Sexualité et genre.
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ifness
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Re: Sexualité et genre.
Bon, je vais répondre à Chun', parce qu'elle est pleine de bon sens,
oui moi je trouve des penis beaux (mais j'm'en fous un peu; mais quand même, oui; mais ça m'excite pas)
et je trouve surtout des vulves belles,
alors là : pas du tout d'accord avec davidab, ,
belles, oui,
et désirables, aussi.
C'était la REPONSE philosophique du soir.
Autre réponse psychanalytique (allez, on se la pète, ce soir, c'est Champ' et Cie !)
J'ai aussi biberonné et nettoyé les fesses raconté des histoires doudouné
mais, curieusement,
je n'ai JAMAIS vu en mon attitude un côté féminin.
Simplement : je trouvais ça "juste", c'est à dire enfin juste face à l'injuste d'avant et au manque/au désir frustré de/ l'enfant que je fus.
Là où j'ai ressenti un léger:suspect: problème , c'est
lorsque j'ai eu le sentiment que mon bon vouloir , mon plaisir à, étaient exploités.
J'ai aussi ressenti une perte de repères dans l'exercice de ma sexualité, mon attitude paternante/maternante étant vues comme beaucoup plus dignes d'intérêt que... le reste.
Mais je n'en ferai pas une généralité : questions d'individus.
Ceci dit, il m'a fallu me reconstruire, après tout ça, parce que je ne savais plus très bien qui j'étais.
C'était : le conte philosophopsychologiconombriliste du vendredi soir.
oui moi je trouve des penis beaux (mais j'm'en fous un peu; mais quand même, oui; mais ça m'excite pas)
et je trouve surtout des vulves belles,
alors là : pas du tout d'accord avec davidab, ,
belles, oui,
et désirables, aussi.
C'était la REPONSE philosophique du soir.
Autre réponse psychanalytique (allez, on se la pète, ce soir, c'est Champ' et Cie !)
J'ai aussi biberonné et nettoyé les fesses raconté des histoires doudouné
mais, curieusement,
je n'ai JAMAIS vu en mon attitude un côté féminin.
Simplement : je trouvais ça "juste", c'est à dire enfin juste face à l'injuste d'avant et au manque/au désir frustré de/ l'enfant que je fus.
Là où j'ai ressenti un léger:suspect: problème , c'est
lorsque j'ai eu le sentiment que mon bon vouloir , mon plaisir à, étaient exploités.
J'ai aussi ressenti une perte de repères dans l'exercice de ma sexualité, mon attitude paternante/maternante étant vues comme beaucoup plus dignes d'intérêt que... le reste.
Mais je n'en ferai pas une généralité : questions d'individus.
Ceci dit, il m'a fallu me reconstruire, après tout ça, parce que je ne savais plus très bien qui j'étais.
C'était : le conte philosophopsychologiconombriliste du vendredi soir.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Re: Sexualité et genre.
C' est le genre qui est féminin, pas l' "Être", le coté féminin , ou maternel, sont des caractéristiques que d' autres m' ont attribué...ifness a écrit:
je n'ai JAMAIS vu en mon attitude un côté féminin.
Je suis "juste" un homme
Pour la suite de ton propos, ça me parle aussi ifness...
Invité- Invité
Re: Sexualité et genre.
Oui, d'autres, c'est ça.
Mais les "autres", ils sont plutôt casse-couilles. je veux dire : il ne faut pas prendre leurs vues et dires pour argent comptant.
Perso, j'ai le tort d'aimer qu'on m'aime, par conséquent de prêter -sur le moment- trop d'attention au regard des autres. Plus tard, je me dis : "t'es con".
Non, je voulais dire , moi, je n'avais pas la sensation de materner, mais de paterner.
dans le règne animal, beaucoup de mâles s'occupent autant ou plus de la progéniture que les femelles. J'avais p-ê le tort de trop "biologiser".
Et puis, je le faisais par amour. J'ai manqué enfant de tendresse, alors j'en donnais, et j'étais à l'écoute, hors de jugement, etc... Je faisais le job, quoi. Par amour. Sinon le fait d'être père m'eût semblé absurde.
J'ai vécu beaucoup de choses que je voyais absurdes, dans la vie, mais pas celle-là. Ou alors fallait pas les avoir fait, ces mômes.
Oui, des femmes "extérieures" à mon couple me voyaient comme...un peu l'homme idéal.
D'autant que j'avais l'air épanoui.
