Le début de tout le reste ... livre IV
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Le début de tout le reste ... livre IV
Le début de tout le reste ... livre IV
Suite du livre III : https://www.zebrascrossing.net/t10232p980-je-me-relance-sans-remord-ni-regret-livre-iii
du livre II : https://www.zebrascrossing.net/t9748-je-me-suis-lancee-et-ne-le-regrette-toujours-pas
et du livre Ier : https://www.zebrascrossing.net/t6015-je-me-lance-et-ne-le-regrette-pas
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et du livre Ier : https://www.zebrascrossing.net/t6015-je-me-lance-et-ne-le-regrette-pas
Dernière édition par renarde20 le Dim 19 Mai 2013 - 16:16, édité 1 fois (Raison : Garder une trace de ce qui semble être une progression ;o))
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Comme dirait l'autre : Yes we can !
Mais moi je préfère : Yes, we must !
Invité- Invité
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Change yourself 'cause u are the world.
Où cours-tu petite renarde ?
Où cours-tu petite renarde ?
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
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Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Merci les filles
Jolie chanson pour coller au titre de ce fil
Jolie chanson pour coller au titre de ce fil
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
"Voyager c'est aller de soi à soi en passant par les autres ..."
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Coup de coeur particulier pour cette photo qui a elle seule résume assez bien celle que je perçois être, vu de l'intérieur.
Une fenêtre classique, une autre singulière, ce qui explique que ce que je distingue du monde extérieur est si étranger à ce que la majorité peut en voir.
Le monde est unique mais nos perceptions sont personnelles et multiples.
A quoi bon alors chercher à savoir qui a raison, qui a tord ? Seule l'ouverture sur la vérité est différente.
Strabisme ou daltonisme visuel ? Pas seulement ! Ils sont aussi et surtout émotionnels, sensitifs, intellectuels ...
Notre perception du monde conditionne nos valeurs, nos règles, nos fondamentaux.
Toutes mes fenêtres sur l'extérieur ne sont pas "conformes" aux standards, mais elles font de moi qui je suis, et j'ai le droit d'être cette personne là, même si ma vision est décalée, elle n'en n'est pas pour autant fausse, erronée ou déviante.
Je ne casserai pas la façade pour rectifier cette singularité. Je ne me tordrai pas plus le cou pour "redresser" ma vision de ce monde qui m'est par moment si étranger et hostile.
Peut-être une des explications des centaines de photos postées sur ce fil.
Des instantanés pris au travers de cette drôle de fenêtre, que je partage, que je vous donne à voir pour mieux expliquer mes perceptions.
Mais dans une image il y a bien plus que le sujet et le premier plan, il y a des dizaines de plans et de points de vue, des ressentis, des odeurs et des parfums, des températures, des textures, des grains de peau ...
Une fenêtre classique, une autre singulière, ce qui explique que ce que je distingue du monde extérieur est si étranger à ce que la majorité peut en voir.
Le monde est unique mais nos perceptions sont personnelles et multiples.
A quoi bon alors chercher à savoir qui a raison, qui a tord ? Seule l'ouverture sur la vérité est différente.
Strabisme ou daltonisme visuel ? Pas seulement ! Ils sont aussi et surtout émotionnels, sensitifs, intellectuels ...
Notre perception du monde conditionne nos valeurs, nos règles, nos fondamentaux.
Toutes mes fenêtres sur l'extérieur ne sont pas "conformes" aux standards, mais elles font de moi qui je suis, et j'ai le droit d'être cette personne là, même si ma vision est décalée, elle n'en n'est pas pour autant fausse, erronée ou déviante.
Je ne casserai pas la façade pour rectifier cette singularité. Je ne me tordrai pas plus le cou pour "redresser" ma vision de ce monde qui m'est par moment si étranger et hostile.
Peut-être une des explications des centaines de photos postées sur ce fil.
Des instantanés pris au travers de cette drôle de fenêtre, que je partage, que je vous donne à voir pour mieux expliquer mes perceptions.
Mais dans une image il y a bien plus que le sujet et le premier plan, il y a des dizaines de plans et de points de vue, des ressentis, des odeurs et des parfums, des températures, des textures, des grains de peau ...
