École et EIP, une vue de l'intérieur
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École et EIP, une vue de l'intérieur
Bonjour,
Je vois régulièrement passer des choses qui m'étonnent un peu en tant qu'enseignante. Or, je viens de tomber sur cet article, qui synthétise assez bien ce que je vois au travail, parmi mes collègues. Sachant que j'étais stagiaire il y a deux ans à peine, j'ai plus ou moins entendu le même discours en ESPE. J'espère que sa lecture sera instructive pour les parents d'EIP qui auraient des relations un peu tendues avec l'école de leurs enfants.
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Ce que j'aurais à ajouter, personnellement, c'est que pour travailler actuellement avec des 6° et des 4°, je déplore un fait : en 6°, les problèmes de dyssynchronie me semblent moins visibles pour un certain nombre d'élèves — dont je faisais partie. En revanche, avec l'adolescence et le changement de comportement massif qu'on observe à partir de la 5°/4°, la souffrance peut apparaître, au gré notamment des effets de groupe si particuliers à ces âges… Dès lors, il me semblerait pertinent de tester son enfant même s'il va bien, au cas où des difficultés surgiraient par la suite.
J'attends vos réactions !
Je vois régulièrement passer des choses qui m'étonnent un peu en tant qu'enseignante. Or, je viens de tomber sur cet article, qui synthétise assez bien ce que je vois au travail, parmi mes collègues. Sachant que j'étais stagiaire il y a deux ans à peine, j'ai plus ou moins entendu le même discours en ESPE. J'espère que sa lecture sera instructive pour les parents d'EIP qui auraient des relations un peu tendues avec l'école de leurs enfants.
Claire Nunn pour Le petit journal des profs a écrit:Adapter pour les enfants à haut potentiel ?
C’est une question qui peut agacer. Nous aimerions croire que tous les élèves intellectuellement précoces (EIP) sont forcément doués, épanouis, et « s’en sortiront toujours car ils sont intelligents » : dans ce cas-là, la question ne se poserait pas en effet. Les enfants qui vont bien et qui souvent d’ailleurs ne sont pas « diagnostiqués précoces », n’ont vraisemblablement pas besoin de prise en compte particulière. Ils existent bien sûr, heureusement !
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Ce que j'aurais à ajouter, personnellement, c'est que pour travailler actuellement avec des 6° et des 4°, je déplore un fait : en 6°, les problèmes de dyssynchronie me semblent moins visibles pour un certain nombre d'élèves — dont je faisais partie. En revanche, avec l'adolescence et le changement de comportement massif qu'on observe à partir de la 5°/4°, la souffrance peut apparaître, au gré notamment des effets de groupe si particuliers à ces âges… Dès lors, il me semblerait pertinent de tester son enfant même s'il va bien, au cas où des difficultés surgiraient par la suite.
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