(En réalité, j'étais pourri jusqu'à l'os de questions et de frustrations, intellectuelles et affectives. Sauf dans mon lien paternel.
Maintenant, ils sont adultes, et j'ai du mal à comprendre pourquoi je me suis arrangé pour casser ou abîmer le lien. Quoiqu'il en soit, c'est la réalité. Ils en souffrent, j'en souffre, mais, comme nous sommes tous des putains d'adultes, je ne ressens aucune culpabilité. Juste de la tristesse.)
Et mon existence d'homme (je veux dire : par rapport aux femmes, à une ou des femme(s)
ne s'est jamais relevé de tout ça.
La vie est trop courte.
J'aimerais pouvoir écrire une autre histoire.
Faut que je m'y mette.
Allez-y vous ot'.
Je n'ai pas suffisamment félicité notre nouvelle professeure pour ses lignes.
Pensée riche, claire : lire devient une étude passionnante.
(ce n'est pas péjoratif : apprendre, toujours apprendre.... Ecouter. Passion.)
Mais mes neurones s'éteignent
Mais les "autres", ils sont plutôt casse-couilles. je veux dire : il ne faut pas prendre leurs vues et dires pour argent comptant.
Perso, j'ai le tort d'aimer qu'on m'aime, par conséquent de prêter -sur le moment- trop d'attention au regard des autres. Plus tard, je me dis : "t'es con".
Non, je voulais dire , moi, je n'avais pas la sensation de materner, mais de paterner.
dans le règne animal, beaucoup de mâles s'occupent autant ou plus de la progéniture que les femelles. J'avais p-ê le tort de trop "biologiser".
Et puis, je le faisais par amour. J'ai manqué enfant de tendresse, alors j'en donnais, et j'étais à l'écoute, hors de jugement, etc... Je faisais le job, quoi. Par amour. Sinon le fait d'être père m'eût semblé absurde.
J'ai vécu beaucoup de choses que je voyais absurdes, dans la vie, mais pas celle-là. Ou alors fallait pas les avoir fait, ces mômes.
Oui, des femmes "extérieures" à mon couple me voyaient comme...un peu l'homme idéal.
D'autant que j'avais l'air épanoui.
(En réalité, j'étais pourri jusqu'à l'os de questions et de frustrations, intellectuelles et affectives. Sauf dans mon lien paternel.
Maintenant, ils sont adultes, et j'ai du mal à comprendre pourquoi je me suis arrangé pour casser ou abîmer le lien. Quoiqu'il en soit, c'est la réalité. Ils en souffrent, j'en souffre, mais, comme nous sommes tous des putains d'adultes, je ne ressens aucune culpabilité. Juste de la tristesse.)
Et mon existence d'homme (je veux dire : par rapport aux femmes, à une ou des femme(s)
ne s'est jamais relevé de tout ça.
La vie est trop courte.
J'aimerais pouvoir écrire une autre histoire.
Faut que je m'y mette.
Allez-y vous ot'.
Je n'ai pas suffisamment félicité notre nouvelle professeure pour ses lignes.
Pensée riche, claire : lire devient une étude passionnante.
(ce n'est pas péjoratif : apprendre, toujours apprendre.... Ecouter. Passion.)
Mais mes neurones s'éteignent
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Invité- Invité
Re: Sexualité et genre.
Merci !
Mes excuses les plus aplaties pour les fautes d'ortho et mes négligences de style, j'ai écrit ça très vite et n'ai pas relu.
Avantage : je ne me suis pas autocensuré, ce que je fais souvent, mon logos partait directement de l'âme.
Oui, parce que je suis un putain d'intellectuel (différent de intelligent...)
et que je veux tout formaliser.
Par exemple, j'ai toujours buté sur mon amour paternel, moi le jadis enfant unique à l'enfance aussi solitaire que la vieillesse de Rousseau.
Mes parents ne m'avaient pas montré exemple (bien que : mais maladroitement, chacun à leur manière).
Et j'ai toujours voulu comprendre, et n'ai jamais compris.
(j'ai usé mon psychanalyste pendant des années. )
De même que je comprends mal la "rupture" que j'ai créée avec ces mêmes enfants devenus adultes. Je comprends certaines choses, mais , globalement, mal. parce que : pourquoi diable créer du malheur (au moins de la souffrance et du déplaisir)?
Intellectualisme qui m'a fait fondre de satisfaction lorsque j'ai lu (presque) tout Freud à 16 ans.