Dernière édition par renarde20 le Sam 18 Mai 2013 - 7:55, édité 1 fois
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
- Spoiler:
- L'ange Blessé :
Pour nos rêves qui tombent des nues
Noyés sous la pluie du temps perdu
Nos coeurs de glace qui cassent
De guerres si lasses, si lasses
Je prie les dieux moi qui ne crois plus personne
Je prie les dieux pourtant de croire en cet homme
Pour cet ange blessé
Je prie le ciel
De lui rendre ses ailes
Pour nos âmes meurtries
D'avoir trouvé
Au seuil de notre vie
Portes fermées
Pour nous pauvres imbéciles
Y a-t-il une vie
Encore avant la mort
Je prie les dieux moi qui ne crois plus personne
Je prie les dieux pourtant de croire en cet homme
Pour cet ange blessé
Je prie le ciel
De lui rendre ses ailes
Je prie les dieux moi qui ne crois plus en rien
Je prie les dieux de lui tendre la main
Pour cet ange presque mort, je vous implore
Pour qu'il aime encore
Qu'il aime encore
Pour qu'il aime encore
Qu'il m'aime encore encore encore...
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
~ Oreilles de zèbre ~
Laurent Baheux
http://laurentbaheux.wordpress.com
Laurent Baheux
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Re: Le début de tout le reste ... livre IV
~ Immanence ~
L'immanence est un terme philosophique qui désigne le caractère de ce qui a son principe en soi-même.
Un principe métaphysique immanent est donc un principe dont non seulement l'activité n'est pas séparable de ce sur quoi il agit, mais qui le constitue de manière interne. Ce concept s'oppose à la transcendance, qui est le fait d'avoir une cause extérieure et supérieure.
L'immanence peut aussi se distinguer de la permanence qui désigne le caractère de ce qui demeure soi-même mais à travers la durée, c'est-à-dire en assignant aux objets un espace et un temps.
La distinction entre immanence et transcendance recoupe partiellement celle faite par les Stoïciens entre ce qui dépend de nous et ce qui n'en dépend pas.
Un principe métaphysique immanent est donc un principe dont non seulement l'activité n'est pas séparable de ce sur quoi il agit, mais qui le constitue de manière interne. Ce concept s'oppose à la transcendance, qui est le fait d'avoir une cause extérieure et supérieure.
L'immanence peut aussi se distinguer de la permanence qui désigne le caractère de ce qui demeure soi-même mais à travers la durée, c'est-à-dire en assignant aux objets un espace et un temps.
La distinction entre immanence et transcendance recoupe partiellement celle faite par les Stoïciens entre ce qui dépend de nous et ce qui n'en dépend pas.
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Coucou ma belle....
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Re: Le début de tout le reste ... livre IV
~ Charlie Chaplin ~
"J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables ... j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables ... j'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi ... j'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger...j'ai ri quand il ne fallait pas ... je me suis fait des amis éternels...j'ai aimé et l'ai été en retour...mais j'ai aussi été repoussé ... j'ai été aimé et je n'ai pas su aimer ... j'ai crié et sauté de tant de joie, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur tant de fois ... j'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos ... j'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire ... j'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et ... j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre) ... mais j'ai survécu ... et je vis encore ! et la vie, je ne m'en passe pas ... Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer ... Vis !
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant ... parce que le monde appartient à celui qui ose. Et la vie c'est beaucoup trop pour être insignifiante."
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant ... parce que le monde appartient à celui qui ose. Et la vie c'est beaucoup trop pour être insignifiante."
Dernière édition par renarde20 le Dim 19 Mai 2013 - 22:48, édité 2 fois
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
"Au fond, c’est ça la solitude :
s’envelopper dans le cocon de son âme,
se faire chrysalide et attendre la métamorphose,
car elle arrive toujours."
August Strindberg
s’envelopper dans le cocon de son âme,
se faire chrysalide et attendre la métamorphose,
car elle arrive toujours."
August Strindberg
Dernière édition par renarde20 le Dim 19 Mai 2013 - 17:02, édité 1 fois
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Dernière édition par renarde20 le Dim 19 Mai 2013 - 22:47, édité 1 fois
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Laurent Baheux
http://www.laurentbaheux.com/galerie-8-11-galerie-8-baheux-7891.jpg.html
http://www.laurentbaheux.com/galerie-8-11-galerie-8-baheux-7891.jpg.html
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
«Nous n'apprenons jamais pourquoi et en quoi nous agaçons les autres,
en quoi nous leur sommes sympathiques,
en quoi nous leur paraissons ridicules ;
notre propre image est pour nous le plus grand mystère.»
