultés enseignées seront dispensées en vain.
Donc bon, je me bats "pour" et "avec" les autres face à la mort, plutôt que de mourir cette vie déjà à vivre par l'épée.
https://www.youtube.com/watch?v=YroboV83qaI
La porte qui s'ouvre et les couleurs que j'y vois me font penser aux couleurs derrière "HP, HQI" sur la page d'accueil et la bannière du site )
et
Les deux vidéos sont plus ou moins une "conclusion" à cette pensée sur les études et le devenir de chacun.e ( et le mien ) dans un contexte d'études et donc de devenir.
J'y montre à peu près "l'état" que je cherche pour moi dans quelque entreprise qui me stimule à vivre, être plutôt qu'avoir, être pour devenir !
voilà un regard qu'il s'agit de dépasser, pour pouvoir coopérer avec les autres. Viva la vidaqu-delà de toute solitude, quoi ! ^^
Bien à vous !
PJ.
PS : en Anglais, voici une scène du film "the social network" au sujet de la création de facebook.
https://www.youtube.com/watch?v=VKnNUYknsuQ
J'y trouve un individu qui est poussé à bout, malgré ses capacités de créer et duquel certains aimeraient acquérir les idées, malgré son travail personnel investi et entièrement dédié à la cause.
Bien sûr, il y a des entourloupes et des approches plus ou moins "légales" et "respectueuses" du vis-à-vis.
Néanmoins, dans cette scène - que vous compreniez ou non la langue parlée, l'ambiance et le sentiment se transmettent de par le dialogue, la musique, la prise de vue - j'imagine que nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui puissent trouver une part d'émotion et comprendre "intuitivement".
https://www.youtube.com/watch?v=nG_Nwp0wZc0
Je veux VIVRE l'AMOUR avec autant d'intensité que d'autres se battent ( comme dans les deux scènes précédentes )
Tout en question de choix de priorités et d'ordre d'importance, où placer la présence de la conscience.
Voilà l'extrême inverse de ce que j'aimerais :
https://www.youtube.com/watch?v=HXNdqJF_igo
Dernière édition par PJ le Jeu 25 Mai 2017, 11:30, édité 3 fois
PJ- Messages : 1151
Date d'inscription : 10/01/2017
Age : 33
Localisation : Europe
Re: se pousser vers des "sommets" intellectuellement et mettre de côté tout le reste,
Dernière édition par PJ le Jeu 25 Mai 2017, 11:31, édité 1 fois
PJ- Messages : 1151
Date d'inscription : 10/01/2017
Age : 33
Localisation : Europe
Re: se pousser vers des "sommets" intellectuellement et mettre de côté tout le reste,
Il n'y a pas que les mathématiques! Expérimentez d'autres champs du savoir, il y a tant à faire! La sociologie, la psychanalyse, les neurosciences, la biologie, la botanique, différentes activités artistiques... et tant d'autres pistes à explorer. La philosophie est passionnante mais elle est aussi un risque de stagnation et d'enfermement. Lire Spinoza, Hegel etc puis des commentaires, puis des commentaires de commentaires, croyant que cela est utile, que cela va nous apporter quelque chose. Il y a un côté obsessionnel là-dedans aussi. C'est bien de s'éloigner un peu, puis pourquoi pas d'y revenir en se centrant sur l'essentiel.
Lawrence king- Messages : 46
Date d'inscription : 01/02/2017
Localisation : Poitiers
Re: se pousser vers des "sommets" intellectuellement et mettre de côté tout le reste,
oui on peut aller vers les sommets dans un nombre innombrable de sujets, philo, peinture, musique, cuisine, agriculture, potagers, maths, chimie, neurologie, géologie, pilotes d'avions , boulanger boucher, créateur de montres, stylistes, responsable de design, capitaine d'industrie, coach de sport, sportif de haut niveau
le surdon s'applique à tout et on peut même inventer de nouveaux horizons, la conception d'apps pour smart n'exitait pas avant les smarts
le futur ? chacun peut l'imaginer, fondeur d'écrans tactiles pour abris bus, concepteurs de vetements connectés, chaussures intelligente, lunettes anti buée et anti pluie ou traces, pijama changeant de couleur
archéologue industriel , poète urbain
le surdon s'applique à tout et on peut même inventer de nouveaux horizons, la conception d'apps pour smart n'exitait pas avant les smarts
le futur ? chacun peut l'imaginer, fondeur d'écrans tactiles pour abris bus, concepteurs de vetements connectés, chaussures intelligente, lunettes anti buée et anti pluie ou traces, pijama changeant de couleur
archéologue industriel , poète urbain
Invité- Invité
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