Youpi ! Le monde s'éclairait ! Freud avait trouvé le bouton !
(Je suis revenu sur ses prospections depuis, via autres socio-psycho -trucs, mais je comprends toujours mon besoin et mon plaisir d'alors. Mon soulagement.
Ceci dit, je n'ai pas rompu, puisque j'ai entrepris plus tard une psycha qui dura 15 ans (et pourrait se poursuivre encore )
Bon, tout ça pour dire que je suis très naturellement
(oui, sans forcer : par exemple le structuralisme de Levi-Strauss m'a évidemment séduit : c'était si intelligent ! Tout en restant très humain. En prenant comme sujet 'l'Homme", mais comme objet d'une science : l'ethnologie, et structurale, qui + est.)
intellectualisant.
Alors que je suis secoué par des tempêtes de sentiments.
Ca gronde, ça vole, ça volcanise, ça ébouriffe, ça fatigue, ça ôte le sommeil, ça épuise,
ça laisse l'Etre à demi-mort, un simple corps étendu, comme brisé.
J'ai délaissé le thème de ce fil (et sauf à répondre à..., ce discours digressif s'arrêtera ici)
mais je précise en guise de conclusion à tous ces délires :
la sexualité, les orientations du Désir, les conséquenses intimes pour l'Âme (anima), les bouillonnements récents autout de la notion de Genre, etc....
entrent dans mon schéma de conceptualisation volontaire (ma "servitude volontaire" à moi).
J'aimerais tant com-prendre tout !
Orgueil prométhéen, quand tu nous tiens...
Bisous à toutes et tousse (oui, faites attention, la grippe rôde.)
Mes excuses les plus aplaties pour les fautes d'ortho et mes négligences de style, j'ai écrit ça très vite et n'ai pas relu.
Avantage : je ne me suis pas autocensuré, ce que je fais souvent, mon logos partait directement de l'âme.
Oui, parce que je suis un putain d'intellectuel (différent de intelligent...)
et que je veux tout formaliser.
Par exemple, j'ai toujours buté sur mon amour paternel, moi le jadis enfant unique à l'enfance aussi solitaire que la vieillesse de Rousseau.
Mes parents ne m'avaient pas montré exemple (bien que : mais maladroitement, chacun à leur manière).
Et j'ai toujours voulu comprendre, et n'ai jamais compris.
(j'ai usé mon psychanalyste pendant des années. )
De même que je comprends mal la "rupture" que j'ai créée avec ces mêmes enfants devenus adultes. Je comprends certaines choses, mais , globalement, mal. parce que : pourquoi diable créer du malheur (au moins de la souffrance et du déplaisir)?
Intellectualisme qui m'a fait fondre de satisfaction lorsque j'ai lu (presque) tout Freud à 16 ans.
Youpi ! Le monde s'éclairait ! Freud avait trouvé le bouton !
(Je suis revenu sur ses prospections depuis, via autres socio-psycho -trucs, mais je comprends toujours mon besoin et mon plaisir d'alors. Mon soulagement.
Ceci dit, je n'ai pas rompu, puisque j'ai entrepris plus tard une psycha qui dura 15 ans (et pourrait se poursuivre encore )
Bon, tout ça pour dire que je suis très naturellement
(oui, sans forcer : par exemple le structuralisme de Levi-Strauss m'a évidemment séduit : c'était si intelligent ! Tout en restant très humain. En prenant comme sujet 'l'Homme", mais comme objet d'une science : l'ethnologie, et structurale, qui + est.)
intellectualisant.
Alors que je suis secoué par des tempêtes de sentiments.
Ca gronde, ça vole, ça volcanise, ça ébouriffe, ça fatigue, ça ôte le sommeil, ça épuise,
ça laisse l'Etre à demi-mort, un simple corps étendu, comme brisé.
J'ai délaissé le thème de ce fil (et sauf à répondre à..., ce discours digressif s'arrêtera ici)
mais je précise en guise de conclusion à tous ces délires :
la sexualité, les orientations du Désir, les conséquenses intimes pour l'Âme (anima), les bouillonnements récents autout de la notion de Genre, etc....
entrent dans mon schéma de conceptualisation volontaire (ma "servitude volontaire" à moi).
J'aimerais tant com-prendre tout !
Orgueil prométhéen, quand tu nous tiens...
Bisous à toutes et tousse (oui, faites attention, la grippe rôde.)
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