«Beaucoup de gens, peu d'idées,
et comment faire pour nous différencier les uns des autres ?»
Milan Kundera
en quoi nous leur sommes sympathiques,
en quoi nous leur paraissons ridicules ;
notre propre image est pour nous le plus grand mystère.»
«Beaucoup de gens, peu d'idées,
et comment faire pour nous différencier les uns des autres ?»
Milan Kundera
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Mjöllnir a écrit:Qu’est-ce que partager ?Véronique Brard a écrit:
Partager, ce n’est ni analyser, ni conseiller, ni tenter de résoudre son problème. Partager, c’est être là, présent avec l’autre.
Partager peut être simple : faire écho à l’autre, le refléter : "Je vois trembler tes lèvres. Je vois que tu es triste. Je vois que tu es en colère". Dire son ressenti : "J’ai éprouvé de la peur (ou de la colère ou de la tristesse) pendant que tu parlais".
Partager, c’est être là, présent avec l’autre. Ce n’est ni analyser, ni conseiller, ni tenter de résoudre son problème. En tant que membre d’un groupe, si vous vous rendez compte que votre subpersonnalité de Thérapeute, de Parent psychologique, d’Analyste, donne des conseils, analyse, tente de régler les problèmes ou de faire quelque chose pour l’autre, faites-vous un clin d’oeil et une pause-arrêt sur vous-même : Que se passe-t-il ? Qui parle ? Qu’est-ce qui l’a mis en route ? Ou encore laissez l’autre vous interroger : "Mais où es-tu ? Que ressens-tu ?"
Les subpersonnalités, citées plus haut, croient partager mais ne font que leur inlassable travail, nous protéger. Si nous sommes analyste, si c’est notre métier, cette subpersonnalité est la bienvenue et plus elle est sophistiquée, plus nous aurons des chances de bien faire notre métier. Si cet Analyste vient dans un moment de partage, c’est différent. Analyser, donner des conseils, nous enferme dans des positions de pouvoir, ne serait-ce que de "pouvoir" quelque chose pour l’autre et nous garde à l’abri de nos émotions, de notre malaise face à ce que le ressenti de l’autre éveille chez nous.
Ces subpersonnalités coupent le contact avec le corps qui, à ce moment précis, pourrait vouloir murmurer ou crier quelque chose. Hors situation professionnelle, (et parfois même en situation professionnelle !), leur rôle est toujours de nous protéger en nous tenant à l’abri de ce qui pourrait nous submerger, en général, des émotions qu’elles pensent dangereuses et inutiles. Elles empêchent également votre vis-à-vis d’éprouver ses émotions, elles le tirent hors de son ressenti et de son corps.
Quelle est la différence entre analyser et partager ? Partager c’est exprimer ce qui est là : peur, honte, colère, tristesse, joie, curiosité, étonnement, plaisir, déplaisir, intérêt, répulsion, gratitude, etc. C’est éprouver une émotion ou une sensation et la dire, sans la justifier ni l’expliquer : "Je ressens cela." Parfois parler pour clarifier ce que l’on ressent est nécessaire mais si l’Analyste s’empare de la situation, il va simplement nous expliquer son analyse. Cela peut être très intéressant ou très ennuyeux mais ce n’est plus à proprement parler un partage. Le Parent psychologique, lui, va donner des leçons, et même s’il le fait avec toute la gentillesse du monde, il sait et l’autre ne sait pas. Lui non plus ne partage pas l’instant présent.
Partager a quelque chose à voir avec le contact énergétique, avec l’enfant, avec le corps. Partager une orange, c’est en prendre chacun un quartier et le déguster, le savourer ensemble. Ce n’est pas discuter ou parler à son propos. De même nous pouvons partager une peine, une joie, une découverte : "Oui, voilà je suis présent avec toi, à tes côtés, je partage ton émotion". Voir et se détacher des subpersonnalités de pouvoir permet le partage.
Il est possible de poser des questions pour mieux ressentir ce qui se passe Éviter les pourquoi, les meilleures phrases sont de l’ordre du ressenti : "Comment te sens-tu maintenant ? " ou "Qu’est-ce que cela représente pour toi ? " ou encore : " Si ta tristesse, (colère, honte, etc.) pouvait parler, que dirait-elle ? " Les questions peuvent aider à clarifier, les conseils et interprétations sont d’un autre ordre.
La nécessité d’aider l’autre vient souvent du besoin d’éviter la confrontation avec notre sentiment d’impuissance. Ce sentiment appartient à l’enfance et nous bouleverse. Il appelle des ressentis enfouis et difficiles. Ressentir cette impuissance est pourtant ce qui est demandé dans le partage : accepter d’être impuissant et rester là avec la peine et la souffrance de l’autre, présent dans la connexion énergétique, sans se réfugier ailleurs, sans appeler ses subpersonnalités "puissantes". Accepter d’être touché, d’aller vers sa propre émotion, faire confiance à ce qui est là.
Toute notre personnalité repose sur notre vulnérabilité, l’édifice construit - la personnalité - s’est mis en place pour la protéger. On ne peut travailler sur sa structure psychique sans que cette vulnérabilité se mette à bouger. Quand nos propres émotions nous font peur, nous sommes tentés d’arracher les autres aux leurs. Mais les amis-consolateurs ne parviennent qu’à nous empêcher de faire ce qui, de tout temps, nous aurait le plus aidé : éprouver nos émotions.
L’autre possibilité est de permettre à l’autre d’être qui il est, non seulement en le laissant éprouver ses sentiments, mais en admettant l’existence de ces sentiments au moment où il les éprouve. : "Je te vois et je t’entends et je t’apprécie tel que tu es. J’accepte et je respecte ta peur, ton angoisse, ton doute, etc., ta réalité". A chaque fois que vous faites autrement, prenez conscience que ce que vous êtes en train de dire, vous concerne Et, même si cette analyse, ce conseil, cette consolation ou compréhension vous sont nécessaires, remettez-les à plus tard.
Par contre, si vous avez, suite au paroles ou vécu d’un des membres du groupe, des impressions, des sentiments, des émotions et le besoin de les partager, utiliser la technique : "Si c’était mon vécu, si c’était mon rêve, si c’était mon image, etc." Car si la réaction en vous est si forte, le besoin de parler si irrépressible, c’est aussi votre image, votre rêve votre vécu.
Il est facile de savoir et difficile d’éprouver ! Nous savons tout, mais nous acceptons mal de ressentir ! Éprouver c’est inviter quelque chose à se transformer en soi. Quelque chose qui se passe dans l’ombre, hors du connu, dont on ne peut avoir la maîtrise. "Vous faites reine la compréhension, pensant qu’elle vous donnera toutes les clés. Croyez-vous qu’en décortiquant une graine et en analysant tous ses composants, vous obtiendrez la transformation de la graine en fleur ? Fleurir a à voir avec éprouver non avec analyser. Éprouvez vos émotions et laissez-les à l’abri des mots pour qu’elles puissent accomplir leur oeuvre : vous transformer. Ressentez et allez là où mène le ressenti et non là où mène l’analyse du ressenti. L’endroit est très différent. L’un s’appelle vivre, l’autre analyser." (John Bradshaw, Retrouver l’enfant en soi).
Trouvez pourquoi votre Analyste intérieur a si peur de la vie qu’il lui faut la disséquer. Est-ce seulement une habitude ? Prenez conscience de cette habitude. Est-ce un automatisme sans possibilité de faire autrement ? Faites votre travail : allez à la rencontre de votre Analyste et voyez ses peurs. "L’expérience transforme, non les mots et la compréhension." "Nous ne saurions guérir ce que nous ne pouvons pas ressentir." "Les problèmes ne se résolvent pas avec des mots mais par le biais d’une expérience." Ces citations, également de Bradshaw, mettent l’accent sur cette nécessité : ressentir. La transformation passe par cette capacité à ressentir.
Partager demande une certaine conscience. La conscience de ce qui se passe pour nous : "Je suis ému... je me mets en retrait... je juge... j’analyse... je donne des conseils pour que l’autre change... mon Thérapeute, mon bon Parent, mon Analyste, mon Mental est activé." Ne pas expliquer dans un moment de partage, tout ce qu’ils disent. Prendre conscience qu’ils sont activés et partager ce fait avec le groupe : "Mon Mental, mon Critique, mon Juge, mon Rationnel, etc., est très activé en ce moment." Lorsque vous partagez dans un groupe, soyez occupé de vous-mêmes. C’est pour vous que vous vous exprimez, c’est pour vous que dire votre émotion ou votre ressenti est important. Partager pour soi, faire cadeau de soi au groupe et se faire un grand cadeau : celui de l’intimité.
Il est possible aussi, bien sûr, de ne pas parler lors d’un partage, c’est un droit sacré, personne alors n’a le droit de vous poser de questions.
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Le "TU" qui TUE
"Bien communiquer, c'est savoir écouter et savoir parler de soi ; savoir exprimer nos sentiments, nos pensées et nos désirs tout au long de notre vie, dans notre quotidien tout autant que lors des événement graves ou spéciaux.
Communiquer c'est rester centré sur soi en même temps que nous sommes à l'écoute. C'est s'efforcer de ne pas culpabiliser l'autre et en même temps de s'ouvrir à lui.
Lorsque je parle de moi, je dois m'efforcer de ne pas accuser, mais au contraire d'informer; en effet, quand je dis "tu", ce tu accuse, il déstabilise, il fait naître un sentiment d'insécurité qui parfois mine la confiance en faisant douter l'autre de mes sentiments pour lui, ce qui le poussera souvent à s'éloigner de moi.
Le tu sépare.
Le tu juge sans demander confirmation, sans chercher à vérifier, sans imaginer qu'il y a peut-être malentendu parce qu'on a mal compris.
Le tu n'est pas bienveillant, il ne connaît pas l'empathie.
Le tu fige le dialogue, le bloque : chacun reste dans son rôle, accusateur et accusé.
Le dialogue est rompu.
Le tu part du principe "j'ai raison et tu as tort"."
"Bien communiquer, c'est savoir écouter et savoir parler de soi ; savoir exprimer nos sentiments, nos pensées et nos désirs tout au long de notre vie, dans notre quotidien tout autant que lors des événement graves ou spéciaux.
Communiquer c'est rester centré sur soi en même temps que nous sommes à l'écoute. C'est s'efforcer de ne pas culpabiliser l'autre et en même temps de s'ouvrir à lui.
Lorsque je parle de moi, je dois m'efforcer de ne pas accuser, mais au contraire d'informer; en effet, quand je dis "tu", ce tu accuse, il déstabilise, il fait naître un sentiment d'insécurité qui parfois mine la confiance en faisant douter l'autre de mes sentiments pour lui, ce qui le poussera souvent à s'éloigner de moi.
Le tu sépare.
Le tu juge sans demander confirmation, sans chercher à vérifier, sans imaginer qu'il y a peut-être malentendu parce qu'on a mal compris.
Le tu n'est pas bienveillant, il ne connaît pas l'empathie.
Le tu fige le dialogue, le bloque : chacun reste dans son rôle, accusateur et accusé.
Le dialogue est rompu.
Le tu part du principe "j'ai raison et tu as tort"."
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Parler de soi... pas des autres, être vrai
"Parler à la première personne, c'est prendre ses responsabilités.
Je dis que..., je pense que..., je préfère...
C'est accepter les renoncements qu'impliquent nos choix et ne pas en souffrir outre mesure, ni trop longtemps.
C'est prendre acte que l'on ne peut plaire à tout le monde.
Parler "je" c'est me concentrer sur mes sentiments et mes idées propres, être capable à tout moment de repérer si l'émotion qui m'envahit en ce moment, m'appartient réellement."
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Salut Renarde,
J'ai pas tout lu, j'ai pas tout vu, mais j'aime bien... )
Très bonne journée à toi
J'ai pas tout lu, j'ai pas tout vu, mais j'aime bien... )
Très bonne journée à toi
Invité- Invité
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
L'idiosyncrasie
Du grec ancien ἰδιοσυγκρασία / idiosugkrasía «tempérament particulier», dérivé de ἴδιος / ídios «propre», «particulier») σύν / sún «avec», et κρᾶσις / krâsis «mélange».
C'est le comportement particulier, propre à celui-ci, d'un individu face aux influences de divers agents extérieurs. Les adjectifs correspondants sont «idiosyncratique» et «idiosyncrasique», et le concept général est parfois nommé «idiosyncrasisme».
C'est le comportement particulier, propre à celui-ci, d'un individu face aux influences de divers agents extérieurs. Les adjectifs correspondants sont «idiosyncratique» et «idiosyncrasique», et le concept général est parfois nommé «idiosyncrasisme».
- * En symptomatologie médicale, l'idiosyncrasie est la disposition particulière d'un individu à réagir à un événement extérieur. On peut évoquer l'idiosyncrasie immunitaire lorsque deux individus réagissent différemment à un agent pathogène.
* En psychologie, l'idiosyncrasie est la disposition humaine à ressentir différemment selon les individus, une impression extérieure ou sensorielle.
* En psychiatrie, l'idiosyncrasisme désigne l'utilisation de néologismes, de mots ou de phrases «hors contexte», inadaptés par rapport à la situation présente (dans l'autisme par exemple).
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
JURGA ... Encore et Toujours !!!
https://www.facebook.com/pages/Jurga-Sculpteur/225087099898?ref=stream
https://www.facebook.com/pages/Jurga-Sculpteur/225087099898?ref=stream
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
«Elle voudrait être devinée.
Elle voudrait n'avoir pas à se servir des mots, être aimée muette.
Ça pourrait marcher s'il l'écoutait se taire.
Mais il est sourd à son silence.»
Camille Laurens, "Ni toi ni moi"
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
http://www.linternaute.com/mer-voile/voile/photo/mettez-les-voiles/le-renard-vieux-greement-de-st-malo.shtml
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Salut ma belle...
Nos zamitiés vos bientôt voguer sur le même bateau...
Nos zamitiés vos bientôt voguer sur le même bateau...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
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Re: Le début de tout le reste ... livre IV
- Charlie Chaplin:
- renarde20 a écrit:
~ Charlie Chaplin ~"J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables ... j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables ... j'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi ... j'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger...j'ai ri quand il ne fallait pas ... je me suis fait des amis éternels...j'ai aimé et l'ai été en retour...mais j'ai aussi été repoussé ... j'ai été aimé et je n'ai pas su aimer ... j'ai crié et sauté de tant de joie, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur tant de fois ... j'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos ... j'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire ... j'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et ... j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre) ... mais j'ai survécu ... et je vis encore ! et la vie, je ne m'en passe pas ... Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer ... Vis !
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant ... parce que le monde appartient à celui qui ose. Et la vie c'est beaucoup trop pour être insignifiante."
Très beau...
Invité- Invité
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Comme une évidence pour guider le renard à bon port
Merci !
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
étoile_en_étoile a écrit:"Constellation autistique, mouvement, temps et pensée"
http://www.cairn.info/revue-devenir-2006-4-page-333.htm
Article extrêmement intéressant et clair.
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
Je vais lire cela ce soir.
Merci.
Bonne journée.
Merci.
Bonne journée.
Invité- Invité
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
"J’ai toujours aimé l’aphorisme «Arrêtez le monde, je veux descendre !»
Est-ce pour avoir été absorbée dans les taches et les «étoiles» au moment précis où les autres enfants s’ouvrent au monde extérieur que je suis restée sur le bord de la route ?"
Donna Williams
Est-ce pour avoir été absorbée dans les taches et les «étoiles» au moment précis où les autres enfants s’ouvrent au monde extérieur que je suis restée sur le bord de la route ?"
Donna Williams
Re: Le début de tout le reste ... livre IV
v'là mon pépé :
http://www.google.fr/imgres?um=1&sa=N&rls=com.microsoft:fr:IE-SearchBox&rlz=1I7GGLL_fr&hl=fr&biw=1152&bih=692&tbm=isch&tbnid=XWYetOSRcCvWaM:&imgrefurl=http://jean.roulland.free.fr/&docid=Qg_bofhHJI1EZM&imgurl=http://jean.roulland.free.fr/images/Bronzes/afghane560NB.jpg&w=420&h=560&ei=ZdCcUaqDNMbE7Aam7YHgAg&zoom=1&iact=hc&vpx=700&vpy=93&dur=187&hovh=259&hovw=194&tx=139&ty=180&page=1&tbnh=141&tbnw=111&start=0&ndsp=28&ved=1t:429,r:4,s:0,i:96
http://www.google.fr/imgres?um=1&sa=N&rls=com.microsoft:fr:IE-SearchBox&rlz=1I7GGLL_fr&hl=fr&biw=1152&bih=692&tbm=isch&tbnid=XWYetOSRcCvWaM:&imgrefurl=http://jean.roulland.free.fr/&docid=Qg_bofhHJI1EZM&imgurl=http://jean.roulland.free.fr/images/Bronzes/afghane560NB.jpg&w=420&h=560&ei=ZdCcUaqDNMbE7Aam7YHgAg&zoom=1&iact=hc&vpx=700&vpy=93&dur=187&hovh=259&hovw=194&tx=139&ty=180&page=1&tbnh=141&tbnw=111&start=0&ndsp=28&ved=1t:429,r:4,s:0,i:96
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» Tout. Tout le temps. Tout de suite.
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